L’accusation de "nouvel antisémitisme" interdit aux antiracistes de condamner le "racisme projuif"
Dénoncer sans espoir de faire cesser, hélas…
par Ticulière Manhatentiphe, Juif honnête (si, si, ça existe), 28/04-02/05/2018

"Tome 2" : En France

  Lecture ultra-critique (en forme de droit de réponse) du livre « Le Nouvel Antisémitisme. Dénoncer pour faire cesser. » de Phyllis Chesler, 2005, traduit de l’anglais américain, l’auteure « sioniste engagée » ayant habité à Jérusalem, Tel Aviv, avant de s’installer à New York. Ici, en 23 humbles pages méprisées d'amateur anonyme, classé malade mental, j’apporterai davantage au débat (interdit) que les 350 pages du best-seller mondial de prétendue experte.

Chapitre 1. « Le 11 septembre et le nouvel antisémitisme. »
  Il est rappelé que les attentats sanglants du 11 Septembre 2001 ont été perpétrés contre les USA en raison de leur soutien à Israël. C’est selon l’auteure un nouvel antisémitisme, terroriste, un mal indéniable s’attaquant aux civils innocents, et elle cite les pompiers victimes envers qui elle verse des larmes de compassion, s’attachant à la personnalité de chacun, assure-t-elle.
  Je répondrais qu’en matière de terrorisme anti-civils, la première pierre est en face : israélienne, avec les massacres de femmes et bébés à Der Yassin et autres, en 1948, pour faire fuir (sans retour permis depuis lors) la majorité palestinienne. L’auteure chie allégrement sur la personnalité de chacune de ces victimes-ci, cachées et certes pas juives. C’est du favoritisme éhonté, nullement de l’humanisme honnête, de la morale altruiste, non : pur égoïsme groupiste. Et certes c’est dans la lignée de la religion israélite, avec le massacre « divin » des Cananéens, bébés inclus (ici ou là), pour fonder l’antique Israël prétendu glorieux, au nom duquel ont eu lieu les massacres de 1948. L’auteure est donc dans un (autre) camp de terroristes massacreurs. C’est inaudible, honteux (humanistement), et démentant les mots de 4e page de couverture « raisonnement rigoureux, sensationnel, esprit d’analyse aiguisé, douée de sens moral et d’esprit de justice, profondeur, pertinente, admirable et important ». Enfin, pour quelques premières pages, c’est peut-être un pré-aperçu avant le vrai débat, mais il y a tellement d’engagement unilatéral pro-israélien anti-palestinien que cela parait très mal barré, non crédible (oui la guerre fait hélas tuer des civils et des bébés, comme à Hiroshima grande « victoire » étasunienne, mais cette guerre-ci a été déclenchée par les sionistes, premiers israéliens, il y a 70 ans – s’émouvoir d’un seul côté est simplement inéquitable, malhonnête). A suivre.
  Au passage, je note qu’a été perdue une occasion de présenter les choses de manière logique : l’ONU exige que les Palestiniens exilés soient autorisés à rentrer (résolution 194 de fin 1948) et les USA apposent leur véto à son exécution effective, et contre chaque tentative de sanctionner Israël ne respectant pas le commandement mondial. Alors oui, cela dirige la rancœur anti-israélienne (antiraciste) vers les USA, automatiquement. Ces USA majoritairement protestants, qui vénèrent l’Ancien Testament biblique affirmant que Dieu universel est le Dieu préférant les Juifs et méprisant les Non-Juifs (jusqu’à la résurrection de Jésus-Christ), Dieu raciste pro-juif (comme Jésus lui-même avant d’être crucifié, traitant les non-Juifs de chiens dans l’épisode de la Cananéenne, de naissance, racistement, et les religieux USA vénèrent cela, oui : « in God we trust » est la devise nationale officielle, au contraire de notre laïcité française). Et Israël abonde en ce sens : l’immigration des Juifs du Monde est encouragée mais le retour des Arabes est interdit (ou tué s’ils veulent passer outre, tué en criant à l’antisémitisme d’une remise en cause de l’existence-même d’Israël). Des racistes actifs se prétendent victimes de racisme, ce n’est pas juste du tout. Dire Non au racisme pro-Juif (anti-arabe, bébés inclus) n’est en rien du racisme Anti-juif (bébés inclus). Erreur totale d’analyse. C’est vraiment une entrée en matière nulle, orientée salement, racistement, israélitement peut-être, certes. Et il faut être lucide pour comprendre que c’est une horreur politique d’adultes menteurs, n’impliquant aucune culpabilité intrinsèque des bébés juifs – il s’agit de malhonnêteté colossale incitant à la haine, mais il ne faut pas se tromper de colère, ne pas tomber dans un racisme antisémite totalement erroné. Au passage, rappelons que les protestants ayant majoritairement conquis les USA se définissaient comme « nouvelles tribus d’Israël conquérant leur Terre Promise à eux », d’où la proximité traditionnelle entre USA et sionistes conquérants, sans la moindre once de justice historique : s’il fallait rendre la Palestine aux Juifs massacrés alors il fallait rendre les USA aux Amérindiens massacrés, mais non, pas du tout, le principe anti humaniste favorisateur (raciste pro-Israël) et le fanatisme religieux font loi, interdisent de penser honnêtement, équitablement.
  Alors ce texte (de premier chapitre) ne dit pas un seul mot de 1948, si ce n’est que c’est une juste réparation contre la haine raciste antisémite partout. Eh, pourquoi les victimes de bourreaux racistes (1934-1945) seraient-elles autorisées à devenir bourreaux racistes (1948), sans le dire et en le cachant même, en traitant de bourreaux racistes inadmissibles ceux qui objectent (1949-2018) ? C’est le niveau zéro de la pensée, de l’honnêteté, il s’agit de racisme tonitruant, inadmissible pour un lecteur humaniste, antiraciste. Certes, un lecteur idiot, aucunement informé des détails de 1948 (ouvrage israélien « Le nettoyage ethnique de la Palestine »), peut croire lire là une démarche rigoureuse, une démonstration, mais elle est totalement mensongère, négationnant toutes les fautes horribles du côté initialement coupable, dans l’affaire d’Israël recréé.

Chapitre 2. « Le vieil antisémitisme »
  Il est juste oublié que le judaïsme se définit comme « Dieu aime les Juifs, méprise les non-Juifs », d’où rancœur automatique contre ce communautarisme, raciste dans la mesure où cela s’applique dès le stade bébé, indépendamment des actes ou caractères personnels (et avec non-prosélytisme, n’invitant pas autrui à bénéficier de cet amour divin, non : chassé, repoussé, anti-altruistement, et on s’étonne qu’il ne soit pas content ?). Certes, effectivement, quelques cas isolés de conversion au judaïsme existent, mais leur crédibilité parait nulle : comment un goy peut-il trouver divin que des Juifs tuent des goys parce qu’ils sont goys, « sale race » (pas invitée à l’époque à devenir juive) ? A supposer que Dieu existe, pourquoi punirait-Il tous les folklores religieux en n’adorant que la version israélite ? Des riches célébrités sont devenues encore plus riches, après cette conversion, mais sans jamais donner une explication convaincante à ce qui les a charmé dans cette religion, sans doute pas sa cascade d’interdits parachutés ou de rites particuliers, non, ce n’est pas crédible. Leur poser la question, incrédule, est condamné car ce serait classé antisémite, hum.
  Pas un mot, dans ce chapitre, sur l’adoration envers le massacre raciste des Cananéens, là avant les Israéliens antiques, tuant jusqu’aux bébés, « sale race ». Non, le judaïsme est pur, totalement irréprochable selon l’auteure, menteuse absolue, camoufleuse de l’indicible.
  Ceci dit, je suis entièrement d’accord que déclarer les Juifs contemporains « tueurs du Christ » est totalement injuste : les enfants naissent innocents, selon moi – certes pas selon l’immorale religion judéo-chrétienne, Dieu/Yahvé déclarant dans les dix commandements qu’il poursuit les enfants de dits-criminels jusqu’à la N-ième génération. Bref, comme en matière de racisme où les Juifs fervents ne font que prendre un retour de bâton, en matière de condamnation abusive des bébés, les Israélites sont les premiers fautifs, nullement des anges. L’angélisme mérite d’être restauré, pour épargner les enfants juifs de la haine injuste, mais cela passerait par la condamnation de cette religion horrible (et les 3 religions dérivées du Livre : judaïsme, christianisme, Islam, toutes trois esclavagistes par ailleurs, et adorant le génocidaire auteur du Déluge – même si c’est imaginaire, c’est grave, concernant les valeurs encouragées…). Cette condamnation des religions dominant mondialement est Infaisable, clairement, donc l’honnêteté morale est à la poubelle, hélas. (Je ne cherche pas à être populaire ou riche, moi, je cherche le difficile chemin vers l’honnêteté enfin).

Chapitre 3. « L’antisémitisme actuel avant le 11 Septembre »
  Les crimes de 1948 sont couverts par un mot : « la guerre d’indépendance d’Israël », autorisant tout. Et pas un mot sur les expulsions de Palestiniens, nullement conviés à devenir juifs, « non, sale race ! » (chut, c’est ce qui s’est passé, mais cet ouvrage, négationniste de ce côté, ne pourchasse que les négationnistes envers la Shoah et les crimes anti-juifs). Pas un mot sur le terrorisme ayant fait fuir la majorité palestinienne, interdite de retour au nom de la race (quand les juifs migrants sont encouragés à venir). Non, silence, étourdissant, pour ne présenter les Juifs que comme victimes, de haine totalement injustifiée (autrement que par injustice type bouc émissaire et innocents torturables…). C’est un summum absolu de malhonnêteté intellectuelle, de parti pris orienté.
  Il est mentionné que les Européens ont été d’abominables conquérants, massacrant les Amérindiens comme ils massacraient les Juifs, mais pas un seul mot pour exiger de rendre les USA aux survivants Amérindiens comme Israël a été rendu aux survivants de la Shoah. Non, chut, gloire seulement aux tribus d’Israël, en respectant un peu « les nouvelles tribus d’Israël » (les USA soutiens fervents d’Israël), mais surtout pas les sales Amérindiens et sales Arabes… Quelle horreur ces présupposés, cachés !
  L’auteure s’offusque : pourquoi les Juifs seraient-ils les seuls sur Terre à ne pas avoir droit à un pays ? C’est faux, les Iroquois, les Cheyennes, etc. sont privés de pays, et les Juifs avec Israël sont immensément favorisés, pour aucune cause avouable (en fait : un pur racisme pro-juif, partiellement d’origine religieuse biblique). Le principe de pays, de nation, consiste à rejeter l’étranger, exclure l’autre, c’est un tribalisme anti-humaniste, égoïste groupiste, une honte, pas un droit ! Certes, c’est hélas une coutume très répandue, mondialement, mais pas un droit (pour ceux ayant déjà une nationalité) de se constituer en bulle à eux, excluante, xénophobe. Surtout en confisquant une terre dont sont expulsés les occupants, interdits à jamais de retour. Au passage, la propriété judaïque d’Israël me parait très contestable. Au nom de l’Histoire ultra-lointaine, les bretons sont-ils autorisés à expulser/tuer les blonds normands issus des Vikings ? Les Occitans sont-ils conviés à massacrer les visiteurs dénués d’accent toulousain ? C’est une barbarie affreuse, aucunement un droit incontestable. L’idéal me semble au contraire un monde sans frontière, partageant la misère du monde et cherchant les solutions pour le bien de tous (tous les travailleurs, du moins, les refuseurs d’effort n’ayant pas à attendre partage automatique – ce qu’a oublié de penser le communisme, devant devenir dictature puisqu’ayant oublié de réfléchir). L’auteure dit aussi que le problème n’est pas racial, les Arabes étant sémites aussi, mais… les bébés Palestiniens sont rejetés, de quel droit ? Elle dit qu’il y a des Juifs noirs, basanés, etc. mais la logique rabbinique est une filiation matrilinéaire, la couleur de peau pouvant varier avec celle des pères sans démentir en rien les prétentions à un ADN juif (mitochondrial donc féminin, recherché en Israël). Si, Israël est un état raciste, éhonté, et les adultes Juifs restés dans le monde pour protéger Israël, justifier Israël, sont sur la même ligne, horrible – sauf quelques renégats ultra-minoritaires et non représentatifs, comme moi-même. Et je ne suis pas du tout « juif antisémite » au sens où je condamnerais la part juive en moi, pas du tout : l’origine hébraïque est totalement innocente, mais il se trouve que l’immense majorité des Israélites et Juifs athées sont sionistes donc antihumanistes et je le condamne.
  Ce n’est pas de ma part du racisme (je suis autant opposant à un Eskimo sioniste ou Bantou sioniste s’il y en a) mais une simple opinion politique : un antisionisme. L’auteure, pratiquant volontairement l’amalgame, sous le nom d’antisémitisme même quand ce n’est pas le cas, entend jouir d’un statut éternel de victimes innocentes, quoique fasse son peuple, c’est déloyal, simplement malhonnête. C’est une manœuvre rhétorique, menteuse au service de sa cause, c’est en tout point détestable (qu’elle soit juive ou non, là n’est absolument pas le problème – il ne faut pas se tromper de colère, mais une colère est justifiée).

Chapitre 4. « En quoi le nouvel antisémitisme est-il vraiment nouveau ? »
  L’auteure accuse les prétendus antiracistes antisionistes d’être des menteurs haïssant les Juifs, c’est totalement faux : les Juifs qu’il y a parmi nous (à supposer que je ne sois pas tout seul) ne sont aucunement haïs, il se trouve simplement qu’ils sont considérés comme de mauvais Juifs par ceux qui se disent les vrais Juifs, sionistes et/ou purs sangs. Et certes, condamner les crimes de guerre 1948 et ceux commis autrefois contre les Cananéens, c’est répudier tout fond de judaïsme, ne restant que l’origine hébraïque prétendue, ou origine de convertis au judaïsme (n’ouvrant rigoureusement aucun droit historique quant à la possession d’Israël – qui de toute façon ne serait pas supérieure au droit des Sioux à reprendre le Middle-West etc. sans racisme favorisateur…). Non, l’équité humaniste n’est pas raciste, ou un milliard de fois moins que cette auteure nationaliste anti-arabe anti-amérindienne (pro-Israël pro-USA).
  Elle prétend que les médias, immensément loin d’être sionistes comme le clament les antisionistes, sont en fait antisémites puisque ne condamnant pas farouchement les terroristes Palestiniens. Moi je trouve que c’est l’exact contraire : partout il est répété que la justice (en matière Israélo-Palestinienne) est la solution à deux états, reconnaissant Israël, donc innocentant les crimes racistes de 1948, confirmés depuis lors par l’interdiction de retour, approuvée par les politiciens et journalistes occidentaux unanimes, traitant toute objection d’antisémite raciste inadmissible (ou « apologie du terrorisme », punie de prison) – presque exactement comme l’auteure de ce livre. La seule différence est que les journalistes ont un fond de mauvaise conscience sans le dire (étouffé par la menace d’être traité d’antisémite, condamné à ce titre infâmant, brisant une carrière ou une vie), alors que l’auteure est 100% sûre que la légitimité du sionisme est incontestable (ça s’appelle l’absence d’intelligence critique, et ça garantit la publication et les applaudissements, évidemment, dans un système pro-juif généralisé). C’est une honte, confirmée, oui.
  Bien sûr, elle raille l’endoctrinement, hypnose, propagande, côté Islamiste, sans aucunement envisager être elle-même victime du même lavage de cerveau, en sens inverse. Le fait qu’elle camoufle les crimes de 1948, les droits des Amérindiens au moins égaux à ceux des Juifs, cela prouve pourtant qu’elle n’est pas lucide recensant toutes les pièces du débat, mais claquemurée avec des ornières refusant toute objection argumentée, toute logique, toute morale (autre que relative, égoïste groupiste, favorisatrice des Juifs, voire des Juifs et Étasuniens)…
  Elle dit que l’antisémitisme moderne recycle les horreurs de l’antisémitisme nazi, et je trouve que c’est le contraire : en devenant des monstres racistes sionistes, la communauté juive a très gravement renié l’innocence des victimes du nazisme (qui aurait raisonnablement pu être invoquée). Comme si Hitler avait en fait massacré des monstres cachés s’apprêtant évidemment à recommencer leurs horreurs (type massacre des goys cananéens, traités en chiens). Je ne suis pas du tout d’accord. Le sionisme conquérant, sans aucunement rendre les USA aux Amérindiens, est un crime raciste abominable, salissant l’innocence des bébés juifs en laquelle je crois par principe antiraciste, humaniste, angéliste peut-être. Ce n’est en rien un sang qui est coupable mais une attitude religio-politique communautariste favorisatrice injuste, entrainant évidemment colère ou pire. Mais l’auteure ne comprend rien à rien, ment de manière éhontée.
  Elle se moque des Occidentaux communs, trompés par la propagande arabe, en disant qu’ils ont des capacités et intelligences bien moindre qu’elle, mais je trouve cela insultant et faux. Elle cache ses fautes, son égoïsme, et heureusement que la population est un peu plus honnête, en ayant (un peu) mauvaise conscience, dans l’affaire israélienne. Avec son cri pour faire interdire le prétendu « nouvel antisémitisme », elle et ses complices feront interdire mon contre-cri abattant tout (à la légitimité des leaders occidentaux) : « pourquoi avoir rendu Israël aux Juifs et pas les USA aux Amérindiens ? ». Non, ne surtout pas réfléchir, mais abattre, par les lois anti-antisémites, c’est immonde, malhonnête abject. Et certes, la population ici, qui n’ose guère réfléchir par elle-même sous la menace, a peur d’être accusée d’antisémitisme, ce n’est pas grandiose, mais elle est victime du tir croisé entre révoltés pro-palestiniens et endocrineurs sionistes, massacreurs présents et massacreurs passés, c’est affreux, injuste, grave. Ce serait guérissable, pacifiable, au prix du renoncement au sionisme, évacuant Israël conquis en 1948 – l’auteure interdit d’oser seulement l’envisager, classant cela en haine néo-fasciste massacreuse !
  L’auteure dit qu’à la différence du monde arabo-musulman, l’Occident moderne a pour valeurs l’objectivité, l’indépendance et la recherche de la vérité. C’est totalement faux. Ou peut-être qu’il s’agit des étendards agités menteusement, mais en fait les valeurs principales sont la soumission aux sionistes et la course au fric, même menteur (je le vois à mon travail tous les jours, et des lois sont en train de l’institutionaliser, parlant de respecter le « secret des affaires » indicible). Evidemment, il me sera interdit de le dire car toute objection au sionisme est clamée antisémite et toute rancœur à la domination financière est pareillement accusée de viser la portion juive dominante parmi les financiers. En attendant, ce qu’elle dit est du mensonge pur, de la propagande ignoble, non moins qu’en face.
  L’auteure se moque des films truqués ou douteux, en regrettant leur pouvoir de conviction erroné : « une image vaut mille paroles ». Je ne suis absolument pas d’accord. La parole du rabbin Jésus-Christ disant que les non-Juifs sont des chiens me parait immensément éclairante, abominable, signée, bien plus qu’une image réaliste d’enfant tué par on ne sait trop qui. Le récit glorieux de la conquête de Canaan ne laissant pas âme qui vive de villes conquises (donc assassinant les bébés, sous applaudissements israélites) est entièrement cohérente avec cette horreur, et les mots sacrés incontestablement écrits sont très graves, explicatifs hélas, dynamitant les mensonges prétendant à l’humanisme. La très stupide Déclaration des Droits de l’Homme exige toutefois l’entière liberté de religion, innocentant par principe les meurtres religieux (surtout ceux des Israélites dans la Bible, les condamner ou les rappeler de manière critique étant classé antisémite ! Dieudonné a été censuré et condamné pour ça), je trouve que c’est affligeant.
  Une phrase page 117 symbolise la mauvaise foi de l’auteure : « En fait, ce dont les nouveaux antisémites ont fait leur principe fondamental, c’est que tout ce que peut dire un Juif, un Israélien Juif, une organisation juive ou sioniste ne peut être vrai. Les sionistes sont des menteurs et de la vermine. Pour un antisémite, un Juif qui dit la vérité, cela n’existe pas. La "vraie" vérité, la seule vérité acceptable, la seule qu’un antisémite veuille entendre, est nécessairement anti-juive. » Par manœuvre discrète, ce paragraphe passe subrepticement de antisioniste à antisémite alors que cela n’a aucun rapport ! C’est du pur amalgame, malhonnête ! Et pas parce que l’auteure est juive, ça n’a rien à voir, mais telle est la stratégie sioniste gouvernant l’Occident par terrorisme « intellectuel ». Un Juif comme moi, par ascendance (totalement innocente, oui, les racistes et antisémites ont tort), peut parfaitement condamner avec sincérité le sionisme-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens comme racisme pro-juif éhonté. Et ce n’est pas une fausse vérité, sinon la question serait mise sur la place publique et pas étouffée, interdite, diabolisée ou tuée. Je citerai aussi le comédien Dieudonné, condamné pour antisémitisme, qui a vu boycottée par les médias sa conférence de presse où il donnait la parole aux ultra-minoritaires rabbins antisionistes étasuniens qu’il jugeait « ses amis, disant la vérité interdite » ! (Je n’aime pas ces rabbins car je les juge « futurs sionistes », attendant simplement le Messie pour massacrer/chasser les Palestiniens, sans aucunement traiter ainsi les Etasuniens, et en restant un groupe soudé consanguin en attendant, sans s’avilir par mélange au « sale » sang goy – Woody Hallen racontait ainsi avoir été sévèrement condamné dans sa famille pour avoir épousé une vietnamienne à la place d’une juive comme lui est juif).
  Autre perle immonde : « il est aussi devenu plus facile de cacher ses propres préjugés antisémites, même à soi-même, en affirmant qu’on est seulement anti-sioniste et non pas antisémite – Dieu nous en préserve. » C’est du pur amalgame raciste accusant autrui d’amalgame raciste, quelle honte. Oui, que le bien-fondé du sionisme-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens soit discuté, sereinement, sans aucunement affirmer l’horreur que les bébés juifs sont intrinsèquement mauvais. Alors ce sionisme (raciste pro-juif) sera aboli, interdit, réparé, mais non ! Il s’agit de prétendre ici que tout antisioniste est par définition un antisémite ! Ce qui est faux, mais terrifie les foules (accusées de complicité active de génocide, pas moins, seuls des Musulmans fervents résistant à cette infâmie), et ça marche, à fond. Malhonnêteté absolue, idiote mais victorieuse affreuse.
  L’auteure trouve injuste, mais preuve accablante d’antisémitisme, que l’on exige d’Israël une exemplarité exigée de nul autre pays au monde. J’ai l’explication et elle est exactement contraire : ce qui fait l’unicité du cas israélien n’est nullement l’antisémitisme des commentateurs mais l’accusation d’antisémitisme contre toute objection à l’existence d’Israël (rappelons-le : recréé sans rendre les USA aux Amérindiens, donc avec favoritisme raciste ou religieux, antihumaniste donc raciste ou apparenté). En cela, Israël n’est en rien un pays comme les autres : ce n’est ni un pays innocent (mais un crime de guerre, confirmé par les interdictions de retour, disant merde à l’ONU avec soutien occidental et notamment des USA) ni un pays que l’on aurait librement le droit de critiquer (voir révocation en France du sous-préfet ayant osé critiquer Israël hors de son travail). Nul antisémitisme là-dedans : le problème est que l’antisionisme est faussement persécuté en tant qu’antisémitisme (censuré et puni de prison en France), alors oui, le cas de ce pays-là est unique, abominable de malhonnêteté mais heureusement unique.
