CoViD-19 : une gigantesque arnaque ?
par Toff, 17/03/2020

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   J’ai vu hier l’allocution du président de la République Française, jouissant de répéter que nous sommes en guerre contre le nouveau virus créant la maladie CoViD-19, qu’il faut fermer les usines, que les écoles sont fermées et les magasins non-alimentaires, pour une durée indéterminée. Je pourrai dire : bravo et merci (à ce très très grand chef de guerre), c’est ce qu’il veut.
   Mais non, depuis le début je suis sceptique dans cette affaire comme d’autres.
1/ Dangerosité inouïe ?
  Rien n’indique que ce virus soit plus grave que la grippe hivernale habituelle, qui fait parait-il en France dix mille morts par an (quelque chose comme deux mille morts par mois, contre moins de mille depuis le début de CoViD-19 il y a 4 mois). Le très grand cirque dressé cette fois semble la première mise en application officielle des concepts (aberrants) que sont le principe de précaution et le droit de retrait, qui auraient pu s’appliquer pareillement à la grippe hivernale les années précédentes, qui pourraient/"devraient" faire interdire l’électricité, la baignade, le chauffage, les animaux domestiques, les déplacements en voiture pour promenade ou vacances, etc. Bla-bla, nullissime en logique, cachant le vrai principe : « les autorités s’arrogent le droit de commander comme elles veulent, au nom du risque, là (et seulement là) où elles décident de le prendre en compte, pour abolir les libertés individuelles à juste titre (prétendu), interdit de contestation ».
2/ Alors quoi ?
  Si ce n’est pas une préoccupation pour la mise en danger exceptionnelle des gens, de quoi s’agit-il ? Pour le gouvernement chinois, ça a permis d’étouffer la révolte à Hong-Kong ; pour le gouvernement étasunien, ça a permis de crier encore que le Mal c’est l’étranger ; pour le gouvernement israélien, ça a permis de fermer un peu plus encore la frontière aux goys méprisés ; pour le gouvernement français, ça a clôturé le mouvement de protestation Gilets Jaunes et les manifestations contre la Réforme des Retraites, et bientôt le Président Macron briguera sa réélection avec l’argument-massue « Oui, mon bilan économique est médiocre ou mauvais (aussi, comme mon bilan social), mais c’est pas ma faute, c’est la faute du CoViD-19 immensément exceptionnel, que je suis parvenu à vaincre de main de maître, bravo à moi, hein ? hein ? mille bravos, hein ? s'il y a eu au total trois mille morts contre dix mille pour la grippe habituelle, c'est grâce à mes mesures brillantes fabuleuses, et hop cinq ans de plus, c’est bien mérité ! ». Comme Sarkozy avec la crise financière de 2008, qui n’a pas empêché qu’il se fasse jeter en 2012. Ces calculs électoralistes me semblent davantage plausibles que la dangerosité du CoViD-19, sinon on nous montrerait les chiffres prouvant que cette maladie tue bien davantage que toute grippe antérieure (sauf l’hécatombe 1918), mais ça ne semble pas du tout le sujet.
  Si j’étais complotiste, je pourrais dire qu’il s’agit d’une manœuvre de la secte rassemblant les chefs d’état du monde, voulant oppresser la population à leur seul profit, mais je n’en sais rien. Ma femme pense que c’est peut-être la prise du pouvoir mondial par la Chine, montrant qu’en ayant toutes les usines, elle peut maintenant dicter sa loi au monde, je ne sais pas. Mais j’ai le sentiment qu’on nous cache quelque chose, comme d’habitude (Rainbow Warrior, nuage de Tchernobil, incendie de Lubrizol, etc.). Les journalistes s'insurgent que c'est douter de L'Elite, mais j'ai prouvé qu'il s'agit d'une fausse élite toute pourrie, c'est simplement interdit de publication, d'expression hors d'Internet.
3/ Une propagande scientiste ?
  J’ai vu hier un journaliste économique (un nom comme Perri je crois) clamer que la science n’est pas une opinion, la science c’est la Vérité, ce sont des faits. C’est là un cri de foi scientiste, de croyance intolérante envers les scepticismes, c’est épistémologiquement nul (dénué d’intelligence critique). La science n’émet que des hypothèses en instance de réfutation expérimentale.
  En pratique, je l’ai vu à mon boulot, les grands chefs scientifiques comme les autres pratiquent la course au fric et au pouvoir, via le mensonge assidu, caché, en éliminant les subalternes choqués (comme moi), c’est une honte immense. Que des croyants vénèrent la galerie prétendant (menteusement) à la crédibilité, c’est une possibilité, une foi comme une autre, mais quand ça vire à l’intolérance, c’est une faute morale et intellectuelle. Qui gagne, puisque ces gens crédules (idiots ou menteurs) ont le pouvoir et contrôlent les médias et l’éducation publique.

  Je suis triste que ma sœur clame : « restez chez vous, protégez votre communauté du CoViD-19 », en ayant un chien, de l’électricité, du chauffage, nullement exempts de risques non plu’. Si elle aime avoir peur, comme les gens allant voir les films d’horreur, grand bien lui fasse, mais l’appel à ce que tout le monde ait peur (et n’ait plu’ de salaire, pour mon épouse femme de ménage, à télétravail impossible), ça me semble un abus.

* Ajout 1, 17/03/2020 (13h) : La télévision dit qu'il y a eu 148 morts Coronavirus en France jusqu'à présent et 2158 en Italie considéré comme le pire du pire de l'abomination (contre 8100 en France pour la grippe normale l'an passé selon le décompte antérieur à l'arrivée du Coronavirus), et en faisant le test de contamination au Coronavirus sur les gens morts d'autre chose, ce qui surestime les morts Coronavirus par rapport aux morts de la grippe. Incroyablement, aucun journaliste ne signale cela. Propagande unanime, oui. S'il y a déjà 300.000 morts en France, ça changerait tout effectivement, mais tout ce qui aurait été dit serait mensonger, donc on nous ment quelque part, en décompte de morts (très sous-estimé) ou en gravité (très surestimée).

* Ajout 2, 18/03/2020 (23h) : Discussion
  Un ami me répond « je pense ce coup-ci que tu te trompes et je crains que le Futur bilan final, en dépit des mesures prises, vienne le prouver... ». Je comprends bien cela, mais en l’état actuel des chiffres (sauf mensonge énorme), ce n’est qu’affaire de croyance. Or les médias et l’école claironnent qu’en France on a le droit de croire ou ne pas croire comme l’on veut (seule exception, décidée par les législateurs, sans référendum : la loi Gayssot, hum). Mais comment se sentir autorisé à ne pas croire quand il faut obéir aux injonctions des croyants sous peine de sanction ? C’est comme en dictature soviétique : on était libre de ne pas aimer Staline (en son fort intérieur) mais le premier à cesser de l’applaudir était retrouvé mort le lendemain, appeler ça « Pays de la Liberté d’opinion » est une (mauvaise) farce, un très gros mensonge (non signalé, ça fait partie du plan commandé). De plus :
- Aux informations ce soir, il était dit que le bilan est maintenant de 8.500 morts dans le monde et 175 en France, et que c’est la pire calamité sanitaire depuis un siècle. Euh, en termes de réaction politique et asservissement des populations, c’est peut-être inédit depuis un siècle, mais pas du tout en terme de mortalité – la grippe annuelle « normale » donnant parait-il 10.000 morts par an en France et 300.000 dans le monde : on en serait rendu à moins de 2% de ce chiffre en France (en phase ascendante) et moins de 3% dans le monde (avec Chine initiale/principale en phase descendante maintenant) ; quand bien même ces chiffres seraient en final multipliés par 30, cela ne donnerait qu’un bilan type grippe normale.
- Mais il n’est même pas sûr que le futur éclaire : si cela atteint 400.000 morts dans le monde, il ne faudra pas hurler à l’abomination exceptionnelle avant de vérifier les variations annuelles de la grippe normale (si c’est 100.000 à 500.000 usuellement, 400.000 ne serait pas du tout exceptionnel). A l’inverse, si on n’atteint que 50.000 (ou 20.000), ça ne prouvera pas qu’il y a eu fausse alarme abusive (avec oppression coupable des populations et ruine imbécile de l’économie) car les ultra-dirigistes pourront toujours prétendre que sans leurs mesures sévères cela aurait fait 50 millions de morts. Invérifiable donc imparable, mais c’est du simple bla-bla, à crédibilité non-testable, non chiffrable, non examinable. Comme d’habitude, il sera fait appel à l’aura des quelques scientifiques « leaders d’opinion », nuls en épistémologie mais auréolés de gloire (usurpée).
- Concernant la dangerosité de ce microbe, j’ai entendu dire qu’elle est très forte, tuant jusqu’à 10% des contaminés, mais cela est estimé dans les pays (comme la France) où on ne teste la contamination que des malades graves et des morts. Dans d’autres pays (comme l’Allemagne) où on teste les porteurs sains éventuels, cette mortalité tombe en dessous de 0,2% (comme la grippe ou encore moins ?).
- Pour avoir travaillé dans la mise au point de tests biomédicaux, je suis particulièrement suspicieux sur ces tests de contamination au CoViD-19. Les médias jugent que la réponse au test est la Vérité indéniable, mais… les professionnels savent que sont acceptés des taux pas du tout nuls de faux négatifs et faux positifs. Et puis le test de routine (pas trop chère, assez rapide) a été « validé » par comparaison estimée « acceptable » (même si corrélation imparfaite) avec le test de référence (très long et très cher). Qui plus est, ce test de référence n’est nullement une Vérité Eternelle mais « l’état de l’Art », pouvant ignorer des germes encore inconnus positivant abusivement le test, et des cofacteurs encore inconnus négativant à tort le test. Les scientistes croient que la Science actuelle dit le vrai, mais cette croyance a été scientifiquement invalidée (loi prouvée fausse par l’expérience).
- J’ai travaillé dans les analyses ADN, avec nombreuses formations, et je n’ai jamais entendu de réponse pour savoir comment on peut identifier un ADN complexe dans une soupe en contenant des milliers, coupés en millions de brins par les machines de réplication et analyse. En immunologie, on a des sondes chimiques tridimensionnelles espérées spécifiques, mais ici on nous parle d’ADN or plein de résidus de vivant ou quasi-vivant ont un ADN (fragments humains, bactériens, viraux, fongiques, animaux, protozoaires, etc.). Certes une amorce peut être décrite comme assez spécifique d’une classe mais la suite de ce qui vient après est obtenu par recoupage informatique, qui me parait douteux – on m’a dit que c’est un « miracle informatique » (auquel personne ne comprend rien), et l’adhésion se fait en forme de crédulité, avec bâton et carotte (mauvaises et bonnes notes universitaires, réprimandes et promotions dans le monde du travail). Sans intelligence critique donc sans esprit scientifique, et avec statut d’Elite totalement usurpé.
- J’ai entendu dire que l’analyse en question était une « PCR », et mon problème n’est pas que j’ignore ce qu’est la Polymerase Chain Reaction mais que j’en connais plusieurs types différents, avec des défauts spécifiques. La PCR suivie de migration électrophorétique donne des positions de bande mais cela n’a pas spécificité et reproductibilité absolues : il y a des ex-aequo (faux positifs) et ratés parfois (faux négatifs). La PCR suivie de séquençage donne théoriquement des suites de 4 lettres (ACGT) mais en pratique il y a plein de cas indéterminés (lettres WSMKRYBDHVN, signifiant des estimations comme « A ou C », « A ou T »), qui sont acceptables en accord ou refusables en désaccord selon le point de vue subjectif (« verre à moitié plein » ou « à moitié vide ») ; et s’il y a discordance d’une base sur mille, est-ce négligeable comme petit raté ponctuel de la machine ou indice d’une mutation gravissime signifiant nouveau virus différent ? Cela semble immensément subjectif, très très loin de la réponse Oui/Non ferme, crue par les incompétents crédules. Les prétendus experts expérimentés (comme je l’étais) sont payés pour trancher, mais ceux qui ont une conscience l’ont mauvaise…
- La dramatisation « chaque mort est un mort de trop » marche très bien en rhétorique mais s’avère aussi malhonnête que le principe de précaution, car employé exclusivement là où cela arrange les autorités. Ainsi, ce n’est pas employé pour dire que la pollution tue, que le chômage tue, que les prix libéraux tuent, que l’échangisme abandonneur tue, etc. Ce n’est pas un drame objectif mais une mise en scène de théâtre (je n’aime pas le théâtre, pardon).
  Bref, les mesures « guerre CoViD-19 » d’oppression des populations ne me semblent pas justifiées à ce stade, sauf mensonge total sur le nombre de victimes décédées. Et, contrairement à ce que disent les politiciens, ce n'est pas que j'ai insuffisamment écouté leurs discours explicatifs, c'est que j'ai une foule d'objections dont ils n'ont même pas idée, apparemment.

* Ajout 3, 24/03/2020 (5h) : Confirmation
- J’ai vu hier soir aux informations le premier ministre français (préparant une restriction plus forte des libertés individuelles) répéter que c’est la plus dramatique crise sanitaire se produisant depuis un siècle, mais le décompte des morts en est à 860 en France (et 16 000 dans le monde), alors qu’on m’a envoyé un texte disant « En 2014/2015, la grippe A a fait 18600 morts en France sur 5 mois (de novembre à mars). Soit environ 124 morts par jour. Vous imaginez si la une de tous les journaux cette année-là avait été : ʺEncore 126 morts de la grippe en 24hʺ. Tous les jours pendant 5 mois ! Cela aurait été une panique générale. ». Je n’irai pas chercher si l’erreur de frappe est le 124 par jour ou le 126, vu que c’est chiffré sans précision en mois et pas en jours, et par ailleurs cette modélisation carrée de correspond pas au phénomène épidémique habituellement en cloche. (Même si je dénie ce qu’a dit à la télévision un prétendu expert : « c’est la fameuse courbe de Gauss », non la courbe de Gauss n’est pas asymétrique partant de zéro comme une épidémie mais parfaitement symétrique, remontant à moins l’infini avant l’apparition de la vie sur Terre, ce qui ne correspond pas à la situation décrite – et il y a quantité d’autres modélisations en cloche, bien plus adaptées).
- Autre élément allant dans mon sens, on m’a envoyé un texte disant entre autres choses « Depuis le début de l’émergence du coronavirus, je partage mon analyse qu’il s’agit d’une épidémie plutôt banale. Le terme peut choquer quand il y a des morts, et a fortiori dans la crise sanitaire et la dramaturgie collective hallucinée que nous vivons. Pourtant, les données sont là : les affections respiratoires habituelles que nous vivons chaque année font bon an mal an 2'600'000 morts à travers le monde. Avec le Covid-19, nous en sommes, au quatrième mois, à 12'000 décès, et avec le pays initialement le plus touché qui est parvenu à juguler l'épidémie. Nous sommes très très loin d'avoir un effet statistiquement significatif au regard de la mortalité habituelle et en particulier de la surmortalité saisonnière. Je l’ai dit et je le répète : le même traitement politique ou journalistique appliqué à n’importe quel épisode de grippe saisonnière nous terrifierait tout autant que l’épidémie actuelle. Comme la mise en scène (avec décompte en live des victimes) de n’importe quel problème sanitaire d’envergure, qu’il s’agisse des maladies cardiovasculaires, des cancers ou aux effets de la pollution atmosphérique nous ferait frissonner d’effroi tout autant et même infiniment plus ! Nous savons aujourd’hui que le Covid-19 est bénin en l'absence de pathologie préexistante. ».
- Je pense aussi que ce qu’on appelait autrefois « mourir de vieillesse », en maison de retraite ou chez soi, donne maintenant lieu à hospitalisation en urgence et classement en « mort pour telle raison maladive » (achevante). Ce serait une nouvelle façon de faire et de parler, pas du tout un danger maladif phénoménal jamais vu. Ruiner l’économie pour cela traduirait soit de l’incompétence, soit de la bêtise, soit une volonté politique inavouée d’oppression des peuples (je ne tranche pas entre ces 3 hypothèses et d’autres, j’envisage).
- Et je maintiens ma réserve : si le nombre de morts est minoré pour ne pas affoler les populations, divisé par mille par exemple, ce serait effectivement une crise incroyable et très dramatique, mais on nous aurait totalement menti sur le décompte. Bref, mensonge sur la dangerosité (en fait bénigne) ou sur le nombre de morts (en fait gigantesque), il semble bien que les autorités nous mentent (pour nous tromper, ou en étant trompées elles-mêmes idiotement).

* Ajout 4, 30/03/2020 (18h) : Mise à jour
  J’ai entendu (ce jour sur chaîne LCI) des journalistes dire que le président brésilien avait été censuré par Twitter pour avoir dit « tout va bien » au sujet du Coronavirus, phrase qu’ils disent être une immense bêtise, une immense erreur, criminelle. Par ailleurs, les Chinois sont suspectés d’avoir menti en sous-estimant le nombre de décédés chez eux du Coronavirus. Le décompte actuel en est à 2.606 morts en France et 34.000 morts dans le monde. On verra si ces chiffres sont très sous-estimés, mais en l’état actuel, ils restent immensément inférieurs à la grippe normale faisant environ 10.000 morts en France (18.300 en 2014-15) et 300.000 dans le monde (2 millions en 1956-58), la dramatisation totale cette année-ci paraissant un choix et non une évidence.
  Par ailleurs, en ce qui concerne le nombre « affolant » de contaminés, je ne vois pas le problème. Quand il y a une épidémie virale habituellement, genre gastro-entérite ou rhinite, peut-être que ça touche environ 50% de la population, donc des millions en France et des milliards dans le monde, avec des morts parmi les gens fragiles hélas même si l’on n’en parle pas d’habitude, ce n’était pas considéré en soi comme un motif à tout stopper et risquer banqueroute générale. Si les Etats nationalisent tout ce qui s’écroule, il se pourrait que là ait été le but secret, pour une prise de contrôle volontaire prétendue contrainte par les circonstances dramatiques, ce serait un mensonge énorme. Je dis ça au conditionnel, je n’en sais rien, c’est seulement possible, à ce stade.
  On verra.

* Ajout 5, 01/04/2020 : Virus et religion
  J’ai vu récemment, et ce n’était pas encore le 1er Avril (poisson), diverses interviews de religieux à la télévision à propos du CoviD-19. Un prêtre catholique expliquait la difficulté de communier avec les croyants interdits de réunion, même à l’occasion des enterrements. Un journaliste devant une église protestante évangélique aux USA disait qu’ici les gens savaient comment prier pour que Dieu les délivre du virus redouté. Troisième source, mon épouse catholique façon philippine (considérant Jésus comme prophète) pense que ce virus a volontairement été envoyé par Dieu pour punir les humains de leurs fautes (pollutions, avortements, attentats, etc.). Moi sceptique je ne comprends pas : selon les religieux habitués à tout expliquer invérifiablement au nom de Dieu, est-ce que ce virus est envoyé par Dieu en punition ou par le Diable mauvais avant sauvetage par Dieu ? Personne n’en parle, mais ça me semble plus important que de savoir comment les églises gèrent les enterrements de victimes. Est-ce que les tués sont des coupables aux yeux de Dieu, même le bébé mort aux USA ? Si au contraire c’est l’œuvre du Diable, pourquoi Dieu tout puissant et bon n’a pas éliminé le Diable, depuis le temps qu’il nous martyrise ? etc. Je n’ai pas l’impression que « les croyants ont tous les idées claires, seuls les incroyants n’ayant pas idée de l’explication religieuse à ce sujet ». J’ai accompagné mon épouse à la messe juste avant le début du confinement (les gens hésitant fort cette fois à « se serrer la main comme d’habitude en signe de fraternité chrétienne »), et le prêtre n’a pas dit un mot à ce sujet brûlant, virus et contagion matérielle ou autre, préférant déclamer sur Jésus dans le désert et la grandiose Jérusalem, comme d’habitude. Ce qui n’éclaire en rien de rien les gens, je crois. Mystère.
  Je regarde un peu sur Internet (https://www.cath.ch/newsf/covid-19-le-pape-francois-demande-a-dieu-de-stopper-la-pandemie/ ). Apparemment, comme les protestants, le pape demande à Dieu d’arrêter la pandémie, mais ce n’est pas clair : s’agit-il d’un geste de bon sauveur après agression par le diable ? ou bien est-ce clémence demandée après que Dieu a décidé de massacrer sciemment des humains au hasard matériel des contaminations (et des pénuries locales en masques et gel protecteur) ? Ce n’est pas expliqué. Le mystère demeure.
  Enfin, je comprends le principe chrétien, consistant à Dire que Dieu conduit au Paradis gentiment les gens morts, sans que cette mort soit un drame scandaleux, mais alors… le meurtre ne serait plu’ horrible, mais simple envoi au Paradis, en rien condamnable (sauf pour les fanatiques hurlant, sans argument compréhensible, que seul Dieu à ce droit de fixer la fin). Et est-ce à dire qu’il ne faut plu’ soigner les gens, pour qu’ils accèdent directement au Paradis souhaité pour eux par Dieu ? Ce n’est pas clair du tout. Ce n’est pas convaincant, pas même plaisant. Les religieux semblent se hasarder à dire n’importe quoi n’importe comment, avec citations sacrées bien sûr (puisque les textes sacrés disent tout et son contraire).
  Il me semble manquer une énorme explication à ces religions, après le Moyen-Age qui affirmait qu’absolument tout ce qui se passe est voulu par Dieu (oppression par le roi, catastrophe naturelle, victoire dans les guerres, gelées tardives, etc.). La version des croyants actuels, comme mon oncle converti catholique après une enfance athée, considère je crois que la machine terrestre fonctionne d’elle-même, sans intervention de Dieu en chaque détail, la prière attirant simplement son attention en espérant son intervention, pas automatique mais toujours possible. Mais ça me parait absurde : pourquoi demander à ce que notre volonté à nous fasse effet en lieu et place de la volonté de Dieu ? Ce serait tout le contraire de la soumission à Dieu requise par les textes sacrés. Incompréhensible. Et les gens répètent dans les cérémonies les paroles rituelles, comme les dispensant de réfléchir avec cohérence, c’est affligeant. S’ils y trouvent un équilibre, tant mieux pour eux, mais je ne partage pas ce mode de fonctionnement là.
  Précision (03/04/2020) : Cette question concernant la mystérieuse gestion religieuse moderne des maladies graves me fait penser à une émission télévisée une veille d’Halloween (sur chaine Arte je crois, entre 1995 et 2005 environ). Il était expliqué qu’au Moyen-Age, quand survenaient des gelées tardives ruinant des récoltes et générant des famines, la population cherchait qui Dieu avait voulu punir par-là, et on brûlait donc des « sorcières », qui étaient des femmes osant vendre des herbes médicinales (ancêtre de la pharmacie), au lieu que les malades s’en remettent exclusivement à la prière (et achat de cierges sacrés, évidemment chers, hum). C’était implicitement présenté comme une religion arriérée, très loin des temps modernes même religieux, mais effectivement la question se pose : si Dieu fait tout et peut tout guérir, pourquoi se soigner au lieu de laisser Dieu faire à sa guise, quitte à ce qu’on en crève (et aille au Paradis) ? Je comprends la médecine athée et agnostique, pas la médecine religieuse (ou l’approbation religieuse envers médecins, infirmières, pharmaciens). Sujet énorme, colossal, pas discuté, nulle part, apparemment. Avec cette affaire CoViD-19, dite par l’ONU « plus grande crise mondiale depuis 1945 », ce serait l’occasion de clarifier, mais hélas non.

* Ajout 6, 03/04/2020 (14h) : Poéme et +
  Eléments de mise à jour : les cris catastrophistes annonçaient hier que « le virus CoViD-19 a maintenant tué au total plus de 50.000 personnes dans le monde !!! » (cf. 300.000/an pour une grippe normale, je ne comprends toujours pas le catastrophisme abominé), et par ailleurs il est dit que la plus jeune victime est un bébé de 6 semaines aux USA (quelle culpabilité selon ceux affirmant que le virus est une punition divine ?).
  Par ailleurs, on m’a envoyé à méditer un poème de Kat Morel que je retrouve sur Internet à http://rers.asso-seyssinet-pariset.fr/category/actualite/ . Je le cite en numérotant pour le discuter en méditation active, critique :
« (1) Nous nous sommes endormis dans un monde et nous nous sommes réveillés dans un autre.
(2) Soudain, Disney n’a plus de magie,
(3) Paris n’est plus romantique,
(4) New York ne reste plus debout,
(5) le mur chinois n’est plus une forteresse,
(6) et la Mecque est vidée.
(7) Les câlins et les bisous deviennent soudainement des armes
(8) et le fait de ne pas rendre visite aux parents et aux amis devient un acte d’amour.
(9) Soudain, vous avez réalisé que le pouvoir, la beauté, l’argent ne valaient rien
(10) et ne pouvaient pas vous procurer l’oxygène pour lequel vous vous battiez.
(11) Le Monde continue sa vie et il est magnifique ;
(12) il ne met en cage que les humains.
(13) Je pense qu’il nous envoie un message : ʺChers humains, vous n’êtes pas indispensables.
(14) L’air, la terre, l’eau et le ciel sans vous, vont bien. Et même mieux.
(15) Quand vous reviendrez, rappelez-vous que vous êtes des invités dans ce monde… Pas nos maîtres.ʺ
»
   Mon opinion :
1/ Il est faux que tout a changé du jour au lendemain : l’émergence d’une maladie virale en Chine a été citée des mois avant que notre continent ait un premier cas, puis un premier mort un autre jour, puis un premier cas dans ce pays-ci, puis un mort ici, puis la fermeture des écoles a été envisagée, appliquée un autre jour, puis le travail des adultes a été dissuadé, pas instantanément mais avec des contradictions selon les jours (une ministre disant d’aller au travail quand même si télétravail impossible, avant que sa voix soit contredite et oubliée un autre jour, et des instructions de travail étaient contestées par droit de retrait avant qu’un arbitrage arrive un jour suivant). Et des pays ont décidé de ne pas confiner eux, avant de changer aussi plusieurs jours après (ou pas encore). Ce serait donc à titre très virtuel qu’il est là fait mention d’endormissement avant découverte soudaine de bouleversement total. Certes, à titre imagé, on peut imaginer un endormissement mi-2019 sans problème à ce sujet, réveil mi-2020 avec problème énorme prétendu, et de manière nullement convaincante (puisqu’on en est en 5 mois à 50.000 morts contre 300.000 morts annuels pour la grippe dite habituelle banale). Que les décideurs politiques aient tout chamboulé est effectif, mais leurs vraies motivations sont mystérieuses.
2/ Il est faux que Disney n’a plu’ de magie. Oui, le parc public Disneyland est fermé, interdit temporairement, mais (dans les maisons) les parents confinés continuent à passer les films de Disney qui font rêver les petits enfants, magiquement en un sens.
3/ Paris n’a jamais été romantique à mon avis, mais un lieu de débauche totale pour les jeunes échangistes. Que les agences de voyage étrangères vendent les séjours à Paris comme prétendument romantiques me semble de la publicité mensongère, pour pigeons naïfs. Les puritains étasuniens ou saoudiens adorent les spectacles de nu féminin interdits dans leurs pays (Moulin Rouge, Lido), mais ce n’est pas romantique, plutôt ancêtre vieillot du porno.
4/ New York est toujours debout au sens propre, avec ses immenses gratte-ciels inchangés. Oui, ces bureaux sont peut-être maintenant inoccupés, et Wall Street est fermé, par décision des politiciens. C’est une action politique autoritaire qui était possible, et alors ?
5/ La muraille de Chine date du Moyen-Age, et n’a pas servi de forteresse dans les derniers siècles parait-il : attaque du Japon par la mer, attaque communiste de l’intérieur, attaque du capitalisme par l’appât du gain ou le calcul stratégique des dirigeants chinois eux-mêmes, attaque de la grippe dans les années 1950 ayant fait plusieurs millions de morts, rien de nouveau inouï de ce côté-là.
6/ Oui, La Mecque est peut-être fermée aux pèlerinages comme Lourdes, et alors ? Ceux qui y voient là quelque chose de grandiose me paraissent peu audibles, dans la mesure où ils n’expliquent rien sur l’origine divine ou non du virus, sur la légitimité ou non de l’acte médical contrecarrant le destin apparent.
7/ Le mot « arme » me semble dévoyé, c’est comme dire que l’automobile est une arme (ce que fait certes la Ligue contre la Violence Routière). A mon sens, une arme est un outil destiné par principe à tuer (ou blesser ou menacer de cela) ; au contraire, si quelque chose dont tuer n’est pas du tout le but devient involontairement risqué, ça n’en fait pas une arme (comme chauffage, électricité, sport, animal domestique, baignade, smartphone détournant le regard parental de la surveillance des enfants, etc.)
8/ Ce n’est pas si simple : certaines personnes âgées, privées de visite, n’ont plu’ le goût de vivre et se laissent mourir. Les pousser dans cette voie est très contestable, pas clairement un geste d’amour.
9/ Il est faux que le pouvoir ne vaut rien : les puissants (politiques) ont dans cette affaire CoViD-19 mis en laisse la planète, joui intensément de leur pouvoir, ou abus de pouvoir, total. L’argent sert encore à détourner les convois de masques protecteurs vers le plus offrant. La loi continue à menacer/bloquer les partageurs des tests de diagnostic ne payant pas très cher les Copyright imposés. Etc.
10/ Je n’ai pas connaissance de bataille pour l’oxygène, de quoi parle l’auteure ? S’il s’agit des gens en réanimation pour étouffement, cela concerne moins de 0,01% de la population, pas généralisable ni même significatif.
11/ Le monde humain ne continue pas du tout mais risque une colossale banqueroute, inversement le monde naturel n’est pas totalement libéré, et l’agriculture ne cesse pas, donc ne rend pas à la Nature les zones activement déboisées autrefois. Il y a simplement un relâchement dans la pression consumériste ayant asservi la Nature très fort (je n’aime pas ce vocable personnifiant, mais ce pseudo-asservissement est en pratique une façon de répondre « rien à foutre » aux écologistes appelant à respecter les équilibres naturels). Par ailleurs, le monde naturel n’est pas magnifique mais cruel : les herbivores sont massacrés par les carnivores, les végétaux sont massacrés par les herbivores, les animaux sont brûlés vifs par les feux de forêt par impact de foudre, les microbes massacrent animaux et végétaux et s’entretuent aussi, etc.
12/ Ce ne sont pas tous les humains qui sont mis en cage : pas les personnels de santé, les policiers et certains militaires, les agriculteurs et transporteurs, journalistes, etc. Une portion seulement des humains est appelée à rester chez elle (30% en télétravail + 30% en chômage partiel ?), et ce n’est pas compréhensible : en France, le gouvernement a promis de payer tout le monde, alors qu’il était déjà en déficit et il va vraisemblablement basculer dans le surendettement et une ruine démente, loin du cui-cui paisible en cage tranquille. Aux Philippines, personne ne paiera les dizaines de millions de miséreux qui gagnaient leur nourriture au jour le jour sans épargne en banque, et la famine peut faire des millions de morts, sauf révolution massacreuse, contraire de rester en cage.
13/ L’expression « Le Monde envoie un message » me semble peu claire : si c’est Dieu en personne, Il n’avait pas besoin de faire ça, en tant que Tout Puissant Il pouvait dire à chacun quoi faire (s’Il existait) ; si c’est une façon de dire La Nature, la personnifier n’apporte rien, et les écologistes disaient depuis des décennies tout le mal fait (comme les Amérindiens s’opposant aux migrants envahisseurs saccageurs – Amérindiens massacrés pour cela, avec bénédiction des lois dites du « camp de la liberté et des Droits de l’Homme »… personnellement, je serais d’accord avec la ruine de cette civilisation européo-étasunienne, bien moins plaisante que celles qu’elle a massacré – et sans même l’honnêteté de rendre les USA quand elle a rendu la Palestine à ses possesseurs antiques, civilisation abominable, oui poubelle, tant méritée, est-ce que l’auteure du « poème » va jusqu’à là ?).
14/ Sans station d’épuration et sans collecte des ordures, la terre et l’eau seraient sales, salies par les humains en surnombre (même en inactivité forcée). Et la notion de saleté n’a pas de sens sans humain pour en juger, au sens de « dégoûtant pour nous ». Ceci dit, sans pollution industrielle l’air est plus sain, ce n’est pas une découverte grandiose, mais une évidence énorme, depuis des décennies (j’ai lu le roman « La ville sans soleil », contre la pollution, vers 1975-1980 il y a 40-45 ans).
15/ Je n’aime pas ce roman dominateur : selon la Genèse (pour judaïsme/christianisme/Islam), Dieu est maître de l’humanité et l’humanité est maître de la nature. Je n’aime pas ce principe écraseur (y compris entre humains, via sport et hiérarchie, militaire ou professionnelle), mais je ne vois pas le rapport avec « être les invités de la Nature ». Sinon, il faudrait rendre les zones agricoles obtenues par déboisement, les maisons construites sur terrassements, etc. Je doute que l’auteure veuille cette dégringolade immense, nous interdisant les régions froides et tempérées (froides en hiver), poussant nos peuples riches à migrer en pauvres zones tropicales (sans besoin de chauffage), d’où guerre mondiale nous exterminant (ou nous faisant exterminer les refuseurs de migrants, tellement compréhensibles pourtant, comme on a massacré les Amérindiens, avant de refuser les migrants à notre tour...). Et oui, il faut réfléchir jusqu’au bout. Oser. Sans se limiter à la demi-pensée écologiste ou naturaliste.

* Ajout 7, 04/04/2020 (14h) : Regard positivant possible ?
   Une amie lisant ce que j’ai écrit ci-dessus m’interroge utilement : « il faut inventer le monde ? Je suis curieuse de savoir comment tu l'imagines le monde meilleur ? ». Euh, je ne dis pas qu’il « faut » modifier le monde, ce qui (semble-t-il) s’est toujours fait en exterminant les opposants (1790 en France, 1918 en URSS, 1976 au Cambodge, etc.). Je souhaite seulement que les donneurs de leçons aient davantage de lucidité, même si en final ça ne changera rien à ce qui se passera : je suis défaitiste, pas activiste.
   Là, avec la guerre mondiale contre le virus CoViD-19, j’assiste au flicage mondial de la population, et je n’aime pas ça, c’est tout, que ça ne soit assorti d’aucune justification compréhensible (même menteuse mais d’apparence crédible) me désole, c’est tout. Les écologistes ou anticapitalistes ou naturalistes fanatiques cherchent évidemment à tirer bénéfice de la panique, c’est compréhensible et même bienvenu, mais cela ne les autorise pas à agiter les idées n’importe comment. Je reste vigilant.
   Comment j’imagine un monde meilleur ? C’est simple : ce serait un monde humain frugal sans dominant écraseur (aucun bandit, aucun policier), c’est clairement une utopie, totalement irréalisable car les gens ne seraient pas d’accord, l’égoïsme (consumériste notamment) étant très majoritaire – c’est la raison de l’échec total des utopies chrétienne, communiste, etc. Je ne suis pas partisan de massacrer tous ceux ne se pliant pas à tel rêve d’homme nouveau, non, je suis « politiquement triste », je dénonce les illogismes ambiants, simplement, que tout le monde pourrait comprendre si l’honnêteté et la logique dirigeaient les esprits.
   Merci de m’avoir demandé de préciser cela, clarifiant le contexte de mes critiques.

* Ajout 8, 05/04/2020 (4h) : Chiffres faussés ?
   Aux Nouvelles hier soir, le nombre de morts dus au Covid 19 se montait en France à 7560 (dont 2028 en EHPAD non comptabilisés auparavant, en plus des 5532 à l’hôpital classiquement). On n’a toujours pas atteint le chiffre de la grippe bénigne de l’an passé, et encore moins le chiffre de la grippe un peu sévère de 5 ans en arrière. Mais je crains des chiffres faussés : surestimés cette fois :
- Mes 4 grands parents sont morts en maisons de retraite médicalisées, “de vieillesse”, des décennies avant l’émergence du CoViD-19, s’ils étaient morts cette année de la même chose seraient-ils comptés automatiquement “victimes du CoViD-19” ? Ce serait un faux et usage de faux, et menteur intéressé, pour que les autorités puissent prétendre justifier leur flicage très actif de la population (en république autoritaire, n’ayant plu’ aucun rapport avec la démocratie libérale prétendue).
- A supposer que les morts en EHPAD récemment soient testés en positivité au CoViD-19 (ce qui est bien moins sûr qu’en hôpital avec laboratoire intégré), le comptage en « tués par le CoViD-19 » serait abusif, ceci n’étant qu’une des éventualités parmi diverses sources léthales. Si 80% des infectés CoViD-19 n’ont aucun symptôme, cela pourrait être éventuellement la même chose dans une population mourante d’autre chose. Sous apparence de rigueur « scientifique », on assisterait là à un comptage biaisé, dans le sens voulu par le pouvoir fliqueur.
- Dans le même genre, les dizaines de milliers de morts « anciens tués par la canicule » (en 2003 ?) se sont avérés, après réinterprétation, victimes non de déshydratation mais d’intoxication médicamenteuse (chez les anciens gavés de médicaments pour polypathologie), la déshydratation entrainant indirectement hausse des concentrations sanguines en médicament, pouvant être létales. Le chiffre déclamé partout était faux, au bénéfice de l’industrie pharmaceutique, et des politiciens qu’elle soutient financièrement, hum. De même ou inversement, un retraité prenant 9 médicaments et mort à ce moment-là peut être compté mort 10 fois : tué par chacun des 9 médicaments + tué par la canicule, facile de monter ainsi à des nombres de morts effrayants, « justifiant » (faussement) des mesures ultra-sévères anti-libertés.
- J’ai vu à la télévision des médecins s’étonner qu’en cette période de focalisation CoViD-19, les malades graves d’autres pathologies avaient disparu de l’hôpital, peut-être par saturation du téléphone 15 (urgences médicales), 2 heures d’attente téléphonique conduisant les gens victimes d’infarctus ou AVC à mourir chez eux sans transfert à l’hôpital ? Alors, quand sera effectué le décompte de la « surmortalité » due au CoViD-19, ils seront comptés comme victimes cachées du CoViD-19, mais ce sera faux. Ils n’ont absolument pas été tués par le CoViD-19, hélas non détecté/recherché, mais par d’autres pathologies, à tort négligées à cause du forcing politico-médiatico-médical sur le CoViD-19. Bref, au lieu de donner raison à ce forcing (ce qui sera prétendu), ils montrent que ce forcing a été tueur sans lien avec la dangerosité du virus en question. Avec bla-bla rhétorique, ça sera gobé comme d’habitude, mais ce sera un faux et usage de faux.
- Par ailleurs, personne ne parle de la grippe hivernale habituelle, sauf pour dire que les vaccinés contre la grippe ne sont en rien protégés du CoVid-19. Mais les 8.000 à 16.000 morts annuels de la grippe annuelle en France, où sont-ils cette année ? Assiste-t-on à une grippe incroyable cette année hyper-bénigne avec zéro mort ? Ou bien est-ce que les morts cette année de la grippe sont comptés victimes du CoViD-19 (notamment les malades à fièvre et toux des EHPAD) ? Faux et usage de faux là encore.
  Bref, non seulement, les chiffrages de victimes n’expliquent pas le bouleversement imposé aux sociétés, mais ces chiffrages me paraissent éminemment suspects. Le journaliste Pascal Perri se trompait quand il disait que la Science n’est pas une opinion, la science ce sont des faits, irréfutables. Les comptages, prétendus factuels incontestables, prêtent à toutes les manœuvres mensongères, prétexte à oppression des gens et musèlement des objections argumentées.

* Ajout 9, 07/04/2020 : Abus de langage
   Aujourd’hui aux informations, un médecin hospitalier disait que beaucoup de gens souffrant de la maladie CoViD-19 n’ont pas de symptômes. Je trouve ça aberrant : à mon avis ces gens sont des porteurs sains du virus, ils ne sont ni malades ni souffrant.
   Je vérifie dans le dictionnaire.Google : Souffrir = éprouver des douleurs ; Malade = qui souffre de troubles. Cela me donne raison, mais les catastrophistes exagérateurs (même dans l’erreur complète) ont le pouvoir médiatique, en ce moment ou toujours.

* Ajout 10, 08/04/2020 : Abus de langage 2
   Clip gouvernemental multi-quotidien sur chaque chaine : « Alerte Coronavirus : si vous avez de la toux et de la fièvre, vous êtes peut-être malade ». Ce n’est pas vrai : durant les années 1985-95, j’avais une petite toux chronique (avec un peu de fièvre en plus quand j’étais enrhumé) et j’y étais tellement habitué que ce n’était en rien une souffrance, plutôt une habitude, c’est simplement qu’en revoyant mes parents, il m’a été dit que ce n’était pas normal, que je devais essayer le pulvérisateur L~l (à l’époque antibiotiques sans ordonnance, avant changement de formule du fait de la modification légale), et j’ai essayé sans y croire, en étant très surpris que ma toux disparaisse effectivement quelques jours après. Bref, toux (modérée) comme fièvre (modérée) n’implique nullement souffrance, donc ce n’est pas une maladie. Ce n’est que s’il y a basculement en souffrance qu’il y a maladie, et on le sait puisqu’on souffre, le clip ne sert donc à rien. Et ce n’est même pas un critère d’alerte pour portage du coronavirus puisqu’il y a plein de porteurs sains de ce virus, et puis : chaque année plein de cas en pharyngite, rhino-pharyngite, grippe, etc. qui ont les mêmes symptômes initiaux sans aucun rapport avec le CoViD-19. Cela ne fait que contribuer au catastrophisme maximisant l’angoisse populaire relative au CoViD-19, et « justifiant » le blocage/flicage décidé par le gouvernement (ici comme ailleurs).
   Bref, entre avoir le virus et avoir des symptômes, il n’y a presque aucun rapport : plein de cas porteurs sans symptômes, plein de cas avec symptômes sans ce virus-là. Alors, à quoi sert ce clip (payé par nos impôts) ? A mon avis : c’est de la pure propagande du gouvernement pour dramatiser et justifier ses mesures ultra-sévères anti-libertés anti-économie…

* Ajout 11, 12/04/2020 : Catastrophisme +++
  Je lis ce jour une nouvelle MSN (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/le-covid-19-«pourrait-tuer-plus-que-les-deux-guerres-mondiales»/vi-BB12vwu9?ocid=spartandhp ) disant que le CoViD-19 pourrait tuer davantage que les 2 guerres mondiales, soit 58 à 79 millions de personnes. Avec le verbe pouvoir (flou) et puis un conditionnel, c’est imparable, mais je pourrais dire pareillement « mon haleine quand je vais manger de l’ail au gingembre pourrait exterminer l’humanité toute entière (soit 7 à 8 milliards d’humains) en 2 à 20.000 jours », vous saurez si c’est vrai ou bidon dans vingt mille jours… Comme la publicité dit que « attention ! vous pourriez gagner au Loto ! » ou « en buvant notre eau magique, votre poids pourrait diminuer jusqu’à 80% » (entre zéro et 80%, c'est totalement prouvé par tous les cas, trouvés à zéro)… Pour le CoViD-19, cette nouvelle annonce n’est pas super inquiétante affolante, c’est creux inutile, c’est n’importe quoi. A ce jour le nombre de victimes dans le monde est dit 110.000, soit beaucoup beaucoup moins qu’une grippe annuelle normale dite bénigne (300.000 environ)…

* Ajout 12, 15/04/2020 (6h) : Auto-crucifixion…
  Je me pose une question gênante, et j’en ai parlé d’abord (hier) à des ex-collègues (sans recevoir de réponse) en pensant impossible d’en parler ici à cause du « devoir de réserve », même si j’ai été classé en invalidité (psychiatrique) et ne suis plu’ salarié.
  La question est : l’Allemagne ayant 2.000 morts Covid19 (maladie du virus Sars-cov-2) contre 14.000 chez nous avec une population moindre chez nous et eux sans pratiquer un confinement aussi strict que nous, la différence est expliquée sur les médias par le fait que les Allemands (et Sud-Coréens) ont pratiqué beaucoup beaucoup plus de tests de dépistages que les Français. Et je me demandais, donc : est-ce que le problème est que les labos Allemands sont équipés en automates A (étasuniens) et R (suisses) qui ont un test Covid19 alors que les labos Français sont équipés en automates B (français) qui n’ont pas de test Covid19 ? Le fait d’avoir choisi B aurait causé plus de 12.000 morts… Les commerciaux de B, et fabricants et chercheurs de B, visant à gagner un maximum du marché avec récompense financière par primes, seraient des « tueurs pour le fric », ce qui vaut meurtre aggravé, non ? Je ne veux pas accuser, je ne sais pas, mais je me pose la question… coupablement encore (c’est une tare chronique chez moi), même si je ne suis plu’ salarié de B… La télé n’en parle nulle part, mais est-ce tabou (aïe) ou est-ce faux (ouf) ?
  Enfin, si j’en parle ici aujourd’hui, c’est qu’à la réflexion, en un sens, la faute mortelle pourrait être celle de A et R refusant de donner (pour le bien public) la licence de leur test gratuitement pour application immédiate d’urgence sur automate B… Les affaires de gros sous auraient tué, tout en le cachant à la population (jugée stupide par la prétendue Elite – politiciens et journalistes, médecins et scientifiques leaders)... Non ? Espérons que c'est un cauchemar et que la vérité est différente.
--- Ajout (11h) Précision en débat télévisé sur chaîne LCI : le test de dépistage allemand ne serait pas sur automate (A ou R) mais manuel monté « à la maison » par un labo leader national et appliqué ensuite partout, alors que les autorités françaises l’interdisent en exigeant un test certifié protocolairement, ce qui prendra des mois et des mois. Cela innocenterait B, ouf (pour ce côté-là de la question, B et moi, portant la culpabilité éventuelle sur les officiels).

* Ajout 13, 16/04/2020 (5h) : Quelques éléments de plus
   Autres points pas abordés hier :
– J’ai entendu à la télévision que les standards téléphoniques de Police-Secours étaient totalement débordés d’appels, car un nombre immense de gens appellent pour dénoncer leurs voisins (ou des passants) ne respectant pas le confinement, et la police précise que Police-Secours n’est pas fait pour cela, tandis que des journalistes regrettent cette ambiance de délation généralisée. Toutefois, il me semble que c’est organisé ainsi : avec les appels présidentiels à l’esprit de guerre et le relai journalistique clamant que ne pas respecter le confinement c’est tuer, indirectement, les gens qui veulent combattre pour empêcher les tués partent en guerre contre ceux ne respectant pas le confinement, c’est une logique qui était très envisageable. Hélas peut-être.
– Une amie m’a demandé ce que je pensais du Professeur Raoult (infectiologue marseillais qui dit avoir le remède contre le CoViD-19, très peu cher), et j’ai répondu : « Je pense du Pr Raoult que c’est un croyant (en lui-même et en son remède dit miracle), alors que moi je suis sceptique. Je ne suis pas non plu’ dans le camp médical anti-Raoult qui veut imposer d’autres dominants, parisiens, mais je n’aime pas cette auto-promotion victimaire que fait Raoult en se prétendant injustement brimé. La parole officielle est aberrante en ceci qu’elle est catastrophiste absolue cachant que 98% des malades s’en sortent (ce qui n’a rien à voir avec la peste autrefois ou même la grippe espagnole de 1918), alors Raoult peut en profiter pour dire qu’un peut-être-placebo marche, à 98% ce qui est selon lui génial. Tant que je n’ai pas compris le bien-fondé du catastrophisme officiel, je ne peux pas m’enthousiasmer pour la solution (possible) du Dr Raoult. Contrairement aux officiels raillant Raoult en clamant que ce qu’il fait n’est pas scientifique, j’ai moi pour ma part invalidé la science (même si c’était mon métier à titre alimentaire, comme une machine en location). Mais en termes logiques (sans les erreurs logiques de la science expérimentale), Raoult a tort aussi : il ne peut pas démontrer avoir raison sans envisager avoir tort et comparer. Ceci dit, j’ai mathématiquement invalidé les statistiques, et je pourrais casser les futures démonstrations officielles de la validité ou invalidité de ce produit et d’autres, mais les grands chefs dominants (en science comme ailleurs) sont des nuls-en-maths escrocs, visant fric, célébrité, pouvoir (…) J’ai vu ce matin une interview de Pr Raoult, 3 longues minutes, qui dit (avec bien plus d’arguments que moi) ce que je disais sur mon site : ce virus ne semble pas du tout exceptionnel mais dans la lignée de ceux habituels, pas d’une gravité inouïe… ».
– Concernant ce que je disais hier sur ce site, il y a manifestement une contradiction officielle. J’entends le Professeur Raoult dire qu’en médecine de guerre, on n’a pas le temps de s’encombrer de la méthodologie lourde et longue du temps de paix tranquille, mais cela s’applique aussi aux tests de dépistage me semble-t-il. Il n’a pas été pratiqué dans ce domaine une urgence absolue de guerre mais un conformisme procédural qui a pu tuer en masse, alors : accuser la population (de respecter imparfaitement le confinement) serait se tromper de coupables.
– Dans une discussion télévisée sur un autre sujet, il était dit que le tabac fait chaque année 72.000 morts en France, discrètement et c’est accepté et même vendu par l’Etat, alors les cris catastrophistes absolus pour les 15.000 morts (jusqu’à présent) liés parait-il au CoViD-19 semblent pour le moins à relativiser (et avoir cassé l’économie pour cela semble cacher un plan autre, inavoué).
--- (13h) Je vois un article (https://laregledujeu.org/2020/04/13/35946/la-memoire-oubliee-du-coronavirus/?fbclid=IwAR3lxl1nRebGwUpvFKJjrZcDBRyhP3Ywho89APz29cR4DFsLus7oc2TZi_U ) déniant chiffres à l’appui que le CoViD-19 soit la pire crise sanitaire depuis un siècle. En termes de surréaction exagératrice : oui, mais en termes de gravité létale : pas du tout du tout. Ça rejoint l’impression que j’avais.

* Ajout 14, 17/04/2020 (6h) : Tout s'explique !
  Une ex-collègue m’apporte génialement (je crois) la synthèse à mes interrogations passées (des 05/04/2020 et 15/04/2020 notamment) : « Pour ce qui est des histoires de décompte du Covid je pense que tous les pays ne comptent pas de la même façon : apparemment en Allemagne si une personne décède du covid mais qu’elle avait une autre maladie ils ne l’a comptent pas. Et je doute aussi de la bonne foi de chaque pays… ». Effectivement, puisque les chiffres de morts attribués au CoViD-19 sont très subjectifs, les gouvernements voulant justifier leur blocage de l’économie (comme le France, l’Italie, l’Espagne, les états démocrates aux USA ?) peuvent choisir de les maximaliser quand les gouvernements voulant continuer à faire tourner l’économie (comme l’Allemagne, la Chine, la Corée du Sud, le Brésil, les états républicains aux USA ?) peuvent choisir de les minimiser. Ça expliquerait tout, merci encore.
--- Ajout (15h) J’ai entendu ce matin l’immense révélation d’un virologue Prix Nobel français, le professeur Luc Montagnier, disant avoir prouvé l’origine humaine (non naturelle) du CoViD-19, dans un laboratoire virologique de Wuhan en Chine, peut-être par mégarde après avoir voulu créer un virus artificiel de vaccination contre le SIDA. Sa démonstration est dite basée sur la séquence nucléotidique, avec interdiction de publication de l’article indien disant il y a quelques semaines la même découverte. Par contre un chercheur de l’Institut Pasteur crie au complotisme absurde, disant que c’est comme trouver le mot « chat » dans deux romans, ce qui ne prouve en rien qu’il y a copie manipulatrice. Qu’est-ce que j’en pense (comme du médicament du Dr Raoult discuté précédemment) ? Il se trouve que, de 2012 à 2018, mon métier était très exactement cette analyse nucléotidique, quoiqu’en ADN de bactéries pas en ARN de virus. Et j’ai une réponse technique argumentée : si deux romans contiennent le mot « chat », ça ne prouve pas qu’il y a copie, mais s’il y a un passage de huit pages intégralement semblables avec tous les mots et dans le même ordre exact et avec toutes les ponctuations, imputer ça au hasard créatif semble immensément suspect. Et départager les deux hypothèses serait très simple (comme avec la molécule du Pr Raoult) : que chacune envisage avoir tort et que cela soit testé. Si dix mille virus indépendants ont une séquence aussi longue d’ADN VIH (SIDA) en eux (comme le mot « chat » dans un roman), il serait faux d’affirmer que ça prouve une manipulation ultra-spéciale. Si au contraire le CoviD-19 est le seul et unique (de 10 millions de virus indépendants examinés informatiquement) à présenter cette propriété, il y aurait là une spécificité très significative, peu imputable au hasard. Toutefois, dans ce dernier cas, je ne suis pas d’accord que ça prouve une manipulation non-naturelle, humainement intentionnelle. Dans un roman, le fait qu’il y ait 8 pages copiées d’une source célèbre ne prouve pas qu’il s’agit d’un copieur odieux, ça peut être un bug informatique ayant produit une erreur totalement involontaire, après les dernières vérifications sur épreuves. De même, en virologie, peut-être qu’en un humain ou animal, les deux virus (VIH et coronavirus de chauve-souris) se sont combinés naturellement, sans humain en décidant ainsi. Affirmer « ça n’existe pas dans la Nature » (sans biologie moléculaire recombinante par outils « ciseaux nucléotidiques ») est une erreur épistémologique, relevant du scientisme : or non, la science par principe ne connait pas tout, elle n’a pas de savoir éternel, mais des habitudes de pensée faisant consensus en attente de preuve (éventuelle) du contraire. Bref, ne jamais l’avoir vu ne le prouve pas impossible, il ne faut pas refuser la preuve d’erreur passée pour affirmer que la vérité passée invalide ce cas expérimental. Qui plus est, s'il y avait eu création artificielle, cela ne prouve pas que les Chinois sont fautifs, cela pourrait être un acte de guerre biologique des Etasuniens ou autres, tout est envisageable, affirmer prouvé semble abusif. En conclusion, c’est peut-être une création humaine, peut-être une création naturelle, personne ne semble rien en savoir, même si des grands pontes affirment à tort « savoir » (en fait ils ne font que « croire » avec grandiloquence méprisant le doute logique).

* Ajout 15, 19/04/2020 (10h) : Livre majeur
   Hier on m’a prêté le tout nouveau livre du Dr Raoult, publié ce mois (« Epidémies. Vrais dangers et fausses alertes »), et… je l’ai dévoré en une après-midi ! tant le contenu me paraissait majeur, confirmant/appuyant mon analyse ingénue.
   Enfin, je ne suis pas un lecteur crédule, approuvant tout écrivain allant dans mon sens, ce n’est pas ça du tout. Ainsi, j’ai détecté page 63 (sur 168) une erreur logique montrant que le Pr Raoult est comme je le pensais un croyant, très contestable par moi qui suis sceptique. Il dit que pour telle maladie, vacciner les très jeunes enfants diminue la mortalité des personnes âgées, et cela a d’ailleurs été prouvé, après qu’il l’ait dit, au Japon où la vaccination des enfants a été abandonnée avec hausse ensuite des personnes âgées décédées. C’est faux, ce n’est pas du tout une preuve, mais une confirmation possible. Une occurrence unique ne prouve pas une loi générale, et la relation de cause à effet n’est pas établie tant que d’autres causes éventuelles (et aléas éventuellement possibles) n’ont pas été envisagés. Exemple : si je dis « quand je bois du thé alors il pleut dehors, la preuve : aujourd’hui j’ai bu du thé et maintenant il pleut dehors, c’est donc prouvé incontestable ». Non, c’est une fausse preuve, pouvant être infirmée demain, et la cause de pluie pourrait être tout à fait différente si on avait l’honnêteté de l’envisager.
   Ceci dit, le point majeur que je retiens de ce livre est que les fausses alertes catastrophistes en matière d’épidémies ont été très nombreuses dans un passé récent, encouragées par les médias profitant de la panique suscitée pour « intéresser et vendre » très fort (exemplaires, livres, publicité, …). Et cela se fait souvent maintenant au nom de la science, des mathématiques hyper-rigoureuses de modélisation, bien qu’on s’aperçoive ensuite que c’était totalement erroné. Le Pr Raoult dit que les observations de terrain sont beaucoup plus importantes et fiables que les modélisations, par principe incertaines. Euh, je ne suis pas complètement d’accord et le professeur me semble manquer de recul épistémologique. La science ne doit son succès qu’à ses performances excellentes en prédictions ayant risqué l’erreur (qu’il ne convient pas de rejeter, surtout sous mode « avec incertitude chiffrée » sans affirmation d’égalité absolue valant loi du monde), mais une théorie pas encore confirmée, un modèle essayé, ne peut en rien revendiquer le succès prédictif de cette science, il est une hypothèse, en voie très possible de réfutation par les données expérimentales. Ça ne veut pas dire que toute prédiction est par nature impossible (pour la trajectoire d’une fusée ou autre), c’est qu’il y a abus quand on présente un calcul hypothèse comme vérité scientifique.
   Par ailleurs, le Pr Raoult m’a informé sur un point où la télévision m’avait activement désinformé : j’avais entendu dire que la ministre Bachelot avait été injustement condamnée (en 2011 je crois) car elle avait commandé des milliards de masques et dizaines de millions de vaccins pour rien de rien, alors que la crise 2020 prouvait qu’elle avait eu entièrement raison d’appliquer ainsi le principe de précaution ; le Pr Raoult explique lui que c’était une faute d’avoir cru les catastrophistes (de l’OMS et ailleurs) et choisi une version très chère du vaccin (sans fabrication bon marché sur œuf alors qu’il ne s’agissait pas de grippe aviaire) et requérant double injection pour rien (la version « sur œuf » se contentant d’injection unique). Bref, la télé m’a menti en prétendant réhabilitée la ministre ultra-dépensière pour rien. Le fait que le catastrophisme triomphe cette année (politiquement, populairement) ne prouve en rien que le catastrophisme est toujours sage, ni même qu’il est sage cette année-ci.
   Le Pr Raoult explique aussi que les articles scientifiques ne sont pas publiés s’ils ne vont pas dans le sens catastrophiste ambiant, que les vieux médicaments bon marché qui marchent sont refusés pour préférer des investissements énormes en nouveaux médicaments (chers ou à développer), que les anciens vaccins qui marchent sont pareillement refusés pour exiger des budgets de recherche. J’ajouterais un point : le mensonge financièrement intéressé est le principe de l’escroquerie, et hélas c’est peut-être le principe industriel des biotechnologies en régime capitaliste visant l’enrichissement maximum du « winner » même mensonger.
--- Ajout (14h)
  On m’a signalé un article (https://www.lesalonbeige.fr/covid-19-lobstruction-systematique-a-la-solution/ ) allant partiellement dans mon sens et qui serait (sera ?) sans doute classé complotiste par les autorités. J’en retiens plusieurs points :
• Positif (je suis d’accord) :
1+ « Le confinement généralisé sans dépistage est une décision imbécile et mortifère (…) d’après les taux de mortalité enregistrés et ainsi que le souligne le Professeur Raoult, l’ampleur de cette épidémie est moindre que celles des grippes des années précédentes qui n’ont pas entraîné une telle décision. » Effectivement, les mesures d’exception phénoménales décidées pourraient devenir la nouvelle norme puisqu’elles auraient pu s’appliquer n’importe quelle année antérieure (ou presque, peut-être, s’il y a eu quelques années particulièrement peu contaminées).
• Négatif (je ne suis pas d’accord)
2- L’article considère certain que la manœuvre gouvernementale mensongère est une prise de pouvoir des mondialistes voulant éliminer la classe moyenne de nos pays. Ça me semble une affirmation aberrante, je considère Macron et son gouvernement (comme les gouvernements depuis 1981 que je suis électeur) comme des nationalistes fanatiques, armant nucléairement les frontières (ne serait-ce que de la nation européenne) et armant une police des frontières repoussant les migrants économiques : c’est une variante du Front National (rebaptisé Rassemblement National à raison, mais les autres veulent continuer à mentir en diabolisant les seuls nationalistes se revendiquant tels sans mensonge). Par ailleurs, en ce qui concerne l’appauvrissement des classes moyennes avec richesse accrue des super-riches, il est totalement faux d’affirmer que cela est imputable à tous les mondialistes : je suis anti-frontière donc mondialiste et hostile à la richesse indue, je souhaite une échelle de revenus de 1 à 4 maximum sur Terre (en monnaie unique), ce qui est en totale opposition à la version droitière du projet amenant les salariés occidentaux au standard asiatique (avec « fin des privilèges » enfin sincère).
3- L’article clame que l’hydroxychloroquine est incontestablement efficace, et je n’en suis en rien convaincu. Si le virus actuel n’est pas plus grave qu’une grippe normale, alors : que celle-ci se guérisse toute seule est très possible, très fréquent, sans que soit prouvée l’efficacité d’un traitement particulier (surtout sans étude comparative).

* Ajout 16, 21/04/2020 (7h) : Le « fameux » R0 ?
  Je lis ce matin une nouvelle MSN sur le taux de contagiosité R0 (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/on-vous-explique-le-concept-de-r0-et-pourquoi-il-est-central-dans-la-stratégie-de-déconfinement/ar-BB12VmLZ?MSCC=1587441934&ocid=spartandhp ) qui ne me convint en rien, alors que c’est considéré immensément important par les gouvernements, est-il dit.
  En chiffres, il est présenté que ce taux est estimé à 3,4 en France pour le Covid19 avant confinement et 0,6 après confinement (5 à 6 en Chine avant confinement, moins de 1,2 en Allemagne sans confinement – le chiffre 1,3 étant dit catastrophique en Allemagne et 1,0 étant dit incorrect en France). Mais… pour dire que 10 contaminés contaminent 6 personnes saines, il faudrait dénombrer toutes les personnes contaminées et personnes saines ce qui n’est aucunement fait. Les porteurs sains ne sont (en France) pas détectés, donc on ne chiffre pas les personnes vraiment infectantes (possibles) ni les personnes infectées (vraies, indépendamment des symptômes). Même en Allemagne, qui pratique énormément davantage de tests que la France, c’est faux : il est avoué que le test de contamination est faussement négatif assez souvent. [Je m’embrouille un peu et j’ai besoin de mettre ça en A+B, pardon…] Il était dit 10 personnes contaminées avant (V) en contaminent 6 autres après (P), mais V est sous-estimé puisque les porteurs sains ne sont pas comptés en France et sous-estimés en Allemagne ; et P est aussi sous-estimé pour la même raison. Donc le R0=P/V=6/10=0,6 correspond peut-être en vrai à 7/100=0,07 ou 100/11=9,1 ; le chiffrage 0,6 serait « n’importe quoi », estimation crédible en rien de rien .
  Par ailleurs, l’estimation d’environ 30% comme taux de faux négatif ne me parait pas pouvoir être inclus dans la formule, car ça ne me semble pas un chiffrage crédible mais une confusion totale. Ce qui a pu être estimé, c’est que 30% des négatifs apparents se sont avérés positifs plus tard (donc le résultat négatif est contesté) mais ça oublie (par mégarde ou bêtise ou calcul stratégique) les porteurs de virus ayant donné un résultat négatif mais restés porteurs sains sans développer de « symptômes et tests ensuite contredisant ce résultat négatif (initial) ». Il s’agissait de faux négatif pas détectés plus tard : le taux de faux négatifs ainsi estimé à 30% pourrait donc en fait être de 99%. Inversement, peut-être que les testés négatifs s’avérant positifs plus tard ont été contaminés postérieurement à leur test, donc ils auraient été vrais négatifs, sans que leur positivité ultérieure démente le résultat du test au moment où il a été pratiqué. Bref ce « 30% estimé, mais valant peut-être 99% ou 1% » serait un autre n’importe quoi à crédibilité nulle, pas une base de correction chiffrée crédible.
  Certes, le mot « estimé » ne garantit pas que ce soit pile exact, mais l’estimation « n’importe quoi divisé par n’importe quoi » n’est pas valide, elle n’est pas approximativement-juste mais aucunement-convaincante. Comme d'habitude, les scientistes (en faute logique) confondent "croire" et "savoir", en privant de parole les démonstrateurs de leurs fautes de raisonnement.
--- Ajout (13h) Dans ce que j’écrivais ci-dessus sur le R0, il y avait une imperfection : je disais invalide l’estimation des contaminés car en France on ne teste que très très peu les personnes saines (dont les contaminés porteurs sains). En fait le mot « estimé » peut avoir le sens d’estimé sur échantillon, et sur ce petit nombre avant généralisation, les personnes saines auraient bien été testées. Mais ces statistiques inductives sont très douteuses par principe. En matière d’échantillonnage, rien de rien ne garantit qu’un échantillon au hasard soit représentatif. Pour les élections politiques, d’immenses études (et corrections tentées après échecs) ont été effectuées pour consolider telle méthode de sélection (quotas sociologiques je crois) mais ça n’a rigoureusement aucune pertinence pour une étude médicale, avec une maladie dont à ce stade on ignore les possibles déterminants : sexe ? âge ? poids ? autre pathologie (et sa gravité) ? groupe sanguin ? ethnie ? etc. Bref, je confirme mon sentiment argumenté que la crédibilité de cette estimation est environ nulle (ne me convaincant nullement, moi qui suis insensible au prétendu argument d’autorité assené par journalistes et politiciens).

* Ajout 17, 22/04/2020 (5h) : Eléments de confirmation
- J’ai été choqué hier par la mauvaise foi d’une émission « comique » (la mauvaise foi criante est une recette comique usuelle, mais là je crains un détournement). Dans les sketches « C’est Canteloup Confiné », l’imitateur déguisé en président américain idiot inculte (« La Fwance c’est où ?! ») affirme que 1/ il fera abattre ceux qui se confinent (dans les états démocrates) au lieu d’aller travailler (comme dans les états républicains), et 2/ les morts du virus n’ont pas d’importance car les gens se tuent aussi en voiture et on n’interdit pas de rouler (ce à quoi l’animatrice répondait par une grimace valant désapprobation d’idiotie totale, avant de passer à un autre sujet). Ça me semble au contraire mériter discussion attentive. 1/ Effectivement, Donald Trump veut se faire réélire en clamant que son bilan économique est fabuleux (sans être ruiné par un confinement) alors que ses opposants, prétextant l’urgence sanitaire de sauver des vies, me semblent vouloir ruiner son bilan économique pour être élus à sa place. En France, c’est le contraire : il me semble que, au pouvoir, Macron dont l’ « ultra-libéralisme laissant faire » n’apporte pas l’embellie économique promise veut se faire réélire en cassant toute analyse d’échec économique par une urgence sanitaire dite exceptionnelle ayant tout stoppé sans que ce soit aucunement sa faute à lui (et l’opposition ne peut pas le dénoncer sans se voir attribuer tous les morts décomptés, comme « par leur faute » s’ils osaient désapprouver le confinement). Manœuvres politiciennes, de pouvoir et opposition, n’ayant rien à voir avec la gravité ou non du virus. 2/ L’argument « morts sur la route » n’est aucunement une bêtise crasse à balayer par hurlements de rire, il y a simplement que ce contre-argument est totalement absent des discours officiels et d’opposition prétendue (voulant faire pareil à la place de ceux aux pouvoir) : oui, le principe de précaution est un mensonge éhonté, puisque les déplacements routiers pour promenade, vacances, sport, etc. ne sont nullement interdits alors que risqués et tueurs un petit peu (comme le virus Covid-19). Mais comme personne ne le dit, oser l’envisager est présenté comme une totale stupidité à écarter par le rire. C’est ce rire qui est idiot à mon avis, pas l’argument balayé par ce rire.
- Dans un débat sur chaine d’information en continu, il a été dit : le premier ministre britannique Boris Johnson avait commencé par mépriser le virus avant de faire volte-face sagement (mais en retard coupablement) en voyant son pays suivre un modèle à 900.000 morts (ce qui va se produire au Brésil où le président Bolsonaro continue à nier le besoin de confinement strict de la population). Il est donc là avoué que la dangerosité de ce virus n’est pas « constatée » mais tirée des modèles retenus, qui ont produit d’immenses échecs (fausses alertes) dans le passé selon le livre du Pr Raoult. Si maintenant les modèles les plus catastrophistes sont automatiquement retenus en matière microbienne (au nom menteur du « principe de précaution », voir point précédent 2/), alors le confinement va devenir chronique, enclenché par chaque grippe annuelle, chaque gastro-entérite (tuant quelques personnes âgées), etc. Puisque « le risque zéro n’existe pas », tout enclenchera le principe de précaution bloqueur. L’extrême dangerosité, exceptionnelle, du CoViD-19 aurait été un mensonge, pour un stratégique changement de perspectives, à but inavoué.
- Aux dernières nouvelles, la France compterait 20.700 morts CoViD-19 soit plus que la grippe 2014-15 maintenant, et le monde : 166.000 soit bien moins qu’une grippe habituelle. La différence peut s’expliquer par le fait de compter en France tous les morts en maison de retraite et pas seulement ceux tués par ce virus. De ce côté il y a plusieurs chiffres, peut-être choisis différemment selon les pays : A = tous les morts en EHPAD ; B = tous les morts en EHPAD ayant montré des symptômes toux/fièvre ; C = tous les morts en EHPAD trouvés positifs au CoViD-19 ; D = tous les morts en EHPAD tués par le CoViD-19 alors qu’ils ne seraient nullement morts d’autre chose. Choisir A plutôt que D gonfle artificiellement les chiffres, pour prétendre justifier un confinement dur et/ou flicage de la population et/ou « ruine de l’économie » prétendue indépendante des responsabilités politiques, se disant innocentes et méritoires à approuver par union nationale, avant réélection du sauveur ainsi plébiscité.
- Il était dit que les tests de dépistages « sanguins » seront vérifiés attentivement en termes de spécificité (taux de vrais négatifs) et de sensibilité (taux de vrais positifs), ces valeurs devant être supérieures ou égales à 90% et 98%. Cela officialise les réserves que j’émettais dès le départ en disant que ces tests ne sont pas la vérité parfaite (100% crédible). Par ailleurs, ces modes de calcul sont trompeurs : dans le tableau à 4 cases Vrais Positifs, Faux Positifs, Faux Négatifs, Vrais Négatifs, spécificité et sensibilité se rapportent aux totaux par méthode de référence (colonnes), ce qui ne correspond pas à la lecture des résultats d’après la méthode testée éventuellement retenue pour le futur (lignes), là on parlerait de valeur prédictive positive ou négative. Et avec, par exemple, les chiffres 99 ; 90 ; 1 ; 910 on obtiendrait une sensibilité 99% et spécificité 91%, correctes, mais la valeur prédictive positive (probabilité qu’un rendu positif soit juste) serait 52% très mauvaise et immensément loin des 99% annoncés officiellement. C’est très discutable mais les politiciens ne veulent pas en entendre parler puisqu’ils sont incompétents en maths et biologie, s’en remettant à de prétendus experts, chers payés pour rassurer les populations crédules…
- Par ailleurs, des commentaires disent qu’entre la contamination et le développement d’anticorps (et à un taux détectable), il se passe 2 à 5 jours. Or j’objecte : pendant tout ce temps, un contaminé sera déclaré non-contaminé ce qui est faux, mais pas comptabilisé erreur puisque la technique dite de référence se trompe autant que la méthode en test. Cela vaut « faux et usage de faux », à mon avis. Mais les grands pontes bardés de diplômes et signataires en chef d’études publiées se portent garants qu’on ne fait pas n’importe quoi (ce qui est faux), et ça « passe », c’est gobé, toute résistance étant insultée comme complotiste. C’est immensément triste, malhonnête vainqueur.
--- Ajout (19h) : Sur chaine d’informations LCI, le professeur Jean-François Toussaint (interrogé à distance) informe que le CoViD-19 est une maladie virale peu mortelle, avec décès de 0,3% des personnes contaminées, contre 100% au début du SIDA et 50% au début d’Ebola. Aucun journaliste ou invité pour discuter n’a demandé si le confinement et l’arrêt de l’économie ont donc été des erreurs totales, si les frayeurs extrêmes de déconfinement sont erronées (et les menaces de retrait professionnel : infondées). Non, silence, reprise immédiatement des propos catastrophistes…

* Ajout 18, 23/04/2020 (5h) : Presque aveu
   Hier soir, j’ai entendu le représentant du gouvernement pour le sujet Covid-19 (Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé ?) expliquer la rigueur de ses comptages. Il disait que dans les comptes rendus de décès de tant de personnes est listé le covid-19 parmi les causes de décès (ce qui ne choquait nullement les journalistes ou experts). Moi au contraire, je suis choqué et je vois là presque toute la faute, en France par exemple, ou dans les pays/états cherchant à maximiser leur nombre de morts covid-19 pour justifier des mesures anti-liberté et/ou anti-économie. En effet, quand un compte rendu médical dit : « la cause exacte du décès est inconnue, ce pourrait être X ou Y ou le covid-19 ou Z », le gouvernement français choisit de compter ça comme « c’est prouvé être encore une victime tuée par le Covid-19 ». Moi j’appelle ça une escroquerie catastrophiste ciblée, pas du tout un décompte objectif.

* Ajout 19, 26/04/2020 (16h) : Chiffrages discutés
   Je lis ce jour une nouvelle MSN ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/anti-infox-factchecking/port-du-masque-dauphins-filmés…-attention-aux-intox-de-la-semaine/ar-BB13boAu?ocid=spartandhp ) comprenant un message anti-fake-news prétendu : « Le coronavirus beaucoup moins mortel que la grippe saisonnière ? Ce genre de rapprochement, chiffres à l’appui, qui sévit sur les réseaux sociaux, n'est pas pertinent, car les statistiques du Covid-19 sont loin d'être figées. » Fais-je partie des commentateurs ainsi décriés ? Je ne pense pas : je n’affirme en rien qu’il est sûr et certain que le Covid-19 était/est/sera moins mortel que la grippe saisonnière, j’observais simplement au début que les mesures prises étaient totalement démesurées par rapport à la létalité alors constatée, ce qui semble cacher bien des choses, projet politique ou autre. Et c’était entièrement pertinent, quoiqu’affirme ce site-là via MSN (et les officiels derrière) s’arrogeant le monopole de la pertinence. Qui plus est, alors que les chiffres du Covid-19 me semblent très contestables, je n’ai pas idée de la crédibilité des vieux chiffres concernant la grippe, qui ne font donc pas référence absolue, mais seraient peut-être tout aussi douteux si on avait accès à la méthodologie employée, la comparaison n’est donc que très indicative dans mon esprit, sans affirmation péremptoire.
   J’ai entendu un jour passé sur plusieurs chaines de télévision que le confinement 1 mois en France avait sauvé 61.739 personnes. C’est faux. Il s’agit d’une estimation immensément incertaine lue sur un modèle parmi des milliards de modèles possiblement concurrents, en faire une vérité indéniable est une faute épistémologique, un coup médiatique ou politique (usurpé). Un modèle n’est scientifiquement dit crédible que quand il a donné des prédictions vérifiées, confirmées par l’expérience répétée, et un modèle chiffrant quelque chose pour la première fois (confinement de toute la population française) n’est aucunement validé ainsi. Sa crédibilité est nulle, réservée aux crédules, aux croyants, aux intellectuellement déficients (ce qui fait peut-être 99% de la population, 100% des journalistes et politiciens)…
   A ce jour, le nombre de morts « dits Covid19 » est de 202.994 dans le monde, contre 300.000 pour une grippe saisonnière normale (et bien davantage pour les grippes parfois fortes), ce qui n’est plu’ jamais signalé, vraisemblablement parce que ça démobiliserait les foules relativement obéissantes aux ordres de confinement/paralysie/peur-collective.
  Je commence à entendre dire à la télévision que le déconfinement sera l'acceptation du risque, "faire avec", le risque nul n'existant pas. Certes, mais cela invalide totalement l'argumentaire tenu lors du confinement, qui était menteur je le disais à l'époque. Le devoir de précaution (et le droit de retrait associé) ne sont nullement crédibles, servant de paravent abusif aux décisions politiciennes quelles qu'elles soient.