  L’auteure ne comprend pas, prétend-elle, que l’on reproche davantage aux Israéliens qu’aux Serbes ou Rwandais, mais c’est immensément différent : on est entièrement libre de dire que les fusils serbes ou machettes rwandaises sont horribles, alors qu’on n’a aucunement le droit de le dire des canons israéliens sans être traité d’antisémite ! Ce sont les accusateurs qui créent l’exception raciste, avant de se clamer innocentes victimes d’exception raciste. Je ne suis pas dupe de ce tour de passe-passe verbal, nul, malhonnête. Je ne suis pas du tout antijuif, la preuve : je souhaiterais qu’Israël soit rendu aux Palestiniens et que notamment la France ici ait la lourde charge de recueillir deux millions de ces expulseurs expulsés, un peu comme elle a fait avec les dominateurs anti-arabes d’Algérie vers 1962. Cela condamne cette domination, en rien le sang de ces dominateurs (et de leurs bébés). Non, l’antisionisme n’est pas du tout de l’antisémitisme, sauf à mentir jusqu’à ce que les gens outrés se trompent de colère. Eh bien non : je démonte ce calcul criminel et appelle à condamner les coupables (sionistes) et pas les innocents (juifs antisionistes ou bébés). C’est immense, mais c’est elle qui est publiée, relayée, applaudie, et moi qui risque la prison…
  Vient ensuite un couplet sur les atrocités misogynes en Bosnie, censé prouver que, honnêtement (à reconnaître obligatoirement), les combattants Israéliens ne sont absolument pas les pires monstres du monde. C’est un malentendu ou un mensonge : les violeurs-tueurs de Serbie sont parfaitement accusables et condamnables dans leur antihumanisme alors que le cas des Israéliens est intouchable, sacré d’une part et protégé d’autre part par l’accusation d’antisémitisme au moindre reproche. C’est cette malhonnêteté intellectuelle qui est immensément choquante, indépendamment des faits de violence physique reprochés. Les textes fondateurs du judaïsme sont racistes anti-goy, tueurs de goys sous les applaudissements de notables et « prétendus intellectuels » multi-publiés couverts d’honneurs, ce n’est absolument pas la situation serbe, non. Et cela dépasse largement Israël mais concerne tous les pays sous la domination légale et médiatique anti-antisioniste (USA, France, etc.).
  Page 130 est enfin abordé l’épisode 1948, pour dire que des Palestiniens « ont dû quitter leurs maisons », sans aucunement parler de vol, spoliation sous menace de mort (et mise à mort effective des récalcitrants), non, surtout pas ! Et l’auteure s’indigne que personne ne s’émeuve du sort des Juifs ensuite chassés des pays arabes (vers Israël). Cela ne semble immensément différent : les Palestiniens ont été des innocents chassés par attaque unilatérale (coupable de n’avoir pas l’ascendance requise, « sale race ou sang pourri »), alors que – d’après le tableau actuel – les communautés juives approuvent cette attaque, pour leur prétendu Paradis ; il était simplement cohérent de les envoyer là-bas, ou pas, peu m’importe, il ne s’agissait pas d’innocents sauf les antisionistes parmi eux (dont je n’ai jamais entendu parler, hors des USA) et les bébés, oui, pas encore endoctrinés au racisme pro-juif. Et ont-ils été chassés dévalisés sous menace de mort immédiate ou sont-ils partis, vendant leurs biens, en sentant l’hostilité ambiante ? C’est une autre différence majeure, possible, avec le cas palestinien. Quant au refus de retour pour les Palestiniens partis (quand les frontières d’Israël sont grandes ouvertes pour les immigrants juifs, même athées), l’auteure n'envisage pas une seconde qu’il s’agisse de racisme. Ce n’est pas un examen honnête de la situation, c’est de la propagande.
  Puis vient une diabolisation de l’Irak expulseur aussi de populations et non diabolisé comme Israël, mais c’est immensément différent : j’ai l’explication qui te manque, prétentieuse connasse. Saddam Hussein a pu commettre tel ou tel crime, relaté différemment par des partisans et opposants se contredisant, c’est immensément différent du cas israélien, appliquant un texte sacré raciste, noir sur blanc, au vu indéniable de tous (et avec l’invraisemblable protection des Droits de l’Homme complices, notamment écrite par le Juif Stéphane Hessel, au profit de son groupe, et avec fierté de l’imposer à un monde récalcitrant). Et il y a une grande armée civile de cacheurs faisant partout condamner (pour antisémitisme) quiconque ose citer les passages inmontrables des textes sacrés…
  Certes, les Israélites ne sont pas forcément les pires monstres du monde, il s’agit simplement d’une vieille tribu égoïste (restant aujourd’hui un tribalisme archaïque arriéré), s’étant autrefois inventée comme les autres son propre Dieu protecteur, puis vint l’idée intolérante que tous les autres dieux (d’autres tribus semblables) sont faux, seul le leur étant vrai. C’est nul et moche, mais tant pis. Puis le rabbin déviant (mégalomane) Jésus-Christ a confirmé cet avis que les non-Juifs sont des chiens (aux yeux de Dieu et de Ses serviteurs), avant d’être tué par manque de soutien local contre l’occupant. Mais il se trouve que la légende dit qu’il est revenu après sa mort pour demander de porter sa « bonne » parole au monde entier (quiconque humain l’adorerait lui aurait accès garanti au Paradis post mortem quelles que soient les petites fautes commises, dont – « tu ne tueras point », hum – la mise à mort qu’il demandait pour les parents éloignant leurs enfants de son dieu). Incroyablement, ce boucher a eu un immense succès, massacreur mais pas seulement, et puis des déviants (certains protestants) en sont revenus à vénérer son background de rabbin pro-juif, pour adopter la même attitude. Ce n’est donc pas intrinsèquement que la religion juive (ou le communautarisme juif athée, pareillement raciste pro-juif) sont les pires abominations de la Terre, c’est juste un abus de position dominante, appliquant l’antihumanisme raciste gouvernant salement la Terre.

Chapitre 5. « La trahison de la vérité, 1e partie »
  L’auteure se pose en experte à savoir immense, loin du spectacle superficiel des débats télévisés, mais c’est irrecevable dans la mesure où elle censure la question essentielle : pourquoi les Juifs et pas du tout les Amérindiens ? Un million de références bibliographiques et de titres honorifiques ne lui serviront à rien si elle refuse la question gênante, d’une simplicité enfantine. Et si implicitement l’explication (secrète, inavouée) est l’alliance aux forts contre les faibles, contraire à toute justice équitable, alors il est évident que les dits-faibles sont révoltés, et en révolte contre nos dominants, élus (et décidant en notre nom) donc contre nous, c’est ce qui est en train de se passer (notamment depuis 2001). Avec le principe de démocratie indirecte, le plus convaincant menteur peut servir son petit groupe communautaire au nom de tous, c’est tout pourri immonde mais c’est comme ça que ça marche (et il était ainsi programmé en France la domination de Dominique Strauss-Kahn, riche juif marié à une riche juive, au nom du socialiste discours pro-pauvre, et cela a été simplement annulé à regret quand il a violé une femme en Amérique sans prendre de précautions). Le principe général est de dominer la population méprisée, pour servir Israël. Je ne suis pas d’accord.
  L’auteure se qualifie d’intellectuelle, et la 4e page de couverture la disait professeur en psychologie et psychothérapie, experte devant les tribunaux, présidente d’un grand nombre d’associations, ayant publié douze livres. Cela dénote assurément une ambition féroce, une autosatisfaction grandiloquente, mais je trouve ça totalement nul : la psychologie me semble une fausse science bla-bla, ayant professé durant des décennies les âneries freudiennes (l’auteure dans ce livre parle du ça et du surmoi, c’est son bagage) sans rien comprendre à l’épistémologie, j’ai vu à l’étranger une experte psychologue à un tribunal affirmer vérité scientifique un vague sentiment politique à elle (l’obligation du mari à s’enrichir pécuniairement), la publication est en Occident interdite aux gêneurs osant résister à la dictature pseudo-intellectuelle.
  Elle demande si les Israéliens sont mauvais au point d’être exterminés. C’est de l’exagération outrancière. Les Pieds Noirs d’Algérie n’ont nullement été exterminés, ils ont été foutus dehors de cette « colonie » dont ils avaient foulé au pied la population, classée inférieure en dignité et en droits. C’est un rappel sévère à la loi commune pour tous les humains, et certes c’est de l’humanisme – implicitement classé antisémite par cette furie présupposant la supériorité juive (sur les Arabes, Amérindiens, Cananéens, au moins). S’il est impossible de faire entendre raison à ces excités Sionistes exigeant supériorité au nom de l’ascendance, cela ferait d’eux des criminels (racistes), et la sanction convenable serait la prison, non la peine de mort n’est en rien le premier choix. Mais… l’auteure n’est pas innocente : puisqu’elle affirme son groupe menacé d’extermination, cela l’autorise pleinement (selon elle) à attaquer pour se défendre. Bla-bla, elle attaque des innocents, en fait. Mille fois moins coupables qu’elle en tout cas. (Certes il y a parmi les antisionistes des criminels antisémites et des tueurs, mais je n’en suis pas, et il convient justement de ne pas se tromper de colère, mais d’annuler l’injustice génératrice du violent retour de bâton – au passage, il est aussi notoire qu’il y a des sionistes antisémites voulant chasser tous « leurs » Juifs vers Israël ; ceci explique peut-être l’absence de veto soviétique à la recréation d’Israël 1948).
  Oui, bien sûr, on me dira que le droit du sang est la loi aussi en France et dans presque tous les pays du monde. Oui, la majorité du monde est gouvernée par des pourris (gouvernants et/ou majorités) pratiquant l’égoïsme groupiste, xénophobe et/ou raciste, je n’y peux rien, mais il se trouve qu’en tout cas, je n’en fais pas partie. (J’ai toujours refusé de chanter l’hymne national français et son atroce « qu’un sang impur abreuve nos sillons », et je considère que si on ne rend pas les USA aux Amérindiens, alors USA et Europe méritent d’être pareillement conquis par les migrants de zone pauvre, oui, équitablement, même si c’est gravement à nos dépens, matériels). Le sens moral et l’honnêteté sont douloureux car forcément humbles, partageurs au mérite personnel sans héritages, c’est tout le contraire de cette super-fière furie chasseuse de prétendus antisémites (osant contester sa supériorité héritée, fausse supériorité).
  Parmi les « attentats antisémites » que cite l’auteure, page 138, figure « négation de la Shoah ». Autrement dit, la liberté de pensé est un attentat contre l’autorité des dominants, persécuteurs (avec force de loi). Hilter et Staline n’auraient pas dit pire : « la liberté individuelle est un attentat inadmissible ». Réciter le dogme est rigoureusement obligatoire, et ce sont bien sûr les arabo-musulmans (selon elle) qui sont arriéré-fanatiques, nullement ce camp… C’est affligeant de malhonnêteté intellectuelle. Si je doute que l’anthropophagie ait existé, suis-je coupable d’anthropophagie ou sympathie avec l’anthropophagie ??? c’est de la bêtise profonde. Dominante, férocement. Juges et prisons à l’appui, et grands discours menteurs sur la liberté et le respect de l’individu… Ce n’est pas une position d’intellectuelle mais d’inquisitrice bornée infiniment stupide. Quand bien même la Shoah serait vraie, tout le monde devrait avoir le droit de se tromper, dans ses opinions sans violence (mon frère daltonien pense que le gris et le bleu sont une même couleur, il ne va pas en prison pour ça, et nul besoin de certificat médical « preuve » pour l’en préserver !). Mais certes, les dictateurs considèrent comme violence insupportable la résistance à leurs commandements. La pensée proprement dite est totalement ailleurs. Et… ce n’est pas de la bêtise innocente, pas du tout, le calcul est évident : c’est au nom de l’abominable Shoah que l’on a rendu Israël aux Juifs, sans rendre les USA aux Amérindiens (les génocides amérindiens étant parfaitement déniables, aucun problème pour le législateur français, idiot et/ou raciste, menteur – les élus, majoritairement membres de l’amicale France-Israël, ne sont en fait en rien représentatifs du peuple). Donc il s’agit bel et bien de dictature politique intéressée, dans un objectif raciste (pro-juif anti-amérindien).
  Personnellement, je pense qu’on nous ment massivement sur la Shoah, même si quelque chose de très moche a eu lieu à l’époque. Il semble que les Allemands ont repris le principe d’esclavage (un des fondements du judaïsme) en le retournant contre les Juifs (sacrilège absolu, selon ceux-ci, exigeant statut dominant). Et les camps d’esclaves ont fait plein de morts, comme en Amérique, en URSS, au Cambodge. Le roman d’une entreprise d’extermination systématique ne me parait en rien crédible : pourquoi transporter ailleurs loin les gens à tuer ? pourquoi les protéger pendant des mois ou des années du froid et de la faim ? pourquoi les déplacer vivants quand approchaient les troupes soviétiques ennemies ? pourquoi des groupes juifs comme celui installé par les nazis à Lons-le-Saulnier n’ont nullement été envoyés se faire tuer ? pourquoi compter assassinées les victimes du microbe typhus ? Et les chambres à gaz ne visaient-elles pas à décontaminer les cadavres infectés ? (avec verrous comme sur nos autoclaves, pas pour empêcher les enfermés de fuir mais pour prévenir les fuites dangereuses). Oui, je crois à un mensonge massif, au profit d’Israël, et quand je dis « je crois » : c’est une simple opinion dubitative, pas du tout une vérité prouvée, encore moins une foi vibrante. Ceci dit, je trouve cet esclavage abominable, totalement coupable, pas du tout à réitérer. Mais il faudrait commencer par interdire les religions esclavagistes (dont le judaïsme), au contraire d’exiger qu’elles soient bénies, intouchables.
  Autre attentat antisémite cité : l’agression physique de Juifs dans la rue ! Autrement dit, si vous êtes agressé par un malfrat, ce n’est pas grave, mais si vous êtes Juif, alors c’est un odieux acte de haine antisémite ! Intouchables sont les Juifs, tellement supérieurs… non, je ne suis aucunement d’accord. Quand bien même ce seraient des porteurs de kippa qui seraient agressés, je ne suis pas d’accord qu’il s’agisse d’attentat antisémite : ce serait un retour de bâton politique à un racisme affichant « Dieu universel aime ma race et méprise les vôtres, sales goys ». Oui, je suis anti-israélite, pas seulement antisioniste, mais ce n’est en rien antisémite ni même antijuif : les bébés juifs sont totalement innocents, les incroyants juifs antisionistes aussi, et il ne s’agit chez moi que de condamner antiracistement le racisme pro-juif. Je ne suis pas d’avis de frapper un porteur de kippa, mais je souhaiterais qu’il passe équitablement au tribunal pour affichage ostentatoire de symbole raciste type croix gammée (et peut-être complicité de crime raciste organisé, comme Der Yassin/Auschwitz). Certes, il n’y a aucune chance que cela arrive, puisque la pourrie Déclaration des Droits de l’Homme bénit le racisme pro-Juif quand il est dit religieux, oubliant hyper-stupidement que le nazisme et l’apartheid auraient pu se prétendre pareillement religieux (pour les Aryens et les Blancs, au lieu des Juifs).
  L’auteure parle de la création d’un Observatoire Européen du Racisme et de la Xénophobie en 1997, très insuffisant selon elle pour bien recenser les attentats antisémites. Au contraire, je pense que cet observatoire est un raciste mensonge pro-juif : quand j’ai voulu adopter un enfant asiatique et que la procureure xénophobe exigeait l’application des lois xénophobes officielles, aucun observateur n’était là pour compter cela, seules les victimes juives étant vraiment sacrées… ce qui est toujours la même erreur mensongère : racistement se prétendre antiraciste, pro-juivement. Et pourchasser les vrais antiracistes (anti racisme pro-juif) au titre de la haine raciste antisémite. Contresens absolu, mais pleinement officiel, dominant (chez les élus donc au nom de la population, en fait brimée). C’est horrible, et des musulmans réagissent par la haine antisémite, c’est une erreur : seuls les racistes pro-juifs, immense majorité des Juifs certes, sont condamnables, mais pas les renégats ni les bébés, pleinement innocents. Si le racisme pro-juif est mal, c’est parce que le racisme est mal, il ne faut surtout pas en venir à un racisme anti-juif (mais la position anti-sioniste anti-israélite n’est pas anti-juive, l’auteure n’a rien compris, ou ment de manière éhontée, méprisant les lecteurs horriblement – non sans raison hélas si je suis le seul à résister).
  De même, quand l’auteure cite des barbouillages de synagogues comme attentat antisémite raciste, je le conteste : à mon sens, la Torah lue dans ces synagogues est un texte raciste (non comptabilisé tel) et la rancœur en face est une forme d’auto-défense et pas du tout de mépris unilatéral. Les Chrétiens ont certes le cerveau lavé rincé épongé, et quand le rabbin Jésus-Christ clame que les non-Juifs sont des chiens, ce n’est pas le moins du monde comptabilisé comme racisme ! Le racisme pro-juif est béni, la réaction (antiraciste) anti racisme pro-juif est elle affirmée raciste ! Mais non, l’auteure ne réfléchit surtout pas, elle comptabilise sans avoir rien compris, rien avoué. A force de répéter, ça peut certes vaincre la résistance critique (l’intelligence) des lecteurs… Lavage de cerveau ou syndrome de Stockholm. Ceci dit, je n’approuve pas les excités d’extrême-droite peignant des croix gammées en promettant de finir le travail de Hitler, c’est se tromper totalement de colère, mais une grande colère est méritée, sans se tromper de cible.
  Summum de la malhonnêteté : est comptabilité comme attentat antisémite un vol d’argent dans une école juive ! Bien sûr il n’est pas imaginé une seule seconde que le vol d’argent visait (là comme ailleurs) à voler de l’argent, non : puisque c’est de l’argent juif, il est totalement sacré, et tout vol en est donc imputé à la haine antisémite ! Incroyable. Les voleurs ne sont pas les seuls malhonnêtes, non.
  Il est signalé que, selon le ministère français en 2003, 445 actes racistes et antisémites avaient été recensés dans les écoles, ce que l’auteure prend comme statistique prouvant la haine antijuive. Il ne lui vient pas à l’idée que 350 aient pu être anti-arabes, sentiment bien plus courant en France que l’antisémitisme (d’après ce que j’ai connu au collège ou lycée). Non, le raccourci récupère tout, dans le sens désiré, simplement malhonnête, mais chut, il ne faut pas le dire, ça serait classé antisémite.
  Il est mentionné des actes de haine envers des écoliers d’écoles juives en France, mais qu’apprend-on en école juive française, dans un pays à école publique gratuite fondée sur le principe d’égalité des enfants à la naissance ? A l’évidence, on étudie la Torah, qui affirme que Dieu refuse cette égalité mais préfère les enfants juifs, méprisant les autres (sales races*), et ça bien sûr, ce n’est aucunement compté comme racisme. C’est simplement une malhonnêteté organisée, une complicité depuis le sommet de l’état, relayée par toutes les courroies de transmission. A mon avis, ça ne justifie pas la violence, mais d’immenses soupirs, et non, ce ne sont pas des innocents qui sont attaqués. Je n’approuve pas le retour de bâton raciste, mais au lieu de ne condamner comme raciste que ce côté-là, je signale le racisme source en face. Hélas cet antiracisme lucide est pourchassé comme raciste antisémite, contraint au silence, et ça ne laisse hélas de place qu’à la haine violente, raciste (la critique non-violente est interdite). C’est calculé, par les pro-juifs : grâce à la violence subie des choqués qui craquent, ils peuvent faire l’amalgame et condamner les antiracistes comme dangereux fous de haine. C’est mensonger mais ça marche, avec complicités très multiples, actives ou laissant faire, sous l’intimidation.
  [* : L’altruisme « aime ton prochain humain comme toi-même » devient avec principe judaïque moderne « aime l’autre juif comme toi-même, et méprise le sale goy, forcément antisémite sauf valet servile d’Israël », mais ça ne s’appelle pas racisme, car le législateur est israélophile, partout, et nationaliste xénophobe, pas du tout antiraciste.]
  L’auteure s’insurge qu’Israël soit qualifié d’état nazi. Je ne suis pas d’accord : remplacez Juifs par Aryens et Moïse par Hitler, alors le nazisme devient une copie du judaïsme. Certes, depuis le Moyen-Age et avant la reconquête d’Israël, ça restait du virtuel, secret, et sans actes répréhensibles c’était peut-être tolérable (quoique le favoritisme pro-juif entraîne automatiquement la rancœur), mais depuis la victoire 1948, ça me semble évident, criant, outrancier, inadmissible. Il s’agit de pareil antihumanisme décrétant une ascendance supérieure et les autres : inférieures, viles, tuables de plein droit (si elles menacent la « grandeur » de la race « supérieure »). Mais attention : la langue française (comme les autres) est toute pourrie : le mot judaïsme renvoie à la fois à une origine innocente et à une politique raciste coupable. Ce livre interdit de faire la part des choses, utilisant l’amalgame pour cacher les coupables derrière des innocents, c’est abject, injuste, dangereux, efficace hélas pour favoriser le repli communautariste, voulu.
  Il est signalé qu’en Angleterre, les actes antisémites ne viennent pas que d’arabo-musulmans mais aussi de fascistes blancs. Effectivement, il y a deux logiques distinctes : des arabo-musulmans sont solidaires du sentiment d’injustice faite aux Palestiniens, injustice commise avec appui du pays européen ici guidée par sa communauté israélite très influente (voir le dîner du CRIF en France où tous les politiciens viennent prêter allégeance au « sionisme contre l’antisémitisme », même si en silence fronce les yeux la population goy – très suspectée d’antisémitisme justement) ; d’un autre côté, des nationalistes antisémites sont outrés que tous les Juifs ne sont pas expulsés vers Israël créé pour eux en attirant sur ici les foudres guerrières des Arabo-Musulmans brimés, alors : que ces Juifs résiduels restent ici dominer, en plus, attire leur colère. Personnellement, je suis d’avis que les Juifs sionistes hors d’Israël jouissent d’un privilège raciste choquant : ils sont entièrement libres d’aller en Israël et revenir dominer/influer/s’enrichir ici, tandis que les Palestiniens interdits de retour n’ont aucun droit à se rendre en Israël, pourquoi ? Dieu n’aime pas leur race, dit la Thora, raciste mais il est interdit de publiquement l'expliquer ainsi… Oh non, ce ne sont pas majoritairement des innocents qui sont pris pour cible mais – sauf exception – des racistes actifs, privilégiés et bataillant ferme pour le demeurer, en faisant taire les antiracistes choqués, traités d’antisémites. C’est l’objet-même de ce livre, à titre d’action (d’où ma réaction inverse, dénonciation). La litanie des villes européennes à mémorial de la Shoah honteusement profané est éclairante, je trouve : cela explique ce que fait en Europe la diaspora ne migrant toujours pas en Israël. Elle pratique un acharnement mémoriel pour dire aux goys locaux « enfants de salauds, votre seul moyen de prouver votre non-antisémitisme consiste à jurer votre soutien à l’existence d’Israël ! (et si vous détestez qu’on vous répète ça encore et encore, c’est normal : ça prouve votre incurable antisémitisme ! on double donc la dose !) ». Et chaque jour ou presque, les informations télévisées célèbrent un anniversaire de la Shoah, appellent au devoir de « mémoire » les gens nés bien après, pour qui ce ne sont que des racontars. Bien sûr, dans le même temps : pas une seule commémoration pour le martyre amérindien, qu’il faudrait pareillement réparer, oh non surtout pas. Les USA sont le principal soutien militaire, diplomatique et financier d’Israël, New York est la plus grande ville juive du monde, contester cela serait classé antisémite ! Racisme pro-juif 100% pur jus, antihumaniste.