* Ajout 20, 28/04/2020 (10h) : Incitation au relativisme
   Avant-hier, j’ai aperçu sur FaceBook un décompte de victimes faisant réfléchir, même si ce n’est pas sûr du tout (j’ignore où trouver une source officielle à ce sujet) :
  
  Certes, le nombre pour le Coronavirus a grandement augmenté depuis (environ 211.000 ce matin), mais les autres augmentent aussi, et cela reste immensément moins que les morts de l’alcool et du tabac (sponsorisés par l’Etat français). En tout cas, il semble que chaque mort du Coronavirus est compté quelque chose comme 200 fois plus grave/dramatique qu’un mort du cancer ou de l’alcool, dans nos hôpitaux pareillement. Cela semble éminemment suspect, de cacher quelque chose. Avoir bloqué l’économie pour cela ne semble pas « justifié » objectivement, donc vraisemblablement on ne juge pas avec toutes les données du débat qui s’est tenu en haut lieu, un peu partout sur la planète.
   Au passage, je m’étonne que fin Mars, deux semaines après le début du confinement en France, il y ait eu (dans le monde) 3 fois davantage de décès par grippe saisonnière que par coronavirus… alors que, en France, cette grippe saisonnière semblait absente, ou occultée, peut-être parce que tout décès suite à fièvre et toux est ici (abusivement) compté coronavirus…

* Ajout 21, 06/05/2020 (13h) : Intéressante vue de Suisse
   Aujourd’hui j’ai entendu sur chaine C-News l’interview très intéressante de Jean Dominique Michel, anthropologue et expert en santé publique, suisse, auteur du livre « Covid, anatomie d’une crise sanitaire ». Il disait des points très majeurs :
– Le Covid19 est une maladie non exceptionnelle, la panique aurait été la même avec la grippe annuelle si elle avait été traitée sur ce même ton alarmiste unanime.
– Il y a une panne de l’intelligence collective, expliquant la panique cette fois.
– Les modélistes écoutés cette année, et crus totalement, se sont toujours trompés les années précédentes (nombres énormes de morts pronostiqués, non rencontrés en pratique).
– Le confinement a créé des morts en grand nombre, notamment car le confinement des personnes âgées leur provoque une « avalanche de cytokines » qui les fragilise vis-à-vis des infections.
  Je vais peut-être acheter ce livre, lundi quand il n’y aura plu’ de confinement.

* Ajout 22, 07/05/2020 (10h) : Objection étasunienne
   Un ami contradicteur (français) me répond : « Je ne vois pas l’intérêt des dirigeants d’avoir facilité le coronavirus. Par exemple Trump quasiment sûr d’être réélu pourrait ne plus l’être après le coronavirus. ».
  Est-ce que cela prouve que le Covid19 est immensément dangereux, objectivement ? Je ne crois pas, non. Le problème pour le président républicain en exercice, voulant être réélu sur son bon bilan économique a été de choisir entre deux très très mauvaises solutions pouvant lui faire perdre la réélection : 1/ s’il ne confine pas, avec priorité à l’économie, son adversaire va l’accuser d’avoir tué tant de milliers de gens, odieusement, atrocement, cupidement, ce qui peut faire perdre la réélection ; 2/ s’il confine, cela ruine l’économie, et il ne pourra plu’ présenter son bon bilan économique comme gage de prospérité s’il est réélu. Bref, ce virus semblait gagnant-gagnant pour les démocrates n’étant pas au pouvoir, et le président a hésité très inconfortablement, avec multiples va-et-vient dans tous les sens, clairement piégé. Même si ce virus ne serait (éventuellement) pas pire qu’un virus hivernal habituel. Ça dément en tout cas l’idée « puisqu’il y a eu confinement même aux USA (finalement), ça prouve ce virus indéniablement dangereux ».
  Par ailleurs, dire que ma thèse est que les dirigeants ont « facilité » le coronavirus me parait inexact. Je perçois comme une montagne de mensonges officiels dans cette affaire mais je n’ai pas de conclusion sur ce qui s’est passé « réalistement », et je n’ai jamais formulé l’hypothèse que les dirigeants avaient sciemment contaminé/tué. Ce qu’il me semble plutôt, c’est que ce virus inconnu a été pris comme aubaine (par les gouvernants) pour appliquer tel plan dont j’ignore le principe, les justifications, les conséquences, l’aboutissement. D’où la mise en route de l’arsenal médiatico-politico-scientiste pour le catastrophisme paniqueur, injustifié peut-être objectivement mais obtenant succès dans l’exécution du plan (aux USA, il semblerait que ce serait un plan davantage démocrate d’opposition que républicain au pouvoir, mais je ne suis sûr de rien, vu l’absence de résistance en face, incapable de promouvoir un prétendu expert clamant que ce virus ne serait grave en rien de rien). On verra ce qu’en dira l’histoire dans 10 ans ou l’année prochaine.

* Ajout 23, 25/05/2020 (6h) : Fière leçon que je pare
  Je n’ai rien à dire du déconfinement (partiel) en cours, si ce n’est que les grands cris alarmistes semblent encore une fois démentis. Je pourrais par ailleurs noter (avoir entendu dire) que l’appellation « le covid19 » est corrigée par l’Académie Française en « la (maladie) covid19 », à moins que l’usage prévale, on verra. Mais, dans un autre domaine, à l’heure des comptes qui semble venir, j’ai été choqué en lisant un texte partagé par un ami sur Facebook.
  (13 Mai 2020, par Axel Kahn – célèbre généticien/médecin/auteur français) « LE STATUT DE LA VÉRITÉ. Ce que je vais écrire en m’appuyant sur le phénomène du large soutien populaire au traitement par l’hydroxy-chloroquine de l’infection par Sarc-CoV-2 (…) La vérité, même la plus probablement vraie, garde un pouvoir de conviction modéré. Dans l’affaire de l’HCQ, une masse considérable de personnes est et restera persuadée que ce médicament, associé à un antibiotique, est le traitement qu’il fallait, qu’il faut, de l’infection par Sras-CoV-2. Que de sombres cabales diligentées par les juifs et l’industrie pharmaceutique ont empêché de s’imposer, provoquant la mort d’un nombre considérable de personnes. La vérité la plus probablement vraie indique que ce n’est pas exact. (…) Les études qui apparaissent maintenant dans les meilleures revues médicales du monde confirment que ce traitement est sans effet bénéfique (...). Pas une seule publication soumise à un comité de lecture n’avance le contraire. Et pourtant cela ne changera rien, des dizaines de millions de personnes seront confortées dans leur certitude qu’un gigantesque complot international judéo-capitaliste a cherché à faire taire - ça, il n’y est pas parvenu !) - le Pr Raoult. Mais rien de nouveau, en fait ! Ils sont des dizaines de millions aussi à accepter les « preuves ! » que la terre est plate, que l’homme n’est jamais allé sur la lune, que les attentats du 11-9-2001 sont des manipulations et que les vaccins n’ont que le but d’enrichir leurs fabricants. Dans le domaine du cancer, ces positions sont habituelles. C’est que, en fait, la supériorité d’une affirmation robuste appuyée sur la logique et les faits s’oppose à l’extraordinaire diversité des manifestations de l’esprit humain. Depuis toujours. Le monde de l’imaginaire, de la pensée magique, la certitude de la persécution subie se sont en de nombreuses circonstances, imposés à la raison raisonnante. (…) »
  A la lecture de cela, j’ai répondu : « Ce Monsieur Kahn est un fier imbécile scientiste, comme les autres dominants, faisant interner en hôpital psychiatrique la vraie raison raisonnante. Honte à eux. (Je dis ça sans plaisanter, c'est grave, mais caché). »
  Mais avec le recul, il y a immensément davantage à dire :
1/ Monsieur Kahn, immensément loin de la raison raisonnante, commet un amalgame hyper-stupide. Il y a en effet trois groupes de personnes :
A/ Les autorités et leurs soutiens, qui font la parole officielle ou la gobent comme vraie (Axel Kahn en fait partie intégrante).
B/ Les complotistes (nombreux) partisans de la chloroquine, à doute sélectif contre les autorités seulement.
C/ Les sceptiques (comme moi) doutant des affirmations officielles très souvent (pas humain sur la Lune, caractère sphérique de la Terre, accident non provoqué du Rainbow Warrior, effondrement normal le 11-9-2001 du 3e bâtiment contenant les archives des affaires en cours de corruption politique US, etc.) mais doutant aussi de l’efficacité de la chloroquine contre le coronavirus, voire doutant de la dangerosité énorme de ce virus.
  L’amalgame consiste à décrier “tout ce qui n’est pas A” est "donc" le “stupide (et antisémite) B”. Non, la sagesse me parait C. Et que A s’attribue la raison raisonnante est du vol, du grand banditisme (pseudo-intellectuel).
  Par ailleurs, la référence aux faits (dans la conclusion de A.Kahn), "prétendus faits", est un cri de foi réaliste nullement logique mais antilogique (A+B) interdisant/psychiatrisant l’hypothèse du rêve (C) faussement éliminée par l’escroc René Descartes pour fonder l’esprit dit cartésien (catholique fanatique puis scientiste fanatique).
2/ Le statut des faux (ou mauvais) scientifiques appuyant les autorités me semble celui-ci : croyants dominants, alliés des autorités leur conférant le pouvoir, d’où abus de confiance pratiqué en grande routine, et avec grande rétribution (vol légal). Dans le cas du nuage de l’usine Lubrizol en 2019, j’ai trouvé le scepticisme populaire sage, même s’il était intuitif sans assise argumentaire. Moi, en tant que technicien biochimiste et épistémologue non-professionnel, j’ai invalidé les fausses affirmations officielles effectuées menteusement au nom de la Science : il ne fallait pas dire « La Science prouve qu’il n’y a aucun risque, c’est très rassurant » mais « la science actuelle ne reconnait pas là un risque connu ; quant à savoir s’il y a un risque pour l’instant inconnu, l’avenir le dira, la vraie science est en totale incapacité de le pronostiquer, inapte à rassurer. » Si ce n'est pas une tromperie organisée mais une erreur involontaire, c’est le drame de la science mal comprise, récitant « le nez dans le guidon » ce que les anciens profs enseignent, sans rien comprendre aux réserves de la philosophie des sciences, montrant les abus de pouvoir (en logique avec Karl Popper, en sociologie avec Paul Feyerabend). Le scepticisme populaire, même peu étayé, est plus sage que la morgue de ces dominants injustes, classant maladie mentale la partie de la logique qui les gêne, qu’ils ne choisissent pas.
3/ Si je ne suis pas convaincu que la chloroquine marche et sauve, ce n’est pas seulement parce que le Pr Raoult a omis de faire une étude en double aveugle avec validation statistique, car je n’attends nullement cela (si confirmant) pour me rallier à ce camp. Je l’ai dit : bien difficile de garantir l’efficacité d’un médicament guérissant une prétendue maladie qui guérit le plus souvent toute seule. Par ailleurs :
a/ Il ne suffit pas qu’il y ait une différence significative à risque < 5% sur un indicateur pour affirmer que l’efficacité est prouvée. C’est une démarche inductive considérant que le fait de prendre un échantillon au hasard le garantit représentatif. C’est faux (ou plus exactement : c’est un acte de foi mathématiquement aveugle), la généralisation est abusive, bref c’est invalide comme « preuve », ça ne vaut que « indice autorisant à penser que… ».
b/ Si 3 indices sont comparés (taux de décès, taux de passage en réanimation, taux d’hospitalisation), il ne suffit pas que 1 des 3 franchisse la barrière des 5%. En termes de probabilités, si 3 tests indépendants ont 95% de chances de ne pas échouer chacun, le fait qu’aucun n’échoue n’a qu’une probabilité 95% au cube = 85,7% – donc on clamerait avoir moins de 5% de chances de se tromper pour en fait 14,3%, attention… « Les spécialistes affirment que » ne prouve en rien qu’ils soient suffisamment autocritiques.
c/ Le taux seuil de 5% est arbitraire, simple tradition, contestable, ne valant en rien « preuve indubitable ». En cas d’effet secondaire sérieux ou grave, on préfère souvent 1% ou 0,1% qui sont arbitraires aussi, aucunement logiques.
d/ Si tel taux est passé de 1,82%±0,01% à 1,79%±0,01% (ces ±0,01% étant des intervalles de confiance à 95%), c’est qualifiable de différent significativement mais la différence est médicalement (ou « en pratique ») négligeable, l’ampleur doit être jugée indépendamment des questions de significativité purement statistique.
e/ Si les intervalles de confiance sont calculés par méthode de Gauss, ils ne valent rien, avec une modélisation parlant de taux négatifs insensés ; si les intervalles de confiance sont binomiaux, c’est inadéquat car se referrant à un tirage avec remise qui n’est pas la situation médicale de maladie potentiellement mortelle.
   Bref, la (vraie) raison-raisonnante aurait beaucoup à dire, mais la guerre entre dominants-stupides et sceptiques-sans-argument passe à côté du sujet.

* Ajout 24, 30/05/2020 (9h) : L’alarmisme se renforce sans explication
  Avec le déconfinement (partiel) opéré sans aucune vague de mortalité croissante, les spots télévisés cherchent à restaurer un peu de panique quand même : les mots entendus hier (en spot d’information gouvernemental) sont quelque chose comme « Si (…) ou si vous avez le nez qui coule, vous êtes peut-être malade du coronavirus, consultez votre médecin ! En attendant le résultat des tests, confinez-vous, évitez tout contact avec des personnes fragiles ! » C’est le principe catastrophiste qui triomphe : que tout le monde, même sans souffrance aucune mais avec simple petit désagrément, se sente en danger de mort, fasse appel à l’armada médicale (payée à crédit par le gouvernement) et arrête tout travail (en étant payé par le gouvernement à crédit encore). Cela aurait pu être appliqué chaque année depuis 50 ou 100 ans, la raison de l’avoir fait cette fois demeure mystérieuse, inexpliquée, très très suspecte (d’intentions inavouées, genre nationalisations prétendues « forcées par les circonstances »).
  Par ailleurs, il commence à se dire sur les plateaux télé que le principe de précaution est une ânerie paralysante, car d’application infinie, le risque zéro n’existant pas. En pouvant empêcher toute sortie du cataclysme économique actuel. Il est dit aussi que c’est une spécificité française due à Jacques Chirac qui a fait inscrire ce principe dans la constitution. Je répète donc que ce principe est depuis le début une imbécilité crédible en rien : sont documentés les risques mortels de la voiture inutile (loisir ou tourisme ou déplacement vers résidence secondaire ou événement populaire ou compétition sportive), de la pollution, du chauffage, de l’électricité, des animaux domestiques, de la baignade, etc. sans que s’y applique en rien le principe de précaution, qui est donc un mensonge réservé aux autorités, sans aucune affaire de principe invocable par chacun. Plus que jamais, cette constitution mérite la poubelle, avec tous ses valets (politiciens et journalistes) la considérant sacrée intouchable. L’affaire covid19 ne serait pas une révélation incroyable mais la mise en évidence générale de ce que les esprits lucides disaient depuis des années, en étant à tort écrasés de mépris par la prétendue Elite (à stupidité maintenant éclatante).

* Ajout 25, 06/06/2020 (11h) : Chiffres "affolants"
  La chaine télévisée C-News affichait ce matin un titre affolant : « 29.111 personnes sont décédées en France depuis le début de l’épidémie ». Je ne suis pas d’accord pour paniquer en gobant cela : si quelqu’un est décédé d’accident de la route ou overdose en drogue, cela n’a aucun rapport avec l’épidémie, donc il ne fallait pas dire « décédées » mais « décédées de cette maladie ». Sinon, cela apparait très clairement surestimé, mensonger. Les « morts de vieillesse » semblent ainsi avoir disparu, tous les morts en EHPAD étant ajoutés au nombre des victimes covid-19 (en reprochant aux Allemands de ne pas faire pareil, « faussant » leurs chiffres, est-il affirmé).
  Il semble que le mensonge soit ici la règle de routine en la matière : quand une personne décède, qu’est-ce qui prouve que sa mort est « causée uniquement » par ce virus ? Certes, « on peut penser que » mais on peut aussi penser différemment. Un élément infectieux peut être un simple facteur contributif à une mauvaise santé générale, l’aggravation de n’importe quel aspect ayant pu produire le décès. Le responsable officiel a l’autre jour expliqué au micro le mode de comptage : on appelle « tué par le virus » quiconque dont le certificat de décès « mentionne » covid-19, (et j’ajoute donc :) même à titre d’hypothèse parmi d’autres, même si hypothèse non étayée, « envisagé » est compté « prouvé ». « Les chiffres prouvent que » signifie « La propagande se félicite que les crédules gobent que »… D’où un discours bla-bla à force (de conviction) très exactement nulle (mais à force policière totale)… Les politiciens autoritaires (pléonasme ?) jouissent de la situation, certes, mais la population est victime, ou crédule intoxiquée, peu habituée à l’intelligence critique (hélas condamnée par l’école)…
  Bref, je ne dirais même pas qu’il y a entre 1 et 29.111 victimes tuées par covid19 : le chiffre zéro ne me parait pas impossible non plu’. Avoir ruiné l’économie pour cela pourrait être une idiotie totale, j’envisage simplement que c’est un mensonge organisé pour une prise de contrôle préméditée, ayant trouvé là aubaine d’application effective (keynésianisme secret ? étatisme caché ? hyper-nationalisme inavoué ?). On ne saura peut-être jamais, mais j’envisage, simplement.
  Par ailleurs, ce que j'envisageais au début s'est vérifié : le confinement nous est affirmé justifié car "sans lui il y aurait eu 500.000 morts en France, c'est prouvé par les modèles scientifiques, et le fait que ce chiffre n'a pas du tout été constaté, c'est donc grâce au confinement". Eh bien... c'est faux : un modèle vaut "hypothèse", aucunement "vérité scientifique". Sans confinement, peut-être que le nombre de décès n'aurait été qu'un tout petit peu supérieur, ou égal, voire inférieur, personne n'en sait rien, puisque ce n'est pas répétable expérimentalement pour conclure scientifiquement. Ce qu'il y a c'est que des scientistes (fanatiques n'ayant rien compris à la logique scientifique) ont pris le pouvoir, crus par des politiciens profondément idiots (et nuls en philosophie, dont le Président Macron ayant apparemment volé ses diplômes, ou été diplômé par des ânes pour qui ne compte que la parlotte érudite prétentieuse).

* Ajout 26, 11/06/2020 (12h) : Désaccord encore
  Mon ami qui avait posté sur Facebook un commentaire d’Axel Kahn (cf. Ajout 23), avec lequel j’étais en désaccord profond, en a présenté un second (du 09/06/2020) : « Pas de révisionnisme virologique.... /Je lis de ci de là que le confinement a été une décision inutile, économiquement désastreuse. En ce qui concerne la première affirmation, c'est faux. Et toutes choses prises en compte, discutable pour la seconde. (…) Savoir raison garder, ne pas dire n'importe quoi. Vœu pieux, sans doute. »
   J’ai répondu ce jour : Les prétendus scientifiques ont affirmé tout et n'importe quoi, se contredisant d'une semaine à l'autre, en prétendant à tort détenir la vérité, avant et après. Ces gens ne sont nullement crédibles. Leur manque d'humilité et doute prouve leur bêtise profonde, anti-scientifique mais purement scientiste fanatique dominatrice. (J'ai une formation scientifique, j'avais un métier scientifique, je le dis de l'intérieur : tous ces chefs et faux experts étaient/sont des menteurs, riches évidemment, car c'est récompensé par le système mensonger).

* Ajout 27, 12/06/2020 (18h) : Continuation erronée
   J’entends actuellement à la télévision plein de médecins clamer qu’il ne faut pas abandonner les gestes-barrières car l’épidémie covid-19 n’est nullement finie, seulement réduite, des gens continuant à être contaminés chaque jour ici ou là en France, et on n’est donc pas encore dans le monde d’après (et encore moins : dans le monde d’avant).
   Je pense que c’est faux : la grippe ancienne faisait plus de dix mille morts par an sans aucune mesure spéciale, et si – prétendument – covid19 a été plus intense à un moment donné (tout en étant très peu mortelle, plus de 98% des malades guérissant), cette forte présence a disparu. On en revient donc entièrement à la situation type grippe antérieure (qui contaminait plein de gens sans qu’on s’en préoccupe, qui achevait beaucoup d’anciens, qu’on appelait autrefois « morts de vieillesse »). La poursuite d’un catastrophisme actif me semble donc infondé, et ma position n'est pas parmi les paroles publiques, apparemment censurée.
   Par ailleurs les nouveaux standards, visant à affoler tout le monde (sauf résistants comme moi classés irresponsables ou idiots ou criminels) au nom du principe de précaution, ne permettront pas je crois de sortir de la crise artificiellement générée : plein de métiers ne seront plu’ autorisés, ou seront bien plus chers (trop chers donc perdant les clients donc banqueroute ?) à cause de la complexification. Au nom du droit de retrait, il sera possible aux syndicats communistes de refuser à jamais de reprendre le travail, d'où ruine des entreprises françaises (en espérant société communiste en remplacement), puisque le risque zéro n'existe pas et que tout risque peut-être mortel (même à très faible probabilité) est clamé intolérable. Et ça semble aberrant car cela aurait pu être décidé (au nom du « risque ») des années en arrière, cela n’a aucun rapport de principe avec covid19.

* Ajout 28, 17-18/06/2020 : Livre best-seller
  Aujourd’hui sort le livre « Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance » (Edition Albin Michel, Juin 2020). D’après ce que disait l’auteur Christian Perronne ce matin à l’émission « L’heure des pros » sur chaîne C-News, cet auteur spécialiste (médecin professeur infectiologue) condamne à la fois les catastrophistes ayant pronostiqué un million de morts en France, et les sceptiques comme moi doutant que ce soit immensément plus grave qu’une grippe un peu sévère mais ordinaire. Et parmi les erreurs qu’il signalait, il y avait la gestion des masques, des tests, le confinement total bloquant l’économie (au lieu de confinement ciblé des fragiles seulement), mais il ne mentionnait pas du tout mon propos : croire les scientistes et modélistes n’était en rien obligatoire, et le principe de précaution (appliqué pour ce virus-là uniquement) est aberrant nullement appliqué pour l’automobile ou l’électricité, etc.
  J’ai acheté le livre, pour voir, format Kindle moins cher, mais ne permettant pas les copier/coller pour discussion de morceaux. Dans l’introduction, il me condamne sans argument en affirmant que lui « savait » (c’est moi qui ajoute les guillemets) depuis le début la catastrophe qui couvait. Je n’appelle pas ça savoir mais croyance, et a posteriori mon avis ne change en rien : oui, les chiffres de morts dépassent en France ceux de la grippe ordinaire mais si on a compté les morts de vieillesse ou autre, c’est entièrement biaisé, nullement confirmé objectivement, seulement politiquement pour prétendre (faussement ?) justifier la ruine pratiquée (de l’économie).
  A cause du format Kindle, je ne peux pas citer la page pour le point choquant suivant (erreur de l’auteur, veux-je dire, car il est convaincant sur les erreurs du gouvernement) : emplacement 394/2324 (17%), il se moque du président du conseil scientifique ayant dit et répété qu’il ne savait pas, qu’il n’était pas en mesure de donner une réponse solide aux questions – ce qui me parait du bon sens, scientifique, contraire au scientisme de croyants fanatiques, mais ça choque l’auteur, clairement scientiste, donc erroné, n’ayant rien compris au principe scientifique, la science n’énonçant pas la vérité mais des avis temporaires en attente de réfutation expérimentale possible…
  Plus loin, l’auteur cite les incroyables contradictions des gouvernants, mais à la télévision j’ai entendu leur réponse, dont le livre ne parle pas : « la faute n’est pas celles des politiques mais des scientifiques, qui se sont contredits ». Je ne suis pas d’accord du tout : un manager qui fait confiance à des nuls qu’il croit experts est un très mauvais manager, un nul lui-même. Et le président Macron, diplômé Bac+5 en philosophie est immensément moins clairvoyant en philosophie des Sciences que moi quand j’ai eu le bac (scientifique avec 17/20 en philo, en 1981) : la science ne détient en rien la vérité mais ne fait qu’émettre des hypothèses. Ce « très grand homme, notre président » est un imposteur, voleur de diplôme, et sont pareillement très-mauvais les commentateurs innombrables le clamant super-intelligent. Par ailleurs, l’auteur lui-même s’avère incompétent en science (donc en médecine, réputée scientifique de nos jours), et ça rend pitoyable le sous-titre de son ouvrage, où lui sachant prétend démontrer l’incompétence d’autres chefs, nuls comme lui en fait.
  Je note aussi une citation que je ne connaissais pas du président Macron (le 25 mars à Mulhouse, emplacement 1668, 72%) fustigeant les plaintes contre le gouvernement : « lorsqu’on engage une guerre, on s’y engage tout entier, on se mobilise dans l’union ». C’est archi faux, lamentable, propagande nullissime : en 1940, les pacifistes comme Giono étaient mis en prison, c’est de la dictature pas de l’union volontaire, il y a certes union des soumis craignant les foudres dictatoriales mais c’est horrible pas une évidence honnête et juste.
  Autre citation (emplacement 1767, 76% quoique déjà mentionné plus haut je crois) : « Des leaders du marché du diagnostic existent en France. Leurs unités de production doivent être réquisitionnées pour permettre de produire les tests dont nous avons besoin (Observatoire de la Transparence dans les politiques du médicament, 12 Mars 2020) ». Euh, j’ai travaillé pour le leader en la matière, et (même si je ne connais pas tous les départements) je crois que nous n’étions nullement en mesure de fabriquer des primers pour PCR, ceci n’étant pas notre corps de métier, car bétonné par les brevets étrangers nous bloquant légalement, et nous sous-traitions à l’étranger nos besoin en primers, escomptés pas trop chers, nous n’en produisions pas du tout, et donc n’avions pas les équipements pour ce faire, ni les compétences pour en vérifier la qualité (spécificité, sensibilité, etc.). Je ne suis pas sûr de cela à 100%, seulement 95%, mais l’auteur étant incompétent lui aussi, il ne voit pas le problème. Hum.
  Autre point (emplacement 1798, 77%, quoique déjà mentionné plus haut je crois) : « Les modèles suggèrent que cela peut être suffisant pour endiguer la première vague de l’épidémie. », mots officiels avant l’épidémie, que l’auteur trouve nuls mensongers. L’auteur commet une erreur, là encore : il est honnête que les scientifiques n’affirment rien catégoriquement, leurs modèles n’étant que des hypothèses qui « peuvent » marcher, oui, comme elles peuvent échouer, être totalement contredites. La bêtise honteuse n’est que celle des gouvernants (et l’auteur Perronne) affirmant que la Science et ses prédictions, c’est la vérité indéniable. Idem un peu plus loin « il faut assumer le fait de dire qu’on sait ou qu’on ne sait pas », mots qui paraissent à l’aureur Perronne totalement ridicules pour un conseil scientifique, alors que c’est le contraire : il s’agit de rare sagesse scientifique, assumant le non-savoir juste, ne faisant que révéler la totale incompétence des gouvernants (attendant des certitudes des scientifiques) et de l’auteur Perronne (qui ne voit pas pourquoi des certitudes ne sont pas affirmées).
  Idem à l’emplacement 2099 (90%) : « On se demande si une personne positive au covid-19 sera ensuite protégée contre ce virus. Finalement nous ne savons pas si ces anticorps forment une protection. » attire les foudres de l’auteur exigeant des certitudes, même si elles peuvent s’avérer fausses. Je préfère la personne en question (sur laquelle il crache) à lui-même, sur ce plan. Là, c’est lui qui est incompétent et exige réponse arrogante. Autocontradiction avec son thème prétendu.
  Bilan : il est intéressant de trouver listées les contradictions officielles, dont au moins la moitié valent « mensonges », mais l’auteur Perronne n’est pas plus compétent que ceux qu’il dénonce, puisqu'il commet des bourdes majeures en épistémologie, en théorie de la connaissance. C’est un fier scientiste, opposé à d’autres scientistes, je suis anti-scientiste partisan d’une sagesse qu’il n’imagine même pas.

* Ajout 29, 18/06/2020 (11h) : Autres doutes
  J’entendais aussi hier qu’un anti-inflammatoire stéroïdien est très prometteur pour réduire d’un tiers la mortalité covid-19 dans la dernière phase, en apaisant l’inflammation qui tue. Hum, moi j’en conclus que ce n’est pas le virus qui tue. Et il se pourrait que l’inflammation aigüe soit produite par la surmédicalisation des personnes âgées (détournée par le virus mais celui-ci n'étant pas source de mort à partir de rien), d’où le taux élevé de décès chez les anciens. De même la Chine pourrait n’avoir aucunement menti sur (sous-estimé) son nombre de décès covid-19, contrairement à ce qu’affirment les dirigeants occidentaux, mais pourrait avoir eu moins de victimes car ayant moins de surmédicalisation. Ça serait commettre une nouvelle fois l’erreur de conclusion de la canicule 2003. On verra ce qui en sera dit, si ce n’est pas étouffé (ce qui est envisageable aussi, façon nuage de Lubrizol), mais en tout cas il semble se confirmer que le caractère « incontestable » des dires officiels est infondé. On n’a pas affaire, avec les scientifiques affirmatifs, à des « sachants » (la Vérité) mais à des scientistes « croyants » (savoir la Vérité, en fait ne sachant que réciter les vieilles théories qui dominaient avant qu’on se rende compte de leur fausseté).
  Autre doute que j’ai : le taux plus fort de morts covid19 en France par rapport à l’Allemagne ou la Corée ne viendrait-il pas de la pratique de la mise en coma artificiel (dite « en réanimation ») ? Je me souviens que (en 1984) la grand-mère d’une collègue, s’étant fracturé le col du fémur, n’avait pas survécu à son anesthésie générale pour mise de prothèse, et on m’avait dit que c’était peu surprenant, l’anesthésie générale étant souvent mortelle pour les personnes âgées. Alors, peut-être que les anciens survivent peu à la mise en coma artificiel, qui serait alors une faute médicale tueuse, étant le facteur tueur, en incriminant à tort le virus. Je ne sais pas, j’envisage.

* Ajout 30, lu et noté 09-11/07/2020, tapé et mis en ligne 18/07/2020 : Livre complémentaire, lu en voyage
   J’ai lu avec grand intérêt l’ouvrage « Covid : anatomie d’une crise sanitaire » de l’anthropologue suisse Jean-Dominique Michel, spécialisé en Santé Publique. Dès le début, j’y ai trouvé des idées que j’ai eues et qui sont cachées des médias français :
– Peut-être que la mise en coma artificiel des malades âgés a tué en masse au lieu de sauver.
– Peut-être que Covid19 était une maladie assez ordinaire en gravité mais immensément surestimée par les politiciens et décideurs ayant choisi de croire les alertes exagérées et fausses alertes.
  Autres notes ensuite :
– Les normales « morts de vieillesse » ont été comptabilisées « tués par le virus » et c’est mensonger.
– Par an en France, il y a 80.000 morts de pollution atmosphérique (sans affolement à ce sujet), immensément davantage que les 30.000 morts dits provoqués par le coronavirus (avec appels quotidiens à l’affolement général). [De l’ordre de 50.000/an aussi pour le tabac et pour l’alcool, j’ai vu ça ailleurs].
– La grippe de 1968-69 a fait 33.000 morts en France (voire beaucoup plus en ajoutant les personnes âgées décédées prématurément) sans déclencher la panique ni la ruine volontaire.
– Toutefois, l’auteur Michel croit au bien-fondé de l’hydroxy chloroquine, ne serait-ce que comme placebo rassurant, et moi je ne suis pas convaincu, pas « rassuré » car pas affolé, car pas convaincu par la menace.
– Page 120, une anecdote parle du mari de la ministre française de la santé (dont la télévision racontait qu’elle était fille d’un déporté juif) : elle est mariée à un Monsieur Levy, qui a été nommé à la tête de la Recherche Médicale malgré des suspects conflits d’intérêt, puis au Conseil d’Etat malgré une absence de compétence juridique. Attention ! l’auteur de ce livre est en grand danger d’être (en France tout au moins) accusé d’antisémitisme ! (C’est comme ça que ça marche, pour sélectionner presque darwiniennement les intouchables pourris au pouvoir – phénomène non démontrable « grâce à » l’interdiction des statistiques ethniques et au classement officiel du doute en « haine raciste »).
– Pages 158-160, je ne suis pas d’accord avec l’auteur, qui considère que le Pr Raoult, en ne prouvant pas l’efficacité de ses médicaments, a agi en médecin contre le scientisme dévoyé. A mon avis au contraire, sa prétention à avoir raison sans preuve relève du scientisme, antilogique.
– Pages 160-161, autre erreur de l’auteur Michel : il s’enthousiasme du faible taux de morts chez le Pr Raoult sans voir que le calcul est biaisé – Raoult à Marseille a rapporté à tous les testés même asymptomatiques alors que les officiels à Paris rapportaient uniquement aux cas sérieux, qu’ils testent seuls (il était envisageable de tester bien davantage mais en tout cas la comparaison n’est nullement probante dans ces conditions immensément différentes, l’auteur Michel ne l’a pas compris).
  Démonstration à moi sur un exemple fictif :
- Paris hospitalise 5000 contaminés à symptômes, 250 meurent, létalité 250/5000=5%
- Marseille teste 1000 candidats (affolés par les médias) dont 200 s’avèrent contaminés, dont 20 avec symptômes. Il est donné un verre d’eau sucrée aux 200, dont 1 meurt.
- Marseille clame que sa létalité est 1/200 = 0,5%, immensément mieux que le 5% parisien, ce qui prouve l’efficacité salvatrice de l’eau sucrée !
- Sérieusement, le vrai calcul comparable (sur symptomatiques) est 1/20 = 5%, et l’eau sucrée n’a évidemment servi à rien.
- Je ne dis pas que les chiffres vrais sont ceux-là, mais que le biais dans le mode de calcul invalide la preuve prétendue.
– Page 163, autre erreur de l’auteur : il cite avec approbation Paul Tournier ayant écrit « Le diagnostic médical est quelque chose d’objectif, de scientifique ». C’est faux : ça ne prétend à l’objectivité qu’en interdisant (psychiatriquement) les objections. De même qu’au Moyen-Âge, les Inquisiteurs n’étaient pas objectifs en clamant leurs prétendues vérités et brûlant les contestataires argumentés. Par ailleurs, pour le mot « science » : non, la médecine ne découvre aucune loi de la nature, et un diagnostic ultérieurement démenti sur tel patient n’invalide aucune loi générale de prédiction. C’est en fait du bla-bla de croyant scientiste, sans lucidité ni honnêteté.
– Page 170, nouveau point contestable : l’auteur un peu malade se dit Covid+ en croyant totalement le test pratiqué. C’est du scientisme pur et dur : personne jamais ne l’a convaincu du bien-fondé de ce test, des faibles taux de faux + (par rapport à quoi ? et la référence est-elle crédible en soi sans faux argument d’autorité ?). Il oublie aussi de douter de ce que les généticiens prétendent trace ADN indéniable de l’agent covid19 (avec quelles alternatives prises en considération ? avec quel protocole de purification initiale pour cibler l’agent en question dans le prélèvement biologique parmi tous les ADN présents ?).
– Page 178, magnifique illustration (merci !) de l’auto-référence fallacieuse, avec un dialogue de source indienne :
- Pourquoi tu klaxonnes comme ça ?!
- Pour chasser les monstres !
- Mais il n’y a pas de monstres ici !
- Grâce à moi, c’est donc prouvé que je vous sauve la vie !
  Evidemment dans l’affaire Covid, il ne s’agit pas de chasser les monstres mais de prévenir les 500.000 morts français, le gouvernement confineur s’attribuant tous les mérites en crachant sur les sceptiques, affirmés criminels irresponsables.
– Page 193, l’auteur alerte sur la « manipulation des normes » et c’est très juste. Il dit ça en général (on n’est pas forcé de le croire) tandis que moi j’ai démontré mathématiquement les erreurs/horreurs prises à tort comme preuves exigées de performances.
– Page 199, un élément de lucidité inattendu : l’auteur parle du « très littéral ʺsyndrome du cœur briséʺ pouvant faire suite à une rupture amoureuse ». Effectivement, il me semble juste de disqualifier en la matière les psychiatres qui appliquent à ces cas des diagnostics de dérèglement neurochimique (d’où traitements médico-chimiques associés), erronés.
– Page 203, l’auteur s’enthousiasme du séquençage de génome pour le microbiote intestinal, mais – moi qui ai travaillé à temps plein dans le séquençage de génome bactérien – je n’ai en rien été convaincu par les propos entendus en formation détaillée, appelant à croire au miracle informatique (incompréhensible, invérifiable). Non, je doute, davantage que l’auteur apparemment déficient en intelligence critique.
– Pages 204-205, une phrase peu claire semble dire que la perturbation du microbiote engendre des maladies puisqu’il y a corrélation. C’est là une totale erreur de logique : corrélation ne vaut pas causalité (il peut y avoir une source commune par exemple).
– Pages 205-206, nouvelle erreur de l’auteur : il considère prouvé que la « malbouffe » empoisonne car des populations à habitudes alimentaires différentes (sans nos problèmes de santé) sont devenues malades en adoptant nos habitudes. Là encore, c’est une causalité abusivement prétendue, le changement pouvait suffire à rendre malade (comme mon épouse asiatique quand elle a cessé de manger du riz à la fréquence asiatique – cela ne prouve en rien que moi je serais guéri si je me mettais à ce régime-là).
– Page 220, l’auteur cite des sources indiquant que le confinement empire la contamination des proches avec un effet global négatif, accroissant les contagions. C’est intéressant à entendre, même si ce ouï-dire ne vaut pas preuve.
– Il y avait aussi dans ce livre un passage très étonnant, d’importance vraiment majeure pour moi (à la réflexion), mais dont je n’ai pas noté la page sur le moment. Je l’ai retrouvée par la suite (82), mais je n’en discuterai pas ici car ça n’a rien à voir avec le CoVid directement, mais cela a constitué pour moi le grandiose intérêt numéro 1 de ce livre, pouvant m'innocenter du crime d'opinion puni de prison et ruine par la loi française.

* Ajout 31, 22/07/2020 (19h) : Ebauche d’auto-critique officielle
  Hier sur chaîne télévisée d’informations LCI, aux journaux de 12h30 et 18h30, j’ai entendu pour la première fois un média dire ce que je soutenais dans le désert jusqu’ici : la mortalité imputée à CoVid19 est peut-être en France très surestimée. La source cette fois est l’Agence Santé Publique France, signalant que le décompte porte sur les responsabilités suspectées et pas du tout celles qui sont prouvées. Notamment, dans les EHPAD, si 1 cas Covid19 était décrit, alors tous les morts de cet EHPAD étaient attribués à covid, sans test aucun !
  Les chiffres cités sont de l’ordre d’envisager 25.000 morts au lieu de 30.000, ce qui reste nettement davantage que les 4.000 en Allemagne. Cela est estimé par la surmortalité 2020 par rapport à 2019, quoique cela soit partiellement biaisé :
- Le forcing hospitalier sur le sujet covid a fait qu’il y a eu plus de morts que d’habitude d’infarctus, AVC, etc. [J’ajouterais : il y a eu aussi beaucoup de personnes âgées confinées, sans voir leurs proches, qui sont mortes de chagrin ou lassitude sans plu’ intérêt de vivre]. Donc la part imputable au Covid pourrait être bien inférieure à 25.000 décès supplémentaires.
- Le confinement a interrompu le trafic routier presqu’entièrement (faisant la fortune des assureurs), ce qui fait qu’il y a eu moins de morts que d’habitude d’accidents de la route. Donc la part imputable au Covid pourrait être supérieure aux 25.000 décès supplémentaires. [C’est ce qui était dit à la télévision, mais j’objecterai qu’en sens inverse, le cloitrement chez soi a conduit à augmenter considérablement le bricolage et la cohabitation constante, d’où accroissement possible des victimes d’accidents domestiques ou meurtres conjugaux.]
- Si les morts à domicile apparaissaient dans le décompte Covid, l’estimation pourrait être accrue au-dessus de 30.000 (vers 31.500 disait une source). Quoique cela soit affirmé un phénomène majeur dans les pays à pauvres refusés dans les hôpitaux, mais mineur en France.
  La conclusion entendue est que les chiffres ne sont pas encore consolidés, et on saura fin 2020, pas avant. J’en doute : le chiffre 25.000 pourra être affiné, mais je ne vois pas comment les biais dans les deux sens pourront être éliminés. A mon avis, un gros gros doute (de chiffres exagérés pour justifier les gouvernants confinants) subsistera. Des observateurs mettent en garde vis à vis de cet aveu de chiffre faussé, en affirmant que cela semble donner raison aux mauvaises gens « anti-confinement ». Je lis ça en sens exactement inverse : reconnaître un peu des mensonges dans la propagande officielle pourrait à terme faire s’écrouler toute la propagande, et c’est très positif. Oui, le confinement total de tous en France a pu être une erreur, cachée en affirmant que les hypothèses alarmistes valaient Vérité Incontestable.

* Ajout 32, 25/07/2020 (21h) : Courageuse hérésie
  Sur FaceBook, un ami lointain de ma famille a posté un lien passionnant : un chercheur canadien (Denis Rancourt) explique en détail que cette histoire Covid19 est une fausse pandémie (anodine type grippe normale) avec des mesures de confinement ayant tué les anciens, et « bien » asservi les populations l’acceptant incroyablement, avec étouffement officiel (au Canada) des objections osant le dire.
https://www.youtube.com/watch?v=N7R4yefh0ms&feature=youtu.be&fbclid=IwAR14lo144G2z7ems7fPdYX-9BvYU3zVP9OCSNsDzKKsmiGoOrwFj56oiLbw
  Un peu plus de recherche Internet indique que c’est un professeur de physique, pas un épidémiologiste ou biologiste, et qu’il est sans doute aigri par des procès contre son université, l’ayant renvoyé pour révolte administrative passée (refusant de mal noter les mauvais étudiants). Quoi qu’il en soit, je suis content d’avoir entendu cet autre son de cloche, formant débat contradictoire, inouï en France où la propagande règne à 100,00% (ce site critique ici étant négligeable).

* Ajout 33, 13/08/2020 (9h) : Semi-clarification religieuse
  Je disais bien plus haut (01/04/2020) que n’était pas claire du tout la position religieuse/papale sur la maladie (Covid19, entre autres) : décision de Dieu ou malfaisance diabolique ou autre ? L’autorité religieuse souhaitant que les gens guérissent n’explique rien de rien.
   Toutefois, j’ai trouvé un vieux texte du célèbre penseur catholique Blaise Pascal (1623-1662) affrontant en face la question : « Prière à Dieu pour demander le bon usage des maladies. I/ (…) vous n’êtes pas moins Dieu quand vous affligez que quand vous usez d’indulgence. II/ Vous m’aviez donné la santé pour vous servir, et j’en ai fait un usage tout contraire et profane. Vous m’envoyez maintenant la maladie pour me corriger : ne permettez pas que j’en use pour vous irriter par mon impatience. J’ai mal usé de ma santé, et vous m’en avez justement puni. (…) » (Œuvres complètes, page 183).
   Certes, il n’est pas du tout certain que ce soit encore la position officielle du pape, surtout après Vatican II enterrant beaucoup de choses, mais en tout cas la tradition judéo-chrétienne (ou monothéiste, tradition musulmane incluse), attribuant tout chose naturelle (survenant matériellement) à Dieu universel, conduit à condamner la médecine/pharmacie comme hérésie insultant la volonté de Dieu ! Ça me parait effarant, concernant un Dieu hypothétique ou imaginaire (s’Il était existant et tout puissant, il parlerait/expliquerait à chacun sans devoir s’en remettre à des textes dits sacrés, contradictoires et faisant appel à des professionnels érudits démêlant les contradictions incompréhensibles)…
   Et si un million de personnes meurt dans un tremblement de terre (avec trois millions de blessés, donnant un million de handicapés à vie) faut-il se féliciter et remercier Dieu d’avoir puni tant de coupables ? (dont des nouveau-nés coupables de quoi ???). Cela parait incompréhensible, en rien de rien évident, mais personne ne semble réfléchir de manière critique. Les gens râlent et se plaignent, se lamentent, et semblent escompter que par les rites, hop, ils seront remerciés par Dieu (éventuel) d’un accès au Paradis… Ça parait bête mais le succès populaire est là, incroyablement (surtout aux USA, maîtres du monde).
   Plus grave : les différentes chapelles se font la guerre et s’entre-massacrent, les judéo-chrétiens estimant juste d’avoir martyrisé les Palestiniens « mal nés », et en face les Musulmans estimant juste de massacrer les incroyants. C’est loin de la question Covid19, mais en tout cas, le discours public semble profondément idiot, cachant les questions pertinentes, de simple cohérence.

* Ajout 34, 15/08/2020 (9h) : Anti-masques : hérésie inadmissible ou lucidité interdite ?
  Hier ou avant-hier, sur chaine télévisée d’information (LCI ou C-News je crois), j’ai vu dénoncer quelque chose comme « l’aberration des anti-masques prétendant à la liberté individuelle (de refuser le masque) au lieu d’obéir aux instructions publiques (pour ne pas contaminer autrui, donc ne pas le tuer) ». Il était mentionné des manifestations en ce sens anti-masques aux USA (se clamant « pays de La Liberté ») et en Allemagne récemment (vingt mille personnes) dans un pays pourtant célèbre pour son hyper-discipline – la population française réputée rebelle résistant moins (ou moins ostensiblement). Il était toutefois présenté en France la fausse attestation de contre-indication médicale au port du masque, mise en ligne par une médecin avec un blanc pour que chacun puisse écrire son nom afin d’en faire un pseudo-document officiel. Il était montré l’interview de cette médecin chez elle, le journaliste protestant : « mais ce masque sauve des vies ! » et la médecin répliquant : « ça, c’est ce qu’on vous dit, mais est-ce que c’est vrai ? ». Puis était interviewée une autorité : un sévère représentant de l’Ordre des Médecins, condamnant totalement cela, qu’il classait en faute professionnelle grave (ou « lourde », je ne me souviens plu’) en allant porter plainte pour charlatanisme.
   Qu’est-ce que j’en pense ? Plusieurs éléments de réponse, partiellement contradictoires :
1/ Je suis d’accord que les revendications de liberté individuelle peuvent être abusives. Il est clair que la « liberté de tuer son prochain » amènerait la guerre meurtrière de tous contre tous et cela doit être banni pour la paix qui vaut bien mieux. De même, la liberté de ne pas porter en voiture la ceinture de sécurité a pu être invoquée (dans les années 1970 au moment du vote législatif de l’obligation), mais cette liberté de refus me semble abusive car, en cas d’accident, les non-ceinturés sont très gravement blessés ou handicapés, ce qui est remboursé ou payé par la société des autres gens, ainsi comme « rackettés injustement » si la nouvelle victime a refusé de suivre leurs injonctions à la prudence. La même difficulté survient avec les alpinistes ou skieurs hors-piste, jouissant de (la liberté de) prendre sciemment des risques énormes, avant parfois de recourir à secours très chers, qu’ils ne paient pas mais qui sont à la charge du collectif (pleinement en droit de râler) ; il y a aussi les fumeurs et alcooliques et drogués qui se font payer les soins luttant contre les maladies qu’ils se sont eux-mêmes infligées (et je n’ai pas la conscience tranquille en tant qu’ex-suicidaire n’ayant pas payé de ma poche les années de soins suivant mes gestes auto-tueurs, mais c’est un peu différent dans la mesure où je ne demandais pas ces soins, plutôt un droit à tout arrêter par liberté d’auto-euthanasie barbiturique, endormissement éternel). Mais le quatrième point de réflexion est en sens totalement inverse : au nom de la féminine « liberté à disposer de son corps » a été décrétée en France officiellement l’autorisation incontestable de tuer les futurs bébés (IVG), avec même remboursement « social » de cet assassinat pour convenances personnelles. Vient alors la question du masque anti-covid19 : effectivement, si ceux qui ne portent pas le masque tuent les autres gens, c’est très mal et constitue un abus de liberté, mais c’est beaucoup moins simple, reposant sur des études dites « scientifiques » conduisant à des conclusions contradictoires. Donner pleine publicité aux avis d’experts (prétendus) portant la parole orthodoxe n’est nullement convainquant quand sont privés de parole les avis hétérodoxes, classés dissidents. Sans débat contradictoire, sans liberté de débat, l’interdiction de liberté (de refuser personnellement le masque) parait abusive. Plus en détail, il est avéré qu’est fausse l’affirmation que quiconque ne porte pas le masque contamine autrui : la très grande majorité des gens ne portent pas le virus donc ne contaminent personne (et sans masque on est donc puni abusivement). De même pour un ex-malade ayant détruit le virus en lui. De même si la personne en face de soi est guérie immunisée. L’affirmation simpliste généralisante est donc clairement un abus inductif, une faute logique, et donc morale puisqu’il y a punition d’innocents (bien plus que de coupables). Certes, déclarer officiellement coupables les innocents peut faire dire qu’on ne condamne que des coupables mais ni plus ni moins qu’en régime dictatorial la liberté d’opinion est classée criminelle de droit commun, donc « coupable » avérée… (il n’y a pas que très loin géographiquement ou historiquement, c’est la situation en France actuelle, depuis des décennies, avec la Loi Gayssot et jurisprudence contre le doute, forçant à gober le dogme, sous la menace).
2/ Je suis entièrement d’accord avec la médecin rebelle osant le scepticisme contre le faux argument d’autorité : ce qu’on nous affirme n’est pas pour autant démontré vrai. Toutefois, je suis gêné par deux aspects : a) son certificat d’exemption n’est valide que parce qu’il est signé par elle, médecin faisant autorité, c’est contradictoire ; b) de même, si elle est devenue médecin, c’est qu’elle a été diplômée comme réciteuse servile des prétendues vérités énoncées (sans preuve) par ses professeurs de fac. En effet j’ai fait une première année de médecine (avant de m’enfuir, sans redoubler) et le prof de maths, à qui je démontrais (après l’heure de cours) son erreur, s’est offusqué : « Mais vous vous êtes complètement trompé d’études ! En médecine, vous n’êtes pas là pour réfléchir mais pour réciter ! ». Oui réciter… stupidement, même le « pas vrai » démenti plus tard ou en osant réfléchir logiquement… Bref, la médecin en question fait preuve d’un légitime scepticisme mais, s’il n’était pas tout neuf chez elle, elle n’aurait pas ce titre de médecin, c’est-à-dire mouton réciteur se pliant devant l’autorité prétendue. Et je préfère les « lucides depuis toujours » aux renégats tardifs, ex-crédules tirant leur prestige et argent de cette crédulité passée.
3/ Une médecin devenue (anormalement) sceptique lucide est-elle en position de faute professionnelle et de charlatanisme ? Ça me semble le contraire : elle a cessé de pratiquer les abus propres à son milieu, qui la condamne donc évidemment, même si elle peut avoir raison, partiellement ou entièrement. Je ne connais pas l’histoire des guérisseurs depuis la préhistoire mais j’ai lu récemment un très gros dossier de Science & Vie sur l’effet placebo, et il était marqué/avoué noir sur blanc qu’une grande part de l’efficacité médicale repose sur l’effet placebo : confiance dans le docteur en étant persuadé qu’il dit le vrai, l’efficacité des traitements étant montrée s’effondrer quand il n’y a pas ce sentiment subjectif d’adhésion. Bref, le médecin moderne (avec l’autorité dite scientifique) fonctionne comme le chamane antique ou exotique (avec l’autorité dite sacrée) : ce qu’il dit et préconise « marche » souvent car les gens y croient, pour la plupart. Ça ne signifie nullement que « signaler l’abus de confiance » soit une faute logique, une faute de pensée, mais ça casse la profession qui vivait de cet abus (certes partiellement efficace). La dissidente est donc bannie pour crime d’ « avoir raison de manière inavouable ». La traiter de charlatan est toutefois une insulte illogique : c’est en cessant d’être « charlatan pratiquant l’abus de confiance » qu’elle s’est singularisée.
4/ Ceci dit, est-ce que je refuse de porter le masque, moi ? Non, ça me parait bénin et j’obéis sans faire de vague. Mais sans donner tort aux gens qui contestent l’abus d’autorité, ce qui démarque à 100% du consensus médiatique, dictatorial au nom du « vrai prouvé » (affirmé tel sans preuve aucune)… Certes, je n’ai pas lu les publications scientifiques en question, mais j’ai l’expérience professionnelle d’immenses experts scientifiques hyper-poly-publiés s’avérant des menteurs escrocs cupides… Je ne croirais donc pas ce qui est marqué, ces gens pratiquant usuellement le mensonge financièrement intéressé. Ça, c’est logiquement et techniquement prouvé, sans aucunement employer le (faux) argument d’autorité.
5/ Je vais plus loin : rien ne m’a prouvé que les comptages de morts Covid19 ne sont pas inventés (ou faussés sciemment) pour prétendre justifier les ruineux politiciens confineurs ; rien ne me garantit que le test PCR pratiqué cible correctement l’agent responsable de cette maladie (si elle existe, ce qui ne m’a pas non plu’ été prouvé). Et le principe de précaution invoqué en ce moment, pourquoi n’était-il pas invoqué les années précédentes pour les grippes, gastro et autres virus (dits à milliers de morts aussi) ? et pourquoi ne fait-il pas interdire la voiture, la baignade, le chien domestique, l’électricité, le chauffage, l’alcool, le tabac, etc. ? Non, l’autorité n’argumente pas honnêtement mais écrase en refusant de réfléchir, c’est dictatorial intolérant, stupide. C’est une logique de guerre, effectivement, appelant à ce que la population soit écrabouillée par le général en chef – je ne suis pas d’accord, même si je ne me révolte pas, je désapprouve.
6/ La télévision dit qu’avant la répression (des sans-masques), il y a un temps de pédagogie, mais ça me semble totalement faux. Le principe de la pédagogie (que j’ai connue en Maths C 1978-1981 en tout cas) est que quelqu’un connaissant la vérité en convint les innocents par démonstration parfaite, indubitable. Mais ici, tout au contraire, le pouvoir ne détient qu’une opinion et pas la vérité objective (certes son opinion est légalement indéniable s’il légifère pour condamner l’avis opposé). La situation reste une dictature, même si c’est en version un peu adoucie, mettant en garde avant de frapper les récalcitrants. Dire que la menace du bâton « convint donc est pédagogique » me parait atroce, car ça légitimerait les brutes Hitler, Staline, etc. Je me souviens d’une collègue autrefois me donnant tort de désapprouver les ordres anti-liberté, l’argument invoqué étant quelque chose comme « du moment qu’on sait ce qui est interdit, peu importe le bien-fondé de cet interdit, il suffit d’obéir ». Je reste en total désaccord, après avoir été exclu du monde du travail pour inaptitude (à me laisser acheter par le salaire pour être complice du mensonge ambiant).

* Ajout 35, 18/08/2020 (7h) : Précision sur la médecin sceptique
  J’ai trouvé sur Internet un texte donnant des précisions sur la médecin osant douter et lutter contre l’obligation de masque (en extérieur, par exemple, où il est rendu obligatoire par plein de communes sans documentation scientifique que cela impacte, est-il dit) : https://actu.fr/grand-est/wangenbourg-engenthal_67122/une-medecin-prescrit-de-faux-certificats-contre-le-port-du-masque-l-ars-saisit-la-justice_35463991.html
   J’en retiens trois choses principales :
– Le nom de cette dame est Dr Eve Engerer, je lui rends ici hommage pour avoir enrichi le débat, merci.
– Elle se dit maintenant opposée à Big Pharma et préconise vitamines et homéopathie, lectures de chiffres et hypnose, comme moyens curatifs. Cela explique mieux pourquoi elle est poursuivie pour charlatanisme. A mon avis, comme les médecins en voie chimique, elle peut avoir du succès curatif auprès de ses patients crédules, et insuccès auprès des incrédules, je ne vois pas là une différence fondamentale conduisant à la classer escroc menteuse davantage que les médecins « normaux » (actuels ici).
– Elle dit avoir été amenée à désapprendre ce qu’elle avait appris à l’université, et le mot apprendre me semble incorrect. On apprend la vérité indéniable, on gobe bêtement les affirmations douteuses, c’est différent. Enfin, c’est la faute de notre langue pourrie qui n’est pas claire : un acteur de théâtre « apprend » un texte, un maoïste « apprend » Le Petit Livre Rouge, un Islamiste « apprend » le Coran, un rabbin « apprend » le Talmud, un Témoin de Jéhova « apprend » la Bible, avec diplômes universitaires à la clé (dans tel ou tel pays, à telle ou telle époque), sans pour autant que ces textes soient « donc » supérieurement estimables, voire même crédibles un petit peu.

* Ajout 36, 22/08/2020 (19h) : (Autre) médicament dérangeant ?
  Je lis sur MSN (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/covid-19-cinq-questions-sur-l-anakinra-un-m%C3%A9dicament-aux-effets-%C3%A9vidents/ar-BB18gbWf ) qu’un médicament s’avère efficace pour sauver les gens gravement rendus malades par CoViD19 : l’anakinra (Kineret ), mais il tempère la réaction inflammatoire qui tue, sans cibler le virus lui-même et alors : « Mais comme le rappelle le gouvernement sur son site, ʺil n'existe pas encore de traitement spécifique efficace, validé et approuvé contre le virusʺ. En attendant l'arrivée d'un vaccin, peut-être dès la fin de l'année, comme l'a avancé Emmanuel Macron ce jeudi. » Je trouve ça incroyable : si la limonade alimentaire ou l’aspirine anti-fièvre (ou l’hydroxychloroquine anti-paludisme) sauve les malades CoViD19 sans trop d’effets secondaires, il n’y a AUCUN BESOIN de médicament spécifique (ou vaccin spécifique) tout nouveau très cher… C’est incroyable, ce discours sous-tendant apparemment toute l’affaire CoViD-19, qui serait une affaire de gros sous, en rien de rien une affaire sanitaire grave.

* Ajout 37, 26/08/2020 (7h) : Très douteux chiffres confirmés
   Je lis ce jour (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/coronavirus-pr%C3%A8s-de-1-900-personnes-sont-d%C3%A9c%C3%A9d%C3%A9es-%C3%A0-domicile-entre-mars-et-mai/ar-BB18mnsh?ocid=msedgdhp ) que le décompte des morts du CoViD19 en France sera prochainement accru de 1871 personnes décédées à domicile de cette maladie. « Impressionnant donc encore davantage grave indéniable » pourrait-on penser…
  Mais le détail de l’article signale que pour 48% il s’agit de suspicion sans aucune preuve de présence de CoViD19 (ce qui n’aurait clairement pas été compté « mort de CoViD19 » en Allemagne ou en état républicain des USA), bref dans le doute en France super-alarmiste « hop on double le chiffre ! », rien que ça…
   Pire : pour les 52% restants, le fait qu’il y ait présence de virus CoViD19 ne prouve en rien que c’est lui qui a tué, cela pourrait très bien être asymptomatique avec mort de vieillesse (la moyenne d’âge de ces 1871 personnes étant 83 ans).
   Bref, on est pleinement en droit logiquement de ne croire en rien ce chiffre (de 1871 personnes tuées à domicile par CoViD19), ou d’y croire si l’on veut, mais les crédules sont en faute logique quand ils virent à l’intolérance en prétendant à l’incontestabilité, à la criminalité des avis contraires.

* Ajout 38, 28/08/2020 (10h) : Avis hospitalier
   Une amie a mis sur FaceBook un texte très intéressant, dont j’ignore la source précise : « Ne pas faire de ce virus un terroriste ! Olivier de Soyres, médecin réanimateur : (…) on désespère d'entendre la voix de la raison et de la liberté́. (…) on ne meurt pour ainsi dire plus du Covid-19. (…) Certains sont morts avec le Covid, mais pas du Covid. Comme ce patient cancéreux ne pesant plus que 37 kg pour 178 cm qui, en contractant le virus, a vu sa vie raccourcie de quelques jours. Ces patients ne peuvent justifier le chômage des jeunes. Ni les dettes abyssales laissées aux générations suivantes. Ni le renoncement massif à nos modes de vie. (…) Les sauveteurs en mer nous demandent-ils d'arrêter baignade et plaisance au prétexte des risques ? (…) ». J’ai remercié pour ce très intéressant avis hospitalier, même si un avis contraire semble possible avec un autre point de vue, jouissant par exemple de la dictature sanitaire.

* Ajout 39, 30/08/2020 (19h) : Désertion ?
  Aujourd’hui sur chaine télévisée LCI, le Professeur Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d’Ethique, a déclaré qu’un individu anti-masque, c’est grave : c’est comme un déserteur, se préoccupant de son confort personnel en dédaignant le bien-commun.
   Je suis en total désaccord avec cette condamnation, à la fois des anti-masques et surtout des déserteurs (moi qui suis pacifiste) : ceux qui ont été envoyés crever à la boucherie de 1914-18 ne servaient en rien de rien le « bien commun », ils obéissaient au groupe dirigeant que je juge immensément criminel, xénophobe tueur antihumaniste et méprisant les gens l’ayant élu, qu’il trahissait jusqu’à les faire tuer. Les anormaux rebelles déserteurs, résistants aux commandements stupides, étaient à mon avis immensément lucides, et constituent un magnifique exemple, en référence.
   Pour les anti-masques, je ne serais pas aussi approbateur, je doute simplement (il y a punition si on marche sans masque, ou attend debout sans masque, mais pas de punition si on est en vélo arrêté à un feu rouge sans masque, ou mange sans masque sur une terrasse publique ou groupés à une cantine, ça semble n’importe quoi très sévère, jeu d’autoritaristes jouisseurs de leur pouvoir de coercition, la police brimant les gens normaux, perdus, en laissant tranquilles les dealers et caïds pendant ce temps). Les gouvernants stupidissimes ordonnent avec autorité et punition, avec contradiction mais ils n’en ont rien à foutre puisqu’en république ils ne sont en rien virables (ce n’est absolument pas une démocratie où le peuple aurait le pouvoir, même si la propagande clame le contraire assidument).

* Ajout 40, 01/09/2020 (6h) : Question de mots et de tests
  Hier soir, sur chaîne de télévision LCI, David Pujadas dirigeait un débat intéressant : « Covid19 : une épidémie sans malades ? », justifié par le fait avéré (selon les chiffres officiels) que les alarmes tonitruantes du gouvernement sur le nombre de victimes CoViD19 qui croit exponentiellement ne sont pas corrélées à des décès (ni même des hospitalisations) accrus.
   La réponse du médecin (alarmiste) présent a été double, pour ce que je m’en souviens :
– Il ne faut pas comparer les positifs actuels à ceux de la vague tueuse en Avril car à l’époque on ne testait (en France) que les malades graves, donc le nombre de cas de contamination à l’époque était peut-être sous-évalué de 90% (= d’un facteur 10) ; ce que je rajouterais c’est qu’on nous a donc immensément menti en disant que ce virus est énormément létal, à dangerosité inouïe, il serait finalement bénin dans l’immense majorité des cas, comme la grippe saisonnière, ce qui fait s’effondrer tout l’argumentaire, et rend imbécile la ruine pratiquée de l’économie (c’est apparemment pour cela, à mon avis, que le gouvernement persiste à affoler les gens assidument, pour ne pas reconnaître sa faute ultra lourde – et les fausses oppositions ne peuvent pas le dire, de peur de se voir imputer tous les morts éventuels, puisqu’elles ont accepté la surestimation pratiquée, faute de compétence médicale et de logique pure, la politique se confirmant n’être que du bla-bla autosatisfait de tribun théâtreux).
– Si l’on prend en compte que l’évolution générale est une sortie d’hospitalisation des malades de la première vague, donc une baisse, le plateau actuel cache une hausse nouvelle correspondante des malades hospitalisés. Je l’entends, mais qu’il y ait quelques hospitalisés était identique pour la grippe habituelle, sans justifier d’alarme phénoménale cette fois-ci. Cela dit, sur le principe : confondre « les contaminés » et « les malades » n’est pas une nouveauté, je le signalais il y a des semaines ou mois quand je disais aberrants les spots télévisés officiels répétant « vous êtes peut-être malade : faites-vous tester ». Cela a toujours été faux : on sait soi-même si on est souffrant ou pas, le test n’a rien à voir avec le fait d’être malade mais avec le fait d’être positif à CoViD19. Avec l’immense proportion d’asymptomatiques (contaminés non malades), cette confusion délibérée (ou super-imbécile) conduit faussement à dire « il y a beaucoup de malades », « le nombre de malades grandit énormément », complètement à tort mais c’est organisé ainsi. Si l’on avait fait pareil pour n’importe quelle maladie virale habituelle (grippe, gastroentérite, rhinite, pharyngite, etc.), on aurait pu aussi alarmer faussement, bloquer l’économie, favoriser les bloqueurs (appliquant le droit de retrait), etc. L’alarmisme spécial-CoViD19 ne semble donc pas justifié. Ni actuellement, ni peut-être même en Mars-Avril 2020.
   Par ailleurs, la pertinence du test me parait douteuse pour déceler les gens à isoler. Il est célèbre que les ex-contaminés guéris, n’ayant que des cadavres de virus, sont comptés positifs alors qu’ils ne sont en rien contaminants (et plus généralement : il semble que les malades ne soient pas contaminants, la phase contaminante étant les deux jours avant l’apparition des symptômes, est-il dit). Inversement, des contaminés à stade précoce n’ont pas en grand nombre de virus dans les fosses nasales donc seront faussement négatifs, conduisant à affirmer à tort « rien à craindre de cette personne ». Le test sanguin (présence d’anticorps) pourrait être davantage approprié mais rien ne garantit que la réponse immunitaire soit immédiatement massive, et puis durable dans le temps (rappelons que la généralisation inductive, du genre « avec les autres maladies donc celle-ci aussi, les anticorps… » est une faute logique, une supposition à tort clamée vérité ou jugement de la raison). Bref, la crédibilité de principe des tests parait douteuse dans tous les cas. (Sans compter que ne m’a pas été démontrée la spécificité de ces tests vis-à-vis des autres virus, la sensibilité vis-à-vis des cas que ne parviendrait éventuellement pas à détecter la technique actuellement dite de référence, la crédibilité de la séquence virale ADN dite responsable au début, etc. Le bla-bla officiel ne s’adresse qu’aux crédules, mais les gouvernants policent sévèrement tout le monde, même les incroyants, insultés qui plus est – pour « crime » d’oser être logiques ?).

* Ajout 41, 03/09/2020 (15h) : Confirmation
  Je lis ce jour une tribune médicale majeure : https://reseauinternational.net/stop-manipulations-masques-mensonges-peur-un-collectif-international-de-professionnels-de-sante-denonce-des-mesures-folles-et-disproportionnees/?fbclid=IwAR2szv33u1LtzFNx8eZ3iYD_WZQmhegBHQZNgnsbJax33i1R4VlPZG186-I
  Cela confirme les mécanismes opérés pour sciemment surestimer la gravité CoVid19, à tort, pour faussement justifier des mesures dictatoriales. Il est notamment conclu que c’est « la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle », confirmant le mot que j'envisageais dès le début (de rédaction de ce site) il y a près de 6 mois.

* Ajout 42, 09/09/2020 (10h) : Autre objection médicale
  Ce jour, j’ai entendu dans le débat « L’heure des pros » (chaîne télé C-News) un pneumologue (Patrick Bellier) interviewé à distance, contestant le bien-fondé du masque obligatoire, avec 3 arguments principaux je crois :
- Le masque empêche la population de s’immuniser par multiplication des porteurs sains.
- Le masque est un nid à microbes buccaux, qui va produire un accroissement des maladies respiratoires.
- L’épidémie est finie et le catastrophisme actuel est contre-productif, le port du masque généralisé empêchant l’immunisation.
  Les réponses ont été :
- Ce pneumologue est un fou, ainsi que les quelques médecins pensant comme lui (à mon avis : ce n’est pas un argument mais une insulte parachutée).
- Il y a encore des morts du Covid19 (à mon avis : nombre négligeable, genre 50 fois moins que du cancer ou du tabac).
- Une décision a été prise et il faut s’y tenir, on jugera après coup s’il y a eu erreur (à mon avis : cela ne devrait en rien condamner les pensées argumentées différentes, pouvant déceler en avance les erreurs graves).

* Ajout 43, 13/09/2020 (8h) : Procès en légitimité
  Je lis ce jour sur Internet une propagande pseudo-scientifique effarante dite information (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/les-personnes-qui-ne-portent-pas-de-masque-ont-des-tendances-sociopathes/ar-BB18XsMd?ocid=msedgdhp ), ceux qui ne portent pas le masque imposé seraient des sociopathes narcissiques, c’est scientifiquement démontré ! Sauf que… la même étude (élisant les moutons obéissants) conclurait que les dissidents en Chine ou ex-URSS sont des sociopathes narcissiques, de mauvaises gens, résister à l’embrigadement sous la menace étant classé « mal », « anormal », « malade », « sombre ». L’Union Soviétique « soignait » ainsi en hôpital psychiatrique les anti-communistes, avec preuve « scientifique » du bien fondé de pareille démarche.
   Cela me semble idiot : non, les sciences humaines ne sont pas des sciences mais du bla-bla n’importe comment, avec diverses chapelles non départageables car ces disciplines n’ont aucune valeur prédictive testable. Qu’elles s’allient au pouvoir (ou à tel ou tel pouvoir) est compréhensible pour chercher le fric ou/et la célébrité, mais leur pouvoir de persuasion est nul.
  (Ajout 15h :) Résister à un pouvoir abusif qui prend pour alibi le prétendu bien commun, oui cela peut être qualifié de sociopathe narcissique. Si on cherchait dans les archives allemandes du 3e Reich, on pourrait ainsi trouver, je pense, la « preuve » qu’être antinazi c’est s’avérer sociopathe narcissique. Cela vaut invalidation (dans cette société ici, classant le 3e Reich en Mal absolu).

* Ajout 44, 20/09/2020 (16h) : Profilage de la question Covid19
  Une amie m’a envoyé avec enthousiasme un lien parlant sur un ton critique de la gestion Covid19 (https://www.youtube.com/watch?v=k7NV_Q0ywoE&feature=youtu.be&fbclid=IwAR0EXptLvfqSw6-hW196jr9XTMW0BkRmHvMvBNzW3NsH9I1ncueB5RKEHpE ) : Magazine Nexus, « Itv Nadine Touzeau, profileuse : coronavirus, rapport à l’autorité et réveil des consciences ».
   Il y a des éléments intéressants, notamment le témoignage garanti véridique que des hospitaliers avouaient signer « Covid19 » comme cause de décès quand ce n’était pas vrai, « parce que ça fait bien » (et j’ajouterai : peut-être que ça prévient les suspicions familiales avec plainte pour décès par erreur médicale puisque inexpliqué, la notion « mort de vieillesse » ayant disparu semble-t-il et le fait de tuer beaucoup d’anciens par anesthésie générale semblant avoir été oublié).
   Autre point intéressant, le rapprochement entre « menteur » et « manipulateur », tant pour des politiciens gouvernants (maintenant reconnus se moquer du bien public pour ne viser que leur propre intérêt) que pour des faux experts (s’avérant très mauvais guides après coup).
   Il y a, cependant, des points étonnants affirmés comme vérités certaines sans me convaincre que ce soit davantage qu’une opinion, un ouï-dire ou une fausse information, comme le fait que les amendes de 135€ pour manque d’attestation de sortie ou de port du masque soient illégales sans que personne ne le dise dans les médias, complices dans la volonté générale de faire peur et commander l’obéissance façon moutons. (J’ai vu une nouvelle Internet sur MSN où des juristes répondaient que c’était légal contrairement à ce qu’avait dénoncé tel avocat prétendant faussement documenter son accusation – ces affaires de paperasses, dans un contexte de lois pourries, me laissent dubitatif, sans foncer dans une direction ou l’opposée). Pareil pour le fait que le test PCR rhino-pharyngé soit dangereux pouvant briser la barrière protégeant le cerveau, point acquis indiscutable dans cette vidéo alors qu’aux informations télévisées c’était médicalement dénoncé comme fausse information ridicule – le doute me parait plus sage que de croire assurément un côté ou bien l’autre.
   Mais, surtout, je suis gêné par le scientisme de cette dame, qui a sans cesse le mot « scientifique » à la bouche, parlant de ses recherches à elle, comme si c’était un gage de sérieux et de vérité, alors que – moi qui ai suivi une formation scientifique, eu un métier scientifique, j’ai l’expérience que les scientifiques leaders sont des menteurs et des handicapés en intelligence critique. Et, à mon avis (argumenté), c’est pire encore en sciences humaines, domaine de cette dame, ayant diplômé pendant des décennies les dogmes freudiens avant de les reconnaitre immensément abusifs (simples hypothèses, plutôt peu convaincantes et à valeur prédictive absolument nulle), etc.
   Cette dame clame aussi qu’il faut avoir le cerveau en éveil, ne pas rester endormi suiviste, mais il me semble qu’il lui manque une case à elle-même : le doute, la sagesse sceptique. Même si je note les incohérences des dirigeants, l’évidence qu’ils mentent souvent ou toujours, je n’ai en rien « la preuve » qu’ils mentent totalement. Ils sont peut-être simplement « très mauvais », faisant mal ce qu’ils peuvent, face à un risque non nul, surestimé pour qu’ils se protègent contre les accusations. Si on classait toute cette affaire en mensonge total, on pourrait se diriger dans une voie qui apparaitrait après coup comme une grave erreur, la sagesse sceptique consiste à l’envisager, hésiter, cette dame manque de cette partie là du cerveau, que j’appelle intelligence critique (différent de ce qu’elle nomme « cerveau éveillé » sans trop d’égo mais acceptant de switcher vers une nouvelle conviction). Un risque chiffré de manière très suspecte, clairement surestimé, n’est pas un risque assurément inexistant, l’oublier est manquer de lucidité, ne pas mériter de se poser en donneuse de leçons.
   Cela assorti des mots (de fausse crédibilité) « scientifiquement il est reconnu que », « il y a des éléments scientifiques qui prouvent que », c’est un manque d’intelligence qui se prétend supérieure intelligence, ça ne me plait pas, pas bien davantage que les mensonges officiels (avec leur « comité scientifique » affirmant n’importe quoi de manière contradictoire en prétendant dire le vrai indéniable – indéniable sauf maladie mentale… a ajouté notre idiot président de la république publiquement).

* Ajout 45, 01/10/2020 (5h) : Relativisme nécessaire
   J’ai aperçu sur Internet (FaceBook) un long texte argumenté signalant (certes sans source citée, et à auteur marqué inconnu) que des experts avaient établi que la maladie covid19 était en gravité épidémique la dixième depuis 1945, au lieu de la toute première depuis 1919 dans les discours officiels. Je ne crois pas spécialement ces experts-là davantage que d’autres, mais j’entends bien cet argument, qui mériterait vérification avant de gober l’alarmisme/catastrophisme systématique. Enfin, j’obéis aux dictateurs (au sujet de leurs « précautions sanitaires ») sans me rebeller, mais je désapprouve leurs injonctions pas du tout convaincantes.
   A noter aussi :
– Le ministre français de la Santé a reconnu devant le Sénat que les comptabilisés « morts de Covid19 » sont les « morts avec covid19 » (nombre maximisé) et pas les « morts dus à covid19 » (nombre très inférieur, ce qui officialise ce que je suspectais/dénonçais, face au faux argument « les chiffres sont incontestables »).
– Il est dit que le nombre de morts « liés à » covid19 a dépassé 1 million dans le Monde maintenant (et pourrait selon l'OMS atteindre un jour 2 millions si ne sont pas prises les sévères mesures adéquates), mais le philosophe Comte-Sponville a fait remarquer qu’il meurt chaque année 9 millions de personnes de la faim (le chiffre de 1 million n’étant donc pas spécialement terrifiant ni appelant action immédiate d’envergure colossale – du moins si c’était la rationalité qui gouvernait et pas tel plan secret nous prenant pour des idiots et des moutons).
– J’ai entendu dire que le port de masque obligatoire est un rituel de soumission maçonnique, et peut-être que l’avoir imposé à la population entière fait jouir certains dominants. C’est une éventualité, pas un fait avéré, mais quand on lit que le Président de l'Assemblée Nationale ne porte pas le masque, par exemple, l'idée "pour les inférieurs seulement" devient hélas plausible.