  L’auteure pose une question intéressante quand elle demande pourquoi tous les israéliens seraient punis pour les actes accomplis par leur gouvernement. Toutefois, ce pays n’est pas officiellement une dictature et ses dirigeants clament y accomplir le souhait de la majorité (grande majorité parmi les juifs puisque les quelques votants arabes ne sont pas du tout d’accord). Par ailleurs, même les opposants politiques (anticolonisation de la Cisjordanie par exemple) qui ne sont pas au gouvernement posent comme préalable le droit d’Israël à exister comme état juif, donc en interdisant de retour les Palestiniens expulsés (pour cause de sale race). Un Juif adulte qui aurait mauvaise conscience à ce sujet ne serait pas venu, ou s’il est né là, il émigrerait dans les pays de la diaspora en fuyant Israël, donc oui, les Israéliens semblent bien complices actifs de la brimade 1948 envers les Palestiniens, avec refus de réparation en refusant l’ordre ONU. Sauf les bébés, effectivement, et les très jeunes enfants « récupérables », pas trop intoxiqués encore par l’endoctrinement au racisme pro-juif.

Chapitre 6. « La trahison de la vérité. 2e partie »
  Euh, pour ne pas être accusé moi-même de trahison de la vérité, je dois mentionner un point qui ne me semblait pas appeler contestation mais qui figure dans le livre : l’auteure a aussi habité Kaboul et son premier mari était musulman. Simplement cela me rappelle mon père parlant d’un de ses camarades de lycée, israélite pratiquant mais ça n’avait aucune importance pour personne, et qui a épousé une goy ; quelques décennies plus tard, il a divorcé et s’est mué en fanatique sioniste pro-juif. Oui, la jeunesse généreuse utopiste n’excuse pas un repli égoïste (ou égoïste-groupiste) ultérieur. La génération de mes parents étudiants a connu ainsi une jeunesse communiste partageuse avant de se muer en bourgeois électeurs de droite. Des ouvriers pareillement communistes mondialistes se sont mués, en masse, en nationalistes xénophobes. On peut condamner leur présente xénophobie sans nier/cacher que leur parcours est passé ailleurs. En ce qui me concerne, je me contrefichais de la question juive, je suis tombé amoureux d’une vietnamienne goy puis d’une juive polonaise à qui je pardonnais son racisme pro-juif, mais quand – assoiffée de sexe échangiste – elle a voulu faire enfermer chez les dingues l’amoureux platonique fidèle que je restais, je me suis tué, et – survivant malgré moi – j’en viens à contester la mocheté morale de cette demoiselle, oui (se clamant antiraciste tout en étant sioniste fervente étasuniophile – et c’est davantage ma préoccupation personnelle que le sort des Palestiniens, en fait, désolé). Mais ces parcours particuliers, vaguement explicatifs, ne font que polluer le débat de fond, d’intérêt immensément général (avec la guerre entre Occidentaux et antisionistes islamistes, massacreuse de civils, innocents ou complices sans s’en rendre compte).
  Concernant les manifestations « antisémites et racistes » en Amérique du Nord, l’auteure cite un slogan qu’elle trouve horrible « Plu’ de terreur, plu’ de guerre, on ne veut plu’ être la putain d’Israël. » Je trouve au contraire que c’est judicieux, antisioniste antiraciste. Ça me rappelle l’épisode de la Cananéenne dans l’Evangile de Matthieu : Jésus-Christ traite les non-Juifs de chiens, mais sont bienvenus ceux qui se reconnaissent chiens et se contentent de manger les miettes tombant des tables juives. Donc oui, les Juifs Israéliens peuvent mépriser les goys, mais ils aiment bien les obéissants valets servant leurs intérêts, se faisant tuer pour eux, tuant à leur place en prenant les foudres adverses en retour, etc. Fervents admirateurs de Jésus-Christ (en grande majorité), les USA approuvent, sont candidats en ce sens. Ça semble un vaste plan orchestré, dénonçable de plein droit. Et sans aucunement impliquer d’antisémitisme (non, ça ne signifie en rien que les bébés juifs sont mauvais).
  Toujours au chapitre antisémitisme est cité un tribun américain affirmant son regret que les guerres américaines au Moyen-Orient servent Israël et non l’Amérique. Oui, c’est diamétralement opposé à la politique sioniste active des deux principaux partis politiques américains (alternant au pouvoir) mais cela n’a rigoureusement rien de racisme antisémite : ça ne clame en rien que la race juive est mauvaise bébés inclus. L’auteure semble friser la confusion mentale, mais c’est assurément davantage menteur impunissable que débile profond.
  « 37% des Américains sont d’accord pour dire que les Juifs portent la responsabilité d’avoir tué Jésus-Christ. » C’est une erreur de formulation scandaleuse, comme spéciale pour crier à l’antisémitisme. Il fallait demander si les Juifs « contemporains » portent ou non cette responsabilité, pas le vague terme général pouvant désigner les Juifs « antiques », désignés coupables par un des 4 Evangiles, si je me souviens bien. L’humanisme antiraciste consiste à poser que les humains naissent innocents, donc les bébés juifs sont innocents, pour les antiracistes (donc tous les Juifs contemporains, en ce qui concerne l’affaire Jésus-Christ, à supposer que ce personnage légendaire ait davantage existé que Superman). Mais, affreusement, pour les Israélites (et plein de chrétiens protestants, de catholiques peut-être aussi), Dieu maudit des lignées entières, ce qui peut hélas conduire à brimer les Juifs contemporains (pour un prétendu crime qu’ils n’ont pas commis et dont ils n’ont pas spécialement bénéficié). Retour de bâton là encore. Pour faire émerger cette prise de conscience d’injustice (religieuse), il fallait poser avec soin la question, ce qui n’a pas été fait, puisque le but était de crier à l’antisémitisme odieux… Mais selon le titre de chapitre, la trahison de la vérité est toujours le camp adverse, antisioniste osant se dire antiraciste.
  L’auteure s’insurge des violences subies par les gens disant qu’Israël a le droit d’exister. Ce raccourci est trompeur. Avec pareil énoncé, il semble que la volonté opposée soit d’exterminer les Israéliens, alors que non : il peut s’agir simplement de cesser de refuser le retour des Palestiniens exilés (par expulsion et fuite devant le terrorisme), avant vote pacifique et annulation du principe d’état juif xénophobe. Clamer le droit à l’existence d’Israël, c’est activement refuser cette solution pacifique, afin que la seule paix envisageable soit sioniste (l’état Palestinien éventuel devant rassembler les expulsés et admettre leur raciste interdiction de retour)… Oh non, elle ne brave pas l’interdit, l’auteure, elle classerait cette honnêteté sans dominance en honteusement antisémite, osant dénier la supériorité juive, en dignité et en droits. Ce n’est absolument pas l’honnête débat (prétendu) Humanistes sionistes contre Racistes antisémites, mais une harangue Racistes sionistes contre Humanistes antisionistes, avec mensonges diaboliseurs aberrants.
  L’auteure s’insurge des campagnes de boycott d’Israël au nom du non-respect des droits de l’homme, son explication est que c’est purement antisémite car aucun autre pays ne respectant pas les droits de l’homme n’est ainsi visé. Le sujet me parait mal posé, car la Déclaration des Droits de l’Homme est malhonnête contradictoire (le premier article « tous les enfants naissent égaux en dignité et en droit » contredit l’exigence de bénir la religion israélite pro-juive). Mais il me parait effectivement bien préférable de combattre le racisme israélien par le boycott décevant la tradition juive d’enrichissement ambitieux plutôt que de faire une guerre tueuse à des fanatisés jusqu’au-boutistes. Comme le racisme pro-blanc de l’apartheid a été vaincu pacifiquement par le boycott, le racisme pro-juif pourrait l’être pareillement. D’où hurlement de l’auteure, chérissant celui-ci, exigeant qu’il soit intouchable, diabolisant ses contestataires.
  Summum de malhonnêteté : l’auteure prend comme preuve de l’antisémitisme universitaire américain un texte disant que si les USA subissent le terrorisme, c’est parce que la politique de son gouvernement est subordonnée à Israël. A peu de choses près, c’est pourtant les mots du premier chapitre que l’auteure avait employés pour dire que la révolte anti-USA était antisémite. Comme en France, les électeurs étasuniens n’ont que le choix politique entre sionisme de gauche et sionisme de droite. Et les Juifs américains ont double nationalité : étasunio-israélienne, c’est officiel. Mais ne pas être d’accord est forcément de la haine pour l’auteure. Ceci dit, je ne vois pas les choses comme cet étudiant en colère contre Israël : ce qui me gène dans le sionisme étasunien, ce n’est en rien qu’Israël soit un pays étranger des USA (ce pourrait être le 51e état étasunien, je serais pareillement choqué), c’est que le fait de rendre la Palestine aux Juifs sans rendre les USA aux Amérindiens traduit un favoritisme raciste scandaleux, très richement complice de crime contre l’humanité, et armé d’ogives nucléaires illégales (en vertu du Traité de Non-Prolifération Nucléaire, chapitre désarmement). Le problème n’est pas selon moi l’offense à un très respectable patriotisme étasunien, il est dans le double racisme pro-juif anti-amérindien.
  L’auteure fustige un auteur ayant osé écrire que les Israéliens voulaient la paix à la façon dont Hitler la voulait, ce qu’elle trouve constituer une accusation immonde. Je ne suis pas d’accord : le mot « paix » signifie « arrêt des combats », ce qui est bien, mais il est très clair que cela peut entériner une injustice écraseuse insupportable – facteur de guerre larvée ensuite (d’où les combats de la Résistance en France 1940-44). La « pacification » est en général un écrasement imposant la soumission servile vis à vis des dominants, que ceux-ci soient blancs (en Afrique du Sud, aux USA), Français (en Algérie), Aryens (dans les conquêtes nazies), Juifs (en Israël et « territoires occupés »). La justice honnête n’est en rien cette paix-là. Certes, les révoltés massacreurs sont affreux, mais la faute source, ultra-lourde, est dans l’autre camp. Avant l’invasion sioniste de la Palestine, au XVIIe siècle par exemple, les Palestiniens n’étaient nullement des kamikazes attaqueurs, c’est une injustice extrême qui les a poussés à l’excès violent. Je condamne les meurtres commis par les Palestiniens mais je condamne aussi le sionisme affreux qui les a poussé à cette haine, or la loi française m’interdit cette résistance aux discours sionistes, résistance prétendue antisémite raciste, accusation de racisme dont sont totalement exemptées les religions judéo-chrétiennes à textes explicitement racistes pro-juifs tueurs… Hélas pour l’honnêteté intellectuelle.
  L’auteure se plaint que des journalistes et professeurs soient autorisés à former les jeunes à la haine antisémite, via la condamnation du sionisme. Je ne connais pas la situation étasunienne mais en France c’est l’exact contraire : la loi, la justice, l’éducation, sont toutes au service du sionisme « modéré » (exigeant de rendre Israël aux Juifs mais nullement les USA aux Amérindiens, en tolérant que les territoires supplémentaires occupés par Israël deviennent un jour un état palestinien). Les jeunes sont très activement formattés à cette pensée unique, et il est automatiquement choquant, suspect (d’antisémitisme raciste) d’envisager un autre point de vue. C’est clairement ce que voudrait l’auteure aux USA aussi, puisqu’elle entend que le sionisme domine le monde entier (tout en clamant aberrant mensonger les théories complotistes parlant de dominance juive). Le problème n’est en fait, en rien, la nature juive de ces dominants, il est que, juifs ou goys israélophiles, les sionistes dominants sont des racistes anti-équité (anti-arabes anti-amérindiens). Ce qui devrait agiter les campus étasuniens, à mon avis, ce n’est nullement une solidarité avec les tueurs palestiniens, c’est une question de cohérence déboulonnant les prétentions morales des USA : pourquoi (sans racisme, pur ou religieux) rendre Israël aux Juifs et pas nos USA aux Amérindiens ? Pourquoi avoir conquis les USA en interdisant aux Mexicains de nous conquérir à leur tour ? Comment prétendre à l’altruisme généreux quand on pratique activement l’égoïsme groupiste ? Pourquoi les USA sont-ils exemptés de procès pour les exterminations de civils et bébés à Dresde et Hiroshima ? Oui, plein de questions dérangeantes déboulonnent le ron-ron endormi persuadant les gens que leur camp est le Bien (en lutte armée contre le Mal totalement injustifiable). Ce n’est pas spécifiquement antisioniste, c’est l’égoïsme groupiste, antihumaniste, qui est en cause (dont le patriotisme xénophobe et le sionisme sont de simples exemples). Au passage, l’auteure a explicitement affirmé son attachement à la liberté d’expression, même détestable genre néo-nazie apparemment. Pourtant son sous-titre de livre est « pour faire cesser ». Donc il s’agit bien de stopper l’énoncé qui la dérange. Certes, elle pourrait être tellement convaincante qu’elle persuaderait ses opposants de leur erreur, les gagnant au Bien prétendu. Mais ce n’est absolument pas la situation. Elle diabolise l’avis opposé, cache les arguments adverses, amalgame les contradicteurs et des monstres en révolte tueuse, c’est totalement raté (en force de persuasion honnête, non manœuvrière déloyale). Ceci dit, son livre vaudra réquisitoire pour les juges idiots/malhonnêtes (au sens moral, certes pas légal la loi étant pourrie raciste), opprimant la liberté d’opinion (en clamant menteusement le contraire). Même si ce n’est pas vraiment ce qu’elle a voulu, telle est la situation, en France tout au moins. Ainsi la grande manifestation « Je suis Charlie » pour la totale liberté d’expression (anti-musulmane notamment) a eu lieu le jour-même où Dieudonné était condamné pour propos insultant la communauté juive… Mensonges, discrètement favorisateurs d’habitude, mais étalés ouvertement dans ce livre.

Chapitre 7. « L’antisionisme est-il le nouvel antisémitisme ? »
  L’auteure affirme que « le temps de la justification d’Israël est passé depuis longtemps », et « personne ne pose de questions à l’Australie ». Si, moi je conteste cette paix d’écrasement injuste, faisant exception raciste uniquement pour les Juifs dans le monde, pourtant nullement davantage massacrés que les Caraïbes, Mohicans, etc. Et le pire est que cette exception est cohérente avec les textes bibliques, explicitement favorisateurs pro-juifs (de manière raciste puisque c’est fondé sur l’ascendance, de manière non prosélyte). Loin de m’avoir convaincue, l’auteure m’impose son dogme aveugle, refusant les objections, c’est immensément nul. Mais c’est vainqueur, cela domine les médias et la loi française, accusant de racisme tout point de vue autre, humaniste antiraciste par exemple.
  Par ailleurs, son argumentaire repose tout entier sur la réparation de la Shoah, ce qui place celle-ci en véritable aubaine pour le courant sioniste qui préexistait. Je trouve ça éminemment suspect. Et, sur le principe, c’est immoral : être brimé n’autorise en rien à brimer d’autres personnes (un homme violé n’est absolument en rien autorisé à violer d’autres personnes). Si on condamne la brimade en question, il faut commencer par s’interdire soi-même de faire quelque chose de semblable. Oui, les Palestiniens n’ont pas été exterminés, mais ils ont été traités racistement par une prétendue race supérieure en dignité et en droits. C’est tout le contraire d’une abolition du racisme après l’horreur, c’est une revanche de triomphe raciste pro-juif après le summum de racisme anti-juif. La justice équitable, humaniste respectant chacun, est l’arrêt de tout racisme, non le renversement de dominance. Mais ces idées ne sont même pas envisagées : toute objection est amalgamée aux massacreurs révoltés. C’est une suprême malhonnêteté, à pouvoir de conviction très exactement nul, insultant l’intelligence (et l’innocence juive, comme prouvée impossible – à tort).
  Page 199, tombe le jugement : Oui, l’antisionisme est de l’antisémitisme et de l’antijudaïsme. C’est un jugement péremptoire totalement injuste, une fausse conclusion de raisonnement bâclé ayant caché les arguments contre. De la même manière, mais totalement inverse, je peux dire que le sionisme est du racisme pro-juif actif, et l’humanisme sincère oblige soit à l’antisionisme (oubliant les crimes antiques éventuels) soit à la guerre généralisée, rendant les USA aux Amérindiens, l’Australie aux Aborigènes, la Normandie aux Celtes, etc. D’où holocauste nucléaire, dit « défensif », de la part des Etasuniens. Le privilège pro-juif (et étasuniènement pro « nouvelles tribus d’Israël ») est un privilège anti-humaniste, groupiste. Et, dans la mesure où un bébé est classé en juif (estimable) ou non-juif (méprisable) à la naissance, c’est un racisme, nullement un jugement de chacun pour ses actes ou mérites personnels. Les chrétiens convertissaient certes mais la devise célèbre « le seul bon Indien est un Indien mort » incarne le racisme tueur étasunien.
  Il est écrit dans ce livre : « L’antisionisme refuse au peuple juif l’égalité en droit au niveau de la souveraineté légale au sein de la communauté des nations (…) discrimination. » C’est faux en ce qui concerne mon antisionisme en tout cas : je ne juge nullement moral le nationalisme (xénophobe par principe) d’autres que les Juifs, et je condamne le nationalisme sioniste comme le nationalisme français ou étasunien (et pas que Le Pen anti-européenne mais tout l’éventail des politiciens élus, chasseurs de migrants économiques à la « migrants vers l’Amérique », tandis que les estimables « No Borders » n’ont aucune chance aux élections, l’égoïsme groupiste étant infiniment plus populaire que l’humanisme individualiste, partageur au mérite personnel). Ce n’est en rien de la discrimination. Quant au prétendu droit à chaque groupe de prendre le pays qu’il convoite, je le dénie (sans discrimination) à tous : non, les Témoins de Jéhovah n’ont pas plus droit que les Juifs à prendre Israël, ou la Californie ou l’Ile de France. S’il s’avère que les Néanderthaliens (ayant parait-il peuplé l’Europe avant les Sapiens) n’ont pour descendants que les Kenyans, ça n’autorise en rien les Kenyans modernes à expulser les Européens et massacrer les récalcitrants. L’antiracisme est humaniste par principe, sans bénir le tribalisme rejetant l’autre, et surtout par racisme : rejetant le bébé d’origine méprisée. Ceci dit, la communauté des nations est un agrégat relevant du grand banditisme : la Grande Bretagne a droit de veto ONU que n’a pas l’Inde vingt fois plus peuplée, et la France pareil vis-à-vis du Vietnam qu’elle dominait/méprisait ou de l’Indonésie musulmane, ex-Indes Néerlandaises. Ce n’est en rien un symbole d’honorabilité mais d’écrasement injuste, favorisateur, prétendant menteusement incarner l’idéal démocratique alors que c’est un principe aristocratique, de domination par les quelques-uns qui sont les plus forts, les plus armés, militairement ou légalement. Au lieu que cette situation horrible pousse à la violence révolutionnaire massacreuse, terroriste, l’esprit de justice équitable devrait être autorisé à abolir ces privilèges et favoritismes éhontés. Ce n’est pas la haine antijuive qui dit cela, c’est le refus de l’écrasement anti-goy (racisme pro-juif). Pour la paix juste et non la paix d’écrasement, écrabouillage. Je l’ose, sous les mensonges diffamatoires de cette malhonnête auteure, volant la place dans les maisons d’éditions me fermant la porte (l’interdiction de publication étant certaine pour prétendu « antisémitisme », illégal en France).
  Certes, des antisémites proprement dits peuvent prétendre que si le monde est aussi horrible, c’est entièrement la faute des Juifs, mais je ne suis pas du tout d’accord. Il y a simplement eu hasard synergique entre trois phénomènes : le racisme tribal antique, chez les Hébreux comme d’autres, puis la version expansionniste chrétienne, imposant le Dieu pro-Juif au monde presque entier, enfin le communautarisme de la tradition judaïque en diaspora, refusant de s’intégrer en renonçant à avoir – en plus de ses propriétés locales – une propriété éternelle toute spéciale sur Israël. Il s’agit de trois formes de racisme inéquitable, traditions affreuses, mais ça n’a aucun rapport avec une culpabilité intrinsèque du sang juif, des bébés juifs. L’endoctrinement communautariste dresse simplement (comme « politiquement ») les innocents à se faire coupables, c’est affreux. Non, ce n’est pas du tout innocent, mais non le condamner n’est pas du racisme ou assimilé (condamneur de bébés innocents).
  Autre élément qui me vient à l’esprit : les Etasuniens d’origine Irlandaise sont-ils autorisés à venir reprendre l’Irlande en expulsant les Irlandais modernes ? Certes, il est raconté que les Juifs ont été chassés d’Israël alors que les Irlandais d’Amérique sont partis de leur plein gré, juste poussés par la famine. Mais… où est la preuve historique de cette expulsion d’Israël ? Certes, la légende racontée dans les synagogues le répétait indéfiniment, mais est-ce documenté objectivement ? Les Romains ont massacré des Israéliens, détruit le temple de Jérusalem, mais cela n’implique aucune expulsion. C’est au nom d’une légende, croyance en une légende, qu’est décrétée la guerre et les brimades, c’est éminemment contestable. Les Berbères convertis à la religion judaïque clament pareillement avoir un droit indéniable sur la propriété d’Israël, on peut en douter, théoriquement. En fait, il est interdit d’en douter, car – puisque ça s’oppose à la dominance pro-juive – c’est classé antisémite, totalement à tort mais c’est la situation, encouragée par les amalgames déments de ce livre injuste, scandaleux, incitant à la haine (à tort, puisque l’honnêteté juive est possible : je le prouve, je crois).
  Elément voisin : les Etasuniens d’origine Irlandaise n’ont développé aucun rejet des Irlandais restés au pays. Au contraire, les Juifs de la diaspora renient les Juifs restés là-bas en se convertissant au christianisme, ou/puis à l’Islam (c’est tracé historiquement, un sultan ayant finalement dû stopper ses populaires incitations fiscales à la conversion islamique pour garder des ressources financières – voir l’ouvrage de l’historien israélien Shlomo Sand). Mais grâce à l’intolérance israélite, privilégiant le coreligionnaire et rejetant l’autre, cette proximité a été brisée, en traitant racistement d’Arabes (donc mauvais, à chasser) tous les Musulmans de Palestine. J’ai lu sur Internet que les recherches israéliennes sur l’ADN juif n’étaient pas jugées satisfaisantes : elles pointent bien la spécificité consanguine des Cohen (je crois) mais le groupe des Ashkénazes et Sépharades n’est pas suffisamment différencié des Palestiniens… La propriété judaïque sur Israël semble donc un triomphe de xénophobie active, anti-amitié entre les peuples, antihumaniste, quelle horreur. Oh non, ce n’est pas indiscutable, sauf dogme religieux certes.
  L’auteure finit quand même par parler plus loin des Juifs antisionistes, par volonté d’intégration ou exigence d’attendre le Messie, mais il ne lui vient pas à l’idée qu’elle s’est totalement trompée en concluant qu’antisionisme implique obligatoirement antisémitisme. Elle parle de l’éternel problème de la persécution des Juifs, mais s’il s’agit de retour de bâton traitant racistement des racistes, alors ce n’est pas tant la réaction qu’il faut blâmer/condamner mais d’abord la source. La religion Israélite (et même l’Eglise Catholique aujourd’hui, se référant à l’Ancien Testament) clame que le peuple du Seigneur universel, ce sont les Juifs et eux uniquement, les non-Juifs sont méprisables à Ses yeux et aux yeux de Ses adorateurs, évidemment que ce mépris entraîne de l’animosité. Il fallait bannir la religion israélite (ou judéo-chrétienne, cf. épisode de la Cananéenne chez Matthieu) pour devenir innocents, respectables. C’est tout le contraire qui a été fait, durant des siècles, avant le triomphe absolu, en 1948, du droit d’exception, foulant au pied la respectabilité des autres peuples brimés (Amérindiens, Aborigènes, etc.). A mon avis, ça ne mérite pas persécution violente, mais ça mérite condamnation sévère et non triomphe, militairement appuyé – qui plus est en traitant de racistes immondes les antiracistes choqués, summum de malhonnêteté intellectuelle.