* Ajout 46, 05/10/2020 (5h) : « Meurtre » par incompréhension ?
- Une ex-collègue avait mis sur FaceBook la mention d’une affaire marquante : « Mulhouse : un salarié vient travailler après un test Covid-19, il est licencié pour ʺfaute graveʺ ».
- J’ai répondu (n’ayant vu que le titre, pas qu’il y avait un lien vers https://www.leparisien.fr/economie/mulhouse-un-salarie-vient-travailler-apres-un-test-covid-19-il-est-licencie-pour-faute-grave-03-10-2020-8396400.php#xtor=AD-1481423552 ) : Il semble manquer un mot qui change tout : est-ce "après un test Covid 19 positif" ? (ou bien "après un test Covid19 en attendant le résultat" ?)
- J’ai ensuite trouvé les explications détaillées à : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/coronavirus-un-salari%C3%A9-licenci%C3%A9-pour-faute-grave-pour-%C3%AAtre-all%C3%A9-travailler-apr%C3%A8s-un-test/ar-BB19GmYQ?ocid=msedgdhp avec notamment les mots « On peut être inconscient mais là c'est de l'irresponsabilité. On ne joue pas avec la vie des gens » (autrement dit je crois : l’homme est accusé d’avoir peut-être tué des collègues, à confirmer).
- J’ai ajouté à ma réponse initiale : C'est incroyable selon moi : c'est ma seconde hypothèse qui était la bonne : il est estimé que l'employé n'aurait pas dû retourner travailler alors qu'il ne savait pas s'il était vraiment malade et n'avait aucun arrêt maladie prescrit... La télé explique immensément mal, si ça c'est une faute grave.
- A la réflexion, j’ajoute d’autres points de commentaire :
. Le spot télé d’alerte gouvernementale sanitaire dit quelque chose comme « si vous avez de la fièvre ou de la toux ou le nez qui coule, isolez-vous, demandez à votre médecin traitant qui vous fera éventuellement tester covid19 », mais la politique a ensuite changé en notant que les médecins généralistes étaient totalement débordés par cet afflux de patients ayant des petits riens, qui ne seraient pas venus autrefois (avant l’affaire covid19 et le spot télé). Alors, il n’y a officiellement plu’ besoin d’ordonnance pour se faire tester covid19, et l’embouteillage est maintenant au niveau des labos d’analyse, qui ne rendent la réponse qu’au bout de 1 à 11 jours (7 jours dans mon cas). Il n’est pas précisé ce qu’il faut faire « après un test non passé par médecin » (en attendant le résultat), donc sans arrêt de travail officiel. Se confiner ? Informer la Sécu qu’on est en arrêt-maladie même si on n’a pas de papier médical en attestant ? Et la Sécu versera-t-elle des indemnités maladie même s’il n’y a pas attestation médicale (et que le résultat du test s’avèrera peut-être « non-malade ») ? Pourquoi punir ceux n’y comprenant rien (avec de bonnes raisons de douter dans tous les sens) ?
. Par ailleurs, se pose la question des jours de carence : si on fait un test covid19 (et ne retourne pas au travail en attendant les résultats), perd-on automatiquement 3 jours de salaire ? (1 jour pour les fonctionnaires, privilégiés). Cette question est un peu différente du scandale récent à la SNCF, des contrôleurs testés positifs au Covid19 l’ayant parait-il caché à leur employeur pour ne pas être mis en quatorzaine où ils auraient perdu leurs primes d’activité.
. Quant à estimer que le testé « retourné travailler » a potentiellement tué certains de ses collègues ("l'avenir le dira mais la culpabilité est déjà établie"), je signalerai qu’on estime qu’environ la moitié des résultats positifs sont des faux positifs, ce qui est compatible avec l’affirmation péremptoire selon laquelle la positivité est fiable à 95%, car il y a environ 95% de gens négatifs. En effet, parmi les positifs : il y a environ autant de vrais positifs (rares) bien détectés et de rares faux positifs dans la grande masse de négatifs. Accuser quelqu’un de tuer, ou/et le licencier pour faute grave, sur la base d’un test aussi incertain, parait idiot et injuste (moche intellectuellement et moralement).
. J'ai construit 2 illustrations de principe, chiffrées, pour la remarque précédente :



* Ajout 47, 08/10/2020 (15h) : Spécialiste hérétique méconnu
  Aujourd’hui en débat télévisé (L'heure des Pros) sur chaine C-News, un chercheur-chef de l’Institut Pasteur expliquait que les vaccins en essai accéléré se trompent tous de mode d’administration, ses essais à lui (sur animaux) montrant que la voie intramusculaire marche très mal et la voie en spray nasal : infiniment mieux. L’urgence absolue brûlant les étapes (notamment pour l’élection présidentielle aux USA) serait un ratage total, donc, un immense gaspillage de fortunes pour rien.
  Il disait aussi que le coronavirus n’était pas plus dangereux qu’une grippe sévère (celle de 2017 ayant fait 30.000 morts en France pareillement), peut-être un peu plus contagieuse mais ce n’est pas certain. Entendre cela rend incroyable le catastrophisme forcené des autorités, en France et ailleurs. Que nous cache-t-on derrière tout cela (vaste campagne d’affolement/blocage/culpabilisation des populations non-décideuses) ?

* Ajout 48, 16/10/2020 (11h) : Peur judiciaire
  Hier, les nouvelles télévisées ont informé qu’une vaste opération judiciaire effectuait des perquisitions chez les ministres et anciens ministres impliqués dans la gestion de crise covid19, suite à l’enregistrement de 9 plaintes (sur 90) pour non-empêchement de catastrophe (ou des mots dans ce genre).
  Le « philosophe » Bernard Henri Levy a condamné cette démarche des juges en disant que c’est du populisme judiciaire. Et ça me choque : s’attaquer à la fausse élite dominatrice est anti-républicain (à raison), pas anti-démocratique (à tort), injurier ça comme « populiste » signifie que parlent de faux démocrates déguisés, dominateurs, escomptant absence de résistance populaire (ou autre contre-pouvoir)…
  Par ailleurs, une journaliste sur LCI [puis un commentateur sur C-News une heure plus tard] confirmait que cette démarche des juges ne servait à rien, car n’ayant aucune chance de prouver que tel ou tel politicien voulait tuer les gens [ou même : les mettre en danger sciemment]. Et ça me choque : un drogué sans permis de conduire qui renverse et tue un enfant pour la seconde fois est assurément condamné comme criminel récidiviste, à de la prison ferme, même si sa prise de drogue et de volant n’avait clairement aucune volonté de tuer. Donc on nous ment, comme d’habitude.
  Quoi qu’il en soit, une des explications possibles au catastrophisme absolu des gouvernants serait la peur des juges qui les conduirait à prendre le scénario (imaginaire) le pire en catastrophisme, pour agir contre sans être accusables d’avoir méprisé les avertissements graves, tuant ainsi des victimes innocentes. Je l’entends, mais ça s’applique autant à la grippe saisonnière et autres, il n’y avait aucune raison objective de le faire spécifiquement pour la maladie covid19. Donc ça me semble confirmer qu’on nous cache quelque chose.

* Ajout 49, 18/10/2020 (11h) : Rappel à l'ordre ?
• Je lis ce jour une nouvelle MSN/JDD.fr à propos d’une tribune rédigée par des médecins (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/tribune-face-au-coronavirus-nous-devons-tous-aller-dans-la-m%C3%AAme-direction/ar-BB1a8dZb?ocid=msedgdhp ) : (c’est moi qui tronque et numérote). « TRIBUNE. 1/ Face au coronavirus, "nous devons tous aller dans la même direction" (…) 2/ Le système est déjà saturé en réalité. En temps normal, hors épidémie de coronavirus, il manque des lits à l'hôpital et il manque du personnel soignant. Même si nous avons besoin de plus de place, une épidémie ne se gère pas en fonction des capacités de réanimation. Il faut tout faire pour que les malades n'arrivent pas dans ces unités de réanimation et de soins intensifs. (…) 3/ Nous devons tout faire pour éviter un confinement généralisé. (…) 4/ avec un nombre élevé de contaminations qu'il convient de rapidement diminuer. 5/ Il est encore tout à fait possible d'y arriver si nous respectons tout ce qui nous est demandé. 6/ Nous devons tous aller dans la même direction et ne pas jouer au jeu du chat et de la souris avec le virus. (…) 7/ Laisser circuler un virus que nous connaissons mal serait irresponsable et exposerait nos ainés à un risque vital. Tous ensemble nous pouvons y arriver. (…) »
  Je conteste ces points :
1/ Moi qui suis en désaccord avec la parole officielle, ces gens me condamnent ? Alors je les condamne aussi : face à la dictature prétendue sanitaire, nous devons tous cesser d’opprimer autrui !
2/ C’est la faute des dirigeants, si la situation est ainsi, et la faute n’en incombe pas à la population. Depuis des décennies le nombre de lits hospitaliers a été abaissé, pour faire des économies (au lieu de faire des économies autrement, supprimer l’armée etc.) alors il n’y en a plu’ assez, de lits hospitaliers, ça ne justifie pas d’oppresser la population mais de mettre en prison (pour mise à mort sans intention de la donner) les décideurs et ex-décideurs, ou prison préventive en tout cas, en attente de procès dans 2 à 25 ans comme d’habitude. Par ailleurs, des infirmières diplômées et avec expérience, non-Européennes (comme ma nièce Donna), se voient interdites de visa vers la France, par l’ambassade de France (tant sous Hollande que sous Macron), alors qu’il n’y ait pas assez d’infirmières est l’entière faute des gouvernants, ne les autorisant en rien à oppresser la population ici (et continuer à exercer leur injuste xénophobie, cachée avec complicité active des journalistes unanimes). Idem pour les médecins : le numerus clausus que j’ai connu était une décision politique de générer la pénurie de médecins, postes à réserver aux presque seuls étudiants disposant des sujets d’examen à l’avance (mais il ne faut pas le dire, c’est passible de poursuites pour « antisémitisme »), alors ce système se plante, par leur faute à eux, de pourris dominants, accusant maintenant le peuple (n’y pouvant rien, virer les gouvernants en alternance n’ayant élu que d’autres pourris faisant pareil).
3/ Rien ne certifie que le confinement soit une bonne chose (et qu’il faudrait d’urgence l’adopter si les Français étaient laissés libres comme les Suédois qui n’ont pas de problème, eux). Certes, ici « les experts disent… », mais les experts menteurs sont une coutume de grande routine, je l’ai prouvé pour le nuage de Lubrizol (en plus de : à mon boulot dans le secteur privé, s’enrichissant par le mensonge en bande organisée, étouffant les démonstrations d’erreur). Et j’ai lu un livre de physicien démontrant la même chose pour ce que dit le GIEC au sujet du réchauffement climatique dû au CO2 humain. Le catastrophisme autorisant à persécuter les populations, ça a un immense succès auprès des gouvernants (jouissant de cette puissance ?), mais ce n’est pas du tout convaincant objectivement.
4/ Le nombre élevé de contaminations n’est en rien une catastrophe incontestable : un rhume peut contaminer 98% de la population et on s’en fout éperdument. Certes la dangerosité covid19 est toute autre… mais cela a été affirmé avec des chiffres faux, truqués (le ministre de la Santé a dû le reconnaître sous serment devant le Sénat), alors tout l’édifice argumentaire du catastrophisme est là écroulé, nul.
5/ Il est « possible » à peu près n’importe quoi : que mon épouse gagne au Loto, que je marche sur la Lune, que le nombre de cas covid diminue, etc. Ce n’est pas une raison pour instaurer une oppression. Il faudrait un argumentaire immensément plus solide, qui n’est pas fourni et vraisemblablement pas disponible si était autorisée la critique argumentée, cassante.
6/ Il ne s'agit pas de jouer, mais tant que les commandeurs ne sont aucunement crédibles, rien n'incite à les suivre (sauf leur menace dictatoriale, certes, mais ne suscitant en rien mon approbation).
7/ Il me parait invraisemblable que soit ainsi clamé : « on ne sait rien, alors il serait irresponsable de ne pas laisser à nos chefs les pleins pouvoirs pour nous asservir à leur gré ». Moi c’est cette attitude-là, d’oppression dans le brouillard, que je trouve irresponsable. Enfin, plus exactement : ils feront semblant d’être responsables, eux : « responsables mais pas coupables » (comme pour le sang contaminé), donc d’accord pour toucher les salaires énormes de chefs mais aucunement punissables pour fautes commises. Moi c’est ça que j’appelle « irresponsable » (faux responsables).
• Par ailleurs, je lis une autre nouvelle MSN/Ouest-France (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/avancer-le-couvre-feu-%C3%A0-17-h-n-est-pas-d-actualit%C3%A9-selon-jean-castex/ar-BB1a7VEE?ocid=msedgdhp ) disant que le gouvernement se félicite que les mesures prises portent leurs fruits (à Nice et Bordeaux), comme j’avais vu à la télévision affirmer que « l’efficacité du couvre-feu a en Guyane été bien prouvée : quatre jours après instauration du couvre-feu, la courbe des cas a commencé à descendre, ce qui prouve relation de cause à effet ». C’est un illogisme total, profondément idiot : qu’il y ait corrélation temporelle entre deux évènements ne prouve en rien que le second soit la conséquence du premier. Et moi j’ai une preuve : le jour où a été décrété le couvre-feu en Guyane, ce qui n’a aucune importance, j’ai commencé à boire du thé sans sucre au lieu de légèrement sucré et j’ai regardé sur la table une carte postale de Guyane ; résultat : quatre jours après, moins de cas covid19 en Guyane, donc ça prouve que ça marche (d’arrêter le sucre dans le thé pour diminuer les contaminations covid19 là où l’on veut) ! C’est idiot ? Oui, absolument (l'épreuve vraie aurait consisté à ne décréter le couvre-feu que sur une moitié et constater qu'elle seule a courbe descendante, en espérant que ce ne soit pas un hasard artefact). Affirmer n'importe quoi comme prouvé... et ça se prétend expert ou grand homme, quand ça vient des abrutis au pouvoir ou alliés du pouvoir. D’ailleurs, la veille du couvre-feu, des médecins rebelles clamaient « il ne faut pas de couvre-feu ! les courbes commencent à s’infléchir, ça va descendre ! », mais le gouvernement ayant décrété le couvre-feu clamera que « la descente est entièrement due à notre courageuse décision de couvre-feu, admirable et salvateur, bravo et merci à nous, votez pour nous ». Ils nous prennent pour des idiots mais ils se trompent en cela (ou : en cela aussi).

* Ajout 50, 19/10/2020 (19h) : Vidéo incroyable
  On m’a signalé un lien vers une vidéo étonnante (https://www.youtube.com/watch?v=LDj1NO4mjgc&fbclid=IwAR3qU5BpZcYYc7I9U5NzpUgb-H6k41-MH8qVT6cTQK6o6TDzPjJRW4cW5vU&app=desktop ) de ACU2020.org en Anglais, durant 28 minutes. Il s’agissait de médecins de divers pays (je n’ai pas vérifié qu’il s’agissait de vrais médecins et pas d’acteurs, mais j’entends ce qui est dit). Les premiers points majeurs sont que covid19 n’est pas plus grave qu’une grippe habituelle et que les tests PCR covid19 sont plus souvent faux-positifs que vrais-positifs, ça je l’avais déjà entendu, mais la suite est pour moi une révélation. En Suède, des patients très âgés en soins palliatifs, condamnés à mourir, ont été achevés/euthanasiés en attribuant leur mort au covid19 ; des poursuites judiciaires pour meurtre sont en cours. Aux USA et en Allemagne, aux Pays-Bas, Irlande, les chiffres ont été truqués par incitation financière pour que les docteurs écrivent Covid19 comme diagnostic officiel. Si c'est vrai, c'est effectivement un gros scandale, caché.

* Ajout 51, 28/10/2020 (21h) : Re-confinement
  Aujourd’hui avait lieu le discours du président Macron pour le second confinement, pour dite seconde vague.
  Sa base est qu’il affirme que « le confinement de Mars-Avril 2020 a stoppé le virus », mais quelle preuve y en a-t-il ? Qu’il y ait eu relation de cause à effet n’est nullement établi (en termes de logique) par le seul fait que l’un a finalement été suivi de l’autre, cela pourrait être une coïncidence. Pour établir une causalité, il aurait fallu un « blanc » sans confinement, qui n’aurait pas eu la décroissance de l’épidémie (et même : avec réplication de ce test, pour départager hasard d’échantillonnage et différence répétable). Il n’y a pas eu de tel blanc ici, pour raison éthique peut-être (ou par incompétence logique des décideurs). Pire, la Suède n’a pas confiné, et n’a pas eu davantage d’épidémie que nous, avec décroissance de l’épidémie un peu comme nous mais sans confinement pour l’expliquer (cette explication étant donc à tort possiblement). Il est certes clamé qu’il ne faut pas comparer Suède et France mais Suède et Norvège, pour la raison que… ça arrange les décideurs d’ici dans ce qu’ils veulent affirmer, mais tout ça parait artificiel, pas du tout démonstratif objectivement.
  Par ailleurs, le président n’a pas abordé la question des faux positifs très fréquents, conduisant sagement au doute et non à foncer frénétiquement (fanatiquement ?) en prétendant à l’incontestabilité.
  Il dit aussi des mots comme « dans les aéroports seront déployés des tests rapides pour que nous soyons certains que quiconque entre en Europe n’est pas porteur du virus ». C’est là oublier les faux négatifs, et l’imparfaite corrélation entre méthodes, même la technique dite de référence étant imparfaite. Ce dont il parle, ce n’est donc pas une certitude, c’est une croyance, aveugle croyance. Sans l’avouer, incompétence ou mensonge.
  De même n’a pas été pris en compte le fait (avoué par le ministre de la santé, obligé « sous serment » devant le Sénat) qu’être malade positif à Covid19 ne signifie pas être malade à cause du Covid19, donc tous les chiffres (d’hospitalisation Covid19 et décès Covid-19) restent faux, surestimés en fausse gravité, ce n’est pas crédible, mais prétexte à mesures ultra-sévères, assorties de persécution policière des contrevenants aux ordres. Dictature, soi-disant sanitaire mais en fait : politique, avec certes assentiment des (faux) opposants, pareillement blablateurs nuls en logique. Enfin, je m’y plierai, je ne suis pas révolutionnaire, mais sans approbation du tout.

* Ajout 52, 30/10/2020 (13h) : Leçon de Suède
  Ce matin, dans l’émission l’heure des Pros a été cité un élément intéressant (que je ne garantis pas véridique toutefois) : les épidémiologistes experts avaient garanti à la Suède 60.000 morts Covid19 si elle ne confinait pas ; elle n’a pas confiné et n’a compté que 6.000 morts dits Covid19 (et encore moins vraiment dus au Covid19, cf. les procès en cours pour euthanasies pratiquées sur personnes très âgées en marquant Covid19 comme cause de décès pour éviter les poursuites – si ça n’avait pas été ébruité). Bref, ça confirme que les modélisations ne valent rien de rien, étant des hypothèses immensément incertaines, validées en rien.

* Ajout 53, 02/11/2020 (19h) : Nouvelle apellation
   Aujourd’hui j’ai entendu un médecin employer à la télévision un nouveau mot : « Covid+ », dans une expression comme « attention danger de saturation hospitalière : 60% des lits sont occupés par des patients covid+ ». C’est intéressant en ceci que ça déjuge le propos tenu : il n’est en rien garanti que ces malades sont hospitalisés à cause de covid, il y a simplement que leur état de santé conduit à les hospitaliser et, quand on fait le test covid, pour eux ce test est +, même si leurs symptômes sont peut-être dus à toute autre chose (comme chez les gens sans symptômes, une bonne partie est covid+, sans que cela leur cause le moindre problème). Ça signifie que l’impact de covid est très surestimé dans les propos catastrophistes actuels, qui ne me convainquent en rien.

* Ajout 54, 04/11/2020 (10h) : Caricatures Covid
  Des amis ont récemment posté sur FaceBook des caricatures humoristiques, au sujet de la maladie Covid19, et ça fait réfléchir :
• Un homme avec une flèche lui traversant le crâne est sur la table d’examen de son docteur qui lui dit « je crois que votre problème, c’est qu’une flèche vous a traversé le crâne mais pour être sûr, je vais quand même vous faire un test covid ». Cela illustre l’évidence regrettable que, quand des symptômes flous sont constatés en même temps qu’une positivité covid, c’est à tort conclu en « malade (dû à) covid », erreur méthodologique clamée officiellement Vérité indéniable.
• Une image du Titanic sombrant était assortie de paroles de passagers à la mode 2020 avec 8 hypercritiques abusives plus ou moins absurdes mais aussi dont : « 1/ Seulement les vieux et ceux qui ne savent pas nager vont mourir, c’est pas grave. » 2/ « Mon ami a le diabète, c’est ça qui l’a tué, pas la noyade. » 3/ « C’est un complot pour vendre plus de gilets de sauvetage. Réveillez-vous ! » 4/ « Seulement 1500 morts ?! Plus de gens meurent de crise cardiaque chaque année. » 5/ « Il n’y a pas eu de mort, car les médias mentent ! »
  J’ai répondu : « Se moquer des doutes (concernant covid19 ici clairement visé), c’est foncer pour super bien gober la propagande officielle. », mais je peux détailler ici davantage. Ce parallèle Titanic/Covid me parait hors sujet pour discréditer le doute : ce virus n’est pas une énorme évidence tueuse en clair, c’est que certains malades présentent un certain test positif, déclaré signifier telle chose, sans que personne n’en sache rien – médecins compris : qui a la preuve que la séquence ADN déterminée en Chine pointe effectivement le facteur causal de la maladie en question ? et qui garantit en sélectivité que la totalité des brins ADN possibles ont été testés sans donner de résultat faux + ? cette infinité est impossible à tester alors les faux experts mentent – comme on faisait nous en biochimie séparative (les auditeurs incompétents n’y voyant rien), j’en ai l’expérience professionnelle depuis des décennies, depuis que des qualitologues chimiquement incompétents nous ont imposé ce critère de sélectivité, certes idéal mais absolument jamais démontrable.
  Plus en détail :
1/ Dans de l’eau à 0°C ou -1°C (non gelée car salée), tous les tombés à l’eau mourraient en quelques minutes. Le parallèle avec covid est faux. Si ç’avait été de l’eau à 17 degrés, peut-être que l’argument aurait été entièrement pertinent, mais prétendre que le Titanic a tué en masse ne serait pas invocable car ça n’aurait pas été le cas.
2/ La mort par noyade était démontrable par autopsie (alvéoles pulmonaires toutes éclatées etc. ce n’est pas du diabète), au contraire pour les morts dits covid19, la mort est en général liée à la « tempête cytokinique » parait-il (ce qui n'est nullement spécifique à covid19), et un vague discours interprétatif affirme que ce n’est pas dû à la mise en coma artificiel ni aux médicaments associés mais à tel autre facteur envisageable, qui serait la positivité covid19 (bien que celle-ci généralement ne donne absolument aucun symptôme). On est immensément loin de la noyade très évidente pour le Titanic, donc le doute me parait juste pour les décès covid19, très majoritairement de gens âgés en instance de mourir de vieillesse, ou de malades d’autre chose à espérance de vie très limitée.
3/ Quand on entend les officiels dire que « tel médicament marche, oui, mais il n’est pas spécifique de covid19 alors il faut continuer à chercher », il est clair que le but n’est en rien la guérison mais le fric pour un nouveau médicament (ou nouveau vaccin). Pour le Titanic, les gilets de sauvetage ne sauvaient personne, l’eau étant si froide que les gens tombés à l’eau mourraient d’hypothermie, sans que ce soit secondaire au fait de couler.
4/ 1500 morts en une heure dans 1 km² où il y avait zéro mort depuis des décennies, c’est un pic terrible, impressionnant, ça n’a rien à voir avec les morts dits covid (voire « covid ou autre chose ») additionnés sur un pays entier, dans des services hospitaliers en cachant le nombre de morts habituels qu’on y comptait chaque hiver.
5/ Oui, les médias mentent ou répètent des idioties sans comprendre (je l’ai biochimiquement démontré dans l’affaire Lubrizol), ça suscite le doute, mais affirmer catégoriquement qu’il y a eu zéro mort (Titanic ou Covid19) est aussi douteux. Amalgamer tous ceux qui doutent du dire officiel (sceptiques et affirmatifs délirants) n’est pas honnête, c’est absurde donc comique, OK.

* Ajout 55, 05/11/2020 (5h) : Précision professionnelle
   Quand je mettais en parallèle, dans l’ajout précédent, mon expérience séparative en chromatographie liquide en phase inverse et la PCR du covid (vraisemblablement suivie d’une séparation électrophorétique, voie électrique concurrente de la chromatographie chimique), j’oubliais que le détail comparatif est encore plus riche que je ne l’avais pensé.
   Quand le professeur Raoult annonce que covid19 a muté, à quoi fait-il référence ? A un brin ADN différent de la source initiale (chinoise, décembre 2019) mais ayant quand même positivé son test (sensé détecter ce qui n’est pas différent). Cela prouve que ce test PCR n’est absolument pas spécifique de la source ADN initiale, puisqu’il inclut au moins ces variants, et peut-être des cousins (non pathogènes ?) sans rapport avec le virus en question. « Croire les experts », dans ces conditions, est une attitude crédule, certes on n’a pas le choix si on est incompétent, mais on peut se faire tromper, que le prétendu expert soit lui-même incompétent ou sciemment trompeur.
   Par ailleurs, j’ai travaillé dans le séquençage ADN (de bactéries, pas de virus) et, quand un variant légèrement différent est rencontré, dire son identité est une sorte de pari temporaire, vues les autres bestioles connues, en concurrence, ce n’est en rien une certitude, l’avenir pouvant révéler des ex-aequo d’espèces par encore connues et pouvant au contraire amener à scinder une apparente espèce unique en plusieurs. Seuls les scientistes (croyant que la science actuelle exprime le vrai) font l’erreur de prendre pour certitude l’identification rendue. Enfin, on voit à la télévision comment ça se passe : le journaliste dit « je ne suis pas médecin, moi, mais vous, docteur, dites-nous si ce mutant est grave ». Et c’est une erreur totale, de principe : à mon travail, les chefs médecins qu’on informait des séquençages ADN obtenus n’étaient en rien compétents pour dire l’impact des mutations ADN en pouvoir pathogène*. Peut-être qu’effectivement, quand telle mutation (si elle est répétable et non artefact, ce qui se juge par compétence labo et à condition qu’il y ait gros budget, ce que je n’ai jamais connu) est corrélée à telle gravité médicale (compétence médecin, qui évalue au jugé ce qui est imputable aux comorbidités ou non), il peut y avoir suspicion, mais ce sont les biomathématiciens qui diront si cette corrélation est significative ou non (et à quel risque de se tromper en l’affirmant). Le docteur, diplômé pour sa capacité à réciter et normalement nul en maths, n’est en rien compétent spécialement pour clamer qu’il y a significativité, et encore moins : relation de cause à effet.
   Certes, la science et la médecine, dans les médias, fonctionnent sur le principe du star-system, les prétendus « sachants » devant éclairer tout le monde, sous les applaudissements admiratifs. C’est un malentendu : généralement il s’agit de professionnels d’une petite portion du sujet et ne donnant sur l’ensemble qu’un avis tenant de l’opinion personnelle, peu ou pas consolidée, en tout cas ne résistant pas au doute sceptique compétent (si les subalternes compétents n’ont pas tous été comme moi virés en tant que prétendus « fous »).
* : certes, si la mutation est un T devenu A dans le codon CGT (devenu CGA), des tables peuvent dire si c’est une « mutation silencieuse » (par exemple si CGT comme CGA désignent pareillement l’acide aminé Tryptophane) ou non, mais je ne pense pas que sur ce virus nouveau on connaisse les zones actives et les zones inactives, l’impact non-nul requérant à la fois mutation-non-silencieuse et zone-non-inactive ; de plus le caractère physiologiquement différent de la protéine complète (avec 2e tryptophane remplacé par une alanine, par exemple) est totalement inconnu avant des années d’études (éventuelles, rarement budgétées). Enfin, je signalerai (contrairement aux cours que j’ai reçus) que la table liant codons et acides aminés (comme CGT=CGA=tryptophane) est une généralisation inductive, logiquement invalide, ayant statut de théorie acceptée temporairement en attente de preuve du contraire. D’ailleurs, le même doute peut s’appliquer un cran en amont : entre la séquence brute TTACAGCGT… et le découpage en codons (de 3 lettres/nucléotides pour 1 acide aminé), l’interprétation emploie comme loi que tel codon est le codon stop, ce qui n’est pas une vérité universelle indubitable mais une croyance admise en attendant réfutation éventuelle.
   Bref, tout semble beaucoup plus douteux qu’annoncé doctement au nom de l’autorité (et de la compétence prétendue des médecins, idolâtrés).

* Ajout 56, 07/11/2020 (6h) : Faux et usage de faux
  Une amie a relayé sur Facebook un témoignage : « COLÈRE DE (…) "Une amie m'annonce le décès de sa maman, dame de 80 ans, décédée d'un cancer en phase terminale. Elle reçoit un certificat de décès par l'infirmier : CAUSE DÉCÈS COVID 19. Mon amie s'insurge : Ma maman est décédée des suites de son cancer. Réponse de l'infirmier embêté : On nous oblige à déclarer des cas "Covid 19". Pour les statistiques de l'état et pour obtenir des subventions. »
   Je ne garantis pas que c’est vrai plutôt qu’inventé, mais ça parait plausible, confirmant de multiples autres sources (pareillement un peu incertaines de mon point de vue). Tout ça commence à faire beaucoup de doutes, sur les chiffres prétendus « incontestables » pour fliquer la population et ruiner l’économie.

* Ajout 57, 09/11/2020 (4h) : Réinterprétation
   A la réflexion, je me disais que, puisque les autorités appellent « morts covid19 » (ou « morts liés à covid19 ») les morts qui se trouvent avoir une positivité au test covid19 (même sans pathologie/symptôme spécifique à covid19), cela signifie qu’il faut corriger le nombre de morts actuel (40.439 en France) par le taux de fausse positivité du test : environ 50%. Cela fait un nombre de décès de l’ordre de 20.000, bien moindre que certaines grippes annuelles récentes (35.000 morts en 1969, dit Wikipédia).
   Par ailleurs, dans le décompte catastrophiste actuellement pratiqué, le gouvernement fait la somme de ce qui est nommé première vague (hiver 2019-2020) et seconde vague (hiver 2020-2021). Si on avait fait pareil pour la grippe, on aurait immensément dépassé le nombre de morts actuel imputé à covid19 (en fait covid19 + covid20).
   Tout cela semble de la manipulation catastrophiste, exagérée et nullement objective (faux étant l’adage « les chiffres ne mentent pas ! » puisqu’il suffit de truquer le décompte au départ et les additions ensuite). Le but inavoué semble de « justifier » les mesures très sévères prises, liberticides et ruineuses, même infondées.

* Ajout 58, 09/11/2020 (5h) : Au cas où j’aie eu la maladie
   Le ministre de la santé français peste régulièrement contre la population qui ne respecte manifestement pas assez (selon lui) les commandements sanitaires « puisque » l’ampleur de la contamination covid19 va croissant. (Il ne lui vient pas à l’idée que pour affirmer cette relation de cause à effet, il faudrait logiquement un groupe témoin respectant bien les commandements et sans croissance de la contamination). Mais ces commandements me semblent mal conçus. Je m’explique.
   Ce ministre s’est rendu célèbre avec sa phrase tordue « les cas contacts de cas contacts ne sont pas des cas contacts », qui me semble sous-entendre plus grave : « les cas contacts de suspects covid19 ne sont pas suspects covid19 ». C’est prudent pour ne pas engendrer d’avalanche de suspicion, mais j’ai un doute.
   Au mois de Septembre 2020, j’ai ainsi été « cas suspect symptomatique » : un mercredi, j’ai eu le nez qui coule de plus en plus fréquemment (jusqu’à 30 mouchoirs par heure !) avec 39°C de fièvre puis immense fatigue grelottante. Autrefois, j’aurais attendu la suite sans affolement, mais là j’ai suivi les spots d’alerte télévisés et j’ai appelé mon médecin traitant, sa secrétaire me fixant rendez-vous au lendemain soir en consultation téléphonique (pour ne pas contaminer les patients en salle d’attente). Mais, en avance, il a appelé le lendemain matin et a posé le diagnostic confirmant « cas suspect covid19 », en me disant de prendre rendez-vous au laboratoire pour test. Et il m’a confirmé qu’il fallait attendre le résultat du test pour, uniquement en cas de positivité, déclarer « cas contact » ma femme et mon fils, en leur disant alors de ne plu’ aller travailler, pas avant résultat du test. Le laboratoire m’a donné ce rendez-vous le lendemain vendredi matin. Quand j’y suis allé vendredi, j’allais beaucoup mieux, sans nez qui coule ni fièvre ni fatigue, et il a fallu attendre le vendredi d’après (7 jours) pour obtenir le résultat : négatif. Mais… s’il avait été positif (9 jours après premiers symptômes, donc), j’aurais contaminé mes proches qui, asymptomatiques, auraient contaminé largement leur entourage de travail. C’est mal pensé, clairement. Et c’est la faute des organisateurs, pas de la population faisant docilement ce qu’on lui dit de faire.
   Si j’ai eu la maladie (hypothèse de faux négatif labo, ou prélèvement trop tard après phase contaminante), suis-je personnellement en faute de ne pas avoir suivi les commandements officiels ? Non : étant en invalidité, je ne sors pas de chez moi (sans masque) et il se trouve que je n’ai pas de contacts amicaux ni sortie sport/chien/cigarette ; simplement, mon épouse (femme de ménage chez de multiples particuliers) m’a raconté que chez un de ses employeurs du lundi, les petits enfants étaient malades cette semaine-là, elle portant le masque au travail mais pas les très jeunes enfants. Si elle a ainsi été contaminée (sans symptômes), elle m’aurait contaminé (avec symptômes, peu après) ainsi que notre fils (sans symptômes). Et même si mon test avait été positif, elle et notre fils auraient largement contaminé, à leur travail, leur entourage, pendant ces 11 jours. Sans que soit intervenue une alerte type « cas contact de suspect » = à isoler, avec arrêt de travail automatique – ce qui aurait réduit à 2 ou 3 jours initiaux le problème (jusqu’au contact du médecin).
   Le gouvernement pouvait-il prendre une telle mesure, accroissant très grandement le nombre de cas contacts ? Cela parait difficile après qu’ait été défini « cas suspect » tout et n’importe quoi, même anodin habituel (petite toux, petite fièvre, nez qui coule, petite fatigue, etc.). Le pays aurait été intégralement arrêté, y compris les soignants, les employés de commerce alimentaire, les éboueurs, etc. Pire encore que durant la crise de Mars à Mai. Cataclysme économique et sanitaire. [Ce n’est pas du tout la direction qui a été prise, au contraire, le re-confinement de Novembre imposant aux employés et écoliers/étudiants d’aller cette fois au travail].
   Tout cela pour quoi ? Pour une épidémie pas plus grave qu’une grippe saisonnière ? A mortalité très inférieure à 1% même avec l’aubaine de compter à tort « mort de cette maladie » quiconque décède, même d’autre chose, en étant positif au test – d’où invocation de fatalité grave évitant toute poursuite familiale des soignants. Cela me semble absurde, intégralement raté. Si arrive un jour une vraie pandémie très tueuse, il faudrait s’y prendre bien mieux pour éviter l’hécatombe, mais je n’entends nulle part (que chez moi) que les leçons ont bien été tirées, les erreurs reconnues et corrigées.

* Ajout 59, 11/11/2020 (7h) : Très bon vaccin en vue ?
  J’ai entendu hier aux informations qu’une des firmes candidates à la mise sur le marché d’un vaccin anti-covid19 vient de publier avoir 90% d’efficacité (sur un groupe de 38.000 patients dont moitié vaccinés, il y a eu 86 contaminés dans le groupe non vacciné et 8 dans le groupe vacciné), et à la question « vous ferez-vous vacciner tout de suite dès la sortie du vaccin ? », 61% des Français répondent Non, ce qui choque bien des commentateurs. Une nouvelle MSN (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/faut-il-rendre-le-futur-vaccin-anti-covid-obligatoire-le-d%C3%A9bat-relanc%C3%A9/ar-BB1aSzi6?ocid=msedgdhp ) envisage ainsi une vaccination décrétée obligatoire. Qu’est-ce que j’en pense ?
– Je doute du chiffre 90% annoncé. Avec les intervalles de confiance binomiaux, le chiffre central 90% est simplement entre 77% et 96% (avec risque 5%) ou entre 70% et 97% (avec risque 1%). Le pointage ponctuel 90% n’est pas solide et encore moins « prouvé scientifiquement donc incontestable ». (Et cela : à supposer que l’échantillon examiné soit représentatif de la population, ce qui n’est pas argumenté dans l’annonce grand-public.)
– Je doute de l’efficacité annoncée : à ce stade, le succès du vaccin vis-à-vis de versions mutées du virus semble inconnu, donc ses succès passés n’impliquent en rien un succès futur.
– Je doute de l’innocuité présupposée. Si ce vaccin s’avère toxique, comme celui de la dengue, le projet tombera à l’eau intégralement. De plus, habituellement, un vaccin est développé en 5 à 10 ans parait-il, et cette fois en 10 mois seulement, il semble impossible d’avoir instantanément mesuré les effets secondaires à long terme (genre sclérose en plaque à incubation de 3 ans, malformations congénitales avec enfant à retard mental dès 3 ans, etc.).
– Sur le principe, la « preuve d’innocuité » escomptée dans un avenir proche est une erreur logico-mathématique : ne pas voir de toxicité sur un échantillon ne garantit en rien une absence de toxicité sur la population, cet échantillon étant peut-être trop petit, ou avec trop peu de certaines catégories et sans les examiner séparément. « On n’a pas prouvé que c’est dangereux » vaut « absence de conclusion », et pas du tout « conclusion très positive » : « on a prouvé que ce n’est pas dangereux ». Certes, en étant logique on ne ferait plu’ rien, mais en principe, c’est une erreur, un abus de confiance, et la logique est du côté du doute sceptique. Il faudrait avoir l’honnêteté de répondre aux blablateux littéraires demandant « c’est prouvé bon ou c’est prouvé mauvais ?? » : « au vu d’un échantillon préalable, on pourra dire si c’est prouvé mauvais, on ne pourra jamais dire que c’est prouvé bon ».

* Ajout 60, 13/11/2020 (5h) : Article documenté concernant le vaccin
  Une nouvelle MSN/JDD détaille ce que je disais plus haut au sujet du vaccin Pfizer contre covid19 ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-pourquoi-les-fran%C3%A7ais-sont-si-r%C3%A9ticents-au-vaccin/ar-BB1aWZDC?ocid=msedgdhp ). Je le discute sur plusieurs points :
• « (…) les Français restent réticents à l'idée même de la vaccination. Selon un sondage ( …) ils ne sont que 54% à vouloir se faire vacciner si un vaccin était disponible (contre une moyenne de 73% tous pays confondus). (…) Par exemple, 35% d'entre eux disent craindre que les essais cliniques n'aient été faits trop rapidement, 32% s'interrogent sur d'éventuels effets secondaires, 13% mettent en avant une réticence aux vaccins de manière générale, 12% ont des doutes sur la réelle efficacité d'un tel vaccin… (…) »
--> Le public me parait sage, de douter, en proportion non négligeable. C’est un mouvement intellectuellement sain de résistance au faux savoir, à l’autorité abusive.
• « Ils ne seraient même qu'un sur deux à accepter de se faire vacciner et 60% s'opposent à ce que le vaccin soit rendu obligatoire, selon un sondage (…) C'est une réalité. »
--> Comme souvent, il est abusif d’affirmer que c’est une réalité sans avoir en rien évacué l’hypothèse du rêve (mien, présent).
• « Les études montrent que la France est l'un des pays les plus hostiles à la vaccination. (…) "En France, une personne sur trois n'est pas d'accord pour dire que les vaccins sont sûrs, le pourcentage le plus élevé de tous les pays du monde." (…) "Un certain nombre de scandales sanitaires ont affaibli la confiance des citoyens" (…) notamment ceux du Mediator, du sang contaminé, des soupçons de lien entre sclérose en plaques et vaccin contre l'hépatite B (un non-lieu a été rendu en mars 2016 après plus de 17 ans d'enquête) ou encore la campagne de vaccination massive contre la grippe A/H1N1 fin 2009. »
--> Effectivement, l’expérience de la tromperie tend à générer la méfiance, même sans philosophie sceptique élaborée.
• « "Il faudra des efforts de pédagogie à long terme pour contrecarrer cette défiance alimentée par des flots de fausses nouvelles" sur Internet (…) »
--> Je ne suis pas d’accord que cela relève de la pédagogie dans la mesure où il s’agit d’imposer avec autorité, en totale absence de preuves convaincantes indéniables (type raisonnement mathématique). Je considère l’endoctrinement comme intoxication pas comme enseignement.
• « En effet, la santé, et les vaccins donc, ne sont pas épargnés par les théories du complot. (…) »
--> Le label « théorie du complot » est une insulte cachant que le public a souvent raison de douter de la parole officielle, s’avérant souvent mensongère après coup. Certes, des délires peuvent être erronés, ce n’est pas l’hypothèse dite complotiste qui a automatiquement raison, mais le doute entre les deux parait sage (pour les intelligences critiques, même si les croyants gobent et suivent).
• « 33% des Français (…) Total D’accord/Ne sais pas : 11%/33% "Les vaccins envoyés en Afrique contiennent des substances qui rendent les femmes infertiles afin de lutter contre l’augmentation de la population" ; 33%/19% "Le ministère de la Santé est de mèche avec l’industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins" ; 25%/33% "Il existe un lien entre certaines maladies comme l’autisme ou la sclérose en plaques et la vaccination" ; 51%/23% "Il est prouvé que certains adjuvants trouvés dans les vaccins, comme l’aluminium, peuvent être très dangereux" (…) »
--> Effectivement, j’aurais choisi « Ne sais pas » sur tous ces sujets, ignorant tout des manigances éventuelles au niveau des décideurs clamant parfois des mensonges avec la main sur le cœur, tels que révélés par le scandale du Rainbow Warrior, de l’arme de destruction massive de Saddam Hussein, etc.
• « depuis le début de la pandémie de coronavirus, nous vivons une flambée de complotisme. (...) Cela s'ajoutant, à ses yeux, à une décrédibilisation de la parole publique, due entre autres à l'épisode des masques. (…) »
--> Effectivement, il est documenté que les autorités françaises ont menti (cette année dans l’affaire covid19), pour cacher qu’ils avaient jeté les stocks de masques, en affirmant que les masques ne servaient à rien… avant de les rendre obligatoires une fois réapprovisionnés.
• « La mémoire populaire a oublié les effets terribles des grandes pandémies" (…) Et les autorités concluaient : "Les efforts doivent être particulièrement soutenus pour atteindre l'objectif de couverture vaccinale de 95% fixé par l'OMS." (…) ».
--> Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un oubli mais d’une valeur devenue différente du ratio bénéfices/risques. Quand le risque est colossal, effectivement on peut (dans le doute) faire confiance au prétendu sauveur (médecin, chamane, Etat, OMS, etc.) et quand ce risque est moindre, l’intelligence critique prend le dessus. Je note au passage que l’OMS n’est pas spécialement compétent ni impartial, concernant les masques pour covid19 il a aussi affirmé tout puis son contraire, et des observateurs notent qu’avec l’ère Donald Trump aux USA (imposant retrait des organisations internationales), la domination étasunienne sur l’OMS a été remplacée par une domination chinoise, et dans les deux cas, il n’est pas du tout certain que le but soit l’intérêt général du monde entier.

* Ajout 61, 15/11/2020 (10h) : Persécution policière
  Hier ou avant-hier (ou dans mes rêves) j’ai entendu un journaliste rapportant (dans un débat) quelque chose l’ayant choqué : il disait avoir vu des policiers investir un supermarché alimentaire, pour contrôler que chaque client avait bien son attestation, et bien remplie. Clairement, ces gens n’étaient pas en faute, puisque venus à un magasin alimentaire, pas embrasser des amis ou faire la fête (risquant la vie d’autrui, selon les dires officiels), mais c’était une vérification de parfaite soumission aux injonctions administratives imposées. J’y vois du harcèlement autoritariste, en rien une mesure de santé raisonnable. Ça me conforte dans une mes analyses précédentes, sur l’oubli éventuel d’attestation.
  Une autre lecture serait qu’il s’agit de prétexte pour faire du fric via les amendes en masse (comme c’était dit l’an passé pour les radars de verbalisation routière multipliés, par pure coïncidence ?, juste au moment de la baisse commandée de vitesse automobile de 90 max à 80 max), mais je n’y crois pas trop dans le cas de cette attestation obligatoire, la crise covid19 ayant cette année conduit ce gouvernement à distribuer à la louche les milliards et dizaines de milliards supplémentaires de dépenses. Qui plus est, ces milliards dilapidés, comme « n’importe comment », sont entièrement à crédit, sans aucun planning de remboursement mentionné. Clairement, ce gouvernement ultra-dépensier ne fera pas des choses terribles envers les gens (au risque de sanction électorale en retour) pour quelques millions de moins dans le déficit public. Cela ruine tous les discours antérieurs sur les besoins d’équilibre financier dans les retraites, l’allocation chômage, la sécurité sociale, la SNCF, on verra après la crise sanitaire si une ébauche de cohérence émerge…
   Les informations citaient le nombre de contraventions en France pour manque d’attestation (quelque chose comme 100.000 par jour), sous un autre aspect que le volet de rentrées financières : affirmant que cela prouvait que les Français ne respectaient pas du tout assez les commandements de prudence sanitaire. C’est faux : oublier une attestation chez soi, voire oublier de la remplir, n’implique en rien de rien que c’est pour faire quelque chose de « mal » (plutôt qu’un geste autorisé, comme acheter des aliments ou emmener le chien crotter). C’est le terrorisme administratif et policier qui est très incomplet d’après ces chiffres-là, pas le respect des mesures de distanciation (peut-être parfait ou non, c’est un tout autre sujet). Mais la propagande règne, presque partout puisque l’anecdote des policiers « attaquant » le supermarché n’aurait pas dû être rapportée, si la censure était totale. Si le journaliste en question n’apparait plu’ jamais à l’écran, ce sera peut-être qu’il a été éliminé pour faute (prétendue)…

* Ajout 62, 17/11/2020 (12h) : Avis hétérodoxe contre le second confinement
   L’autre jour, j’ai entendu un extrait d’interview d’un médecin hospitalier disant qu’avec ce confinement autoritairement imposé, « on massacre un pays pour sauver 10.000 ou 30.000 vies ». Il était interviewé dans un débat aujourd’hui dans l’émission Morandini Live, il s’appelle Michaël Peyromaure, expliquant que les suicides et chagrins d’anciens et autres maladies moins traitées allaient causer plein de morts aussi, le ratio bénéfice/risque n’étant pas clairement favorable à cette mesure de confinement. Il s’est fait injurier/condamner par une politicienne LaREM et par un médecin catastrophiste, qui clamaient que le confinement sauve assurément donc le non-confinement tue assurément. Mais lui, me convainquant pleinement, disait ne pas savoir si le confinement sauve. L’autre débatteur (de RN ou LP ou LFD, j’ai oublié mais classé extrême-droite « donc » méchant populiste) allait en ce sens, signalant qu’en Suède les modélisations avaient garanti 100.000 morts en l’absence de confinement, et il n’y avait pas eu confinement, et seulement 5.000 morts (j’ajouterais : et avec baisse de l’épidémie vers le mois de Mai, comme en France où c’est prétendu « grâce au 1er confinement », « cause prouvée »). Non, ce n’est pas du tout convaincant. Le doute me parait plu’ sage, même s’il est insulté par les fanatiques aux commandes. L’opposant a dit un autre élément me semblant judicieux : s’il y a tant de morts c’est parce que ce gouvernement comme les précédents ont fait chuter très fort le nombre de lits en hôpitaux, ce n’est même pas la faute du virus… Le médecin orthodoxe ou la macronienne a aussi dit qu’il est très évident que si plu’ personne ne sort de chez soi, l’épidémie s’arrête, automatiquement, incontestablement, logiquement – l’émission était terminée mais moi j’aurais répondu : non, pas du tout, puisque les gens sortent pour acheter la baguette de pain quotidienne et faire les 2 pipis du chien ou le jogging, donc il est faux qu’en confinement même strict comme la 1e fois, plu’ personne ne sort (sauf en Chine dictatoriale peut-être, avec livraison des repas à domicile, imposés pas bons).
   Intéressant, ce débat, oui.

* Ajout 63, 18/11/2020 (4h) : « Faux + = arnaque du siècle » ?
  J’ai vu hier une nouvelle MSN disant (comme je le faisais au conditionnel) que cette histoire de covid19 est l’arnaque du siècle (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/peut-on-avoir-un-test-pcr-n%C3%A9gatif-le-lendemain-d-un-r%C3%A9sultat-positif/ar-BB1b5Bb9?ocid=msedgdhp ), mais l’argumentaire est totalement différent (du mien) : il émane d’une dame qui a été testé 2 fois à 1 jour d’intervalle, avec le premier test finalement sorti + et le second : négatif, elle en déduit que c’est « n’importe quoi, pas fiable du tout ».
   Je ne suis pas d’accord avec ce cri-là : seul le scientisme fanatique affirmant que « le résultat de test dit la vérité de la contamination » est là démenti ou mis en question. Mais ce n’est pas la totalité du sujet.
– Certes, il était (depuis le début) ridicule d’entendre des politiciens programmer un « passeport covid », papier obtenu après test négatif, « certifiant » qu’on n’a pas le virus. J’avais entendu dire que 50% des résultats + sont des faux + et 30% des résultats nég dont des faux nég, donc avoir un résultat + ne prouvait en rien qu’on était vraiment +, avoir un résultat nég ne prouvait en rien qu’on était vraiment nég, et deux tests pratiqués sur deux prélèvements à 30 secondes d’intervalle pouvaient donner + pour l’un et nég pour l’autre, c’était déjà connu, il ne fallait simplement pas l’oublier.
– Autre aspect, le projet de punir terriblement (10.000€ d’amende, = un an de travail au SMIC) quiconque sortirait de chez lui après avoir testé +, c’était une horrible injustice sachant que dans un cas sur 2, ce test + est un faux +.
– Autre volet encore : il ne sert à rien de clamer les gens criminels (de ne pas respecter les mesures d’isolement des contaminés) si 30% des tests nég sont faux neg donc vrais +, porteurs de virus : on laisse courir ces 30% qui vont contaminer, sans que rien d’interdit n’ait été commis, il ne faut pas s’étonner après que le nombre de cas flambe, et ça n’a rien à voir avec une indiscipline coupable des petites gens (injuriés/condamnés par les gouvernants, à tort).
  Donc oui, le sujet est grave, plein d’erreur et d’injustice (avec faute de raisonnement des scientistes croyant solidement aux résultats de tests), mais ce n’est pas nouveau, pas scandaleux en soi si l’incertitude dubitative était sagement admise depuis le début (au lieu de l’autoritarisme affirmatif des gouvernants). Cela dit, le scandale covid19 que je vois, moi, c’est qu’il est fait un million de fois davantage contre ce virus que les autres, anciens type grippe saisonnière, sans raison probante (ne serait-ce qu’au début quand les chiffres de morts étaient très inférieurs à la grippe, ou plus tard compte tenu des comptages faux par aubaine de décès non poursuivables car imputés à covid19).

* Ajout 64, 20/11/2020 (4h) : Maladie secondaire psychique ?
   La télévision, ces jours-ci, se félicite que les dirigeants aient enfin reconnu que le re-confinement (ou/et confinement initial) cause(nt) [hélas, attention] de la dépression, maladie psychique.
   Je ne suis pas d’accord (ni avec les gouvernants ni avec les journalistes et psychiatres qui les avaient précédés) : le confinement est désagréable spécifiquement pour les joyeux extravertis grégaires, alors ceux-ci ne sont pas contents mais plutôt abattus. J’appelle ça tristesse, qui est un état comme un autre, comme la joie ou la fatigue. Aucun rapport avec un microbe ou dérèglement neurochimique. La pauvreté est-elle une maladie ? S’agit-il de dire n’importe quoi au nom de l’empathie prétendument médicale ?
   Ça me confirme que les médecins et les gouvernants sont des nuls abusant de leur pouvoir pour dire des âneries.

* Ajout 65, 22/11/2020 (6h) : Parallèle semi-absurde
  Il commence à se répandre (dans les débats sur les chaînes de télévision) l’idée que je signalais depuis longtemps : les médecins français (filtrés par les officiels) déclarent à tort « tués par covid19 » les « personnes mortes d’autre chose tout en étant positives à covid19 », et ça continue...
  Pour montrer combien c’est absurde, je prendrai un équivalent caricatural : sur les 1600 personnes qui meurent chaque jour en France, plus de 700 sont tuées par la calvitie ! Bien plus grave que covid19 ! La preuve : plus de 700 personnes décédées (en hôpitaux, en Ehpad, chez elles) sont positives au test Calvitie. C’est la preuve !
  Quoi ? La calvitie n’est pas une maladie ? Plein de gens se portent très bien avec une calvitie ? Ben oui, c’est comme pour covid19 : on les appelle asymptomatiques, mais ça peut être très grave, surcharger les hôpitaux, alerte calvitie ! Générale ! Arrêtez tout ! Et versons des milliards à la recherche scientifique pour un vaccin (qui sera obligatoire) contre la calvitie ! (Et si nos experts reçoivent des généreux cadeaux de ces laboratoires, c’est une complète coïncidence, ça n’a rien à voir, maudits soient les complotistes-délirants, pléonasme !) Et tout chauve qui osera sortir de chez lui recevra une amende de 10.000€, 25 ans de prison en cas de récidive ! Nous sommes en guerre ! La calvitie est l’ennemi, tueur sournois, abominable !

  Non ? C’est idiot ? Ben oui, mais covid19 peut-être aussi.
  (Comment les chercheurs Chinois ont-ils prouvé que telle séquence ADN était la cause de mort chez leurs malades de Wuhan, parmi les milliers d’ADN non-humains trouvés chez les décédés ? Je n’y crois pas, jusqu’à solide preuve du contraire, le bla-bla de prétendus experts n’est pas crédible – cf. leurs va-et-vient n’importe comment sur l’utilité du masque, ça vaut invalidation de compétence prétendue et/ou d’honnêteté affirmée.)

* Ajout 66, 23/11/2020 (16h) : Lucides donc « complotistes » ?
  J’ai vu à la télévision un médecin expert se lamenter de la résistance populaire au vaccin covid19 (sauf obligation), il disait quelque chose comme : « actuellement le vaccin n’est pas encore prêt, mais dans 3 mois (1 an après découverte du virus) quand les autorités auront validé l’innocuité, prouvée par la Science, le refuser tiendra très clairement du complotisme absurde, délirant en imaginant que ce vaccin vous inocule des puces d’esclavage extraterrestre ou n’importe quoi ! Non, soyons raisonnables : avec pédagogie, il faut expliquer aux gens [stupides, mais il ne faut pas le dire à l’antenne] la vérité incontestable, scientifique ! ».
  Or ce raisonnement est faux, incompétent ou mensonger, et je vais le prouver, par 3 exemples imaginaires mais très possibles, et valant contrexemples invalidant la preuve prétendue :
A/ Ce vaccin tue en 3 mois 100% des hypertendus diabétiques en surpoids (et il y en avait 1/1 effectivement décédé dans le test de 10.000 personnes).
B/ Ce vaccin tue instantanément 100% des femmes chauves avec eczéma facial (et 37 autres sous-catégories pas encore identifiées dans la population).
C/ Ce vaccin tue 100% des vaccinés après 5 à 6 ans d’incubation.
  Explication de A : dans la population générale, le taux de décès spontané (ou pour raisons diverses) en 3 mois est de 0% à 0,05% (avec confiance > 99%) ; ce mort-ci était donc explicable comme mort spontané (sa mort était compatible avec l’hypothèse que ce soit une mort spontanée, même si ça ne prouve en rien que ce soit ce qui s’est passé). Après étude dite pharmacovigilance les prochaines années, la multiplication de cas semblables fera tester spécifiquement cette sous-population et montrera que 100% meurent de la vaccination, laquelle devra se voir complétée d’une contre-indication totale dans pareil cas. Mais… puisque ce cas avait été observé dans le test initial, pourquoi avoir dit prouvée l’innocuité du vaccin ? Par erreur méthodologique, confondant « possible » et « prouvé », c’est une faute lourde, d’illogisme scientifique/statistique usuel. Oui, les prétendus « sachants » affirment à tort, en routine, c’est leur métier (ce pour quoi ils sont payés, célébrés, diplômés, médiatisés, etc.).
  Explication de B : il y avait zéro cas de cette situation très spéciale, dans le test initial, donc cela n’a pas été observé. L’erreur a ici consisté à confondre « on n’a pas vu de problème » avec « il est prouvé qu’il n’y a pas de problème », principe des fausses validations industrielles par non-significativité, erreur logique mais avec statut officiel de vérité dominante, au plus grand bénéfice financier des industriels. Quand je le signalais à mon usine, encore et encore, on m’envoyait à l’infirmerie, pour « souffrance psychiatrique » (jusqu’à ce que je sois mis en invalidité psychiatrique)… En tout cas, la population suspectant ce genre de cas, chacun pouvant être concerné, a raison de se méfier, même si elle ne sait pas l’expliquer imparablement, ce que je fais ici. Après future étude de pharmacovigilance, pareillement, les experts dominants d’aujourd’hui pourront être prouvés en faute grave quand la population résistante avait raison sans savoir l’expliquer.
  Explication de C : le fait d’avoir réduit le développement de vaccin de 10 ans habituels à 1 an, c’est une prise de risque énorme, ne pas le reconnaître c’est cacher que la vaccination obligatoire sera(it) décrétée avant de mesurer la toxicité à moyen terme. Là encore, le choix au jugé de prétendus experts est une possibilité, qui peut avoir raison si personne n’en souffre, qui peut avoir tort si tout le monde est tué, ne pas l’avouer est se tromper (bêtement ou menteusement).

* Ajout 67, 29/11/2020 (5h) : Chiffres et vieille molécule
  La télévision signalait hier qu’en France le nombre de personnes tuées par la maladie covid19 vient de franchir le cap des 50.000, après avoir été longtemps en plateau vers 30.000. Cela justifie (semblait-il sous-entendu) toutes les mesures (liberticides ?) sévèrement imposées par le gouvernement pour limiter « cette très injuste hécatombe, fauchant autant d’innocentes victimes ».
- Réserve 1 : une amie a posté sur FaceBook le lien vers un article disant qu’une famille criait au scandale après le décès de leur grand-père attribué à covid19. Je n’ai pas pu lire l’article entier (n’étant pas abonné au journal quotidien en question) mais j’ai aperçu le texte résumé d’introduction. La famille se plaignait que ce décès (et combien d’autres ainsi ??) ait été attribué à covid19 sans que leur aïeul ait été testé (ni ait eu le moindre signe de maladie respiratoire). Et, effectivement, comme je le signalais depuis longtemps, les chiffres de décès covid19 semblent sciemment surestimés en interprétant la cause de décès marquée « X ou Y ou Z, voire covid19 » comme « prouvée due à covid19 ». Mensonge en bande organisée. Pourquoi ? A mon avis, c’est une manœuvre gouvernementale pour accuser terriblement quiconque s’opposerait aux sévères mesures prises : « Ces mesures sont prouvées sauver en grande partie, donc si vous vous y opposez vous êtes un tueur voulant décupler l’hécatombe, monstre ! ». C’est faux, rien n’est prouvé en relation de cause à effet, mais en tout cas une part de la (fausse) argumentation repose sur la dramatisation maximale avec énorme nombre de morts. Même si ce nombre est faussement diagnostiqué, c’est le pouvoir qui se réserve le monopole de son chiffrage.
- Réserve 2 : à supposer que 50.000 personnes en France aient effectivement été tuées par covid19, cela pourrait faire 50.000 familles qui l’an prochain portent plainte contre le ministre de la Santé (et le premier ministre, le Président de la république) pour assassinat. En effet, le professeur Raoult prétend depuis le début qu’il a la solution pour guérir cette maladie et pour très peu cher (hydroxy-chloroquine + azithromycine, administrées précocement avant aggravation), et cette solution a été interdite par le gouvernement, allant même jusqu’à enfreindre l’habituelle liberté médicale de prescrire. C’était suite à l’article dans la célèbre revue « The Lancet » démontrant que l’hydroxy-chloroquine est non seulement inefficace mais dangereuse pour les patients… et quand la crédibilité de cet article s’est effondrée, avec démonstration qu’il s’agissait d’un faux (d’où honteuses excuses publiques de la revue, discréditée), le ministère de la Santé français n’a nullement pris cela en compte pour restaurer le droit à la chloroquine, non. Les familles peuvent donc juger que cette décision injuste, confirmée sciemment, a tué, comme volontairement. Pourquoi les dirigeants ont-ils persisté dans cette voie (hors hypothèse dite « complotiste » qu’ils soient vendus à l’industrie pharmaceutique gagnant des milliards à vendre des molécules inefficaces très chères) ? A mon avis (humble, sans prétention scientifique au savoir psychologue expert), c’est une crise aiguë d’autoritarisme, une jouissance à écraser un contradicteur, célèbre mais méprisé par ceux ayant davantage de pouvoir que lui. En effet, le gouvernement Macron, prétendu ultralibéral, a clairement basculé dans le dirigisme féroce, ultra-dépensier et autoritaire. En termes d’autoritarisme, la « start-up nation » façon Silicon Valley étasunienne s’est muée en une sorte de rigide Union Soviétique (ou RDA), basé sur l’oppression policière de la population, à fonds illimités. Et donc, pour soigner une maladie, la décision incombe totalement aux politiciens dirigeants, nullement aux petits médecins en bas de l’échelle, experts ou pas peu importe…
  Quand l’histoire jugera, dans quelques années, peut-être que les « 50.000 morts malgré les excellentes mesures sanitaires prises avec grand courage politique » deviendront « zéro mort causé par ce virus, simple prétexte à défoulement de pulsions dictatoriales chez les dirigeants, ivresse du pouvoir » (« incroyablement non perçue à l’époque puisque réélection » ou bien « sévèrement sanctionnée à l’époque par score électoral ensuite minable sans réélection »).

* Ajout 68, 03/12/2020 (7h) : En forme d'aveu
  J’ai entendu hier à la télévision (dans un débat sur chaine C-News) un membre (brun barbu peu âgé) du parti au pouvoir récuser que la France était très mauvaise élève dans la gestion de la crise Covid19 avec 4 fois plus de morts que l’Allemagne, il répondait quelque chose comme « Non, on sait tous qu’ils ne comptent pas comme nous, les Allemands : là-bas les comorbidités ne sont pas comptées alors qu’elles le sont en France ! ». Bref, (je crois comprendre que) quand une personne très âgée diabétique hypertendue et positive au test Covid19 décède, la raison de décès est « vieillesse ou diabète ou autre » en Allemagne, « 100% Covid19 certain » en France… Oui, nos chiffres sont faux, biaisés, en vue de paniquer et faire gober les mesures les plus restrictives, les plus liberticides, c’est très moche, et aucunement crédible, mensonge d’Etat selon moi.

* Ajout 69, 04/12/2020 (12h) : Fausse étude « vaccins »
   Aujourd’hui à la télévision (émission Morandini Live), il a été discuté des propos pas rassurants de « Monsieur Vaccin » du gouvernement hier (disant qu’on n’avait pas les données au-delà du courrier publicitaire des fabricants, en efficacité, et rien du tout en toxicité, en interruption de transmission). Ce qui a été discuté notamment est le fait qu’en premier seront en France vaccinés les anciens (choix arrêté du gouvernement, programmé) alors que les anciens ne sont pas inclus dans les tests de validation, pour raison inconnue de tous les débatteurs (si ce n’est que l’on pense que cela marche moins bien chez les anciens, donc ne pas les inclure allait maximiser les chiffres d’efficacité, avant d’en extrapoler une vraisemblable efficacité chez les anciens aussi).
   Je vois un autre biais possible, expliquant cette stratégie : puisque les anciens continueront à mourir en masse de vieillesse, prétendue mort covid19, même après vaccination, cela ruinerait non seulement le projet de vaccination mais aussi la gestion entière (alarmiste au « bénéfice » du doute) de la pseudo-crise covid19. Alors chut, on truque le protocole pour cacher le problème, c’est simplement une honte.

* Ajout 70, 04/12/2020 (14h) : Une dame passionnante à qui je dis merci
   J’avais aperçu l’autre jour à la télévision (émission Morandini Live ?) une débatteuse très intéressante, disant des éléments scientifiques dérangeants pour le pouvoir, au sujet des vaccins. Mais je n’avais pas noté son nom, ni les détails. Elle était réinvitée aujourd’hui (émission Midi News ?) et s’appelle Alexandra Henrion-Caude, généticienne. Ce qu’elle dit est passionnant (hélas car ce n’est pas joli enthousiasmant) :
1/ Les tests de phase III des vaccins (finale pour validation) ne s’intéressent ni à létalité de la maladie, ni au taux d’hospitalisation ou de réanimation, ni à la transmission ou non du virus, mais exclusivement à la production d’anticorps [qu’ils soient efficaces ou pas, à court ou long terme].
2/ Il est estimé entre 2,8% (vaccin Pfizer) et 10% (vaccin Moderna), le taux d’effet secondaire maux de tête grade 3, ce qui signifie « si fort qu’il faut arrêt de travail ». [Si 15 millions de personnes sont vaccinées, cela pourrait rendre handicapées plus d’un million de personnes.]
3/ Les tests n’incluent pas de groupe « avec comorbidité », ce qui est pourtant le public cible du gouvernement français vaccineur étape 2 (après les anciens). [L’explication me semble comme pour les anciens : puisque leurs décès sont faussement imputés à covid19, la vaccination n’aura sur eux absolument aucun effet évitant le décès, et le fabricant veut cacher que covid19 est une fausse maladie, donc il n’inclut pas ce groupe. Enfin, le point 1 ayant dit que ce n’est pas la létalité qui est mesurée, cela met en question mon interprétation, comme pour les anciens dans mon ajout 69. Toutefois, je pense que la logique pourrait être celle-ci : le fabricant pourrait inclure ce sous-groupe sans problème, et il observerait bien les anticorps escomptés, d’où acceptation officielle prétendue validante, mais après vaccination… la mortalité inchangée des personnes à comorbidité aboutirait à une accusation de scandale, et les fabricants ont tout intérêt à pouvoir répondre : « on n’avait pas testé sur les gens à comorbidité, on ne garantissait aucunement que ça les sauverait, prenez-vous en aux valideurs ! ».]
   Comment gagner des milliards € par le mensonge en bande organisée ? Réponse actuelle : le vaccin covid19, oui, ça devient de plus en plus clair.

* Ajout 71, 05/12/2020 (6h) : Mépris croisés
   Hier ou avant-hier, j’ai été frappé désagréablement par un mot du journaliste (socialiste ?) Laurent Joffrin, à la télévision (C-News ?), disant qu’avec plus de 50% de français hostiles à se faire vacciner, il était très choqué, par cette absence de rationalité, requérant encore des tonnes de pédagogie. Auncun débatteur ne l'a contredit à ce sujet-là.
   Je suis en total désaccord, et je répondrais « ce qui me choque, moi, c’est l’absence de rationalité chez ceux prétendant à la rationalité pour faire gober l’arbitraire pro-vaccin sans réfléchir, en prétendant à la pédagogie pour imposer par autorité parachutée. »
   Là où ce mauvais journaliste (et presque tous les professeurs et politiciens etc.) se trompe, c’est que la rationalité ne dirige pas vers la Science (l’esprit cartésien est une escroquerie, j’ai démonté René Descartes par la logique) mais relativise la science comme une modalité facultative du N’importe-quoi général. Le bon sens populaire a raison de résister à cet abus de pouvoir, même s’il ne sait pas casser avec arguments le bla-bla écraseur trompeur (simplement vu comme « très suspect », à raison).

* Ajout 72, 13/12/2020 (18h) : Mise en danger de la vie ?
   J’ai entendu cette après-midi sur chaine télévisée LCI un point étonnant : malgré le confinement imposé par les autorités, des gens ont organisé 3 fêtes rassemblant une centaine de personnes sans masque, et ils ont aussitôt été interpellés pour « mise en danger de la vie d’autrui »…
   Effectivement, la probabilité que sur les 100 personnes au moins 1 soit positive asymptomatique n’est pas nulle, peut-être 3%. En comptant la proportion de faux positif ça tombe à 1,5% et en comptant la période contaminante : 0,15%. Que cette personne ait été plus de 15 minutes au contact d’autre n’est pas impossible (mais pas certain), ce qui fait tomber la probabilité à quelque chose comme 0,05%, et que cette personne contaminée ne soit pas asymptomatique : 0,02%, qu’elle soit hospitalisée 0,002%, qu’elle passe en réanimation 0,0005%, qu’elle décède 0,0002%, quelque chose comme ça. Effectivement ce n’est pas zéro mais… on nous clame que le risque zéro n’existe pas, alors en quoi est-ce criminel tueur à pourchasser ?
   Quand, revenant de vacances, j’allume mon boîtier électrique, le risque n’est pas nul que quelqu’un s’électrocute chez moi dans l’année à venir, est-ce donc pourchassable pour mise en danger de la vie d’autrui ? Quelqu’un conduisant une voiture dans laquelle il a fait monter sa famille risque d’en tuer une partie en cas d’accident, avec risque non nul, faut-il donc le mettre en prison pour « mise en danger de la vie d’autrui » ?? Comme d’habitude, le « principe de précaution » s’avère une supercherie, signifiant qu’au nom du risque, les gouvernants s’autorisent à décider n’importe quoi n’importe comment, sans logique aucune, hop il suffit d’invoquer un « risque » et ça les autorise à tout, toutes les incohérences, oui.
   Dans le même journal de nouvelles, un médecin était interviewé en lui montrant des images de quais RER bondés en sous-sol clos et de wagons RER bondés aussi (bien plus bondés que les cinémas, musées, etc. interdits d’ouverture malgré leurs hurlements de protestation). Et il reconnaissait qu’il y a là un risque majeur de contamination. Alors, les gouvernants qui ont décidé, dans le second confinement covid19, d’imposer la continuation du travail, avec déplacement pour ceux ne pouvant télétravailler du fait de l’activité exercée (éboueurs, femmes de ménage, caissières, etc.), ces gouvernants ont sciemment mis en danger la vie d’autrui : hop en prison ! Mais non, pas du tout : les gouvernants ont tous les droits, ce sont eux qui décident de persécuter la population comme bon leur semble (sans aucun besoin de cohérence rationnelle), interdit d’envisager la réciproque. « L’autorité doit primer » nous dit-on (comme sous Franco Hitler Staline Mao etc ?). Et les enfants doivent absolument aller à l’école de la république, pour bien ingurgiter que la populace n’a aucun droit et les élus ont tous les droits (entre deux élections, avant d’être virés comme d’habitude). Ce n’est pas une démocratie mais une république, ce n’est jamais dit ainsi, il est menteusement clamé par tous les politiciens et journalistes que la république est une démocratie, ce qui est faux, puisqu’entre les mains de faux représentants du peuple (ayant ainsi trahi sciemment le référendum contre l’Europe). Et ce n’est pas une Elite du tout, mais domination de très stupides et/ou très menteurs, nuls à résoudre les problèmes.

* Ajout 73, 14/12/2020 (5h) : Inefficacité sur anciens
   Hier ou avant-hier, la télévision annonçait avec grand regret que le vaccin français anticovid19, de l’entreprise Sanofi (ex-Sanofi-Pasteur, ex Pasteur-Mérieux ?), était repoussé d’un an, pour « manque d’efficacité sur les personnes âgées ».
   Au contraire, je trouve que c’est là un louable élément d’honnêteté, très inhabituelle, prenant en compte les problèmes au lieu de foncer dans la course au fric. Si cette entreprise avait fait comme les Etasuniens Pfizer et Moderna, elle aurait exclu les anciens des tests, et que ceux-ci continuent à mourir de vieillesse ne serait pas pris en compte comme preuve que le vaccin ne sert à rien (ou/et que la maladie covid19 est un mensonge, une escroquerie en bande organisée).
   Comme d’habitude hélas, ceux qui obtiendront le succès hyper-friqué seront vraisemblablement les menteurs manœuvriers, avec complicités très multiples parmi ceux disant (à tort) incarner l’autorité objective.

* Ajout 74, 16/12/2020 (18h) : Fausse prédiction auto-réalisante
  Je lis ce jour une nouvelle MSN navrante (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/nous-sommes-en-guerre-macron-dit-avoir-voulu-cr%C3%A9er-un-%C3%A9lectrochoc-avec-cette-expression/ar-BB1bYQt8?ocid=msedgdhp) avec notamment cette phrase, du président Macron justifiant avoir dit que nous étions en guerre contre ce virus : « on se rendra compte que les conséquences économiques, sociales, psychologiques seront équivalentes à celles d'une guerre. Déjà, la récession de 2020 est la plus forte depuis la Seconde Guerre mondiale ».
  Or, ce n’est absolument pas ce virus qui a fait de tels dégâts mais les mesures gouvernementales (ici et ailleurs) en prétendant le combattre, en bloquant tout, avec immenses dégâts, prétendus justifiés mais ce n’est pas du tout prouvé. Il n’y a rien de grandiose admirable à avoir ainsi tout cassé, et qu’il l’ait annoncé comme projet me parait davantage coupable que bien-fondé avec jugement a posteriori. Les gouvernants avaient le pouvoir de tout casser, et ils l’ont utilisé, cela ne prouve en rien qu’ils ont eu raison de ce faire.

* Ajout 75, 18/12/2020 (9h) : Mensonge demi-avoué
  J’ai entendu aujourd’hui sur chaine LCI (émission « La Matinale ») un élément intéressant, un médecin disant qu’il y avait eu durant l’hiver 2018-2019 une grippe qui avait déjà fait 8.000 morts en Mars 2019, quand on a commencé à parler de covid19, et on a compté zéro mort de grippe dès lors.
  Hum, il parait très clair que, plutôt, les morts de la grippe continuante ont été à tort attribués à covid19. Du moins selon la logique française officielle : « décès peut-être dû à covid19, donc compté ʺ(indéniablement) lié à covid19ʺ ». C’est simplement du faux et usage de faux, prétendu scientifique à tort, en plus d’être immoral en soi, mensonger, affolant pour des raisons cachées.

* Ajout 76, 20/12/2020 (13h) : Injustice criante
   Le président Macron ayant été trouvé positif à Covid19, avec petite fièvre et petite fatigue (moins sérieux qu’une grippe normale), un avocat (interviewé sur chaine LCI) a hier porté plainte contre lui (à la demande de restaurateurs et autres victimes du pouvoir), car le président n’a pas respecté les gestes barrière, le couvre-feu, et le maximum de 6 convives à table, imposés à tous (et théoriquement pas seulement aux petites gens, « roi » exempté). La plainte porte « classiquement » (abusivement selon moi) sur « mise en danger de la vie d’autrui » (cf ajout 72), comme cela est adressé aux « gens d’en bas », mais là la réponse des supporters du président a été : « pas du tout : manger à 12 à table, à des heures hors couvre-feu, n’est en rien une volonté délibérée de menacer la vie des gens ». Oui, mais c’est pareil pour l’organisateur de soirée dansante avec 100 personnes, ça ne visait nullement à les tuer.
   « Deux poids deux mesures », « faites ce que je dis et pas ce que je fais », « la justice sera différente selon que tu es puissant ou misérable », ce gouvernement et ses supporters me semblent bien incarner l’immoralité la plus absolue.