  Page 203, « il y a toujours eu des Juifs sujets à la haine de soi ». Ça y est, l’accusation que j’envisageais tombe. Elle est totalement injuste. Etre Juif et condamner le racisme pro-Juif, ce n’est en rien faire preuve de racisme anti-Juif ! Aux temps de l’Apartheid, un Africain du Sud blanc qui pouvait être choqué par le racisme apartheidien ne haïssait en rien le caractère Blanc, ne faisait nullement preuve de racisme anti-blanc, là encore l’auteure est dans la totale confusion mentale, pour servir sa cause mensongère, généralisant vertigineusement par amalgame, injuste. Un humaniste antiraciste blanc d’Afrique du Sud, minoritaire localement hué, condamnait le racisme pro-blanc, sans aucunement exiger de persécution des blancs pour prétendue faute d’être blancs, ça n’a aucun rapport, c’est du délire imaginatif ici prétendu vérité indéniable. Simplement, il pouvait souffrir de voir la grande majorité des autres blancs locaux approuver ce racisme pro-blanc, attirant sur tout leur groupe une colère automatique – injuste envers les quelques renégats comme lui et les bébés innocents.
  Page 205, « personne [parmi les Juifs Israéliens] n’a envisagé de tuer un grand nombre de Juifs Israéliens ni d’abolir l’Etat Juif. Toutefois, certains critiques israéliens ont effectivement envisagé un état laïque plutôt qu’un Etat juif. D’autres se sont déclarés contre l’existence d’un Etat juif sur la planète. » Il y a là contradiction : si l’on est contre l’Etat juif ça signifie qu’on veut abolir celui qu’il y a. Et c’est mon cas (à moins qu’on décide de restaurer les propriétés antiques équitablement donc en chassant les étasuniens, ce qui serait envisageable, à titre d’hypothèse de travail avant de trancher honnêtement). Mais ce serait trop simple, l’auteure embrouille tout pour diaboliser toute opposition, en mêlant évidemment ça à un tableau d’extermination d’innocents, selon la recette classique des sionistes exploiteurs actifs de la Shoah.
  Je note que l’hostilité de l’URSS à Israël est datée par l’auteure de 1953, je ne le savais pas – mes cours scolaires d’histoire s’arrêtant à 1945 et mes lectures diverses n’ayant pas abordé ce point. Puis vient un manifeste du sionisme modéré : Israéliens et Palestiniens seraient deux peuples dépossédés de leur terre, luttant similairement pour un petit bout de désert. Je ne suis pas d’accord : les Palestiniens étaient dépossédés de manière visible, alors que la dépossession des Hébreux antiques relève de la légende répétée avec assiduité pour empêcher le groupe de s’intégrer aux « sales » goys méprisés religieusement… En France, Russie ou USA, les Juifs sionistes avaient des propriétés légitimement apportées par leur vie de travail, il n’y avait pas dépossession d’une terre dont ils n’avaient fait qu’entendre parler, dans un roman prétendu gage de leur supériorité raciale aux yeux de Dieu universel. Oh non, il ne s’agit pas de deux peuples en situation comparable.
  Je précise que je ne crois pas au terme « peuple palestinien », auquel les sionistes modérés veulent donner un pays (désarmé) en échange de l’acceptation de sa partielle expulsion passée. A mon avis, le scandale est uniquement l’oppression d’individus n’ayant commis aucun autre crime que d’être jugés de « sale race », indigne de posséder cette terre dite sacrée par les fanatiques, racistes pro-juifs. Des innocents ont été brimés, tués, je me contrefous des leaders voulant commander quelque chose ou tout ce qu’ils veulent. Il se trouve simplement que ces victimes sont qualifiées de Palestiniennes, mais ma solidarité avec leur martyre ne vaut aucunement appel au triomphe d’un Grand Etat Palestine ou quoi. Mon humanisme est individualiste par définition, aucunement groupiste xénophobe (pas plus pro-arabe que pro-juif).
  Injustice anti-vérité page 206 : « quiconque accuse les Juifs de provoquer ces attaques est antisémite ». Non, l’accusation mérite d’être énoncée, examinée très sérieusement. A qui profitent les attentats du 11 Septembre ? L’Occident tout entier a déclaré alors la guerre à l’islamisme antisioniste. En France, le point de vue critiquant le sionisme est devenu passible de prison pour apologie du terrorisme. Oui, cela a pu venir d’une bêtise crasse des révoltés pro-Palestiniens s’ôtant toute respectabilité, mais ça serait un immense succès si cela venait d’agents doubles sionistes déguisés en Islamistes, pour consolider le triomphe sioniste. Ceci dit, non, ce ne sont pas « les Juifs » (bébés inclus) qui sont à accuser racistement, pas du tout du tout, ce sont les activistes sionistes actifs, certes très majoritaires parmi les Juifs mais il y a des renégats en total désaccord, à ne surtout pas oublier. Et accusation ne vaut pas preuve et condamnation mais émission d’hypothèse, avec immenses raisons à l’appui – balayées racistement par l’auteure stipulant racistement que Juif signifie innocente victime par définition. De même, il me semble à envisager que l’affreux criminel Hitler soit Juif, ayant sacrifié une partie des siens pour permettre le triomphe sioniste après des millénaires de frustration impatiente, avec grands cris menteurs de pseudo-haine théâtrale. Je ne prétends pas que c’est la vérité indéniable, mais puisque cela aurait été couvert de succès pratique, la question se pose très sérieusement, sans haine aucune. Le principe scientifique consiste à émettre diverses hypothèses, bâtir divers modèles, avant de les examiner, sans aucunement en interdire au nom de l’hérésie inadmissible compte tenu des dogmes en usage. Mais l’auteure ne comprend rien aux sciences, les sciences humaines dont elle est diplômée se sont que du bla-bla prétentieux couvrant tout et son contraire, s’imposant socialement par loi du groupe le plus fort.
  Nouvelle couche page 207 : « Je regrette de devoir affirmer que, de nos jours, certains antisémites sont aussi des Juifs ou des Israéliens ». Mais non ! Cette menteuse traite d’antisémite (raciste s’en prenant à des innocents) toute opposition à sa position raciste pro-juive ! C’est contradictoire mais ça ne la fait crier qu’encore plus fort !
  Mensonge absolu encore page 207 : l’auteure affirme que les nouveaux antisémites sont les antisionistes (parmi lesquels elle me classe puisque hostile au racisme pro-juif du sionisme-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens). « En effet, ce sont des gens qui considèrent en même temps que tout autre groupe humain sur la Terre mérite d’avoir sa propre nation ». Faux, archi-faux : je juge que le nationalisme est intrinsèquement xénophobe, anti-altruiste, immoral. Elle clame les mensonges les plus odieux, pour diaboliser n’importe comment, sans aucunement donner la parole aux points de vue opposés, c’est logique : c’est un summum acharné de malhonnêteté intellectuelle. Et ça ne veut pas dire que tout Juif a une irrépressible tendance à mentir, ce n’est qu’elle-même, salissant la respectabilité de ceux qu’elle prétend défendre, par l’attaque féroce et déloyale.
  Plus loin, l’auteure condamne une israélienne critiquant l’occupation des territoires pris en 1967 avec ces mots : « Je ne vois pas comment Israël pourrait survivre à long terme si nous gardons ces territoires. Qui sait si nous pourrons survivre de toute façon ? ». Là encore, c’est de la théâtralisation outrancière : si les expulseurs sont à leur tour expulsés, ils survivront mais certes ne seront plu’ dominateurs écraseurs. Clamer que cela est une seconde Shoah est une insulte à l’innocence (éventuelle) des victimes de 1940-45. L’Algérie Française (Français et Juifs locaux écrasant les Musulmans) ne s’est pas éternisée, mais dire que les individus Pieds Noirs n’ont pas survécu est un mensonge.
  Page 213 : « Accuser les victimes juives n’est pas acceptable – quiconque le fait est antisémite. » C’est une insulte diffamatoire encore une fois. Des enfants ayant été violés par leur père sont devenus des violeurs, c’est abominable et il est entièrement légitime de les accuser quel qu’ait été leur passé. Peut-être que parmi les assassins de bébés arabes à Der Yassin 1948, il y avait des rescapés des camps nazis, cela ne leur donnait en rien un permis de tuer vengeur, tuer des innocents… Par contre, l’auteure limite strictement son plaidoyer innocentant aux Juifs : les victimes juives sont un milliard de fois plus respectables que les autres. Pour elle, ce sont donc les civils morts à Der Yassin qui sont les méchants, puisque sales goys antisémites, et les tireurs armés sont les victimes, se défendant à juste titre contre la haine la plus injustifiée… Oh non, je ne suis pas du tout d’accord. Elle agite vraiment les provocations les plus éhontées pour attirer la haine qu’elle prétend omniprésente. Mais je résiste : cette dame est une salope, pas du tout les bébés juifs. (Pour prouver son honorabilité morale, elle clame qu’elle a lutté contre les misogynes refuseurs de l’avortement, mais je juge le contraire : les tueurs de futurs bébés comme de nourrissons sont des meurtriers d’innocents).
  L’auteure dit aussi que certains antisémites et antisionistes sont à moitié psychotiques. Je ne m’offusquerai pas en parlant d’insulte injustifiée à mon encontre : au contraire, je suis effectivement sous traitement antipsychotique, mais c’est totalement injuste, décidé par des ânes pseudo-scientifiques et pseudo-médicaux. Ne pas partager leurs dogmes fait qu’ils me classent fou, comme ils auraient classé Galilée s’ils avaient eu le pouvoir au Moyen-Age. Comme en Union Soviétique, oser la liberté lucide pouvait conduire à la prison, au cimetière, à l’asile psychiatrique, avec une probabilité voisine (1/3-1/3-1/3).
  Page 218 : « aucun exilé algérien, cambodgien, tchèque (ni afghan, maintenant), même s’il est farouchement opposé à son gouvernement actuel, n’ira remettre en question l’existence de son propre pays. (…) Le langage de l’antisémitisme et de l’anti-sionisme – éhonté ». Je ne suis pas d’accord. Les colons 1948 avaient une nationalité, mais insuffisamment xénophobe à leur goût, manquant de caractère anti-goy, c’est abominable, c’est cela qui me parait éhonté, moi (et pour tout point de vue honnêtement antiraciste). Et je désapprouve les frontières de mon propre pays la France, ça ne veut pas dire que je lui dénie le droit d’exister, je juge simplement que c’est très moche comme presque l’intégralité du monde. La moralité altruiste, contraire de l’affreux égoïsme générateur de haine en face, accueille l’autre au lieu de le chasser, les nationalismes sionistes et autres sont tout le contraire, immoraux, éhontés.
  Elle répète ensuite, encore et encore, que tout antisionisme, même Juif, est un antisémitisme. Mathématiquement, logiquement, cela implique que Juif = sioniste, donc Juif = injuste raciste (sauf version de sionisme exigeant de rendre pareillement les USA, dont je n’ai jamais entendue parler). J’affirme que cette prétendue égalité est fausse et que cela constitue (totalement à tort) une incitation à la haine raciale. Au contraire, il faudrait prouver que l’origine juive est totalement innocente, et que les individus de cette origine n’exigent aucun privilège supérieur à ce titre. Hélas, le camp adverse, endoctrineur, a un immense succès, mais la lucidité antiraciste consiste à dénier qu’il y ait égalité Juif = sioniste, pour que seuls les coupables soient poursuivis, pas les innocents. Le racisme est affreux quand il persécute des innocents, mais quand un racisme s’en prend à des racistes, c’est surtout regrettable, et il convient de condamner d’abord le racisme source, pas uniquement la réaction contraire. Que les franco-israéliens rentrent en France, que les Etasunio-israéliens rentrent aux USA, quant aux nés en Israël, leur situation est très triste, mais il fallait y réfléchir avant d’attaquer la Palestine 1948, une faute terrible a été commise, et c’est aux fauteurs qu’incombe la responsabilité de ce drame. La nationalité des parents ou grands-parents pourrait être invoquée, ou mieux : les Israéliens sans autre nationalité devraient rester en Palestine, en présentant des excuses infinies pour avoir fait interdire le retour des Arabes exilés (et Hébreux musulmans, méprisés comme « sales Arabes » par la théocratie israélienne approuvée jusqu’ici).
  L’auteure clame que l’ONU a reconnu que les Juifs avaient un droit préférentiel sur la possession d’Israël, établi depuis 1250 avant Jésus-Christ. Mais… éh, pourquoi oublier que les Amérindiens ont un droit encore plus fort sur les USA, brimés depuis bien moins longtemps ? L’ONU, sous impulsion judéo-chrétienne, est sioniste, oui, refusant droit de veto à l’Indonésie musulmane, davantage peuplée que France et Angleterre mais classée vile, inférieure, sans domination judaïque… Et pourquoi faire remonter le curseur précisément à 1250 ans, en méprisant les Cananéens ou autres là-avant ? Historiquement, il n’y a aucune logique équitable, tout cela n’a de sens qu’en aval de la supériorité juive, en dignité et en droit, c’est le militantisme raciste pro-juif, qui gouverne le monde. S’affirmant antiraciste et jugeant raciste le vrai antiracisme en face.
  C’est affreux, et la simple honnêteté devrait suffire à abolir cela, mais pas du tout : les penseurs pacifiques équitables sont emprisonnés par amalgame avec les révoltés tueurs (« apologie du terrorisme » dit la loi française, combattant pénalement la résistance à la dictature sioniste). Mais ce n’est pas totalement idiot et contre-productif, c’est un auto-entretien du racisme pro-juif : en affichant ouvertement une injustice criante, cela génère chez les victimes de la haine, grâce à laquelle sont obtenus toujours davantage de privilèges (pour les prétendues « victimes innocentes de la haine »). C’est un mécanisme en chaine victorieux, un cancer – mais pas « le cancer juif », non : les juifs sont innocents, seuls les sionistes privilégieurs constituent une plaie infecte.

Chapitre 8 « Ce que nous devons faire »
  L’auteure n’envisage aucune autre solution que la paix couronnant la victoire 1948 brimant les Palestiniens, rien d’autre. Et elle a le toupet de se prétendre ouverte aux avis différents, dits tout à fait respectables – alors qu’elle les a diabolisés, criminalisés, aux chapitres précédents, par contresens total, en cachant toutes les fautes de son camp sioniste raciste (anti-arabe anti-amérindien).
  Positivement, elle demande à ce que chaque Juif soutienne activement Israël, donc son racisme, ce qui amplifie le problème au lieu de le résoudre ! Mais c’est cohérent avec son roman prétendant les Juifs systématiquement persécutés quoiqu’ils fassent : en s’affichant ouvertement racistes et le déniant farouchement, ils seront super détestés et cela lui donnera raison, justifiant encore plus son repli xénophobe sioniste anti-goy. C’est une honte. Au contraire, il faudrait rendre Israël, abolir la religion israélite, et devenir de simples humains honorables, humanistement altruistes. C’est juivement très possible, seul le racisme pro-juif en empêche, et il n’est en rien automatique pour un individu de cette origine (seuls les racistes prétendent le contraire, racistes comme Hitler et comme les sionistes intolétants).
  Elle appelle aussi les laïcs, chrétiens, bouddhistes etc. à venir témoigner leur soutien à Israël contre les terroristes. Mais… c’est juste oublier que l’on peut être beaucoup plus honnête en témoignant son soutien aux victimes des premiers terroristes qu’ont été les conquérants d’Israël expulseurs de Palestiniens terrorisés. Non, chut, c’est un ouvrage de propagande unilatérale raciste, affirmant que tout Juif est forcément victime, tout goy est forcément suspect d’être raciste antisémite (sauf alliance/soumission aux sionistes…). C’est l’exact contraire de la justice qui amènerait une paix juste, non plu’ dominatrice.
  Page 246 tombe une phrase effarante, concluant que les Juifs sont le Bien, et les autres sont le Mal. Or c’est justement ce jugement qui fait haïr les Juifs. Et c’est gravement erroné : seuls ceux qui pensent cette horreur sont coupables de racisme, aucunement tous les Juifs. Le cacher est là encore de l’incitation à la haine raciale.
  Page 248, elle affirme que les Israéliens ont déjà fait leur autocritique et que c’est au tour des Palestiniens de faire la leur. C’est faux : pas un seul sioniste, jamais, ne m’a expliqué pourquoi avoir rendu la Palestine aux Juifs et pas les USA aux Amérindiens. Non, censure, critique prétendue antisémite (déniant la supériorité juive en osant envisager l’égalité de tous les humains en dignité et en droit, sacrilège « antisémite » selon l’auteure…). Irrécupérable.
  Evidemment, elle appelle à débat ouvert, en disant qu’il ne faut pas diaboliser autrui, oubliant seulement qu’elle m’a diabolisé honteusement aux chapitres précédents en affirmant que mon antiracisme (osant contester le racisme pro-juif) est un criminel racisme antisémite massacreur. Si tout le monde haussait les épaules à cet étalage de contresens et contradictions, je le pourrais aussi, mais d’après la quatrième page de couverture, il s’agit au contraire d’un ouvrage très majeur de la « pensée » sioniste, raciste prétendant pourchasser le racisme… C’est triste, tant de malhonnêteté. Et ça fait des tas de morts, quand ces idiots commenceront-ils à réfléchir honnêtement ?
  Pages 245-246, elle en appelle à une grande alliance entre Juifs et Chrétiens, et elle dit page 250 : « Dès que nous entendons ou lisons un propos raciste, nous devons réagir. » Mais quand Jésus-Christ affirme que les non-Juifs sont des chiens, ce n’est pour elle aucunement du racisme, mais c’est bien sûr la vérité sacrée de leur intouchable religion commune, seule la réaction hostile à ces mots étant par elle qualifiée de racisme, antisémite ! Tant de bêtise serait presque drôle si ce n’était pas aussi grave. Ce livre est un torchon lamentable, d’une totale malhonnêteté, s’affirmant analyse lucide, pour les endoctrinés applaudisseurs de son camp.
  Et puis, elle écrit « il faut que ceux qui diffusent une propagande diffamatoire soient dénoncés, critiqués et poursuivis. » Voilà, il s’agit donc de faire emprisonner l’avis opposé, au nom de la liberté contre l’obscurantisme bien sûr. On n’est certes plu’ à une contradiction près. Cette dame est dans le camp des persécuteurs de pacifistes osant l’antiracisme (contre le racisme pro-juif au pouvoir en Occident). Elle va gagner, je n’en doute pas, hélas.
  « Il est important de toujours rappeler aux gens (…) que les Juifs ont droit à une patrie de la même manière que n’importe quelle autre collectivité humaine. » Horreur : il ne s’agit pas là de « rappeler » une grosse évidence indéniable mais de militer pour un droit à la xénophobie excluant l’autre affirmé inférieur en dignité et en droits, horreur… (certes pas spécifiquement sioniste, mais c’est coupable quand même, contraire à l’honnêteté altruiste). Avec sa logique nationaliste à classement à la naissance, les USA et la France devraient expulser vers Israël leurs Juifs, mais l’auteure crierait là encore à l’antisémitisme : les Juifs ont le droit de s’imposer où ils veulent, d’exclure où ils veulent, qui ils veulent, ils sont les élus de Dieu, c’est normal qu’ils soient privilégiés… Je ne suis pas d’accord avec ces horreurs, oh non.
  L’auteure dit que les médias occidentaux, notamment européens, sont antisémites antisionistes. C’est faux : ici, il est totalement censuré de demander pourquoi on ne rend pas les USA aux Amérindiens comme est rendu la Palestine aux Juifs. Les débats sur Israël se font entre sionistes, le côté arabe étant représenté par des sionistes modérés se satisfaisant de la solution à deux états avec interdiction de retour (puisque toute autre voie serait qualifiée de terroriste, inmontrable). Tous les politiciens vont au dîner du Crif prêter serment d’amitié à Israël en luttant contre l’antisémitisme, sans aucune objection ou étonnement journalistique. Quand le premier ministre Valls clame que l’antisionisme est le nouvel antisémitisme, fou de haine raciste, aucune contestation ne s’élève des journalistes, simples courroies de transmission, de la propagande sioniste hyperactive (et seules les banlieues arabes hurlent, moi je pleure). Quand le président juif Sarkozy est nommé homme de l’année par le Congrès sioniste mondial, pas un journaliste ne demande s’il sert en cela la France ou Israël, silence absolu (tout sourcil levé d’étonnement étant condamné férocement, par la hiérarchie ou les juges, complices actifs de la domination sioniste). La liste politique antisioniste de Dieudonné a été certes présentée, mais sans aucunement mentionner son éventuel bienfondé, en ne montrant comme témoignages que les célébrités outrées le désignant comme antisémite fou de haine raciste. D’Amérique, l’auteure entend simplement ses coreligionnaires lui dire que ce n’est pas encore assez, moi je trouve que c’est déjà beaucoup trop, en malhonnête oppression politique et légale.
  Le mot de la fin, du texte principal, est un plaidoyer vibrant pour la paix, sans avouer qu’il s’agit de la paix d’écrasement valant victoire sioniste, en diabolisant toute idée de paix équitable. Aux USA, « la paix » consistait ainsi à soumettre les sales infidèles, les trainer en esclavage victorieusement, les parquer une fois dévalisés, ça s’appelait pareillement « le retour de la paix ». La différence essentielle, l’erreur commise dans l’affaire palestinienne, a été de considérer que les forts pouvaient naturellement écraser là les faibles, coutume occidentale voire humaine, or les perdants sont restés rebelles, révoltés, et l’arme religieuse leur donne la puissance kamikaze qui ébranle la domination escomptée. Je ne souhaite pas imposer mieux la paix d’écrasement, je considère que la paix juste consiste à cesser l’écrasement (raciste, biblique, avec complicité de l’ONU et des Droits de l’Homme). Oui, une paix juste est possible, aux dépens des rêves de domination des salauds majoritaires parmi nous. C’est sans espoir pratique, hélas, mais en témoigner constitue un témoignage dissident prouvant que les racistes en face ont totalement tort de généraliser en racisme inverse.

Bilan :
  Il y a bien des années, j’ai vu une affiche humoristique : « Le règlement du chef. Article 1 : le chef a raison. Article 2 : Le chef a toujours raison. Article 3 : même quand le chef a tort, c’est l’article 1 qui s’applique. ». Bien sûr, c’est ouvertement contradictoire, absurde, malhonnête ou plaisanterie, risible, à ne pas prendre au sérieux. Tel est le point de vue logique.
  Mais pour les diplômés et professeurs de psychologie, c’est totalement différent. Ils disent freudiennement : « Loi 1 : tout garçon veut violer sa mère. Loi 2 : quand un garçon dénie qu’il veut violer sa mère, son déni gêné prouve qu’il ment, et ça prouve qu’il veut violer sa mère. Loi 3 : la loi 2 prouve imparablement que la loi 1 est totalement incontestable. » C’est une parodie de logique, une grille de lecture décrétant qu’elle a raison dans tous les cas : n’importe quoi et son absolu contraire. (Le faillibilisme à la Popper dénie que ce soit scientifique, et la logique pure dénie que cela ait la moindre valeur de vérité, comme « j’ai raison puisque j’ai raison » est invalide, n’excluant aucunement « je peux avoir tort »).
  En alliant sionisme fervent et psychologie « de haut niveau », l’auteure Chesler bâtit donc le système implicite suivant : « Loi 1 : tout juif se sait supérieur aux non-juifs en dignité, en droit, en innocence morale. Loi 2 : tout juif veut Israël redevenu état juif, servi par les nouvelles tribus d’Israël, le pays USA à ne surtout pas rendre état amérindien (conséquence automatique de la loi 1). Loi 3 :si un Juif dénie les lois 1 et/ou 2, c’est qu’il est antijuif, aberrant, idiot ou dément, et qu’il ment pour cacher l’évidence des lois 1 et 2, ce qui prouve la légitimité totale de celles-ci. » Eh bien non, c’est une parodie de logique, c’est un point de vue raciste, attirant la haine sur la prétendue race innocente brimée.
  Tout au contraire, après l’énoncé des prétendues lois 1 et 2, je dirais : « invalidation : je suis juif et en désaccord total avec les lois 1 et 2, donc prouvées fausses. Il n’y aurait donc rien à haïr dans le fait d’être juif, et cela sauverait quantité d’innocents. » Mais non, mon point de vue est classé antijuif fou de haine, et malhonnêtement dénoncé/condamné à ce titre. C’est super-débile (si inconscient) ou super-menteur (si conscient), mais c’est vainqueur, cela gouverne le monde occidental, donc l’ONU dominé aristocratiquement par l’Occident. Quelle horreur.
  Ce livre est plus qu’un scandale pseudo-intellectuel, c’est un crime de sang, un appel au racisme actif, tueur directement et indirectement. Il faut être immensément résistant pour ne pas céder à la pression dominante, sous les crachats injustes, aberrants, auto-bétonnés contre toute contestation, diabolisée par amalgame, grâce à Hitler et Ben Laden, héros du sionisme en forme d’épouvantails (idiots sincères contre-productifs ou agents doubles sionistes ?). L’intelligence et l’honnêteté sont ailleurs, et elles existent pourtant, chez certains juifs, hélas rares et dominés, étouffés. « Grâce à » ce livre notamment, torchon pourri.

============ "TOME 2" : EN FRANCE ==================================
(23-27/05/2018)   J’ai acheté l’ouvrage « Le nouvel antisémitisme en France » (Albin Michel, 2018, de 15 auteurs cités en commençant par Luc Ferry sur la couverture, par Georges Bensoussan sur la 4e de couverture), qui avait été le déclencheur de la récente multi-annonce télé partout, criant au très grave lancement d’alerte, multi-approuvé par 300 célébrités.
4e page de couverture : il est déclaré scandaleux qu’un meurtre de juive ait mis presque un an à être requalifié en crime antisémite. « Pourquoi ce silence ? (…) Cette gêne à nommer l’antisémitisme islamique a pour conséquence des passages à l’acte toujours plus nombreux, contagieux et violents (…) Ce qui menace les Juifs menace nos libertés. Ce qui menace les Juifs menace la République. ». --> A mon avis, c’est une totale erreur d’interprétation, presque une débilité profonde. Les tueurs étant emprisonnés, condamnés, ce n’est en rien selon le qualificatif attribué aux actes commis que d’autres suivent. Par contre, à mon avis, cela cache autre chose : au nom de ce qualificatif (exigé par ce livre, apparemment) est escomptée une pression pro-juive maximale, avec soutien à Israël, à la loi Gayssot, etc. (points que je trouve odieux) et puis une persécution de toute résistance à la domination judaïque – résistance déclarée constituer la prémisse au meurtre raciste, c’est de la manipulation. Politiquement (et ça n’a rien de raciste), il est tout à fait normal que les islamistes solidaires des Palestiniens s’en prennent aux Juifs dont le prétendu « Conseil Représentatif » claironne son sionisme – avec manifestations pro-Tsahal quand des Palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, etc. Et comme la république française est alliée au sionisme aussi, sans demander l’avis de la population (simplement intoxiquée par propagande, mais ça ne marche pas dans les banlieues), il est évident que la cible n’est pas seulement les juifs. Mais la prévention consisterait à mettre en question le sionisme (décrété sans rendre les USA aux Amérindiens donc sans aucune légitimité historique, non : pur racisme favorisateur, en accord avec les textes sacrés israélites, et l’ancien testament chrétien), nullement à pourfendre les islamistes en prétendant qu’ils sont racistes : c’est un racisme retour, réaction contre le sionisme raciste ! Zéro pointé à tous les « intellectuels » sur cette ligne super-stupide aveugle ou malhonnête. Enfin, je vais voir s’ils parent mes objections mais j’en doute, au vu de ce résumé final. Et je ne dis pas du tout qu’il faut tuer tous les juifs, dont moi-même, je dis que le sionisme (des « élites » occidentales) est un scandale terrible, raciste-source (enfin, la source ultime est la religion judéo-chrétienne bénissant la Bible raciste pro-juive), à réparer de toute urgence. Si on peut pas rendre les USA aux Amérindiens sans faire exploser la planète, alors forcément, honnêtement, il ne fallait pas rendre Israël aux Juifs, et il faut laisser revenir les Palestiniens expulsés ou ayant fui « notre » terrorisme raciste. Alors oui, les Juifs approbateurs de cette toute nouvelle justice, proprement impensable en Occident actuel, seraient innocents politiquement. Pas avant.
Avant-propos (de Michel Gad Wolkowicz, professeur « supérieur » en psychologie en France et Israël) :
- Il est mentionné page 12 le soutien présidentiel (E. Macron, via le CRIF) à la lutte implacable contre l’antisémitisme. Ce que disait aussi ses prédécesseurs, tous sionistes fervents classant antisémite la mise en question (politique, non-violente) de l’état d’Israël.
- Il est mentionné page 13 l’objectif de « porter le débat sur la place publique », mais c’est entièrement faux, puisque les avis opposés, diabolisés en les traitant d’antisémites ou « apologie du terrorisme », sont interdits d’expression ! C’est donc de la pure propagande unidirectionnelle, pourchassant l’intelligence critique et l’honnêteté humaniste ! (l’humanisme et l’antiracisme, niant la supériorité judaïque, sont classés antisémites : c’est la seule raison pour laquelle il est interdit de demander pourquoi avoir rendu Israël aux Juifs mais pas équitablement les USA aux Amérindiens).
Préface (d’Elizabeth de Fontenay, « philosophe » professionnelle selon la présentation page 211) :
- Il est pointé les silences médiatiques osant traiter telle assassinée de « vieille dame » sans clamer qu’elle a été assassinée parce que juive. Je demanderais moi pourquoi pas un média jamais ne me parle des massacrés de Der Yassin et autres (victimes du terrorisme ayant créé Israël, 1948, tuées parce que « sales goys ») ? Dans toute ma scolarité (et dans des décennies de télé, débats et commémorations incluses) : pas un seul mot, alors oui, on ne peut pas comprendre la haine en face, c’est voulu, ça fait partie de la diabolisation unilatérale, qui explose hélas en haine tueuse au lieu de réfléchir honnêtement et réparer les fautes colossales commises, contre la simple justice équitable.
- Il est fait reproche à « ceux qui nous accusent, notamment à gauche, d’exagérer, d’essentialiser et de stigmatiser ». Je ne fais pas partie des deux camps de ce face-à-face : je n’approuve en rien les appels à lutter contre l’antisionisme (ici ? le premier ministre français Manuel Valls l’a dit : le nouvel antisémitisme, c’est l’antisionisme), et je ne suis pas de gauche dans la mesure où je ne suis pas favorable à la grève fonctionnaire voire à la fonction publique en général (à salaire occidental, réquisitionné par la force). Et le problème n’est aucunement une exagération ou quoi des appels à la lutte contre l’antisionisme, il est que le débat honnête est interdit en la matière, sacrée, armée de la loi française pourrie (comme ailleurs je pense), écrite par les israélophiles dictatorialement.
Texte de Noémie Halioua (journaliste en magazine juif francophone, d’après la page 211) :
- Il est considéré horrible que la circonstance aggravante « antisémitisme » n’a pas immédiatement été retenue pour l’assassinat relaté. Moi je trouve qu’un innocent en vaut bien un autre, et cette loi est atrocement raciste, pro-juive sans le dire, pire : en interdisant de le dire ! (puisque nier la supériorité judaïque est classable antisémite…). [ajout 29/05/2018 en relecture : j'envisage un contre-argument, c'est que tuer-parce-que-juif menace tous les juifs alors que tuer une personne isolée n'appelle aucune inquiétude pour certains. Oui mais... le violeur-tueur qui criait "sale blonde salope !" menaçait toutes les blondes, et si le groupe des Juifs est seul privilégié, c'est donc autre chose, raciste pro-juif, oui.]
- Il est mentionné deux juifs français célèbres, enterrés à Jérusalem, et ça me parait appeler un débat, hélas manquant : pourquoi ces sionistes forcenés (que ne sont aucunement « tous » les Juifs) restent-ils en France au lieu d’émigrer dans leur prétendue Terre Promise ? Certes, ici, ils travaillent aux lois pro-juives, à la diplomatie pro-israélienne, mais c’est raciste affreux (et avec le retour de bâton, meurtrier des électeurs, ce lobbyisme est contraire à l’intérêt général des gens ici – pauvres électeurs, n’ayant le « choix » qu’entre sionisme de droite, sionisme de gauche, sionisme du centre…). Pour prouver l’innocence des Juifs, il serait essentiel, vraiment, de totalement dissocier la judéité du sionisme. Le CRIF est en faute lourde, en ce sens, et le présent texte aussi. Les sionistes ne sont en rien innocents, et s’il y a effectivement des juifs innocents, ce sont des antisionistes anti-israélites (ça existe, c’est mon cas, certes très minoritaire mais c’est une affaire de principe, pour penser juste et dissocier les coupables des innocents, même minoritaires, sans faire d'amalgame injuste).
- Il est regretté que les assassins de juifs sont placés en psychiatrie au lieu de prison, et ça ne me parait en rien une complicité active. C’est un mystère total qui fait que les psychiatres ont le pouvoir de décréter qui est coupable ou irresponsable, je ne suis pas d’accord avec cela, mais ça n’a rien de spécifiquement antisémite. Erreur de conclusion, oubli d’analyse critique.
- La juive tuée avait son fils et sa sœur habitant en Israël (ayant « fait son alyah »), pourquoi pas elle ? Elle y songeait, est-il dit, par son frère qui va le faire bientôt. Ça me parait le total opposé de la logique : puisqu’il est hors de question de rendre les USA aux Amérindiens, équitablement les Juifs ne sont pas en droit de reprendre l’ex-Palestine. Alors, en cessant cette horreur de privilège raciste, les Juifs seraient innocentés, et pourraient habiter en France et ailleurs, sans plu’ être suspectés de crimes et mensonges déloyaux. L’auteure de ce texte encourage ses coreligionnaires à partir en Israël, à mon avis c’est le contraire qui conviendrait : renvoyer les Israéliens d’où ils viennent, dont ici. Ce point de vue sera-t-il abordé dans ce livre ? J’en doute (en 1e lecture).
Texte de Lina Murr Nehmé (libanaise spécialiste de l’islamisme, selon la présentation page 211) :
- La vieille dame tuée dont il était question précédemment était « ancienne directrice de crèche juive ». Mais pourquoi ne pas mettre les enfants humanistement en crèche publique ? Est-ce pour leur inculquer très tôt le sentiment d’être meilleurs que les « sales » goys ? Quelle horreur ! Ces éléments communautaristes sont une des clés du problème, mais nullement discutée ici. Ailleurs peut-être ? [ajout 29/05/2018, en relecture : oui, il est dit plus loin que les juifs ont peur d'être frappés racistement en école publique à présence musulmane. Toutefois, cela appelle deux remarques : 1/ il faudrait vérifier que cette crèche communautariste discriminatoire n'existait effectivement pas avant les violences islamistes en question ; 2/ le CRIF, au lieu d'appeler tous les goys à juger "antisionisme = antisémitisme" (donc enfants inclus) devrait claironner le contraire : le sionisme est une opinion poltitique adulte sans aucun rapport avec le judaïsme au sens "origine". C'est hélas le contraire qui est fait, et dans ce livre entier encore.]
- Sont mentionnées des phrases du Coran appelant à tuer les Juifs. Mais… dire cela et s’offusquer spécifiquement est malhonnête, car pareillement Jésus a appelé à tuer les parents éloignant leurs enfants de Dieu (son dieu hébraïque, pro-juif), et les Israélites célèbrent le massacre des Cananéens jusqu’aux bébés, puisque non juifs. Ce sont les religions du Livre, toutes, qui méritent interdiction (toutes esclavagistes, toutes adorant le génocidaire terroriste auteur du Déluge etc.). Mais la manipulation consiste à ne dire ce qui fâche que chez les cibles escomptées, en faisant croire que les autres sont innocents. Pure malhonnêteté.
- Il est mentionné un imam expulsé de France pour faute grave « des propos ouvertement hostiles aux valeurs de la République », et je suis effaré : moi aussi je suis hostile au principe de la République (domination de la prétendue « élite » maudissant le peuple et insultant comme « populistes » les vrais démocrates prônant le référendum d’initiative populaire, court-circuitant l’israélophilie des législateurs, hum). Tout se recoupe, vais-je être emprisonné ou envoyé en exil ailleurs ? Quelle horreur. Mais pas un mot de critique ici : le coupable c’est cet imam, sans que l’auteure songe une seconde que la République est dictatoriale.
- L’auteure appelle à soumettre à la loi française moderne les phrases du Coran, pour les faire interdire, elle oublie simplement d’appliquer le même châtiment, équitablement, au christianisme et au judaïsme. C’est de la malhonnêteté pure, partisane, pour sauver les prétendus innocents (surtout dans ce livre : les Israélites, ayant simplement réédité le massacre des goys cananéens avec les Palestiniens, 1948, et 2018 encore pour ceux voulant revenir après expulsion pour cause de « sale race », c’est d’une brûlante actualité ! mais non, oublié… ou caché menteusement, plutôt). Je signalerai aussi que la Déclaration des Droits de l'Homme est tellement pourrie, alliée aux forts, qu'elle interdit de condamner le contenu des religions.
Texte de Caroline Valentin (ancienne avocate, promue par le nommé Bensoussan) :
- Il est rappelé que les cris « mort aux Juifs » des cités musulmanes de France suivent les aléas des événements marquant le conflit israélo-palestinien. A mon avis, c’est une faute lourde du CRIF, disant les Juifs amis des Israéliens, sous-entendu : ennemis des Palestiniens, des Islamistes. Tout au contraire, il faudrait dire qu’être juif est une origine involontaire, n’imposant rigoureusement aucun avis politique. Erreur dans la désignation des coupables. Le racisme consiste souvent à taper sur tout un groupe dont la majorité sont des salauds, et c’est injuste d’oublier les innocents qu’il compte aussi. Il faut dire non au communautarisme et pas du tout viser le triomphe dominateur de sa propre communauté – il faudrait dire non à la religion israélite (et d’autres, d’accord).
- L’Islam français est sévèrement condamné, en disant qu’il ose nier la valeur d’égalité entre tous, principe de ce pays où nul ne vaut de naissance davantage que les autres. Eh, lis la Bible, l’Ancien Testament, qui a inspiré les royalistes aristocrates d’autrefois : le principe du judaïsme n’est pas moins que Dieu aime les [bébés] Juifs et méprise les [bébés] goys. Oui, c’est affreux, mais ne reprocher la discrimination qu’aux musulmans est idiot et/ou mensonger.
- « poursuite des implantations israéliennes en territoire palestinien (…) la gauche – extrême, morale, "antiraciste" (…) n’est pas seulement bête, elle est extraordinairement néfaste. » Insulte assortie d’erreur lourde : la pensée unique veut nous faire croire que la solution parfaite est l’acceptation de 2 états, renonçant aux conquêtes 1967 pour entériner celles de 1948, et je ne suis absolument pas d’accord. 1948 est le scandale numéro 1, et dis-moi, auteure imbécile, pourquoi avoir redonné en 1948 Israël aux Juifs et pas les USA aux Amérindiens ? En profitant que les Musulmans soient classés Indigènes, sous-humains, donc privé à ce titre de droit de véto ONU ? Qui est « bête » d’oublier les objections honnêtes (et anti-violentes) à ce sujet ? hein ? C’est de la pure propagande sioniste, version 1966.
- « La France, pays des Lumières, berceau des valeurs universelles des droits de l’homme, ne peut pas être un pays où les juifs se font agresser et tuer, parce que juifs, dans l’indifférence générale. (…) nous n’avons pas le droit d’assister sans réagir à la montée de la haine contre nos concitoyens juifs. Il en va de notre admiration pour la France et, en définitive, de notre fierté d’être français. » Je suis très choqué par ces mots, stupides ou criminels. Non, je ne suis nullement « fier » d’être français, je laisse la fierté usurpée aux xénophobes se prétendant supérieurs de naissance aux étrangers. Et les Droits de l’homme sont tout pourris contradictoires et autoréférents illogiques, au lieu de les acclamer connasse, ose une lecture critique. Et les lumières prétendues n’ont pas empêché la privation du vote aux femmes et indigènes, nulle fierté à avoir, non. Mais plus grave : pour que, plu’ jamais, un juif ne soit agressé « parce que juif », il faut d’urgence dissocier « juif » (innocent) et « sioniste » (coupable de racisme puisque les USA ne sont nullement envisagés d’être rendus équitablement aux Amérindiens). Au lieu de réfléchir contradictoirement, cette imbécile amalgame et condamne, c’est horrible. Et c’étaient ses mots de fin.
Texte de Luc Ferry (« philosophe », ancien ministre selon la page 211) :
- Luc Ferry est fier de rappeler qu’il a lutté contre l’islamisme avec la loi interdisant les signes religieux à l’école. Il oublie juste de dire que cette loi contredit les Droits de l’Homme, que son camp juge sacro-saints, là où ça arrange, bien sûr. C’est nul.
- « un troisième antisémitisme (…) Sous l’alibi de l’antisionisme, il défend encore aujourd’hui les thèses négationnistes et accuse Israël et ses "suppôts" d’organiser le retour du "grand Satan colonialiste". » Ce n’est nullement un alibi mais une discussion immensément sérieuse : si les colonialistes n’avaient pas dominé le Monde, l’Indonésie musulmane (4e population du monde, la France étant 21e) aurait mis un veto ONU à la recréation d’Israël chassant la majorité palestinienne. Et dire que les Juifs d’aujourd’hui ont droit de reprendre la terre des Juifs d’autrefois en chassant les propriétaires, ça devrait déboucher équitablement sur rendre aussi les USA aux Amérindiens, sauf triomphe des désidératas colonialistes des judéo-chrétiens (ce qui est le cas à 100%, bétonné par les droits de véto ONU refusés aux ex-indigènes). Qu’il instrumentalise la Shoah n’excuse rien, au contraire ça fait douter de celle-ci (aubaine par hasard ou manipulation mensongère ?), et les Caraïbes et Mohicans n’ont pas moins été exterminés, sans la moindre réparation envers leurs vagues cousins descendants. Et cet auteur souhaite-t-il que les polythéistes chassent les Français pour reprendre la Gaule, massacrant les refuseurs à la façon d’Israël 1948 ? Poser ces questions gravissimes n’est nullement un alibi mais une accusation terriblement sérieuse, de malhonnêteté générale, évidemment étouffée par ceux dominant le monde des livres, et la loi française (comme israélienne et étasunienne). Ça me confirme que Ferry n’est en rien un philosophe digne de ce nom mais n’est qu’un érudit stupidissime (ou bien outrancièrement menteur).
- « la culture ne garantit pas le recul de la barbarie. » Je te retournerai cette phrase dans ta gueule, imbécile. Tu as obtenu gloire à citer des multitudes d’auteurs célèbres et inconnus, et tu es inapte à la pensée logique, honnête. Tu es complice actif des exterminations racistes terroristes ayant refondé Israël (Der Yassin etc. 1948), c’est la barbarie la plus totale, mais c’est pour ton camp israélophile, alors il ne faut pas le dire. N’ose même plu’ te qualifier de « penseur », tu es un pur propagandiste adversaire de l’intelligence, tu es une merde ambulante, fièrement, à tort.
Texte de Monette Jacquin (psychanalyste) :
- Avant de lire, je récuse cette personne : faire profession des délires freudiens est une escroquerie en bande organisée. Cette personne n’est donc pas à écouter mais à fuir.
- Le sujet est le déni de terrorisme islamiste imputant à la folie individuelle les actes massacreurs récents. Je l’ai dit plus haut, je ne suis pas du tout favorable à cette psychiatrisation innocentante. MAIS je dénis bien plus grave : que les victimes soient davantage innocentes que les bébés de Dresde ou Hiroshima que « notre » camp a massacré ! Avec la recréation terroriste d’Israël a été amorcée une guerre terrible, toujours en cours, et nos leaders sionistes y incarnent le Mal premier, fauteur de révolution sanglante en face (excessive à mon goût, mais je comprends, ce qu’interdit la loi française – jugeant que comprendre c’est approuver donc trahison et même pire : crime de droit commun comme s’il n’y avait pas guerre réciproque mais ici société paisible agressée sans la moindre raison, autre que diabolique). C’est le niveau super-zéro de la pensée, de l’intelligence critique. Pour une psychanalyste, c’est hélas naturel, mais les relais et les éditeurs sont coupables (et bien sûr non-poursuivables – ce sont les accusateurs qui seraient condamnés pour antisémitisme !).
- L’auteure glose en tant que savante experte sur le déni, mais elle oublie (zut ?) le déni sur l’extermination des Amérindiens, qui a bâti les USA, soutien numéro 1 d’Israël brimeur de musulmans. Déni qu’autorise à 100% la loi Gayssot, ne pourchassant que le déni de martyre juif (voire arménien puisque les coupables en sont des musulmans, pas les alliés d’Israël)… Oh non, ce n’est pas n’importe quoi idiot, c’est savamment orchestré par les sionistes, stupides (je ne dois quand même pas être seul au monde à le percevoir).
- « comment comprendre, quand on doit se battre non seulement contre le terrorisme armé mais aussi contre le terrorisme intellectuel qui empêche de penser ? ». J’aurais pu écrire cette phrase, mais elle l’emploie exclusivement pour sa chapelle, et il est interdit de lui opposer le même argument en face. Son camp sioniste a le pouvoir, et le lobby sioniste terrorise les législateurs qui écrivent les lois pour satisfaire tous ses désirs contre l’intérêt général, en gouvernant la force armée ici (police, justice, prison, armée proprement dite). Je suis d’accord pour penser sans tuer personne, mais c’est interdit, légalement ! Menacé de prison et ruine, ou élimination meurtrière par services spéciaux discrets (oui, je suis paranoïaque, en plus, avec de solides arguments, qu’ils appellent rationalité pathologique, puisque c’est eux qui ont le pouvoir de juger, affreusement).
- L’auteure ne fait pas que juger psychotiques et pervers ceux qui s’opposent à sa croisade contre l’antisémitisme généralisé, elle précise qu’ils sont paranoïaques, évidemment, je l’avais deviné avant qu’elle le dise, tant sa stratégie menteuse est claire comme de l’eau de roche, simplement stupide, 6 ans d’âge mental peut-être. Comme Freud et son tout-zizi.
- Elle conclut « Cependant, la vérité n’a parfois qu’une toute petite voix, mais c’est une voie inimitable. » C’est mensonger : les sionistes actifs n’ont absolument pas qu’une toute petite voix brimée, ils disposent du pouvoir, y compris policier et contrôlent la prétendue « justice ». Et ils sont les seuls responsables du prétendu "nouvel antisémitisme", cachant les sionistes coupables derrière des juifs innocents (bébés et renégats comme moi).
Texte de Jacques Tarnero (chercheur fonctionnaire, coauteur avec Philippe Bensoussan) :
- Il est mentionné le caractère antisémite des meurtres de Juifs fondés sur le principe « les Juifs ont de l’argent », mais je connais la solution ultrasimple pour prévenir ça : autoriser les statistiques ethniques et prouver que c’est faux. Toutefois, de telles statistiques sont interdites par la loi en France. Or, dans les pays où elles ne sont pas interdites, comme les USA : le phénomène, au contraire d’être prouvé imaginaire, est démontré objectivement, significativement. Aïe, embarrassant, on comprend que la loi française le cache par souci de pacification, mais dire qu’il est antisémite de ne pas se laisser ainsi voiler la face est simplement mensonger. Résister au mensonge pro-juif raciste n’est pas du racisme mais de l’antiracisme. Ceci dit, je suis d’accord qu’il ne faut pas généraliser, et une différence statistique ne prouve pas une corrélation à 100% du tout.