* Ajout 77, 21/12/2020 (10h) : Question de mesure ultérieure
   J’ai entendu dans un débat télévisé que des interviewés espèrent que le vaccin anticovid19 sera un succès en efficacité (confirmant le slogan commercial de 90% de protection ?).
   Mais je me demandais : si le vaccin anti-covid19 prévient simplement la positivité au test covid19, est-ce qu’on ne clamera pas (dans 6 mois ou 1 an) que le vaccin a vaincu covid19, car zéro mort covid19 parmi les vaccinés (youpi ! bravo !), même s’il y a exactement la même mortalité parmi les vaccinés que parmi les non-vaccinés ? Bref, cela ne serait en rien efficace à diminuer la mortalité, cela ne supprimerait que le classement en « dû à covid19 » de très nombreuses morts naturelles (vieillesse, diverses morbidités).

* Ajout 78, 25/12/2020 (9h) : Mensonge de Noël
   J’entends ce jour, aux informations LCI, un gros mensonge, habituel et conforme à la parole publique mais je veille. Il est dit « des milliers de patients continuent à être hospitalisés à cause du covid19 ». C’est totalement faux : ces gens sont hospitalisés pour divers symptômes, pas du tout spécifiques à covid19, et comme leur test dit covid19 est positif, ils sont appelés « malades covid19 », même si ce virus ne produit peut-être chez eux aucun symptôme (comme chez la majorité des dits « asymptomatiques ») et que leurs symptômes viennent dans ce cas d’autre chose (vieillesse, grippe, diabète, fragilité hivernale, etc.). C’est un énorme mensonge, que commettent les autorités super-stupides ou super-menteuses, et que relaient benoitement les journalistes.
   Normalement, cela devrait éclater au grand jour quand la vaccination échouera à faire baisser la mortalité, mais je pense que ce sera stratégiquement caché : du moment que la vaccination « protège » du résultat positif covid19, le nombre de morts covid19 va s’effondrer (succès éclatant !) même si le nombre de morts totaux est totalement inchangé (totale absence de succès). L’escroquerie sera parachevée, prétendant à tort à la crédibilité prouvée. La logique casse tout à leur arnaque organisée, mais puisque les menteurs clament incarner la rationalité, hop, ça passe inaperçu (hors d’Internet).

* Ajout 79, 27/12/2020 (14h) : Asymétries + que suspectes
   Aujourd’hui, sur chaine télévisée C-News, une docteure (Dr Milhau) répondait à toutes les inquiétudes concernant le vaccin, pour rassurer. Parmi 15 à 50 points pas convaincants du tout (si on refuse l’argument d’autorité), j’en note 2 :
1/ Si des vaccinés sont très malades ou décèdent, il ne sera bien sûr pas conclu que le vaccin est dangereux à stopper et interdire immédiatement. En effet, tout le monde sait bien qu’il y a quantité de maladies et décès spontanés, et il sera très méticuleusement vérifié si est prouvée la relation de cause à effet entre vaccination et décès. Si ce n’est pas ainsi prouvé catégoriquement, la vaccination continuera évidemment, confirmée sûre.
2/ Il est prouvé que les vaccins Pfizer et Moderna étant de l’ARN (n’allant jamais dans le noyau des cellules), cela n’a absolument rien à voir avec l’ADN de nos gênes (dans le noyau, strictement), donc il n’y a absolument aucun risque qu’un morceau de cet ARN aille se mélanger à notre ADN pour faire de nous des OGM (organismes génétiquement modifiés) avec conséquences graves possibles, non pas du tout, c’est prouvé ! L’ARN messager est connu depuis 20 ans et on sait très bien ce qui se passe.
   C’est simplement faux, mal pensé. Je réponds :
1/ Il est légitime d’exiger cette relation de cause à effet prouvée, entièrement d’accord, mais alors j’exige strictement la même relation prouvée avant de décréter un « mort dû à covid19 ». Mais… oh là là, non, catastrophe absolue, le nombre de « tués par la covid19 » serait divisé par 3 comme en Allemagne en éliminant les comorbidités d’abord, voire réduit encore de 90% ou 100%, la positivité du test covid19 ne prouvant absolument en rien que c’est ce qui a tué ou même rendu malade. Les autres années, il y avait des morts en réanimation, des morts par insuffisances respiratoires, sans covid19, cette année une coïncidence a parfaitement pu être lue (à tort) comme relation de cause à effet. Si on exige la preuve (symétriquement comme pour le vaccin), tout peut s’effondrer ! Avec condamnation des politiciens ayant ruiné l’économie, surendetté les générations futures et policé avec frénésie les citoyens gendarmés pour rien, gouvernants et opposants ayant été complices sur ce sujet. La république peut (à raison) s’effondrer, ici et dans tout l'Occident, fin de civilisation républicaine, révolution plus sérieuse encore que 1789. Ce n’est même pas du complotisme de l’envisager, mais une immense bêtise des scientistes majoritaires parmi les incompétents en logique et philosophie des sciences, que sont tous les politiciens, apparemment, « beaux-parleurs » à tête vide, crasse.
2/ Dès 1981 à l’université, immensément avant l’an 2000 de 20 ans en arrière, on m’a enseigné l’ARN messager, et pas comme une nouveauté mais comme quelque chose de naturel depuis que la vie est apparue, et connu depuis de nombreuses décennies. Et, normalement, dans le noyau l’ADN génère de l’ARN messager (par enzyme transcriptase) qui est transféré hors noyau, pour générer des protéines avec ARN ribosomal et ARN de transfert crois-je me souvenir, mais le contraire est possible : une enzyme appelée transcriptase reverse transforme l’ARN en ADN, qui peut migrer dans le noyau. Et on apprend pareillement qu’une partie de l’ADN humain normal est d’origine virale, et pas seulement je crois de virus à ADN, puisque la transcriptase reverse assure l’échange en sens inverse depuis ARN. Ce n’est pas du tout que c’est prouvé impossible par la Science, c’est le contraire, c’est dit prouvé comme survenu de manière multiple, certes pas forcément systématique mais absolument pas impossible.
   Bref, cette docteure très forte en récitation (diplômée pour cela) est nulle en logique, sa parole prétendue énoncer le vrai est un mensonge, une part du grand mensonge ambiant.

* Ajout 80, 28/12/2020 (6h) : Autre version de l’erreur habituelle
   Je lis ce matin une nouvelle MSN/JDD frappante : « Vaccin contre le Covid-19 : ce qui est sûr, ce qui fait encore débat » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/vaccin-contre-le-covid-19-ce-qui-est-s%C3%BBr-ce-qui-fait-encore-d%C3%A9bat/ar-BB1cgm7f?ocid=msedgdhp) dont je pressentais que ce qui est affirmé sûr est simplement cru par des autorités prétendues scientifiques, et nullement prouvé (donc le débat est là dit à tort « clos » sur cela). J’examine le texte :
• « Alors que les injections du vaccin à ARN messager (ARNm) de Pfizer-BioNTech commencent dimanche, de nombreuses interrogations se font jour dans la population. Chez les scientifiques, par contre, l'optimisme est de rigueur, car le produit affiche une efficacité XXL, à 95%. »
--> C’est faux : il s’agit des scientifiques ayant la parole publique, exclusivement : les scientifiques qui doutent, comme moi et d’autres, ne sont absolument pas comptés. Mensonge, stratégie de désinformation active (propagande), horrible (ou prétendument « pour la bonne cause », « la fin justifie les moyens, mensonge compris »). Par ailleurs l’affichage de 95% en efficacité est du boniment commercial, en rien une donnée solide en débat contradictoire (sur quelle population testée ? à quel moment ? avec quel intervalle de confiance avec quelles présuppositions ? etc.). La crédulité vis-à-vis des marchands n’est en rien de rien une attitude scientifique, même si elle peut toucher certains scientifiques comme certains non-scientifiques.
• « c'est une victoire contre le coronavirus et un progrès scientifique »
--> C’est faux : la victoire (même de simple bataille) n’est nullement acquise à ce jour, et il s’agirait de progrès technique non scientifique (ici découverte de zéro loi de la nature). Le mot de « victoire » renvoie par ailleurs au mot présidentiel « nous sommes en guerre », qui est peut-être une farce vis-à-vis d’une fausse maladie (tuant les gens à l’âge normal par mort de vieillesse, servant d’excuse pour que ne soient pas poursuivis comme autrefois au titre de la « mort suspecte » les équipes médicales possiblement fautives, etc.).
• « Sera-t-il efficace chez les personnes âgées ? Le système immunitaire vieillit et les essais cliniques n'ont pas inclus de volontaires très âgés, mais il est fort probable que le sérum soit protecteur même chez des octo- ou nonagénaires. »
--> Où est le calcul de probabilité établissant cela ? Non, il est ici parlé de « fort probable » au doigt mouillé, comme un « n’importe quoi » cru « n’importe comment », et de la part de quelqu’un ayant autorité c’est prétendu avoir du poids, c’est faux. Qui plus est, ne pas avoir inclus dans l’essai le principal public cible indique tout au contraire que la stratégie de test a été aberrante, pour quelle raison ? Le vieillissement du système immunitaire l’explique : si le test avait été fait correctement, il aurait pu échouer, alors menteusement le public choisi a été biaisé. Cela relève de la fraude scientifique pas de la confiance scientifique (au contraire, ça déjuge la prétendue science, ruine sa crédibilité).
• « son efficacité dépasse 90% dans tous les groupes d'âge »
--> C’est faux : ce n’est en rien une mesure moyenne consolidée mais une estimation unique, à un moment donné, peut-être périmée avec les formes du virus actuel, partiellement muté. Le pouvoir prédictif de ce chiffrage est nul. On apprend ça comme base élémentaire en fac de sciences (première année, premier trimestre, pour débutants un peu nuls) : « pour escompter chiffrer une population (type passé-présent-futur), il faut de multiples mesures, dont on tire un écart-type, des modélisations (incertaines, arbitraires, douteuses) en estimant alors l’intervalle de confiance dans la population ; au contraire : avec une mesure unique, on n’a pas d’écart-type, pas de prévision, aucune, zéro, on n’a qu’une vague estimation à crédibilité inconnue, à confiance absolument pas chiffrable. »
• « L'efficacité sera peut-être un peu moins bonne chez des personnes très âgées qui ont une altération de la réponse immunitaire »
--> C’est un avis de croyant. Ce qu’il aurait convenu de dire, c’est « puisque ce n’a pas été testé sur cette classe-là, l’efficacité pourrait aussi être beaucoup moins bonne, voire nulle, voire négative (avec caractère dangereux, même). » Mais non, quelqu’un en blouse blanche croit, alors ça vaut « certitude de la science », c’est simplement très idiot, crédule, anti-scientifique.
• « Comment seront repérés d'éventuels nouveaux effets secondaires ? L'essai clinique mené par Pfizer-BioNTech a écarté tout risque sérieux. "Il y a quelques petits effets secondaires très limités [rougeurs, maux de tête], mais la tolérance est bonne" (…) Lorsqu'on administre un vaccin à des millions de personnes, des effets secondaires plus rares peuvent cependant apparaître. Pour les traquer, le dispositif de pharmacovigilance habituel a été renforcé. »
--> Non, tout risque sérieux n’a aucunement été écarté car les chapitres effet cancérigène, effet sur la descendance etc. n’ont nullement été examinés, même le simple effet létal a moyen et long terme n’a nullement été abordé puisque la conclusion est précipitée, pour prendre le marché, faire du fric, au nom de l’urgence sanitaire (prétendue). Et ça n’a absolument aucun rapport avec l’effectif de l’échantillon en question : 100% des 40,000 testés au départ peuvent décéder 3 ans après l’injection, aucun besoin de passer à des millions de personnes pour qu’apparaissent des problèmes graves. Affirmer n’importe quoi sans avoir réfléchi n’est pas « scientifique parce qu’on porte une blouse blanche (et qu’on est diplômé docteur, en récitation) ». La journaliste est clairement incompétente, peut-être littéraire (blablateuse autosatisfaite), mais les autorités poussant en ce sens sont clairement criminelles contre l’intelligence critique.
• « Le variant anglais du Sars-CoV-2 rendra-t-il les injections moins efficaces ? (…) D'après des études britanniques, le nouveau variant est plus contagieux. Mais cela fait encore débat au sein de la communauté scientifique internationale. »
--> Ça ne répond pas à la question : qu’il soit ou non davantage contagieux, c’est une question indépendante (« oubliée » ?) du fait qu’il soit ou non résistant aux anticorps générés (parait-il) par le vaccin.
• « À ce stade, rien ne démontre que le VOC 202012/01 ou qu'un autre variant circulant actuellement en Afrique du Sud, le 501.V2, entraînent des formes plus graves de la maladie. Et une résistance de ces souches au vaccin n'est pas, pour l'instant, l'hypothèse la plus probable. "La recherche vaccinale a certes été faite avant l'émergence des mutants, explique-t-on à la Direction générale de la santé, mais les experts estiment que [le vaccin reste] efficace. On aura [bientôt] des éléments très concrets d'efficacité en Angleterre [où la vaccination est déjà massive]." »
--> « Rien ne démontre » est un très grave indice de malhonnêteté industrielle courante, que j’ai connue à mon travail, qui m’a choqué et qui m’a fait mettre en invalidité psychiatrique pour « inconfort », hum, oui : inconfort à me taire en étant acheté par mon salaire pour ne pas révéler les escroqueries pratiquées. En détail : "Rien ne démontre que c’est mauvais, point final, victoire !" mais rien ne démontre non plu’ que c’est bon, donc la vraie conclusion n’est nullement victorieuse (bien que validée par les autorités, incompétentes ou achetées par corruption) mais « on ne sait rien ». Ah oui, mais ça embarrasserait les laboratoires et les autorités, alors chut, ou plutôt le grand cri « victoire » ! simplement malhonnête. Quant au mot « les experts estiment », cela relève du star-system, le public étant invité à suivre la croyance des stars, quand bien même ce serait une croyance totalement infondée, non confrontée à la critique.
• « Le vaccin protège-t-il aussi contre la transmission du Sars-CoV-2 ? C'est la question qui anime tous les spécialistes, car un vaccin efficace contre la transmission du virus Sars-CoV-2 permettrait d'enrayer l'épidémie et pas seulement de protéger les personnes fragiles de la maladie Covid-19. Comme les essais cliniques n'ont pas été conçus pour déterminer si le sérum empêche la transmission du virus, il faudra attendre d'avoir glané des données épidémiologiques chez les gens vaccinés. »
--> S’il manque aux essais l’essentiel (le slogan public étant « faites vous vacciner, pas tant pour vous-mêmes mais surtout pour les autres ! »), c’est que ces essais ont été mal conçus, leur projet aurait donc dû être refusé en l’état, pourquoi cela n’a-t-il pas été le cas ? Faire vite n’empêche en rien de faire bien. Mais certes, ça risquait d’échouer, alors un biais a été choisi, ça signe simplement un projet d’escroquerie en bande organisée. Ce n’est pas de la science mais du commerce, un peu menteur c’est comme ça que fonctionne le commerce (à la question « pourquoi est-ce si cher ? » on ne répond évidemment jamais la vérité : « pour me mettre plein de bénéfice dans la poche à vos dépens, pigeon ! »).
• « L'impact de la vaccination sur le risque de transmission est ce qui nous manque le plus dans les données actuelles, (…) Du coup, il [est] important de maintenir l'ensemble des gestes barrière et la distanciation sociale chez les personnes vaccinées. »
--> Cela dément simplement le propos officiel « grâce à la vaccination (si la population coopère avec raison), on pourra très bientôt revenir au monde d’avant ». Puisque tel était le but officiel, pourquoi ne pas l’avoir mis en requête numéro 1 des essais ? Ça me parait clair : ça aurait risqué d’échouer, donc non, ne pas l’examiner. Le but n’est en rien de servir la santé publique (ou même la réélection des politiciens aux commandes) mais de faire du fric sans se poser de questions gênantes pouvant faire capoter ce projet très intéressé, milliards de dollars, euros, etc.
• « parce qu'on entend tellement de contre-vérités à la télévision et qu'on en lit tellement sur Facebook »
--> Peut-être qu’il y a des affirmations aberrantes (vaccin pour esclavage au service des extraterrestres pédophiles sataniques, etc.) mais j’entends des autorités aussi tellement de contre-vérités que ça ruine cet avis orienté.
• « Mais surtout pour montrer l'exemple à mes patients âgés, pour leur dire qu'ils ne doivent pas avoir peur d'un produit qui donne des résultats aussi remarquables. »
--> C’est le même biais que précédemment : dénier « il faut avoir peur » n’est en rien prouver « il faut ne pas avoir peur ». La situation est « on n’en sait rien, quant à la non-toxicité du vaccin à moyen et long terme, donc on peut légitimement hésiter entre peur, non-peur, doute (ne pas savoir conduisant normalement au doute mais une croyance dans un sens ou l’autre est possible) ». Affirmer qu’il faut l’un des 3 est simplement un mensonge, illogique (et anti-scientifique, même s’il émane de mauvais scientifiques, certes hautement diplômés et très médiatisés, très riches, décorés). Par ailleurs, il est faux d'affirmer que les résultats sont remarquables car il ne s'agit absolument pas de résultats finaux après vérification de non-toxicité à long terme, il aurait fallu dire "les résultats préliminaires (jusqu'ici), sans rien garantir des résultats à terme".
• « La vaccination massive de 500.000 Britanniques et de 1 million d'Américains confirme que "c'est sans danger", souligne-t-il, rappelant que "le vaccin est notre seul outil pour venir à bout de ce virus qui a tué de nombreux patients – dont près de 15% des résidents des Ehpad". Dans son hôpital, "la situation reste tendue, le nombre de malades pris en charge ne baisse plus". Sans le vaccin, conclut-il, "on court à la catastrophe". »
--> C’est faux. La vaccination très récente de masses anglo-saxonnes ne confirme rien de rien quant à l’absence de danger à moyen ou long terme, seul le danger à très court terme étant actuellement examinable. Quant à affirmer que ce virus a tué, je n’en ai jamais vu la preuve nulle part, qu’une affirmation parachutée au nom de l’autorité. Que des gens meurent, cela arrivait avant ce virus, et rien à ma connaissance ne prouve que les nouvelles morts soient causées par ce virus (si en Ehpad, il y a 15% de morts de vieillesse, ça peut s’avérer très habituel). Sans le vaccin, on pourrait aussi éviter la catastrophe en ouvrant les yeux, en cessant de compter « tués par le virus » les morts de vieillesse ou de grippe, etc. L’affirmation certaine ici fournie est fausse en tant que telle, ce n’est qu’un avis d’oracle jugeant selon ses propres délires, ses croyances. La science est totalement ailleurs (si la science n’est pas merdeuse).

* Ajout 81, 29/12/2020 (10h) : Dialogue médical imaginaire
   Une prochaine semaine, je vais aller voir mon médecin traitant pour le rappel de vaccination tétanos décennal. Et j’imagine qu’il pourrait me demander si je veux me vacciner contre covid19, quand viendra mon tour (pas personne âgée mais cancéreux en surpoids). J’imagine le dialogue en question :
– (Docteur) Voulez-vous que je vous fasse une ordonnance pour le vaccin covid19 ?
– (moi) euh, je crois pas, non…
– (D) Pourquoi ?!
– (m) j’ai pas confiance, dans ce vaccin bâclé, je suis même pas sûr que cette maladie existe…
– (D) Je vous garantis que si !
– (m) j’avais commencé des études de médecine, et on m’a rabroué : « vous n’êtes pas ici pour réfléchir mais pour réciter », et je ne crois pas tellement les réciteurs, de la Bible ou du Coran ou du dictionnaire médicamenteux.
– (D) Les autorités de santé ont validé ce vaccin, comme sûr et salvateur !
– (m) sauf que, professionnellement, j’ai vu comment validaient ces autorités, incompétentes ou vendues, approuvant des fautes grossières.
– (D) C’est très grave ce que vous dites là !
– (m) c’est pour ça que j’ai été mis en invalidité « psychiatrique », pour que je me taise, je m’éloigne du truc.
– (D) Non ! Je voulais dire : c’est faux et c’est grave ! Vous risquez un procès !
– (m) c’est vrai, et j’ai prouvé mathématiquement ce que je dis, mais un prétendu « expert » peut dire que c’est pas vrai, et au nom de l’autorité et du statut, hop c’est sa parole qui fait foi… en cachant ma démonstration, imparable.
– (D) Bien sûr qu’il faut croire l’ « Expert », éh ! Faisant autorité ! Légitime !
– (m) il y a des prétendus experts nuls, ou achetés, tous peut-être.
– (D) Psychiatriquement, votre problème est une paranoïa ?
– (m) c’est ce qu’ils disaient en URSS pour les dissidents, oui, ça invalide le truc, désolé.
– (D) Vous risquez de mourir, du covid19, ça vous est égal ?!
– (m) on risque de mourir de tout un tas de choses, il parait, oui.
– (D) Et ce vaccin éviterait ce risque-ci !
– (m) prouvez-le…
– (D) Ça a été prouvé ! Scientifiquement ! Publié !
– (m) j’ai vu des publications scientifiques totalement aberrantes, publiées parce que les relecteurs étaient aussi nuls que les auteurs.
– (D) Mais peu importe, au pire, puisque vous ne risquez rien, à vous faire vacciner !
– (m) faux : si tout le monde meurt automatiquement deux ans après l’injection, on le saura dans un an et demi, on n’en sait rien actuellement, il est faux d’affirmer le contraire.
– (D) Mais le risque est ultra-minuscule, seulement théorique imaginaire, fondé sur rien !
– (m) le vaccin contre la dengue avait été approuvé, validé, et puis cela a été arrêté en catastophe aux Philippines, car tuant les gens… Ça fonde la méfiance, argumentée.
– (D) Mais non, pas ici ! Pas avec covid19, mobilisant l’attention du monde entier !
– (m) en début d’année, pour cette crise covid19, on nous a tout interdit au nom du principe de précaution, obligatoire non négociable, pourquoi il ne s’applique pas ici ? pour attendre les études complètes avant de se lancer dans la vaccination.
– (D) Inutile ! La science garantit que ça ne craint rien !
– (m) vous êtes peu informé de l’épistémologie, c’est habituel. Sachez que la science, ce sont des théories en instance de réfutation, de simples hypothèses plus ou moins acceptées jusqu’à preuve du contraire…
– (D) Oui, il n’y a aucune preuve du contraire !
– (m) jusqu’ici, mais si tout le monde meurt dans deux ans, ce sera simplement la preuve que vous avez affirmé à tort, et cette preuve ne sera pas incroyable inouïe, mais c’est très possible, il convenait de douter…
– (D) Douter de tout ne conduit à rien !
– (m) oui, vous êtes croyant, vous êtes riche, si vous êtes content et fier, la conscience tranquille, continuez comme ça, si vous voulez. Chacun son truc.
– (D) Pauvre malade mental !
– (m) simplement logique…
  Enfin, en vrai, je pense que ce dialogue n’interviendra pas comme ça, parce que mon fils doit se faire vacciner en même temps (contre l’hépatite, vaccin obligatoire scolairement), et je ne me sens pas le droit en sa présence de dire des trucs aussi personnels, dénigrant les autorités et moi-même officiellement. Donc ça restera fictif.

* Ajout 82, 31/12/2020 (8h) : Contrôle qualité crédible ?
   Quand j’étais jeune, j’ai travaillé 10 ans dans un service Contrôle Qualité de « tests » (antérieurs à ceux covid19 mais le principe est le même), et il y avait parfois des refus de lots, avec rupture de stock pour les clients (à cause de la gestion de stocks en flux tendus), ce qui ressemble à ce que dit actuellement Pfizer (selon les informations télévisées), ayant produit 500,000 doses de vaccins au lieu du million demandé et garanti à la date indiquée. Et je me demande : qu’est-ce qu’un lot bon ? un lot mauvais ? comment est-ce établi et est-on sûr qu’un lot prétendu bon est efficace et sans risque ? (Et comment a été validée la requête en température, très inhabituelle très stricte : -70°C pas -20°C ni +4°C ?).
   D’après mon expérience professionnelle du monde des tests :
– Un lot est dit conforme s’il passe les tests visant à voir une anomalie de composition. Conforme ne veut en rien dire « certifié bon, identique au(x) lot(s) ayant validé le produit » mais « aucune anomalie grossière n’a été vue ». Ça ne garantit pas que les performances globales (en efficacité, en non-toxicité, etc.) soient inchangées par rapport à la référence, mais un test exhaustif serait mille fois trop cher, consommerait une part trop importante de la production, en prenant un temps énorme diminuant grandement la période d'emploi possible par le client, donc industriellement il est procédé de manière raccourcie, faisable pour pas trop cher et rapidement. Cela n’applique en rien le principe de précaution, sciemment violé (non défini à l’époque, et depuis : réservé aux autorités là où elles le décident, en acceptant pleinement que ce soit violé ailleurs – cf. automobile dangereuse, électricité dangereuse, chauffage dangereux, baignade dangereuse, chiens dangereux, etc.). Oui, c’est une escroquerie, c’est la domination des dominants, s’habilitant à dire n’importe quoi, à l’imposer par la force (dite « publique », « pour le bien général »).
– Les tests de température se font par zone sans examen de détail. Exemple : tel produit a donné résultat incorrect en étant stocké (quelque part) entre -10°C et -30°C, résultat correct en étant stocké (quelque part) entre -60°C et -80°C, alors la première plage est décommandée et la seconde plage est dite validée. Même si l’on se situait pour la seconde à -79°C (qui marche) sans jamais avoir examiné -60°C (qui ne marche pas, on le saura un jour après scandale éventuel en testant le détail). C’est officiellement conçu ainsi, ça s’appelle « démarche qualité ». Ce n’est pas du "principe de précaution" mais du "faux et usage de faux", je le disais à mon travail depuis des années, faisant ricaner les experts Qualité, se tournant l’index sur la tempe. Puis on m’a mis en invalidité « psychiatrique ». Le faux et usage de faux triomphe. Alors non, je n’ai pas confiance du tout (dans le nouveau vaccin et plein d’autres choses), arguments à l’appui, documentés par l’expérience, et « scientifique » oui. Anti-règne de la paperasse qui appliquait à la lettre les idioties écrites, faisant loi (au sens judiciaire, législatif, pas « loi de la nature » ou « loi de la raison », au contraire). Les « experts en droit », réciteurs très brillants façon théâtre, semblent complices actifs de cette fraude en bande organisée, des littéraires (blablateux, tout dans l’apparence superficielle) prenant leur revanche sur les matheux (logiques, tout dans la démonstration rigoureuse). Grâce à l’escroc René Descartes et la complicité des enseignants, les premiers disent incarner la Raison, c’est menteur en logique mais ça gagne sociologiquement. Ils crient Youpi et moi je soupire.

* Ajout 83, 01/01/2021 (18h) : Inversion de confirmation
   Je suis étonné par la façon dont les médias (et politiciens) désignent les « malades » covid19 : les positifs au test covid19. Il me semble que ça devrait être en sens contraire, enfin ce n’est pas clair. Je m’explique.
   Classiquement, un « malade » (souffrant) ayant tels symptômes est classé « suspect de maladie X » et éventuellement il est envoyé au laboratoire pour analyse (confirmant l’avis du médecin traitant ou suggérant un changement de diagnostic), la réponse étant alors « non, ce n’est pas X le problème » ou bien « oui, il est confirmé que c’est X positif, donc X est possiblement ou vraisemblablement la source des symptômes ». Mais avec covid19, c’est totalement différent : on envoie en test même des gens sans symptômes, pas malades, et si leur test covid19 est positif, on les déclare malades covid19, même s’ils n’ont pas de symptômes, ne sont pas malades ! (C’était déjà signalé à propos du terme « cas », pour covid19 cela désignant les positivités au test alors que la définition médicale réserve ce terme aux malades donc avec symptômes.) Mais cela change tout pour les cas de faux positifs : autrefois ou sur les autres maladies, on ne testait pas de non-malades, donc le taux de faux positifs était faible : limité à ceux souffrant d’une autre maladie et à tort crus souffrir de celle-ci, mais la confusion est totale si on teste des masses gigantesques de non-malades, en déclarant (par faux +) « malades » des non-malades (malades de rien).
   Bref, le test servait autrefois de confirmation pour le jugement médical, maintenant le test prévaut pour affirmer la maladie même sans aucun signe médical. C’est excellent pour le catastrophisme, l’abus de pouvoir pour dramatiser ou pseudo-justifier des mesures sévères ou ruineuses, mais sur le plan de la logique, c’est une faute lourde, me semble-t-il.

* Ajout 84, 02/01/2021 (7h) : Divers éléments critiques
   Il y a un certain nombre de points auxquels je repense, pour lesquels je me sens systématiquement en désaccord avec les politiciens et les médias (et les médecins interviewés par ces médias) :
– Il est dit partout et répété que l’épidémie s’arrêtera quand 70% de la population aura rencontré le virus ou le vaccin, cela valant immunité collective empêchant les contaminations de survenir. Je ne comprends pas pourquoi, où est la preuve ? S’il reste 30% de « pas encore infectés », ces 30% peuvent s’infecter, ce n’est pas du tout 0%. Je ne vois pas quel modèle pourrait prouver le contraire, surtout avec un effet-seuil à tant de %. J’envisage qu’un modèle dit simplement la courbe estimée entre X% d’ex-contaminés et Y% de néo-contaminés, et alors une décision arbitraire consiste à tracer l’horizontale T% (par exemple le 5% adoré des biostatisticiens, sans raison) en notant à quel X% cela rencontre la courbe, et ce serait le fameux 70%. Bref, une décision arbitraire de seuil (comme <=5% de néo-contaminés) donnerait une réponse tout aussi arbitraire (comme >=70% d’ex-contaminés), répondant ultra-ponctuellement à la question arbitraire posée mais ne dépeignant pas du tout l’ensemble des phénomènes en termes qualitatifs (poursuite ou arrêt des contaminations). Bref, ce serait une erreur d’interprétation via vulgarisateurs passant sur les détails pour ne donner qu’une apparence de savoir, simple… mais faux. Je n’appelle pas cela du « savoir scientifique » mais de la « très mauvaise pseudo-science ». A confirmer en sachant précisément ce qui se fait.
– De même pour le chiffre R (ou R0 ?) du taux de contamination (combien de personnes saines contamine 1 personne infectée). On nous dit qu’avec R<1 l’épidémie disparait. Ça me semble très faux : même si 10 personnes en contaminent 5, ce n’est pas du tout zéro. Certes, cela va en décroissant, pas en croissant (« exponentiellement » comme ils disent), mais le nombre de contaminés peut croître indéfiniment, sans pour autant arrêter de croître. La fonction log (inverse d'exponentielle) est ainsi croissante jusqu’à l’infini, bien que de moins en moins croissante au fur et à mesure, il n’y a absolument pas un plateau valant stop. Mensonge.
– Par ailleurs, je me demande comment est calculé ce R, puisque le nombre d’ex contaminés est inconnu de même que le nombre de néo-contaminés, dans la population (non-testée en grande majorité). Si c’était une estimation sur un échantillon, cela serait quand même biaisé par les faux positifs et faux négatifs, et rien ne garantirait la représentativité de l’échantillon considéré (les statisticiens, depuis des décennies, ont à peu près établi comment construire un échantillon représentatif pour les votes électoraux, mais ça n’a rigoureusement rien à voir avec le pouvoir contaminateur covid19 ou susceptibilité à cette contamination-là). R pourrait sinon être un facteur de simple « pente » : sur une ville de 100.000 habitants à 10% de testés (10.000 testés), « on est passé d’avant-hier 1.000+ cumulés à 3.000+ » ferait R=2, quand cela ferait 0,5si le nouveau chiffre n’est pas 3.000 mais 1.500. Vraisemblablement ce n’est pas ainsi, car R=0,5 excellent peut difficilement être un +50% par jour dit anodin (avec seuil d’alerte à R=1 donc +100%= doublement chaque jour), mais mensuellement ou annuellement estimé peut-être. En tout cas, ça examine la partie visible (minuscule) de l’iceberg, ignorant l’essentiel. Dire que « la science sait » parait faux, le vrai chiffre étant R=?/?= ??...
– Il est dit aussi que ces millions de malades font que c’est la plus grave pandémie depuis 1919. Je crois solidement que c’est faux, il ne s’agit que d’apparence pour un phénomène peut-être très courant mais pas vu habituellement, pas vu car pas cherché. Sur chaque épidémie de grippe hivernale, annuelle, on aurait pu ainsi mesurer des taux énormes de personnes ayant rencontré le virus sans tomber malades, ne pas l’avoir cherché fait qu’on ne l’a pas vu, simplement. La nouveauté ne serait pas, objectivement, la contamination propre à covid19, mais subjectivement le fait qu’on se soit pour la première fois attelé à une telle recherche. Artefact. Fausse alarme catastrophiste, et puisque ce n’est pas désintéressé du tout (politiquement et financièrement), ça ressemble très fort à de l’escroquerie, en bande organisée. En prétendant à la « rationalité », imbécilement (ou menteusement, avec complicité des gens lucides s’il y en a).
– Je me repose aussi la question de la « spécificité » du test covid19, notamment pour les variants mutés. Actuellement, il semble qu’on appelle covid19 (à maladie dite inchangée) tout ce qui a positivé le test, sans avoir en rien prouvé que sont pathogènes toutes les formes positivantes (voire même une seule), ni que sont non-pathogènes les formes très changées ne positivant pas le test. C’est une erreur lourde de méthodologie, une faute s’il y a création de panique sciemment sur une aussi faible base. J’ai 32 ans d’expérience professionnelle dans le domaine de tests biomédicaux, dont 22 en service Recherche, je ne dis pas n’importe quoi tombé du ciel (« délire complotiste »). Normalement, un agent infectieux Z donnant indéniablement des symptômes (ce qui n’est pas assuré pour covid19, à ma connaissance*) est recherché par un test (génétique ADN par exemple) créé pour cela : il faut qu’il détecte Z même un peu changé si ce Z-là est toujours pathogène, il faut qu’il ne détecte pas Z si celui-ci a changé au point de ne plu’ être pathogène. Mais avec covid19, une inversion absurde a eu lieu : c’est le résultat du test qui fait conclure si la forme rencontrée est pathogène ou non, sans aucune preuve de pathogénicité ou innocuité, seulement par l’aléa de positivation biochimique au test. C’est une faute méthodologique, à mon avis argumenté, cela relève de la confusion mentale, chez les « médecins (réciteurs) » et les « politiciens (blablateurs) ». Le scientisme est de l’incompétence, pas de la pertinence scientifique.
* : le fait qu’il y ait des positifs sans symptômes, et que les symptômes ne soient pas spécifiques du tout (fièvres, fatigue, toux), rend très douteux l’établissement d’un lien de cause à effet ou correspondance stricte entre maladie et positivité du test covid19. Cela semble plus que douteux. Cela ne semble en rien prouvé, et c’est un scandale d’appeler « pédagogie » le fait que les autorités affirment, sans répondre en rien aux objections sceptiques, bases théoriques de la science. Le mot « propagande officielle, abrutissante, interdisant les objections logiques » parait davantage approprié. Certes, la technocratie est armée de psychiatrie pour cela : toute objection dérangeante sera disqualifiée comme « délire rationnel = paranoïa », c’est conçu tel. Vaste supercherie. Arnaque.

* Ajout 85, 04/01/2021 (7h) : C’est louche…
   J’ai été faire une recherche Internet sur deux sujets me paraissant intéressants :
1/ A la télévision, il a été signalé qu’en Grande-Bretagne actuellement, la valeur de R était comprise « entre 1,2 et 1,4 soit 4% à 8% de plus de contaminés par jour », est-ce que cela m’explique comment ce R (ou R0) est calculé ?
2/ Il a été mentionné que le séquençage de coronavirus est pratiqué en grande routine en Grande-Bretagne, et en Allemagne, mais très rarement en France (sauf peut-être à Marseille dans l’IHU du Pr Raoult). Cela suit-il un procédé décrit en clair ? (je connais le séquençage de bactéries, qui exige une culture absolument pure sinon la réponse est « double signal » valant « non réponse », or un virus ne cultive pas, que sur cellules ayant leur propre ADN qui formerait un tel double-signal illisible).
   Après recherche avec Google, je ne suis guère avancé :
1/ Un site ( https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/covid-19-pourquoi-le-calcul-du-fameux-r0-fait-toujours-debat_2138548.html ) me dit que le R présenté est habituellement le R de dépistage, brouillé, portant sur la population testée (chiffre connu) et non la population générale (chiffre inconnu, non estimé car la mesure est biaisée si portant sur les malades à symptômes et cas contacts de ceux-ci). Cela dit par ailleurs que le calcul est effectué sur une période de 7 jours. Vérification faite, ça ne colle pas, mon calcul indiquant plutôt 4 jours, et de toute façon c’est arbitraire, de signification objective : nulle.

2/ Le site de l’institut Pasteur parle longuement du séquençage de ce virus mais sans aucunement expliquer comment on fait pour se focaliser sur l’ADN viral ( https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/institut-pasteur-sequence-genome-complet-du-coronavirus-sars-cov-2 ). Un lien semblait intéressant, parlant de la découverte de ce virus qui aurait pu expliquer comment a été établie la relation de cause à effet entre symptômes et ce microbe ( https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/maladie-covid-19-nouveau-coronavirus ) mais non, ça parle très longuement sans aucunement expliquer ça à l’objection d’une intelligence critique, ne formant apparemment pas le public cible de cet écrit. Cherchant ailleurs, je tombe sur un article plus général non lié au coronavirus mais aux virus en général ( http://www.microbes-edu.org/etudiant/diagnostique.html ), avec cette phrase : « Il faut se souvenir que la présence d’un virus est la traduction de la réplication virale dans les tissus pouvant aboutir à une cytolyse [mon interprétation : mélange d’ADN humain et ADN viral] dont découlent en partie les signes cliniques. Dans certains cas le virus n’est pas directement responsable, il peut être la conséquence plus que la cause. » Bref, non seulement je n’ai pas la preuve de relation de cause à effet mais les experts savent qu’une corrélation est (en virologie aussi, pas seulement en statistiques de manière générale) souvent prise à tort pour une causalité.
   De cette recherche d’information, je ressors encore plus sceptique qu’avant. Les gens (et les médecins, les épidémiologistes) « croient » ce que disent des scientifiques, mais qui a vérifié ce qu’ont dit les premiers scientifiques affirmatifs ? D’autres scientifiques probablement, est-il dit, sans garantie aucune que cette vérification ait été pertinente, probante, et non mal-faite. J’ai l’expérience (à mon travail, scientifique) d’une telle erreur : concernant tel chiffrage d’incertitude, mes collègues ne se posaient pas les questions, et quand j’ai demandé avec insistance, on m’a renvoyé à ce qu’avait écrit un spécialiste de notre entreprise. J’ai retrouvé ses tableaux de calculs et résultats, et j’y ai trouvé des erreurs. Je lui ai demandé pourquoi c’était marqué ainsi donc, et il m’a répondu « personne avant toi (anormal) n’a vérifié, tout le monde me faisait confiance ». Ce n’est pas de la science mais de la crédulité, simplement, se couchant sous l’argument d’autorité, bêtement, à tort. (Pour information, le tableau faux n'a nullement été corrigé, les "scientifiques" cadres se désintéressant totalement du sujet, et l'auteur du tableau erroné ne jugeant pas utile de se déjuger sans rien gagner à cela, au contraire ça aurait "nui" à sa réputation de crédibilité.)

* Ajout 86, 04/01/2021 bis (12h) : « Retard » vaccinal
   Aujourd’hui à la télévision, le grand sujet polémique est l’immense retard de la France dans la vaccination covid19 (environ 300 vaccinés en France pour 1 million en Israël, 80.000 en Allemagne, 1,5 millions aux USA, 30.000 au Portugal etc.). Des opposants politiques crient au fiasco scandaleux pour cette lenteur, et les partisans du gouvernement crient qu’on n’est jamais content : si on vaccinait trop vite, on crierait aussi au scandale de cette vaccination accélérée à tort, et qu’il a donc été demandé visite au médecin traitant puis cinq jours de réflexion avant assentiment à la vaccination, pour chacun.
   Mon avis est différent de ce que j’entends là. Je ne me plains nullement de ce retard de vaccination puisque je l’envisage peut-être inutile (maladie covid19 non prouvée) et peut-être dangereux (toxicité à long terme sciemment ignorée, avec affirmation scientiste/inductive fautive comme quoi il n’y a aucun risque). Par ailleurs, comme je le signalais ci-dessus (ajout 81), je doute totalement que le médecin traitant donne les éléments justes pour que le patient se fasse une opinion raisonnable, il s’agit plutôt de se faire baratiner par un croyant réciteur, artiste ("la médecine est une art !") genre acteur de théâtre (je n'aime pas le théâtre...) ce qui n’éclaire en rien de rien.

* Ajout 87, 05/01/2021 (4h) : Discussion utile
  Un ami retraité, ex-pharmacien industriel cadre chef de service (bien davantage « sachant » que moi ex-technicien subalterne, quoique matheux ayant choisi enterrement social), me répond de manière très intéressante. Je numérote (mon résumé) pour répondre point par point :
1/ Il juge que je ne fais pas confiance aux vaccins et sûrement aux médicaments,
2/ alors que lui leur fait confiance.
3/ Il cite nombre de cas dans sa famille sauvés (de morts horribles) par les médicaments.
4/ Il cite le cas d’un proche n’ayant pas pu recevoir une vaccination autrefois et qui a subi la maladie correspondante peu après. « On voit bien l’intérêt du vaccin et du médicament » dit-il.
5/ Concernant la maladie covid19, il dit qu’il n’y a pas de médicament pour l’instant
6/ et que je risque d’être confiné pour longtemps chez moi si je refuse le vaccin,
7/ il me suggère de « bien réfléchir ».
  Merci, ça enrichit grandement le débat, mais celui-ci n’est pas clos en forme de rappel à l’ordre, non je contre-réponds :
1/ C’est une erreur de jugement que de me classer parmi les « anti-vacc » (comme une stagiaire qu’on avait eu à mon travail vers l’an 2005, ayant eu de grandes difficultés à rester car la médecine du travail insistait que certains vaccins étaient absolument obligatoires, elle comme sa famille le refusant catégoriquement, je voyais ça de loin, moi, me laissant piquer sans révolte aucune). C’est tout spécialement avec ce vaccin-là que j’ai des sérieux doutes, ce groupe de vaccins anti-covid19 (tant à ARN-messager que classiques), trouvé et développé en moins de 10 mois au lieu de 10 ans d’habitude (et contre une maladie dont je n’étais pas convaincu depuis le début il y a 10 mois, arguments à l’appui). Le PDG français de la firme américaine n°2 dans la course au vaccin a été mon grand-patron autrefois, et il me choquait à l’époque comme « grand menteur en chef », ridicule quoique très applaudi par les ambitieux, ça n’incite pas à la confiance du tout. Et puis… une scientifique à la télévision, classée « complotiste » (malgré ses cris outrés contre cela) puisque dérangeante, expliquait que les chapitres « effets cancérogènes » et « effets tératogènes » ont sciemment été rayés d’un trait pour gagner du temps ; par ailleurs, les tests de toxicité sur animal avant de passer à l’humain ont été supprimés (ils n’auraient pu que faire interdire le produit, donc « pas besoin, hop, poubelle, ça gagne du temps et du fric »), et la toxicité à long terme est totalement inconnue c’est caché en affirmant qu’il n’y a pas d’effet indésirable à court terme ce qui « prouve » qu’il n’y a aucun risque (c’est faux, mensonger, la toxicité n’est pas à l’inverse prouvée mais il y a un risque, ignoré sciemment en mentant), oh non ce n’est pas du tout un vaccin comme les autres… Ceci dit, quand dans un rêve je suis malade en tribu africaine ou amazonienne, je vais voir le gourou/sorcier local, ce n’est pas que j’y crois, mais pour essayer de soulager « comme tout le monde fait » (ici maintenant), je ne refuse pas cette aide, même si je ne suis pas totalement convaincu que son efficacité/pouvoir objectif (je précise que je vis « l’hypothèse du rêve mien présent en routine, ayant réfuté sa fausse réfutation par l’escroc croyant René Descartes pour fonder le soi-disant « esprit cartésien »).
2/ Si mon ami fait confiance au vaccin covid19, libre à lui. Je ne suis pas du tout activiste appelant (en hurlant) chacun à refuser ce vaccin. Contrairement à certains « complotistes », je n’affirme nullement qu’il s’agit d’injecter des puces extraterrestres de contrôle comportemental. Je n’en sais rien, je me contente de douter (ce qui devrait être la logique scientifique, si elle n’avait pas été trahie par dominance absolue des scientistes, prenant l’état actuel de la science pour idole). Par ailleurs, si mon ami est adepte de l’homéopathie, croit en l’homéopathie (croit ce que disent les médecins homéopathes), je n’y vois pas d’inconvénient et ce serait sa cohérence à lui, crédule d’accord. Si, par contre, il est vent debout contre la fausse science qu’est l’homéopathie, qu’il combattrait par le doute et l’exigence pointilleuse de vraies preuves, je suis étonné qu’il refuse pareille attitude envers ce vaccin. Mais, là encore, libre à chacun de choisir ses cohérences, ses incohérences, du moins s’il ne s’agit pas d’un prélude à gendarmer la vie d’autrui au nom de l’autorité (se disant légitime).
3/ Dans ma belle-famille philippine, bon nombre de personnes ont été sauvées par les « herbal doctors » (herboristes) réputés là-bas mille fois plus efficaces que les médecins « chimiques ». Je l’entends, simplement. L’entendre ne me semble pas une preuve que c’est vrai, que c’est une efficacité prouvée et absolument pas une rémission spontanée (par persuasion ou effet placebo ou autre). Divers concurrents s’affirment les seuls efficaces, sauvant des vies, je l’entends c’est tout. Et si je suis malade en grand inconfort, il est possible que j’aille les voir, les uns ou les autres, sans conviction mais pourquoi pas ?
4/ J’ai entendu nombre de témoignages de gens vaccinés et ayant contracté la maladie en question ensuite, se disant scandalisés et recevant la réponse que ça ne protège pas à 100% mais peut-être à 80% (ou 50% pour certains vaccins). Ce n’est pas une relation de cause à effet « vacciné donc invulnérable » (à la maladie en question), c’est un vague truc statistique, estimant qu’il y a moins de malades parmi les vaccinés que parmi les non-vaccinés. L’intérêt n’est pas criant, non, et j’ai personnellement invalidé la plupart des éléments mathématiques des statistiques (variance estimée : prouvée fausse, biaisée en tirage avec remise comme sans remise ; démonstration de normalité : prouvée mal pensée, erronée ; validations industrielles par non-significativité : prouvées aberrantes fautes lourdes ; linéarité chromatographique et calcul NPP de dénombrement alimentaire : prouvés mal calculés quoique ce soit très particulier ; etc.).
5/ Je n’ai pas d’opinion sur l’hydroxy chloroquine du Pr Raoult (que certains dits « complotistes » ou « rassuristes aberrants » affirment guérir assurément la maladie covid19, moi je n’en sais rien). Mais j’ai vu passer plusieurs articles indiquant des médicaments efficaces refusés par les autorités car « pas spécifiques à covid19 ». Je ne garantis pas que c’est confirmé, prouvé efficace, j’ai seulement l’impression de manœuvres suspectes pour refuser un traitement anodin pas cher en exigeant un truc tout neuf développé spécialement pour très cher. Je suspecte des affaires de gros sous, pour aboutir à ce jugement (douteux selon moi) « il n’y a jusqu’ici pas de traitement efficace ». Je rappelle que je ne suis pas convaincu que covid19 soit une maladie, c’est un résultat de test très vaguement corrélé à des symptômes, de manière non systématique et souvent démentie, en le cachant (comme les morts de la grippe hivernale tombés de 1500/mois à zéro à l’apparition du mot covid19 chez les officiels).
6/ Oui, j’ai bien entendu que les gouvernements échafaudent des arsenaux de sanctions pour « inciter » les gens à se faire vacciner covid19, sans officiellement dire que c’est une obligation. Peut-être même que je cèderai à cette pression et me ferai vacciner, sous la menace de sanctions. Comme des innocents avouent des crimes sous la torture psychologique, ça ne prouve rien mais c’est possible.
7/ Céder sous la menace, ce n’est pas ça, « réfléchir » (selon moi), être vaincu par la peur et ravaler son doute légitime. Sous dictature stalinienne, il fallait ainsi « bien réfléchir » donc applaudir Le Héros Joseph, sinon on tombait mort, « ça faisait réfléchir », euh : oui et non. Et d’ailleurs la propagande officielle clame l’exact contraire en matière de terrorisme islamiste : nous sommes appelés à grands cris à ne pas céder à la peur, ne rien concéder, et (en sens inverse quoique similairement) il est interdit de réfléchir, comprendre ce que les adversaires nous reprochent étant classé « apologie du terrorisme », punie de prison. Ce n’est pas du tout nouveau, le président Sarkozy il y a plus de 10 ans le disait déjà : « l’intelligence est dans le camp du mal ». Je ne suis pas d’accord, mais je ne pars pas en guerre contre ces abus d’autorité, OK. (Je suis pessimiste soumis, libre penseur mais pas révolutionnaire activiste).

* Ajout 88, 06/01/2021 (5h) : Précisions
   On pourrait me demander comment le nombre de tués par la grippe a pu passer de 1500/mois à zéro, instantanément, ceci ne paraissant pas du tout crédible. Effectivement, ce n’est pas crédible, mais pas absurde, pas illogique : il suffit qu’à un moment donné soit apparue l’hypothèse covid19 officielle, alors la cause de décès mystérieux se met à contenir les mots « cause du décès (…) ou peut-être covid19 », or ceci a (à tort) été officiellement compté comme « mort tué par covid19 », alors oui, instantanément, un immense nombre de (faux) « tués par covid19 » émerge, les autres causes de décès (grippe, vieillesse, etc.) disparaissant, sans augmentation du tout de la mortalité générale, ce qui est je crois ce qui a été comptabilisé. C’est un artefact, un biais, stupide ou mensonger, en rien l’apparition d’un nouveau danger très grave.
   Par ailleurs, cela relativise ce que je disais, « les morts prétendument ʺdus àʺ covid19 ne sont que des morts ʺavecʺ covid19, la vraie cause de la mort étant inconnue mais arbitrairement imputée à la positivité à covid19 » (ou à la calvitie, disais-je dans ma parodie absurde). Ça ne semble pas seulement cela : puisqu’il a été avoué que dans les EHPAD « touchés par covid19 » tous les morts étaient comptés « tués par covid19 », sans besoin qu’ait été pratiqué un test covid19 personnel, il n’y a même pas besoin de propriété covid19+ pour être compté « tué par covid19 », la généralisation inductive (faute logique) « suffit ». De même, il est très possible que soit pris en compte le taux dit « environ 30% » de faux négatifs covid19, pour qu’un certificat de décès dise « bien que trouvé négatif au test covid19, ce patient était peut-être un faux négatif, et alors il est possible que sa mort soit liée au covid19 quand même », cela étant officiellement compté comme « personne (indéniablement) tuée par covid19 ». Exagération ou mensonge, en tout cas immensément contestable sans aucune preuve de cause covid19 au décès.
   Alors quand un ami écrit sur Facebook « ce virus tue ! », quand une tante me dit au téléphone « ce covid19, c’est pas une fake news ! », je ne suis pas convaincu. Les chiffres sont alarmistes parce qu’il a été décidé d’alarmer, mais il est très possible que ce soit entièrement du bluff, organisé (machiavéliquement ou par peur politicienne d’être condamné en cas de risque sous-estimé). Cela peut durer éternellement si les autorités le décident (puisque la « mort de vieillesse » continuera sauf invention de potion d’immortalité, immensément hypothétique), ou bien elles prendront pour prétexte la vaccination anti-covid19 pour se mettre à compter différemment. « Test covid19 négatif vaut maintenant décès non imputable à covid19 » et leur décision associée à vaccination de masse ferait chuter le nombre de morts « dits covid19 », immense victoire prétendue, toujours sans que ne change en rien la mortalité, redevenant seulement imputée à grippe, vieillesse, etc. Ruiner des pays pour cela est une absurdité, soit volontaire dans un but indéterminé (domination du parti communiste chinois sur le monde ? de la franc-maçonnerie ? fantaisie de groupe s’amusant à écraser les peuples prétendus « en démocratie » ? etc.) soit par stupidité profonde à la tête des états (domination des littéraires illogiques, des beaux-parleurs incompétents), c’est hélas envisageable. Donc « prouvé » si je raisonnais comme eux ! (Mais je ne le fais pas, préférant rester logique).
   J’envisage une objection, évidente : « éh, puisque selon toi, la maladie covid19 n’existe pas, comment expliques-tu que les hôpitaux aient été débordés par l’afflux de patients (quand est apparue cette maladie) ?! » Je vois deux éléments de réponse, solides :
– (Marronnier journalistique) J’ai entendu l’autre jour un journaliste de télévision dire que chaque année (2019-2018-2017 etc.), durant l’hiver, passait un reportage présentant les soignants hospitaliers se disant submergés par les entrées en hospitalisation. C’est un très grand classique, récurrent, saisonnier, ça n’a strictement rien à voir avec l’émergence en Mars 2020 d’un phénomène incroyable jamais vu. Par ailleurs, depuis des années, les personnels hospitaliers français étaient « en grève » contre les fermetures de lits décidées administrativement, tendant à ce qu’ils soient débordés pour les places restantes, bien avant qu’apparaisse covid19.
– (Bébé de 18 jours) J’ai lu une nouvelle MSN expliquant que des parents positifs covid19 (testés car avec symptôme fièvre) ont fait tester leur petit bébé âgé de 18 jours et, horreur ! il s’est avéré positif aussi. Ils l’ont donc immédiatement fait hospitaliser, mais heureusement tout s’est bien fini, il n’a eu que de la fièvre. Bref, si on fait « hospitaliser » (au titre du principe de précaution) plein de gens n’ayant pas de symptôme grave du tout, automatiquement cela crée engorgement des services hospitaliers, mais pas parce qu’il y a besoin impérieux d’hospitalisation, ce n’est qu’une conséquence de la peur. Artefact auto-entretenu.

* Ajout 89, 06/01/2021 bis (9h) : Relativité oubliée
   Aujourd’hui sur chaîne C-News, j’entends la Docteur Milhau dire que le vaccin actuel ne protège peut-être pas des nouveaux mutants covid19 et il faudra peut-être deux vaccins covid19 (2+2 injections), donc, pour couvrir anciens variants et nouveaux variants.
   Mais… pourquoi nous a-t-on dit « l’efficacité du (premier) vaccin est scientifiquement prouvée, donc totalement indéniable (à expliquer aux gens [stupides] avec pédagogie) ! » ? ce que je déniais, moi, lucidement, précocement. En fait, c’était un malentendu, la logique scientifique disant « il a été observé telle efficacité sur tel échantillon à tel moment », et les scientistes généralisant fanatiquement (faussement) cela à « il est une loi éternelle de la Nature que telle efficacité est prouvée ». C’était simplement faux, idiot philosophiquement (épistémologiquement), mais dominant dans les cercles politiciens et journalistiques.
   (Par ailleurs, la Dr Milhau signalait ensuite un essai clinique très prometteur, réduit mais en double-aveugle, faisant passer de 42% à 91% le taux de « malades covid19 hospitalisés » qui ont été guéris, quand on leur a injecté des cellules souches embryonnaires plutôt qu’un placébo. Euh, il manque un paramètre à mon avis, l’âge (ou/et le parallèle avec des malades covid19-négatifs), car j’avais entendu dire il y a plusieurs années que ces cellules souches étaient envisagées comme « cure de jouvence », voire piste pour l’immortalité contrecarrant le vieillissement, et il conviendrait de montrer que le taux n’est pas le même en recul de la mort de vieillesse, car ça pourrait suffire à expliquer ces chiffres sans avoir aucune relation avec le fait que covid19 soit tueur voire simplement pathogène).

* Ajout 90, 06/01/2021 ter (12h) : Plainte judicieuse
  Sur chaine C-News, émission Morandini Live, était interviewé (avec reproches sévères) l’avocat Fabrice Di Vizio qui a porté deux plaintes aux pénales contre le gouvernement car la vaccination anti-covid19 est pratiquée en masse sur les « plus de 75 ans » alors que ce groupe n’a pas été testé, donc l’efficacité (et absence de toxicité) n’est en rien démontrée sur cette classe d’âge, et donc l’Autorisation de Mise sur le Marché n’aurait pas dû être délivrée pour eux. (J’ai vu aux informations que, comme ça, le vaccin était décommandé chez les femmes enceintes simplement car il n’avait pas été testé chez elles). Mais le journaliste Jean-Marc Morandini tempêtait, clamant que cet avocat voulait interdire de sauver les personnes âgées, donc voulait les tuer via le virus, « car le virus tue, pas le vaccin » ! L’avocat battait en retraite, acceptant qu’on pratique cette vaccination mais que cela soit déclaré « essai clinique », non « mise en pratique d’un vaccin légitimement approuvé », et il ajoutait qu’il doutait fort (à raison selon moi) que le consentement ait été obtenu en donnant tous les éléments. Les médecins traitants sollicitant ce consentement ont-ils dit (et tous) : « vous pouvez essayer cette vaccination, mais on ne sait pas du tout si elle est efficace (et non toxique) chez les gens comme vous, qui ont été exclus des essais de validation » ? Non je ne pense pas : le discours officiel est « l’efficacité est prouvée, et l’absence de risque aussi », ce qui est faux pour cette classe d’âge, mensonge total. De plus, l’avocat précisait que les médecins ont négocié, et obtenu, leur irresponsabilité totale en cas d’effets délétères de cette vaccination, tout cela parait plus que suspect… J’aurais par ailleurs, moi, répondu au journaliste : « vous dites que ce vaccin tue, quelles sont vos preuves ? Tout le monde le dit ? non pas les sceptiques… Les grands professeurs le disent ? mais en Iran les grands ayatollahs disent que le Coran est la parole de Dieu, l’argument d’autorité n’est en rien une preuve. »

* Ajout 91, 09/01/2021 (14h) : Scandale révélé de manière imminente ?
   L’autre jour, sur chaine télévisée C-News, dans l’émission de débat matinal de Pascal Praud, le sujet n’était pas très intéressant, puis des mots incroyables ont été prononcés, quelque chose comme « Et il s’avère, maintenant qu’on est en 2021, que la mortalité 2020 en France est inférieure à la mortalité 2019, et ils sont où les morts covid ? On en parlera après la pub ! ». Et puis je n’en ai plu’ du tout entendu parler, est-ce qu’un appel du directeur de chaîne ou du gouvernement a interdit d’en parler ?
   En tout cas, s’il se confirme que la mortalité 2020 est inférieure à 2019 (ou même : à peine supérieure, sans différentiel égal approximativement aux prétendus tués par covid19), il s’avérera que ces « tués par covid19 » sont un mensonge : il s’agirait de gens morts de diverses causes, arbitrairement (à tort) imputés à (leur positivité au test) covid19.
   On verra, cette clarification n’est pas hyper-urgente pour moi, retarder d’un mois ou deux son annonce ne changera pas ma satisfaction d’avoir eu dès le début raison contre presque tout le monde.
   Enfin, ce délai permettra éventuellement de formuler (voire documenter) des « explications ». J’en entrevois une : par exemple, s’il y a 20.000 morts de moins en 2020, il pourra être dit quelque chose comme « le confinement long a fait 80.000 morts de moins par accidents de la route, et covid19 a bien tué 60.000 personnes en plus, bilan : -20.000 morts en 2020, mais ce virus est bien un tueur de masse, grave ! ». Et non, ça ne tient pas : je dirais en effet « s’il y a 80.000 morts causés par la voiture, alors votre principe de précaution (ayant motivé le confinement contre le virus) implique d’interdire la voiture, je le disais depuis longtemps, que ce principe de précaution est faux, non appliqué sur presque tous les sujets (voiture, électricité, chauffage, baignade, animaux domestiques, etc.). Donc vous mentez (au sujet de la voiture et/ou de ce virus). »

* Ajout 92, 09/01/2021 bis (19h) : Adieu Facebook ?
  J’ai participé à une discussion concernant le vaccin anti-covid19 et c’est horripilant : on s’y fait insulter à tort par des gens vous classifiant de manière erronée par simplisme diabolisateur. Je pense donc ne plu’ m’exprimer qu’ici, moi-même et plu’ au contact d’abrutis méchants (ou abruties méchantes) dont on reçoit la haine explicitement abusive. (Et avec un système d’historique pas clair, ni explicite, obligeant à parcourir des dizaines d’écrans pour espérer lire, ou non, la réponse à ce qu’on a dit.)
  Je résume simplement ce mauvais moment :
1/ Une sorte de bande dessinée prétendait vulgariser le vaccin (pourquoi ce vaccin est super bien). L’argument de sécurité était « il y a trop d’argent en jeu pour que les labos ne prennent le risque de sortir un vaccin dangereux et risquent la faillite. »
2/ J’ai répondu : « En BD ou pas, c’est faux : la toxicité à long terme est inconnue, totalement, nullement prouvée "sans risque". Si tout le monde meurt d’effet secondaire 5 ans après injection, on le saura dans 4 ans, trompé par les fiers menteurs. »
3/ On m’a d’abord répondu : « on ne peut pas parler de toxicité dans ce cas (…) on ne peut pas dire que c’est faux bien au contraire (…) Sans vaccin on aurait encore le choléra et la variole et j’en passe. »
4/ Puis on m’a répondu : « (…) C’est une donnée avérée. Je peux vous trouver nombre de publications scientifiques sur le sujet qui ne relèvent pas d’arguments infondés véhiculés par une pseudo thèse complotiste non étayée ou les arguments fallacieux d’un expert en virologie Facebook. Je suppose puisque vous êtes sur les réseaux sociaux que vous n’êtes donc pas réfractaires à la technologie. Pourquoi alors être sceptique sur les vaccins ? »
5/ J’ai répondu aux deux à la fois, trois jours après : « Faux : je ne suis pas sceptique sur les vaccins (en général), je prouve faux d’affirmer prouvée en moins d’un an une non-toxicité à long terme comme 5 ans. Ce n’est pas un truc d’expert, c’est de la logique pure. Désolé si c’est trop fort pour vous, crédules/croyants. ☹
   Elles pourront m’injurier encore, à tort pareil ou de plus en plus, je crois que je ne retournerai plu’ jamais là-bas.

* Ajout 93, 10/01/2021 (5h) : Péremption et autres vérifications
   Concernant l’ajout précédent, je pourrais émettre trois autres remarques, avant d’aborder le sujet du jour :
1/ Concernant l’argument initial (non dangereux car il faut éviter le risque de faillite), il s’avère faux car le risque des entreprises est ici couvert, en Europe (et peut-être partout) les dirigeants étatiques ont signé un contrat désengageant les fournisseurs de toute poursuite en cas de problème grave avec ces vaccins (afin de ne pas retarder leur mise à la vente). L’opposition politicienne crie d’ailleurs que c’est scandaleusement un semi-secret, avec contrat consultable seulement sans stylo ni appareil-photo ni traducteur, un parlementaire européen à la fois seulement, pour ne pas révéler publiquement le contenu, inavouable ?
2/ De même il serait effarant d’apporter comme preuve de l’innocuité du glyphosate agricole que les sommes en jeu sont tellement énormes que le fabricant Monsanto ne se risquerait pas à vendre un produit dangereux. Au contraire : il escompte faire fortune avant confirmation éventuelle du scandale, les colossales sommes acquises restant acquises même si la marque Monsanto disparaitra (peut-être). Idem pour le laboratoire Servier et le médicament Mediator : l’auteur de la BD aurait annulé toute poursuite et procès en clamant que le labo n’aurait pas pris un tel risque de faillite donc ce médicament est forcément non-dangereux. Eh bien non, pas du tout, la prise de risque pour faire fortune est un principe du monde capitaliste devenu dominant. Certains journalistes comme Pascal Praud clament d’ailleurs que la France est paralysée par les technocrates formés à la logique « zéro risque » et qu’il faudrait les remplacer par des chefs d’entreprise, habitués par principe à risquer pour avancer vite et fort. L’auteur de BD ayant écrit que ça n’existait pas (pour le vaccin anti-covid19) semble un incompétent vivant au monde des bizounours.
3/ Côté Autorités françaises, prétendant appliquer en tout le principe de précaution (inscrit par Jacques Chirac dans la Constitution), il y a un mensonge évident : le fait de disculper officiellement les fournisseurs (et les médecins prescripteurs) de toute poursuite (a posteriori concernant les vaccins covid19) ôte les réserves de précaution usuelles, et décréter avec immense avance (sans données) l’absence de toxicité à long terme est un pari très périlleux, risquant catastrophe. Il n’aurait pas fallu clamer « il y a zéro risque » (trompant la population et les médecins traitants demandant consentement aux patients), mais « il y a un risque évident, indéniable, mais on s’en fout, on le prend pour aller vite cette fois, exceptionnellement » (contraire total du principe de précaution, il faudrait honnêtement l’avouer, non intoxiquer les foules pour faire injurier les rares esprits lucides l’ayant détecté, prouvé).
   Cela dit, le sujet du jour est une sorte de second apport « QC » après mon ajout 82, venant de mon expérience professionnelle : plus de 30 ans en service Contrôle Qualité puis Recherche et Développement d’industrie biotechnologique.
A/ Péremption.
   Ce qui est vérifié pour établir la péremption du produit (test ou vaccin) n’est nullement les performances intégrales en efficacité et non-toxicité (ou faux résultats avec risque-patient pour un test) mais la conformité restant acceptable au micro-examen de contrôle simplifié. D’ailleurs, il est même parfois pratiqué des tolérances différentes pour le produit en suivi de vieillissement par rapport au contrôle initial : par exemple, on exige 98-102% de la dose pour libération de lot afin de garantir après vieillissement 90%-110%. Si la validation a été pratiquée avec 3 lots de doses 99,7% 99,3% 100,2% les tolérances 98-102% et 90%-110% n’ont rien à voir (en routine sur lots acceptés et conservés) avec les performances dites validées (sur lots d’essai). Euh, on pourrait objecter/hurler que pour que ces normes aient été définies, elles ont forcément été « validées », mais ça ne veut absolument pas dire que c’est en performances (« 90% et 110% font aussi bien que 99,3% à 100,2% »), je sais par expérience que ça peut venir d’un service biostatistique (faisant très peur aux auditeurs, jamais matheux semble-t-il) ayant modélisé que « > 95% de la production passera ce critère ». En tout cas, si la péremption est définie comme « date de fabrication + 6 mois », ça ne garantit en rien du tout que les performances revendiquées sont encore valables intégralement après 5 mois et 29 jours de conservation. Le principe est que, une fois que les autorités ont gobé que le contrôle réduit détermine l’acceptabilité, cela est exploité à fond pour repousser autant que possible la date de péremption (maximiser le profit sans jeter les invendus, périmés ou trop proches de leur date de péremption ce qui ferait hurler les clients). Les croyants et les crédules (dont les littéraires, allergiques à la logique) sont contents, sûrs d’eux, bernés par les discours menteurs des prétendus experts (ou discours aveugles de faux experts incompétents).
B/ Vérification de composition génétique
   Il nous est dit partout que les deux premiers vaccins anti-covid19 sont à ARN messager, et par ailleurs j’ai vu sur internet un article expliquant que cet ARN est composé d’environ mille bases nucléotidiques (environ 1000 fois 1 des 4 bases, enchainées dans un ordre précis), mais… dans chaque dose de vaccin, y a-t-il 1 ou 50 ou mille tels brins ? Si plus de 1 : sont-ils tous garantis identiques et tous conformes à la séquence prévue ? sur tous les flacons d’un lot ? (après contrôle sur un échantillon réduit avec quel risque de généralisation à tort ?) sur tous les lots ? La fabrication de ces brins (avec enzyme polymérase) ne peut-elle pas produire (comme dans la Nature) des brins de longueur diverse ? avec parfois mutation par erreur de base ou ajout d’une base excédentaire ou manque d’une base ? avec parfois déplacement d’un fragment ? Comment est-ce vérifié, et même : est-ce intégralement vérifié ou par simple coup d’œil « à peu près comme d’habitude, OK accepté » ? Certes, des technologies séparatives comme chromatographie/électrophorèse/spectrométrie peuvent séparer certaines compositions, mais il y a plein d’ex aequo (« co-élués » en chromatographie, « isomères » en spectrométrie) ne garantissant pas une spécificité à 100,00%, l’erreur de conclusion est possible (quoique théoriquement interdite par le prétendu « devoir de précaution »…). Le séquençage est un autre outil d’analyse, mais il procède par des étapes de fragmentation et analyses partielles avant interprétation informatique (boîte noire mystérieuse, non vérifiée en routine) « imaginant » une séquence « consensus » relativement probable, mais pas non plu’ certaine à 100,00%. C’est une façon de faire, mais ça ne tient debout qu’avec autorité (prétendue experte) interdisant le doute, bannissant le principe de précaution (qui interdirait tout risque non nul).
C/ Vérification de composition chimique
   Je me souviens que quand on préconisait la fabrication d’un produit à 10 composants, on faisait en sorte que le contrôle qualité détecte l’oubli d’un des 10 composants, mais on ne pouvait nullement garantir l’absence d’incorporation par erreur (ou salissure ou impureté en trace) d’un 11e composant (et 12e etc.). Les détecteurs ne sont pas universels, pas de sensibilité infinie, et la validation ne peut pas tester les milliards de molécules (ou éléments) envisageables. Décréter une acceptabilité est dans ces conditions un appel à la croyance, à l’induction logiquement fautive (« il n’y a pas de raison qu’il y ait davantage de problème que d’habitude »), en l’absence de preuve sur chaque lot de performances intégralement respectées et de non-toxicité. C’est encore une fois un inverse du principe de précaution, c’est une acceptation du risque, et pas parce que c’est un risque techniquement inévitable mais parce que c’est un choix de ne pas multiplier à l’infini les analyses ce qui coûterait trop cher, en argent et en temps (en d’autres termes, on ne vérifie pas tellement car c’est « pour faire vite et faire du fric »)…
   Et, dans la soupe ayant servi à fabriquer l’ARN messager annoncé, reste-t-il des bases inutilisées et de l’enzyme libérée (injectées pour rien au patient, en espérant absence d’effet nocif), en plus des brins formés ou ceux-ci sont-ils extraits (par chromatographie d’exclusion, préparative, par exemple) ? avec quel rendement, quelle pureté, quels adjuvants chimiques éventuels (pour séparation ou relargage du dispositif de séparation genre greffons lysés) ?
D/ Variations
   Si une légère imperfection est tolérée, quelles différences (intra-lot et inter-lots) de cette imperfection est acceptée ? Le refus à tort de lot n’est qu’un problème industriel de rentabilité (devenant un problème-client s’il y a hausse de prix pour récupérer de la marge bénéficiaire) mais l’acceptation à tort de lot est un problème « qualité », un problème de santé publique. Toutes les imperfections admises, à tous les taux imaginables et avec toutes les combinaisons possibles, ont-elles été prouvées sans conséquence sur efficacité et non-toxicité ? Je ne le crois pas du tout, jusqu’à preuve du contraire.
  Bref, quand des prétendus experts me disent « ayez confiance », je réponds : « non, pas du tout : ma grande expérience de biochimiste dans l’industrie me suggère que vous mentez, comme de coutume, c’est comme ça que ça fonctionne classiquement, avec incompétence (ou/et corruption) des autorités certificatrices » (même étasuniennes, dites sévères).

* Ajout 94, 11/01/2021 (5h) : Stratégie de tromperie
  Actuellement, il semble que de nouveaux couvre-feux sévères soient décidés dans de nombreux départements, tout en criant que le variant anglais (de covid19) est abominable car 70% plus contagieux que l’ancien, le but claironné partout étant de stopper la diffusion du virus, l’épidémie, affirmer causer plein de morts, appelant chacun au civisme obéissant, soumis.
  Personnellement, je n’ai pas besoin de sortir le soir (je suis classé « asocial » par les psychologues), je ne désobéis donc pas, mais je ne crois pas un mot du discours officiel, apparemment pas contesté par l’opposition politicienne. Que la population entre progressivement en contact avec ce virus (comme elle le faisait chaque année avec les virus de gastro-entérite, rhume, etc.) n’est pas une calamité incroyable inouïe (« la pire depuis 1945 » répétait le ministre de la Santé aijourd’hui à la télévision), la question est : est-ce que cette positivité rend les gens gravement malades (ou morts) ? Or cela, je n’ai aucun élément pour m’en convaincre, que tels malades graves ou morts soient positifs au test covid19 ne prouve en rien que c’est la cause de leurs symptômes.
  Je me rappelle d’une phrase célèbre « les mêmes causes produisent les mêmes effets », or avec la positivité covid19, ce n’est pas ça du tout : plein de positifs sont asymptomatiques, même pas du tout malades, ne méritant même pas le terme de « cas » médicalement réservé aux malades (= symptomatiques). De même, les symptômes sont à peu près n’importe quoi, tout désagrément étant imputé à covid19, sans aucune spécificité (donc c’est la réciproque : plein de symptomatiques ne sont pas dus à covid19). Non, ce n’est pas une démonstration de causalité, ça ressemble à une confusion, une erreur de conclusion, d’explication. Personne n’ose l’envisager sur les télévisions, hélas.
  J’imagine un schéma simple :
– Monsieur X diabète + et covid + : décède (c’est dit « tué par covid »)
– Monsieur Y diabète négatif et covid + : survit (c’est dit « asymptomatique, à enfermer en quarantaine stricte en cherchant de toute urgence les cas contacts à enfermer aussi »)
– Monsieur Z diabète + et covid négatif : survit (c’est dit bénin)
  A mon avis, c’est une erreur de diagnostic pour Monsieur X, il est autant possible de dire « comme Monsieur Z touché par le diabète, il allait survivre mais covid l’a tué » que l’inverse : « comme Monsieur Y touché par covid, il allait survivre mais le diabète l’a tué ». Choisir systématiquement la première interprétation est arbitraire, clamer le faire au nom de la raison indéniable est de la tromperie mensongère. En prendre conscience comme je le fais ruine l’intégralité du discours politique et médiatique (et indirectement : populaire façon Facebook-dominant, manipulé et crédule vis-à-vis des autorités prétendues « scientifiques », en fait « anti-logiques »).

* Ajout 95, 15/01/2021 (12h) : « Culture en danger extrême »
   La télévision répète souvent qu’un des scandales super-majeurs de la crise covid19 est que le gouvernement français ait décrété La Culture : Non Essentielle (avec fermeture des cinémas, des théâtres, des musées, des festivals, etc.) et on risque de voir disparaître les métiers d’artistes, acteurs, opérateurs du monde artistique comme maquilleuses ou éclairagistes.
   Je ne suis nullement convaincu que cela soit un scandale : personnellement, je n’aime pas le théâtre, ni les musées, ni les festivals, et j’acceptais de conduire mon fils au cinéma quand il voulait voir tel film mais s’il passe à la télévision à la place, je trouve ça plutôt mieux. Le mot Culture me parait prétentieux et je préfère l’appellation étasunienne : industrie du divertissement. Que plein de gens ici fassent du fric en baptisant glorieusement leur activité « art » (signifiant « beau » objectif, supérieur), sans me plaire, me semble un abus. Si c’est l’argent de gens de goût différent de moi, aimant ça (spontanément ou par endoctrinement scolaire ou médiatique), ça me parait anodin acceptable, et si c’est interrompu dans certaines circonstances, ça m’est égal comme pour la fabrication de fromages et vins, que je n’aime pas… sauf si on exige que je paie les compensations au manque à gagner, là c’est abusif.
   La seule chose qui me marque vraiment est que cette destruction de secteur économique (dont je ne suis pas client), c’est apparemment aberrant pour ce qui me semble une fausse maladie, à caractère pathogène mortel qu’on ne m’a nulle part prouvé, seulement clamé au nom de l’autorité (de dominants affirmant par statut détenir le vrai incontestable, dispensé de preuve). Bref, il y a abus à mon avis, mais cet abus côté « Culture » m’émeut peu.

* Ajout 96, 18/01/2021 (5h) : Semi-souvenir
  Je venais de recevoir un mail de mon ami contradicteur et j’étais en train de lui répondre une contre-argumentation me justifiant quand… je me suis réveillé, hum : apparemment, ce mail était un rêve, et serait un rêve aussi la source à laquelle il répondait (si ce n’est pas en ce moment que je suis en train de rêver). Néanmoins, ma contre-objection me semble intéressante à développer, expliquer, comme rempart potentiel à une critique possible.
  Tel article ou reportage télévisé (« la source ») avait clamé un élément salvateur dans la lutte anti-covid19 (efficacité vaccinale ou autre, je ne me souviens plu’), et moi j’avais contesté que ce soit la vérité certaine, mon ami me répondant alors quelque chose comme « même si c’est un peu mal dit, ils ne font qu’enregistrer une découverte scientifique, il n’y a rien à objecter à cela ».
  Ma contre-objection était alors la suivante : Le simple emploi du terme « découverte scientifique » est contestable, orientant de manière partisane (anti-sceptique) les débats. Je regarderai peut-être la définition précise du mot « découverte », mais elle me fait penser à deux emplois classiques : « découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb », « découverte des mammifères marsupiaux quand a été connue la faune australienne », bref il s’agit je crois de dire : « il y avait une vérité qui nous était inconnue (comme couverte par notre ignorance) et puis, miracle du progrès de la connaissance (ôtant le couvercle de l’ignorance passée), on accède soudain, et pour toujours, à cette vérité ». Et je dénie que ce soit ce que fait la Science. Mon point de vue argumenté est peut-être entièrement basé sur le livre « La logique de la découverte scientifique » de Karl Popper, que j’ai lu en 1981 pendant mon année de classe terminale (et qui m’a conduit à la note de 17/20 en Philo au Bac C, note à l’époque ultra-exceptionnelle dans cette discipline, où 13/20 valait « très bien », 14/20 : « excellent », au-dessus étant à l’époque réservé aux textes géniaux méritant publication et/ou Prix Nobel…). Les prétendues « lois de la Nature » que « découvrent » les Scientifiques ne sont en rien La Vérité désormais connue et pour l’éternité (les scientistes ont tort de le croire, l’affirmer), il s’agit de théories/hypothèses simplement corroborées, faisant l’objet d’un relatif consensus entre leaders d’opinion, et en instance de réfutation expérimentale dans le futur. Bref, en Sciences le mot « découverte » (de vérité) est abusif, il vaudrait mieux dire « acceptation actuelle de nouveau modèle » (par ceux qui se donnent le pouvoir d’en décider). Et Paul Feyerabend a enfoncé le clou en montrant que ces acceptations de théories dominantes proviennent (l’histoire des sciences le prouve) d’aléas psycho-sociologiques de domination effective entre individus de tempérament dominant, sans aucun rapport avec l’épreuve expérimentale objective.
  Bref, qu’il y ait telle « découverte scientifique » (prétendue) n’impose en rien « donc telle est la vérité, les avis différents sont enterrés comme prouvés faux ». Non, tout au contraire, c’est cette affirmation qui est prouvée fausse par l’épistémologie, philosophie des sciences, incitant à l’humilité doutant de tout.

* Ajout 97, 18/01/2021 bis (10h) : Evidemment…
  Aujourd’hui à l’émission débat « L’heure des Pros », il est crié à la malhonnêteté intellectuelle en dénonçant ce que je disais depuis le début : face à la multiplication des décès de personnes âgées vaccinées contre le covid19, le Monsieur Vaccin du gouvernement a en effet déclaré que ce n’est pas le vaccin qui a tué, là, c’est la vieillesse, les comorbidités. Le journaliste demande alors évidemment « pourquoi on disait alors que c’est le virus qui a tué et pas la vieillesse, d’habitude ? Ils ne répondent jamais à cette question ! ». Oui, sans surprise, je l’avais dit, moi, dans le désert et sous les insultes, même (« complotiste », « fallacieux », etc.).

* Ajout 98, 20/01/2021 (3h) : Chiffre de mortalité globale « mis à jour »
  Dans mon ajout 91 il y a 11 jours, je signalais la bombe (avortée) d’une annonce de mortalité globale 2020 inférieure à 2019. Honnêtement, je dois signaler que non seulement ceci ne s’est pas confirmé mais cela a été infirmé hier, démenti catégoriquement (sans expliquer la discordance avec l’annonce précédente). [Enfin, je n’ai pas pu vraiment « écouter » ce qui était dit car, du fait de grève encore au collège (à grévite chronique sans risque, privilège caché par les médias), j’avais la charge de mon jeune fils sans être disponible pour pleinement écouter la télévision.] Quoi qu’il en soit, ce que j’ai cru entendre est qu’il y avait 45.000 morts de plus en 2020 (+9%) par rapport à 2019, ce que les journalistes analysaient comme « c’est la preuve que le virus tue », le seul contre-argument développé semblant « cela peut être une mort légèrement avancée pour des mourants, comme la canicule de 2003, compensée par légère baisse les années suivantes ».
  Cela me parait peu probant :
1/ Si les variations habituelles d’une année sur l’autre sont de ±10%, ce +9% ne serait pas significativement différent d’un aléa probabiliste (faussement dit « statistique »), il ne prouverait rien.
2/ Ce chiffre nous est jeté à la face, mais est-il vrai ou constitue-t-il une décision stratégique des gouvernants ayant le pouvoir de clamer ce qu’ils veulent ? Il est notoire que les chiffres de production de la sidérurgie est-allemande étaient ainsi de la pure propagande. Le fait que deux chiffrages totalement différents aient été annoncés à quelques jours d’intervalle incite à la suspicion davantage qu’à la très grande confiance.
3/ Le dicton « les chiffres ne mentent pas » est faux : quand on biaise les enregistrements, on obtient des chiffres erronés. Ainsi, avoir déclaré « tués par covid19 » tous ceux qui sont décédés de diverses causes tout en étant positifs au covid19 (positifs comme des millions d’asymptomatiques), cela a surestimé systématiquement les chiffres (voire créé ce chiffre artificiellement, la vérité pouvant être zéro cas de lien de cause à effet prouvé).
4/ Comme explications à la surmortalité 2020, si elle était vraie, il y a entre autres choses la focalisation des hôpitaux sur covid19, laissant mourir les gens atteints d’autres maladies, phénomène clamé par des médecins au moment de la première vague (quoique ce soit surtout en « retard de diagnostic cancéreux » causant des morts futures davantage que présentes). Autre point, le confinement (avec solitude/ruine/déclassement pour certains, promiscuité pour d’autres) a été décrié comme accroissant les suicides et féminicides, il ne s’agit pas de « tués par le virus » mais « (indirectement) tués par la surréaction sociopolitique au (prétendu) virus ».
5/ Inversement, le fait que les +45.000 morts discordent des +60.000 « tués covid » (en France 2020) n’est pas à surinterpréter comme mensonge partiel : le confinement strict de la première vague a pu produire moins de morts sur les routes que d’habitude, moins de consommation de drogue (et morts par overdose, par règlements de compte entre dealers), etc. Il y a un tel flou dans les relations causales que le chiffre global n’est pas un signe clair et net d’un phénomène unique.

* Ajout 99, 20/01/2021 bis (10h) : Confirmation inverse
   Aujourd’hui dans l’émission « l’heure des pros », un professeur dit expert confirmait ce que je disais (dans l’ajout 79), en le précisant : il était inquiet de l’emploi de vaccins à ARN messager car il disait que dans toutes nos cellules humaines, nous avons le gêne de la transcriptase réverse, qui transforme l’ARN en ADN, et on ne sait pas ce que va devenir cet ADN éventuel (la toxicité des vaccins en question à 3 ans ou 5 ans n'est bien sûr pas connue). Il précisait que normalement, ce gène est silencieux, sauf dans deux types de cellules : les cellules embryonnaires (je ne sais pas s’il nous en reste après la naissance ou très jeune enfance) et les lymphocytes (que j’ai appris être des globules blancs présents chez tous les adultes, pouvant donner leucémies en cas de mutation d’ADN).
  Bref, je ne disais pas n’importe quoi, et ma position était biologiquement fondée, anormalement lucide/informée/compétente, pas du tout fallacieuse, complotiste, anti-progrès, obscurantiste.

* Ajout 100, 21/01/2021 (17h) : Journalistes littéraires
   J’ai entendu un reportage télévisé clamant que le variant anglais de covid19 est 70 fois plus contaminant que l’ancien. Jusqu’à présent, tous les commentaires disaient qu’il était 50 à 70% plus contaminant. Bref un taux de contamination de 150% à 170% est estimé par la journaliste « non scientifique » comme 7000% ! Bravo ! Et on nous dit que la scolarité a tort de se focaliser sur les Maths ? La réponse (cachée) est simplement qu’il s’agirait de ne plu’ raconter n’importe quoi, ce que les beaux-parleurs ne comprennent pas, décrétant que tout est affaire de verbe élégant et rhétorique.
  Dans le même ordre d’idée, j’entends souvent des analystes interviewés dire « je ne suis pas docteur mais » ou « je ne suis pas scientifique mais ». Et ça me semble d’une insondable stupidité, ignorance crasse. On est diplômé docteur en récitant des milliards de choses, ça ne procure rigoureusement aucune pertinence en analyse de phénomène inconnu. Pareil pour les diplômes de sciences, qui consistent à féliciter les récitations de lois crues vraies (et jonglage avec elles) sans comprendre que ce concept de lois éternelles est un abus scientiste nul en philosophie des sciences, là encore c’est un diplôme de non-lucidité, de quasi-incapacité à l’analyse logique (qui ferait exclure du cursus pour rébellion – il faut donc mentir comme je l’ai fait pour être diplômé en faisant semblant d’y croire, ce qui est douloureux et déstabilisant, rare sans doute).

* Ajout 101, 22/01/2021 (4h) : Parallèle gênant
  Hier en débat télévisé, un journaliste invité habituellement (Ivan Rioufol, du Figaro d'après Wikipedia qui le dit très à droite avec de multiples positions que je conteste) signalait que la menace ruineuse d’un 3e confinement imminent était aberrante car, en 2020, covid19 a moins tué (environ 53.000 personnes en France) que le tabac (75.000 environ) et l’alcool (75.000 environ), or on n’arrête nullement tout en interdisant tabac et alcool donc c’est totalement incohérent. On lui a coupé la parole pour parler d’autre chose, mais ça me paraissait majeur (j’en parlais dès le tableau de l’ajout 20 ou même avant).
  Qui plus est, j’aurais ajouté que les 53.000 morts dits tués par covid19 ne sont en rien des « prouvés tués par covid19 » mais des morts de causes diverses attribuées indirectement à une suspicion d’effet covid19. Le nombre de « prouvés tués par covid19 » pouvant être immensément inférieur voire zéro.
  Mais, en sens inverse, suis-je certain des chiffres 75.000/an pour tabac et alcool ? Absolument pas, expérience à l’appui : j’ai eu un cancer du dos (« parties molles »), qui a produit ensuite deux métastases pulmonaires, et le cancérologue m’a demandé si je fumais ; j’ai répondu « non, pas du tout », sinon il aurait compté cela « causé par le tabac », même si ce n’était pas vrai. Idem presqu’exactement pour un ancien professeur dont on m’a parlé, son cancer de la peau ayant généré des métastases pulmonaires sans qu’il n’ait jamais été fumeur (sinon, cela aurait été compté « cancer du fumeur »). L’erreur de diagnostic causal semble une immense routine en médecine, et ce n’est nullement étonnant vu qu’ils sont sélectionnés comme réciteurs très assidus et nullement comme esprits logiques.
  Mais en se prétendant « L’Elite » de leur domaine, ils prétendent dire Le Vrai, et c’est du simple abus de pouvoir, c'est de l’autorité illégitime.
  Bref, le contexte ambiant semble le mensonge généralisé, ou l'erreur généralisée pas vue, pas comprise, et on fait taire les rares esprits lucides osant douter. C’est simplement lamentable. Ruiner un pays (ou plein de pays) et les générations futures, pour cela (via covid19), me semble un abus éhonté. On nous fait pleurnicher en clamant que quiconque ose contester le verbe officiel devrait venir dans les hôpitaux voir les gens en train de mourir, mais… avant covid19, il y avait pareillement des dizaines de milliers d’agonisants dans les hôpitaux (et il y en a davantage prétendument pour le tabac et l’alcool), alors le pseudo-argument s’auto-détruit. Le principe de précaution « pour sauver » est une malhonnêteté totale, sacralisant certains morts, certaines interprétations, en se fichant éperdument des autres. C’est nul, cela gouverne, oui (et l’opposition politicienne ne fait pas mieux, pas davantage logique en tout cas).

* Ajout 102, 23/01/2021 (10h) : Fausse réfutation
  J’ai lu une nouvelle MSN déniant que covid19 ait fait environ autant de morts que la grippe de 2016-2017, et expliquant que l’augmentation des décès ne s’expliquait pas du tout suffisamment par le vieillissement de la population (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/les-mauvais-calculs-dune-vid%C3%A9o-qui-pr%C3%A9tend-que-le-covid-19-serait-%C2%AB-moins-mortel-que-la-grippe-en-2017-%C2%BB/ar-BB1d06j3).
   Cela me semble faux, incomplet.
   Bien des morts de 2020 l’ont été par non-prise en charge hospitalière (de cancers, AVC, etc.) à cause de l’extrême focalisation covid19. Ces gens n’ont pas été tués par covid19 mais par faute médicale de se centrer exagérément sur covid19, sans preuve de dangerosité extrême. Que la peur ait tué n’est pas une preuve que la peur était justifiée. Compter en globalité les morts à la fin est auto-approbateur invalide, de type « j’ai raison puisque j’ai raison », ça ne vaut rien en logique pure.
   Il y a eu aussi quantité de morts d’anciens liés au confinement, avec syndrome de glissement, les personnes âgées ne pouvant plu’ voir leurs descendants se laissant mourir en masse (un peu comme l’hécatombe des Amérindiens trainés en esclavage en Amérique, et… non pour les morts Juifs de 1940-45, ce n’est pas que ce soit une explication fausse mais il est interdit de l’envisager compte tenu des dogmes imposés sous menace).
   Également, plein de morts sont à mon avis dues à la mise en coma artificiel de patients âgés dits covid19, cette anesthésie générale étant souvent mortelle chez cette sous-population (je le sais depuis 1984). Donc il s’agirait de morts par erreur médicale, à tort classées en « personnes tuées par le virus ».
   Enfin, pour la comparaison des nombres de morts comptabilisés pour chaque virus, c’est totalement biaisé : au temps de la grippe 2016, on ne faisait pas un test de grippe pour tous les malades pour les déclarer « morts de la grippe » s’ils décèdent de n’importe quoi. C’est immensément différent de cette fois, où un dealer abattu de trois balles de la tête et se trouvant positif covid19 est classé « tué par covid19 » (en exagérant à peine).
   Inversement, quoique dans le même sens, cette année on ne fait absolument pas le test grippe (et mille autres virus) pour dire qu’un mort est « tué par la grippe », non cela est exclusivement fait « en faveur » du comptage « tués par coronavirus », c’est un biais explicite, une faute de méthode, cachant apparemment une escroquerie, décidée stratégiquement pour (faussement) « justifier » tous les abus liberticides, économicides, etc.

* Ajout 103, 23/01/2021 bis (16h) : Une contradiction supplémentaire
   J’avais entendu 3 éléments par le passé :
– Le vaccin Pfizer a une efficacité estimée (d’après 1 échantillon, 1 seul, hum) à 95%, avec 2 injections séparées de 21 jours.
– Comme on manque de doses de vaccin, suite à retard de livraison par Pfizer, le gouvernement a voulu retarder la 2e injection à 28 jours ou 35 jours après la première, afin de couvrir davantage de gens en première vaccination.
– Pfizer a répondu que ces conditions n’ayant pas été testées, l’efficacité chiffrée n’était plu’ garantie.
  Et aujourd’hui tombe la décision gouvernementale (via le conseil scientifique ou vice versa) : la seconde injection est maintenant repoussée à 42 jours après la première.
   J’en conclus que l’efficacité n’est plu’ du tout garantie 95%, elle peut être 50% ou 0%, le principe de précaution (s’il n’était pas un mensonge outrancier) devrait envisager 0%. Mais non, pas du tout, les officiels et « scientifiques » et « médecins » spécialistes certifient que l’efficacité est prouvée. Ce n’est pas de la science expérimentale, c’est du jugement au pifomètre dans le sens de la propagande voulue pour arranger les gouvernants. Et puisque le fabricant a signalé le problème, officiellement, cela a forcément été entendu, et donc finalement : c’est sciemment ignoré, cela relève du mensonge délibéré et non de l’erreur malencontreuse par inadvertance.
   Enfin, il y a une part d’incompétence évidente : comme pour les vaccinés décédés, l’argument est « il n’est pas prouvé que », employé exclusivement dans le sens qui arrange et interdit aux opposants. Ainsi, « il n’est pas prouvé qu’après 42 jours, la seconde vaccination ne marche pas ». En interdisant d’objecter « il n’est pas prouvé qu’elle marche ». C’est le principe de précaution à la sauce officielle : « nous pouvons commander n’importe quoi au nom du risque, mais il est interdit de nous commander quoi que ce soit au nom du risque ». Pour les littéraires incompétents en logique, de toute façon, tout n’est que verbe, celui qui parle fort et a le pouvoir obtenant suprématie, domination triomphante. C’est de l’antiscience, anti-honnêteté, c’est ce qui gouverne, affreusement. Oh non, je ne les crois en rien, concernant ce virus, ces gens sont des menteurs chroniques, éhontés (en blouse blanche comme en costume-cravate).
   [Autre formulation (dans la bouche des prétendus experts) : « on peut penser que ça marche » vaut « ça marche, c’est prouvé », avec simple interdiction de « on peut penser que ça ne marche pas », cette seconde formulation étant condamnée pour complotisme, irrationalité, bêtise profonde, obscurantisme. Ce discours est du bla-bla insultant, de la part de gens en faute lourde, sans honte aucune, incroyablement.]

* Ajout 104, 24/01/2021 (1h) : Well, well, bad...
   Quand je parlais de système auto-approbateur (pas probant), dans l'ajout 102, je crois que je cherchais le mot « prédiction auto-réalisante » (ou « auto-confirmante ») : le pronostic sombre engendre la peur, qui fait des dégâts, qui donnent raison au pronostic sombre, tandis que – si on n’avait aucunement cru ce pronostic – il ne serait pas réalisé, il n’était pas objectif indépendant mais constituait une sorte de projet en cours, avec succès pratique (effectif) s’il est cru (à tort).
   Cela avait été mentionné/démontré je crois avec le très marquant sketch radiophonique (CBS 1938 me dit Wikipédia) d’Orson Welles (avant qu’il ne devienne cinéaste célèbre) reprenant le livre « La guerre des mondes » d’Herbert G. Wells comme une vérité en direct catastrophé (avant l’apparition de la télévision). L’homme de radio criait à l’abomination d’une invasion extra-terrestre qui, avant la fin de cette nuit-même, allait faire plein de morts humains (car les cités étaient méthodiquement exterminées), et les gens paniqués se sont enfuis des villes à toute vitesse, avec très multiples accidents tueurs (et exécutions sommaires, dans un pays où les gens, presque tous armés, peuvent massivement tuer les gêneurs graves si la fin du monde semble menacer). Le pronostic de nombreux morts a ainsi été confirmé, pas du tout parce que l’invasion extraterrestre était vraie, non, mais parce que prédiction a elle-même engendré son accomplissement, artificiellement.
   Autre détail de ce canular radio (escompté) devenu expérience sociologique, cette chaine de radio prétendait qu’aucune autre radio ne parlerait de l’horreur actuellement en cours car les autorités voulaient avant tout éviter la panique et ses graves conséquences, d’où instruction ferme de divertir comme si de rien n’était – instruction qu’avait courageusement refusé de suivre cette radio libre et admirable, voulant informer du vrai coûte que coûte ! Et… cela se « confirmait » (aucune autre radio n’en parlait, effectivement) mais pas parce que c’était vrai inavouable caché, non : parce que c’était faux, délirant (souriant, comique au second degré)… Par ailleurs, le « principe de précaution » (s’il avait été défini à l’époque) aurait commandé de fuir de toute urgence les villes, et donc les gens suivant cette « logique » le faisaient effectivement, pas par sagesse mais par prime aux plus alarmistes catastrophistes. Crédulité totale envers les alertes même fausses, soumission active, délibérée, idiote, oui.
   Autre point : quand on compare la grippe de 2016-2017 et le covid19 de 2020, le caractère tueur spécifique à chaque virus n’est nullement la seule différence (qui rendrait la comparaison probante). Comme il y a eu hyper-réaction dans le second cas, avec immenses conséquences artificielles, cela peut expliquer la différence sans que change en rien le caractère objectif de dangerosité virale.
   C’est le même phénomène qui est en routine la base d’erreur dans l’interprétation des corrélations. Il nous est dit que tel couvre-feu (ou tel confinement) a généré telle baisse des contaminations, que c’est prouvé. Non, c’est faux, la comparaison a pu porter sur des villes différentes (présupposer qu’elles auraient eu le même avenir n’étant en rien démontré) ou des périodes différentes (l’actuel n’étant pas démontré suivre l’antérieur en cas d’absence de restriction sanitaire). « On peut penser/imaginer que » est lu « il est indéniablement prouvé que », c’est faux. C’est une dépravation du concept causal (éventuellement via prétendus « experts » réputés dire Le Vrai indéniable par les « incompétents »).
  Les officiels en ont conscience mais n’en parlent que là où cela les arrange : ainsi le fait que des très vieux vaccinés meurent (avec faux argument adverse « ça prouve que ce vaccin tue ! ») est paré en remarquant qu’ils seraient peut-être autant morts de vieillesse avec injection d’eau ou ingestion de jus d’abricot. C’est vrai mais cela devrait s’appliquer autant pour dénier que les très vieux ont été « tués par le virus », quand ils pouvaient en avoir une forme asymptomatique tout en mourant de vieillesse. Et, pour caricaturer à peine, si on nous dit que l’épidémie cette fois est plus grave CAR la chanteuse transgenre Unetelle a gagné le concours Eurovision (ou l’Etat Islamique a été renversé) entrainant colère divine (ou équivalent athée écologiste avec Mère Nature), ce n’est en rien une preuve de lien cause-effet, ça pourrait être une coïncidence temporelle, d’événements indépendants survenus l’un après l’autre. Le littéraire (et le psy et le bio) manipulant la logique tend à dire n’importe quoi de manière aberrante, jugée forte, et convainquant effectivement les crédules majoritaires (formattés ainsi par l’école et son culte de « l’autorité » ?).
  Cela me fait penser à un point méthodologique majeur : le besoin d’essais pharmaceutiques en double-aveugle (l’efficacité et innocuité d’un médicament n’étant scientifiquement établies qu’après comparaison entre groupes mêlés, patients et soignants ignorant qui prend le placébo et qui prend le médicament testé). Sans cela la comparaison est biaisée, l’espoir étant bénéfique (pour le patient) et suscitant jugement optimiste (pour le soignant) sans effet intrinsèque du produit. C’est similaire en matière de dangerosité covid19, le fait de connaître le résultat de test « covid + » peut amener certains patients à se laisser mourir de désespoir, ou conduire certains soignants à employer des remèdes de cheval qui tuent (anesthésie générale de personnes âgées, en coma artificiel dit « mise en lit de réanimation »). Non, on ne compare pas la dangerosité covid19/autres si ce résultat de test n’est pas caché à patients et soignants. On juge l’ensemble, activement biaisé, c’est invalide en logique. Certes, il peut être opposé la contrainte éthique portant sur « le droit de savoir », mais avec cela, les essais thérapeutiques de médicaments en double aveugle auraient été interdits, il faudrait en prendre conscience (l’argument étant potentiellement le même : les « cobayes » ont bien le droit de savoir s’ils reçoivent un placébo ou un médicament potentiellement salvateur). Dire « les chiffres de comparaison ne mentent pas » est un mensonge quand la comparaison est biaisée, sans double-aveugle. Sinon, l’homéopathie sera certainement « validée » dès demain, très facilement, par enquête de satisfaction comptant l’effet placébo en efficacité prouvée scientifiquement. C’est idiot ? Oui, absolument.

* Ajout 105, 29/01/2021 (15h) : Autosatisfaction fautive
   Aujourd’hui, j’ai été effaré d’entendre le journaliste (économique) Jean-Marc Sylvestre « rappeler » qu’avoir sorti un vaccin anti-covid19 en moins d’un an constitue une performance scientifique absolument extraordinaire.
   C’est simplement faux : le travail n’a nullement été bien fait à une vitesse fabuleuse, la vitesse vient de la décision administrative de faire une impasse totale sur la toxicité à long terme, le caractère cancérigène, tératogène, l’efficacité sur les personnes très âgées, l’impact sur la diffusion de la maladie. « Tout ça est très long ? et risque l’échec ? alors pas besoin ! Hop mettons ces requêtes habituelles (habituellement très obligatoires, sans discussion) à la poubelle ! ». Oh non, ce n’est en rien une efficace décision scientifique, ni même technique, c’est une prise de risque colossale, décidée par des dominants incompétents s’autorisant tous les passe-droits. En disant merde au prétendu « principe de précaution » qui était la cause de la tragédie covid19 prétendue (faisant bien moins de morts que le tabac vendu par l’Etat), c’est donc une autocontradiction totale, lamentable, idiote. En être fier n’est pas lucide.
   Mais l’aberration continue. Personne ne réfléchit, apparemment, parmi les politiciens, les médecins, les journalistes, les scientifiques leaders, les "intellectuels". J’aurais pu penser que ça venait du fait que tous chient de trouille à l’idée de sinon être accusés d’une hécatombe, mais à la réflexion ce n’est pas cela : ce cirque a commencé alors que la mortalité était moins du cinquantième d’une bénigne grippe habituelle. Donc, à mon avis, c’est un vaste plan prémédité, de fliquer la population, en l’accusant d’horreur si elle ose exprimer une quelconque résistance. Les dominants adorent évidemment ce paroxysme du pouvoir écraseur, caché derrière une prétendue démocratie où le peuple aurait le pouvoir. A mon avis, ils sont morts de rire (morts au sens figuré, mais très vivants, à « succès » orgasmique). Mauvaises personnes.
   (Non, ce n’est pas complotiste, ce que je dis : il n’y a rien de secret, tout se fait au grand jour, je n'ai aucune information top-secrète, tout est public avec complicités très multiples, de toute "L'Elite", fausse élite mensongère et/ou stupide.)

* Ajout 106, 01/02/2021 (14h) : Une idée géniale ?
  Partout sur tous les plateaux-télés, les animateurs (ou représentants des gouvernants) crient : « mais comment faire autrement (que les restrictions très sévères de liberté) pour sortir de cette crise covid 19 ??? puisque le virus circule !!! ».
  Or je pense avoir la solution, que j’invente, ou ré-invente après Donald Trump (au début, avant d’être contaminé), sale type pour plein de raisons mais là peut-être lucide, sous les crachats des médias français et étasuniens (et ensuite doublé par les gouverneurs de l’opposition démocrate, commandant le contraire total pour but électoral). Il s’agirait d’interdire les tests covid19, et soigner simplement les gens malades de symptômes en fonction de leurs symptômes. A mon avis, le nombre d’hospitalisations n’augmenterait nullement (voire diminuerait avec disparition des « affolés car positifs covid »), le nombre de malades covid19 en réanimation (et morts covid19) deviendrait zéro, puisque le test ne serait plu’ effectué, le nombre total de malades en réanimation (et morts de maladie) diminuerait je pense, car on n’appliquerait plu’ les tueurs comas artificiels aux anciens autrefois dits positifs. Et il n’y aurait rien à confiner ou interdire : si un virus asymptomatique (ou bénin) se répand dans la population, c’est une habitude sans importance, sans gravité aucune. Personne jamais ne m’a prouvé que ce virus tue (quand il n’est pas asymptomatique), que des malades soient malades ou morts n’est en rien une nouveauté covid19, rien ne m’a jamais prouvé qu’il y avait davantage de malades (à symptômes maladifs) depuis qu’est apparu ce virus. Que les morts habituels soient dits « tués par covid19 » est un artefact si le nombre total de morts est inchangé et que des morts habituels sont simplement étiquetés ainsi. Enfin, la panique médicale a pu faire plein de morts artificiels en plus, et la disparition de cette panique « guérirait » le (faux) problème. Actuellement, quand quelqu’un décède de la grippe ou autre, il est déclaré « tué par covid19 » (à tort) si son test covid19 est positif, supprimer ce test annulerait cette conclusion abusive, simplement, résolvant tout – même s’il resterait les décès habituels (et terribles souffrances associées) comme autrefois pré-covid.
  Il se s'agit pas de casser le thermomètre en prétendant guérir de la fièvre grace à cela, c'est envisager que le thermomètre trop précis alerte à tort là où il n'y a aucun problème. Et s’il y avait autrefois augmentation à la fois du nombre de morts et de positifs covid19, qu’est-ce qui prouve que le tueur n’est pas le virus (ou prion) « blabla22 » ? pas encore découvert, celui-ci favorisant la contamination en covid19 aucunement pathogène : avoir inféré la causalité (« covid19 implique mort ») de la corrélation serait une erreur lourde, une faute de logique, une stupidité, faussement dite scientifique parce qu’elle émane de blouses blanches (réciteuses abruties). La vérité (oubliée d’être envisagée comme hypothèse, et nullement démentie, d’où fausse conclusion) serait triple : « blabla22 implique mort », « blabla22 implique covid19 », « covid19 sans blabla22 est asymptomatique », donc la furie sur le vaccin anti-covid19 serait une erreur lourde, une aberration absolue (ne diminuant en rien les taux de décès parmi les personnes âgées et avec comorbidité), faute d’avoir réfléchi. Combien de milliers de milliards d’euros a coûté l’idiotie des gouvernants (faussement dits « représentants ») et experts (faussement dits « autorités incontestables de la compétence incarnée ») ?
  Autre hypothèse alternative à la corrélation interprétée comme causalité, en plus du tiers-facteur (ci-dessus), il y a le cas de la causalité inverse. Ce ne serait pas que « covid cause mort », ce serait que « prémort entraîne covid » (hyper sensibilité à cette contamination par un virus qui donnerait zéro symptôme mais positivant le test covid). Et le vaccin anti-covid ne changerait là encore rien de rien à la mortalité, puisque covid n’est pas le facteur causal de mortalité. Où est-ce démontré faux ?
  Je me trompe peut-être mais ce serait à prouver, et pas par des « on sait que » parachutés sans preuve proprement dite.
  Autre idée voisine de l’interdiction du test covid, en ayant vu comment a été rejetée l’hypothèse « efficacité d’hydroxy-chloroquine », je dirais pareil pour la « dangerosité covid » : pour la croire, il faut obligatoirement une démonstration en double-aveugle, admettant en hôpital/soignant/intubant/constatant-décès sans que patients et soignants sachent le résultat de test covid (ce qui influerait les évènements et constats). Cela n’a jamais été fait, donc la dangerosité covid n’est pas établie. (A mon avis.)
  Enfin, le fait que l’âge médian de décès parmi les « tués par covid19 » soit le même que dans la population générale allait déjà en ce sens : ce n’est pas que ce virus tue, c’est que plein des décès habituels sont maintenant (à tort) prétendus « tués par covid ».

* Ajout 107, 05/02/2021 (4h) : Précision spikeuse
  L’autre jour à la télévision, le spécialiste Science d’une chaine expliquait les variants anglais et sud-africains de covid19, dits très dangereux. Je ne me souviens plu’ des détails, mais c’était quelque chose comme : « variant anglais : le codon 684 de la protéine spike ne code plu’ pour la Leucine mais pour l’Alanine ; variant sud-africain : le codon 339 de la protéine spike ne code plu’ pour l’acide aspartique mais pour l’acide glutamique ; la protéine spike étant le point de surface permettant au virus de s’accrocher aux cellules humaines pour y pénétrer ». Il est possible que ce soit un hasard que ces deux variants concernent une même protéine mais il est très possible que seul ce gène-là (de 700 acides aminés environ donc 2.100 bases ?) soit séquencé (sur les 30.000 bases environ que compte un ARN de coronavirus parait-il). En ce cas, ce qu’on appelle variant pourrait être lié à des différences en pouvoir contaminant, mais à mon avis il serait faux de considérer qu’un variant est homogène en pouvoir pathogène (1 variant spike pouvant correspondre à vingt ou mille variants sur les autres gènes). Je verrai si ça se précise.
  Le site https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-variants-anglais-sud-africain-bresilien-coronavirus-savons-nous-84904/ confirme apparemment que 3 mutations majeures identifiées concernent toutes la protéine S (pour des acides aminés numérotés de 417 à 501), ça semble confirmer ma suspicion que seul 1 gène (d’environ 700 codons donc 2.100 bases) est séquencé, sans examiner le reste des 30.000 bases. En ce cas, plein de variants (sur les bases non séquencées) seraient abusivement jugés « ex-aequo » en classification, ça confirmerait incorrect d’affirmer qu’identifier un variant détermine pathogénicité et pouvoir de diffusion. (Comme en bactériologie, l’identification Escherichia coli regroupe plein de germes bénins non pathogènes et quelques-uns qui sont des tueurs d'humains).
  Je ne sais pas si le test PCR d'identification générale covid19 concerne lui aussi l'ARN total ou quelques gènes ; dans ce second cas, ce pourrait être une confusion totale, faisant qu'on alerte à tort pour des germes non pathogènes, expliquant les cas asymptomatiques. A confirmer, mais je serai suspicieux quand j'entendrai les prétendus experts se référer aux résultats prouvés par analyse, celles-ci étant peut-être très discutables, avec objections compétentes cachées aux non-spécialistes (du séquençage pour identification microbienne, ce qui était mon métier de 2012 à 2018).
  Un mot en plus (16h) : aujourd'hui, il était dit à la télévision que le variant anglais avait au total 18 mutations, dont 3 sur le gène spike. C'est intéressant en ceci que les 18 mutations semblent avoir été détectées sur génome total, alors que le test de routine pourrait être le séquençage de gène spike seul. Ça confirmerait qu'on identifie à tort comme "variant anglais" au vu de 3 mutations, sans garantir aucunement l'identité sur les 15 autres mutations (donc la pathogénicité etc. "variant anglais" serait un groupe de virus groupés au vu d'un seul gène, sans avoir en rien démontré l'homogénéité biologique de ce groupe arbitrairement défini). Ça semble une erreur de méthode, un mensonge organisé. A confirmer.

* Ajout 108, 09/02/2021 (8h) : Simplification dangereuse
   J’ai entendu à la télévision qu’il convenait de porter un masque dès que l’on sort de chez soi, pour simplifier, sans se poser de questions pour savoir si on est dans un lieu confiné ou non, en présence de gens ou non, etc. J’ai aussi été informé que dans ma ville, hors de chez soi le port du masque est obligatoire.
   Mais… je porte des lunettes, et le masque produit de la buée, en cette saison froide surtout (même en lavant les lunettes au savon etc.), me rendant mal-voyant. Je fais avec, habituellement, marchant avec précaution entre deux essuyages des verres, toutefois au volant c’est franchement dangereux alors j’enlève le masque (et j’espère qu’on peut dire que ma voiture est une annexe de chez moi, avec les mêmes occupants seulement). Bref, je n’obéis pas aux injonctions gouvernementales (et municipales), car celles-ci sont dangereuses, stupides.
   Si des gens très disciplinés ont des accidents de la route à cause de cette règle incroyable, les morts seront-ils comptés « victimes de covid19 » ? Elles le sont en un sens, mais pas du tout tuées par le virus, tuées par les aberrations gestionnaires prenant prétexte de se virus pour jouir de l’autoritarisme commandant n’importe quoi n’importe comment.

* Ajout 109, 11/02/2021 (15h) : Affichage
  L’autre jour, emmenant mon fils à un examen médical, j’ai vu une affiche destinée aux « patients positifs au test du covid19 ».
  Je n’irai pas chercher noise en disant que l’Académie Française a depuis quelques mois décidé de mettre covid19 au féminin (comme maladie, D de Disease) et non au masculin (comme virus, le sars-cov-2). Mais… je me suis dit : en un sens covid19 n’est nullement le nom d’une maladie mais le nom d’un test (donc effectivement masculin, ce n’est pas grave). En effet, les médias et les autorités appellent « cas covid19 » une très grande majorité de gens nullement malades, asymptomatiques, il s’agit donc de cas Test+ et non Maladie+.
  L’ambiguïté n’est pas innocente, car le catastrophisme ambiant fait dire que tous les positifs sont des malades, ce qui est faux. En revenant au sens vrai, de covid19 comme maladie, le nombre de cas concernés s’écroulerait, et les mesures d’urgence absolue (appliquées actuellement) paraitraient insensées. Par ailleurs, quand quelqu’un est malade de quelque chose, affirmer que sa positivité au test covid19 (ou calvitie) prouve que c’est la maladie covid19 (ou calvitie) qui le rend malade, cela est faux. C’est une hypothèse parmi d’autres, rien de plus, et pour affirmer davantage il faut le démontrer, ce qui semble n’avoir jamais été fait. Le nombre de malades covid19 (= rendus malades par covid19) s’effondrerait alors, tombant peut-être à zéro. On cesserait de compter « tués par covid19 » les morts de vieillesse, les morts de la grippe, les morts d’autres virus inconnus, les morts par erreur médicale (comme l’anesthésie générale sur personne âgée) etc. Le (faux) problème covid19 serait résolu, faisant économiser des centaines de milliards d'euros (milliers de milliards de dollars à l'échelle mondiale). Peut-être. Rien de rien ne m’a convaincu du contraire. Les médecins (dits « scientifiques ») affirmatifs étant diplômés comme réciteurs stupides, leur crédibilité me parait nulle, leur avis bla-bla n’est en rien démonstratif.

* Ajout 110, 11/02/2021 bis (17h) : Restriction
  J’ai entendu dire que le vaccin Astrazeneca était inférieur aux Pfizer et Moderna car recommandé seulement pour les moins de 65 ans, pas assez bien prouvé efficace sur les plus de 65 ans. Mais… j’ai le souvenir que les vaccins Pfizer et Moderna avaient exclu de leurs études d’efficacité les plus de 75 ans (principal public cible en France), or cela n’a en rien entrainé l’interdiction sur la population concernée (d’où plainte par un avocat disant qu’il fallait informer les vaccinés que c’était un essai clinique non un produit prouvé efficace et sûr, cf. mon ajout 90). Personne ne le signale en ce moment, comme frappé d’amnésie. Je ne comprends pas, ça semble des histoires de gros sous, avec journalistes et politiciens achetés (s’ils ne sont pas stupides ou amnésiques, tous…). Ou bien il y a autosensure, pour ne pas égratigner la bonne réputation des premiers vaccins aussi, ce que des prétendus experts qualifieraient de criminelle attitude sabotant la campagne de vaccination en causant des milliers de morts.

* Ajout 111, 17/02/2021 (7h) : Réflexion simple mais troublante
  Un élément habituellement non donné me paraitrait immensément important, démonstratif. Au lieu de nous affoler en hurlant que chaque jour en France la maladie covid19 tue 400 personnes (de 300 à 500), il conviendrait de nous dire si les morts non-covid sont en nombre inchangé (cas 1 de vraie maladie covid) ou très diminué (cas 2 de fausse maladie covid en fait simple test classant les morts habituels) ou un intermédiaire (cas 3 complexe) :
Cas 1) en 2018 : 800 morts (non covid) par jour, en 2020 : 1200 morts (dont 400 covid) par jour
Cas 2) en 2018 : 800 morts (non covid) par jour, en 2020 : 800 morts (dont 400 covid) par jour
Cas 3) en 2018 : 800 morts (non covid) par jour, en 2020 : 1000 morts (dont 400 covid) par jour
  Ce cas 3 pourrait être interprété comme un cas 2’ (fausse maladie covid), l’accroissement s’expliquant par au moins deux phénomènes : la plus grande mortalité des cas non covid à cause de la focalisation covid des hôpitaux prenant moins en charge AVC cancer etc. et puis la faute médicale par panique covid tuant « covid » plein d’anciens mis pour rien en coma artificiel ce qui les a tués sans raison objective.
  D’après Internet, que je consulte maintenant, nous serions plutôt dans ce cas 3. 2018 : 1640 morts (non covid) par jour, en 2020 : 1780 morts (dont 400 covid) par jour.
  Enfin, ce n’est pas une preuve de « fausse maladie covid », d’autres éléments vont en sens inverse (pour suggérer cas 3 = cas 1’) : une baisse des morts non covid peut avoir été due au confinement sévère (moins de morts par accident de la route) et par généralisation du masque (moins d’infections aéroportées non covid).
  En tout cas, je maintiens qu’il est trompeur ou mensonger de clamer 400 morts covid par jour actuellement sans dire que le nombre de morts non covid a grandement diminué, comme si on appelait « morts covid » les morts de la grippe, de vieillesse etc. Ça bouleverserait le tableau, ôterait la crédibilité du catastrophisme dominant. Le truc covid ne génère pas 400 drames atroces par jour, non, il y a environ 100 décès de plus par jour qu'avant covid et trouver leur cause n'est pas évident, pas forcément dû à une maladie covid19 tueuse.

* Ajout 112, 27/02/2021 (10h) : Livre bombe ?
  Je viens d’acheter un livre qui pourrait enfin me faire comprendre les mensonges exagérateurs au sujet de covid19 : « Le virus et le Président: Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l'Histoire », par Jean-Loup Izambert et Claude Janvier. Je ne sais pas quand j’aurai fini de lire les 321 pages annoncées (peut-être moins d’écrans en version électronique). On verra. En tout cas, ça rejoint le principe de ce site, constatant les mensonges, mais il me manquait le volet "pourquoi ?" et j'espère trouver dans ce livre une explication (au moins possible, cohérente, sensée même si inavouable par les pouvoirs).

* Ajout 113, 02/03/2021 (7h) : Lecture décevante du livre cru majeur (Le virus et le Président)
• Avant les causes de la tromperie (éventuelle), dans le descriptif des mensonges d’Etat, il est signalé qu’avant l’apparition des tests en routine, les « morts tués par covid19 » étaient comptés au simple vu des symptômes. J’ajouterais que, ce virus ne donnant aucun symptôme spécifique, cela consistait à tout attribuer (possiblement) à covid19, d’où envol des chiffres, documentés en rien de rien, simple affirmation péremptoire, au nom de l’autorité et compétence (« médicale »), abus d’autorité. Depuis, avec les tests, ça a un peu changé, mais sans cesser de compter « tués par covid19 » les morts d’autre chose pouvant avoir une forme asymptomatique de covid19 (si ce n’est pas la seule possible – ce qui n’a pas encore été établi, que je sache, coïncidence et même corrélation ne prouvant en rien relation de cause à effet). Bref, ce livre analyse mal le problème, ne comprenant apparemment pas le problème du trucage des chiffres.
• Ensuite, il y a des choses scandaleuses qui sont effectivement signalées, comme la pression de la commission européenne pour qu’il y ait moins de places en hôpitaux, donc débordés saturés avec plein de morts, chaque hiver avant même la crise covid19, la complicité entre l’Etat et les grandes banques derrière les prêts toxiques (aux hôpitaux) finalement couverts par l’Etat donc le contribuable (dont l’avis n’est nullement demandé). Mais le texte vire ensuite (page 116) à la diabolisation du secteur privé, assimilé aux grandes fortunes, en clamant que le secteur public c’est mieux, et que l’école publique (et justice publique, etc.) manque de moyens, et là je ne suis plu’ du tout d’accord : les privilèges fonctionnaires me semblent un scandale (comme le doublement automatique de salaire entre début et fin de carrière en hôpital public, signalé un peu plus tôt pour dire que ces salaires sont immensément insuffisants, je ne suis pas du tout d’accord) et accroître encore l’effectif de la fonction publique, payée par les humbles courageux du secteur privé me parait une totale injustice. Ce texte à charge sans objection de l’autre côté ne me parait donc nullement convaincant mais partisan, engagé, peut-être via mensonge, je ne sais pas. Il parait plausible que la suite affirme que la cause de tous les mensonges covid19 des gouvernements soit le triomphe du Grand Capital, mais je ne vois pas l’argumentaire explicatif (qu’y avait-il à gagner dans cet éventuel projet plutôt que la routine d’enrichissement habituel ?), je serai dubitatif. Wikipédia m’indique que l’auteur Jean-Loup Izambert a été journaliste au quotidien communiste L’Humanité, et l’autre auteur Claude Janvier est un humoriste polémiste, cela explique que ce livre est un crachat voulu un peu outrancier contre le capitalisme vu de manière caricaturale comme ennemi des gens (en cachant la masse immense d’objections au communisme, qui avait besoin de mur pour garder ses « protégés », et sans inventer mieux entre les deux). Enfin, à ce stade de la lecture, je ne garantis pas que le point de vue soit rigoureusement communiste visant l’abolition du secteur privé, ce pourrait être socialiste voulant racket maximal du secteur privé (oppressant donc encore davantage les humbles du privé pour maintenir ses marges) afin de nourrir un secteur public opulent. Par ailleurs, que les financiers aient cherché à s’enrichir dans cette épreuve covid19 (comme partout) n’est en rein surprenant, c’est ce qu’on appelle peut-être la résilience (forme positive de résistance) ou la proactivité (trouver une opportunité dans chaque difficulté qui se présente), sans que les financiers soient à la source de la pandémie ou de sa gestion étatique. La thèse ici est que la crise sanitaire est une fausse crise cachant la crise sociale voulue par les capitalistes anti-peuple, mais… en achetant ce livre, je ne cherchais pas comment les socialo-communistes interprètent le sujet mais une analyse objective montrant des coupables (ou suspects) cachés. Dire que tout ce qui va mal (donc la covid19 en l’occurrence) est la faute du Grand Capital (Staline) ou des Juifs (Hitler) ou des Arabo-Musulmans (Netanyahou) ou autres, ce n’est pas très intéressant, pas intelligent. Restent deux tiers du livre, je continue ?
• Plus loin (page 186), le coupable indiqué est (sous dominance étasunienne) la mondialisation s’en prenant à la « maison France ». Je ne vois pas le rapport avec covid19, et même dans la critique du capitalisme, je ne suis pas d’accord pour exciter le réflexe xénophobe des lecteurs – comme je n’ai nullement celui-ci, je ne fonce pas dans le piège et trouve simplement le pseudo-argument nul, convainquant en rien. On peut être mondialiste humaniste et anticapitaliste. Et ça n’a rien de rien à voir avec covid19.
• Plus loin, il est dit que 55% de la population active est sans emploi ou sous employé, mais je ne suis pas d’accord que tout diplômé Bac+4 en sociologie (domaine choisi en sachant qu’il n’y a aucun débouché) mérite travail correspondant à son diplôme. C’est de la critique systématique, misérabiliste pour donner tort au président, et moi je reproche au président de toutes autres choses que ces trucs mal fichus depuis toujours.
• Autre point choquant du réquisitoire communiste sans aucun rapport avec covid19, l’auteur dit que les salariés qui bloquent les routes sont en état de légitime défense, et je ne suis pas d’accord avec ce blocage d’innocents au lieu de s’en prendre aux coupables gouvernementaux ou législatifs ou patronaux.
• Après avoir cité plein de fois des syndicalistes CGT, vient (page 218) l’annonce que le syndicat Force Ouvrière ce sont des méchants pro-patrons. On est clairement dans la propagande CGT-PCF, et j’imagine que les syndicalistes FO vont porter plainte pour accusation calomnieuse. C’est de la guéguerre entre syndicats, le sujet covid19 semble vraiment ailleurs, pris là en prétexte pour réciter l’argumentaire habituel, s’appliquant à tout et n’importe quoi.
• Sur le principe, le problème des patrons criant qu’il y a trop de taxes pour finalement s’en mettre plein les poches n’a pas été compris : ce n’est pas l’Etat qui fait des cadeaux de centaines de milliards aux plus riches, c’est qu’il les rackettait totalement les faisant fuir loin, et il réduit cette pression pour ne pas qu’ils fuient. Cela revient à remettre en question le racket initial, non à le considérer parfait indéniable avec atroce cadeau aux riches au moindre changement. Et le problème des ultra-riches en secteur privé, oppressant les humbles du secteur privé (qui sont les vrais prolétaires, que ne sont pas les fonctionnaires chéris des auteurs), c’est qu’il y a terrible inégalité dans la répartition au sein des entreprises, ce qui serait cassable par référendum d’initiative populaire sans aucun besoin de communisme – mais les auteurs n’en parlent pas bien sûr : il veulent cacher les alternatives au communisme, ils mentent autant que les monstres (faux « écrasés » de charges) qu’ils dénoncent. Ce livre est de la pure récitation communiste, j’hésite encore à arrêter sa lecture, en cette page 255, mais plu’ que 66 pages, alors je vais peut-être finir.
• Page 259 est présentée la solution heureusement (contre covid19 ?) : nationaliser les banques ! On me semble revenir là au programme socialo-communiste appliqué en 1981-83, sensé partager entre tous les français la « fortune » des banques et qui a abouti au fait qu’en 1983, toutes les banques françaises (nationalisées) étaient devenues déficitaires, n’enrichissant personne. C’est du bla-bla communiste aveugle, n’envisageant pas objection. De la propagande donc, en rien de l’analyse.
• Page 263, les auteurs dénoncent le coût des guerres décidées par le pouvoir « sans l’accord de vos élus au Parlement ». C’est mal pensé : moi aussi, je ne suis pas d’accord avec ces guerres contre les antisionistes décidées par le président au nom du peuple (qu’il donne à massacrer en représailles…), mais comme je ne suis pas du tout communiste, je dénie que les élus au Parlement me représentent : en trahissant le référendum de 2005, ils ont prouvé de manière explicite être de faux représentants et la république s’avère un système menteur pourri anti-démocratique (les auteurs ont simplement oublié d’y songer ; si le lecteur vote communiste, tout va bien ?)…
• Je me souviens que dans les pittoresques discours de George Marchais (caricaturés par Thierry Le Luron), leader communiste des années 1970, le diable était « Le Grand Capital » et « les multinationales », apparemment le discours a légèrement changé ou cache sa parenté, en parlant ici des « entreprises transnationales » et de la « bourgeoisie financière ». Ça reste très proche, sinon. Apparemment sans tenir compte du fait que l’électorat communiste est parti à l’extrême-droite, davantage séduit par le bouc-émissaire « immigration ». Peut-être que ce livre vise à conquérir un nouvel électorat ?
• Premier élément intéressant peut-être (et toujours sans aucun rapport avec covid19 mais avec la récitation communiste), il est dénoncé les énormes dépenses très croissantes du budget militaire de la France, au détriment du budget de la santé. C’est chiffré, en désaccord profond, entendu, merci, mais on peut être antimilitariste comme moi sans pour cela être communiste pro-fonctionnaires pro-étudiants. Par ailleurs, il n’est nullement signalé que l’ennemi prétendu (dans cette dite « guerre contre le terrorisme ») est antisioniste, nous alliant avec les terroristes sionistes contre les justiciers en face. Au lieu de dire n’importe quoi, en laissant mystérieux les départs de français pour combattre dans l’autre camp, il serait plus pertinent d’expliquer le fond du problème (ce qui n’est pas fait ici, peut-être pour ne pas classiquement être assassiné médiatiquement comme antisémite, prétendu). Je préfère l’honnêteté à ces manœuvres.
• Page 276 est signalé un nouvel ennemi du peuple : « contre-révolutionnaires, anticommunistes »… ». Comme un aveu de parti pris total (communiste révolutionnaire).
• Mon bilan : Immensément décevant, se résumant à « votez communiste ! »
  Bien loin d’être des révélations spéciales covid19 éclairant tout, ces pages semblent une application au sujet covid19 (vaguement) de vieux argumentaires anticapitalistes antimondialistes pro-fonctionnaires français pro-études sans débouchés, etc. Sans envisager la moindre réserve en face, non, c’est à charge, nullement équilibré en pour et contre. Le problème covid19 ? la faute au capitalisme ! (comme vraisemblablement : le réchauffement climatique ? la faute au capitalisme ! une belle-mère acariâtre ? la faute au capitalisme !). Dans l’affaire covid19, « bien sûr », l’ennemi ce sont les anticommunistes contre-révolutionnaires ! c’est affligeant de mauvaise foi. Seul petit intérêt : ce livre conforte à certaines pages mon antimilitarisme.

* Ajout 114, 03/03/2021 (9h) : Vaccin obligatoire ?
   Je lis ce jour (sur MSN/Europe1 à https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-faut-il-rendre-la-vaccination-obligatoire-pour-les-soignants-r%C3%A9ticents/ar-BB1ebdfe?ocid=msedgdhp) que le vaccin anti-covid19 a de fortes chances d’être décrété obligatoire en France pour les soignants, car covid19 est devenue la première maladie nosocomiale de France avec 44.000 contaminés en hôpital à ce jour. Qu’en pense-je ?
   A mon avis, si le gouvernement décide cela, alors il sera poursuivable devant les tribunaux pour « volontaire mise en danger de la vie d’autrui » puisque ces vaccins ont sciemment été bâclés, en annulant les études de toxicité à long terme, donc selon le principe de précaution ils doivent être considérés dangereux toxiques (jusqu’à preuve du contraire, en toxicité à long terme, absence d’effet tératogène sur générations suivantes etc.), ce qui devrait bloquer la mesure à court et moyen terme.
   Toutefois, le gouvernement peut contre-attaquer en portant lui-même plainte contre les soignants puisqu’en refusant de se vacciner, ils sont déclarés (par le pouvoir et certains des experts) susceptibles de contaminer les patients « donc » en tuer une partie (même si le vaccin est dit protéger de développer la maladie, pas de la transmettre, ce n'est pas encore déterminé). Mise en danger de la vie d’autrui, inadmissible selon le principe de précaution.
   Bref, mise en danger contre mise en danger, principe de précaution contre principe de précaution, tout est bloqué, ou serait bloqué si c’était honnête, mais le pouvoir a tous les droits, et la fausse justice peut le valider, ou l’inverse, à son libre choix arbitraire. Rien ne sert de réfléchir, tout ne semble qu’une loi du plus fort en régime pourri jusqu’à l’os.

* Ajout 115, 03/03/2021 bis (16h) : Mensonge officiel (suite de l'ajout 90 du 06/01/2021)
  Aujourd’hui, j’ai entendu à la télévision Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, expliquer que le vaccin AstraZeneca, le 3e, était validé maintenant sans plu’ être décommandé aux plus de 65 ans, sans qu’il y ait contradiction : avant on manquait simplement de données pour valider les 65-75 ans, ce n’était pas prouvé inefficace mais pas encore prouvé efficace, et il est normal que les autorités ne donnent pas l’autorisation d’emploi sur un public qui n’a pas encore été validé.
   C’est totalement faux : les 2 premiers vaccins sont employés en priorité sur les « plus de 75 ans » sur lesquels il n’y a pas de preuves d’efficacité/non-toxicité (voir ajout 90), donc ça ne devrait pas avoir été recommandé par les autorités. Personne n’a noté cette contradiction, j’en déduis que tous les journalistes sont nuls, tous les politiciens aussi, opposition comprise, complice ou idiote (blablateuse mais dénuée de sens logique élémentaire). C’est lamentable.

* Ajout 116, 06/03/2021 (7h) : Suite de faux débat
   Hier dans l’émission-débat « L’heure des pros » est revenue la question : « pourquoi y a-t-il tant de soignants qui refusent de se faire vacciner contre covid19 (faut-il rendre pour eux ce vaccin obligatoire) ? ». Tous les débatteurs clamaient qu’ils ne comprenaient pas du tout pourquoi les soignants, les plus proches de la menace et des victimes potentielles, étaient justement ceux qui refusaient le plus cette vaccination. Et puis un des débatteurs (Ivan Rioufol du Figaro, je crois) a suggéré quelque chose comme : peut-être que ce sont les plus compétents, les mieux informés des dangers de cette vaccination… Mais là, l’animateur des débats a mis son véto, faisant taire cette voix : on n’a pas le droit de dire ici, devant des millions de gens, que ce vaccin peut-être serait dangereux, on n’a même pas le droit de le laisser penser, l’envisager, sans affirmer catégoriquement que ce vaccin est prouvé efficace et sans danger aucun. Bref, ce n’est pas du tout un libre débat, pouvant faire émerger les vrais problèmes : il s’agit de faire semblant de réfléchir en aval du dogme, qui est obéissance à la propagande gouvernementale (ou mondiale via l’ONU). Enfin, le fond de commerce de Pascal Praud l’animateur est de cracher des injures sévères contre tel ou tel ministre, voire le président, mais cette violence envers les individus cache clairement une soumission totale au message de fond, avec interdiction de débat contradictoire.
   Dans un autre débat, sur la même chaine C-News, il était expliqué que les soignants sont jeunes, peu menacés par les formes graves de covid19, et à forte immunité, à probable réaction sévère à la vaccination, donc leur balance bénéfice/risque est inverse de celle propre aux personnes âgées en EHPAD (très menacés et peu réactifs). Par ailleurs, il n’est toujours pas établi si la vaccination empêche de transmettre la maladie, ceci n’ayant pas fait partie des critères de validation (pour une raison inexpliquée, peut-être pour minimiser les risques de rejet/refus officiel pour insuffisance en efficacité). Donc l’argument que les soignants doivent se faire vacciner pour protéger leurs patients (davantage qu’eux-mêmes) est invalide pour le moment. Il est également signalé que l’épidémie covid19 semble repartir en Israël bien que 80% de sa population ait été vaccinée, ce qui suggère des doutes.
   A mon avis, le cœur du débat n’est pas là, et semble caché partout. J’ai fait des études de biologie-biochimie, côté diagnostic/tests/analyses pas soin, mais dans ce cursus universitaire figurait l’explication des critères inhérents à l’autorisation des médicaments (AMM : Autorisation de Mise sur le Marché), immense étude sur 10 ans devant prouver l’absence de toxicité sur le patient à court et long terme, sur les générations suivantes, sur l’environnement, etc. Clairement, tous les gens ayant entendu ces détails protocolaires sensés savent que le protocole obligatoire a été bâclé pour sortir en moins d’un an les vaccins anti-covid19, donc la non-toxicité n’est en rien prouvée (notamment absence de caractère cancérigène ou tératogène). Et quand on nous clame à la télé, même en blouse blanche que, « rationnellement », il n’y a aucun risque puisque dans le monde des dizaines de millions de personnes ont été vaccinées contre covid19 sans effet secondaire grave, c’est hors-sujet : la question ne porte pas sur la toxicité à court-terme mais à long terme. Si, 5 ans après l’injection, 20% (ou 100%) des vaccinés développent une sclérose en plaque ou un cancer de l’œil gauche, l’affirmation de non-toxicité aura été erronée. Et les textes réglementaires sont faits pour prendre en compte cette éventualité, c’est à cause de cela que (pour aller vite) ils n’ont pas été respectés (sans aucun miracle scientifique). Et les compétents le savent, eux. Foncer dans l’acceptation (puis l’obligation éventuelle) est une enfreinte explicite (illégale ? criminelle ?) au « devoir de précaution »… sans lequel l’immense crise covid19 ne serait jamais intervenue (puisque ne tuant pas davantage que la grippe de Hong Kong classée bénigne). Donc l’incohérence illogique/stupide domine, l’autorité agitant la peur peut abuser les incompétents, mais les compétents ne sont pas dupes. Effectivement, les télés ne « peuvent » pas le dire, sans risquer l’interdiction, et leur balance bénéfice/risque à eux impose de cacher l’explication… Moi je le dis.

* Ajout 117, 06/03/2021 bis (19h) : Ajout invalideur
  Quand je disais que, pour covid19, la non-toxicité à long terme (et cancérigène et tératogène) n’a pas été examinée contrairement à ce qui est exigé normalement, je ne signalais pas le second volet de ma contestation à ce sujet. Celui-ci n’est pas du tout répandu parmi les personnels de santé, il vient de ma bosse des maths personnelle, avec sens critique hyper-logique : j’ai démontré que la validation statistique de non-toxicité (si elle était pratiquée, quand elle est pratiquée) est une escroquerie, une faute mathématique, confondant risques de première et seconde espèce, pouvant aboutir à déclarer non-toxique un poison avec risque infime (prétendu) de se tromper. Ainsi, on pourrait dire que le curare n’est pas toxique avec comme chances de se tromper : moins d’une sur un milliard de milliard de milliards de milliards ! Impressionnant ? Non, c’est faux : le risque invoqué est le risque de refuser à tort alors que ce qu’on fait est accepter, et le risque d’accepter à tort n’est pas calculé, pas examiné du tout. Si l’hypothèse nulle (aucune toxicité) n’est pas significativement rejetée à risque de refus à tort untel, la conclusion vraie est « pas de conclusion » et aucunement « non-toxicité prouvée » à ce même risque.
  On peut significativement valider dans le sens d’une non-toxicité mais c’est infiniment moins enchanteur : on dirait quelque chose comme « ce vaccin fait moins que tuer une personne sur 347, on peut l’affirmer avec moins de 5% de chances de se tromper ». Le mensonge est donc préféré, en l’affirmant vérité officiellement, bien sûr, légalement pour L’Elite, dont sont exclus mathématiciens honnêtes et logiciens courageux… (Moi je dis : « fausse élite, incompétente et/ou menteuse »).
  (Compléments 07/03/2021, 4h)
1/ Non-représentativité. Quand je disais « tue moins de 1 personne sur 347 », il aurait fallu ajouter « si notre échantillon est représentatif pour le caractère étudié, ce qu’on ne sait pas encore, on le saura a posteriori, on ne fait qu’espérer ne pas s’être trop planté, c’est du domaine de la croyance pas du savoir ». La valeur 1/347 était moyenne, mais le détail sur la population entière à l’avenir pourra révéler quelque chose comme « tue 100% des végans hypertendus diabétiques chauves », simplement il se trouve qu’il n’y en avait pas dans notre échantillon, l’avenir pourra éventuellement regretter qu’on soit passé à côté, simplement il ne fallait pas prétendre à la connaissance objective de tous les cas.
2/ Charge de preuve. Pour des littéraires, il ne pose aucun problème d’affirmer que la non-toxicité est prouvée par l’incapacité du contradicteur à prouver qu’il y a toxicité, le législateur (littéraire aussi) ayant décidé à qui incombe la charge de preuve (donc à qui revient la victoire en cas de doute). « Tout n’est que discours, verbe, qu’on peut orienter comme on veut, au nom du peuple ». Mais mathématiquement, logiquement, il n’en est pas ainsi : si on donne a priori la victoire à un camp, on n’oublie pas qu’est autant valable axiomatiquement la position inverse donnant la victoire à l’autre camp (affirmer que la toxicité est prouvée par l’incapacité du contradicteur à prouver qu’il y a non-toxicité), et vu d’un cran au-dessus, la conclusion est le doute, le relativisme des preuves prétendues (invalides objectivement). Bref, les blablateurs peuvent affirmer n’importe quoi, mais mathématiquement c’est faux, et leur prétention au savoir indéniable est fausse, mensongère ou incompétente ou stupide ou dogmatique.
2 bis/ Biais choisi. Non en termes de vérité (logique) mais d’éthique (morale), un parti-pris a été décidé (par la République Française 2005) : le principe de précaution, qui dit qu’en cas de doute, raison est donnée au camp prudent (jugeant qu’il y a toxicité en attendant preuve du contraire, pas non-toxicité en attendant preuve du contraire). Or cela dément totalement les conclusions officielles concernant ce vaccin, dont la non-toxicité à long terme ne peut bien sûr pas avoir été étudiée à court terme. [Je ne fais que noter cela, sans l’approuver vraiment, car le principe de précaution est un mensonge : s’il était effectivement appliqué à titre systématique, seraient interdits automobile, électricité, chauffage, baignade, animaux domestiques, alcool, tabac, etc. donc le cadre d’ensemble est le mensonge politicien, pas du tout une affaire de grands principes éthiques.]
3/ Vrai débat possible. Hier soir sur chaîne télévisée LCI, j’ai vu un petit morceau de débat (toujours sur : « faut-il obliger les soignants à se vacciner covid19 ? ») où l’essayiste Aymeric Caron disait que la toxicité à long terme de ces vaccins n’est pas scientifiquement exclue, donc il est normal d’avoir des réserves, et une obligation officielle de vaccin serait une scandaleuse offense à la liberté individuelle (de certains, si c’est rendu spécifique aux soignants). Mais l’éditorialiste ex-politicienne LR Judith Waintraub a répliqué que si on commence à dire des choses comme ça, ça ne ferait pas que suggérer le refus aux soignants, mais à la population toute entière (!), ruinant la politique vaccinale qui doit nous permettre de sortir de la crise sanitaire. Son interlocuteur a heureusement tenu bon, en disant que Oui, chaque individu a droit à la liberté de conscience, théoriquement (libre aux gens de faire ce vaccin ou non). Mais les autres débatteurs étaient tous du côté vaccination forcée en rejetant cet élément sceptique « mauvais » (pour la politique escomptée), même s’il était logique imparable. Bref, il me semble bénéfique que ce que je dis apparaisse ici ou là sur les médias, même si la tendance dominante consiste à le balayer sans argument valide. Je rappelle que la crise sanitaire est une décision politique de surestimer la gravité de ce petit mal qui aurait été autrefois classé bénin, pour en sortir il suffirait de cesser de susciter la peur par chiffres truqués (« mort avec test covid+ » arbitrairement compté « prouvé tué par covid », sans preuve aucune), par catastrophisme au bénéfice du doute, ce qui est un choix politique et non objectif.

* Ajout 118, 18/03/2021 (16h) : Nouvelles
   Actuellement, de grands débats crient très fort au sujet de covid19, mais cela m’intéresse peu :
1/ Le vaccin Astra-Zeneca a été suspendu par divers pays dont la France car il y a de possibles effets secondaires graves à confirmer, quoique ce ne soit pas prouvé venir de la vaccination, la fréquence de ces thromboses n’étant pas anormale, et la relation de cause à effet entre vaccination et thrombose n’étant pas établie du tout à ce jour. Mais la population risque de ne plu’ avoir confiance dans ce vaccin (le moins cher, le plus commandé) voire dans tous les vaccins covid19. Il est expliqué que cette interruption de 3 jours était une nécessité liée au principe de précaution ; d’autres clamant que pendant ce temps, les gens continuent à mourir de covid19, donc le principe de précaution aurait dû imposer la continuation de vaccination à tout petit risque (et non confirmé).
2/ Un nouveau variant de covid19 a été identifié en Bretagne, ne positivant pas le test PCR mais seulement trouvé par séquençage. Pourtant les symptômes caractéristiques de covid19 étaient là, d’où ce complément d’investigation.
   Mon avis à ces sujets :
1/ D’après ce que j’ai entendu, la comparaison entre vaccinés et population générale était biaisée, il était dit quelque chose comme « 0,06% des vaccinés AZ font une thrombose contre 0,08% dans la population générale, donc il n’y a aucune inquiétude vraiment ». Ce serait faux : entre 0,08% dans toute leur vie et 0,06% dans les 4 jours suivant la vaccination, ça ne parle absolument pas de la même durée d’observation, le 0,08% en 40 ans pouvant être trois mille fois moins en 4 jours, creusant l’écart terriblement.
   De plus, je suis d’accord pour exiger partout toujours la preuve de relation de cause à effet. Pour l’instant, je n’ai jamais entendu parler de pareille preuve pour les décès dits dus à covid19, apparemment « avec positivité covid19, prétendu facteur causal au pifomètre habituel ». Est-ce que je doute de la compétence ces docteurs ? Oui, absolument : en fac de médecine, le prof de maths (à qui je prouvais qu’il se trompait) me disait « vous n’êtes pas là pour réfléchir mais pour réciter », donc les médecins sont sélectionnés comme des réciteurs ne réfléchissant pas, quelle est leur compétence pour gérer une nouvelle maladie inconnue ? nulle en première approximation.
   Je ne suis pas spécialement hostile au vaccin AZ, mais à tous ces vaccins anti-covid19 développés en 1 an sans aucunement faire preuve de leur absence de toxicité à long terme (avec exemption politique totalement contraire au principe de précaution). Donc il n’y a nullement à invoquer le principe de précaution pour telle microdécision (relative à une toxicité éventuelle à court terme pas vue dans les tests), il a été violé sciemment et sans le dire pour le contexte général.
2/ Si tout test négatif PCR est soupçonné d’être un faux négatif, et c’est raisonnable (au nom du principe de précaution ou de la simple logique), s’effondre toute la politique de test du gouvernement, à coût modéré, puisqu’il faudrait 100% de séquençage, bien plus cher que le test « de référence » PCR et immensément plus cher que les nouveaux tests rapides ou autotests.
   Toutefois, je n’en conclus pas que c’est un cataclysme abominable, car je n’ai toujours en rien été convaincu que covid19 est une maladie (plutôt qu’un faux facteur explicatif pour les morts habituels, de vieillesse ou dites comorbidités, ou décès de cause inconnue comme il y en avait autrefois).
   Au passage je suis très étonné que soient mentionnés des symptômes caractéristiques de covid19, alors que la communication gouvernementale disait que tout symptôme de quoi que ce soit pouvait être imputé à covid19 (donc test à faire) car celui-ci ne donne rien de spécifique. Certes, pour le grand public, ça parlait peut-être de premiers symptômes alors que les hospitaliers parlent plutôt de symptômes avancés. Mais j’ai entendu dire que les gens ne mourraient pas directement du virus mais d’avalanche cytokinique, réaction immunitaire très excessive – et celle-ci n’a pas été décrite comme une invention de covid19, donc elle était déjà définie pour autre chose et n’est pas non plu’ spécifique. On semble nous mentir partout, encore une fois. Les prétendus « sachants » (faux sachants) sont incohérents, illogiques, inaudibles.

* Ajout 119, 20/03/2021 (9h) : Du côté allemand
  Je lis ce jour sur MSN (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/querdenken-le-mouvement-anti-covid-qui-pr%C3%A9tend-penser-diff%C3%A9remment/ar-BB1eLVCQ?ocid=msedgntp ) un mot signalant un mouvement allemand contre les mesures de restrictions prises au nom de la lutte contre l’épidémie covid19. Je cite (« ») en commentant (-->) :
  « (…) des milliers d’Allemands ont prévu de se rassembler dans les rues de Cassel, en Allemagne, pour manifester contre les mesures anti-coronavirus prises par le gouvernement. La plupart sont des sympathisants du mouvement “Querdenken 711” »
--> Je n’aime pas le principe de manifestation, le gouvernement pouvant choisir de l’ignorer totalement, ou au contraire une minorité pouvant obtenir du gouvernement par ce biais des privilèges. Je préfère le référendum d’initiative populaire, empêchant le gouvernement (et telle ou telle minorité) d’imposer des mesures impopulaires au peuple, qui devrait commander en démo-cratie.
  « (…) créé ce rassemblement à la mi-avril 2020, outré par les mesures anti-Covid très restrictives prises par le gouvernement allemand. (…) les membres de “Querdenken” sont très hétérogènes. Parmi eux, des anti-vaccins, des anti-masques, des sceptiques, des négationnistes du Covid, des complotistes, ou tout simplement des individus lassés des mesures restrictives prises pour lutter contre le coronavirus et réclamant de retrouver leur liberté. »
--> C’est un des inconvénients des manifestations, où se joignent des gens très divers, éventuellement non « représentés » par les leaders qui répondent à la presse.
  « (…) plusieurs manifestations ont réuni plus de 20.000 personnes (…) La police est intervenue à plusieurs reprises pour disperser ces rassemblements dont les règles sanitaires sont bannies. (…) ces militants qui espèrent faire tomber leur bête noire, Angela Merkel »
--> C’est classique, ça ressemble à la France, les opposants sont bastonnés (arrêtés, et bastonnés en cas de refus d'obtempérer soumis à l'autorité écraseuse) par le pouvoir et ses policiers, sans se poser la question de ce qu’en pense la population générale. Le référendum d’initiative populaire me paraitrait infiniment mieux. Au passage, je signale que le port du masque à l'extérieur est un diktat politique, non étayé médicalement semble-t-il (cf. non flambée épidémique après la fête de la musique en France, carnaval aux Antilles, annoncés calamiteux atroces irresponsables mais ces annonces étant démenties par les comptages médicaux ensuite), donc prétexte à répression sans raison objective.
  « (…) les chiffres des contaminations en Allemagne augmentent de manière exponentielle depuis quelques semaines. »
--> Cela semble de la manipulation officielle : pour hurler au loup, selon les semaines c’est tel ou tel indicateur (décès, hospitalisaions, tension hospitalière, contaminations) qui est prétendu affolant, sans que jamais n’ait été prouvée la liaison de cause à effet entre positivité au test covid et décès. Mensonge d’Etat, en Allemagne comme en France, semble-t-il.
  « Seule ombre au tableau pour ce mouvement : les soupçons d’accointance avec l’extrême droite. Même si “Querdenken” se revendique apolitique, plusieurs personnes importantes de l’organisation ont partagé des idées d’extrême droite ou ont même été vues en compagnie de négationnistes, comme le relève Libération. De son côté, le fondateur l’affirme : “Les idées d’extrême droite, fascistes et inhumaines n’ont pas leur place dans notre mouvement.” »
--> Là encore, la propagande diabolisatrice gouverne au lieu de réfléchir honnêtement et en respectant l’opinion majoritaire (à supposer qu’elle puisse être libre, malgré le matracage quotidien de propagande). Que telle personne ou telle autre se soit jointe à un cortège suffit apparemment à le « salir », le classifier « mal » dans le manichéisme « Bien ou Mal » simpliste, idiot. On a vu la même chose en France, où la gauche a été classée terroriste car ayant participé à une manifestation contre les assassinats de musulmans avec des islamistes, suspects de proximité avec des terroristes. Basses manœuvres politiciennes. Sans manifester en foules, je préfère exprimer isolément mon désaccord avec le(s) gouvernement(s).

* Ajout 120, 22/03/2021 (7h) : Humilité
  Un ami contradicteur émet une objection intéressante : « Je ne pense pas avoir donné le moindre avis sur le covid. Je m’interdis pour des raisons évidentes le moindre avis en biologie/médecine » (je pense qu’il fait référence au fait qu’il a échoué deux fois au concours d’admission en seconde année de médecine, là où je n’ai essayé qu’une fois avant de m’enfuir dégoûté).
  Effectivement, je dis bravo à son humilité exprimant quelque chose comme « je ne suis pas assez bon dans ces domaines, je laisse donc entièrement la parole aux bien meilleurs que moi ». Toutefois je ne partage pas du tout ce sentiment : le prof de maths de PCEM1, à qui je prouvais qu’il se trompait, m’ayant dit « vous n’êtes pas là pour réfléchir mais pour réciter », je ne m’estime nullement inférieur aux médecins en réflexion, seulement je n’ai pas le goût de la récitation par cœur, bestialité stupide façon perroquet (et très inférieure aux bêtes machines informatiques, en performances). Je ne juge nullement les médecins parvenus : supérieurs en pertinence aux quidams quant à la pertinence de réflexion dans le domaine médical (surtout concernant une maladie inconnue à l’époque où ils ont fait leurs études). De même, je suis très inférieur en récitation à un moine capable de citer chaque phrase des Evangiles mais je me sens pleinement en droit de critiquer les Evangiles, tueurs, racistes, terroristes, esclavagistes d’enfants, etc. De même, je suis très inférieur en récitation à un maoïste fanatique capable de réciter mot à mot le Petit Livre Rouge de Mao Zedong mais je me sens pleinement en droit de critiquer ce livre ou les actions des leaders qui en tirent leur pouvoir. Ce n’est pas que je me sens supérieur à quiconque et roi du monde, c’est qu’à mon avis tout quidam (comme moi et des millions de gens) peut énoncer des éléments de réflexion davantage pertinents que le bla-bla des très fiers réciteurs (trop fiers).