- Il est décrié la position qui est la mienne sans le moindre argument : les Israéliens (et leurs supporters Juifs sionistes majoritaires dans la diaspora) se comportent racistement envers les Palestiniens comme les Nazis se comportaient racistement envers les Juifs. A part être scandalisé, il a quoi comme argument, le tribun qui tempête ici ? Rien apparemment, mais je continue, en soupirant.
- Il est dit que la nouvelle cible après les Juifs, ce sont tous les mécréants (non-musulmans) d’Occident, mais là encore je proteste : le scandale numéro 1 vient de nos politiciens, clamant au nom de la France entière (et pareil en Belgique, etc.) que nous soutenons totalement le droit à la sécurité d’Israël, son droit à l’existence bien sûr, donc l’interdiction de retour pour les expulsés décrétés « de sale race » (nullement invités à devenir juifs, par la théocratie israélienne). Alors ça nous fait passer pour tous approbateurs, d’où massacre évidemment, mais… il faudrait condamner ces politiciens, pas seulement les tueurs en face (comme nos armées ont compté des prétendus « héros » tueurs, bombardant les bébés allemands pour les griller vifs…).
- « cette réalité, certains en Occident refusent de la comprendre et de la nommer. Ils donnent à ces attaques un statut de revanche historique contre un colonialisme toujours vif. » Oui, j’en fais partie : sans colonialisme opprimant les indigènes, Israël aurait été empêché de recréation en 1948, ou les USA seraient rendus aux Amérindiens comme Israël a été rendu aux Juifs. Mais l’auteur ici insulte, en cachant les questions qui feraient débat, enfin non : ne feraient pas débat tellement les leaders occidentaux sont horribles, et ils ont les moyens d’interdire ce débat (évidemment absent de ce livre nul, de propagande sioniste).
- « tous les indignés, idiots utiles de l’antiracisme antijuif ». Insulte injuste, connard, éh toi, raciste projuif anti-humaniste, classant en racistes tous les antiracistes osant résistance…
- Mensonge encore dans le paragraphe final : « qui va bien au-delà de la revendication d’une patrie pour les Palestiniens ». Non, ce n’est absolument pas le sujet. L’auteur comme la pensée unique en France veut faire croire à la solution sioniste 1966 : que la victoire raciste 1948 soit pleinement entérinée, et que les expulsés en Egypte et Jordanie constituent éventuellement une patrie à eux. Connard, j’inviterais alors les polythéistes du monde à venir reprendre la Gaule, massacrant les populations françaises, les expulsant vers la cis-Alsace et la bande de pays basque, à jamais, ça te paraitrait juste et merveilleux ? Alors ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’il te fasse. Ça demande 3 ans d’âge mental, c’est visiblement viser trop haut pour ce demeuré profond (ou menteur patenté, certes, mentant très très mal).
- Les victimes juives et occidentales des tueries islamistes sont dites « sur la ligne de front de cette guerre mondiale », et je le conteste. Je suis pacifiste et refuse d’approuver notre camp dans cette guerre, pointant ces fautes ultralourdes, à réparer au lieu de tuer ceux d’en face.
Texte de Barbara Lefebvre (enseignante d’après la présentation en page 211) :
- « la peur de nommer l’ennemi, de dire le réel qui vient se fracasser sur notre belle morale humaniste. » Cette auteure-là semble une nouvelle débile profonde : les politiciens français, de droite à gauche, sont résolument anti-humanistes, ils sont pour rendre Israël aux Juifs mais pas les USA aux Amérindiens, ils sont nationalistes repoussant les migrants économiques en enfreignant le droit de l’homme « tous les enfants naissent égaux en dignité et en droit ». Mais comme elle gobe la propagande se prétendant vertueuse, et qu’elle est dépourvue d’intelligence critique, elle n’y voit rien de rien, et tout ça lui irait très bien si en plus s’ajoutait une vraie croisade anti-islamiste assurant le plein triomphe sioniste façon 1966.
- « les Français juifs jouissent-ils de tous leurs droits de citoyens ? Car le droit à la sécurité est un droit fondamental écrit dans nos lois… ». Eh, les néo-nazis jouissent-ils de tous leurs droits de citoyens ? Ils sont emprisonnés, en fait, pour illégalité, mais les sionistes actifs, partisans tonitruants de rendre Israël aux juifs mais pas les USA aux Amérindiens, ne sont nullement inquiétés, ils sont même approuvés par la loi, et leurs contradicteurs sont emprisonnés comme antisémites. Ils sont en quelque sorte sur-citoyens, choyés, tout au contraire d’être brimés. Et cela déchaine la colère évidemment. Il ne convient pas de pourchasser cette colère (même s’il est regrettable qu’elle devienne violence parfois), il convient d’abroger le racisme officiel des lois pro-juives (facteur aggravant de l’antisémitisme, loi Gayssot anti-amérindien etc.).
- Il est dénoncé que l’islamisme est meurtrier et se veut politique. C’est juste oublier que le mot autrefois répété rituellement dans les synagogues « à l’an prochain à Jérusalem » est devenu tueur et politique en 1948, avec totale approbation des leaders d’Occident depuis lors. Là encore, se scandaliser d’un seul côté n’est pas juste : c’est de la propagande active. (Je ne dis pas que la religion islamiste est innocente, je dis que la religion israélite a basculé dans la même horreur, et a commis l’agression majeure dont l’islamisme constitue le retour de bâton, pareillement extrémiste.)
Texte de Eric Marty (professeur « supérieur » de littérature selon la présentation page 212) :
- Le texte commence par un long discours sur la Shoah et la culpabilité française à ce sujet, et je ne peux pas dire quoi que ce soit sans risquer la prison, « grâce à » la loi Gayssot interdisant la liberté de pensée sans violence (enfin, toute objection est classée violence par les sionistes racistes au pouvoir, instrumentalisant cette Shoah en crachant sur les massacres d’Amérindiens en Louisiane et au Québec, « sales races, inférieures » !)… [ajout 29/05/2018, en relecture : je me doute qu'il y a un autre argumentaire, en face, mais je le juge mensonger : "il faut sacraliser le martyre juif sanctionné par tous à Nuremberg, voire le martyre arménien juste avant, mais bien sûr on ne va pas remonter infiniment en arrière jusqu'à la préhistoire, on arrête là. Quoi, ça fait punir les adversaires du sionisme et bénir ses partisans ? Ah bon, c'est une totale coïncidence, pas voulue du tout, c'était exclusivement une question de dates, à l'évidence... En toute objectivité, et interdit de proposer d'autres dates, ce serait antisémite menaçant Israël ! innocent !" Hum]
- « son véritable horizon, son horizon de sens par lequel un fait cesse d’être divers pour devenir quelque chose qui engage l’humanité entière de ses protagonistes. Depuis Auschwitz, tout acte antisémite, tout meurtre antisémite, est symboliquement la répétition d’Auschwitz. » C’est une erreur très lourde, horrible. L’auteur ici crache allégrement sur les enfants goys désarmés qui ont été massacrés par les colons israéliens en 1948, qu’il classe en négligeables faits divers alors que cela a été l’instrument-même de la recréation d’Israël, via la fuite de la majorité palestinienne, interdite de retour depuis (comme les expulsés dévalisés sous peine de mise à mort immédiate), avec approbation totale de la France diplomatique jusqu’à aujourd’hui inclus (appelant à la retenue dans la mise à mort sans jugement, mais approuvant entièrement l’interdiction de retour). Pire : Der Yassin dément totalement l’innocence en tant que groupe de la communauté juive, dont les discours en synagogues préparaient cette barbarie raciste anti-goy, effectivement cohérente avec la célébration du massacre des Cananéens (bébés inclus) pour fonder l’Israël antique. Mais puisque toute objection sera classée antisémite génocidaire, le tribun aberrant triomphe, salement, criminellement par alliance. Comme la parole est interdite aux contradicteurs (qu’il fait classer « antisémites »), c’est facile, il n’en est pas moins super fier de lui.
Texte de Daniel Sibony (professeur « supérieur » philosophe et psychanalyste, d’après la présentation page 212) :
- « version que l’on retrouve dans des discours antijuifs, selon laquelle les juifs veulent dominer le monde ». C’est un contresens multiple, au moins double. L’Ancien Testament de la Bible, la Torah, exprime en clair que les descendants d’Abraham ont pour vocation de dominer les nations, ce ne sont pas les antijuifs qui l’inventent, c’est écrit dans le texte prétendu sacré. Ensuite, c’est effectivement ce qui se passe depuis 1948, le monde étant inapte à faire condamner Israël (faire revenir les expulsés « de sale race ») puisqu’il est commandé par la minorité occidentale, elle-même commandée par sa prétendue « élite », farouchement israélophile comme le montre encore cet ouvrage, massivement appuyé par les célébrités. Par contre, et c’est ce qui est très grave, il est totalement faux d’en conclure racistement que « tous » les juifs, intrinsèquement, sont ainsi : non, il s’agit exclusivement des sionistes actifs parmi eux, certes très majoritaires mais il y a aussi des renégats innocents, comme moi, les bébés, etc. Il ne faut de racisme car il ne faut pas se tromper de colère : oui, une immense colère est méritée depuis la Nakba anti-palestinienne, anti-goy, mais ça doit aboutir à prononcer la condamnation du sionisme, pas du tout du « sang juif », ce livre n’a rien compris à rien. C’est criminel (protégeant des coupables, et donnant à tuer des innocents par la colère en face).
- L’auteur condamne la pseudo-solution « normalisez le peuple juif, et il n’y a plus d’énigme ». Il dit « quand on déclare qu'on a été élu par Dieu », et il ne lui vient pas à l’idée que cette pensée religieuse classe Dieu en raciste, méprisant les « sales » goys. Non, il ne voit rien de rien, il est totalement approbateur, dénué d’intelligence critique. C’est ce genre de pseudo-penseur qui se qualifie d’ « élite », c’est terriblement malhonnête.
- « "ça n’a rien à voir avec l’islam" (…) Car un des effets du déni officiel, c’est une censure implacable de tout ce qui lui objecterait ». J’aurais pu écrire cette fin de phrase, l’auteur ne voyant pas que, armé de la loi Gayssot, c’est son groupe à lui qui interdit les objections à son sionisme fervent, armé de la Shoah instrumentalisée (en crachant sur les martyres amérindiens qui feraient rendre les USA aux Amérindiens, équitablement). Non, la discussion n’est nullement ouverte, honnête, ces sionistes ont le pouvoir, de faire taire, de clamer leur propagande haut et fort, sous les applaudissements et avec tous les relais médiatiques possibles et imaginables…
- Selon lui, la pire étiquette est « islamophobe », qui terrorise les penseurs et aboutit à perdre notre liberté de pensée. C’est faux, encore pire est l’étiquette « antisémite », qui vaut néo-nazi génocideur monstrueux, pas simple imparfait en matière de liberté religieuse. Là encore, ces gens interdisent à autrui ce qu’ils s’accordent. C’est le principe de l’immoralité « faites ce que je dis, pas ce que je fais ».
- L’auteur cite un cas de professeur présentant les religions, disant que la première c’est le judaïsme, et un élève musulman proteste en clamant que c’est l’islam. Moi (pas l’auteur), je dirai que les deux sont des ânes, et qu’il y avait des religions sur Terre très antérieures au judaïsme, qui n’a fait que clamer Dieu universel le Dieu pro-juif dans un contexte polythéiste où chaque tribu s’inventait un protecteur. Mais l’auteur est freudien et se réfère au père premier que veut tuer le fils, alors il délire n’importe comment, au lieu de penser juste. C’est affligeant, mais hélas logique pour un psychanalyste (volant sa place comme professeur universitaire, payé par mes impôts extorqués sous menace policière…).
- « L’idéal européen, c’est l’homme de la technique paré de valeurs humanistes ». Faux, archi-faux. Les Européens sont allés dominer le monde, écraser le monde, classé indigène inférieur, cela n’a rien d’humaniste – et ça reste entièrement actuel, les droits de veto ONU de Grande Bretagne et France n’étant nullement donnés aux ex-colonies Inde et Vietnam, davantage peuplés (ou à l’Indonésie ex-Indes-Néerlandaise, 4e population du monde mais musulmane)... C’est un principe aristocratique antihumaniste, relevant du mode de pensée judaïque (l’aristocratie « de droit divin » se fondait sur l’ancien testament judéo-chrétien favorisant les familles « élues » par Dieu selon elles-mêmes)…
- Ayant fini le texte nul de cet auteur, je reviens sur un point : page 114-115, il dit que les juifs sont haïs depuis toujours (Isaac) par jalousie du fait de leur réussite sociale ou pécunière, pourtant admirable. Je ne suis pas d’accord : ce livre prouve encore que la réussite ne se fait pas « au mérite » mais « par manœuvres déloyales », et le piston intra-communautaire injuste est à la fois garant de réussite d’un côté, de rancœur de l’autre côté. En Fac de médecine, il était très connu que les enfants de grands médecins (juifs ?) installés seraient reçus au très difficile concours : même apparaissant totalement nuls en travaux dirigés, ils brillaient au concours parce qu’ils connaissaient les questions à l’avance, à l’évidence. « Aime ton prochain comme toi-même » (sous-entendu « aime l’autre juif, méprise le non-juif ») induit automatiquement cela, c’est un terrible problème sociétal, pas vu pas compris par l’auteur, idiot ou malhonnête.
Texte de Boualem Sansal (auteur primé) :
- Il est affirmé que l’Islam est en train de prendre le pouvoir en France, et cela me parait idiot et mensonger. 100% des candidats politiciens (sauf Dieudonné) sont sionistes actifs, version 1966 minimum, cela est résolument antimusulman. Et l’antisioniste Dieudonné (inviteur de rabbins minoritaires antisionistes, avec boycott des médias à leur conférence de presse – visible sur le Web) était présenté par toutes les télévisions, tous les analystes, comme un odieux raciste antisémite – de fait il était privé de la possibilité d’argumenter pacifiquement. Ce n’est en rien de rien une prise de pouvoir. Ce qu’il y a, c’est que quelque part, ce sionisme est un peu inconfortable, suivi par peur panique d’être traité d’antisémite, donc il n’est pas aussi enthousiaste que le voudrait le présent livre, qui vitupère contre les hésitations partielles des soumis insuffisamment endoctrinés.
- « il y a comme une fatwa naturelle sur tous les juifs de ce pays (…) préfigurant (…) la grande extermination finale ». Attention, c’est cela le drame : la généralisation abusive, raciste, mais ce livre jusqu’ici n’a fait que claironner la généralisation raciste inverse : tous les juifs sont innocents. Qu’ils approuvent les massacres de Der Yassin 1948 n’est en rien compté faute, qu’ils approuvent la mise à mort des Palestiniens coupant les barbelés pour rentrer chez eux : idem. Je ne suis absolument pas d’accord. En 1939, il pouvait être prétendu que le fait d’être juif était innocent (l’adoration envers le massacre des goys cananéens n’étant que du virtuel légendaire dans les nuages), mais tout a changé avec la Nakba 1948 : seuls les Juifs antisionistes sont innocents, et il ne faut pas se tromper de colère, ça veut dire deux choses indissociables : 1/2 = il y a des juifs innocents, le racisme antijuif est criminel ; 2/2 = il y a une majorité de juifs coupables, le racisme les innocentant (en traitant les justiciers d’antisémites) est criminel. L’auteur va-t-il le dire ? J’en doute fort, car ça bouleverserait le sens du livre et invaliderait sa conclusion en 4e page de couverture. [ajout 29/05/2018, en relecture : sans surprise, ce point 2/2 est totalement banni de cet ouvrage tout entier, militant pour le museler totalement, diabolisé par contresens absolu affirmé rigoureusement incontestable.]
- Concernant le caractère antisémite de l’assassinat d’une vieille dame juive, « silences indifférents… coupables… complices. » Eh, en matière de silence assourdissant, ne vois-tu pas un léger problème quand nos officiels glorifient unanimement chaque 8 mai nos alliés étasuniens, massacreurs d’amérindiens, de bébés allemands et japonais ? Non, certes, « ces victimes-là n’étaient pas juives mais étaient goy, sales races ! »… Quelle horreur, ces sous-entendus, implicites dans la victimisation préférentielle des seuls juifs…
- « il y a eu assassinat, séquestration, torture, barbarie, le tout au nom d’Allah. » Eh, c’est au nom du Dieu pro-juif de la Bible que les colons américains ont exterminé les Amérindiens (sans aucune poursuite à ce jour), ces colons se disant « les nouvelles tribus d’Israël », rééditant simplement le massacre des Cananéens célébré dans toutes les synagogues… Oui, c’est abominable de tuer au nom de Dieu, mais pareillement au nom de Dieu ou de Yahvé, pas pire du tout côté Allah, sauf malhonnêteté dirigée. La théocratie israélienne abat à la mitrailleuse les gens de « sale race » voulant revenir en contestant le caractère juif des conquêtes sionistes, mais ça ne te choque en rien ? Oui, il y a erreur de colère en face, en condamnant « tous » les juifs, mais la grande majorité sioniste de la communauté juive, qui détient le pouvoir en Occident (les politiciens étant terrifiés à l’idée d’être traités d’antisémites), justifie une colère certaine. Plus sera retardé la réparation juste de ces horreurs, plus la haine grandira, jusqu’à se tromper de colère et tomber dans l’erreur raciste, très grave. Cet ouvrage n’a rien de rien compris à cela, jusqu’ici, exigeant de bénir Israël et les juifs sionistes.
- « agir fermement pour faire reculer l’idéologie qui fabrique aujourd’hui de l’antisémitisme au grand jour, en masse, et en toute légitimité. » Ce sont les mots de la fin, et cet auteur diffamatoire m’inclut sans doute, puisque résistant à son appel, parmi ces idéologues qu’il maudit. C’est totalement faux : le racisme antisémite massacre jusqu’aux bébés, prétendus de race mauvaise ; tout au contraire, je dis que les bébés (juifs ou autres) sont 100% innocents, et les coupables sont exclusivement les sionistes expulseurs de goys, et il faut tout à la fois les condamner et les discerner sans racisme aucun. Mais la pensée judicieuse, juste, est interdite par les tribuns ayant le pouvoir, confisquant le pouvoir (et méprisant le peuple et les populistes, classés « à tendance antisémite », puisque hostile au commandement par cette prétendue « élite »).
Texte de Pascal Bruckner (« philosophe » auteur multi-publié et traduit d’après la page 211) :
- Le texte commence par une dénonciation du point de vue qui est le mien, à un détail près, colossal : ce ne sont pas du tout « les Juifs » qui dominent le monde en se prétendant victimes et en agissant en bourreaux, ce sont « des » Juifs, absolument pas tous, et cela change absolument tout. Non, il ne faut pas se tromper de colère, mais une immense colère est légitime. Et en s’attaquant aux causes plutôt qu’aux conséquences, c’est la religion israélite qui s’avère la génératrice de cette horreur antihumaniste (la notion non prosélyte de peuple élu dénie racistement « tous les enfants naissent égaux en dignité et en droit »). Mais puisque l’auteur s’est déjà trompé en faisant passer la lucidité honnête pour racisme généralisateur à tort, il va triompher évidemment, faussement, idiot ou menteur.
- « Par malheur, les faits, les simples faits démentent ces assertions », et liste de victimes juives récentes. C’est le niveau zéro-zéro de la pensée, ou le niveau maximal du mensonge rhétorique. Si des révolutionnaires ont assassiné des nobles en 1789, ça ne dément aucunement que le système noble était une atrocité immorale, ça signifie seulement que quelques offusqués ont été excessifs en pratiquant la mise à mort au lieu d’expliquer pacifiquement le bien-fondé de leur vue révolutionnaire – et certes ils auraient été emprisonnés ou tués, comme cela risque de m’arriver. Hélas, ça ne laisse la place qu’à la contestation violente, non que celle-ci soit juste, mais la voie juste a été sciemment empêchée, ce que fait ici en matière de sionisme cet auteur, ce livre, de propagande diabolisatrice aiguë.
- « comme cet enfant de huit ans portant une kippa à Sarcelles et agressé par des adolescents ». Je ne suis pas d’accord qu’il s’agisse là d’un acte horrible par des monstres envers une victime totalement innocente. A mon avis, les frappeurs de petit enfant sont coupables, d’accord, mais aussi les parents du jeune, l’ayant affublé d’un signe ostentatoire clamant « je suis un élu de Dieu, qui méprise vos races, sales goys ! », insultant, provocateur, incitateur à la haine. Si ce ne sont pas les parents qui lui ont imposé ce signe, s’il l’a mis de lui-même, je désapprouve quand même ses parents et éducateurs religieux lui ayant fait croire que là était le bien, lavant son cerveau immature en lui faisant perdre l’innocence pour le gaver de racisme. C’est comme un enfant de 8 ans en Afrique du Sud 1980 qui se serait fait agresser (par des ados noirs) alors qu’il portait simplement un gyrophare/haut-parleur clamant « je suis blanc, oui super-supérieur (aux sales nègres, berk) et très fier de l’être ». Innocent ? hum… Pauvre victime de manipulation mentale horrible, plutôt, d'accord il ne faut pas le frapper mais il y a beaucoup à condamner en la matière.
- « la haine des juifs n’est plus le seul fait de l’extrême-droite mais vient en majorité de l’ultra-gauche (qui la rebaptise antisionisme) (…) C’est au nom de l’antiracisme, du respect de l’autre qu’on va expliquer ou excuser cette attitude. (…) le racisme s’exprime de nos jours dans les mots de l’antiracisme ». Si j’étais publié, relayé, interviewé, diffusé, et que les musulmans préfèrent tuer, cet auteur aurait raison, mais absolument pas : la critique antiraciste du sionisme est rigoureusement interdite, diabolisée par amalgame, alors seuls des fous de haine émergent du silence écrabouillé par les ultrapuissants sionistes. Non, ça ne justifie en rien leur écrabouillage comme le prétend cet auteur idiot ou menteur, c’est au contraire si la critique antiraciste du sionisme-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens était permise que cela ferait réparer cette horreur raciste, évitant les pulsions de haine chez quelques faibles d’esprit. Mais non, ici on est dans la diabolisation à pleins tubes, comme si Ben Laden était un agent double du Mossad, pour discréditer l’antisionisme non-violent par amalgame et punition retour globale (ce que je dis n'est nullement une affirmation catégorique mais une hypothèse, qui semble corroborée par les conséquences obtenues).
- « L’antisionisme est l’antisémitisme justifié, mis enfin à la portée de tous ! ». Pas du tout, c’est parce qu’est catégoriquement interdite la version antiraciste de l’antisionisme que ne persiste que sa version raciste, et c’est voulu stratégiquement (malhonnêtement) pour écrabouiller (par amalgame diabolisateur, facile) la version antiraciste vraie, étouffée.
- « L’Europe et la France en particulier ont érigé toutes les barrières morales et juridiques pour prévenir le retour de la "bête immonde" » (l’antisémitisme). Erreur ultra-lourde : les barrières morales qui me paraitraient essentielles seraient l’interdiction de la raciste religion israélite, et du soutien raciste au sionisme-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens. Ce ne sont donc en rien des barrières morales humanistes (repspectant tous, juifs inclus) qui ont été érigées mais des barrières israélophiles conférant à la fraction raciste des Juifs le monopole du droit au racisme. C’est abominable. Et ce que je dis n’est en rien de rien une mise à mort des juifs, dont un des deux sens du dictionnaire est « descendant des Hébreux » : aucun besoin de religion raciste ou nation xénophobe raciste pour être juif, et pour être juif innocent, il faut (et suffit d') éviter ces deux pestes, certes tentatrices comme l’égoïsme groupiste en général (nationalisme etc).