* Ajout 121, 22/03/2021 bis (11h) : Question de principe
  Mon ami contradicteur, dans une autre réponse, me dit : « Je pensais que les décès dus au coronavirus avaient été analysés. Je ne sais pas. Tu sembles sûr du contraire. »
  C’est un malentendu : je doute, je n’ai pas de preuve d’escroquerie, seulement un faisceau d’indications présomptives (ce que la Justice officielle considère suffisant parfois, comme récemment pour condamner l’ex-président Sarkozy dans l’affaire des écoutes Bismuth/Monaco). Libre à quelqu’un de croire la parole officielle, simplement ce n’est pas mon cas, avec mille arguments.
  Quant à l’analyse, je crois comprendre qu’il s’agit d’analyse scientifique, pas littéraire ou psychanalytique. Or j’ai documenté que plein de publications scientifiques sont fausses idiotes absurdes, simplement publiées parce que les relecteurs (ou « grands relecteurs ») sont aussi nuls que les auteurs (ou « grands auteurs »). Ça n’a aucune valeur, sauf que ça fait autorité « indéniable » pour les crédules serviles admirateurs d’autorité. OK, chacun son truc, je ne suis pas comme ça, simplement. J’ai été exclu du monde du travail pour « troubles psychiatriques » car je prouvais faux l’outil fabriqué par mon employeur (refusant de le corriger et empêchant que ça se sache), je prouvais complices ou nuls les autorités de certification (nationales et internationales), je prouvais stupides (moins de 12 ans d’âge mental) les experts auréolés de gloire et prétendus hyper-compétents, alors… hop, on m’a classé « fou », à la mode soviétique. Si l’on dit crotte à l’honnêteté intellectuelle, il est donc effectivement beaucoup plus sage/prudent/efficace/sociable de « croire », gober les mensonges des autorités et célébrités, certes.

* Ajout 122, 24/03/2021 (5h) : Malhonnêteté semi-avouée
   Hier à la télévision (chaîne C-News ou LCI), un « expert » précisait (anormalement) que la déclaration de la commission européenne disant l’innocuité du vaccin AstraZeneca n’est pas tout à fait une preuve d’innocuité mais un jugement que les cas d’effets secondaires graves possibles n’ont à ce jour pas été démontrés avoir pour cause la vaccination. Il disait que, pour établir une cause scientifiquement, il ne faut pas 3 jours pour 30 cas, mais des mois et des mois d’enquête sur chaque cas, ce qui n’a pas été fait (et ne le sera peut-être jamais). Il a donc simplement été jugé que la balance bénéfices/risques, en l’état actuel des connaissances, penche nettement pour recommander ce vaccin plutôt que le bannir.
   Mais… s’il faut des mois pour établir une cause sur un seul cas, il est clair que ce travail n’est nullement effectué pour chaque prétendu « tué par covid19 » ou même « mis en réanimation à cause de covid19 » ou « hospitalisé à cause de covid19 ». Ce qui est pratiqué est un jugement « facile » au pifomètre : « puisqu’il y a positivité covid19, inutile d’aller chercher plus loin, on se contrefout de La Vérité, hop on dit que covid19 est la cause ». C’est facile, c’est pratique, mais… c’est mensonger, c’est un abus de confiance au nom de l’autorité ou de la compétence (prétendue).
   J’ai connu cette situation en laboratoire industriel avec les « études d’impact » métrologiques. Lorsque le contrôle métrologique de nos micropipettes rendait pour l’une (ou plusieurs) un résultat non-conforme (aux normes officielles), il était requis que les utilisateurs disent quel impact cela avait eu sur nos manipulations depuis six mois. Nous n’en savions rien, mais deux possibilités étaient offertes : soit dire que cela a pu fausser les manipulations, les conclusions (en ce cas, six mois de travail était à refaire, générant six mois de retard sur le programme [ou trois ans de retard s’il fallait relancer une étude de stabilité à résultats périodiques tous irréprochables], et notre chef et le grand chef ne seraient pas contents du tout par notre "faute"), soit dire que cela n’a eu aucun impact (en ce cas hop, tout était « validé », et notre chef et le grand chef seraient contents). Evidemment nous disions toujours que ça n’a pas eu d’impact, avec de faux arguments embrouillant les auditeurs administratifs (« les souches de référence, puisque trouvées correctes, prouvent que » alors qu’un défaut de pipette aurait pu donner un faux résultat correct sur le témoin dans une manipulation ratée crue à tort correcte : exemple « trop d’inoculum compensant, sur ces témoins, l’état abîmé d’un facteur de croissance »). Ce n’était pas exactement de l’escroquerie financièrement intéressée pour obtenir augmentation de salaire et intéressement accru aux bénéfices de l’entreprise, non, c’était « ne pas se tirer une balle dans le pied », on disait OK sans décider nous-mêmes de générer la catastrophe organisationnelle. Simplement, maintenant que je suis libéré de cette pression puisque « mis en invalidité » (pour troubles "psychiatriques", nom de l’honnêteté anormale ici comme en URSS), je peux dire que cette pratique en blouse blanche était de la malhonnêteté organisée, mentant en profitant d’être déclaré expert. Et cela était estampillé « Qualité ISO 9000 » et tout, comme irréprochable rigoureux parfait (en paperasse), mensonge organisé en fait, mais chut il fallait pas le dire… et en tout cas : totale interdiction de l’écrire, même en courrier interne (on nous avait fait signer une charte sévère en ce sens, nous engageant à ne jamais dire un mot négatif pouvant être intercepté par un concurrent malveillant – mais tout le monde fait comme nous, était-il dit par ailleurs, concernant cette qualité « certes pas totalement parfaite »). Hum.
   Bref, les autorités politiques (et les journalistes relais) qui clament que la science a prouvé ceci et cela, que les médecins seuls compétents garantissent telle chose, tout cela ressemble à du bla-bla mensonger. Certes, eux sont incompétents, ignorant la pratique routinière de fausse-science, mais les prétendus experts sont des menteurs inexcusables (dans l’affaire des vaccins anti-covid19, voire dans toute la crise covid19 – et dans l’affaire du nuage de Tchernobyl ou de Lubrizol, voire du CO2 tuant la planète, etc.).
   Certes, il n’y a pas pour covid19 « preuve explicite » d’escroquerie en bande organisée. Simplement, les décideurs ont décidé qu’en cas de doute, ce sont eux qui ont raison (la charge de la preuve étant décidée incomber au camp adverse), ce qui est bien pratique, simplement malhonnête. Abus d’autorité, illégitime. Au lieu de dire humblement « on ne sait pas (ce serait très long et très cher si on étudiait vraiment avant de conclure, et avec risque de nous démentir, en plus) »… Alors la malhonnêteté règne, triomphe, fièrement. A tort (mais bien peu en ont conscience, même si un fond de scepticisme populaire a la sagesse de dire « complotistement » : « on nous cache tout, on nous dit rien ! »). « Heureusement », avec le principe de république antipopuliste, à fausses élites écrasant le peuple méprisé, les dominants sont tranquilles et pourront continuer à tromper/gendarmer les gens longtemps, voire éternellement. Moi je soupire, tristement, défaitiste (pas révolutionnaire car pas "optimiste croyant en d'autres leaders qui seraient mieux").

* Ajout 123, 26/03/2021 (19h) : Côté italien
   Je lis ce jour une nouvelle MSN (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-rome-veut-sanctionner-le-personnel-sanitaire-refusant-de-se-faire-vacciner/ar-BB1f0foQ?ocid=msedgdhp) disant que le gouvernement italien veut sanctionner les soignants refusant la vaccination. Je ne connais pas du tout la loi en Italie, donnant peut-être tous les pouvoirs au gouvernement, mais si c’était en France je serais d’avis de porter plainte contre le gouvernement pour mise en danger de la vie d’autrui et non-respect du principe de précaution. En effet, ces vaccins anti-covid19 ont été à tort autorisés sans qu’aient été effectués les obligatoires études de toxicité à long terme, pouvoir cancérigène et tératogène. Ce n’est pas une décision possible anodine, c’est une prise de risque démente contraire à tous les textes réglementaires en matière de précaution obligatoire. Ils ont fait n’importe quoi, soit ! du moins tant que c’est vis-à-vis de gens partisans volontaires (quoique ceux-ci n’aient pas été informés de cette prise de risque)… mais s’il y a basculement vers une obligation légale, c’est forcer la mise en danger sous la menace, c’est de la dictature dangereuse pour la santé, c’est clairement criminel. Enfin, ça le serait si la justice était honnête, ce qu’elle n’est pas : elle est imprévisible, autorisée à décider n’importe quoi. En tout cas, faire éclater le scandale serait salutaire, même si c’était à tort condamné pénalement par des juges aux ordres (ou complices pour d’autres raisons, communautaristes ou autres).

* Ajout 124, 26/03/2021 bis (20h) : Bêtise présidentielle encore
   J’ai entendu à la télévision un propos étrange du président Macron, quelque chose comme « Nous avons été trop rationnels ». Je ne l’ai pas retrouvé comme nouvelle MSN mais Google l’a trouvé comme page LCI (https://www.lci.fr/politique/covid-19-coronavirus-pandemie-vaccin-on-a-eu-tort-de-manquer-d-ambition-de-folie-concede-emmanuel-macron-a-propos-de-la-vaccination-en-europe-2181679.html). Je cite et réponds :
  « Se comparant avec les États-Unis, qui ont déjà vacciné un quart de la population depuis décembre, le président a admis que ces derniers "ont eu un mérite dès l’été 2020, ils ont dit ‘on met le paquet et on y va’. Et donc ils ont eu plus (de vaccins). Ils ont eu plus d’ambition que nous." Puis a avoué : "Nous, on n’a pas été assez vite, assez fort là-dessus. C’est tout à fait vrai et on a pensé que le vaccin mettrait du temps à décoller. (…) Et donc on a sans doute moins rêvé aux étoiles que certains. Et je pense que ça doit être une leçon pour nous-mêmes. On a eu tort de manquer d’ambition, j’allais dire de folie, de dire : ‘c’est possible et on y va’. On est trop rationnel peut-être". »
   Ma réponse : c’est de l’incompétence totale ou un propos mensonger de propagande pro-étasunienne. En effet, ces vaccins n’auraient jamais dû être validés aussi vite alors que n’ont pas été effectuées les études de toxicité à long terme. Cette prise de risque colossale (politique pas scientifique ni inventive) n’a rien d’une ambition ou de rêve étoilé, et avoir tardé pour faire pareil (sans la moindre critique) n'est en rien une rationalité pesant le pour et le contre avoués, c’est une secrète mise en danger de la vie d’autrui, en le cachant et en prétendant assurée l’absence de toxicité (en « oubliant » de préciser : « à court terme, pour le long terme on n’en sait évidemment rien, on verra, tant pis pour les vaccinés si ça s’avère grave, il suffit de ne pas leur dire pour avoir du succès à court terme pour les élections immédiates, le reste on s’en fout, tant pis pour les petites gens, le bas-peuple, l’Elite commande fièrement »).
   Affligeant. Bien sûr pas un mot critique n'était dit à ce sujet sur les télévisions, complices actives (ou idiotes, les pauvres).

* Ajout 125, 30/03/2021 (15h) : Explication économique ?
   Ce jour en émission « Morandini Live », il y avait un débat entre l’économiste (dit complotiste) Philippe Herlin et un médecin politicien. Un peu comme moi, cet économiste disait que les chiffres sont faux, que la gravité est très exagérée, et il ajoutait que la raison à tout cela est un projet économique (d’Emmanuel Macron et autres chefs d’Etats), liberticide, pour tuer les petits acteurs économiques au profit des gros déjà très riches et le devenant bien davantage encore. C’était intéressant, même si ce n’est pas lumineux clair évident.
   Enfin, cet économiste a été cassé sévèrement par le médecin en face (et l’animateur prenant le parti du médecin), et il n’avait pas de compétences pour répondre, n’étant ni biologiste ni informé des questions médicales. Contrairement à ce que j’aurais fait, il a bredouillé que oui, ce virus (pathogène) existe, oui le masque est utile, oui les hospitalisations augmentent, espérant sauver un petit bout de son argumentation, comme quoi on confond lits de réanimation et lits de soins critiques.
   A posteriori, je cherche sur Internet le nom de la théorie économique à laquelle il se référait, c’est le capitalisme de connivence. (Au passage, j’aperçois qu’il est l’auteur de l’excellent livre « Pouvoir d’achat, le grand mensonge » dont j’avais oublié le nom d’auteur). Le site https://fr.wikipedia.org/wiki/Capitalisme_de_connivence explique un peu ce qu’était autrefois le capitalisme de connivence, terme général désignant les gouvernements (prétendument démocratiques) favorisant de gros intérêts aux dépens du bien commun. Moui, ce pourrait être ça, quoique ce ne soit pas clair et manifeste, à mon avis (il se pourrait que les grands groupes soient plus résistants et proactifs en cas de crise involontaire subie).

* Ajout 126, 31/03/2021 (6h) : Cauchemar nocturne
Halte ! Vous ne portez pas le masque en extérieur, je vous dresse une contravention "contaminateur covid19" de 135€ !
– mais, monsieur le policier, je contamine personne : je suis pas malade !
Prouvez-le !
– prouvez-moi que je suis malade !
La charge de la preuve incombe au suspecté malade !
– oui ? alors vous êtes vous-même criminel en faute : vous êtes suspect de tuberculose et choléra, qui impose quarantaine et…
Je ne suis pas malade de ces maladies !
– prouvez-le !
Non, la charge de la preuve incombe là aux accusateurs !
– bref, quand les dominants décident tout et son contraire, ils ont toujours raison contre les petites gens ?
C’est la loi, votée par les représentants du peuple !
– vous voulez dire : ceux qui ont trahi le référendum de 2005, qui avaient auto-amnistié leurs corruptions, qui se votent des retraites privilégiées ?
La loi est la loi, paf 135€ d’amende ! et ce sera six mois de prison en cas de récidive double !
– mais…
Et deux ans de prison en cas de rébellion à la force publique ! Vu ?!
– à vos ordres, dictateurs…
Insulte à représentant des forces de l’ordre, ça vaut aussi deux ans de prison !
– la lucidité est punie ?
Je vous emmène au poste, vous êtes en état d’arrestation !
– comme violence injuste envers les innocents, c’est pire que les bandits !
C’est noté, vous aggravez votre cas ! Taisez-vous, je vous l’ordonne !
– c’est la liberté d’expression à la française ?
Liberté égale droits ET devoirs ! Paf ! Deux ans de prison ! Quatre au total ! La justice le confirmera !
– vous dites : « justice » ?
Les juges, je veux dire !
– ceux qui ont enfermé mille personnes innocentes dans l’affaire Outreau ? vous appelez ça justice ?
Votre Non-silence vaut rébellion, vous en êtes rendu à six ans de prison ! Stop ! Je vous l’ordonne !
– … mmmh… (au secours)… aux défenseurs des innocents (c’est le contraire de cette police, « de la république » contre les gens)…
Huit ans de prison ! Tant pis pour vous !
– aïe, j'ai mal à ma démocratie : "gouvernement par le peuple et pour le peuple", qu'ils disaient, à l'école (d'endoctrinement mensonger)...
Dix ans de prison, stop : le compte est bon !

* Ajout 127, 01/04/2021 (6h) : Elément philosophique sérieux, pas « Poisson d’Avril ! »
   Actuellement, à la télévision, il nous est répété chaque jour des mots comme « que dit la Science à propos des cas positifs ? » ou « incroyablement, les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux, même les publications démontrent tout et son contraire (publications avec comité de relecture pourtant). ». Par ailleurs, le président Macron avait dit au temps du nuage Lubrizol « ne pas croire les scientifiques c’est de la paranoïa », et les journalistes préfèrent dire « ne pas croire les scientifiques, c’est du complotisme ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   A mon avis, tout cela traduit une nullité profonde des journalistes et politiciens en épistémologie (philosophie des sciences). En effet, le scientisme (idéologie affirmant que la Science actuelle dit Le Vrai) n’est pas du tout autant crédible que la science proprement dite, dont le principe est la prédiction avec succès sous peine d’être invalidé (ce qui peut intervenir tôt ou tard, sans Vérité éternelle assurée). De plus, que des diplômés en récitation de théories scientifiques s’expriment librement sur n’importe quoi n’importe comment, cela ne donne que des avis (incertains, peut-être très faux), pouvant plaire aux gens idolâtrant les blouses blanches, mais ça n’a rien à voir avec une théorie scientifique actuellement admise sur le sujet traité. De même, les publications scientifiques ne sont en rien des manifestes de vérités indiscutables mais des propositions de théories soumises à la critique des pairs, avant rejet éventuel (ou admission, certes). Ce n’est pas le fait de publier qui vaut confirmation, le comité de relecture n’écarte que les erreurs méthodologiques grossières et grosses imperfections de présentation, mais le jugement intervient après publication, avant congrès pouvant éventuellement décider changement de théorie dominante (paradigme). Ces réserves logiques argumentées ne sont en rien « folles » (sauf au sens stalinien déclassant ainsi toute opposition aux dominants), et ne constituent pas du tout du complotisme : ce n’est nullement débusquer un complot secret caché mais noter la stupidité aberrante des dominants qui s’étale au grand jour (y compris par des diplômés en philosophie comme notre président de la République, ayant volé son diplôme ou le niveau universitaire est écroulé depuis quelque temps).
  Bref, la société moderne (ou post-moderne) escompte que « les scientifiques » (en remplacement des curés et du pape autrefois) énoncent la Vérité, mais c’est un total malentendu, trahissant les principes scientifiques eux-mêmes. Même si les « prétendus scientifiques » (diplômés en récitation stupide) peuvent accepter tout heureux les honneurs et fortunes liés, sans démentir ce malentendu, que ce soit par bêtise sincère ou malhonnêteté inavouée.

* Ajout 128, 03/04/2021 (10h) : Deux nouvelles navrantes
• Je lis ce jour les nouvelles mesures gouvernementales contre l’épidémie covid19 (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-ce-qui-est-permis-et-ce-qui-ne-l-est-plus-%C3%A0-compter-de-ce-samedi/ar-BB1ffGNb?ocid=msedgdhp) et une m’étonne incroyablement : « Fini, les apéros au parc ou en bord de fleuve. Afin de limiter les rassemblements festifs en extérieur, dont certains ont parfois compté des centaines de personnes ces derniers jours, le Premier ministre Jean Castex a indiqué que la consommation d'alcool sur la voie publique serait interdite ces prochaines semaines. »
  Personnellement, je ne bois pas d’alcool et cette mesure ne me gêne en rien, mais ça semble de la confusion mentale ! Comme si des puritains fanatiques avaient pris le pouvoir et déchainaient leurs foudres d’interdiction en profitant de l’alibi sanitaire. Pour moi, un apéro n’a aucun rapport avec l’alcool, c’est jus de fruit ou soda sucré (ou eau), si c’étaient les apéros qui étaient à interdire, bannir l’alcool serait totalement hors sujet. Mais inversement, des prohibeurs d’alcool (comme aux USA dans les années 1920) peuvent se réjouir du prétexte pour exercer leur dictature anti-alcool. Mais c’est tellement idiot en prétendue justification sanitaire que c’est irrecevable. Je ne veux pas du tout dire que les gens vont continuer à boire de l’alcool (je n’en sais rien et ça m’est égal) mais il est clair que les gouvernants sont d’horribles menteurs nous prenant à tort pour des idiots profonds, ce qu’ils semblent être eux (la prétendue « Elite ») mais pas nous (le « bas peuple »). C’était intéressant à noter, pour le moins, autour du sujet covid19.
• Par ailleurs je lis aussi (à https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/c-est-mauvais-pour-le-pr%C3%A9sident-la-boulette-de-jean-michel-blanquer-ne-passe-pas/ar-BB1ffvt4?ocid=msedgdhp ) : « l'interview du ministre de l'Éducation nationale (...) "Le président a acquis une vraie expertise sur les sujets sanitaires, ce n'est pas un sujet inaccessible pour une intelligence comme la sienne et au regard du temps important qu'il y consacre depuis plusieurs mois" ».
  Et non, je ne considère pas cet homme président comme supérieurement intelligent mais supérieurement stupide et prétentieux, c’est lui qui a dit à Mulhouse « ne pas croire les scientifiques, c’est de la paranoïa », jugement de bêtise profonde, crasse, ignorant tout de la philosophie des sciences, et traduisant un scientisme fanatique, qui relève de l’idiotie fière à tort. Excusable chez un quidam sans prétention bien sûr, mais très coupable chez un prétendu « supérieurement intelligent », oubliant en fait de réfléchir, lourdement déficient en intelligence critique. A la réflexion, c’est encore pire qu’à première vue, pire que du scientisme, vu que le président croit son « conseil scientifique » (pour covid19) où des « scientifiques » donnent simplement leur avis, même sans aucune validation scientifique proprement dite (après expérimentation des dires prédictifs et corroboration non invalidation). Bref, il y a 3 niveau qualifiable de vérité scientifique : 1/ La Vérité vraie (but ultime de la Science, pas du tout atteint encore), 2/ l’état de l’art en science (consensus actuels enseignés en facultés de sciences, révisables avec nouvelles découvertes ou nouvelles invalidations), 3/ l’avis (sur n’importe quoi plus ou moins dans leur domaine) de gens diplômés en récitation de l’état de l’art au moment où ils ont fait leurs études. Le scientisme affirme à tort que 2 est 1, les politiciens et journalistes, idiots, affirment que 3 est 1. L’intelligence consiste à percevoir cela avec clairvoyance, pas du tout à foncer (« le nez dans le guidon ») en 3=1 à la Macron, ou en 2=1 à la scientiste.
  (Complément a posteriori sur l’alcool interdit de vente dans la rue « à cause de la crise sanitaire covid19 » : [04/04/2021]
A/ Un premier argument que j’avais oublié, faute de l’avoir entendu, consisterait à dire : « dans la rue, les gens alcoolisés feraient n’importe quoi, sans plu’ respecter les gestes barrières exigés pour raison sanitaire ; en interdisant la vente d’alcool dans la rue, on prévient ceci ». C’est simplement faux, mal pensé : les gens se saoulant chez eux peuvent parfaitement faire n’importe quoi aussi, comme sortir sans masque et faire des bisous à leurs voisins, l’alcoolisation « dans la rue » n’a aucune spécificité en la matière, c’est mal pensé, semblant cacher une interdiction totale de l’alcool, en commençant par « dans la rue » comme galop d’essai en acceptabilité.
B/ Un autre argument auquel je n’avais d’abord pas songé, faute de l’avoir entendu, consisterait à dire : « avec cette crise sanitaire, l’Etat a compris que les morts évitables sont à éviter, donc puisqu’il y a plus de morts dus à l’alcool que dus à covid19, l’Etat dit stop et cesse de s’enrichir par la vente d’alcool hyper-taxé, mais interdit cet alcool, pour le bien sanitaire de la population, même si elle rechigne à voir son propre bien ». C’est simplement faux encore, l’alcool consommé dans la rue ayant la même toxicité que celui consommé chez soi (lequel entraîne en plus des violences familiales, parait-il), et l’enrichissement de l’Etat avec vente toxique est le même pour le tabac, aucunement mentionné ici. De plus, si le principe de précaution n’était pas un très grand mensonge mais une vraie nécessité seraient interdits automobile, baignade, électricité, chauffage, animaux domestiques, etc.
  Non, ce qui est dit n’est aucunement crédible, même en cherchant très très fort une forme de logique secrète, autre que la jouissance [dictatoriale] à interdire et punir, dominer.)


* Ajout 129, 04/04/2021 (7h) : Balance faussée
  Hier ou avant-hier, il était annoncé aux informations télévisées qu’en Grande-Bretagne, une vaste étude de surveillance sanitaire avait montré qu’après vaccination anti-covid19, 30 personnes avaient souffert de thrombose grave (8 en étaient mortes) sur 15 millions de personnes vaccinées. Il était dit que cela était non négligeable mais que la balance bénéfice/risque restait largement en faveur de la vaccination. (Je pense que cela faisait référence à une létalité covid19 comme 100.000 morts sur 5 millions de contaminés). Est-ce que cela me convint enfin ?
  Non, je pense que cette balance est fausse donc sa mesure biaisée. En effet, sur les 100.000 prétendus « tués par covid19 », pour combien la relation de « cause à effet » a-t-elle été prouvée (entre positivité au test covid19 et décès) ? Peut-être zéro, ce qui bouleverse le compte, passant de 100.000 à zéro, et le vaccin dangereux (rarement) perdrait la comparaison en bénéfice/risque puisque s’effondrerait totalement l’estimation de bénéfice.
  Il y a d’autres chiffres très douteux, mais cela semble secondaire à l’objection première (ci-dessus) :
– Les 5 millions de contaminés sont évalués parmi les testés, mais peut-être qu’il y a bien davantage de contaminés parmi les non-testés (diviser par le vrai total des contaminés abaisserait le bénéfice).
– Il y a peut-être un grand nombre de faux positifs et faux négatifs au test, classer (les morts et les contaminés) selon la réponse au test n’est pas pertinent mais une très vague estimation dans le brouillard, en faisant un peu n’importe quoi, avec force de persuasion nulle.
– Les 30 thromboses et 8 décès sont comptabilisés parmi les cas ayant été investigués, sans garantir en rien qu’il n’y en ait pas eu d’autres, malades (ou décédés) à la maison, sans investigation médicale poussée. (Le risque serait alors sous-estimé.)
  Bref, encore une fois, quand on nous dit « la Science prouve que », ça semble très faux, très peu crédible logiquement, il s’agit d’affirmation très contestable, aucunement validée par prédictions confirmées justes, simple avis de « blouses blanches au top » (hauts diplômés en récitation de vieux trucs biomédicaux dits scientifiques, avec possible nullité crasse en logique, en mathématiques).

* Ajout 130, 06/04/2021 (20h) : Mal dit faussement affolant
  J’ai vu ce jour sur un plateau télé un médecin (généraliste) dire que « cette maladie covid19 est très particulière : 50% des malades sont asymptomatiques ».
  C’est faux, incompétent ou malhonnête : il faudrait dire « cet agent microbien n’est pas toujours pathogène, 50% des contaminés ne sont aucunement malades. » Cela annulerait en partie le catastrophisme ambiant, hurlant au vu du nombre de contaminés (dit « nombre de malades »), cela casserait le système excessif sciemment trompeur. Mensonge d’état, et même international.

* Ajout 131, 07/04/2021 (16h) : « Responsabilité »
  Entendu à la télé en émission « Morandini Live » : (avec cette pandémie) « si vous n’avez pas peur, vous êtes irresponsable ! ».
  Je ne suis absolument pas d’accord. Je n’ai pas peur et je juge les prétendus responsables comme des menteurs escrocs dictateurs. Je mets un masque à l’extérieur sous la menace de punition financière, ce n’est pas de la peur du virus, c’est de la prudence « budgétaire » (ne jetant pas l’argent par les fenêtres, compte tenu de la dictature policière en place). Je n’affirme pas qu’il n’y a aucun problème en matière de virus pathogène, je juge qu’il n’est en rien prouvé (que l'agent éventuel en question soit celui de la PCR en question, du vaccin en question) et que la masse de mensonges explicites des autorités (y compris « scientifiques ») incite au doute. Le doute peut être prudent, rien ne prouvant qu’il n’y a pas de problème, mais ce n’est pas de la peur, non. Et ça me semble davantage responsable que les intoxiqueurs mensongers truquant les chiffres pour oppresser les gens. Oui, truquant, puisque tout mort « avec positivité au test covid19 » est faussement affirmé « incontestablement tué par covid19 », mensonge total (se dispensant des preuves obligatoires à pareille affirmation), d’où chiffre cumulé à crédibilité nulle.
  Par ailleurs, j’ai entendu des médecins généralistes clamer qu’eux sont capables d’expliquer aux vaccino-sceptiques qu’il faut se faire vacciner, avec tous les arguments scientifiques nécessaires, summum de la responsabilité.
  C’est faux. J’ai travaillé 34 ans dans l’industrie biomédicale et je sais comment ça se passe : les performances (genre efficacité et non-toxicité) ne sont en rien prouvées sur chaque lot : un lot d’essai (ou trois) a été largement testé pour estimation des performances, puis ce sujet est affirmé « acquis éternel » sans plu’ être questionné, les lots suivants étant jugés similaires sur des critères ultra-partiels sans aucunement vérifier leurs performances quantitativement. Donc « il est prouvé que le vaccin que je vais vous injecter a 93% d’efficacité » est un mensonge total. Les incompétents ne le savent pas, même s’ils se prétendent spécialistes ou/et scientifiques ou/et responsables.
  Par expérience, les grands scientifiques multi-publiés que j’ai connus à mon travail étaient d’ambitieux escrocs à moins de 12 ans d’âge mental, simplement dominants en système pourri jusqu’à l’os (et avec complicité d’experts aussi nuls ou menteurs, d’autorités de validation corrompues ou stupides aveugles). Que ces gens-là se qualifient de seuls responsables est simplement non crédible, nul.

* Ajout 132, 09/04/2021 (9h) : Sensibilité d’analyse
   Ces jours-ci, j’entendais parler des nouveaux tests Covid19, antigéniques ou dans la salive ou autotests, pratiqués à l’étranger et mal acceptés par le gouvernement français, pour cause de performances. Effectivement, la question des faux négatifs et faux positifs me semble très majeure, mais au point que cela met en doute même la référence PCR :
– On nous dit qu’il n’y a « cas contact » que si on a côtoyé un individu positif 15 minutes ou davantage, alors que (selon moi) il peut nous avoir craché quelques virus dessus dès la première seconde, pourquoi cela ne compte-t-il pas suspicion de positivité ?
– Le professeur Raoult tempêtait qu’en PCR, on fait n’importe quoi (avec plein de faux positifs) si on pousse jusqu’à 25 cycles (d’amplification) au lieu de 15 cycles, alors que (selon moi) les positifs à 25 cycles (ou 60 cycles) n’inventent pas du virus, il y en a mais en quantité jugée négligeable à ne pas prendre en compte, pourquoi ? puisque en microbiologie (les gens compétents sont informés que) 1 devient mille qui devient un million…
– Si infecté ne valait pas contaminé, pourquoi compter contaminés les asymptomatiques pas malades du tout ?
– Bref, il y a une transition entre quantitatif fin (tant de virus) et qualitatif simplifié (négatif dit pas-malade ou bien positif dit malade) qui semble arbitraire très très douteuse. Décréter que la PCR avec tant de cycles a raison est arbitraire, crédible en rien, purement artificiel, et dans le cas de covid19, je ne pense pas qu’on puisse dire que c’est consolidé par une corrélation analyse-biologique/tableau-clinique car la décision a été prise au départ de tout subordonner à l’analyse biologique : un non-malade avec analyse positive est affirmé malade, un mort suite à accident de la route ayant une analyse covid19 positive est compté tué par le virus.
  A mon avis, les médecins font n’importe quoi n’importe comment, et je ne les crois en rien. Qu’ils se clament spécialistes hyper-compétents n’est pas crédible une seule seconde : ils ont été sélectionnés et diplômés comme moutons réciteurs s’interdisant de réfléchir, a priori ce sont des ânes répéteurs disant ce que les autorités médicales leur disent de dire. Force de persuasion : nulle ou encore moins.

* Ajout 133, 09/04/2021 bis (13h) : Eglise déviante
  J’entends à la télévision que des prêtres ayant organisé une messe sans masque ni distanciation sociale sont mis en garde à vue (en prison) pour « mise en danger délibérée de la vie d’autrui », qu’est-ce que j’en pense ?
  Le mot « délibéré » me parait central. En effet, les ministres qui ont fait des erreurs sanitaires avec affirmations mensongères (masque dit inutile, etc.) sont affirmés non-poursuivables pénalement/policièrement car, même si leurs erreurs avaient fait plein de morts, ils ne l’ont pas fait exprès pour tuer. Or ces prêtres ne voulaient pas davantage tuer les fidèles. Ils ne faisaient que bafouer une loi (ou décret ou quoi) affirmant qu’il faut faire ceci et ça, soi-disant parce qu’il y a un danger, sans que la population soit habilitée à émettre un avis à ce sujet. Et la relation de cause à effet entre résultat de test covid19 et décès n'a jamais été présentée, seulement clamée au nom de l'autorité, ce qui est invalide, nul, abusif.
  Bref, j’ai l’impression que c’est un degré de plus dans la dictature de la fausse élite, autorisant les puissants à faire n’importe quoi et pourchassant les petites gens n’obéissant pas à leurs diktats.

* Ajout 134, 12/04/2021 bis (15h) : Divers éléments en plus
• J’ai entendu dire en débat télévisé qu’une étude « scientifique » irlandaise établit que la contamination covid19 s’effectue à plus de 99,9% en intérieur, presque pas du tout en extérieur. Les commentateurs disaient que ça confirme complètement aberrante l’obligation du masque en extérieur sous peine d’amende ou prison pour prétendue « mise en danger de la vie d’autrui »… J’ajouterais que, quand pendant ce temps le gouvernement punisseur vend alcool et tabac tuant des dizaines de milliers de Français chaque année, les accusateurs de « mise en danger de la vie d’autrui » semblent davantage coupables que ceux qu’ils accusent. Les dominants dominent, écrasent injustement, mauvaises personnes, pourries jusqu’à l’os. L’opposition politicienne ne le dénonce pas, semblant candidate à faire pareil, simplement, pas du tout à mettre au pas les dirigeants par référendum d’initiative populaire, vraie démocratie enfin, non pas du tout. Tous pourris, donc.
• On nous clame souvent que l’efficacité des vaccins anti-covid19 a été prouvée scientifiquement, donc incontestablement. C’est faux, doublement. Non seulement La Science ne dit pas La Vérité incontestable (sauf pour les aberrants scientistes, « oubliant » que chaque révision de théorie dominante invalide ce principe), mais ce n’est pas là de la Science, seulement de la technique. Il s’agit de vérification technique, pas du tout de découverte scientifique. Il est totalement faux d’affirmer que tout ce que fait une blouse blanche dite scientifique est « donc scientifique » (manger à la cafétéria, exprimer un avis incertain sur quelque chose, etc.). On entend souvent les journalistes dire « je ne peux pas dire si ce médicament marche : je ne suis pas scientifique, mais j’observe que… » ; c’est une erreur, être scientifique ne donne pas valeur de vérité du tout, simplement un avis un peu davantage informé de trucs divers, à supposer que l’enseignement dise vrai, ce qui s’avère souvent faux. Concernant cette étude d’efficacité pour le vaccin X, il a simplement été mesuré telle efficacité à telle date sur tel échantillon dans tel environnement ; que ce chiffre constitue un modèle prédictif valide éternellement, et pour toute la population, ça n’a même pas été formulé comme hypothèse à valider, et encore moins été validé. Affirmer le contraire est de la propagande, même pas scientiste car il n’y a même pas validation temporaire en attendant preuve du contraire. C’est du bla-bla nullissime, vaguement chiffré sans s’interroger sur la validité de ces chiffres. Cela me semble justifier la réponse « j’y crois pas » si mon médecin traitant me prétend cette efficacité prouvée, et s’il dit « mais vous êtes de formation scientifique ! », je répondrais : justement, je décode le mensonge de l’intérieur, arguments à l’appui, logiques, anti-crédules.
• Je vais peut-être acheter le nouveau livre du Dr Christian Perronne (« Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! »), renvoyé de son travail pour avoir osé dire ce qu’il dit et documente. Interviewé aujourd’hui dans l’émission « Morandini Live », il révélait aux gens ébahis (confirmait à moi-même, lucide depuis le début) que le nombre de tués par covid19 est faux : si on entre à l’hôpital pour un infarctus gravissime, on est testé covid19 comme tous les entrants, et si l’on est trouvé covid+ et qu’on décède (de l’infarctus) on est compté officiellement « tué par covid19 ». C’est faux, c’est très général, systématique en France. Par contre, il ne voulait pas répondre (sous les caméras) à la question « pourquoi on fait ça ??? », disant que c’était aux décideurs de s’expliquer. Moi je réponds mon interprétation : à mon avis, c’est pour affoler au maximum les gens, pour faire gober les lois liberticides qui sont appliquées, brimant excessivement les gens sans « vraie » raison, ruinant l’économie mais ils veulent pouvoir clamer « c’est pas notre faute, c’est cette immense calamité qui s’est produite, responsable de la ruine ». Truquer les chiffres cache le problème, la manœuvre. Quant à savoir, un degré en amont, pourquoi avoir voulu cela, je ne sais pas. J’envisage : jouissance autoritariste, plan d’enrichissement secret, calcul politicien pour être réélus comme sauveurs, etc. Une autre hypothèse serait que la haute administration de santé a très stupidement mis en place un système de calcul décidant les budgets en fonction des « nombres de décès covid19 », d’où (sans s’en rendre compte) incitation à mentir et maximiser le chiffre, pour le fric ; ce ne serait pas volontaire de la part des décideurs, mais immensément idiot de ne pas avoir compris le piège construit là, et les soignants (ou nombre d’entre eux) seraient les menteurs – je ne sais pas, j’envisage.

* Ajout 135, 19/04/2021 bis (3h) : L’explication peut-être
   Cette nuit, en rêve, il m’est apparu ce qui pourrait être l’explication en France de l’alarmisme forcené anti-covid19 : en débat 2022 de l’entre-deux tours présidentiels, l’ex-président Emmanuel Macron interpellait l’outsider Marine Le Pen. « Eh, expliquez-nous, pour rire, comment vous allez rembourser l’énorme dette nationale covid19 ! Vous êtes nulle en économie, tout le monde le sait (alors que c’est ma spécialité), ce serait la ruine du pays à votre façon brouillonne n’importe comment ! Vous n’êtes pas crédible du tout ! Et c’est grave ! ».
   Comment tout s’articule autour de ça ? Dès Mars 2020, alors que covid19 était à ce stade bien moins tueur qu’une grippe annuelle normale, le président Macron a clamé que nous sommes en guerre et qu’il fera tout « quoi qu’il en coûte », ouvrant très grand le robinet à centaines de milliards d’Euros, à crédit puisque nous ne les avons pas du tout, l’Etat vivant en déficit depuis 40 ans. Puis il a « chauffé » les fonctionnaires, en n’ouvrant pas le robinet pour les infirmières en lamentation, seulement une augmentation minuscule, et si Marine Le Pen élue voudrait cesser le déficit en diminuant les dépenses, ce serait la guerre civile, des fonctionnaires bloquant tout en grève dure illimitée avec violence en face de la population sans solution. Puis Macron a nommé ministre de la justice un avocat ami des délinquants, faisant hurler la droite mais celle-ci est débordée par les « durs » d’extrême-droite, bien plus crédible en sévérité, donc cela élimine la droite modérée. Puis les ministres de l’Enseignement ont dénoncé l’Islamo-Gauchisme pour assimiler Gauche et Terrorisme, hop : gauche éliminée. Pour les écologistes, il suffit de laisser leurs extrémistes fanatisés déjuger leur mouvement entier, ils font ça très bien tout seuls. Tout cela prépare la finale Macron-Le Pen, qu’elle devrait perdre puisque nulle en économie et ayant viré son conseiller économique (Florian Philippot) et pas tranché encore entre acceptation de l’Euro ou non, n’y comprenant clairement rien. Stratégiquement, ça semble un plan macronniste millimétré, impeccable.
   Pour servir ce plan : gonfler le plus possible les chiffres de morts covid19, maximiser les entraves à l’économie, déverser des milliers de milliards à crédit. Ça peut effectivement aboutir à son triomphe, même si le virus sars-cov2 (dit covid19 pour la maladie ou non-maladie associée) n’est peut-être pas pathogène, d’où les millions d’asymptomatiques.
   Le mensonge vaincrait, oui ça peut tout expliquer.
   Note : je devine l’objection, évidente « Faux ! Les personnes âgées mourraient en masse de covid19 dans les EHPAD, depuis la vaccination des anciens c’est fini ! Ça prouve la véracité du truc ! ». Non : avant covid19, les anciens mourraient de vieillesse en EHPAD, puis on a dit que cette mort s’appelait covid19 (parce qu’ils avaient un test positif au bidule, souvent ou toujours asymptomatique), puis après vaccination ils n’ont plu’ le test positif donc ils meurent de vieillesse sans que ça s’appelle « tué par covid19 », ce serait une arnaque jouant sur les chiffres à mortalité globale inchangée. Des chiffres partiels peuvent mentir, la relation de cause à effet n’a nullement été montrée (entre test et décès, puis vice versa)

* Ajout 136, 10/05/2021 (12h) : Publicité mensongère
  Il y a à la télévision depuis quelque temps une publicité « covid19 » (https://www.youtube.com/watch?v=mFhD7q7qoHM) à première vue mignonne, avec une jolie chanson douce de Gilbert Bécaud, et ça fait sourire d’après le scénario : une vieille dame retrouve avec émerveillement ses adorables petits-enfants souriants et leur fait des bisous au ralenti bienheureux, mais c’est un rêve, elle est en train de se faire vacciner pour ça (et le dialogue est cocasse : Ça vous a fait mal ? /Non, au contraire…)… sauf que une image rapide (3 secondes sur 50) écrit alors « Pour le moment, même vaccinés, continuons à appliquer les gestes barrière et à porter le masque ». Donc, la population suivant ce film va se faire vacciner pour faire des bisous idylliques sans masque et… en fait il faut continuer à porter le masque quand même et bisous interdit avec 135€ d’amende policière ! Arnaque totale ! Certes, l’avertissement est écrit, on ne peut pas dire que c’est caché, mais alors les trois quarts du film sont hors-sujet sans rapport avec la conséquence vraie. C’est de l’abus publicitaire, un peu comme la pub vous vantant une voiture avec une très superbe compagne au côté de l’acheteur, conquise radieuse aimante et… quand vous l’aurez achetée, la voiture, en vrai il n’y aura aucune superbe créature allant avec (certes, c’était suggéré, pas garanti par contrat noir sur blanc, c’est de la tromperie restant légale). Comme la publicité pour le Loto montrant le joueur devenu millionnaire alors qu'acheter ne l'entraine normalement pas du tout. Ce genre de procédé (tromperie marchande poussant à la vente abusive), employé pour que les gens réticents à la vaccination se fassent vacciner, trompés par souvenir approximatif de l’essentiel de la vidéo, me parait un abus. (Payé par nos impôts, sans nous demander notre avis, comme d’habitude).

* Ajout 137, 14/05/2021 (12h) : Le "génie" « hélas » expatrié
   (Je suis allé voir mon médecin généraliste pour une toux avec écoulement de nez, en passant un test covid, négatif pour avoir droit d’aller en salle d’attente, et à part examiner ma bronchite-trachéite, le docteur a dit que je devrai absolument me faire vacciner anti-covid19, puisqu’avec cancer et surpoids et âge avancé, et il avait essayé plusieurs fois de me contacter pour ça par téléphone, mais sans succès et il ne laisse jamais de message. Ce sera à faire peut-être dans quinze jours, a-t-il dit, le temps de guérir de ma maladie bénigne actuelle. Je n’ai pas dit que je suis contre, je n’ai rien dit, pas besoin de clash à l’avance puisque ce n’était pas le sujet de la visite du jour. Je n’ai en rien la preuve que ce vaccin est dangereux, ce que je dis est qu’affirmer qu’il est prouvé sans danger notable est un mensonge. Pour avoir le droit d’aller aux Philippines voir ma belle-famille en 2022, peut-être que je vais me laisser vacciner même si je ne suis pas d’accord avec la dictature injuste l’imposant pour bouger librement.)
  J’ai entendu des journalistes (et/ou politiciens) se désoler que la France ait été le seul pays à droit de veto ONU à ne pas avoir inventé de vaccin anti-covid19. Dans les discours, cela était attribué au manque de soutien public à la recherche en France, conduisant nos tout meilleurs chercheurs à s’expatrier à l’étranger pour y concrétiser leurs géniales découvertes. Et il était pris en exemple que le numéro 1 d’une société américaine ayant réussi la prouesse du vaccin anti-covid19 était ainsi un très brillant français, mais ayant dû partir, quel gâchis de chasser ainsi les cerveaux !
   Or… il se trouve que je connais cet homme qui a été mon N+50 (ou 47 ou 53) dans l’entreprise qui m’employait et dont il était le grand chef. Ce n’est absolument pas un chercheur, pas un inventeur, il était seulement au top de la gestion financière et des mensonges adressé au public et personnel. Que cet atroce personnage (applaudi par l’encadrement avide de promotions, mais la base n’était pas dupe) soit parti : bon débarras. Qu’il mente pour d’autres, en générant plein de fric abusif ailleurs, c’est possible, mais ça n’a absolument aucun rapport avec la recherche qui trouve bien. (Enfin, il semble que des actionnaires très riches aient embauché de bons chercheurs américains et un "bon" menteur français, le fric achète tout.)
   Je rappelle que cette affaire du vaccin anti-covid19 en moins d’un an au lieu de 10 ans habituellement pour les vaccins, ce n’est en rien un prodige de la science progressant immensément en efficacité ou efficience ; c’est un mensonge total ayant bravé toutes les règles sanitaires imposant de prouver la non-toxicité à long terme, l’absence de caractère cancérigène et tératogène, etc. Ce chef-menteur (bien connu comme tel par les gens compétents) a été le tout premier à clamer « on va le sortir tout de suite », et c’était un énorme mensonge présupposant que les précautions règlementairement obligatoires (pour prudence habituelle, sans même de fanatique principe de précaution infini) seraient mises à la poubelle, ce qu’ont fait effectivement les décideurs, sans le dire, clamant à leur tour que ce vaccin est sans danger aucun. (Ce n’est aucunement qu’il est prouvé dangereux, c’est qu’on a mis abusivement à la poubelle le besoin de prouver l’innocuité, pour l’affirmer verbeusement sans preuve documentée).

   Que les chefs-menteurs partent ailleurs, je dirais : bon débarras, saletés. J’ai vu à la télévision que ce « grand homme extraordinaire » fait partie des nouveaux milliardaires, générant l’admiration des étasuniens, des capitalistes, des ambitieux. Pas des honnêtes gens, sauf s’ils sont trompés par les mensonges de propagande, généralisée.

* Ajout 138, 16/05/2021 (10h) : Le pass en question
   Une amie m’a dit être choquée par la dictature sanitaire avec maintenant vote par l’Assemblée nationale de l’obligation de pass sanitaire, qu’est-ce que j’en pense ?
   Je ne suis pas convaincu par l’argumentaire entendu ; 1/ c’est la seule issue pour nous faire sortir de la solution bloquée actuelle afin de retrouver enfin nos libertés, 2/ puisque ces restrictions étaient la seule solution pour contenir l’épidémie, 3/ puisque c’est une maladie très grave très tueuse. Or je ne suis pas convaincu par "3" avec chiffres de mortalité à l’évidence truqués (sur cent mille morts, zéro démonstration de cause à effet entre positivité covid19 et décès), pas convaincu par "2" avec mortalité en Suède pas supérieure sans avoir aucunement confiné, donc la réponse sur "1" ne me semble ni oui ni non, mais « question inappropriée, spécifique à une situation très abusive commandée à tort ». Si le sondage habituel m’était appliqué, je ne répondrais donc ni « oui j’approuve ce pass » ni « non, je désapprouve ce pass », mais « mauvaise question », et le collecteur de données classerait ça en « je ne sais pas », cachant la réflexion contradictoire associée, c’est pratique pour camoufler les problèmes, limitant la parole aux commandeurs/approbateurs-serviles contre refuseurs-brouillons-sans-arguments.

* Ajout 139, 26/05/2021 (13h) : Dame confirmée intéressante
   Comme signalé dans l’essai 70, Madame Alexandra Henrion Caude, généticienne, était invitée en débat (Morandini-Live, chaine C-News) concernant cette fois la manifestation récente anti-vaccin-covid19, où elle était allée (mais dont elle n’était pas la leader, précisait-elle, contredisant l’annonce journalistique). C'était aussi suite à l'annonce aujourd'hui que l'Académie de Médecine demandait la vaccination obligatoire de très multiples professions. Madame Henrion Caude signalait que les essais cliniques sur ces vaccins n’étaient pas finis, ce dont n’étaient pas informés les vaccinés. Et aussi que les services officiels comptent 1 mort pour 30.000 vaccinés (sans « imputabilité » = cause à effet, pas encore établie à ce jour), et davantage d’hospitalisés et d’effets secondaires longs, ce qui n’est pas annoncé au public (hors de son intervention à elle, merci). Elle disait aussi que les myocardites sur enfants conduisaient les autorités israéliennes à questionner le programme de vaccination des enfants, sachant que covid19 n’est pas une maladie enfantine.
   C’était immensément intéressant, même si le Dr Cohen en face a cru la casser en la traitant de complotiste antisémite !
   Il disait aussi qu’en tant que scientifique (retraitée) elle n’avait pas le droit d’annoncer comme vérités des choses pas sûres, et elle répliquait que c’était le contraire, sans avoir le temps de développer. Effectivement, je suis d’accord : si la relation de cause à effet était exigée partout, avec droit au doute, cette maladie disparaitrait, et le besoin de ce vaccin, mais ça les autorités interdisent de le dire, la propagande fonctionnant plein tube.

* Ajout 140, 30/05/2021 (7h) : Réserve à mes applaudissemnets
   Lors du débat avec Madame Henrion Caude l’autre jour à la télévision (voir ajout 139), j’ai noté les points les plus notables dans ce qui n’est jamais dit nulle part sur les médias, mais dans ces dizaines de minutes de discussion, il y avait bien davantage. Ainsi, sur un point, cette dame m’a choqué, paru abusive (là où elle se rangeait derrière la pensée unique commune faisant autorité), et il me parait maintenant utile de le signaler, en gage de ma bonne foi : je ne suis pas un adepte aveugle de cette dame, la croyant sur parole et répétant tout ce qu’elle dit, non pas du tout. J’écoute, je note les points novateurs (méritant vérification, sans les gober comme vérités révélées) et j’émets des réserves par ailleurs.
   Le pont délicat était le suivant : le Docteur Cohen, du côté des autorités, était très agacé qu’elle conteste tout ce qu’il disait et il l’a interrompue par un virulent « est-ce qu’au moins vous croyez effectivement que ce virus tue ? », et elle a vacillé vu le côté hors-sujet de cette question, avant de dire « bien sûr ». Cette réponse lui a valu une seconde de répit avant avalanche de haine, et il est clair que si elle avait dit « j’en doute », des hurlements absolus l’auraient disqualifiée et l’animateur aurait interrompu le débat pour dire qu’elle était une complotiste sans crédibilité aucune, la discussion ne pouvant donc pas continuer. Or moi, à sa place, j’aurais osé cette réponse « j’en doute ».
   Il est clamé partout « on sait que », au nom de la compétence médicale, mais… j’ai fait un an de médecine et j’ai été choqué quand le prof de maths, à qui je prouvais son erreur, m’a rétorqué « vous n’êtes pas ici pour réfléchir mais pour réciter ! ». Quelle est la force de persuasion de réciteurs diplômés ? Nulle. Qu’ils récitent le Coran, ou le Petit Livre Rouge maoïste, ou le dictionnaire Vidal des médicaments, réciter est de la crédulité, sans force de persuasion aucune (hors autorité abusive). Les médecins « savent que » covid19 tue, quelle est leur preuve ? Hein, ben on leur a dit « on sait que » et ils le répètent, tel est leur métier… C’est totalement nul en valeur logique, mais ça marche. Et ce n’est pas incompréhensible : beaucoup de gens souffrants ont connu quelque soulagement avec des médicaments prescrits par médecins, ça incite à les croire, avoir envie de les croire, quand bien même ils se tromperaient dans 10% (voire 80%) des cas. En Afrique ou Sibérie, les chamans peuvent ainsi avoir quelque « autorité », ou les « sorcières » herboristes au Moyen-Age. Simplement, c’est un mensonge absolu d’affirmer de nos jours « la raison impose obligatoirement de croire les médecins ».
   Certes, cela est purement théorique, mais face à un drame personnel, que faire ? Une amie m’a parlé de son beau-père très âgé, déclaré « mort du covid19 » ; il était très malade de trouble cardio-vasculaire, et mourant, il a été hospitalisé, en pensant qu’il ne passerait pas la nuit ; avec la nouvelle procédure hospitalière, lui a été pratiqué le test covid19 : trouvé négatif ; finalement, il a de justesse survécu à cette nuit, quoiqu’immensément faible ; un nouveau test covid19 lui a été pratiqué : trouvé positif ; il a aussitôt été transféré en département covid19, mis sous coma artificiel, et il est mort, cela a été classé officiellement « mort due à covid19 ». Quelle est la preuve qu’il n’est pas mort trois jours après de la maladie qui l’avait fait entrer ? Quelle est la preuve que ce n’est pas la mise en coma artificiel qui l’a tué ? (j'entends dire depuis 1984 que l’anesthésie générale tue bon nombre d’anciens). Non, aucune espèce de preuve de la relation de cause à effet entre la positivité covid19 et la mort, c’est clamé « les médecins savent qu’il a été tué par covid19 », et je n’y crois pas. C’est une éventualité à probabilité peut-être 30%, pas du tout certitude 100%. Personnellement, mon opinion est que la cause la plus probable est le caractère létal de la mise en coma artificiel pour personne très âgée, donc « les soignants l’ont tué », alors évidemment ils cachent leur faute, c’est compréhensible, c’est simplement mensonger. (Et ce n'est pas une faute de tel soignant ayant fait un truc horrible honteux en cachette, c'est une erreur dans le protocole appliqué en clamant médicalement "on sait qu'il faut faire ceci, on n'a pas de preuve mais vous devez le réciter, l'appliquer, tel est le job !") Je n’ai jamais entendu parler de preuve « de cause à effet » entre positivité au test covid19 et décès, les exigences de telles preuves sont par contre clamées totalement obligatoires pour « croire » la dangerosité du vaccin. Ce n’est en rien une démarche logique universelle, raisonnable, c’est une vaste manœuvre « politique » (pas politicienne car tous les partis semblent plus ou moins d’accord, pour cacher leur incompétence en logique et éviter la diabolisation hurlante qui ruinerait leurs chances électorales). Des investis d’autorité (à tort) clament « on sait bien que » (pour, en vrai, « on croit que », « on nous appelle à répéter que »), et c’est gobé, en majorité, l’endoctrinement scolaire des foules ayant conduit à croire sur parole les autorités prétendant définir le vrai, le bien, le bon. Moi, je suis dissident, de ce côté, bien davantage encore que Madame Henrion Caude, crédule haute diplômée de science (récitation de trucs prétendus scientifiques, et jonglage avec eux, sans droit à intelligence critique).
  Je crois que c'est dans le livre "gouverner c'est mentir" que j'ai lu qu'une des voies de mensonge les plus pratiquées est d'attribuer à une cause unique ce qui est multifactoriel. Ainsi, un automobiliste tué dans un accident alors qu'il était ivre, sous canabis, roulant trop vite, avec pneus lisses, sans ceinture de sécurité, sera compté comme 5 morts, l'attribution à chaque facteur étant totale par les analystes, simplement malhonnêtes. "On sait que l'alcool au volant tue, voici les preuves chiffrées, indubitables !", je réponds : je doute de ces chiffres. Pareil pour covid19.

* Ajout 141, 01/06/2021 (7h) : Fake news reverse, même en magazine scientifique
• Hier, j’ai vu dans l’émission « l’heure des pros » (sur chaîne C-News) l’interview une minute d’un expert, répondant pour savoir si les vaccins anti-covid19 à ARN messager risquaient de donner des maladies graves dans 5 ans ou 10 ans aux vaccinés. La réponse a été : 1/ c’est impossible, cet ARN messager est lu puis aussitôt détruit par nos cellules, il ne peut donc pas rester poser des problèmes dans 5 ans. 2/ L’ARN n’est pas de l’ADN, et ne peut donc pas modifier notre code génétique pour cancer ou autre, enfin l’enzyme Reverse Transcriptase qui basculerait de l’un à l’autre existerait chez quelques cas immensément rares comme les malades du SIDA, mais pas du tout dans la population générale, qui ne risque donc absolument rien de rien. 3/ il n’y a absolument aucune preuve qu’il y a un danger sur ce qui se produirait dans 5 ans ou 10 ans. 4/ L’animateur, ayant entendu ça, s’est dit très rassuré, disant quelque chose comme « merci de vos explications très claires, qui prouvent que c’était une fake news, tout le monde sait maintenant que ce n’est pas vrai, donc. »
  --> Mon avis : 1/ Normalement, l’ARNm est lu et détruit (jusqu’à preuve du contraire, ce qui n’est pas exclu du tout), mais il pourrait aussi être dirigé vers une autre voie qui ne serait pas la lecture, par exemple décodage/recodage en ADN (démentant ce qui est dit comme la voie normale, simplement majoritaire). Si mille molécules d’ARN sont injectées à chaque dose vaccinale, que 999 soient sans danger n’exclut pas que 1 puise s’avérer avoir généré une mutation, un cancer, qui va grossir petit à petit, transmis à d’autres cellules, jusqu’à devenir détectable 5 ans après. 2/ Un autre expert disait il y a quelques semaines que les cellules humaines normales n’ont pas de reverse transcriptase… sauf les lymphocytes, qui sont une portion non-négligeable des globules blancs du sang de chacun (peut-être 15% chez les non-malades de rien, 60% chez les enrhumés et autres). Que cet expert-ci l’ignore car diplômé il y a longtemps ferait qu’il exprime un avis périmé, qu’il soit devenu chef de service machin n’assure en rien sa crédibilité comme (prétendu) « sachant ». Donc tous les vaccinés (et pas zéro) seraient en situation de risque grave, de leucémie. Les crédules interviewers ne « savent » pas après avoir entendu un avis, ce n’est pas vrai, c’est de la crédulité, de la bêtise, profonde. 3/ C’est le vieux débat « à qui incombe la charge de la preuve ? », question qui dirige le doute normal en victoire d’un camp ou de l’autre, malhonnêtement, anti-logiquement. Il n’y a pas de preuve de danger et pas de preuve d’innocuité, donc la vraie conclusion est « on ne sait pas », mais les vaccinistes clament « c’est aux anti-vaccins de prouver qu’il y a un danger », en faisant taire ceux-ci qui clament au contraire « c’est aux vaccinistes de prouver qu’il n’y a aucun danger pour dans 10 ans, ce qui est présentement impossible ». Prendre parti pour les uns contre les autres n’est en rien un savoir objectif mais une décision subjective, quasi politique. En logique pure, le doute demeure, le nier est une faute de raisonnement, un artifice de rhétorique littéraire, nul. 4/ Les crédules ont pu gober ce discours rassurant, ça ne conforte que leurs croyances, ce n’est en rien de rien un savoir. Enfin, croire savoir est affirmé savoir, c’est un grand classique de la pensée humaine primaire, avant l’âge de raison théoriquement, mais finalement avec réminiscence tardive, presque partout, notamment car c’est universitairement diplômé. (De même que le très fier Descartes, donneur de leçons et inventeur du prétendu « esprit rationnel cartésien », tenait l’existence de Dieu pour pur savoir totalement incontestable, au 17e siècle – ce qui était certes approuvé par 100% des vivants, les objecteurs ayant été brûlés vifs.)
• On m’a transmis un vieux numéro de Science et Vie, n°1241 de Février 2021, avec page 53 en rubrique Fake News une mise au point : « Non, les vaccins à ADN ne vont pas modifier notre ADN ». 5/ Il est cité l’avis à ce sujet d’un immunologiste hospitalier disant « C’est du délire. » à propos des réseaux sociaux ayant répandu cette rumeur d’impact sur notre ADN. 6/ Le journaliste ajoute « Pour comprendre, il faut savoir que (…) » 7/ « on ne peut tout simplement pas faire l’ADN avec de l’ARNm ». 8/ Il avait été dit plus haut à propos de la modification d’ADN par ces vaccins-là « Une telle affirmation équivaut à dire que n’importe quelle infection avec un virus à ARN, comme la grippe, modifie notre ADN », ce qui est considéré faux, idiot.
  --> Mon avis : 5/ Oui, affirmer certain un cataclysme hypothétique est du délire, mais ça ne signifie en rien qu’il n’y a pas le moindre risque, et que le risque en question est totalement connu comme nul. Grossir une éventualité ne classe pas cette éventualité comme fausse. 6/ C’est le drame de l’éducation (française, tout au moins, je ne connais pas à l’étranger) : est prétendu savoir la croyance en ce qui est raconté par les autorités professorales, alors que celles-ci peuvent se tromper. Plein de choses qu’on m’a appris au collège, lycée, université, ont depuis été démenties et alors qu’elles étaient affirmées prouvées incontestables, elles ont ensuite été reclassées comme fausses affirmations abusives. La sagesse est dans le doute, nullement dans la crédulité. Doute tant vis-à-vis de ceux qui affirment risque 0,00% que ceux qui affirment risque 100,00%. 7/ Si, on peut faire de l’ADN avec le l’ARNm, au moyen de l’enzyme Reverse Transcriptase, ce qui est clamé là est faux, incompétent ou sciemment mensonger pour servir un but politique (ou sanitaire en considérant que le mensonge est légitime s’il pousse dans la bonne direction). 8/ Quand le séquençage du génome humain complet a été effectué, dans les années 2000, il a été constaté avec surprise qu’une grande part est d’origine virale. Ça ne signifie en rien que chaque brin d’ADN ou ARN viral automatiquement va s’insérer dans notre ADN mais que cela arrive au moins parfois, notablement si c’est cumulé sur des millions d’années. Ce n’est pas du délire mais la (prétendue) vérité clamée par d’autres experts, biologistes et pas médecins. Chaque groupe de prétendus savants semblent hurler les dogmes de sa chapelle, vu de loin ça ressemble à du n’importe quoi à crédibilité nulle. Le doute demeure, le risque reste entier (pas « le futur est certifié cataclysmique », on n’en sait rien). Mais il ne faut pas le dire, sinon les gens refuseraient cette vaccination, ce qui est considéré grave. Bref, il s’agit de jongler impossiblement entre deux sens opposés du principe de précaution : « ne pas vacciner ainsi car il y a un risque majeur de toxicité à long terme », ou bien « vacciner ainsi car les non-vaccinés sont en danger majeur de maladie grave ». La logique me semble conduire au doute (en se faisant vacciner à contre-coeur ou pas vacciner, les deux sont envisageables), pas du tout à la croisade vaccinale tonitruante de certitude en innocuité à long terme. Ce qui est insupportable à la télé est l’affirmation que les anti-vaccins sont anti-rationnels, opposés à la simple raison. La raison n’est pas davantage chez les pro-vaccins, selon moi, avec bien davantage d’arguments que leurs actes de foi à eux, insultant les objections, refusées sans examen. Le magazine Science et Vie s’est là avéré un anti-scientifique outil de propagande abrutissante.

* Ajout 142, 17/06/2021 (12h) : Une « obligation vaccinale » différente
  Aujourd’hui dans un débat, il était discuté un retour envisagé de l’obligation vaccinale covid19, et un consensus est apparu entre les débatteurs (non officiels, journalistes je crois) : « pas d’obligation pour les enfants, mais obligation oui pour les personnes vulnérables ! » Qu’est-ce que j’en pense ?
   Cancéreux et en surpoids, non-vacciné-covid19, je suis très directement concerné. Si c’est décrété obligatoire, je serai vacciné, d’accord, sans me rouler par terre en hurlant de refus ni prendre un fusil pour abattre le piqueur, ce n’est pas ça du tout. Mais peut-être que je porterai plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui » contre les décideurs obligeant (enfin, pas forcément à la gendarmerie organe du pouvoir en qui je n’ai aucune confiance, emprisonnant les gens faisant preuve de liberté d’opinion interdite, et envoyant en procès par des juges et experts nullement objectifs, mais je clamerai mon désaccord sur Internet, ici).
   Pourquoi « mise en danger de la vie d’autrui » (avec cette vaccination-là) ? Parce que, pour ce vaccin sorti en 1 an au lieu de 10 ans, les protocoles officiels systématiques de précaution normale, pour établissement de non-toxicité à long terme, n’ont nullement été appliqués. La toxicité à long terme n’a nullement été prouvée nulle ou immensément faible, elle a été classée (sans examen) en « truc inutile, on s’en fout, on est pressé (quitte à mettre en danger les vaccinés, on s’en fout) ». Eh bien, ce je-m’en-foutisme (ou cupidité active pour les chefs fabricants de vaccins anti-covid19, comme SB mon ex-« chef menteur » devenu nouveau milliardaire) peut être tueur, on le saura dans peut-être 5 ans ; effectivement ce n’est en rien certain, mais il est faux mensonger d’affirmer que c’est prouvé impossible ou immensément improbable. Cela prouve qu’il y a volontaire et active « mise en danger de la vie d’autrui » (la toxicité pouvant être tueuse).
   Si dans 5 ans (si mon cancer me laisse ce délai) je meurs comme les autres vaccinés de sclérose en plaque ou myélite aiguë, j’aurais simplement laissé la trace qu’il y aura eu meurtre, puisque cette vaccination m’aura été imposée contre mon gré.
  Si au contraire il n’y a pas toxicité à long terme, effectivement il n’y aura pas cette hécatombe, mais affirmer qu’on le sait maintenant, c’est un mensonge, immensément stupide, prétendu raison ou science ou compétence par les pires menteurs auto-contradictoires, sans aucune preuve que leur foi crédule envers des blablateurs idiots et bandits en cravate avides de dollars.
  Un autre débat a dit ensuite que, plutôt que d’imposer la vaccination, il vaudrait mieux convaincre en faisant « de la pédagogie ». C’est gravement faux, à mon avis : ce ne serait absolument pas une parole de sachants objectifs mais de militants cachant les objections compétentes. Les diplômes de récitants (médecins, pharmaciens, etc.) sont totalement inappropriés, quand sont chassés les épistémologues et logiciens, détectant les abus de pouvoir, les fausses vérités clamées avec autorité (abusive).

* Ajout 143, 23/06/2021 (17h) : Article de vulgarisation scientifique sur le covid long
   Dans le Science & Vie n°1241 de Février 2021, j’ai lu en retard un article (pages 42-43) : « L’étrange affaire des covid qui s’éternisent » (figurant parmi les 6 gros titres en couverture, sous l’appellation « Covid19, l’énigme des symptômes persistants ». Puisque je m’intéresse à l’affaire covid, je l’ai donc lu, même si je ne me sentais pas concerné.
   Il est dit que des symptômes apparaissent après (ou longtemps après) une positivité covid19 (sans hospitalisation) et, en première lecture, je me suis demandé : « où est la preuve que ces symptômes sont reliés causalement à cette positivité ? », question absolument pas traitée, comme si l’évidence (pour les gens compétents) repoussait la question avec un haussement d’épaules ou index tourné sur la tempe.
   Et puis, en toute fin d’article, il est un peu concédé que, peut-être, il pourrait s’agir de réaction psychologique somatisant la maladie dite. A mon avis, c’est au contraire reconnaître enfin que tout ce qui avait été affirmé en relation de cause à conséquence était abusif, en contexte de savoir nul, simple croyance crédule avec certitude abusive.

* Ajout 144, 24/06/2021 (18h) : Premier-ministrement
   Aujourd’hui devant les micros, le premier ministre français Jean Castex (JC comme Jésus Christ ?) a clamé : « Ayez peur du virus, n’ayons surtout pas peur du vaccin ! ». Certes, il dit quelque chose, il a le droit, mais pourquoi le croirais-je ?
   Je ne vois pas une seule voie mais 9 et ce qu’il impose ne me convint en rien de rien :


* Ajout 145, 28/06/2021 (6h) : Fausse accélération du temps
   J’ai entendu hier ou avant-hier un médecin, invité sur plateau télé, « rassurer les gens », « faire œuvre de pédagogie » (selon lui, comme envers les ignares jugés stupides à craintes infondées) donc mentir ouvertement (selon moi), en disant que si le vaccin anti-covid19 était sorti en 1 an au lieu de 10 ans, ce n’était pas une entourloupe mystérieuse, c’est que le président US Donald Trump, en injectant plein de milliards de dollars, avait accéléré le temps [de découverte, développement, validation – crois-je comprendre]. Qu’est-ce que j’en pense ?
   C’est presque entièrement faux, trompeur. Certes, telle étape administrative prenant habituellement six mois pour parvenir en haut de la pile dans un bureau officiel, pouvait être boostée par un intéressement financier énorme (qu’on pourrait appeler corruption dans certains contextes). Telle recherche tâtonnante prenant habituellement trois ans pouvait être boostée en triplant l’effectif de recherche et le budget de test. Mais… l’examen de la toxicité à long terme, 5 ans après injection (et pouvoir cancérigène, tératogène sur générations suivantes), non cela n’était pas accélérable du tout, cela a été arbitrairement déclaré inutile, en infraction grave à tous les protocoles obligatoires selon les autorités médicales (par précaution élémentaire, sans parler de « principe de précaution » infini, hystérisé).
   Certes, industriellement dans mon travail de labo, j’ai pratiqué des tests de vieillissement accéléré, invoquant la Loi d’Arrhenius, chiffrant des choses comme « 3 mois à 60°C = 12 mois à 25°C ». Mais… dans nos protocoles, il était écrit en clair que cette loi marche quand elle marche, pas toujours… Ce n’est en rien une loi universelle mais un modèle qui donne satisfaction assez souvent, et se trompe le reste des fois. Notamment : si un composant important est hyper-sensible aux hautes chaleurs, il sera détruit instantanément par le passage en surchauffe, ne mimant pas du tout un vieillissement long sans cette surchauffe, il se comporte différemment du reste des molécules, normales. Pratiquer un tel test accéléré n’est pas prouver en avance un résultat sur le temps long, c’est estimer de manière contestable un résultat en avance, faire un pari en aveugle, et le test normal indiquera bien plus tard si c’était juste ou faux. Bref, c’est une tentative très médiocre d’accélération, nulle face à intelligence critique, ce n’est pas une accélération objective, incontestable puisqu’affirmée par les sachants. Non, mensonge. On ne « sait » pas en 1 an ce qui se passe après 5 ans.

* Ajout 146, 30/06/2021 (13h) : Dictature vaccinale bientôt ? et contre-attaque...
  J’ai vu aujourd’hui un extrait d’émission télé avec le journaliste économique Emmanuel Lechypre disant avec colère que les refuseurs du vaccin anticovid19 doivent être vaccinés de force, emmenés menottés par la police se faire piquer même s’ils le refusent. Il disait que ceux qui sont contre le vaccin ont des arguments très nuls comme « et qu’est-ce qui se passera dans 15 ans ? ».
  C’est très faux et c’est très grave.
1/ La dangerosité de ce virus ne m’a en rien de rien été prouvée, pourquoi me ferais-je vacciner ? Les prétendus experts l’affirment mais habituellement les prétendus experts sont des escrocs scientistes avec moins de 12 ans d’âge mental, et des grands talents en récitation stupide, là est la nullité (et chez leurs fans crédules comme ce journaliste). Si un accidenté de la route est testé covid positif et finit par décéder, il sera classé « tué par ce virus » même s’il est asymptomatique de ce côté et décède des blessures traumatiques – affirmer que la parole médicale énonce le vrai n’est pas crédible, pas une seule seconde, tout doit être mis en question, prouvé, ce n’est absolument pas ce qui est fait pour la létalité covid19. Seulement un automatisme stupide pour montons applicateurs de protocole (tout mort, de vieillesse ou autre, qui est positif covid19 est affirmé « tué par covid19 » – la vaccination diminue leur nombre pas le nombre de morts, reclassés ailleurs dans les stats menteuses – les personnes âgées tuées par la mise en coma artificiel sont ainsi classées "tuées par covid19", c'est camoufler les énormes prises de risque médicales, souvent tueuses, en le cachant maintenant, covid19 est une "aubaine" pour cela). C’est pire que nul, c’est de l’escroquerie en bande organisée (avec vol de haut salaire, oui c’est financièrement intéressé, pas une question politicienne ou de gloriole psychologique). On pouvait soupirer avec fatalisme, mais si ce camp redouble de férocité en attaquant/menaçant les intelligences logiques en face, attention, cela va entraîner cri de légitime défense, contre la pourriture intégrale.
2/ La dangerosité possible n’est pas à échéance de 15 ans jamais exigée nulle part mais à 5 ans comme exigée partout pour tous les producteurs de vaccins avant l’incroyable exemption pour covid19 (le grand menteur que je connaissais ayant cette fois piégé les politiques en clamant que le vaccin était prêt à l’emploi après 1 an). Cette anomalie procédurale, pour un virus pas davantage dangereux que les autres, n’est nulle part justifiée, elle est même cachée pour affirmer que le caractère « sans danger » de ces vaccins-là est scientifiquement prouvé, ce qui est faux (omettant la précision « en danger à court terme, à long terme on n'en sait rien, vous verrez bien, on s'en contrefout, on dit secrètement crotte au principe de précaution »). Enfin c’est « justifié » en fortune évidente, le type en question étant devenu milliardaire grâce à cela. C’est du faux et usage de faux, c’est pire que nul, c’est délibérément « mise en danger de la vie d’autrui » pour se faire un max de fric, personnellement. Avec propagande plein pot (et très multiples complicités) pour diriger les foules, et peut-être bientôt les contraindre de force (les assassiner si dans 3 ans il s’avère que ce vaccin est mortel, personne n’en sait rien).
  Hélas, ces arguments sont totalement absents des débats télé, ne parlant que de liberté individuelle, d’aliénation renvoyant à tel cauchemar littéraire (« 1984 », « le meilleur des mondes », « l’écume des jours »), les arguments pertinents semblent cachés.
  Equitablement, j’exigerais que ce journaliste en colère se voie administrer de force chacun des cinq mille médicaments en attente de vérification de leur non-toxicité à long terme (avant Autorisation de Mise sur le Marché). Enfin non, sa colère abusive ne mérite pas la peine de mort à la roulette russe (comme un « aux chiottes l’arbitre ! » hurlé dans un stade), mais je ferais semblant d’appliquer cela et, quand il hurlerait « non ! c’est dangereux ! », je lui ferais reconnaitre « oui, c’était pareil pour les vaccins anti-covid19, ce n’était pas un argument nul, pas du tout ».

* Ajout 147, 02/07/2021 (10h) : Abomination pseudo-argumentaire
  J’ai entendu aujourd’hui Laurent Joffrin, ex-directeur du journal Libération, en émission débat L’heure des Pros, clamer quelque chose comme : « Ceux qui ne se font pas vacciner [anti-covid19] sont des irresponsables ! ». Cela m’a choqué, mais je suis allé vérifier précisément la définition d’irresponsable : (selon Google) « Qui se conduit sans envisager les conséquences. »
  Or c’est le contraire total : les avis critiques envisagent plein de conséquences de mensonges officiels que gobent les crédules sans chercher les conséquences en direction mensongère. (Exempter les vaccins covid19 de toute preuve de non-toxicité à long terme genre 5 ans : qui donc en mesure les conséquences, les opposants à cette vaccination immédiate ou bien les fonceurs aveugles ??) Bref, les vrais-irresponsables (en s’attribuant le monopole de la raison) se déclarent responsables et sévèrement traitent d’irresponsables les vrais responsables (anonymes) qu’ils exècrent. C’est une honte totale.
  Autre point, sur un autre sujet, proche (puisqu’un des arguments du débat a été que « ce virus tue des millions de gens c’est totalement incontestable, ce sont les chiffres officiels ! ») : j’avais cité le dessin montrant un homme blessé avec une flèche lui traversant la tête, le docteur lui disant « votre problème semble qu’une flèche vous a traversé la tête, mais attendez : je vais vous faire un test de positivité covid », c’était ridicule absurde humoristique mais ça me semble très sérieux si le médecin ajoutait en clair : « ainsi, si vous êtes positif covid, et que vous mourrez de cette blessure par flèche, je vous déclarerai officiellement tué par le covid, ce qui me vaudra félicitations larmoyantes et budget accru de la part des gouvernants (confortés par cet ajout super à leurs chiffres menteurs), youpi ! ».

* Ajout 148, 04/07/2021 (7h) : Confirmation possible
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/Gala inusuelle : https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/photo-pr-didier-raoult-propos-chocs-sur-la-vaccination-et-nouveau-look-inattendu/ar-AALJEzM?ocid=msedgntp
  « Didier Raoult était, ce vendredi 2 juillet (…) vidéo où il tient, à nouveau, des propos polémiques… (…) l’infectiologue controversé affirme que cette vaccination ne serait pas une solution au problème. "Il n’y a pas de magie avec ces vaccins ARN (…) on n’est pas surpris car le taux d’efficacité réel est entre 60 et 80 % en fait", assure-t-il. (…) Alors que d'autres professionnels de la santé affirment que les vaccins sont efficaces et notamment contre le variant Delta, le professeur Raoult indique que le nombre de personnes atteintes du coronavirus n’est pas différent chez les populations vaccinées et chez celles qui ne le sont pas. "On ne peut pas penser que tout va être géré par la vaccination telle qu’elle existe aujourd’hui. La capacité de ce vaccin à protéger la population est incomplète", affirme l’infectiologue. Il indique même qu’il y a "une mortalité comparable chez les non-vaccinés et chez les vaccinés". Et d’ajouter : "Les gens qui meurent sont des sujets ayant, soit des facteurs de risque associés, soit une espérance de vie très faible. Mais ce n’est pas une maladie qui va tuer les enfants, sauf si le virus change. On a même une baisse de la mortalité jusqu’à 60 ans, donc ça ne mérite pas un tel affolement non plus." »
   Mon avis : effectivement, il paraissait très suspect d’entendre tant de médecins télévisés aller dans le sens du gouvernement pour dire (en refusant les objections argumentées) que le virus tue, que le vaccin protège, que tout le monde doit absolument se faire vacciner, que ceux qui ont des doutes sont des monstres criminels. Qu’il y ait des voix médicales spécialisées disant le contraire est rassurant, quant à l’honnêteté de cette profession médicale, pas toute au garde-à-vous devant les autorités ou vendue aux puissances d’argent.

* Ajout 149, 04/07/2021 bis (11h) : Erreur épistémologique
  J’ai entendu aujourd’hui sur chaine télé LCI (à propos de covid19 et vaccin anti-covid19) l’expression journalistique « les fake news ont hélas davantage de succès que la vérité scientifique », qu’est-ce que j’en pense ?
  C’est un manifeste d’incompétence épistémologique. Les sciences n’émettent en rien La Vérité (sauf pour les croyants scientistes), elles émettent des théories, éventuellement acceptées temporairement s’il y a consensus, avant abandon futur toujours possible si l’expérience dément telle ou telle théorie (le futur est inconnu).
  Le drame est que le scientisme hyper-affirmatif est dominant, avec complicité de faux scientifiques fanatiques, heureux du pouvoir (abusif) que leur confère cette idéologie écrasant l’intelligence (rebelle).
  Cela ne signifie pas que tout énoncé émis par un scientifique doit être considéré faux mensonger, seule la certitude est erronée, il s’agit de possibilité seulement, appuyée (théoriquement) sur des éléments convergents sans objection arbitrairement refusée (au nom de l’autorité ou du prétendu « savoir »). Bref, "La Vérité Scientifique" est un abus de langage, trompeur mensonger, dominateur stupide et immoral.

* Ajout 150, 06/07/2021 (7h) : Question de valeurs
  Dans les débats télévisés tous orientés pour pousser chacun à se faire vacciner anti-covid19, deux arguments majeurs reviennent : se faire ainsi vacciner (si ce n’est encore une obligation légale, à ce jour du moins) constitue indéniablement une exigence civique, une exigence éthique. Cela signifie je crois que les refuseurs sont des affreux égoïstes ne pensant qu’aux risques pour leur nombril alors que les accepteurs sont des admirables personnes soucieuses du bien collectif, voulant sauver les personnes fragiles en particulier. Qu’est-ce que j’en pense ?
  Cela me parait totalement faux : puisque n’a nullement été vérifiée la toxicité à long terme, l’absence de pouvoir cancérigène et tératogène (en disant crotte discrètement au principe de précaution prétendument suivi pour vacciner), les gens suspicieux vis-à-vis de ce vaccin pointent un risque pour tous, pas seulement eux-mêmes personnellement. C’est du sens éthique, civique, totalement.
  Certes, une version fanatique de cette objection consisterait à empêcher les candidats à vaccination de se faire piquer, les empêcher « pour leur bien » (prétendu), mais la logique de tolérance comme la logique de scepticisme conduit à ne pas se lancer dans pareille croisade mais à dire « faites comme vous le croyez bien, simplement moi je n’y crois pas, je ne le fais pas ». C’est beau moralement et sage intellectuellement, tout le contraire de la diabolisation entendue au nom du civisme, de l’éthique.
  Euh, je vérifie quand même les définitions : (selon Google)
A/ Civisme : « sens civique », Civique : « relatif au citoyen », Citoyen : « 1. Individu considéré du point de vue de ses droits politiques. 2. Qui fait preuve d'esprit civique. »
B/ Ethique : « 1. Science de la morale. 2. Ensemble des conceptions morales de quelqu’un, d'un milieu. »
   Cela n’éclaire en rien la question. Condamner là où il n’y a pas interdiction de droit politique, c’est là qu’est enfreint le civisme, pas chez les personnes ainsi condamnées. Et l’éthique de ceux imposant le risque d’une toxicité non vérifiée (faussement affirmée inexistante alors qu’on n’en sait rien à long terme, normalement étudié toujours pour accepter), c’est très suspect d’immoralité, surtout quand c’est égoïstement pour se faire des masses de fric comme les producteurs de vaccin, pour se poser en sauveurs (à réélire sous les hourrahs) pour les politiciens avides de succès jouissif. Non, les condamnations au nom du civisme et de l’éthique ne sont aucunement valides, cela semble un cas de plus de la malhonnêteté intellectuelle ambiante.

* Ajout 151, 06/07/2021 bis (15h) : Confirmations navrantes
   Aujourd’hui en émissions-débat (sur chaine télé C-News), j’ai entendu des éléments notables :
- Un médecin hospitalier osait dire qu’on ne sait que plusieurs années après (genre 3 à 10 ans) si un nouveau médicament produit des maladies auto-immunes ou autre problème, en attendant l’innocuité n’est aucunement garantie. Le journaliste Laurent Joffrin l’a fait taire avec colère, disant que c’était là oser affirmer un danger du vaccin anti-covid19 sans preuve aucune. Et le médecin s’est tu, pas convaincu mais dominé (abusivement à mon avis). On retombe sur la malhonnêteté habituelle, selon laquelle le dominant se donne raison en imposant au contradicteur la charge de la preuve, ce qui fait que si on ne sait rien, c’est le dominant qui impose son point de vue. (Avec le principe de précaution, il avait été donné l’illusion que s’imposait le point de vue sans risque potentiel, mais c’était un mensonge : les dominants se donnent le droit de dégainer le principe de précaution pour interdire la contestation là où ils veulent et aucunement partout – ce qui ferait interdire voiture, tabac, chauffage, etc.)
- Une journaliste a affirmé (je cite approximativement) que « il y a certes un risque de toxicité des vaccins anti-covid19 mais il est infinitésimal, avec confiance chiffrée à plus de 99,99 etc % ! C’est scientifique, prouvé ! et en face, le risque que ce virus tue est énorme, chiffré aussi, la balance bénéfice-risque est donc extrêmement en faveur du vaccin, scientifiquement, sans qu’on ait à délirer individuellement sur la liberté (de refuser le vaccin). » Je suis en total désaccord, non seulement je suis persuadé que les « tués par covid » est un chiffre totalement faux pour les « morts avec covid » quelle que soit la raison, et puis je demanderais à voir le calcul de cette confiance 99,99… %. Si c’est une estimation par analogie avec d’autres vaccins, c’est une faute logique d’induction, généralisation à tort. J’ai appris en matière pharmaco (dans mes études de technicien biologiste) que le scandale Thalidomide avait interdit pour toujours les estimations de toxicité par similarité, chaque nouveau médicament devant faire la preuve de son innocuité à lui et lui seul, a priori mise en doute, systématiquement (des décennies avant que soit inventé le principe de précaution, par simple obligation élémentaire de ne pas intoxiquer au nom du soin) – et cette preuve commence sur l’animal d’abord, et pas une seule espèce, et pas deux espèces d’une même famille, puis sur l’humain, et pas seulement à court terme mais y compris à long terme, et sur les embryons en gestation, ce qui ne s’improvise pas mais prend des années, coûte très cher. Pour les vaccins anti-covid19, tout cela a été balayé, sans aucune raison expliquée et en le cachant (gobé comme normal par les incompétents, ou pire : comme un progrès fabuleux, "géniale prouesse scientifique" clamait la propagande), dans une immense manœuvre de mensonge en bande organisée. La prétendue Elite peut être unanime à pourchasser les résistants, elle ne fait que prouver qu’elle est une fausse Elite, très très mauvaise, stupide et malhonnête tout à la fois, méprisant à tort bien plus lucide qu’elle.
- A titre annexe, j’ajoute un point : j'entends souvent clamer que l’efficacité des vaccins est supérieure à 90%, mais au lieu de citer le chiffre (du laboratoire financièrement intéressé ?), il serait mieux d’en discuter la crédibilité. Est-ce que cela a été estimé par étude en double-aveugle ? (ne soignant pas le groupe témoin ? ce que refusait le Pr Raoult, et les Chinois je crois). Et comment a été gérée la différence des cas particuliers, pouvant discorder du modèle « tous patients semblables » ? Avec quelle incertitude est estimé le résultat ? Et qu'est-ce qui prouve la représentativité de l'échantillon examiné ? Et le fait que ce chiffre soit relatif à une population passée est-il pris en compte ? (patients peut-être d’un endroit donné, avec les virus de l’époque, etc.) n’autorisant en rien à en faire comme une loi scientifique (de science dure, genre physique) crue éternelle universelle.

* Ajout 152, 07/07/2021 bis (21h) : Professionalisme
  J’ai entendu dire dans un débat que les soignants refusant la vaccination anti-covid19 sont en faute professionnelle, lourde (puisque leur fonction est de soigner pas de rendre malade), qu’est-ce que j’en pense ?
  Euh, moi je hurlerais que les officiels ayant validé ces vaccins (sans les éléments requis de tous les autres traitements, toujours), ce sont eux qui sont en faute professionnelle ultralourde. Ce sont eux qui mettent sciemment en danger la vie d’autrui, non les lucides (informés des procédures obligatoires) criant au scandale financièrement intéressé (ce n’est même pas un complot secret en douce, c’est archi-dominant monopolisant la parole publique, avec complicité de tous les faux opposants politiciens).

* Ajout 153, 09/07/2021 (6h) : Précision argumentaire, un peu difficile
  Je reviens sur un point : les annonces d’efficacité supérieure à 90% pour la réduction des cas graves (au dernier paragraphe de l’ajout 151). A mon avis, il manque gravement un élément (un peu complexe à expliquer, c’est pourquoi je l’avais omis dans ma première analyse vite faite) : celui d’expliquer de quoi on parle à propos de ces cas d’infections graves. Je prends un exemple fictif, mais qui peut correspondre à ce qui serait dit, alors menteusement. 200 personnes négatives au test covid sont séparées en 2 groupes par tirage au sort. Les « à vacciner » reçoivent deux doses de vaccin anti-covid19, les « à ne pas vacciner » reçoivent deux doses de rien (eau physiologique). Trois mois après (pourquoi trois mois et pas trente mois ?), on compte ce qui s’est passé : 20 patients non-vaccinés ont été très malades en étant devenus positifs covid19, 2 patients vaccinés ont été très malades en étant devenus positifs covid19. Les pro-vaccins hurlent que cela prouve indéniablement une réduction de 90% des formes graves covid19 par le vaccin. Sauf que… j’objecte, et examine le décompte (sur cet exemple imaginaire mais affirmé très probant pour l’efficacité du vaccin) : parmi les non-vaccinés, 30 individus ont été très malades, dont 20 devenus positifs covid19, affirmés (de manière parachutée sans preuve) « rendus très malades par covid19 » ; parmi les vaccinés, 30 individus ont été très malades dont 2 devenus positifs covid19 ; bref, le vaccin ne réduirait en rien de rien la probabilité d’être très malade (30/100), seulement la probabilité d’être testé covid positif (2/20 parmi les très malades, et peut-être 10% aussi parmi les non-grièvement-malades). Il y aurait totale erreur de conclusion (que des gens soient très malades et positifs covid19 ne prouve en rien de rien que c’est le virus covid19 qui les a rendus malades), balancer des grands mots et prétendus avis d’experts scientifiques n’y changerait rien, il y aurait erreur absolue, illogisme grave, tromperie du public. Je n’affirme pas que telle est la vérité mais telle est la vraie question qui se pose, aux imbéciles assénant leur prétendue vérité, affirmée incontestable au nom de la Science objective (contradiction, mais ils ne connaissent rien à l’épistémologie, les pauvres – enfin non : les affreux, je ne plains pas des « ʺpauvresʺ tyrans stupides se clamant les seuls doués de raison »).

* Ajout 154, 10/07/2021 (0h-6h) : Mea culpa ?
   Révélation cette nuit dans mes rêves : la pression insensée pour faire vacciner tout le monde anti-covid19, ce serait ma faute à moi ! (indirectement).
   Je reprends les éléments :
– Hier ou avant-hier, j’ai entendu dans l’émission télé « L’heure des Pros », l’animateur Pascal Praud signaler (avec approbation de plusieurs débatteurs) que le président du labo Pfizer venait de confirmer que les essais de phase III (du vaccin anti-covid19) ne seraient finis qu’en 2023, ce que je n’avais entendu que du polémiste/humoriste Bigard et de la généticienne Henrion-Caude prenant partiellement sa défense hors excès de violence verbale. Seul le journaliste Laurent Joffrin, le plus pro-vaccin, a démenti sur le plateau, disant que ce n’était pas possible, puisqu’on ne vaccinerait pas la population entière si les essais n’étaient pas terminés (positivement), « bien sûr ! ». Ça me fait penser à la logique de l’Inquisition au Moyen-Age : bien sûr que la Terre ne tourne pas puisque les autorités brûlent vifs les savants affirmant qu’elle tourne, donc elle ne peut pas tourner bien sûr ! (sauf à imaginer complotistement = débilement que les autorités sont idiotes et/ou criminelles). Oui, les croyants croient et clament cette croyance comme La Vérité, « bien sûr »… Concernant le vaccin anti-covid19, l’argument implicite semble : « on n’aurait pas traité toute la population comme des cobayes ! On n’aurait jamais affirmé que l’absence de risque est scientifiquement prouvée ! ». Et bien si…
– MAIS je tiens je crois l’explication, via un mécanisme argumentaire fautif que j’ai dénoncé il y a des années dans l’entreprise qui m’employait (et qui m’a jeté en invalidité psychiatrique car gêneur et souffrant que mon silence – en externe – complice soit acheté par le salaire) : la tradition biomathématique est hélas la validation par non-significativité. Pas (encore) « prouvé-mauvais » est mathématiquement (à tort) affirmé « prouvé bon ». C’est une faute totale, la vraie conclusion étant « pas de conclusion » (ou « pas encore de conclusion » pour ce vaccin à tests inachevés, pouvant éventuellement s’avérer bons à la fin). Mais telle est la scandaleuse pratique routinière, au nom des chiffres incontestables au nom de la science (pour incompétents seulement, et moi avec ma bosse des maths, j’ai tout démoli cela, expliquant que le risque de seconde espèce cherché pour approbation avait été remplacé fautivement par le risque de première espèce pour rejet, hors sujet mais donnant approbation facile, par erreur).
– ET… les courriers scandalisés que j’ai émis (bien qu’interdits) dans mon ex-entreprise ont pu parvenir au grand patron SB, futur président de la première société à clamer le vaccin anti-covid19 disponible, il se serait dit « Super, puisqu’on fait comme ça en routine, il y a là une aubaine qui va pouvoir attirer des milliards de dollars dans ma poche à moi ». Et il aurait ainsi, quelques années plus tard, clamé prouvé « chiffres en mains » l’innocuité de son vaccin bien avant d’avoir fini les tests devant l’établir. Et bingo : les politiciens du monde entier sont tombés dans le piège, criant que la population doit se faire vacciner immédiatement, et les milliards de dollars escomptés sont bien arrivés. Parce que je lui aurais (indirectement) signalé l’entourloupe à ne pas commettre jamais, qu’il aurait retourné en « si, je vais la commettre, mais pas pour des broutilles comme d’habitude, pour me faire un max de fric cette fois ! ».
– Je risque gros, puisque j’ai cassé la manœuvre mathématiquement fausse, et qu’une portion des milliards gagnés suffirait à payer un tueur pour m’éliminer (mais restera sur Internet mon site NonSignificatif.htm) On verra (les toubibs idiots classent la prétendue « rationalité pathologique » en paranoïa, maladie mentale inventant des risques inexistants, je sais). En attendant que ce soit su largement triomphe le faux et usage de faux, escroquerie en bande organisée mettant en danger la vie d’autrui, avec tellement de complicités (incompétentes stupides à la Joffrin ou trompeuses sciemment ?)… tellement oui que cela « marche » et court, même. La tromperie est institutionnalisée, avec milliers de relais fanatiques (et millions de victimes, piquées et on verra ce que ça donne…).

* Ajout 155, 10/07/2021 bis (11h) : Question dite « à 1 million d’Euros »
   Una amie, comme moi non-vaccinée covid19, m’a demandé si j’avais la réponse à la question Facebook posée par une dame (Ema Krusi du groupe « Eveil et Spiritualité » ? au temps 8mn de https://www.facebook.com/261741324221317/posts/1321777741550998/ ) critique envers le vaccin et la culpabilisation des non-vaccinés : « tu es en bonne santé, je te vaccine, comment je peux prouver que si tu n’es pas malade après le temps X, c’est grâce à cette vaccination ? ».
   Oui (à mon amie), je peux répondre, mais répondre « Non, pas possible » (à la dame posant la question) :
– La preuve ne peut absolument pas être donnée, puisque rien ne prouve que la personne vaccinée a rencontré l’agent infectieux (et l’a vaincu grâce au vaccin).
– Ce qu’il y a, c’est que les modélisateurs de santé publique estiment quelque chose comme : « en durée X, les non-vaccinés compteraient 3% de nouveaux contaminés et 0,1% de nouveaux malades ; avec vaccination de tous : 0,3% serait contaminé et 0,01% serait malade, ce qui est 10 fois inférieur, bien en santé publique et rentable financièrement ». Euh, c’est une estimation sur modèle douteux, pas du tout prouvé juste, mais la croyance en ce modèle le fait intervenir comme prétendu probable. Les 97% qui n’auraient pas été contaminés ne sont en rien protégés par le vaccin (qui n’a pas servi chez eux durant cette période, mais il n’était pas possible de savoir à l’avance que ça ne les concernerait pas) ; cela a protégé 2,7% de la contamination et 0,09% de la maladie (« cas » au sens propre). Pour un individu au hasard, rien n’est prouvable et il y a bien plus de 50% de chances qu’il n’ait été protégé en rien (puisqu'aucun besoin le concernant lui sur cette période).
– Attention : non preuve-que-oui n’est pas preuve-que-non. Ce n’est pas qu’il est prouvé que le vaccin ne sert à rien pour l’immense majorité des gens, c’est une question de petit risque qui a été décidé d’être réduit (par les gens ayant le pouvoir).
– Exemple parallèle : la ceinture de sécurité. Depuis 36 ans que j’ai le permis de conduire, je n’ai jamais vécu de choc très violent pour lequel la ceinture de sécurité m’a sauvé de la vie ou évité accident grave traversant le pare-brise, si je la mets c’est parce que des décideurs obligent à ce port de ceinture qui (sur le principe, chiffres imaginaires) fait passer la probabilité de choc physiquement grave de 0,0001% par trajet à 10 fois moins. Ce n’est pas en soi un argument « à un million d’euros » pour dire que la ceinture de sécurité ne sert à rien. C’est une précaution, effectivement discutable, en pratique obligeable si les autorités policières en décident ainsi (anti-liberté individuelle).
– Le problème du vaccin anti-covid19 n’est pas celui-là, sinon il serait simplement comme le vaccin anti-tuberculose ou antipolio. Son problème spécifique est qu’il est clamé à employer sur la population générale alors que les essais ne sont pas du tout finis, que l’innocuité n’est pas encore établie, ce qui constitue une mise en danger de la vie d’autrui, argument très majeur, bien au-delà de dénier qu’un petit risque soit une certitude de très grave problème.

* Ajout 156, 11/07/2021 (13h) : Nouvelle accusation énorme
  Ce jour sur chaîne de télévision LCI, j’ai entendu le Docteur Jean-Jacques Zambrowski, médecin hospitalier, affirmer « [1] Ne pas se faire vacciner [anti-covid19], c’est du mépris envers les autres. (…) [2] on sait que » le vaccin est sans danger. [3] Il a aussi parlé de l’inquiétant variant delta [4] qui risque hélas de se répandre, c’est grave. Qu’est-ce que j’en pense ?
   J’en pense que c’est scandaleusement faux :
1/ En matière de mépris envers les autres, le pire et le problème-source, c’est avoir donné l’autorisation de mise sur le marché pour un remède n’ayant nullement été testé selon les requêtes obligatoires depuis des décennies (tests sur animaux de familles différentes, toxicité à long terme, pouvoir cancérigène et tératogène, etc.). Les piqués, ainsi mis en danger (pour faire un maximum de fric en ce qui concerne les industriels, pour « sauver l’humanité, votez pour moi » en ce qui concerne les politiciens décideurs), ce sont eux qui sont les principales victimes du mépris envers les autres. Clamer autre chose est envisageable mais tous les points de vue devraient avoir pareillement la parole, au lieu de (sur les télés françaises) propagande 99,99% pour les culpabilisateurs des gens osant douter des autorités. Les autorités méprisent les gens, c’est le premier problème, que des gens (moins moutons que la moyenne) résistent, c’est de la légitime défense, les classer « mépriseurs d’autrui » est idiot et scandaleux – les accusateurs étant infiniment plus coupables en la matière que ceux qu’ils accusent.
2/ Ce n’est pas « on sait » que devrait dire cet imbécile, c’est « je crois (comme plusieurs de mes collègues) ». Je rappelle que les médecins sont sélectionnés et diplômés comme réciteurs serviles bannissant l’esprit critique, qu’ils se déguisent en tout-sachant donneurs de leçons est une honte (ou bien : il faudrait avouer qu’il s’agit de leçons de récitation à pouvoir de conviction nul, pas du tout de savoir indéniable, très convainquant imparable). C’est aussi de l’incompétence, totale : les démonstrations scientifiques en biomédecine ne valident jamais l’hypothèse nulle de perfection (ou quasi-perfection), elles ne font que rejeter des hypothèses peu compatibles avec les observations. Oui, il serait cohérent de dire « ce vaccin tue moins de 1% des vaccinés la première année, après : on n’en sait rien », mais « il est prouvé sans danger » est un mensonge total, absolu (d’incompétent ou menteur).
3/ L’identification microbienne par séquençage nucléique a été mon métier principal de 2012 à 2018, et je conteste cette notion de variant delta (ou britannique etc. avant), apparemment basé uniquement sur une protéine de surface (séquençage partiel, rapide, pas trop cher). La connaissance complète requerrait séquençage total, pouvant montrer que le prétendu « variant delta » est une famille de très divers variants, qu’il n’y a aucune raison à regrouper, en matière de pouvoir contagieux ou infectieux. Ne pas se poser la question est compréhensible de la part d’incompétents, mais leur pouvoir de conviction est nul, nullissime, là encore : qu’ils donnent des leçons péremptoires est insupportable pour les compétents.
4/ Le fait qu’un virus se répande n’est en rien une catastrophe abominable à éviter coûte que coûte : les virus de la grippe, de la gastro-entérite, du rhume, etc. se répandaient pareillement (on l’aurait vu s’il y avait eu la même hystérie pour leur dépistage systématique), et qu’ils se répandent est plutôt bénéfique pour renforcer notre immunité. Ce serait différent si ce virus était très mortel, mais ça n’a aucunement été démontré, puisqu’aucune preuve de cause à effet n’a été donnée pour justifier que les prétendus « tués par le virus » sont morts comme conséquence de la cause que serait leur positivité au test concernant ce virus (ou de la cause commune que serait ce virus lui-même). Ce qui s’est passé est que les positifs morts de vieillesse ont été abusivement classés « tués par le virus », de même que les anciens victimes d’anesthésie léthale provoquée par la panique clamée obligatoire pour ce virus faisant oublier les précautions usuelles. Qu’un virus bénin se répande ne présente aucun problème, et que ce virus ne soit pas bénin n’a nullement été établi. La parole des autorités (qui se sont avérées menteuses sur les tests de toxicité à long terme) ne vaut rien, et la lucidité des médecins face à l’inconnu parait nulle puisque ce sont des réciteurs (de ce qu’on leur dit de répéter) classés à tort parmi l’élite intellectuelle (certes, réciter des millions de choses est un « talent » mais assez stupide, sans aucun intérêt face aux situations imprévues).

* Ajout 157, 11/07/2021 bis (16h) : Assistance à personne en danger (et autres anomalies)
• Je lis ce jour une nouvelle MSN/BFM-TV (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-pour-bayrou-il-n-y-a-pas-d-autre-issue-que-la-vaccination-obligatoire-pour-tous/ar-AAM1kvo?ocid=msedgdhp&pc=U531) . Je cite et commente :
– « Le Haut-commissaire au plan va même plus loin, en considérant purement et simplement le refus de la vaccination comme de la "non assistance à personne en danger". Il s'appuie notamment sur l'exemple de (…) jeune femme qui a décidé de saisir l'Etat après le décès de son père du Covid-19. Une perte qui selon elle aurait pu être évitée avec la vaccination obligatoire des soignants. »
--> Je ne suis pas d’accord pour dire que les gens refusant de se vacciner mettent en péril la vie d’autrui, donc non assistance à personne en danger (voire pire) : c’est le contraire ! Tant que n’a pas été étudiée la toxicité à long terme, on ignore si ce vaccin est bénéfique ou davantage dangereux (peut-être après 5 ans, pas forcément tout de suite) que bénéfique. Il est trop tôt pour l’affirmer sans danger et donc l’employer, a fortiori pour le rendre obligatoire sur toute la population, potentiellement massacrée si la conséquence est mortelle. Certes, il peut être répondu par la femme en question que son père est mort tout de suite ce qui est infiniment plus grave qu’une mort très hypothétique dans cinq ans, mais c’est mal pensé : un décès immédiat est moins grave que 60 millions de décès dans 5 ans (ou cent mille dans 5 ans, s’il s’agit de tous les soignants et non tous les gens).
– « "Qu'est-ce que vous feriez dans l'hôpital public si un chirurgien refusait de se laver les mains et de mettre des gants pour une opération ?", compare François Bayrou. "On dirait qu'il ne peut pas exercer son métier. La personne en question doit être suspendue de son travail" »
--> C’est le niveau zéro-zéro de la pensée, ou un mensonge classique de politicien. La comparaison est idiote : si on exigeait que le chirurgien se lave les mains avec un produit méconnu X, qui pourra lui ronger les bras jusqu’à l’os (on le saura dans 5 ans environ), bien sûr qu’il refuserait, et il aurait entièrement raison. Voilà la comparaison pertinente, pas trompeuse menteuse.
• Par ailleurs, je lis une autre nouvelle MSN avec LePoint (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/actualite/sean-penn-les-antivaccins-nous-entra%C3%AEnent-vers-la-fin-du-monde/ar-AAM0Wds?ocid=msedgdhp&pc=U531) : « Sean Penn : (…) Je fais partie des Américains qui croient en la science et font confiance dans les vaccins. Je comprends le processus psychologique des gens qui restent toujours sceptiques à l’idée qu’on injecte quelque chose dans leur corps : c’est leur droit. Mais en même temps, aux États-Unis, des digues ont cédé en partie à cause des croyants évangélistes, qui vivent déjà dans leur petit conte de fées et ne cessent d’encourager ce scepticisme. Leur attitude autosatisfaite va finir par rendre malade tout le monde. Tant que toutes ces personnes refusent de se faire vacciner, elles nous font courir le risque de voir arriver un variant encore plus dangereux que le Delta et qui pourrait tuer 10 millions de personnes par jour dans le monde, quel que soit le vaccin. En refusant de se faire vacciner, ces gens nous entraînent vraiment vers la fin du monde. »
--> Cet acteur célèbre, super-incompétent en virologie et vaccinologie, ne dit là qu’une opinion, d’accord, mais je la trouve très mauvaise. Si tout le monde était contaminé, ça ne voudrait pas du tout dire que tout le monde est malade, ce virus étant asymptomatique le plus souvent, et bénin dans la majorité des cas restants. De plus, il n’y a pas que des croyants évangélistes qui refusent l’injection de quoi que ce soit, ma position est toute autre : je dénonce que ce vaccin-ci n’a nullement été prouvé inoffensif avant de décider son emploi en masse, en mentant sur son innocuité dite prouvée (les vaccinés ayant été trompés, par abus de confiance, désinformation active ou hyperactive). Lui, stupide, croit les leaders en blouse blanche (numéro 1 en autosatisfaction) prétendant à tort incarner la science, c’est lamentable, enfin c’est une attitude de croyant, crédule, simplement décérébré, les autorités nous voudraient tous comme ça. Heureusement, nous sommes quelques lucides à résister (avec certes des illuminés pour d’autres causes). Quant à sa citation de « 10 millions de morts par jour », il aurait pu dire « 100 millions par minute » puisque c’est du n’importe quoi reposant sur rien de rien. C’est presque une parodie d’alarmisme excessif, infondé.
• Et sur une autre nouvelle MSN/BFM-TV (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/vaccination-obligatoire-pour-tous-ce-qu-en-pensent-les-soignants/ar-AAM1nbs?ocid=msedgdhp&pc=U531) : « Pour mener cette bataille de santé publique, [la vaccination] est notre seule alliée. Nous n'y arriverons pas sans ces injections", déclare (…) Bernard Kouchner, ex-ministre de la Santé. Pour lui "la refuser, c'est une trahison. Il faudra une loi" pour la rendre obligatoire. Pour rappel, en France, 11 vaccins sont déjà obligatoires, et certains sont également obligatoires pour certaines professions, notamment les soignants. "En matière de maladie infectieuse, on n'a jamais fait aussi bien que la vaccination, et chaque fois qu'on a extensivement vacciné, on est arrivé au bout des épidémies" (…) "Il faut en finir avec cette maladie, la seule solution c'est la vaccination". »
--> C’est de la confusion mentale : ce n’est pas parce que les médicaments (ou les antibiotiques) ont sauvé plein de gens qu’il faut accepter instantanément (sans vérification complète) tout nouveau médicament développé (ou antibiotique). Dans la procédure normale, la vérification est non discutable, théoriquement, même s’il est escompté (si cette vérification est satisfaisante) que la mise en application à grande échelle sera très bénéfique. Il est célèbre que plein de médicaments (dont antibiotiques) en cours d’acceptation finale ont été refusés, pour éviter une catastrophe sanitaire d’empoisonnement, c’est très nécessaire (parfois cette vérification est mal faite, avec scandale d’interdiction longtemps après acceptation, cf. Mediator, mais en tout cas il est dément d’invoquer la santé publique pour se passer de ces vérifications). Précision : il ne s’agit en rien, dans ce que je dis, de refuser à jamais, par principe, un vaccin anti-covid19, mais de dénoncer les passe-droits dangereux qui sont intervenus pour le sortir (et commercialiser/employer/imposer) en 1 an au lieu de 10 ans normalement.
  Pour ce qui est de la « trahison » : avant d’accuser les non-vaccinés, les premiers à accuser sont les autorités ayant donné le feu vert sans le dossier complet de non-toxicité, mettant en danger les gens, en trahissant la confiance dans les autorités, les experts, la science, etc. Au quotidien ensuite, la trahison la plus grave ne me semble toujours pas ceux qui restent chez eux sans aller se faire vacciner, mais les médecins à qui leurs patients inquiets ont demandé « c’est pas dangereux ? » et qui ont répondu : « non, il est scientifiquement prouvé que ça ne risque rien », mensonge trahissant la confiance (peut-être excessive, certes, mais là me semble la trahison énorme au quotidien).
  Quant à « venir à bout de l’épidémie », « en finir avec cette maladie », assurer que la vaccination y parviendra est pour le moins douteux. La vaccination contre la grippe n’annihile pas du tout la grippe. Il suffit que le virus change, c’est l’évolution naturelle, et elle redouble d’intensité si le vaccin ou traitement exerce une pression de sélection. C’est le principe de la résistance bactérienne aux antibiotiques : il est contre-productif (quoique financièrement juteux) d’employer en masse énorme le remède, en prétendant éradiquer la menace, au contraire c’est cela-même qui engendre l’apparition de mutants résistants très dangereux. Cela dément aussi Sean Penn, qui disait plus haut que c’est la non-vaccination qui provoque l’apparition de variants (comme si, pour les bactéries, on disait l’aberration : « il faut que chacun se gave d’antibiotiques, sinon il va apparaître des mutants dangereux », alors que c’est l’exact contraire – qui constitue l’actuel consensus des savants, certes discutable dans l’absolu quand ils clament affirmer le vrai éternel universel incontestable).

* Ajout 158, 12/07/2021 (11h) : « Altruisme » ??
  Aujourd’hui à la télévision, un médecin a formulé autrement son avis pro-vaccin-anti-covid19 : il disait s’être fait vacciner par altruisme, pour ne pas contaminer les autres. Sous-entendu donc : ceux qui refusent la vaccination ne sont pas altruistes, sont individualistes/égoïstes, immoraux/moralement-monstrueux. )
  Je ne suis absolument pas d’accord : ce vaccin n’ayant pas été à ce jour prouvé non dangereux à long terme, l’altruisme véritable consisterait à militer pour que son emploi généralisé n’intervienne surtout pas, il faut impérativement (pour raison de santé publique) attendre la vraie validation. Classer égoïsme cet avis immensément sensé et généreux, c’est là qu’est l’égoïsme, variante tyrannique s’en prenant à des innocents, comme déclarés fautifs d’oser être lucides contre la parole dominante.
  Certes, si plein de gens sont crédules vis-à-vis des autorités menteuses, admiratifs vis-à-vis des faux-sachants clamant qu’est « savoir » leur « croyance », se pose la question « faut-il faire le bien de ces gens contre leur gré ? ». Répondre Oui et forcer à l’arrêt de vaccination, ce serait une forme d’égoïsme, disant quelque chose comme « crotte à l’esprit démocratique populiste, mon doute à moi vaut un milliard de fois mieux que l’avis de millions de crédules ». Le sens moral, altruiste oui, conduit donc à dire : « pauvres personnes intoxiquées sans réfléchir, mais effectivement c’est leur droit d’en avoir décidé ainsi, quant à moi je refuse cette voie ». C’est de l’altruisme, contraire de l’égoïsme.
  Donc ce prétendu médecin altruiste mérite une plainte pour diffamation, en plus de radiation pour faute professionnelle et incompétence crasse ou mensonge (ne sachant apparemment pas ce que sont les tests de toxicité exigés depuis des décennies en matière de remèdes médicaux, se contrefichant que les essais ne seront pas finis avant 2023 dans deux ans, ce qui conduit à mentir aux gens piqués en leur cachant qu’ils sont traités en cobayes et on verra bien s’ils survivent ou non dans quelques années – le serment d’Hippocrate est là foulé au pied, faute lourde). Enfin, que les médecins ayant la parole soient de mauvais médecins, je m’en fous un peu, mais qu’ils m’accusent d’immoralité honteuse atroce, alors que ce sont eux les coupables en la matière, là ça me fait hurler, en légitime défense !

* Ajout 159, 13/07/2021 (13h) : Question à l'industrie
  Je serais intéressé que soit examiné le point de vue de l’industrie pharmaceutique, qui dépense depuis des décennies en moyenne 10 ans d’études très chères pour valider chacun de ses nouveaux remèdes. Depuis le cas vaccin anti-covid19 (faisant jurisprudence dorénavant ?), sera-t-elle libérée de cette contrainte coûteuse et très retardante ? Suffira-t-il de dire « c’est pour combattre une maladie grave » pour que ne soient plu’ du tout exigés les tests préalables sur animaux, et seconde famille d’animaux, et tests de pouvoir cancérigène à long terme, et de pouvoir tératogène sur embryons ? C’est fini ? Plu’ du tout besoin ? On s’en fout des risques graves genre « thalidomide validée administrativement presque sans test » ? Au nom de la raison ? Et du « principe de précaution » ?
  S’ils ne sont pas morts de rire, les employés de l’industrie pharmaceutique seront très contents de cette fabuleuse économie, et ils seront très riches, du moins pour ceux ne perdant pas leur emploi de testeurs devenus inutiles… (Personnellement, je pense que c’est une farce absurde/ridicule, contraire du principe de science expérimentale, mais pas pour les politiciens ni pour les journalistes-télé et leurs invités, prétendant avoir le monopole de la raison, de l’esprit responsable, civique).
  A noter, j'ai entendu (sur Internet) Nicolas Dupont-Aignant, politicien (dont je n'aime pas le nationalisme mais cette fois convaincant, sur le sujet sanitaire), dénoncer comme criminel l'attitude du président imposant le vaccin (aux soignants, ou à tous peut-être bientôt) alors que les tests ne sont pas finis du tout. Cobayes, oui (sans le dire, le président jurant le contraire, menteusement, quelle honte, méritant destitution, je suis d'accord).

* Ajout 160, 14/07/2021 (14h) : Hypothèse cynique
   J’envisage une possibilité, nullement garantie vraie mais pas prouvée fausse à ce jour (hors mensonge outrancier des autorités et prétendus sachants) : cinq ans après la première injection de vaccin anti-covid19, chaque vacciné développerait une sclérose en plaque aiguë, mourant deux ans plus tard, quel serait l’effet géopolitique de cela ?
  Incroyablement, cela sauverait le monde de la troisième guerre mondiale que je craignais ! Youpi ! La guerre Occident-Islamisme = Sionistes-Antisionistes serait annulée par l’extermination des Israéliens (les plus vaccinés du monde), laissant ce pays devenir Palestine libre et démocratique (ou état palestinien des Etats-Arabes-Unis). Et la riche minorité occidentale dominant injustement le monde (par héritage de la colonisation massacreuse, crime contre l’humanité, recel de fortunes injustes) serait décimée aussi puisque très nettement plus vaccinée que le Tiers-Monde et les pays émergents. Ce serait la ruine de l’atroce civilisation occidentale, youpi ! Et sans guerre aucune ! Sans aucun massacre violent ! Le calendrier ne serait plus "après-Jésus-Christ" (le monstre qui a appelé à tuer les parents éloignant leurs enfants de son Dieu pro-Juifs) mais "après-Sitting-Bull", l'Amérindien vrai héros martyr de l'humanité, non ?
  Mais je ne suis pas complotiste, je ne dirai pas que tel était secrètement le but de gens comme moi anti-Occident mentant pour faire vacciner les Occidentaux surtout les Israéliens, non. Ça semble une coïncidence, peut-être. Ça me fait presque sourire, un peu. Même dans les pires imbécilités mensongères, il peut y avoir une logique estimable, quelque part.
  P.S. (hyper-hypothétique) : il n'est pas complètement impossible qu'il s'agisse d'un plan victorieux de la Chine (d'où est venu covid19), la ruine de l'Occident (naïf tombant dans le piège) assurant leur domination mondiale pour la suite, youpi (du point de vue "dirigeant chinois" ?).

* Ajout 161, 14/07/2021 bis (16h) : Pseudo-argumentaire
  Je lis une nouvelle MSN/LeFigaro effarante encore (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/le-principe-de-libert%C3%A9-justifie-t-il-de-ne-pas-se-faire-vacciner/ar-AAM72cQ?ocid=msedgdhp&pc=U531 ) : « Le principe de liberté justifie-t-il de ne pas se faire vacciner ? ». Je cite et commente :
• « Emmanuel Macron a annoncé (…) l'obligation pour les soignants de se faire vacciner. Si la liberté suppose une absence de coercition, chaque liberté est limitée par celle d'autrui, estime l'avocat et essayiste Jean-Philippe Delsol. »
--> A mon avis, cet argument dirige totalement à l’opposé de la mesure prise : les dirigeants ont la liberté d’emmerder les gens, mais leur liberté est limitée par celle d’autrui (liberté de ne pas être emmerdé), donc ça déjuge les dirigeants, abusant de leur pouvoir comme d’habitude.
• « Les antivax crient déjà au scandale et à la tyrannie. Certains invoquent (…) des incertitudes médicales, les libéraux revendiquent la totale propriété de leur corps et s'insurgent contre la violation qu'en représente l'obligation de se faire vacciner ou les contraintes imposées aux non-vaccinés. Ces récriminations, qui ont leur légitimité, justifient-elles leur fronde et leur refus ? (…) Les libertariens considèrent avec Ayn Rand que l'homme a pour première vocation de déterminer par lui-même les meilleurs moyens d'assurer sa vie (…) mais elle soumet la liberté à l'exercice de la raison de l'homme : ʺSi la vie sur terre est son but, il a le droit de vivre comme un être rationnel : la nature lui interdit l'irrationnelʺ. Et il serait irrationnel aujourd'hui de ne pas se faire vacciner, sauf cas médical particulier bien sûr. »
--> C’est totalement faux, c’est un mensonge éhonté : les obligations en matière de précaution en non-toxicité à long terme, hyper-rationnelles, ont été fichues à la poubelle pour se faire un maximum de fric et devenir milliardaire (bonjour SB mon ex-patron super-menteur), piégeant les politiciens au pouvoir avec règne irrationnel de la peur panique (de poursuites ultérieures ou non-réélection). L'irrationnel (interdit théoriquement ?) est donc du côté de la vaccination générale anti-covid19 maintenant.
• « (…) Ce qui vient tempérer la propriété d'une connotation éthique. (…) Elle n'est pourtant pas arbitraire ; elle repose sur quelques fondements partagés par notre humanité, notamment dans le respect de la vie considérée comme un bien qui mérite qu'on le préserve. »
--> Encore une fois, ça va honnêtement en sens inverse : on n’administre pas à des foules de gens un truc en test qui peut les tuer dans 5 ans ! C’est anti-éthique total, ce qui se fait, au nom menteur de l’éthique.
• « Pour le moins, notre liberté trouve sa limite dans celle des autres. (…) le droit que nous aurions peut-être (…) serait relativisé si son exercice mettait en péril la santé, voire la vie des autres. Telle est bien la problématique vaccinale. »
--> Faux, ce qui est dit là vaudrait pour un vaccin prouvé sans danger mais pas du tout pour un vaccin encore en test, peut-être mortel 5 ans après injection, c’est tout le contraire ! Ne pas faire l’amalgame entre vaccin covid19 prématuré et vaccin sûr avec grand recul. L’amalgame est de la pourriture rhétorique, invalidant le prétendu penseur qui l’emploie, en fait menteur actif, méprisant son auditoire, escompté super-débile, ce que je ne suis pas, désolé (et tant d’autres résistants comme moi).
• « Il est vrai que nous manquons de recul pour évaluer toutes les conséquences du vaccin. Nous ne pouvons pas exclure des effets indésirables à long terme même si les autorités médicales du monde entier, dans leur très grande majorité, nous rassurent à ce sujet. »
--> Quelle est leur preuve ?! Que les autorités disent n’importe quoi est commun : non les services secrets français n’ont nullement fait exploser le Rainbow Warrior (« les complotistes osant énoncer pareil délire sont honteux ! diffamatoires méritant la prison ! »), le nuage de Tchernobyl s’est arrêté à la frontière, « le masque ne sert à rien de rien quand on n’est pas malade ! »… « Gouverner c’est mentir » titrait un livre pertinent que j’ai lu, assorti d’innombrables exemples et listes de recettes. Que la propagande des autorités soit rassurante, c’est un grand motif de crainte puisqu’il s’agit de menteurs chroniques avérés !
• « Mais nous savons maintenant que le vaccin sauve de la maladie très largement et qu'il en atténue l'impact lorsqu'il frappe. »
--> Non, ce n’est en rien du savoir, c’est de la croyance. Même scientifiquement publié, un propos n’a pas à être automatiquement cru. Même des « consensus scientifiques » peuvent entériner des âneries, des fautes logiques de la part d’abrutis profonds, simplement suivistes, et diplômés comme réciteurs-jongleurs, même avec des trucs faux. Les objections sont saquées scolairement, universitairement (interdit de prouver qu’un prof se trompe), professionnellement (direction pour le gêneur : invalidité psychiatrique). Ce n’est pas que les scientifiques ont raison, c’est qu’ils interdisent qu’on les prouve en faute, c’est archi nul. Les incompétents peuvent gober les propos des autorités, mais les lucides de formation scientifique sont aptes à les démolir de l’intérieur, ce que n’imagine pas cet incompétent ici donneur de leçon, clamant qu’il sait, imbécilement, crédulement (moins de 6 ans d’âge mental).
  Au passage, je note une ambiguïté, peut-être liée au mensonge d’Etat habituel : « sauver de la maladie » n’est pas clair puisque les gouvernants appellent (spécifiquement pour covid19) les positifs non-malades (asymptomatiques) : "cas" de cette maladie, bref les non-malades positifs sont affirmés malades, les malades cardio-vasculaires (et autres) sont classés « malades de covid19 » ou non selon leur positivité même si ça n’a aucun rapport avec leur souffrance. Si un EHPAD a 30 personnes âgées qui décèdent de vieillesse dont 20 positives covid, il sera clamé que 20 ont été tuées par la maladie covid, si après vaccination il y a zéro positives covid et que 30 décèdent pareillement de vieillesse, il sera clamé/écrit/publié que le vaccin a sauvé 20 personnes de la maladie et de la mort, ce qui est faux, mais hop l’imbécile il croit, mieux : il sait ! (croit savoir).
• « Les États-Unis et la Grande Bretagne en particulier en offrent l'exemple. »
--> Il y a tellement de chiffres officiels faux, dans cette affaire covid, que croire les chiffres officiels est un acte de foi, irrationnel. Aux USA en période électorale 2020, les statistiques covid19 changeaient du tout au tout entre états républicains (« tout va bien, merci président fédéral, votez républicain ! ») ou bien démocrates (« horreur absolue, honte au président fédéral, votez démocrate ! »)… mensonge organisé, pourriture intégrale.
• « Le choix est entre un mal certain, grave, mortel dans un nombre de cas non négligeable, et un mal possible, non avéré, considéré comme improbable en l'état de la science. »
--> C’est faux : le caractère mortel de ce virus n’est même pas établi, il a été automatisé de compter « tué par le virus » tout mort se trouvant positif au virus, sans aucune preuve de cause à effet (y compris morts de vieillesse, accidentés de la route, etc.). Cela aurait pu conduire à clamer que la calvitie tue ! puisque plein de morts âgés sont chauves. C’est idiot ? Oui, mais il ne faut pas le dire. Et la toxicité à long terme du vaccin n’a nullement été étudiée par la science (à ce stade), c’est un mensonge colossal d’affirmer le contraire et de prétendre avoir chiffré des probabilités objectives. Depuis le scandale thalidomide, la science a interdit de clamer une innocuité sans l’avoir expérimentalement prouvée, là est la vraie science, tandis que la pseudo science « covid19 » fait tout le contraire, sans le dire, en diabolisant les rares esprits lucides, classés complotistes et irresponsables, menteusement [un journaliste télé disait même ce soir : « la pédagogie ne les convaincra jamais, il faut les sanctionner, il n’y a rien d’autre à faire ! »].
• « Ce choix qui, parce qu'il reste encore un soupçon d'incertitude, pourrait néanmoins être celui du refus de la vaccination s'il ne s'agissait que de soi, devient presque nécessairement celui de la vaccination lorsqu'il faut prendre en compte, d'un point de vue moral et responsable, la communauté dans laquelle nous vivons. »
--> C’est faux, totalement : tous les médicaments, destinés à soigner autrui, sont à utilisation générale rigoureusement interdite tant qu’il n’est pas prouvé qu’ils ne sont pas tueurs à longue échéance genre 5 ans. Prétendre sauver les gens en les tuant est inadmissible, ce risque est rédhibitoire, en nécessité éthique, morale, nécessaire pour de vrai.
• « Certes la liberté suppose une absence de coercition, mais il n'y a pas de liberté solitaire. Chaque liberté est limitée par celle d'autrui. »
--> Imposer un vaccin qui peut être tueur (on n’en sait rien) c’est immensément bafouer la liberté d’autrui, les monstres sont ici les accusateurs, affreux.
• « Celui qui veut exercer la profession de soignant a au surplus un devoir éthique de sauver la vie des autres ou d'y contribuer, en conformité avec le serment d'Hippocrate qui relève de la morale naturelle. Il a donc un devoir préventif de se faire vacciner tout en gardant la liberté d'exercer une autre profession s'il ne le souhaite pas. »
--> Oui, ce serait juste si (quand) le vaccin était (sera) démontré sans risque grave même à long terme, ce qui n’est aucunement le cas. Le bla-bla donneur de leçon, criminalisant l’objection lucide, est donc odieux de malhonnêteté (intellectuelle et morale, anti-éthique).
• « (…) De même que l'entreprise demande à celui qui veut être représentant de commerce de justifier d'un permis de conduire, de même que ceux qui veulent exercer des métiers de conducteur ou pilote doivent avoir une bonne vue, il ne paraît pas anormal de demander aux soignants de se faire vacciner pour que l'hôpital sauve plutôt que de contaminer. »
--> L’entreprise ne demande pas un « permis de conduire un véhicule en feu chargé de tonnes d’hydrocarbures sur le point d’exploser peut-être (oui ou non, on ne sait pas, on verra…) ». Il est très anormal de demander aux employés de prendre sous la contrainte un risque peut-être mortel non reconnu tel et affirmé sans danger, c’est très très anormal, odieux criminel.
  Quant à ce que l’hôpital ne contamine pas, c’est un espoir mais les maladies nosocomiales sont une grande habitude depuis bien des années, bien avant covid19. Hospitalisé en 1998-2000, j’ai attrapé cinq maladies nosocomiales : infection pyocyanique, staphylococcique, muguet buccal, escart sacré, poly-ostéo-arthropathie-neurogène, sans compter qu’une de mes 12 opérations chirurgicales subies a consisté à réparer une des précédentes mal faite, et que j'ai été blessé par un soin anodin de coupure d'ongles de pieds par une aide-soignante, avec séquelles pendant quatre ans. On n’a en tout cas jamais exigé vaccination anti-pyo ou anti-staph ou anti-Candida pour les soignants, on nous ment, ça cache visiblement un truc (ou bien c’est du très mauvais bla-bla n’importe comment, de la part d’un incompétent ne connaissant rien au sujet hospitalier qu’il prétend gendarmer).
• « La liberté n'est que laxisme, faiblesse ou licence quand elle n'est pas corrélée à la responsabilité. »
--> Ceux qui ont décidé la vaccination des masses sans avoir la preuve habituelle de non-toxicité à long terme, ce sont des irresponsables très dangereux, il est honteux qu’ils nous donnent maintenant des leçons de responsabilité (eux et leurs valets ou propagandistes comme ici).
• « (…) les adeptes du refus qui conservent leur liberté de vivre plus confinés, comme nous le serions sans doute encore tous si le vaccin n'existait pas. »
--> La décision de confinement n’était en rien nécessaire, elle semble avoir été une volonté autoritariste d’emmerder les gens, les commander durement. La Suède sans confiner a eu bien moins de morts « dits covid » que la France. Mais certes, celui qui parle ici récite les idées reçues préconisées par nos autorités, nul argument, seulement de la récitation, bien dirigée pour ne pas envisager les objections (étouffées, simplement).
• « Bien sûr, il y a la liberté de conscience. Elle justifie que la vaccination ne soit pas obligatoire en soi, mais qu'elle ne le soit que pour exercer certains métiers, pratiquer certaines activités, entrer dans certains lieux… Celui qui ne veut pas se faire vacciner en assume les conséquences comme les objecteurs de conscience le faisaient. »
--> La référence aux objecteurs de conscience (au service militaire obligatoire ?) est utile, en matière d’autoritarisme dictatorial. Dans les années 1970, les gouvernants commandaient de se préparer à aller se faire tuer sur ordre, sans le moindre droit de refus (enfin : les jeunes hommes, « sale race ! pas les jeunes femmes, éh il n’y a nullement égalité ! »). Et interdiction de référendum d’initiative populaire, pour que le peuple n’ait pas le choix de dire crotte aux gouvernants. Alors oui, ceux qui refusaient (étaient autorisés à refuser) étaient punis : deux ans de service civil (pour bien perdre les compétences techniques/universitaires acquises) au lieu d’un an de service militaire, dictature (déjà à l’époque). Le service militaire obligatoire a certes été supprimé (en 1997 me confirme Wikipédia) mais plein de politiciens autoritaristes le regrettent grandement aujourd’hui, tellement avides d’asservir, commander et punir. Avec covid19, ils ont apparemment trouvé une aubaine pour assouvir autrement leur vice écraseur d’autrui « inférieur » (en dignité et en droit). Affreux.
• « Locke observe que ʺsi la tolérance s'étendait à tout ce en quoi les hommes prétendent qu'à cause de leur conscience il leur est impossible de se soumettre, on détruirait par-là toutes les lois civiles et tout le pouvoir du magistratʺ (Essai sur la Tolérance). »
--> Staline, Hitler, pouvaient employer ce pseudo-argument pour interdire toute opposition, c’est simplement idiot, ce n’est pas un argument sans limite. Oui, il y a des compromis à trouver, avec grand soin, mais avoir accepté ce vaccin en urgence absolue avant qu’il soit prouvé non-tueur (à moyen et long terme), ce n’était en rien de la mesure prudente, mais de l’hystérie forcenée, de tyran maladif broyant les opinions rebelles osant être davantage sages.
• « L'État français a été critiquable quand il a immobilisé la France (…) Mais l'organisation de la vaccination, bien que tardive, est désormais opérationnelle. Et la vaccination est salutaire. Elle est même en l'état notre seul salut pour retrouver les voies de la vie et de la prospérité. »
--> C’est mal pensé. Il n’est aucunement prouvé que cela conduit à la vie plutôt qu’à la mort, puisque l’on n’a pas pris le temps de mesurer les conséquences à long terme. Un imbécile clame ici sa croyance comme de la vérité incontestable, c’est pitoyable. Et dangereux, potentiellement (on n’en sait rien, dans un sens comme dans l’autre, et si le « principe de précaution » n’était pas un immense mensonge, on ne vaccinerait pas en aveugle, du tout, sans débat même, appliquant les obligations officielles habituelles dans le domaine des soins).

* Ajout 162, 14/07/2021 ter (17h) : Guerre en marche contre la lucidité et l’honnêteté
  Je lis aussi une nouvelle MSN/TéléLoisirs inquiétante : Martin Blachier veut la "guerre" contre les anti-vaccins : "Notre ennemi, ce n'est plus le virus, c'est les anti-vax" (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/martin-blachier-veut-la-guerre-contre-les-anti-vaccins-notre-ennemi-ce-n-est-plus-le-virus-c-est-les-anti-vax/ar-AAM7CJn?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Pour l'infectiologue, le pays est en guerre contre les opposants à la vaccination, aujourd'hui plus dangereux que le virus lui-même. (…) alertait sur l'arrivée imminente d'une quatrième vague de Covid-19 (…) Favorable à la vaccination pour tous les Français, le médecin réclamait qu'elle soit imposée à la population par le pouvoir. Un vœu en partie exaucé. (…) Mais, pour l'épidémiologiste, le combat n'est pas pour autant gagné. Très remonté, l'infectiologue s'en est pris aux anti-vaccins, qu'il estime plus dangereux que le Covid lui-même. "Aujourd'hui, il y a une guerre et cette guerre, elle est contre les anti-vax. Je le dis clairement, ce sont des gens qui n'ont aucun scrupule, qui utilisent les pires méthodes et qui font extrêmement mal dans le monde entier... »
--> Ceux qui sont sans scrupule, usant et abusant du mensonge, ce sont les pro-vax (-covid19, dès 1 an au lieu de 10-ans pour la validation normale de non-toxicité), dans le monde entier oui, pour une raison indéterminée, n’ayant rien à voir avec la raison puisqu’ils ne répondent nullement aux objections, étouffées ou travesties pour être diabolisées.
• « C'est notre vrai ennemi collectif. Ce n'est plus le virus, parce que le virus, on peut le combattre, c'est l'influence des anti-vax" s'est ainsi emporté Martin Blachier. "Ils sont dangereux" ».
--> Eh, c’est toi, épidémio-infectio-machin escroc, qui est dangereux, ennemi de la population, du collectif. Si dans 5 ans tous les vaccinés meurent (ce n’est pas certain mais pas impossible) toi et tes chefs grands-payeurs auront massacré ce collectif que tu prétends servir. Dans le doute, il faut s’abstenir (proverbe définissant la sagesse, et qu’a entériné officiellement le « principe de précaution », trahi en hurlant le contraire). Eh, Blachier, fais-toi injecter immédiatement les milliers de médicaments en test pas encore prouvés non-toxiques (ils sont fait pour faire le bien, ce que tu acceptes immédiatement sans besoin de vérification de non-toxicité à long terme), ah ben non tu te sentirais en danger ? Ben oui, évidemment, et s’il fallait faire ça sur la totalité de la population mondiale, ça risquerait dix fois plus l’extinction de l’espèce humaine que le prétendu réchauffement climatique ! C’est toi et tes copains, qui constituent le plus grave ennemi des gens, même si avec propagande plein tube, vous avez réussi à tromper la majorité (ici, tout au moins, peut-être pas encore dans le monde entier).
• « "Emmanuel Macron a eu raison d'être ferme parce qu'il ne faut pas être mou face à ces gens. Ils sont aussi dangereux que d'autres groupuscules qu'on a l'habitude de montrer du doigt. Il ne faut pas les prendre à la légère. Ils sèment le doute dans la tête des gens et les conduisent à faire des mauvais choix. »
--> Bravo, le petit dictateur Blachier applaudit le grand dictateur Macron, c’est à hurler de rire, ou pleurer très fort… C’est comme Staline-Brejnev, qui écrabouillaient les « groupuscules » qu’étaient les dissidents osant contester la « bonne parole », la « Vérité » (pravda en Russe, nom du journal d’information propagande). Tout au contraire, le doute est le principe de l’intelligence critique, vous ne connaissez pas ça, vous dictateurs affirmatifs de La Vérité. Il n’y a pas de quoi être fier. Pas besoin de baratiner, autant dire comme le journaliste Lechypre l’autre jour : « les rebelles seront arrêtés par la police, menottés et piqués de force », c’est de la dictature totale, oui. Pas besoin de bla-bla nullissime pour faire semblant de chercher à convaincre par la raison (raison totalement absente de ce discours de haine, permise par la loi, menteuse aussi, c’est un autre sujet).
• « Ils disent des contre-vérités et n'hésitent pas à utiliser tous les arguments possibles pour faire adhérer les gens à leurs thèses. Et c'est extrêmement difficile d'extraire ces thèses anti-vax de la tête des gens une fois qu'ils ont été infectés." »
--> Le mot anti-vax est un amalgame stupide trompeur menteur : « refuser le vaccin prématuré anti-covid19 » n’a rigoureusement aucun rapport avec « refuser tout vaccin toujours ». Par ailleurs, réfléchir dans son coin et l’écrire car ça parait un milliard de fois plus sensé que la propagande télé, ça n’a aucun rapport avec une attitude de contre-propagande cherchant activement à empêcher autrui de se faire vacciner. Mensonge, total, c’est atroce de malhonnêteté intellectuelle.
• « Pour Martin Blachier, le combat semble aujourd'hui autant idéologique que sanitaire : "Il y a le souhait de certaines personnes, grâce aux réseaux sociaux, de contaminer le cerveau des gens avec des fausses idées... Donc il faut qu'on prenne l'habitude d'être extrêmement fermes face à ces idées-là." »
--> Oui, c’est un soutien actif à la dictature en place, voulue plus ferme encore, passant à l’hyper-dictature féroce… contre les rebelles, dits contaminateurs donc à écraser pour raison de salubrité. Dans leurs tombes, Hitler Staline Mao doivent sourire : leurs principes bannissant la liberté de pensée sont enfin repris dans le monde qui se disait « libre », victoire posthume pour ces monstres. Certes, Blachier est médecin, c’est un peu différent, mais l’union soviétique avait ainsi classé « médicalement à soigner » beaucoup des dissidents, et la psychiatrie occidentale est proche, désignant une rationalité malvenue (pour les dominants, docteurs inclus) comme pathologique. Le pas à franchir était petit, et covid19 a été une aubaine pour ces nouveaux monstres.

* Ajout 163, 15/07/2021 (7h) : Les politiciens pas tous d’accord, finalement
   J’ai aperçu sur les nouvelles MSN que Florian Philippot, en plus de Nicolas Dupont-Aignan, dénonce le discours tyrannique de Macron sur le vaccin anti-covid19, et il est dit que Marine Le Pen commence à dire un peu pareil. Mais pourquoi seule l’extrême-droite (dite fasciste donc tyrannique) serait-elle choquée par cette dictature ? ce devrait être le contraire…
  Heureusement, à la télévision, j’ai vu que des députés La France Insoumise (classés « extrême-gauche » dans l’assemblée) protestaient aussi avec véhémence contre les diktats scandaleux parachutés par le président Macron. Enfin, c’est le même paradoxe : LFI allié aux communistes est suspectée de dictature stalinienne, tout au contraire d’être réputée anti-tyrannie.
  En tout cas, ce seraient les extrêmes qui protestent, quand les formations davantage centristes (du parti socialiste aux républicains) font apparemment cause commune avec le président. On croit voir réinventé le fameux UMPS (alliance UMP-PS secrète ? droite molle et gauche molle ensemble). Et l’élection à deux tours favorise ce gros centre divers, avec alliances électorales (« front républicain ») pour faire barrage aux extrêmes. Tout est pourri, dans l’organisation même. Il manque évidemment, sciemment, le contre-pouvoir absolu, que serait le référendum d’initiative populaire à la suisse, donnant le pouvoir au peuple, pas à des politiciens extrémistes (ni bourgeois notables centristes).
  Il y a peu d’espoir que ça change, enfin on verra, la « dictature vaccinale peut-être empoisonneuse » continue, en attendant.

* Ajout 164, 15/07/2021 bis (8h) : Calculs d’efficacité douteuse
  Une nouvelle MSN explique « c’est quoi un vaccin efficace à 90% ? » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-c-est-quoi-un-vaccin-efficace-%C3%A0-90/ar-AAMaE95?ocid=msedgdhp&pc=U531), mais je ne suis pas convaincu.
  « Lorsqu’on dit qu’un vaccin est efficace à 90 %, cela signifie qu’avec ce produit, on a 90 % de chance d’échapper à une hospitalisation ». --> Cela me parait faux, très mal pensé : quand on ne se vaccine pas, on a 99% d’échapper à une hospitalisation la semaine suivante, il manque plein de conditionnelles à la phrase. Inversement, il est ridicule de croire que ce vaccin est protecteur universel et qu’on aura 90% de chances de ne pas être hospitalisé pour quoi que ce soit de toute sa vie (AVC, ulcère, infarctus, cancer, etc.) si on est vacciné anti-covid19. Ce que ça semble sous-entendre, c’est que : parmi les gens hospitalisés, pour symptômes graves, s’il y a positivité covid ça s’appelle forme grave de covid ; qui sont donc les covid sans forme grave ? des testés pour raisons diverses (voyages, visite médicale pour autre chose avec légère fièvre ou diarrhée interdisant salle d’attente car risque covid transmissible, etc.) ; alors… si covid n’est pas pathogène, et si le vaccin entraîne 90% non-positivité covid, les maladies graves continueront tout autant à se produire mais on clamera que les cas de covid grave sont immensément réduits par le vaccin (alors que les maladies sont inchangées, seul l’artefact du test covid sans signification pathologique aura changé).
  Illustration imaginaire chiffrée :
- 100 personnes en EHPAD « XYZ »
- Avant vaccination : 20 sont malades graves hospitalisées, 10 d’entre elles sont trouvées covid+, donc 10/100 dites covid grave.
- On renouvelle intégralement les patients, repartant à zéro, et on les vaccine anti-covid19. Après vaccination : 20 malades graves hospitalisés, 1 trouvé covid+, donc 1/100 dit covid grave (et en testant des non-hospitalisés, on trouve effectivement des covid+ non-malades, « confirmant » l’idée « il reste des cas covid mais ils ne sont plu’ graves, grâce au vaccin ». Et il est clamé que le passage de 10 à 1 est une réduction de 90% des covid graves. Faux : le vaccin ne fait que réduire la positivité au test, le nombre de malades tout confondu est inchangé (20/100).

* Ajout 165, 15/07/2021 ter (11h) : Idée pertinente, hélas
  Ce matin, dans l’émission télé « L’heure des pros », est intervenu le restaurateur Alain Fontaine, disant une pensée très juste : « Il y a la liberté théoriquement de croire ou ne pas croire en la vaccination »… oui mais il faut maintenant obéir, sinon sanction…
  Ça me rappelle une des pires dictatures connues : il y a liberté d’adorer ou ne pas adorer le leader Staline, oui mais il faut l’applaudir, sinon vous serez mort demain (suicidé diront les docteurs). C’est donc cela, atrocement, « la ʺlibertéʺ à la Macron » (et complices, journalistes etc.). Vous savez, « la liberté, notre valeur la plus précieuse », pour laquelle le président Macron envoie l’armée tuer les Islamistes, dits terroristes (osant parler de « liberté » des expulsés Palestiniens de revenir, etc.). Notre gouvernement est intégralement abominable, à mon avis. Evidemment, en propagande, ce Très Grand Mal prétend être le plus grand Bien, Staline a montré comment faire, certes…

* Ajout 166, 15/07/2021 [4] (18h) : Faux argument encore
   J’ai entendu à la télévision, pour la seconde fois (après avant-hier je crois) un élément jugé très probant par la personne l’assénant avec fierté clôturant faux débat : quelque chose comme « il n’y a aucunement à imaginer de manière délirante un effet secondaire gravissime du vaccin anti-covid19 cinq ans après injection CAR dans toute l’histoire des vaccins, jamais grand JAMAIS il n’est apparu d’effet secondaire plus de deux mois après injection ! » Et PAF! dans ma gueule ?!
   Pas du tout :
– La science, ce n’est pas la Vérité Universelle Éternelle, pas du tout (sauf pour les idéologues scientistes fanatiques), ce sont des théories en instance de réfutation expérimentale. La phrase correcte est donc « il n’y a pas d’effet secondaire de vaccin plus de 2 mois après injection, JUSQU’À preuve du contraire ». Et que le nouveau vaccin soit cette preuve éventuelle ou non, la science n’en sait rien de rien à l’avance. Les raisonnements par induction (généralisation abusive) sont des fautes en matière de logique, c’est de l’irrationnalité pure.
– Qui plus est, parler de l’historique des vaccins n’est pas approprié car cette fois, c’est une toute nouvelle technique (« technologie » pour les pédants fiers à tort) qui a été employée, le jugement par similarité étant donc hors-sujet. Pour les vaccins à ARN-messager, l’enzyme ARN-transcriptase présente dans les lymphocytes humains peut le transformer en ADN, s’insérant dans le génome de ces cellules très minoritaires, pouvant provoquer une leucémie, immensément longue à se développer mais diagnostiquée chez 100% des vaccinés au bout de 5 ans, peut-être. On n’en sait rien à l’avance. Les menteurs qui affirment que « la science certifie que Non ! » sont des croyants scientistes, aussi convaincants que les fous d’Allah ou du gourou Mandarom.

* Ajout 167, 16/07/2021 (6h) : Hypothèse combinée
   J’ai mentionné, dans les non-toxicités pas établies pour le vaccin anti-covid19 après 1 an seulement au lieu de 10 ans normalement : l’absence de pouvoir tératogène (nocif aux embryons), et dans les hypothèses géostratégiques envisageables : la volonté secrète chinoise de peut-être faire se massacrer tout seuls les Occidentaux ; l’idée m’est venue (en rêve cette nuit, ou révélation insufflée par Dieu diraient les religieux) de combiner les deux sujets.
   Le scénario serait celui-là : le vaccin anti-covid19 abimerait les gamètes humains, donnant 100% d’enfants handicapés mentaux (si un des parents est vacciné, ou les deux). En se vaccinant à 100%, les Occidentaux produiraient 100% de néo-Occidentaux handicapés mentaux, ce qui fait deux générations entières (avec période de fécondité d’environ 40 ans), et comme c’est transmissible, il n’y aurait bientôt plu’ (avec la disparition des anciens, décédés de vieillesse), que des Occidentaux handicapés mentaux. Fin de la civilisation occidentale. Sans tirer un seul coup de fusil ou canon, sans donner un seul coup de machette… Victoire propre de la morale humaniste sur la pourriture occidentale.
   Mais, en interne à l’Occident (avec quelques renégats estimables et honnêtes, pas aux commandes du tout), qu’est-ce que la propagande aurait été stupide, pour faire taire les lucides osant douteux de l’innocuité de ce vaccin… Et virant à la dictature, au nom du Bien pour nous tous, atrocement.
   Telle me semble la situation, possible. S’il y avait un vrai principe de précaution, ce serait pris en compte, mais non.