- « l’antiracisme finit par verser dans ce qu’il dénonçait – la détestation d’un groupe précis –, laquelle fait plus pour ressouder une communauté que les appels à l’harmonie et au "vivre-ensemble", » Très lourde erreur d’analyse, là encore. Ce que dénonce l’antiracisme, c’est la classification dès la naissance (ou avant) en inférieurs/supérieurs : selon l’affreux Hitler un bébé juif était « coupable » de son sang mauvais, selon l’atroce Marseillaise (encore aujourd’hui) un bébé étranger est « coupable » de son "sang impur". Par contre, il est tout à fait normal pour les antiracistes de s’en prendre au groupe précis des adultes nazis ou apartheidiens, l’histoire de « groupe précis » n’a aucun rapport avec le sujet, sauf confusion mentale, ce qui semble le cas de cet auteur, ou il ment simplement très très mal, très fier à tort de donner des leçons.
- « le juif (…) son entêtement à ne pas disparaître, avive l’hostilité qu’on lui voue ». Caricature idiote, encore une fois. En abandonnant le sionisme et la religion israélite, racistes, les juifs ne disparaitraient nullement en tant que « descendants des Hébreux » (dixit le dictionnaire), ils cesseraient simplement de se présenter comme une communauté raciste, attirant la haine raciste opposée (injustifiée) sur leurs bébés et renégats-même. L’auteur n’a nullement réussi le tour de passe-passe de me mettre le nez dans le caca : j’ai déjoué toutes ses manœuvres et prouvé ses mensonges.
- « Nous assistons à la victoire posthume de Hitler sur l’autre rive de la Méditerranée ». Je ne suis absolument pas d’accord : au vu du résultat 1948 juste après 1945, recréant Israël racistement (sans rendre les USA aux Amérindiens) en faisant taire toute objection qualifiée d’antisémite néo-nazie (ça continue en 2018), Hitler est le super-héros du sionisme (épouvantail à ne jamais jamais oublier), et un suicidaire sioniste aurait pu faire ce qu’il a fait, sacrifiant des millions de gens pour le but grandiose de réobtenir la (prétendue) Terre Promise après des millénaires d’errance. En ce sens, la Shoah n’est pas une horreur abominable (point de vue humaniste) ni une aubaine formidable (point de vue sioniste) mais un calcul logique (objectivement), efficace sur les frileux tremblant de peur d’être traités d’ « antisémites », au lieu de réfléchir honnêtement. Cela explique tout, tout, donc il est interdit d’oser seulement l’envisager. L’intelligence hypothético-déductive est-elle antisémite comme l’intelligence critique ? Ça semble la conclusion de cet auteur pourri.
Texte de Philippe Val (journaliste et auteur, d’après la page 213) :
- Je m’arrête après les premières lignes, pour écrire mon sentiment : l’auteur demande ce qui fait qu’on a oublié l’horreur de l’accusation antisémite contre l’innocent Dreyfus pour devenir indifférent envers le caractère antisémite du meurtre de l’innocente vieille dame juive susmentionnée. La différence, colossale, je la perçois : c’est la Nakba 1948, soutenue par presque tous les juifs de la diaspora, qui se sont ainsi avérés être des monstres racistes (camouflés jusque là ?) au lieu d’être des innocents. Cette vieille dame tuée, si elle était antisioniste anti-israélite, était effectivement innocente, très injustement massacrée par faute du CRIF militant pour l’amalgame "judéité = sionisme (sans rendre les USA aux Amérindiens, donc racistement)". Par contre, si elle était sioniste, elle n’était absolument pas innocente mais approbatrice active des assassinats terroristes racistes de 1948 et qu’elle prenne un atroce retour de bâton est hélas logique. Rien à voir, rien de rien, avec Dreyfus bien avant 1948. L’auteur va-t-il parer cet argument ou l’ignorer (le cacher tant c’est évident) ? Je continue. [ajout 29/05/2018, en relecture : non, les arguments adverses honnêtes ne seront nullement examinés plus loin. Ceci dit, je précise ce que j'ai écrit : je ne dis pas que la vieille dame en question méritait d'être assassinée, pas du tout, je la juge seulement comme une raciste (méritant condamnation morale) hélas victime de racisme retour, comme une vieille Afrikaner discrètement anti-noir, sans tuer personne, et qui aurait été hélas tuée par un Noir en colère extrême. Non, ça ne méritait pas peine de mort, mais stopper sévèrement le triomphe du racisme Apartheid était la solution juste à cette violence, pas pourchasser un prétendu racisme-antiBlanc, ce livre est totalement injuste, raciste projuif antihumaniste, militant anti-évidence.]
- Encore une fois, il est posé comme évidence que l’antisémitisme est une circonstance aggravante pour un crime, moi je le dénie : cette loi est raciste active, déniant l’égalité de tous devant la loi pour « élire » les seuls Juifs, en crachant sur les « sales goys », massacrables eux, c’est beaucoup moins grave, quelle horreur… Non, cet auteur-là ne réfléchit pas plus humanistement que les autres, il est israélo-préférentiel raciste, et c’est cette favorisation même qui génère la haine en face, pourquoi ne le comprend-il pas ? Ou, sans être idiot profond, il ment, manœuvre, certes, c’est simplement moche, nul.
- « serait (…) dictatures plus ou moins religieuses (…) Mais en France, où il n’y a aucun risque policier (…) ce silence n’est pas une faute, c’est un reniement de soi et, puisqu’il faut appeler les choses par leur nom, un silence antisémite ». Ah, tu veux jouer à ce jeu ? « Puisqu’il faut appeler les choses par leur nom », tu es un raciste approbateur actif des massacres terroristes de Der Yassin, exigeant de classer innocents tes semblables ultra-horribles massacreurs, complices des dizaines de millions d’Amérindiens exterminés sans réparation d’aucune sorte. Eh, la France est un état policier sioniste, avec sa loi Gayssot judéo-préférentielle punissant de prison la liberté d’opinion, persécuteur au titre de l’ « apologie du terrorisme », envers ceux qui osent montrer combien nos politiciens sont le Mal xénophobe raciste aristocratique (il est considéré que « comprendre l’adversaire » c’est approuver ses actes tueurs, c’est faux mais le pouvoir légal et judiciaire décide, se contrefichant de l’honnêteté intellectuelle, de l’intelligence, de l’honnêteté). Oh oui, nos tribuns donnent des leçons grandiloquentes au reste du monde, en interdisant simplement de montrer leurs torts, leurs fautes graves. Dictature, oui. Mais, certes, un mouton propagandiste le dénie et clame que les opposants sont diaboliques pires que déments, son camp à lui ayant l’exclusivité de la raison et de la morale, de l’innocence. Bla-bla, convaincant des tonnes de décérébrés apparemment, ça marche, c’est à pleurer.
- Un très long paragraphe discourt des « intellectuels » ayant par principe dénoncé l’injustice depuis des siècles, et je devine la suite : mais les intellectuels présents manquent à leur devoir de dénoncer l’antisémitisme islamiste. Je ne suis pas d’accord : les prétendus intellectuels occidentaux sont des ânes ou des menteurs alliés à l’injustice raciste tueuse du sionisme-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens. Cela date de 1948, sans interruption, ce n’est nullement une conséquence de la nouvelle guerre Occident-Islamisme. Ce qui se passe, c’est que les Arabes brimés se sont (un temps) tournés vers le Soviétique ennemi de l’Occident pour casser l’horreur sioniste (bien que l’URSS n’ait pas posé son véto en 1948), et après l’auto-effondrement du communisme idiot (à 100% de fonctionnaires je m’en foutistes, donc dictature pour que ça tourne, presque, mal), l’autre vecteur politiquement puissant est la religion islamiste. C’est un aléa historique, mais le crime 1948 étouffé (en privant les « indigènes » musulmans de véto ONU) n’est pas nouveau, non.
- L’auteur décrie le silence n’ayant pas hurlé pour qualifier d’antisémite tel meurtre en France, mais il ne lui vient pas une seconde à l’idée qu’il y a un silence comparable ou pire à ne pas qualifier de racisme anti-goy les meurtres (totalement impunis) d’enfants en Israël 1948, et à approuver la parole publique française affirmant la population ici approbatrice de l’existence d’Israël, obtenue grâce à ce terrorisme vainqueur, faisant fuir la majorité, interdite de retour en abattant les contrevenants (osant dénier le droit israélien à la xénophobie raciste – sans conversion religieuse envisageable pour les candidats au retour « mal nés »). Et si l’assassinée en question était approbatrice des meurtres de Der Yassin, elle n’était en rien innocente, non : ça ne méritait pas peine de mort, d’accord, mais condamnation de sa personne, son groupe de personnes (les sionistes, pas les Juifs, il ne faut pas se tromper de colère), mais tout cela il est interdit de le dire publiquement : le silence est imposé par la loi française, persécutant comme « antisémite » l’équité humaniste… (alors ça pète en déchainement de violence idiote, puisqu'intelligence et honnêteté sont interdites, hélas, et c'est voulu, pour la diabolisation pour la victoire sioniste).
- L’auteure tempête contre les intellectuels qui ont oublié « la défense de l’innocence ». Erreur, totale et pire encore : la défense de l’innocence aurait consisté à hurler contre les assassinats terroristes sionistes, mais la prétendue intelligentsia, sioniste, s’est tue et c’est cela qui est affreux. Quand des sionistes se font maintenant massacrer, il est logique que cette même intelligentsia se sente gênée pour hurler au scandale, se sachant coupable du même crime en ayant conscience de « ne pas avoir les fesses propres ». Mais pour cet auteur, il suffit d’écouter la propagande sioniste et négationner le mode tueur de création (et maintien) d’Israël, et hop, on pourrait hurler au scandale des tueurs adverses (en fait vengeurs). Je ne dis pas que ces tueurs sont des héros, comme je n’applaudis pas les massacreurs alliés des civils/bébés à Dresde et Hiroshima, mais j’explique que le mal premier est en face, à ne pas cacher par propagande supermassive (à la façon de ce livre débilitant).
- L’auteur se réjouit de la ferveur populaire communiant « je suis juif » dans les manifestations anti-islamistes après la tuerie de Charlie-Hebdo/hyper-casher. Il oublie juste de dire qu’il est facile de dresser les foules quand on contrôle les actualités et la parole publique, tant « majorité » que « opposition ». On a fait taire la beure humble qui a demandé pourquoi railler l’Islam était classé Liberté magnifique quand railler le Judaïsme est puni comme racisme inadmissible. Personne n’était autorisé à expliquer : le judaïsme est légalement autorisé en France à avoir le monopole du racisme, tueur (célébration israélite du massacre des Cananéens, déni du massacre de Palestiniens 1948, affirmation chrétienne à la Cananéenne survivante que les non-Juifs sont des chiens, etc. et c’est couvert par les Droits de l’Homme, pourris contradictoires). Non, silence, parole dirigée unilatéralement pour diaboliser les justiciers en face, et ça marche. C’est simplement triste. L’honnêteté et l’intelligence passeraient par le droit à l’auto-critique, examinée avec immense attention, avant éventuel mea culpa colossal, au risque de casser la domination occidentale, tellement injuste humanistement. L’auteur en est bien loin : puisque les prétendus intellectuels se sentent un petit peu coupables dans cette affaire d’Israël anti-musulmans, il entend dresser les foules crédules et bien manipulables, avec efficacité. Moi, humble socialement et rédacteur non publié, je résiste et serai broyé, mais les prétendus anti-antisémites qui triomphent avec ce livre ne sont pas du tout innocents, non.
- J’ai oublié de le noter au passage : il était dénoncé que l’on se soit certes offusqué des 6 millions de victimes juives des nazis, mais pas des quelques victimes juives des islamistes, comme si le nombre avait une importance en matière d’horreur ! Ah bon ? Alors la communauté internationale, à supposer qu’elle soit honnête (ce qui n’est nullement le cas : elle est sioniste raciste) devrait convoquer un procès international type Nuremberg (et Srebrenicza) pour poursuivre les auteurs et profiteurs et complices de l’assassinat en masse, raciste, de Der Yassin 1948 (et Haïfa etc.). Cela apposerait un démenti cinglant à la pensée dominante de ce livre, illustrée par la chanson Terre Promise des années 1960 : « (les Juifs) la Terreu Promiseu, ils l'ont bien méritée, ce sont tous des braves gens ». Non, il y a des monstres, des complices actifs de monstres, hélas majoritaires, mais il y a aussi des innocents honnêtes, si, comme moi, insulté par ce livre aberrant (cachant l’honnêteté juive possible, comme pour inciter à la haine raciale se trompant de colère, d’où favorisation juive encore accrue en retour). Etouffer la question « Der Yassin vainqueur impuni », pour ne diaboliser que les révoltés en face (certes très moches sanglants), c’est une malhonnêteté suprême, un mensonge éhonté. Ce n'est pas idiot mais intéressé, en fait : si on devenait honnête on poursuivrait les Etasuniens massacreurs triomphateurs des Amérindiens, et ce serait la guerre nucléaire, donc peureusement les faux-penseurs baissent leur froc, et se font mettre par le lobby sioniste étasunien. "Pour la paix", écraseuse anti-justice, anti-équité, selon le principe de peuple élu étendu aux "nouvelles tribus d'Israël" conquérant les USA. C'est abominable, et on se fait évidemment péter la gueule par des fous de haine en face ; pour prévenir ce mécanisme, il suffirait de devenir honnête, mais c'est classé "antisémite", "nouvel antisémitisme". CQFD, hélas...
- J'oubliais un point, quoique ce ne soit pas spécialement relatif à ce que dit cet auteur-ci : quand le Coran ou 1 des 4 Evangiles maudissent les Juifs, au lieu de crier à l'antisémitisme intolérable, il faudrait simplement imposer un ajout obligatoire (avec apostrophe et caractères majuscules en rouge) : ceci concerne "les Juifs de l'époque où ceci est dit". Il n'y aurait ainsi aucune haine religieuse contre les Juifs actuels. Mais... c'est le judaïsme même, via la Genèse misogyne et les 10 commandements anti-descendants, qui dément que les enfants naissent innocents. C'est abominable, et je ne souhaite pas le retour de bâton logique, je préférerais le bannissement préventif, concernant cette religion horrible. Pour sauver les juifs innocents, il y en a oui.
Texte de Georges Bensoussan (agrégé d’Histoire [et HDR qui semblait dire Héros De la Résistance, mais que Google indique signifier « professeur supérieur » Habilité à Diriger les Recherches], selon la présentation de la page 211) :
- Aucun argument nouveau, qu’une reprise de ce que j’ai déjà démoli plus haut. Au lieu d’envisager les objections gravissimes, il s’agit donc de répéter, endoctriner, saouler, en espérant capitulation intellectuelle du lecteur démoralisé, impuissant face à ce rouleau compresseur dominant, écrabouillant la résistance vraie, argumentée honnêtement, privée de parole, diabolisée.
- Si : un petit point page 162, « par le biais de l’Etat d’Israël, ajoute-t-il, les juifs représentent la nation quand, depuis plusieurs décennies, les élites européennes tendent à se dissoudre dans cet ensemble informel qu’est l’Europe. » Effectivement, j’avais entendu la télé dire que – tandis que la Turquie musulmane est massivement refusée d’entrée dans l’Europe – Israël israélite aurait pu être intégré, mais des décideurs ont refusé, disant qu’Israël était hypernationaliste, au contraire du principe européen. Ceci dit, je dénie le terme d’ « élites » européennes, pour les idiots se prétendant intellectuels ou artistes, seulement pistonnés dominants ou réciteurs jongleurs idiots haut-diplômés tels. Quoi qu’il en soit, je considère que l’Européanisme (rejetant les non-Européens) reste un nationalisme antihumaniste. Simplement, je comprends que la direction suivie, depuis les nations locales (chéries par le FN) vers le continent entier, est un pas dans le bon sens, vers l’acceptation de l’autre, en bridant les pulsions xénophobes – qui marchent plein pot en Israël, encore plus coupable que les Européens selon moi.
- Autre point : « la culpabilité du génocide. (…) On en veut alors aux victimes du mal qu’on leur a fait. » Cet universitaire est un idiot profond : le problème n’est en rien la haine des bourreaux (insuffisamment repentis) envers les victimes, il s’agit des descendants de prétendus bourreaux qui sont outrés d’être traités en nés-coupables par les descendants des prétendues victimes, décrétant la culpabilité héréditaire (et interdite de contestation argumentée, avec force de loi, grâce à la dominance de la minorité au pouvoir). J’imagine un dialogue scolaire explicatif, entre ados, dans la rue avant d’entrer au lycée :
[JUifISraéliteSIoniste, Juissi] Enfants de salauds, donc salauds vous-mêmes, vous me haïssez parce que je suis Juif !
[GOys] Eh, fous-nous la paix, on n’a rien fait, nous !
[Juissi] Si, monstres ! Vous me haïssez, c’est inné en vous, sale race, haïe de Dieu !
[Go] Ta gueule, merde ! Tu vas arrêter de nous gueuler dessus, oui ?!
[Juissi] La preuve est faite !: vous me haïssez, simplement parce que je suis Juif !
[Go] Putain, wèh, l’année dernière pareille, l’autre youpin nous a fait chier pareil, pour qu’on défile en soutien à Tsahal massacreur de Palestiniens, vous nous emmerdez, merde ! Vous faites chier !
[Juissi] C’est un aveu, explicite, de votre antisémitisme incurable, prouvé, par A+B !
[Go] Pourri de merde, on va te…
[JuifNOn-israéliteNOn-sioniste, Junono] stop s’il vous plaît, du calme : Juissi est un emmerdeur mais il ne représente pas du tout TOUS les juifs, ne vous trompez pas de colère. Condamnez Juissi pour sa haine anti-goy, apprise à la synagogue, il a le cerveau lavé, ce n’est pas sa faute personnelle. C’est cette religion pourrie (judaïque puis chrétienne) qui décrète que les enfants de coupables naissent coupables, pas innocents.
[Go] Eh, il y a deux ans, une autre youpine mais athée, Sylvie, elle nous emmerdait pareil, exactement pareil !
[Junono] oui hélas, comme Ben Gourion elle reprenait du judaïsme le racisme communautariste antigoy, sans l’alibi religieux, c’est aussi moche, ou encore pire. Mais ne vous trompez pas de colère : je suis juif aussi et je donne tort entièrement à Juissi et Sylvie. Ça prouve que le problème n’est en rien d’avoir une ascendance juive, mais d’utiliser cette ascendance pour se prétendre supérieur (par exemple : rendre Israël aux Juifs mais surtout pas les USA aux Amérindiens), ce qui est une immense horreur politique et morale, pas du tout une culpabilité de sang. Maudissez les racistes (les israélites, les sionistes) dont Juissi, mais ne maudissez pas les Juifs.
[Go] Ah ouais, c’est pas con, c’est lumineux même…
[Juissi] Eh, sales goys, votre Jésus à la con, il a eu l’honnêteté de le reconnaitre : les goys sont des chiens, sauf les valets d’Israël !
[Junono] oui, il faut oser tout remettre en question à ces horreurs, dominantes et tueuses, mais les juifs innocents et honnêtes, ça existe aussi, je le prouve.
[Juissi] J’ai prévenu les autorités, la police arrive, vous foutre en tôle, et la justice punit sévèrement l’antisémitisme ! La loi l’instaure, c’est la loi pour tous ! Tous les sales goys que vous êtes, ou pervers moitié goys !
[Junono] hélas, le législateur tremble de trouille à l’idée d’être traité d’antisémite, il se couvre en vous favorisant racistement, selon vos valeurs pourries… méprisant le peuple, accusé d’être antisémite. Faites super gaffe, éh, vous générez exprès la haine en retour, même envers des innocents comme moi et les bébés juifs. Même si ça vous attire les faveurs du législateur et diplomate en réparation, c’est injuste affreux.
[Juissi] Eh, Ahmed, tu sais que Junono, loin d’aimer les Palestinoss, il a la haine pour l’esclavage prôné par votre prophète chéri ? et par les nôtres aussi pareil !
[AHmed] Je vais lui buter sa gueule !
[Police] Stop, les mains en l’air, personne ne bouge ! Toi là, avec kippa, qui c’est qui te hait si affreusement ? si injustement ! si racistement !
[Juissi] Tous me haïssent, mais le pire des pires c’est Junono !
[Police] On l’embarque ! Il va le payer, rassure-toi, Juissi, la loi est de ton côté.
[Junono] et l’honnêteté intellectuelle ? l’intelligence ?
[Police] Tais-toi, terroriste, ou je tire !
Texte de Michel Gad Wolkowicz (professeur « supérieur » en France et Israël, psychanalyste, selon la présentation page 213) :
- Comme preuve freudienne du caractère antisémite (concernant l’assassinat de la vieille dame autour de laquelle tourne ce livre entier), il est cité que l’agresseur l’avait plusieurs fois insultée comme « sale juive »… Tout au contraire de dire que cela prouve l’antisémitisme universel des goys, je dirais qu’il s’agit d’une erreur de colère. Il faudrait très nécessairement (pour sauver les innocents) des mots distincts pour l’ascendance juive (juifa) et pour le communautarisme juif (juifo), et même deux sens en celui-ci : sioniste immédiat (juifoï) et sioniste retardé à la venue du prétendu Messie (juifom). Dire « sale juifa », à cette dame comme à moi, est une très lourde erreur raciste, et pour l’expliquer, il suffit de clarifier que ceux justifiant colère sont les juifo (religieux se croyant peuple élu, ou athées se croyant mille fois supérieurs en dignité et en droit aux Amérindiens et Aborigènes brimés sans réparation aucune). Si l’assassin avait dit « sale juifa », il était un monstre se trompant de colère, s’il avait dit « sale juifo » ou « sale juifoï », c’était une rancœur politique très compréhensible, et pour prévenir la sauvagerie punitive, il faudrait publiquement discuter de ces culpabilités au lieu de les étouffer jusqu’à ce que ça pète. 100% des politiciens se rendant au diner du CRIF vont jurer allégeance au sionisme, en répétant l’assimilation Juif = Juifoï, donc « que tous les choqués par le racisme projuif massacrent les Juifa, allez-y, et en réaction on clamera notre sionisme (1966) contre le retour des expulsés Palestiniens 1948 (en jouant sur les mots pour dire qu’on est pas sioniste-1968 non pas du tout, mais honnêtes équitables, la preuve : on l’affirme très fort, et tous ceux qui le dénient sont des antisémites en voie d’emprisonnement !) »… C’est abominable de malhonnêteté intellectuelle, attisant la haine, l’erreur de colère (raciste antijuive, antijuifa), au lieu de la rediriger vers les coupables politiques racistes actifs (alliés au racisme juifoï projuifo). Mais on n’a pas le droit de le dire, pas le droit de prévenir pacifiquement le terrorisme, au risque de perdre le droit israélien à la xénophobie anti-goy… C’est très grave, et il s’agirait en même temps de justifier le caractère « victimes innocentes » des tués par les nazis : il s’agissait de juifa non-juifoï, très majoritairement, il n’y a que les survivants et nouvelles générations qui sont devenus juifoï coupables de racisme actif, tueur de « sales goys », c’est un égarement très très ponctuel, à corriger de toute urgence, sans jamais oublier que les quelques juifa innocents vraiment l’appellent de leurs vœux, au risque de leur vie (élimination discrète).
- « la recrudescence de l’antisémitisme constitue toujours un baromètre infaillible de la santé morale et de l’état politique d’une société (…) la tragique "belle" indifférence du plus grand nombre. » C’est archi-faux, il s’agit de propagande interdisant la contestation, la mise à l’épreuve type scientifique des hypothèses (certes un psychanalyste est un blablateur antiscientifique, voleur de diplômes huppés). La société actuelle s’améliorerait immensément, moralement et politiquement, si elle cessait d’encourager l’amalgame terrible juifa (innocent) = juifoï (coupable de racisme, d’où racisme retour, dirigé vers les innocents juifa pour hurler à l’injustice). Ta manœuvre est nulle intellectuellement, logiquement, mais victorieuse avec contrôle des médias et de la haute société, pas étonnant que les petits immigrés en face en hurlent de colère et pètent les plombs parfois. Je dirais en conclusion l’exact contraire de cet auteur : « la fausse accusation d’antisémitisme constitue un baromètre infaillible de la pourriture morale et politique d’une société, avec autocontradiction massive pour élire seul le racisme projuif, interdire/punir/massacrer tout autre. » La population goy a conscience de cette pression, en souffre, en silence, et ne suit guère les appels à la mobilisation requise par les propagandistes.
- « le terrorisme palestinien génocidaire contre Israël ». Pas du tout : l’abolition du caractère raciste « état juif » d’Israël ne vaut en rien extermination, pacifiquement il peut s’agir d’expulser sans violence les expulseurs et leurs trop fiers héritiers, sans tuer personne. Mais cet auteur ment, lourdement, pour diaboliser toute alternative à sa paix d’écrasement sioniste vainqueur (concédant peut-être, certes, que les miséreux camps d’expulsés se baptisent un jour pays, désarmé)… L’Algérie Française a disparu sans génocider les Pieds Noirs, l’apartheid a disparu sans génocider les Afrikaners, mais c’est un propagandiste diabolisateur qui parle, en rien un analyste honnête.
- « massacres de masse contre la population afin de la terroriser, et de l’intimider de vivre, d’être et de penser librement ». Erreur lourde là encore, de l’auteur menteur ou idiot. La loi Gayssot projuive (anti-amérindienne) dément totalement l’idée que la France est le pays de la liberté de pensée. La soumission au dogme échangeant la culpabilité passée dans la Shoah contre le soutien présent et futur à Israël est exigé sous peine de prison et ruine (et la population menacée soupire et subit, en fronçant un peu les yeux, attention c’est puni si un mot s’échappe, classé « antisémite » antomatiquement). En face, il y a certainement des fanatiques intolérants massacreurs, mais je ne pense pas que ce soit ce qui convainc, l’argument choc est la solidarité musulmane avec les brimés palestiniens victimes du racisme juifoï gouvernant l’Occident, avec complicité active des politiques et indirecte de la population ne se révoltant pas (je suis moi aussi massacrable à ce titre, injuste, mais j’ose signaler le malentendu terrible, pour tenter en vain de rediriger l’erreur de colère vers les vrais coupables. Et pas pour les faire tuer, mais qu'ils soient interdits de continuer à dominer injustement.)
- « D’où le besoin de rendre hommage, de se rassembler et d’essayer de comprendre ». C’est faux, il est interdit de comprendre, interdit de discerner que « l’erreur de colère est orchestrée, voulue, cachant les coupables derrière des innocents pour que ces coupables obtiennent supplément de victoire en réparation. Non-non, il est interdit de le comprendre, de le dire, il faut diaboliser, cacher, accuser, menacer, laver les cerveaux des goys stupides, pléonasme ! Grace à notre héros suicidaire Hitler on a maintenant ce pouvoir, yeah, génial ! »…
- « un "vivre-ensemble moins un" – le juif –, lorsque ces instances donc cèdent sur l’éthique de vérité, sur l’exigence de rigueur intellectuelle ». C’est totalement faux : il est très normal que le juifoï dominateur raciste incurable soit chassé du vivre ensemble, mais le juifa pourrait parfaitement être accepté, s’il n’était plu’ caché par amalgame stratégique (anti vérité, anti rigueur intellectuelle).
- Je crois rêver quand je lis que l’auteur estime sa communauté victime de terrorisme intellectuel, terreur empêchant de penser, manipulation de la presse, intoxication médiatique. A mon avis, c’est l’exact contraire : en cachant partout que les Juifs sont surfavorisés par rapport aux Amérindiens, pour aucune raison historique mais pur racisme (ou fanatisme religieux raciste), le triomphe sioniste est quasi absolu à 99%, mais les sionistes sont immensément choqués de ne pas atteindre le 100% qu’ils exigent. Au contraire, je dirais moi : arrêtons les batailles, les oppressions racistes et haines racistes de part et d’autre, et regardons humanistement la question-clé : pourquoi l’Occident sioniste domine-t-il le monde écrasant les ex-indigènes ? pourquoi rendre Israël aux Juifs et pas les USA aux Amérindiens ? Parlons-en sans violence aucune, expliquons, alors on verra qui sont les vrais salauds immoraux (anti-humanistes, racistes), à faire changer sans massacrer personne. Mais non, pas du tout, l’auteur exige que le sionisme gouverne à 100% les médias, et toute réserve est classée « haine antisémite »… et interdit de le dénoncer, pareillement c’est classé « antisémite ». Le psychanalyste jouit, là : quoi qu’on fasse et quoi qu’on dise, il s’auto-attribue le bon droit pour écraser le patient en clamant sa prétendue vérité.
- L’auteur ne manque pas de toupet : il s’insurge qu’un meurtre de juive par islamiste ne soit pas qualifié d’antisémitisme islamiste, pour ne pas froisser les Musulmans, « logique de disqualification de la critique ». Il rate là l’occasion rêvée de tout réorienter, ce qu’il aurait fallu faire à la première page de ce livre, et avec un autre titre : « la fausse accusation de nouvel antisémitisme ». Oui, l’Islamisme se trompe de colère, devient criminel en tombant dans le racisme antisémite, et cela mérite critique (sans disqualifier celle-ci) mais il faut réorienter la colère vers les coupables sionistes racistes. L’interdire, en qualifiant cette colère d’antisémitisme raciste, faussement, c’est précisément pratiquer une stratégie de disqualification de la critique (du sionisme). Mais l’auteur n’y voit que du feu : il est comme férocement israélite, refusant la morale humaniste « ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’il te fasse ; n’interdis pas à autrui ce que tu te permets », non, pour lui apparemment "si tu es juif, élu de Dieu, tout t’est permis, et refusé aux sales goys..." (Horreur, ce n’est pas le sang juif qui est coupable, non, non, non, au contraire c’est le salir injustement que de le prétendre contenir cette attitude intrinsèquement). Quand est-ce que tu vas commencer à réfléchir, prétendu Professeur ?
- Il est mentionné la référence douteuse aux « Musulmans modérés », et là, c’est un minuscule point où je suis d’accord : comment se dire modéré et vénérer un messager ayant clamé « tuez les infidèles » ? sauf que… les Musulmans ne sont pas spécifiques en cela, et les pointer seuls est très malhonnête. Les Hébreux vénérés par les Israélites massacraient les Cananéens dits « coupables » de ne pas vénérer Dieu-Créateur selon tel ou tel rite. Jésus-Christ disait de tuer les parents détournant leurs enfants de son Dieu à lui. Oui, on peut dire que les « modérés » disant croire à ces horreurs ne sont pas crédibles, mais se focaliser sur les seuls musulmans est stratégique, rubrique mensonge par omission, mensonge oui.
- En note annexe de bas de page, l’auteur se moque des médias qui, au lieu de diaboliser l’Islam comme il le voudrait lui, cherchent des explications, dont « pourquoi ils ne nous aiment pas ? ». Eh, ce n’est pas du tout une question ridicule, naïve face au mal satanique absolu, pas du tout : les anti-Occidentaux ont des arguments énormes, qui sont cachés par les médias débilitants, toute ébauche en ce sens étant censurable pour « apologie du terrorisme »… A mon avis, on est là face à deux erreurs lourdes : d’un côté la stupéfaction se croyant stupidement innocente (en interdisant explication, puisque classée « antisémite »), de l’autre l’enterrement des explications pour frapper et tuer sans permettre à l’adversaire de s’expliquer (Durban boycotté).
- « Le négationnisme et le révisionnisme sont consubstantiels à l’antisémitisme et son projet génocidaire ». Affligeant de bêtise, armée. La liberté de pensée, la philosophie (incluant le scepticisme non-violent), est devenue illégale, pour soumettre la population au règne du dogme. C’est une dictature féroce, et toi procureur tu es un monstre autant stupide qu’auto-contradictoire. La loi Gayssot anti-négationniste n’est nullement humaniste universaliste mais projuive anti-amérindiens (éh, les massacreurs USA sont les principaux alliés d’Israël, il ne faut pas les égratigner). « Le génocide de goys, OK, très bien, mais le génocide de Juifs, quelle abomination ! », désolé, c’est à vomir. Mais attention, ce n’est en rien une bêtise incompréhensible, un détail d’abus ponctuel : le dogme sur la Shoah est la pierre angulaire sur laquelle se fonde la création d’Israël état juif refuge, ce n’est pas une question de principe universel mais un puissant outil de diabolisation des adversaires politiques. Si l’auteur croit ce qu’il dit, c’est qu’il est très profondément idiot, déficient mental, sinon, c’est qu’il est menteur méprisant le sens logique des lecteurs.
- Après, l’auteur s’envole dans des délires verbeux psychanalytiques, et quelques mots me choquent mais je ne garantis pas que ce soit le sens vraiment. « ce peuple, le peuple juif (…) sa disparition, donc de l’exterminer (…) compulsion de répétition ». Le raccourci peut fausser, désolé, mais je crois lire une accusation colossale contre ma position : « si les Juifs se fondaient dans une humanité indifférenciée (humaniste), ils ne seraient plu’ peuple, et cela vaut extermination, comme la Shoah en trois fois pire. ». Je ne suis absolument pas d’accord. Les Pieds Noirs ne sont plu’ un peuple, mais ils n’ont pas été exterminés, simplement rapatriés. Et si les Témoins de Jéhovah sont classés en secte nuisible, ils seront peut-être interdits de pratiquer leur culte spécial, sans tuer personne, non ce n’est pas ça une extermination. Surtout quand sont oubliés/négationnés les dizaines de millions de tués amérindiens, pour faire de New York la plus grande ville juive du monde, hum… chère aux prétendus « intellectuels », comme dans le film Manhattan, tempêtant à un moment contre les néo-nazis signalés en Amérique… Deux poids deux mesures, c’est le principe israélite, horrible, anti-humaniste. L’auteur n’a pas encore commencé à réfléchir pour de vrai.
- « intronisé comme le peuple-originaire – le "peuple palestinien" ». Il y a là de la confusion mentale, chez l’auteur : je n’ai jamais dit que les Palestiniens habitaient la Judée ou quoi avant les Juifs, je m’en contrefous. Les Amérindiens habitaient les USA avant les colons, et si on pose la question en matière d’antériorité, on prive Israël de son parapluie étasunien et c’est classé antisémite… A mon avis, les Hébreux se sont convertis à l’Islam, s’appelant alors Palestiniens. Et d’autres peuples se sont convertis au judaïsme, je m’en fous tant qu’ils ne viennent pas massacrer au nom de la religion, ou ascendance prétendue, anti-équité (interdisant le même traitement en Amérique), en obtenant approbation des gouvernants de ce pays ici au nom de toute sa population. A mon sens, le drame 1948 n’est en rien que la domination britannique ait débouché sur domination juive au lieu de domination arabe (ou moitié-moitié), il est que des individus innocents se sont fait chasser sous peine de mort immédiate, dépossédés de la maison qu’ils avaient construite, parce que prétendus de « sale race » (non convertible en religion dominatrice arrivante, non-invitante, non-prosélyte)… Il est là le crime, et créer un état Palestine pour les camps d’expulsés ne répare en rien de rien cette horreur raciste.
- « Faire du mal joyeusement, aucune foule ne résiste à cette tentation. La démarche freudienne (…) ». Oui et non. Oui : les colons israéliens, classés victimes éternelles par les sionistes, ont massacré avec autosatisfaction, rééditant la création antique d’Israël massacrant les Cananéens, tout comme les Nazis ont tué avec autosatisfaction les Juifs qu’ils considéraient comme vermine. Pareil, mais il est faux de dire que cela dirige spécifiquement vers l’extermination de Juifs innocents par principe. De l’autre côté, Non : moi je n’aime pas du tout la foule, la grégarité n’est pas une généralité humaine mais un tempérament comme un autre. Freud généralise n’importe comment, c’est un blablateur idiot, pas crédible, même si les universitaires débiles ont mis un temps fou à (commencer à) le comprendre. Non numéro 2 : comme il ne faut jamais dire "jamais", le mot "aucune" affirmé sans réserve parait outrancier, il faudrait dire "aucune que je connais" ou "aucune jusqu'à preuve du contraire" ou "aucune jusqu'à présent". Mais la logique n'est pas la psychanalyse, c'est presque l'exact contraire.
- Je suis encore gêné par le style ampoulé prétentieux du non-penseur jouissant à écrire de manière pas claire, mais un point m’interpelle : « une culture du ressentiment et de l’excuse, ce poison idéologique déversé à flots continus dans l’opinion, et qui constituent de véritables justifications aux passages à l’acte. » A titre d’immenses généralités, le sens n’est pas clair, mais je crois y deviner une condamnation asymétrique, choquante comme d’habitude : 1/ ceux qui excusent les tueurs islamistes de juifs en leur trouvant des raisons sont affreux, comme un poison de la pensée ; 2/ les tueurs israéliens de bébés palestiniens à Der Yassin, c’est totalement différent : nul ne peut contester qu’ils étaient traumatisés par la haine antisémite illustrée par les Nazis et leurs alliés comme les Français ordinaires. Je dirais l’exact contraire : 1’/ les islamistes tueurs de juifa sont des criminels idiots se trompant de colère (quoique la culpabilité source vienne du CRIF militant pour l’amalgame juifa/juifoï pour commander la diplomatie locale dans le sens pro-Israël) ; 2’/ les colons israéliens tueurs de goys sont des criminels idiots démentant leur prétendue supériorité (quoique la culpabilité source vienne du lavage de cerveau israélite dès le berceau).
- « Ainsi la force du peuple juif, ce n’est pas seulement l’exigence éthique, le travail de culpabilité ». Incroyable, inouï. Tout au contraire, le principe du peuple juif (en tant que communauté revendiquant son identité), c’est l’inverse exact de l’éthique altruiste, c’est l’égoïsme groupiste, se posant comme supérieur en dignité et en droits. Et aucune culpabilité pour passer de la position massacreuse à la réparation des horreurs commises. (L’excellent ouvrage israélien « le nettoyage de la Palestine », détaillant les massacres racistes de 1948, n’aboutit pas à la conclusion de quitter Israël avec mea culpa mais au contraire de corriger partiellement l’invasion, considérée pleinement justifiée…).
- « La repentance, écrit Bruckner, donne des gens qui s’excusent des crimes passés pour se défausser des crimes présents. » Ce bla-bla ampoulé est presque illisible, ça semble vouloir dire que les "sales" goys français se reconnaissent coupables de la Shoah, c’est bien, mais ils ferment les yeux sur l’actuel antisémitisme islamiste, atrocement. Mais… tout change si on cherche à voir comment ces généralités s’appliquent à Israël : non, les Israéliens ne s’excusent en rien de l’expulsion terroriste des Palestiniens, et ils les tuent actuellement s’ils veulent revenir malgré les barbelés… Il est où là ton grand principe universel ? Blablateur pourri…
- « ce que le communisme partageait avec le fascisme de haine de la liberté ». Sauf que… quand le stalinien député Gayssot a proposé de bannir la liberté de doute quant à la Shoah (pour dissuader les votes FN dans la classe ouvrière ciblée, anti-« élite »), les prétendus-libertaires israélophiles se sont empressés d’approuver avec enthousiasme. Et quand Dieudonné veut rire du monstrueux sionisme, les champions de la Liberté le lui interdisent avec menace et poursuites légales, armées de la loi anti liberté, anti justice là où elle serait anti-sioniste, donc prétendu antisémite, raciste haineuse… (en cachant les juifoï derrière les juifa, malhonnêtement, quitte à les faire tuer…). Ce livre contribue à bannir la liberté de pensée, classée antisémite là où elle enfreint le dogme sioniste. Mais chut, non seulement il ne faut pas le dire, mais il ne faut pas une seconde l’envisager. Citer mille auteurs littéraires, ça classe quelqu’un supérieur, ça autorise à chier sur la logique et l’honnêteté. Hélas.
- « islamisme terroriste (…) Depuis quand le rejet d’une religion ou d’une idéologie relève-t-il d’une attitude raciste ? » Contradiction explicite. L’auteur veut empêcher que les dénonciateurs de la religion islamique soient traités de racistes, mais lui il traite de racistes ceux comme moi qui oseraient dénoncer la religion israélite… « Faites ce que je dis, pas ce que je fais », immoralité oui. Et super fière à tort, complètement.
- « Les antisémites d’aujourd’hui se déclarent anti-systèmes, antiracistes, en attribuant aux juifs le racisme et la propriété du système ; on ne s’attaque plus au juif comme tel mais aux horreurs dont il est présumé coupable. » Archi-faux : que l’on fasse un procès international envers les crimes sionistes 1948 (équitable, en privant de veto tant les occidentaux gouvernés par les israélophiles que les musulmans palestinophiles), et on verra si les tueurs s’avèrent innocents objectivement. Ce qu’il y a, c’est que ces crimes-là sont protégés, négationnés, par les sionistes dominant le monde, horriblement. Non, ce n’est pas « le juif » le coupable, c’est le sioniste, qu’il soit d’ailleurs israélite, ou juif athée, ou même goy antisémite comme certains étasuniens et russes ayant voulu se débarrasser de leurs juifs en leur fournissant une destination religieusement tentatrice (pas un refuge en mer en eaux internationales). L’innocence juive existe, oui les antisémites se trompent, mais elle est spécifiquement juifa en condamnant les atrocités juifoï, tout au contraire de ce livre exigeant l’amalgame, de manière forcenée.
- « Le déni idéologique de cette réalité constitue l’autre face de ce désastre de la pensée, avec le propalestinisme victimaire et obsessionnel d’une partie de la gauche et de l’extrême-gauche qui a aussi nourri la haine des juifs ». Eh, c’est toi, le désastre de la pensée. Merde, ne cache plu’ jamais la question « pourquoi ne pas avoir rendu les USA aux Amérindiens comme a été rendu Israël aux Juifs ? ». Et claironne que les juifs antisionistes (race innocente) ne sont en rien à haïr si on a de justes raisons de condamner le privilège sioniste-sans-rendre-les-USA-aux-Amérindiens. Tu ne penses pas honnêtement, tu condamnes en empêchant le débat. Et c’est toi qui domine le monde éditorial, les médias relais applaudisseurs débiles, OK. Mais des innocents se font massacrer pour tes calculs infâmes.
- « Bataclan (…) synagogue de la Rue Copernic (…) Pourquoi nous ? Pourquoi la France ? » Eh, la France est alliée d’Israël et, au nom de la France et tous les Français, les gouvernants de droite et gauche claironnent que notre pays exige la sécurité d’Israël état juif (donc autorisé à tuer les expulsés palestiniens voulant revenir, sale race ! pas invités à devenir juifs, non, aucunement) Pourquoi nous ? Ben, les juifoï dominent ici, et attirent la culpabilité sioniste sur tous, en profitant du principe républicain (il suffit de dominer la prétendue élite, une minorité puissante a le pouvoir, sans partage en noyautant les différents partis en alternance) et du contrôle des médias, unanimes à claironner le droit à l’existence d’Israël version 1966, bénissant les massacres et terrorismes vainqueurs 1948... La France diplomatique et journalistique a boycotté la conférence internationale Durban-2 sur le racisme sioniste (conférence explicitement prétendue « antisémite »)… pourquoi demandes-tu « pourquoi la France ? », imbécile ?
- « le devoir des citoyens est de dire ce que nous voulons et ce que nous ne voulons pas de la liberté d’idéologies qui dénient les lois et principes de la République ». Faute encore : tu m’interdis (en me classant « antisémite », « apologue du terrorisme ») la liberté de dire que je ne veux pas de l’idéologie sioniste, de l’idéologie israélite de peuple juif supérieur en dignité et en droit par rapport aux sales goys, massacrables comme des chiens, dixit Jésus-Christ dont je ne veux pas non plu’. Oui, je ne veux pas de l’esclavagiste tueur Mahomet mais pas seulement. Bloquant ma liberté, tu m’empêches l’équité, c’est de la dictature, immonde. Et faussement supérieure, intellectuellement, ce n’est que la force de l’oppression policière et « judiciaire », appliquant tes lois pourries pro-juives. Ton triomphe, avec ce livre, va continuer à nous faire massacrer, innocents comme moi compris. Tu es un tueur, caché. Comme François Hollande déclarant la « guerre à l’Islamisme », autrement dit : « Islamikazes, je vous invite à venir massacrer ma population, comme on a exterminé les bébés de Dresde et Hiroshima, yeah, vive la guerre (du côté d’Israël contre le Hamas) ! »… Mais surtout, surtout, ne pas aller à Durban discuter pacifiquement du racisme sioniste à mettre en question, sacrilège, antisémite ! Je soupire, avant de mourir, en martyre juif, mais pour de vrai, pas comme les monstres qui considèrent cette terre ici vile mais restent pour organiser cette tuerie pour Israël.
Texte de Jean-Pierre Winter (psychanalyste, professeur « supérieur » en université judaïque, selon la présentation page 213) :
- Le texte n’apporte rien de nouveau, sauf qu’il cite très longuement le président Macron, fer de lance contre l’antisémitisme et pour le droit à la sécurité d’Israël. Sans songer une seule seconde que cet état s’est bâti par le terrorisme, par nos politiciens approuvés, au nom de notre population, donnée à massacrer par les révoltés en face, se croyant justiciers non sans raison (même s’il est atroce de tuer des individus n’ayant eu aucun choix dans les décisions prises par les gouvernants). Je n’ai pas pu voter antisioniste l’année où Dieudonné s’est présenté, dans les grandes villes seulement, apparemment, alors je vote blanc, en opposition aux candidats tous sionistes. C’est quand je vais être tué qu’interviendra l’horreur de juif innocent massacré, pas quand des sionistes actifs, approbateurs des tueries de bébés goys, prennent dans la figure le retour de bâton, hélas compréhensible (il est interdit de le comprendre, la loi pro-juive l’interdit, on n’a même pas le droit de dire qu’elle est projuive). Cette affaire du « nouvel antisémitisme » est une macabre farce pseudo-intellectuelle antimorale, toute de blabla professoral idiot et psychanalytiquement auto-approbateur escroc*. Nulle. [* : ajout 30/05/2018, le principe psychanalytique, en fait psychaffirmatif-n'importe-comment, est d’affirmer que même si on jure sincèrement qu’on n’est pas antisémite, on ne peut en rien nier qu’on est antisémite inconsciemment, puisque c’est infalsifiable, affirmable dans tous les cas ; c’est juste oublier que cela a un pouvoir de conviction totalement nul, puisqu’une affirmation fausse serait pareillement irréfutable.]

Ma conclusion, tome 2
  Ouvrage scandaleux de pure propagande sioniste type 1966, très gravement erroné, incitant hélas à la haine raciale anti-juive, en cachant les coupables de sionisme raciste (sans rendre les USA aux Amérindiens) derrière l’ensemble des juifs français qui compte des innocents comme moi. Les questions ultra-simples qui se posent sont cachées, elles seraient diabolisées, broyées de toute façon, c’est une très vaste entreprise criminelle qui est ici à l’œuvre, même pas secrète, pas besoin tant les français (non islamistes) sont terrorisés à l’idée d’être traités d’antisémites s’ils osent objecter à la domination favorisatrice projuive.
Résumé du livre (en fait caché, implicite, je décode, j'ose) :
  « Antiracistes humanistes (et Juifs renégats, reniés par nous Sionistes-à-la-1966), tremblez et soumettez-vous au sionisme triomphant, la loi française punit l’antisémitisme raciste et on a des tonnes de discours menteur pour vous condamner à ce titre ! Ah-ah-ah, paf dans votre gueule ! Et si vous osez la moindre objection argumentée (même imparablement) : hop, prison, direct ! Yeah, on est très très fort, dominant ! Et plus ça vous mettra la haine, plus on triomphera en réparation, ça gagne super, le blabla mensonger ! ».