* Ajout 168, 16/07/2021 bis (17h) : Non-dictature selon Macron lui-même
• Ce jour une nouvelle MSN/LePoint effarante encore : « Emmanuel Macron dénonce le ʺcynisme politiqueʺ de ceux qui crient à la ʺdictatureʺ » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/%C3%A9lections/emmanuel-macron-d%C3%A9nonce-le-cynisme-politique-de-ceux-qui-crient-%C3%A0-la-dictature/ar-AAMcdSw?ocid=msedgdhp&pc=U531).
  D’après le titre pour commencer, j’effectue une vérification préliminaire :
– Définition (Google) de cynisme : (via cynique) philosophie qui exprime sans ménagement des sentiments, des opinions contraires à la morale reçue.
--> Il n’est pas immoral de contester l’autoritarisme se fichant d’empoisonner les gens peut-être (innocuité à long terme pas encore établie), au contraire c’est du côté de la morale contre commandement immoral. Que ce commandement prétende à la morale et au monopole de celle-ci, c’est simplement idiot ou menteur abject, immoral actif, « cynique » si on veut employer ce mot. Le vrai cynique accuse de cynisme les lucides rebelles, c’est moche, débile et malhonnête, et payé par nos impôts bien sûr, extorqués sous menace policière, oui : dictature…
– Définition (Google) de dictature : Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l'exercent sans contrôle, de façon autoritaire.
--> Oui, il s’agit ici de régime autoritaire et avec les « conseils de défense » il n’y a actuellement plu’ de contrôle, au nom de l’urgence prétendue. La constitution prévoit parait-il que la réponse permise soit la manifestation de rue, mais il suffit d’envoyer des casseurs pourrir chaque manifestation pour la bastonner au nom de l’ordre (enfin : bastonner/éborgner les manifestants pacifistes, les casseurs étant évidemment partis se cacher), cassant ce contrôle prétendu. Et François Hollande, dont Macron était le ministre, avait montré comment répondre aux manifestations anti-loi-El-Komri : répondre « j’en ai rien à foutre » et faire comme si ça n’était pas intervenu, la manifestation populaire ne contrôle absolument rien, la constitution est idiote, version groupiste méprisant les individus lucides isolés.
  Ceci pré-examiné, je cite et commente le contenu de l’article :
– « Emmanuel Macron a laissé échapper sa colère. Le chef de l'État a dénoncé, jeudi 15 juillet 2021, le ʺ cynisme politiqueʺ de certains qui dénoncent une ʺdictatureʺ, après les mesures sur l'extension du pass sanitaire, en estimant qu'ils font ʺcourir des risques au paysʺ. »
--> Et moi j’estime que c’est ce colérique Macron et son vaccin peut-être toxique imposé qui font courir des risques au pays, sa colère mérite colère en retour, sauf que c’est lui qui a le pouvoir d’imposer, écraser, punir, dictatorialement (vis-à-vis des faibles sans pouvoir), c’est tout le sujet !
– « (…) ʺil y a des débats sur tous les sujets, on en vit en permanence, mais si on vide les mots de leur sens, le risque qu'on court c'est de menacer notre démocratie elle-mêmeʺ ».
--> Eh, imbécile (ou menteur), l’analyse lucide dit tout le contraire : le mot démocratie est le premier à avoir été vidé de son sens, les faux représentants (comme toi Macron, « élu » comme menteur cru moins pire que les autres) déclarant représenter le peuple pour faire le contraire de ce qu’il veut (abolition de la peine de mort, trahison du référendum 2005, salaires et retraites parlementaires privilégiés pas du tout médians, auto-amnistie des corruptions politiques, etc.). Le mot démocratie a été vidé de son sens, avec ta bénédiction et complicité active financièrement intéressée, tu n’es pas en position (intellectuelle ou morale) de donner des leçons à ce sujet, tu ne peux qu’imposer ta voix dictatorialement, ce que tu fais, effectivement.
– « (…) ʺNon une dictature, ça n'est pas çaʺ, a-t-il martelé. ʺC'est pas un endroit où toutes vos libertés sont maintenues, où on a maintenu tout le cycle électoral, (...), où vous pouvez exercer vos droits, où on rembourse tous vos tests, où le vaccin est gratuit, (...) ça s'appelle pas une dictature, je pense que les mots ont un sensʺ ».
--> Non, « toutes nos libertés » ne sont aucunement maintenues avec (pour tous : confinements, couvre-feux, obligation d’attestation, limitation de déplacement imposées, etc. puis) la répression des gens non-vaccinés (dont 99+% de non-contaminés sans danger pour personne), c’est un mensonge éhonté ! Et « exercer ses droits » est un jeu de mots, dans un régime pourri à lois pourries votées par de faux représentants du peuple. Le mot démocratie a un sens : pouvoir au peuple ! droit du peuple de virer le faux représentant qui l’oppresse contre son gré (pendant 5 ans avant d’être enfin virable), non la dictature en pointillé n’est pas du tout la démocratie ! Certes, la dictature (= gouvernement autoritariste) comporte un volet hyper-dictature éternelle sans échéance de 5 ans, mais faire l’amalgame entre hyper-dictature et dictature pour dire qu’est démocratie tout ce qui n’est pas hyper-dictature, c’est du mensonge actif, travestissant les mots. En hurlant le contraire : quelle honte totale. Par ailleurs, le cycle électoral n’a aucun rapport avec le statut dictatorial : dans une entreprise, un élu du personnel pour un an peut se comporter en dictateur, imposant ses désidératas et punissant toute personne osant exprimer un désaccord, il s’agit d’abus de pouvoir autoritariste, qui suffit à qualifier son comportement de dictatorial, sans aucunement que cela soit dénié parce que n’est pas abolie l’élection suivante 12 mois plus tard. Aucun rapport entre supprimer les élections et le fait que s’applique alors seulement le label dictature, les mots ont un sens, oui, et « faites ce que je dis pas ce que je fais » est un des principaux principes de l’immoralité, adoré des dictateurs comme toi, Macron, tu aggraves ton cas.
– « ʺIl y a des oppositions qui existent, que je comprends tout à fait, que je respecte (...), mais quand on a les armes, on ne peut pas décider délibérément de ne pas les utiliser contre ce virusʺ, a-t-il insisté. »
--> Les armes doivent être validées sans danger pour ne pas péter à la gueule de qui les utilise, c’est le bon sens primaire, échappant à ce président débile profond, ou ultra-menteur pathologique. Si cette validation prend 10 ans (avec le délai d’explosion), il faut attendre les 10 ans en question, pas clamer au bout d’un an que c’est utilisable sans risque. Que le marchand d’armes avides de dollars le clame sûr, c’est la logique de son business, mais que le politicien aux commandes approuve, c’est une faute (imbécile ou intéressée financièrement ou politiquement pour réélection escomptée triomphale).
• Sur le même thème, je lis une autre nouvelle MSN/RFI : « « ʺUne dictature ça n'est pas çaʺ : Emmanuel Macron défend les nouvelles restrictions » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/une-dictature-%C3%A7a-n-est-pas-%C3%A7a-emmanuel-macron-d%C3%A9fend-les-nouvelles-restrictions/ar-AAMdikv?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je lis et commente ce qui est en plus :
– « L'élargissement du passe sanitaire est considéré comme une mesure liberticide par certains. Plusieurs milliers de personnes ont manifesté en France au lendemain du discours d’Emmanuel Macron. À cette critique, le chef de l'État répond qu'il s'agit de ʺcontraintes relativesʺ, rien à voir avec les fermetures et le confinement. Il affirme qu’il ne veut pas refermer les bars, les musées ou les écoles à cause des non-vaccinés alors que les autres ont, dit-il, fait preuve de ʺcivismeʺ. ʺÇa ne serait pas justeʺ, ajoute-t-il. Après le tour de vis, le chef de l’État assure le service après-vente de ses annonces malgré les oppositions qui s'expriment. »
--> Oui, toute mesure liberticide est une contrainte relative, ce n’est pas incompatible. Quand Staline faisait tuer ceux qui ne l’applaudissaient pas, c’était relativement modéré puisque sans torture physique des jours entiers en faisant dévorer les yeux des accusés vivants par fourmis rouges (« il y a toujours pire, tout est relatif »). Les fermetures et confinements étaient déjà liberticides, qu’on passe maintenant à une autre forme de mesures liberticides ne dément en rien que ce soit liberticide. Quant à dire ce qui est juste et ce qui n’est pas juste, pousser fortement les gens à se faire vacciner sans que soient finis les tests de ce vaccin : moi je juge que c’est immensément injuste (de bousculer punitivement le doute lucide, l’intelligence critique), qu’il se déclare détenteur exclusif du juste pourfendant l’injuste est risible, bête, stupide, criminel si ça s’avère dangereux dans cinq ans. Le « tour de vis », en situation d’abus de pouvoir, est un aggravement de la faute commise.
• Par ailleurs, je trouve sur une nouvelle MSN/ la trace d’un propos d’infirmière rebelle à Macron l’obligeant à se faire vacciner, comme cela avait été montré à la télévision en l’affirmant dame irresponsable gravement : « Contre le vaccin, une infirmière lâche sa blouse et fait le buzz sur TikTok » (https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/contre-le-vaccin-une-infirmi%C3%A8re-l%C3%A2che-sa-blouse-et-fait-le-buzz-sur-tiktok/ar-AAMcHBj?ocid=msedgdhp&pc=U531 ).
– « (…) En début de semaine, le président de la République a annoncé, avec fermeté, la vaccination obligatoire pour le personnel soignant et non-soignant des établissements de santé. En cas de refus, le professionnel pourrait être obligé de démissionner, et ce à partir du 15 septembre. Une annonce qui passe mal (…) la femme de 35 ans affiche sa colère. Elle, ne veut pas se faire vacciner et crie désormais à l’injustice pour tous ses collègues. "Vous vous soignerez tous seuls, vous allez mettre votre sonde urinaire tout seul (...) parce qu'il n'y aura plus d'infirmières, plus d'aide-soignant, plus rien !", gronde Laura, (…) Si elle ne se considère pas comme antivax, Laura ne fait pas confiance aux vaccins contre le Covid-19. "Beaucoup refusent de se faire vacciner, nous n'avons pas tous les mêmes raisons, moi personnellement, je ne le fais pas, car nous n'avons pas de recul sur le vaccin", raconte-t-elle dans sa vidéo. (…) »
--> Ça ne cite pas deux éléments intéressants que disait la dame dans l’extrait télévisé : 1/ Pour le manque de recul, elle citait les scandales sanitaires de dépakine et thalidomide (qui à mon avis prouvent par l’expérience, au sens scientifique du terme, que le prétendu « prouvé sans danger » à la va-vite peut s’avérer très dangereux criminel, la loi « il convient de croire la validation précipitée, dans le doute » est scientifiquement invalidée). Cette dame a scientifiquement raison et Macron a scientifiquement tort, même s’il s’entoure de blouses blanches chères payées pour répéter ce qu’il dit en manipulant des chiffres biaisés, ad hoc. 2/ Elle se moquait des millions de gens s’inscrivant pour se faire vacciner après les injonctions de Macron, demandant à chacun de se renseigner sur les expériences de sociologie de Milgram (https://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram) montrant que les humains normaux ont tendance à faire n’importe quoi (même monstrueux) pour suivre l’autorité prétendue légitime. Oui, soumission soupirante de beaucoup aux menaces explicites + soumission volontaire de certains aux prétendus responsables « sachants », cela explique cette vague d’inscription, tout autrement que par un immense succès en persuasion intelligente, pédagogue.
• Enfin, je lis une nouvelle MSN/Télé-Loisirs troublante encore : « "On les connaît !" : remonté contre les militants anti-vaccin, le professeur Gilbert Deray en colère dans les Grandes Gueules » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/on-les-conna%C3%AEt-remont%C3%A9-contre-les-militants-anti-vaccin-le-professeur-gilbert-deray-en-col%C3%A8re-dans-les-grandes-gueules/ar-AAMbVFA?ocid=msedgdhp&pc=U531 ) :
– « (…) ce jeudi 15 juillet, le professeur Gilbert Deray s'est montré offensif sur la question des doutes liés au vaccin ! Comment tenter de convaincre les Français sceptiques face au vaccin contre le Covid-19 ? Pour Emmanuel Macron, la solution semblait toute trouvée ce lundi 12 juillet, au moment d'annoncer des mesures radicales et contraindre à la vaccination sans l'obliger formellement. (…) le Président faisait acte d'autorité, (…) la méthode du chef de l'État a aussi braqué les plus radicaux des anti-vaccin, dont les complotistes, auxquels le professeur et chef du service de néphrologie de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière Gilbert Deray a voulu tendre la main (…) il a voulu porter la voix de la science, point par point. Comme sur la crainte d'effets secondaires qui ne seraient pas encore connus. "Dans l'histoire des vaccins, jamais un effet secondaire n'a été découvert au bout de trois mois ! Ja-mais ! On est à un an ! Jamais on a eu autant de vaccinés en si peu de temps ! Trois milliards de doses administrées, et on a le microscope dessus, on observe ces gens-là tous les jours !" a insisté le médecin, se basant sur les faits. (…) Donc non, on ne va pas trouver des effets secondaires à un an, deux ans, trois ans, dix ans d'ici ! Non ! C'est fait !" Une tentative pour essayer de convaincre ceux qui ont le plus peur des injections, à qui il l'assure : "On vous a trompé !". »
--> Tout au contraire, c’est cet incompétent (ou menteur) professeur qui trompe les gens (les crédules seulement, les naïfs soumis au principe d’autorité) : au nom de quoi a donc été supprimé le protocole de validation obligatoire qui contraignait l’industrie pharmaceutique à documenter pendant dix ans la non-toxicité des remèdes nouveaux ? Ne rien voir après un an ne garantit rien de rien à échéance de cinq ans, et on n’a jamais examiné des vaccins à ARN messager, les premiers peuvent s’avérer des bombes cancéreuses, on ne le sait en rien à l’avance puisque jamais testé (en plus de l’évidence que chaque formule spécifique peut présenter des risques spécifiques, la généralisation abusive est une faute). Et c’est une honte absolue d’avoir lancé la vaccination humaine à très grande échelle sans être passé par l’obligation antérieure de test d’innocuité sur animaux (de deux familles distinctes, scandale thalidomide oblige). Ce n’est nullement là de la science convaincante, là, c’est de la propagande débilitante, à laquelle résiste normalement toute intelligence critique un peu formée à la pharmacologie et aux risques biologiques, à l’épistémologie abattant le prestige des fanatiques scientistes (l’idéologie scientiste ayant été invalidée scientifiquement, par chaque révision de théorie dominante, jugeant faux ce qui était affirmé prouvé-scientifiquement, à tort).

* Ajout 169, 16/07/2021 ter (18h) : Charge de la preuve version pharmaco
   J’imagine un dialogue entre industriel pharmaceutique P et résistant sensé R :
(P) Nous avons inventé l’an passé un remède préventif contre le cancer, il est maintenant prêt : il faut l’imposer obligatoirement à toute la population mondiale immédiatement, c’est un impératif de santé publique !
(R) Est-ce qu’il est prouvé sans danger ? ça prend dix ans de le montrer…
(P) J’ai la preuve déjà !: prouvez-moi que ce n’est pas vrai ! Vous n’avez pas cette preuve de non-vérité ? donc c’est prouvé vrai !
(R) Le principe de précaution dit que quand rien n’est prouvé documenté, il faut s’abstenir, même sans preuve de danger effectif documenté à ce jour.
(P) Non ! La précaution obligatoire, c’est de sauver les gens du cancer ! C’est vous qui enfreignez le principe de précaution : vous tuez en m’empêchant de sauver ! Le principe de précaution implique de me donner raison !
  Malhonnêteté totale. En effet, il y a deux suites possibles à cette histoire : soit le médicament en question s’avère inoffensif et sauve du monde en avance sur le délai normal ; soit le médicament s’avère tueur après 5 ans d’incubation et son emploi précipité a tué quantité de non-malades… en enrichissant puissamment l’industriel, et le parti politique au pouvoir, généreusement soutenu ; on ne sait pas à l’avance quelle est la situation. Soit on fonce en aveugle, tant pis pour les victimes éventuelles, soit on prend la précaution d’éviter ça, au risque de ne pas sauver des malades sauvables. Les deux positions devraient être admises (il y a des gens qui prennent le médicament en avance, il y a des gens qui doutent et ne le prennent pas), mais le camp P détient le pouvoir et diabolise R, classé criminel diabolique puni de ruine, prison, etc. Hum.
  Pour le vaccin anti-covid19, présenter ce dialogue imaginaire n’est pas une caricature idiote, ça semble l’actualité, sur le principe.

* Ajout 170, 16/07/2021 [4] (19h) : « Les antivax sont prouvés irrationnels ! »
– J’entends dire à la télé que les antivax sont profondément, irréductiblement, abominablement irrationnels, tout au contraire des provax parfaitement rationnels, en accord avec tous les scientifiques !
--> C’est faux, diffamatoire, mensonger, idiot. Partout il y a des délirants irrationnels. Suffit-il, pour « prouver » qu’au contraire les provax sont irrationnels, de trouver un illuminé provax clamant tout nu en se fouettant que quand 100% des humains seront vaccinés il pleuvra du ciel des diamants roses et billets de cent mille dollars et Jésus-Christ reviendra sur Terre ?
  Qu’il y ait des délirants dans une classe ou une autre n’entraine en rien que c’est une classe homogène, en déclarant à tort tous les individus concernés : fautifs du mal frappant certains. Réserver ce traitement au camp d’en face est de la malhonnêteté pure, ce n’est pas rationnel et c’est pire qu’irrationnel. Les très fiers donneurs de leçons sont des nullards prétentieux à tort.
  Par ailleurs, il y a des scientifiques individus (comme moi) en désaccord avec les autorités scientifiques (formées d'ambitieux serviles vis à vis du pouvoir, achetés par hauts salaires et médailles de "mérite" officiel). Le passer sous silence est du mensonge total, pour prétendre abusivement à la raison, au savoir indéniable, c'est archi-faux, mais les journalistes incompétents se soumettent bêtement, et une grande part du public est ainsi trompée, sauf réaction psychologique (saine) de méfiance (vis à vis de l'autorité abusive).
–– De même la députée LaREM Patricia Miralles a dénoncé aujourd’hui que les antivax l’ont menacée de mort, parce qu’elle est favorable au vaccin ! Quels monstres ces antivax !
--> C’est encore le même système de diabolisation, il suffirait qu’un provax fanatique menace de mort un leader influant doutant du vaccin pour clamer que tous les provax sont de monstrueux assassins. C’est de l’amalgame idiot, et bien sûr la télé de propagande choisit ses victimes, ses coupables, pour désigner qui est le groupe bien, le groupe mal. C’est de la malhonnêteté absolue. Partout il y a ponctuellement des illuminés intolérants, ce n’est pas le sujet essentiel. Cela dit, à très grande échelle, l’intolérance dictatoriale ayant pouvoir officiel de coercition n’est pas symétrique de part et d’autre, là me semble le mal principal.

* Ajout 171, 16/07/2021 [5] (21h) : Slogan bête
  J’ai entendu ce soir à la télévision que le slogan du ministre de la santé est maintenant : « Tous vaccinés : tous protégés ! ».
  Ça me semble quadruplement faux :
1/ Les détails des médecins officiels et laboratoires vendeurs de vaccin parlent non de 100% protection (« tous ») mais 90% environ estimé autrefois pour les formes graves et 60% pour la contamination. Que « tous vaccinés » soit le but ministériel, c’est entendable mais prétendre que ça garantit « tous protégés » semble un mensonge total.
2/ D’autres détails disent que les immunodéprimés, hyper-allergiques et autres cas particuliers ne doivent pas être vaccinés, ce qui serait dangereux pour eux, le mot « tous » serait donc faux, il faudrait ajouter « sauf cas particuliers listés (ou inconnus à ce jour) », mais ça sonnerait mal. Un slogan se doit d’être simpliste, même faux, ça n’a aucune importance pour les propagandistes animateurs crieurs. C’est du boniment publicitaire, du mensonge genre commercial.
3/ La campagne de vaccination envisagée parle de "dès 12 ans", pas "dès la naissance", avec ce slogan cela signifie que les jeunes enfants ne sont pas protégés, catastrophe ! Pourquoi ? Non, c'est juste que c'est mal dit : les jeunes enfants ne sont pas menacés (parait-il), sont naturellement protégés (parait-il), et peu contaminants (parait-il), bref quand on disait "vacciner tous", c'était juste une façon de parler, pas à prendre au premier degré. Mais il ne faut pas dire que c'est faux, puisque c'est gouvernemental, maître de la police et la prison...
4/ Pour qu’il y ait protection (vis-à-vis du virus), il aurait fallu que soit prouvé le danger de ce virus. Je ne l’ai jamais vu prouvé, seulement clamé, avec erreur évidente d’interprétation, partielle ou totale : positivité au test classée « preuve de facteur causal », arbitrairement, ou en récitation par médecins = diplômés en récitation servile, avec longue expérience de récitation appelée « compétence »...

* Ajout 172, 17/07/2021 (5h) : Fausse preuve à nouveau
   J’ai entendu hier le ministre de la santé Dr Olivier Véran asséner la preuve définitive (selon tous les journalistes) que le vaccin anti-covid19 est immensément efficace, immensément sauveur : « 96% des morts tués par covid19 cette semaine étaient non-vaccinés !!! » (donc c’est la preuve scientifique que ce vaccin sauve, que les anti-vax sont des tueurs et des irrationnels abrutis). Oui, et paf dans ma gueule derechef ?
  Non. Je prends un exemple fictif qui le dément :

  Par ailleurs, je répète que je ne suis nullement anti-vaccins, je signale seulement qu’il fallait normalement attendre (5 ou 10 ans) la preuve d’innocuité à long terme pour utiliser ce vaccin-là comme les autres, sans exemption démente (pour le fric en masse et la prétention abusive à sauver sans risque).

* Ajout 173, 17/07/2021 bis (16h) : Loyalisme fanatisé
• Aujourd’hui samedi, j’ai aperçu pour la première fois sur chaîne télé LCI un programme qui semble régulier (hebdomadaire ?) : « mission anti-complotiste », consacrée cette fois aux « complotistes » osant dénier le bien-fondé total des mesures présidentielles concernant vaccination obligatoire des soignants (puis de tous peut-être) et extension des restrictions avec pass sanitaire (puis pass vaccinal peut-être). Les extraits vidéo présentés étaient intéressants, même si les journalistes et invités rivalisaient d’insultes sans argument pour traiter ces « objections aux officiels » d’absurdes, idiotes, monstrueuses, criminelles, graves, etc. (je cite vaguement de mémoire).
--> C’est une émission militante de propagande unilatérale, ne méritant pas sa place sur chaine d’informations, à mon avis. Ça ressemble peut-être à la Pravda-télévisée dans l’ex-URSS (la pravda = la vérité, tout désaccord valant mensonge odieux).
• Par contre un affichage, dans cette même émission, a montré des mots intéressants (non convaincants mais faisant réfléchir) pendant qu’était interviewé un infirmier vacciné très actif provax. Il était marqué que les soignants antivax appartiennent à 4 catégories (je retranscris approximativement d’après des notes partielles prises vite avant que ça disparaisse) : 1/ ceux qui sont dans la théorie du complot, 2/ ceux qui gobent des fake news, 3/ ceux qui ont peur, 4/ ceux qui confondent le sujet vaccinal avec un combat anti-Macron.
--> A mon avis, c’est une erreur totale d’analyse (enfin : peut-être qu'il y a des gens dans ces groupes-là, mais sur les mêmes thèmes, il y a des positions contestataires solides qui seraient abusivement déformées en les traitant dans ces termes). Je reprendrai ce qui me semble personnellement évident (même si je ne suis pas soignant), réinterprété à travers cette grille :
3’/ (base) Oui, il y a matière rationnelle, argumentée, à une crainte tangible, ce n’est en rien une peur panique faisant croire n’importe quoi, c’est une contestation minutieuse des aberrations commises par les officiels, avec moult mensonges officiels, inquiétants si on les perçoit (trahison de la démocratie, de la science, de l’honnêteté publique, etc.), ça dirige vers quoi ?
1’/ (1e conséquence) Puisque ce qui est choisi officiellement est totalement aberrant, la question se pose : pourquoi avoir décidé cela ? pourquoi cacher les objections ? qu’est-ce que ça dissimule ? ce n’est en rien l’assurance d’un complot, mais le discours officiel est clairement incohérent, ruinant la confiance qu’il réclame.
2’/ (2e conséquence) Ne comprenant pas les motivations, on peut en imaginer, non pas en tant que nouvelles-certifiées (qui seraient en fait fausses), mais en tant que scénarios très hypothétiques qui pourraient expliquer, ce que les officiels caricatureront faussement en « délires affirmés vrais ».
4’/ (3e conséquence) Puisque le président Macron s’est maintenant placé en tête autoritaire des commandements aberrants, cela suscite directement une rancœur anti-Macron, secondaire à ce qu’il commande, non à sa personne qui serait préalablement haïe sans argument ou par foi en un(e) de ses opposants.

* Ajout 174, 17/07/2021 ter (18h) : Symbolique condamnée
  La télévision (sur chaines LCI et C-News au moins) dénonce avec virulence que des opposants au pass vaccinal, en manifestation vociférante de rue, arborent une étoile jaune, comme étaient obligés d’en porter les Juifs avant exclusion puis envoi en extermination (est-il dit). C’est clamé odieux inadmissible, insultant la mémoire des millions de victimes de cette horreur-là (et des quelques survivants restants). Qu’est-ce que j’en pense ?
  Personnellement, je ne suis pas du tout volontaire pour ainsi porter une étoile de David jaune en hurlant que je suis discriminé en tant que non-vacciné, je préfère m’exprimer par écrit, analyser. D’autres gens font différemment, notamment ceux adorateurs de symboles et de parallèles, ça ne me gêne pas (comme j’en avais entendu parler à propos de la manifestation contre l’islamophobie, contestée pour ce motif aussi, entre autres choses).
  Pour ce qui est d’insulter la mémoire de victimes innocentes, tous ces tribuns, tous, sont en faute (selon moi), horrible : la loi Gayssot, qu’ils respectent à la lettre, et qui sacralise la Shoah en faisant du doute à son sujet un blasphème puni de prison et ruine (il est menteur que politiciens et médias affirment qu’il n’y a pas de délit de blasphème en France), cette loi insulte activement la mémoire des dizaines de millions d’Amérindiens génocidés, niés, foulés au pied (pour ne pas gêner les amis étasuniens de nos dominants, adorateurs de New York première ville juive du monde). Les approbateurs serviles de cela n’ont pas la moindre leçon à donner en matière de respect des victimes et interdiction de minorer leur martyre.
  De plus, l’affirmation que les camps comme Auschwitz étaient des camps d’extermination systématique serait discutable si ce n’était pas interdit par la loi, dictatoriale. Je ne le discuterai donc pas ici mais qu’on ne nous parle plu’ jamais de respect des innocents, c’est là qu’est le caractère odieux premier en la matière, à mon avis, auto-censuré pour éviter la prison… (prison politique menteusement prétendue prison de droit commun).

* Ajout 175, 18/07/2021 (7h) : Victime tuée par Macron ?
   Hier j’ai lu une nouvelle MSN dérangeante : « Non vaccinée, elle craignait d’être licenciée : les policiers qui l’ont empêchée de sauter du pont racontent » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/non-vaccin%C3%A9e-elle-craignait-d-%C3%AAtre-licenci%C3%A9e-les-policiers-qui-l-ont-emp%C3%AAch%C3%A9e-de-sauter-du-pont-racontent/ar-AAMeMvb?ocid=msedgntp ). Ce n’est pas simple, pas à traiter simplistement en diabolisation du tyran Macron qui serait tueur, mais cela suscite des commentaires tortueux de ma part :
• « L’angoisse liée à l’annonce de la vaccination obligatoire dans certains métiers peut engendrer détresse et passage à l’acte chez les personnes particulièrement fragiles. C’est ce qui s’est passé à Melun le soir du 14 juillet. Trois policiers municipaux ont empêché une femme âgée de 40 ans de sauter du pont Notre-Dame dans la Seine. Une fois calmée, elle leur a expliqué refuser de se faire vacciner contre le Covid et avoir été menacée de licenciement par son employeur dans une crèche du Val-de-Marne. ʺC’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Elle nous a fait comprendre qu’elle avait d’autres problèmes. C’est une femme qui élève seule ses deux enfantsʺ, commente Anthony, un des trois policiers municipaux intervenus. »
--> Il est clair que la mention d’ « autres problèmes » est destinée à dire « donc ce n’est pas de la faute du président » qui a ordonné ce renvoi et cette misère des résistants à ses commandements dictatoriaux. Les policiers staliniens ou nazis pouvaient pareillement innocenter leur leader en disant que les rebelles aux ordres se suicidaient pour de toutes autres raisons en fait. Je n’approuve donc pas au premier degré cette expression.
  Qui plus est, pour l’affaire covid19, précisément, la coutume officielle n’est nullement de dire « ce virus est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, mais le patient avait d’autres maladies, comorbidité, donc ce n’est pas du tout le virus qui l’a tué ». Au contraire, est sélectionnée la cible de responsabilité voulue pour l’affirmer tueuse. Deux poids deux mesures. Malhonnêteté argumentaire.
  De même, dans l’affaire du meurtre islamiste du professeur Samuel Paty, n’ont nullement été innocentés (mais poursuivis en justice pour complicité de meurtre) ceux qui ont participé très indirectement au scénario fatal : la personne ayant raconté le fait prétendument délictueux, les personnes ayant crié au scandale sur les réseaux sociaux pour engendrer colère de groupe, les ados ayant répondu au tueur qui était la personne visée dans la foule à la sortie du collège. En ce sens, il n’y a pas que la personne directement tueuse qui est poursuivie mais tous les intervenants sans qui le drame n’aurait pas eu lieu. Exempter de cette logique le Président de la République (sans les commandements duquel cette dame ne se serait pas tuée), c’est encore injuste, traitant le prince (protégé des accusations) différemment des petites gens (poursuivis sévèrement d’accusations). C’est moche.
  En sens inverse, il est clair que des personnes impliquées très indirectement dans un drame ne méritent pas les poursuites. Pour le meurtre de Samuel Paty, il serait injuste de poursuivre le vendeur de couteau de cuisine, l’ouvrier qui a fabriqué ce couteau, le sidérurgiste qui a produit l’acier de ce couteau, le mineur qui a extrait le fer de cet acier, le pompiste (ou conducteur de camion-citerne) qui a fourni l’essence nécessaire pour que le tueur aille commettre son acte. La culpabilisation au nom d’un arbre des causes infini parait excessive. Mais dans le cas de cette suicidée, on n’est pas si loin dans le délire : elle a cru perdre ses enfants car condamnée à la misère, car virée, car Macron l’avait imposé.
  Certes, les défenseurs de Macron (à supposer qu’il soit accusé, ce qui n’est pas le cas) pourraient répondre que la réaction de cette dame n’a rien de sensé mais correspond à une pathologie mentale sans rapport avec le commandement, en effet il suffisait qu’elle obéisse à la vaccination et elle n’était pas virée donc pas condamnée au suicide ! Je ne suis pas d’accord : cela innocenterait tous les dictateurs, ce principe. Les dissidents soviétiques n’auraient pas été injustement condamnés à l’hôpital psychiatrique (et travaux forcés au goulag) car il suffisait qu’ils adorent le parti communiste comme tout le monde, comme demandé par les autorités bienveillantes garantes de l’ordre public. Oui, réserver ce type d’argumentaire au leader Macron parait très suspect de malhonnêteté. La dictature menaçante est accusable en général, pas innocente en général, à mon avis.
• « (…) Elle était alcoolisée (…) elle s’est débattue encore plus pour pouvoir sauter. (…) la tirent de force pour la passer de l’autre côté de la rambarde (…) Nous avons été obligés de la menotter (…). Elle finit par se calmer et expliquer le principal problème, la menace de licenciement à la crèche où elle travaille car elle refuse de se faire vacciner. Les policiers alertent les pompiers qui la conduisent à l’hôpital. (…) C’est une fierté d’avoir sauvé une vie. »
--> Je n’ai pas les idées claires sur ce sujet, et je n’applaudis pas les « sauveteurs » empêchant de force les personnes de mettre fin à leurs jours, par désespoir (comme moi autrefois ou souffrance physique comme ceux voulant l’auto-euthanasie en hôpital ou unité de soins palliatifs), ce qui me semble relever de la liberté individuelle. Le sujet n’est pas simple.
• « il faut généraliser le soutien psychologique pour ces personnes au bout du rouleau. Les mairies peuvent le faire avec les centres communaux d’action sociale (…) Cela peut aider les familles monoparentales ».
--> Je suis choqué par ce prétendu « soutien psychologique » sensé guérir tous les maux, comme après un attentat ou cataclysme naturel. A mon avis, la faculté de psychologie ne fait que blablater des théories plus ou moins idiotes, non prouvées, non prédictives (non scientifiques), et ces « cellules de soutien » sont un prétentieux vocable pour un remède de grand-mère : « faire parler les gens troublés, les écouter, ça peut les aider, parfois ». Aucun besoin de diplôme pour cela, et aucune garantie scientifique de soulagement assuré. Ça me semble une imposture. Mais, certes, ça emploie des milliers de diplômés-pour-rien émanant des facs de psycho, à immense succès en inscriptions libres et théoriquement sans débouchés car il n’y a presque aucun besoin de tels emplois. Artificiellement décréter ce besoin me semble une supercherie. Evidemment, les bénéficiaires (prétendus experts, sauveurs) ne vont pas le dénoncer de l’intérieur, mais de l’extérieur c’est mon analyse, lucide je crois.
• « (…) L’employeur (…) a visiblement bluffé et abusé… L’issue aurait pu être tragique. »
--> Je n’ai pas l’impression que l’employeur ait abusé par rapport au commandement explicite du président, effectivement menaçant. Certes, on peut dire que suivre les mots du discours, sans attendre la loi votée et le décret d’application, c’était « aller un peu vite », mais je ne vois pas – sur le fond de l’affaire – de bluff et abus de la part de cet exécutant des ordres présidentiels. Désigner un petit coupable me semble surtout là une manœuvre malhonnête pour innocenter abusivement le grand coupable, commandeur du truc tragique (même sans « tuer », condamner à la misère des objecteurs de conscience est d’une extrême violence, enfreignant entre autres choses les droits de l’homme quant à la liberté d’opinion, anti-dictature – d’où mensonge hyperactif pour prétendre que c’est le Bien quand même…).

* Ajout 176, 18/07/2021 bis (9h) : Manifestations
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/LeParisien : « ʺMacron fédère des gens qui n’ont rien à faire entre euxʺ : les anti-pass sanitaire donnent de la voix » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/macron-f%C3%A9d%C3%A8re-des-gens-qui-n-ont-rien-%C3%A0-faire-entre-eux-les-anti-pass-sanitaire-donnent-de-la-voix/ar-AAMgOTN?ocid=msedgntp ). Qu’est-ce que j’en pense ?
• « Derrière eux, plusieurs milliers de personnes (150 000 selon les organisateurs, 18 000 selon le ministère de l’Intérieur) aux profils variés mais unis dans leur opposition radicale aux annonces d’Emmanuel Macron. Dans le reste de la France, ils sont 114 000 manifestants, selon les autorités. (…) Certains battent le pavé pour la première fois de leur vie. À l’instar de Valérie, une infirmière de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui est ʺprêteʺ à ʺmettre vingt ans de diplôme à la poubelleʺ en septembre, car elle refusera de se faire inoculer un vaccin ʺen phase de testʺ. »
--> Oui, c’est l’argument majeur, ultra-rationnel, caché par les journalistes et « sachants », clamant que les essais sont finis ce qui n’est pas vrai, avoué même par le directeur du laboratoire Pfizer fabricant du premier vaccin anti-covid19. Evidemment, la désinformation gouvernementale traite d’irrationnels les personnes lucides qui leur résistent, c’est atroce de malhonnêteté, et ce sera vraisemblablement impuni, tant les complicités sont nombreuses, majoritaires.
• « (…) explique Gregory, un médecin urgentiste qui, comme il n’a ʺpas envie d’empoisonner des gamins de 12 ansʺ, s’est déjà mis en arrêt maladie. Sur une toile blanche de l’AP-HP, il a écrit au feutre noir : ʺNon à la dictatureʺ ».
--> Comme d’habitude, les télés mentent, nous répétant que les médecins sont très vaccinés, puisque scientifiques supérieurs bien informés, tandis que les soignants refusant sont des aides-soignantes un peu stupides, non formées, préférant les fake news Internet à la voix de la Science. Mensonge total que ce tableau faussement élitiste. D’un point de vue scientifique aussi (et même surtout), on peut contester l’abus de pouvoir commis, la prise de risque cachée (aux personnes vaccinées, trompées menteusement).
• « certains Gilets jaunes qui parsèment le défilé (…) espère que, dans la foulée, les Gilets jaunes vont ʺreprendre et dégager Macronʺ. Salariée dans l’aide à la personne, elle risque aussi de perdre son emploi. ʺJ’y suis prêteʺ, martèle-t-elle (…) ʺLe Covid est une belle manipulation au profit de l’État pour faire taire la contestationʺ, est-elle convaincue. Un complot que plusieurs des manifestants préfèrent attribuer au ʺnouvel ordre mondialʺ ou aux ʺfrancs-maçonsʺ. »
--> Le rapport avec les Gilets Jaunes est assez évident : opposition populaire, apolitique, à la dictature gouvernementale. Quant à l’idée de complot, elle me convint peu : ce qui est fait n’est en rien secret mais étalé au grand jour, imaginer que tel ou tel groupe manœuvre derrière ne me semble pas le problème. Même sans cela, le scandale est déjà total.
• « Florian Philippot, habitué à des rassemblements jusqu’alors confidentiels, conclut triomphalement en faisant résonner une énième Marseillaise. »
--> Personnellement, je ne vois rigoureusement aucun rapport entre la dictature Macron et le chant xénophobe « qu’un sang impur abreuve nos sillons ! », mais il s’agit apparemment de calculs politiciens, qui ne m’intéressent pas du tout. Je lisais ailleurs que retentissaient des cris « Macron : démission ! », mais ce n’est guère le problème, puisqu’il n’y a aucune garantie que le remplaçant fasse mieux, ou moins pire seulement. Avec la cohorte de mensonges télévisés et politiciens, le problème est immensément plus vaste que la personne du président de la République, et il semble mondial, pas franco-français (l’hymne national me semble hors-sujet – même si je comprends qu’il appelle la population d’ici à reprendre le pouvoir local).
• Je lis aussi une nouvelle MSN/BFM-TV : « "Dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral", prévient Gabriel Attal » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/dor%C3%A9navant-c-est-soit-la-vaccination-g%C3%A9n%C3%A9rale-soit-le-tsunami-viral-pr%C3%A9vient-gabriel-attal/ar-AAMgAqU?ocid=msedgntp ) : « Face à la résurgence de l'épidémie de Covid-19, portée par le variant Delta, la France est au pied du mur, prévient Gabriel Attal. (…) il exhorte les Français à se faire vacciner et fustige ceux qui ont manifesté ce samedi contre les nouvelles mesures sanitaires, annoncées lundi par Emmanuel Macron. "Il y a une France laborieuse et volontariste, qui veut mettre le virus derrière elle et travailler. Elle est largement majoritaire. Et puis il y a une frange capricieuse et défaitiste, très minoritaire, qui se satisferait bien de rester dans le chaos et l’inactivité", dénonce le porte-parole du gouvernement. Pour contrer le virus, il appelle les premiers à prêcher la bonne parole auprès des seconds. "J’appelle chacun des 37 millions de vaccinés à nous y aider, dans son cercle familial, amical ou professionnel, en convainquant ceux qui hésitent encore à se faire vacciner", déclare-t-il. Parmi les 114 000 personnes qui se sont rassemblées pour protester contre les mesures sanitaires, il y a en effet ceux qui regrettent le mode d'action du gouvernement quant à l'application des mesures sanitaires, certains allant jusqu'à dénoncer un "abus de pouvoir". Mais d'autres ne veulent pas entendre parler du vaccin, mettant en avant sa potentielle dangerosité, pourtant négligeable. Pour Gabriel Attal, il est hors de questions que "le choix des non-vaccinés pèse sur celui des vaccinés". "Il faut être clair, prévient-il : dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral, il n’y a pas d’alternative." »
--> Déclarer que les lucides sont des faignants et les soumis au gouvernement et médias sont des louables travailleurs, c’est une bêtise profonde, totale, tenant de la confusion mentale. Il oublie aussi qu’un virus peut circuler sans faire de grand mal, comme ceux habituellement de rhume, gastro-entérite, voire grippe, sans justifier dictature prétendue sanitaire. L’abus de pouvoir me parait clair. Et convaincre dans les familles en faveur du vaccin est impossible quand les objections sont refusées arbitrairement (ou via mensonges). Et pourquoi les crédules vaccinés auraient-ils le pouvoir de contrainte sur les résistants non-vaccinés ? Enfin, affirmer que la dangerosité potentielle de ces vaccins est négligeable est faux : ce n'est nullement connu à long terme, c'est inconnu, totalement inconnu (en danger effectif, c'est complet en danger potentiel) et la foi qui le fait négliger n'est crédible en rien de rien, c'est une pure croyance (ou bêtise scientiste, anti-scientifique, anti-logique).
• Autre nouvelle MSN/Ouest-France : « Éradiquer la variole aurait été impossible avec la désinformation actuelle », selon le Dr Fauci » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/%C3%A9radiquer-la-variole-aurait-%C3%A9t%C3%A9-impossible-avec-la-d%C3%A9sinformation-actuelle-selon-le-dr-fauci/ar-AAMgNrG?ocid=msedgntp ).
--> C’est simplement de l’idiotie profonde de clamer cela tant la situation est différente : la généralisation au monde entier de ces vaccinations contre la variole et la polyo s’est faite avec des vaccins sur lesquels on avait toutes les données de non-toxicité à long terme (des décennies de recul), aucunement un an après découverte immensément avant les 10 ans requis pour validation habituelle, protocolaire. L’amalgame est donc trompeur, cachant le problème, ça mériterait procès pour mensonge aggravé de fausse autorité professorale et d’intérêt financier relevant de l’escroquerie en bande organisée.
• J’ai aussi entendu à la télévision l’argument suivant, un peu ressemblant : « quand Pasteur injectait le vaccin contre la rage, il ne se posait pas mille questions sur les conséquences à dix ans de distance, il sauvait et puis c’est tout ! Louis Pasteur, en notre propre pays ici, nous sommes fiers d’être la pays de Pasteur ! ».
--> Euh, je n’aime pas ce nationalisme (la France est aussi le pays de meurtriers en série atroces, etc. sans culpabilité pour autant pour nous innocents), mais sur le fond : Pasteur « vaccinait » curativement dans l’urgence des enragés très graves en voie de mourir, pas préventivement des gens sains en prétendant les protéger contre un danger possible, futur ou jamais rencontré (c’est venu plus tard pour le tétanos ou la tuberculose, mais citer la rage est hors-sujet). Qui plus est, covid19 est très différent de tétanos et tuberculose en ce sens qu’il n’est pas tueur documenté mais prétendu aggraveur pour des gens morts peut-être d’autre chose. Et peut-être que Pasteur faisait signer une décharge comme en protocole d’essai : « j’accepte les risques éventuellement graves ou létaux de cette vaccination sur ma personne » tout au contraire de la certifier sans danger, sans le savoir pour la toxicité à long terme. Par ailleurs, le fait de foncer malgré le risque éventuel, c’est une attitude possible, qui a souvent du succès et qui parfois conduit à la catastrophe, le principe de précaution devrait être la prise en compte de cette catastrophe possible, même non certaine. Quand la navette spéciale a subi le gel sur son pas de tir, des techniciens inquiets ont demandé « ça fait rien ? », le chef lourdaud, à la Macron, a balayé ça « On s’en fout, ça risque rien, ça a toujours marché ! Allez, bandes de frileuses poules mouillées ! », on a fait ainsi, et elle a explosé dans le Ciel, ruinant le programme spatial étasunien, centaines de milliards de dollars, ah euh oui, négliger le risque arbitrairement n’est pas génial… C’est une faute en logique, assurément, et ça peut avoir de graves conséquences pratiques, parfois. Mais chaque fois, le lourdaud peut imposer sa force commandante, certes, seul dicatatorialement ou avec appui de serviteurs donneurs de leçons. Si dans cinq ans, ces vaccins s’avèrent inoffensifs, cela ne donnera nullement tort à la présente analyse, « ridiculisée prouvée idiote », pas du tout. Le principe de précaution ne certifie en rien un danger effectif, il signale un risque possible (de danger éventuel), il n’y a aucune faute en cela. Quarante fois, le lourdaud chef de la NASA a pu dire « on s’en fout, on fonce ! », et ce n’est en rien que les craintes de ses subalternes étaient idiotes, c’est qu’elles se sont montrées justes sur le principe la 41e fois seulement.
• Autre nouvelle MSN/JDD : « Le médecin Gilbert Deray : "Ces anti-vaccins s'imaginent en De Gaulle, ils ne sont que des tristes clowns" » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/le-m%C3%A9decin-gilbert-deray-ces-anti-vaccins-s-imaginent-en-de-gaulle-ils-ne-sont-que-des-tristes-clowns/ar-AAMgncu?ocid=msedgntp ) : « un déferlement de propos obscènes qui visent à détourner les Français du seul traitement qui pourrait les protéger et permettre au pays de revivre normalement, le vaccin. /Obscène de comparer la France à une dictature ou un Etat totalitaire. Que ces anti-vaccins écoutent ceux qui manifestent et combattent à Cuba, en Russie ou en Birmanie et qu'ils comprennent le silence mortifère de la Corée du Nord. /Obscène de comparer notre Président à Staline ou Hitler, les deux plus grands criminels de guerre du XXe siècle. /Obscène de comparer le passe sanitaire où l'obligation vaccinale à l'étoile jaune ou la Shoah. L'étoile jaune symbole de la mort pour celui ou celle qui la porte comparée au vaccin qui sauve des vies. /Obscène de comparer l'injection du vaccin à un viol. /Obscène et stupides ces affirmations sur la 5G, la conspiration mondiale, Bill Gates et les nanoparticules pour nous contrôler. Ces propos sont le fait de politiques, de journalistes, d'acteurs, de comiques, d'avocats et même de médecins. Des nantis et des résistants de pacotille souvent ridicules. (..) Ils s'imaginent en De Gaulle, Jean Moulin ou Nelson Mandela, ils ne sont que des tristes clowns, des profiteurs de la guerre. Leurs propos outrageusement stupides transpirent l'appât du pouvoir, de l'électeur et comme toujours du gain financier. Ils bravent courageusement le confinement, tombent le masque et ne respectent pas l'isolement lorsqu'ils sont infectés. Ils ne prennent aucun risque pour leur petite personne, ils sont vaccinés sans le dire, mais ils envoient les autres au feu et profitent de la misère de la peur et de l'ignorance pour gonfler leur petite boutique politique ou leur portefeuille et souvent les deux. (…) Minables mais dangereux, car ils minent la confiance et créent la suspicion et le désordre. Ce sont les mêmes qui ont proposé des médicaments inefficaces qui ont conduit des milliers de personnes à la mort. Demandez aux Brésiliens ce qu'ils pensent de l'hydroxychloroquine et de l'ivermectine. Il faut les combattre par tous les moyens et le mien c'est la science. N'écoutez pas ces clowns grotesques et grossiers, après plus de 3 milliards de doses de vaccins administrées et un an de recul nous sommes en mesure de vous dire que les vaccins sont sûrs et efficaces. (…) Politiciens véreux, médecins sans âme et commerçants de la peur, vous êtes des criminels et vous avez déjà perdu. Et ce qui me réchauffent le cœur et l'âme, ce sont ces dizaines de millions de Français qui parce qu'ils ont confiance en la médecine et le sens de l'intérêt de la nation sont déjà vaccinés. »
--> Moi c’est ce prétendu médecin, diplômé en récitation stupide sans droit à réfléchir, que je juge obscène, ridicule, criminel, minable, dangereux, véreux, ignorant, grotesque, grossier, stupide, etc. Contrairement à lui, je ne m’enrichis en rien de la maladie, et il est faux que je sois vacciné (en cachette), ses accusations sont diffamatoires méritant procès (ou ultra-dirigées vers quelques-uns mais généralisées très à tort). Surtout, il ignore ce qu’est la science, qu’il confond avec le scientisme affirmant détenir le Vrai indubitable, avec une culture nullissime en épistémologie. Sociologiquement, il a peut-être raison et les provax ont les moyens légaux d’imposer demain totalement leur dictature, mais c’est une honte totale, une insulte à l’intelligence, avec peut-être un génocide à la clé si ces vaccins sont tueurs au bout de cinq ans, ce dont personne n’a la preuve du contraire. Enfin, comparer les méthodes de Macron à celles de Staline et Hitler n’est pas affirmer qu’il y a identité mais similarité partielle, il faut être de mauvaise foi totale pour interdire les comparaisons là où il n’y a pas exactitude absolue de la ressemblance.

* Ajout 177, 19/07/2021 (3h) : Retour en arrière
  Actuellement, les grands cris des ProVax sont « ce vaccin sauve, ce virus tue ! » mais je n’en suis pas convaincu, arguments à l’appui (sans réponse) et pas par irrationalité n’importe comment appelant leçon pédagogique sévère. On se fait à jeter à la tête le chiffre « indéniable » (officiel, hospitalier) des « tués par le virus », mais sur l’exemple proche dont j’ai entendu parler, mon jugement est au contraire « faux et usage de faux ».
  En effet, ce très vieux monsieur, mourant de troubles cardio-vasculaires, a été hospitalisé ; son test covid19 a été trouvé négatif ; il a survécu à la nuit, restant mourant ; il a alors été retesté covid et trouvé positif ; aussitôt transféré en unité covid, il a été mis sous coma artificiel, et il est mort ; classé alors « tué par le virus covid19 ». A mon avis c’est très différent, tout au contraire :
– Hypothèse 1 : il a été tué par la mise en coma artificiel, souvent létale chez les personnes très âgées (c’était très connu bien avant la crise covid19). Tueur = médecins, involontairement.
– Hypothèse 2 : il a fini par succomber à sa maladie cardio-vasculaire, confirmée létale. Tueur = maladie non-covid, naturellement.
– Hypothèse 3 : c’est la conjonction de sa maladie très grave et de ce virus asymptomatique normalement qui a dans ce cas provoqué le décès. Tueur = les diverses maladies, un peu aggravées par covid.
– Hypothèse 4 : ce patient allait guérir de son trouble cardio-vasculaire mais paf ! l’atroce virus l’a massacré. Tueur = virus covid19.
  Il s’agit à mon avis d’hypothèses de plausibilité décroissante (1 très probable, 2 un peu moins, etc.). Alors que clamer « c’est l’explication 4 la seule vraie, incontestable ! » semble immensément douteux, et intéressé : cachant l’éventuelle faute médicale tueuse (et pour les gouvernants : confortant la propagande alarmiste, pour dictature sanitaire en prétendue prévention/curation).
  Non, des chiffres bâtis ainsi ne sont en rien de rien probants, et encore moins : indéniables.

* Ajout 178, 19/07/2021 bis (9h) : Parallèle stalinien encore
  J’ai entendu à la télévision une dame (politique je crois) répéter un argument déjà entendu : « Les antivax n’ont que le mot Liberté à la bouche mais ils se trompent totalement : la liberté de chacun s’arrête là où elle entrave celle d’autrui ! En refusant de se faire vacciner, les antivax m’empêchent de retrouver ma liberté d’avant, sans gestes barrières ni mesures sévères ! Ce sont eux les anti-liberté !!! ».
  Je ne suis pas d’accord, et je vais l’illustrer par un rêve imaginaire : « Sous le glorieux règne de notre leader adoré Josef Staline (gloire à Lui !), la vie était magnifique et libre, hélas un complot capitaliste (affreusement contagieux) a menacé cet équilibre harmonieux. Par mesure sanitaire (esprits sains), il a donc fallu un peu restreindre les libertés : pour chacun âgé de plus de 1 an, applaudir le leader 1 heure avant le dîner, obligatoirement (sous peine de perdre son logement et ses tickets de nourriture, et en cas de récidive : direction prison ou hôpital psychiatrique). Parallèlement, nos brillants scientifiques travaillent fabuleusement à un vaccin anti-capitaliste (antidote « communistine »), et sa mise à disposition est imminente. Mais là tout récemment, un variant delta du complot capitaliste, encore plus contagieux, a frappé à nouveau. Donc la vaccination communistine est décrétée obligatoire pour tous immédiatement, sans du tout attendre les très lents tests de toxicité, tant il y a urgence vitale (et tellement peu de risque, certifient nos spécialistes) ! Des manifestants très suspects (bientôt emprisonnés) clament que cette obligation entrave gravement la liberté, mais c’est l’exact contraire ! En refusant la vaccination, ils nous empêchent de retrouver la liberté d’avant, sans besoin d’applaudissements quotidiens obligatoires. Ce sont eux les anti-liberté, CQFD !!! ».
  Euh, personnellement, je refuse ce prétendu CQFD de la propagande et j’y vois un CQFD contraire comme preuve par l’absurde. La première loi dictatoriale ne justifie pas la seconde pour retrouver la prétendue liberté, la vraie liberté aurait consisté à ne prendre ni la première loi anti-liberté ni la seconde.

* Ajout 179, 19/07/2021 ter (13h) : Semi-sagesse
  Alors que la plupart des invités télévisés condamnaient aujourd’hui la résistance au vaccin, qualifiée de paranoïaque, maladie mentale, tournant en horreur violente dangereuse, une dame a dit qu’elle s’inquiétait quand même sur l’absence de danger de ce vaccin après 10 ans ou 15 ans, mais qu’il y a seulement besoin de beaucoup de pédagogie pour recevoir la connaissance qu’il n’y a pas de risque (sans être insulté ni chassé ou puni).
  Euh, c’est mieux que les insultes, mais… je ne suis pas complètement d’accord : la pédagogie est la leçon que donnent des sachants indubitables à des incultes sans objection résistant à l’examen ; or la situation est immensément différente. Les prétendus sachants sont des menteurs chroniques déclinant (avec prétendu « savoir ») les décisions gouvernementales, ils ne sont crédibles en rien de rien (j’ai documenté dans plein de domaines les mensonges des scientifiques officiels, la nullité crasse des prétendus experts s’ils ne sont pas simplement menteurs malhonnêtes escrocs). Et les objections ne sont pas examinées avec réponse argumentée mais diabolisées, condamnées sans examen. Ce n’est en rien de la bonne pédagogie intelligente mais de la mauvaise propagande débilitante. Peut-être que ça marche avec des malléables naïfs, mais ça ne marche pas avec des résistants lucides.
  Par ailleurs, il n’y a pas honnêtement lieu de réclamer 10 ans ou 15 ans de recul, alors qu’en pharmacologie le standard accepté depuis le scandale thalidomide était 10 ans d’étude, donc 5 sur l’humain après validation sur l’animal. Il n’y a pas d’argument je crois pour appeler spécialement à une vigilance très accrue par rapport à cet autrefois, mais avoir sabordé cette vigilance habituelle pour réduire de 10 ans à 1 an est immensément suspect, de faute très lourde (pas forcément léthale, mais avoir caché ce sujet fait craindre une manœuvre inavouable, inquiétante effectivement). Et cela pour un danger pas monstrueux cataclysmique absolu atroce envers tous, non, un faux danger ou petit facteur aggravant pour les très-malades, ne justifiant pas le cataclysme imposé par les gouvernants.

* Ajout 180, 20/07/2021 (6h) : L’hypothèse Cobayes
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/Ouest-France quasi pharmacologique, intéressante : « ʺOn est des cobayesʺ ? Un infectiologue répond à quelques idées reçues sur le vaccin anti-Covid » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/on-est-des-cobayes-un-infectiologue-r%C3%A9pond-%C3%A0-quelques-id%C3%A9es-re%C3%A7ues-sur-le-vaccin-anti-covid/ar-AAMkvJ9?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je lis et commente :
• « ʺOn est des cobayes. ʺ ʺLe vaccin va modifier notre génome. ʺ ʺIl rend maladeʺ… Parce qu’il a été mis au point en un temps record, le vaccin contre le Covid-19 suscite encore des interrogations, parfois des angoisses. Certains Français hésitent encore à se faire vacciner. Infectiologue au CHU de Rennes, Matthieu Revest fait le point sur des idées couramment avancées. »
--> Cette présentation me parait malhonnête, totalement. Je ne dis pas « va modifier notre génome » mais « pourrait modifier notre génome, on n’en sait rien ». En face, caricaturer en présentant l’adversaire comme 100% affirmatif de fake news nullement étayées, c’est juste cacher qu’il y a un doute sceptique, lucide et aucunement ridicule.
• « (…) Des craintes s’expriment sur un vaccin qui a été mis au point en un temps record. (…) Un an pour mettre au point le vaccin contre le Covid-19. N’est-on pas allé trop vite ? »
--> Le mot « mise au point » n’est pas clair, et je le dis avec expérience compétente car la « mise au point de techniques chimiques HPLC/UPLC » a été mon métier (à temps partiel) de 1985 à 2018. Entre les premiers tâtonnements exploratoires et la présentation d’un dossier finalisé, il y a quantité d’étapes au bout desquelles on peut prétendre « la mise au point est achevée » (pas la validation, non, pas du tout du tout).
• « Habituellement, il faut entre dix et quinze ans. La mise au point de ce vaccin a donc été très rapide, c’est une réalité. Pourquoi est-ce allé si vite ? Les deux premières phases constituent la recherche de la cible. Elles prennent normalement quatre à cinq ans. On les a zappées. On a, en effet, fait le pari (et rétrospectivement, on a eu raison) que le Sars-Cov-2 (Covid-19) avait la même protéine (Spike) que deux autres virus, déjà connus et étudiés, le Mers-CoV et le Sars-CoV. C’est cette protéine, que l’on connaît, que visent tous les vaccins contre le Covid-19. »
--> Non, il n’est en rien prouvé « on a eu raison ». Peut-être qu’on attaque un virus n’ayant aucun rapport avec l’affection dite tueuse, sans avoir établi de relation de cause à effet entre biologie et clinique. On a été très vite, on a foncé, on s’est peut-être trompé, clamer qu’on a eu raison, c’est comme clamer que Mahomet dit La Vérité, ça n’a pas de pouvoir de conviction, sauf auprès des crédules sensibles au pseudo-argument d’autorité.
• « (…) Il y a habituellement quatre phases de développement. Phase 1 : on étudie l’efficacité de la molécule sur un faible nombre de volontaires. Phase 2 : on recherche la meilleure dose, celle qui aura le meilleur rapport bénéfice-risque, avec un peu plus de volontaires sains. Phase 3 : on teste l’efficacité du vaccin sur un grand nombre de patients (40 000 malades et un suivi d’au moins six mois pour 20 % d’entre eux). Ces trois phases sont habituellement faites successivement. Là, parce qu’il y avait urgence, parce que de l’argent public a été mis sur la table en quantité, et parce qu’il y avait un très grand nombre de patients concernés disponibles (parce que c’est une épidémie mondiale), on a commencé les trois phases en même temps. Les industriels n’ont pas eu peur de s’engager dans la phase 3 sans connaître les résultats de la phase 1 puisqu’ils ne prenaient pas de risques financiers. On s’était préalablement assuré qu’il n’y avait pas de danger pour les patients. »
--> C’est entièrement faux : « on n’a pas vu de catastrophe immédiate » ne signifie en rien « on s’est assuré qu’il n’y a pas de danger ». (« Il n’est pas prouvé que c’est très mauvais » n’a aucun rapport logique ni mathématique avec « il est prouvé que c’est très bon »). Si ces vaccins créent un cancer visible au bout de 3 à 5 ans, cela n’a pas été vu et la prétendue assurance est 100% mensongère, faute professionnelle et mise en danger de la vie d’autrui, c’est immensément grave. Mais le tribun là interviewé fonce, dépourvu d’intelligence critique, c’est de la propagande, nullissime. Par ailleurs, il me semble bien que les 40 000 humains mentionnés ont été traités en cobayes sans qu'ait été vérifié la non-toxicité sur animaux (cobayes ou rats etc.), il faudrait l'avouer pas le cacher ni le prétendre faux. Une prise de risque phénoménale est intervenue, sans le dire aux gens concernés apparemment puisque l'on continue à nous mentir à l'étape suivante. Enfin, il faudrait dire que la phase III n'est nullement achevée, mais est prévue de se terminer en 2023, tirer des conclusions avant de collecter les données est incroyable, mais caché menteusement.
• « Au final, 200 vaccins ont ainsi commencé leur développement, mais 90 % l’ont arrêté parce qu’ils ne s’avéraient pas efficaces. Les vaccins retenus ont subi toutes les étapes classiques de mise au point et répondent donc à toutes les normes internationales de sécurité. »
--> C’est faux : j’ai vu à la télévision début 2020 des chercheurs de l’Institut Pasteur Lille dire que, contrairement aux leaders ayant foncé directement vers le test humain, eux avaient classiquement commencé par l’expérimentation animale, qui est requise dans les protocoles avant de prendre le risque de blesser des humains. Hop, là, c’est nié, négationné. (Au passage, ces chercheurs disaient avoir découvert, sur la souris, que l’injection intra-musculaire – pratiquée par tous les leaders actuels anti-covid19 – marche très mal, une bien meilleure efficacité étant obtenue par spray nasal.) Bref, les leaders ont fait « à la va vite » sans respecter les règles usuelles dans le métier, officiellement commandées (c’est tellement cher que ça ne se ferait pas si c’était facultatif officiellement), mais il suffit de ne pas le dire, le cacher, et hop, on se donne raison ! Faux et usage de faux.
• « (…) Les vaccins à ARN messager peuvent-ils changer notre génome ? Non, impossible. Avec ce vaccin, on mime une maladie en injectant des molécules d’ARN dans l’organisme. Celui-ci croit que c’est un virus (en fait, c’est un leurre) et déclenche une réponse immunitaire. Mais cet ARN ne peut s’intégrer dans notre génome car il faudrait des enzymes particulières que le virus n’a pas et que nous n’avons pas non plus. Par ailleurs, cet ARN, très fragile, reste très peu de temps dans l’organisme. Mais la réponse immunitaire, elle, perdure. »
--> Mensonge, total, claironné comme vérité indiscutable ! Ce n’est pas que c’est su impossible, c’est que c’est cru peu probable, « jusqu’à preuve du contraire » (pouvant ruiner la théorie précédente, eh oui c’est ça la science, pas les vérités prétendues éternelles type théologie moyenâgeuse). Nos cellules lymphocytes possèdent l’enzyme reverse transcryptase pouvant transformer l’ARN injecté en ADN changeant notre génome (je n’en ai pas la preuve personnellement mais c’est ce que disent les spécialistes, dérangeant certes le dogme officiel, clamant la propagande rassuriste sur ce point). Si les lymphocytes mutent cela peut donner une leucémie tueuse 5 ans après, oui, absolument, le clamer impossible ne repose sur rien de rien, qu’une foi aveugle, prétendant religieusement à la certitude, c’est nul.
• « (…) Il y a des effets secondaires. Fièvre, maux de tête, fatigue, courbatures, 24 à 48 heures. Mais seulement 9 % de ces symptômes occasionnent un arrêt des activités quotidiennes. Et plus de 50 % des individus n’ont aucun de ces symptômes. Des effets secondaires graves ? Oui, mais excessivement rares : des thromboses veineuses particulières après le vaccin AstraZeneca et Johnson, dont la fréquence a été augmentée chez les individus de moins de 55 ans, mais pas après. Pour les vaccins à ARN ? Un doute persiste sur les myocardites, mais sans lien de causalité actuellement établi et une probabilité de survenue qui serait de toute façon excessivement faible : moins d’un cas sur un million de doses. Le rapport bénéfice-risque reste largement en faveur du vaccin. »
--> La question hyper-majeure ne me semble pas les petits effets secondaires rarissimes constatés à court terme mais les possibles effets à long terme, pouvant être gravissimes ou tueurs, on n’en sait rien de rien à l’avance, et c’est caché, c’est très grave en matière d’honnêteté, de crédibilité, biomédicale et de santé publique. Au bout d’un an, non on ne sait en rien de rien ce qui se passe au bout de cinq ans, affirmer le contraire est du boniment publicitaire mensonger, déguisé en science avec une blouse blanche et un titre de docteur (diplômé en récitation).
• « (…) Disons qu’il me semble nécessaire, avant de parler des effets secondaires, de remettre les choses en perspective : le Covid-19 a tué plus de 3 millions de personnes dans le monde, plus de 110 000 en France. Après un Covid, il existe très souvent (un cas sur dix) des symptômes persistants (Covid long) qui impactent très longtemps la qualité de vie des malades. Après le Covid, on multiplie, par exemple, de 4 à 8 les risques d’infarctus ou d’AVC dans les six mois qui suivent, même chez des patients qui n’avaient aucun problème de santé auparavant. On sait aussi que le Covid a entraîné des restrictions sanitaires très importantes, qui ont eu des conséquences dramatiques notamment pour les enfants, les étudiants. C’est une maladie gravissime et très fréquente. »
--> Cela me semble une grande confusion, menteuse encore une fois. Les prétendus « tués par le covid-19 » n’ont aucunement vus établie la preuve de relation de cause à effet entre leur décès et leur positivité covid. Il a été décidé administrativement (stupidement, abusivement) d’appeler « tué par covid » quiconque meurt et se trouve positif covid, même si ce germe était bénin (je ne l’affirme pas, je l’envisage). Les réciteurs ont bien récité la récitation commandée, mais leur pouvoir de conviction est nul, nullissime, mais ça n’empêche pas de clamer détenir la vérité indéniable, à tort, total. Par ailleurs, les cas de covid long n’ont aussi nullement vus démontré le rapport de cause à effet entre le covid et les troubles, ce pourrait être coïncidence mal interprétée (ou liée à un tiers facteur, ou conséquence indirecte de chamboulement psychologique, etc.). Enfin, les effets des restrictions sociales ne pointent pas une dangerosité du virus mais de la surréaction politique à cette prétendue épidémie (à germe peut-être inoffensif façon rhume, ça ne justifie pas en soi vaccination d’urgence de tous).
• « Or, on dispose d’un vaccin efficace : il évite à 95 % d’avoir la maladie, à 91 % de la transmettre. Et si on l’attrape quand même, ce qui arrive (mais aucun vaccin n’est efficace à 100 %), on diminue de 95 % le risque de faire une forme grave. Et si on fait une forme grave, on diminue de 95 % la probabilité de mourir. »
--> Non, je n’ai vu nulle part la preuve que cela fait autre chose que diminuer la positivité au test covid, les gens continuant à mourir d’autre chose mais ça ne s’appellerait plu’ abusivement « tués par covid ». Réciter des chiffres établis sans esprit critique, c’est nul en force persuasive, ce n’est que par la confrontation aux objections invalidant tout que peut émerger une ébauche de sagesse crédible.
• « Malheureusement, quand on est face à une maladie contagieuse, on a tous une responsabilité collective. On aimerait penser que la décision que l’on prend à l’égard du vaccin n’implique que soi-même, mais ce n’est pas le cas. Ne pas se faire vacciner met en danger les autres. »
--> C’est là oublier le problème numéro 1 : vacciner plein de gens en ignorant totalement si ça va les tuer dans 5 ans, c’est gravissime, mettant en danger de mort les autres, avec génocide collectif possible. Celui qui décide individuellement de se faire vacciner engage ses choix individuels (en espérant qu’il n’ait pas été trompé par la propagande) mais le forcing pour faire vacciner tout le monde (ou plein de monde) est immensément contestable. Clamer le contraire, sans argument (puisque l’objection du « meurtre possible à 5 ans » n’a nullement été examinée), c’est encore une fois du « faux et usage de faux ». Ayant évidemment tous les micros officiels, en insultant comme « complotistes délirants » les logiciens lucides…

* Ajout 181, 21/07/2021 (8h) : « Faute grave »
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/Libération frappante : « Oui, certains Burger King ont bien envoyé des consignes de vaccination à leurs salariés » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/oui-certains-burger-king-ont-bien-envoy%C3%A9-des-consignes-de-vaccination-%C3%A0-leurs-salari%C3%A9s/ar-AAMmUnx?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). J’y lis entre autres choses, au milieu d’un flou mélange de révélations et démentis que « des directives sur la vaccination (…) après la prise de parole du Président, ʺla vaccination est désormais obligatoire pour notre secteur d’activité – la restaurationʺ et qu’ils ont jusqu’au 12 septembre pour se faire vacciner. ʺAprès cette date, l’employeur se réserve le droit de pouvoir vous licencier pour faute grave suivant la législation en vigueur. (…) qui a décontenancé plusieurs salariés. ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   A mon avis, c’est une faute encore plus grave, attentant à la vie de millions de gens, que de faire pression pour vacciner avec un produit dont la non-toxicité (et même non-létalité) à 5 ans n’a nullement été étudiée, à ce jour. C’est pire qu’une faute professionnelle grave de la part des gouvernants, c’est criminel. Et imposé de manière autoritaire avec total abus de pouvoir, ces gens méritent la prison à perpétuité à mon avis. Mais comme ils détiennent le pouvoir, écrivent les lois et nomment les magistrats accusateurs, ils sont tranquilles, assurés de l’impunité, ça me parait une honte totale. Les dominants écrasent et les petites gens doivent obéir, c’est l’exact contraire de la démocratie prétendue.

* Ajout 182, 21/07/2021 bis (10h) : Précaution contre preuve avérée
   Je lis sur Google/Wikipédia l’énoncé du principe de précaution (officiel, en France) : « selon lequel l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement, à un coût économiquement acceptable. ». Bref, s’il y a risque, il faut le prévenir sans exiger de certitudes de ce risque. Donc il n’y a pas à exiger la preuve de danger pour interdire ce qui peut être dangereux. La charge de la preuve n’incombe pas à ceux qui envisagent un danger mais à ceux qui clament une innocuité. Le gouvernement (et les journalistes) a tort (en imposant un vaccin à innocuité à 5 ans nullement établie), et j’ai raison (de demander la non-obligation de ce vaccin), légalement. Enfin, ça parle de « l’environnement » (sans justifier pourquoi) mais il me semble évident que c’est encore plus grave/majeur/important si le risque est de massacrer tous les humains, pas abimer quelques plantes.
   Par ailleurs, j’entends en débat télé C-News une députée LaREM qui est médecin, Anne Genetet, clamer que tout est dit par l’article 4 des droits de l’homme et du citoyen : « la liberté c’est faire ce qu’on veut qui ne nuit pas à autrui » (menacer autrui n’est pas exercer sa liberté). Mais… résister à une injonction pouvant me tuer (et peut-être protéger autrui), c’est défendre ma propre liberté, première, bien avant d’attaquer celle d’autrui. Ma liberté de ne pas être tué prime sur la liberté d'autrui d'aller au spectacle après 23 heures. Personne n’a répondu à la dame donneuse de leçons, les opinions libres n’étant pas invitées sur les plateaux-télé, de pure propagande.

* Ajout 183, 22/07/2021 (8h) : Pseudo-philo
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/HuffPost a priori intéressante : « L'obligation vaccinale vous interroge? La philosophie nous aide à y voir plus clair » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/l-obligation-vaccinale-vous-interroge-la-philosophie-nous-aide-à-y-voir-plus-clair/ar-AAMmcdm?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je lis et commente :
• « la vaccination deviendrait obligatoire (…) Est-il moralement légitime de rendre la vaccination obligatoire? Peut-on imaginer que l’acte de se faire vacciner contre le Covid-19 représente un devoir, au même titre que celui, par exemple, de porter la ceinture au volant ? »
--> La question semble très mal posée, presque idiotement, dans la mesure où la ceinture au volant présente zéro risque de rendre très malade ou tuer la personne qui s’y soumet, alors qu’un risque existe pour tout nouveau médicament avalé ou vaccin injecté, l’expérience l’a documenté, invalidant l’hypothèse d’innocuité systématique (et le « principe de précaution », en plus du scandale thalidomide antérieur, interdit d’affirmer que dans le doute on donne préférence à l’hypothèse d’innocuité).
• « Critique d’une soi-disant “dictature”, comparaison avec la Shoah ou l’Apartheid, depuis quelques jours, les arguments d’une partie de la population se montrant réticente au pass sanitaire et contre une obligation vaccinale se font de plus en plus violents et déplacés. Néanmoins, au-delà de ces arguments déraisonnables, voire extrêmes »
--> Je ne suis pas en train de lire de la philosophie réfléchissant en pesant le pour et le contre, là, mais du militantisme insultant l’adversité diabolisée en vertu des lieux communs dominants. Une comparaison n’est pas une affirmation péremptoire d’identité absolue et n’a rien de « déplacé » sauf convenances interdisant tel ou tel propos au nom de la bienséance, le philosophe s’autorise la comparaison lointaine, le non-philosophe répète ce qu’on lui dit de dire et refuse ce qui est déclaré inconvenant. Quant à la violence, la violence source me semble le discours de Macron annonçant obligation dictatoriale à la soumission quels que soient les désaccords personnels, même argumentés imparablement (raisonnablement et pas « déraisonnablement » – jugement ici parachuté sans argument), avec sanctions pouvant aller jusqu’à la perte d’emploi (d’où misère, retrait des enfants, suicide, etc.), que des choqués réagissent avec violence (menaces aux faux-représentants ou saccage de centres de vaccination) peut être abusif, mais il me paraitrait légitime, en procès équitable, d’invoquer la légitime-défense (quitte à juger que c’est abusif quand même). Mais la question est posée, si on réfléchit pour de vrai, philosophiquement, au lieu de servir la soupe de propagande dominante, servilement.
• « (…) la question soulève de nombreuses interrogations d’ordre éthique et philosophique. L’un des problèmes qui pourraient être posés par une obligation vaccinale à l’échelle de la population entière est d’abord celui des “apatrides sanitaires”. “Je réprouve le moralisme vaccinal qui distinguerait les vaccinés de ceux qui ne le sont pas, ou qui ne peuvent pas l’être. Ériger la vaccination comme un mérite qui permettrait de s’autoriser ce qui sera interdit à d’autres, ne relève pas d’une évidence éthiquement acceptable sans en débattre” (…) rendre obligatoire la vaccination détournerait la suspicion “vers ceux qui ne sont pas vaccinés, parmi lesquels nombre de personnes vulnérables (...). Comme si devait leur être imputée l’irresponsabilité ou la culpabilité d’avoir transgressé la règle”. Une telle mesure créerait une sorte de “communauté sanitaire”, dont seraient exclus ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas obtenir le pass ; des apatrides, privés du droit de se rendre dans certains lieux ou de pratiquer certaines activités. »
--> Je ne comprends pas du tout l’argument ici exposé. Je suis anti-frontière et considère la nationalité (et les Droits de l’Homme 1948 la célébrant) comme un moche droit à la xénophobie. Que des gens soient apatrides ou toute l’humanité entière ne me semble avoir aucune importance, aucune gravité intrinsèque. Plutôt que d’apatrides, il conviendrait plutôt ici de parler de discriminés, condamnés injustement.
• « (…) Aura-t-on affaire à une police des mœurs? (…). “Je crains un aspect discriminatoire pour toute une partie d’individus qui ne se rendent pas chez le médecin ou ont moins accès aux soins” ».
--> C’est à nouveau le niveau zéro de la pensée, anti-philosophiquement. Cela présuppose que ne sont victimes (de condamnation pour non-vaccination) que des pauvres ne pouvant se payer la santé ou des isolés hélas situés loin des centres de santé. Non, il y a aussi, voire surtout, des gens ayant entièrement accès à la vaccination gratuite et proche mais la refusant avec des tonnes d’arguments davantage sensés que ceux des vaccineurs de force.
• « Mais l’un des principaux arguments brandis à l’encontre du pass sanitaire ou de l’obligation vaccinale est celui de la liberté individuelle. “C’est dire que rendre obligatoire le vaccin diminue la liberté de choisir” (…) Mais cet argument est rapidement contrebalancé par celui du préjudice fait à nous-mêmes ou aux autres. Car si je refuse de me faire vacciner, je prends le risque de me porter préjudice à moi-même si je tombe gravement malade, ou aux autres en leur transmettant le virus. Et si de très nombreux individus refusent de se faire vacciner, d’autres restrictions de liberté seront probablement mises en place, comme un confinement. Donc quelle est la meilleure alternative ? Quelle stratégie est la moins contraignante en termes de liberté ? »
--> Erreur totale, pensée vide réciteuse de propagande en n’ayant en rien écouté les objections. Non, il n’a nullement été démontré à chacun que ce virus est tueur, non il n’a nullement été démontré à personne que ce vaccin n’est pas tueur de tout vacciné après 5 ans d’incubation (et développement possible de leucémie ou autre), refuser n’est pas exercer une liberté de « faire n’importe quoi », mais de ne pas « être tué peut-être », cela change absolument tout. Quant au confinement, il n’a en rien été démontré justifié, affirmer qu’il n’y a pas d’autre solution que la vaccination pour échapper au confinement est simplement faux, répétant la propagande gouvernementale sans l’ombre d’un argument.
• « (…) “toute vie en société implique des limitations aux libertés : faut-il encore une fois rappeler l’article 4 de la Déclaration de 1789 (un modèle de libéralisme par ailleurs) ? ‘La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi’. »
--> Je ne suis pas d’accord, j’ai démoli cette déclaration très mauvaise par analyse vraiment philosophique et qu’on m’assène que c’est « un modèle » relève de la propagande en faveur des lieux communs, c’est philosophiquement de la merde en barre. Sur le fond : quand le président décide de pousser sa population à se faire vacciner sous peine de sanction, avec un vaccin peut-être tueur (à 5 ans, personne n’en sait rien pour le moment), c’est lui qui massacre la liberté élémentaire des gens, il n’y a pas à bannir la liberté excessive des gens refusant ce diktat phénoménal. Le tyran et ses acolytes, suivant le principe de république (à faux représentants trahisseurs de référendum et interdisant le référendum d’initiative populaire qui les soumettrait à chaque instant au peuple), pondent une loi pourrie qui n’a aucune légitimité morale, seulement légale en système injuste. La philosophie vraie le comprendrait, l’analyserait au lieu de réciter le boniment des dominants prenant les gens pour des imbéciles, ce qu’ils ne sont pas.
• « Le passe sanitaire est tout autant “discriminatoire” que le serait le code de la route, qui interdit de conduire sans permis, ivre ou sans ceinture de sécurité”. (…) ce point est d’autant plus valable dès lors qu’il s’agit de santé publique. “La santé n’est pas qu’une question individuelle : c’est aussi un enjeu public. L’histoire de la santé publique est faite de mesures collectives, visant l’intérêt général et restreignant parfois les libertés individuelles” ».
--> C’est passer totalement à côté du sujet, en n’ayant rien compris à l’objection émise, c’est grave, abrutisseur idiot. Le refus de cette vaccination (à vaccin mis sur le marché hyper prématurément sans preuve de non-toxicité à long terme) n’est nullement refus de toute mesure de santé prouvée bénéfique. Cela ne semble pas de la confusion mentale chez les prétendus philosophes écrivant là mais du mensonge calculateur, pour bien diaboliser en évitant d’envisager le moindre tort du côté décideur. Propagande, sub-débile, pas philosophie analytique, pas du tout.
• « (…) “Je suis libre tant que ma liberté individuelle ne nie pas celle des autres ou de l’ensemble. Simple. Or, dans ce cas précis, ne pas me faire vacciner condamne potentiellement toute la nation au confinement à moyen terme. Donc voir mes droits d’accès limités parce que je décide de faire peser un risque sur l’ensemble, ce n’est pas attaquer mes droits, c’est normal. Basique”. »
--> Il ne s’agit pas de « liberté de refus » arbitraire voulant imposer désidérata personnels mais liberté de refuser un risque tueur sur ma personne. Ça change absolument tout, et faire primer la non-soumission de tous à un confinement dictatorial (jugé normal évident) est hors-sujet, presque ridicule.
• « ”si ma liberté individuelle implique de nuire à autrui, alors on sera toujours prêt à la limiter”, (…) maître de conférences en philosophie morale et politique à l’université »
--> Voilà l’argument d’autorité maintenant : au lieu de réfléchir, on se réfère à de grands personnages notables bardés de titres honorifiques. C’est pire que nullissime, c’est une insulte à l’intelligence critique individuelle.
• « (…) À partir du moment où l’on vit en société et que des biens communs existent - la santé publique en faisant partie - et à moins de prôner un libertarisme démesuré, nos libertés sont forcément limitées. Cela vaut aussi si l’on considère que l’immunité collective, qui peut être apportée par la vaccination d’un grand nombre d’individus, est également un bien commun. »
--> C’est effarant, cette propagande exclusivement unilatérale. La question n’est nullement de refuser l’immunité collective mais d’attendre pour l’envisager que soient très normalement acquises les preuves qu’elle ne s’obtient pas avec un vaccin tueur (ou rendant très malade, tous ou 15% des vaccinés). La question se pose en termes de balance bénéfices/risques et cacher la partie risques pour prétendre qu’il n’y a que des bénéfices (refusés exclusivement par des abrutis), c’est un mensonge total. Aucun rapport avec la philo-sophie, amour de la sagesse, on est là en discours publicitaire de propagande politique.
• « Et (…) elle en est un. Pourquoi ? “Un bien est commun s’il répond à deux principes, la non-exclusivité et la non-rivalité. Or, l’immunité peut être atteinte par tous, et je n’empêche pas les autres de l’avoir si je décide de me faire vacciner. Donc l’immunité collective est un bien commun, au même titre que l’air qu’on respire”, explique le philosophe. »
--> Faux. Si l’immunité est atteinte (à court terme vis-à-vis de ce virus) en enclenchant une leucémie tueuse à échéance de 5 ans, elle n’est en rien un bien mais un mal. Des tonnes de blabla et conceptualisation prétentieuse n’y changent rien. C’est puant de suffisance prétentieuse, ce discours, oubliant de réfléchir de manière contradictoire.
• « Le contre-argument sous-jacent à celui de la liberté est celui du risque purement individuel pris par la personne ne souhaitant pas se faire vacciner. Or (…) l’obligation vaccinale pourrait être comparée à celle de porter la ceinture sur la route. Cette analogie est soutenue par deux chercheurs en bioéthique (…) : “Si vous êtes pour le port de la ceinture, pourquoi ne seriez-vous pas aussi pour l’obligation vaccinale ?”. Si je n’attache pas ma ceinture, et que je suis victime d’un accident, je peux penser que je serai le seul concerné. Mais c’est faux. Ce refus peut avoir des conséquences sur d’autres individus et même sur le système de soin. Si j’ai un accident, “ce qui ne concerne a priori que moi concerne ensuite les personnes qui vont devoir prendre soin de moi, et ensuite les hôpitaux” (…). »
--> Faux encore une fois : le refus de la vaccination par ce vaccin-ci, hyper-prématuré, n’est en rien (chez moi en tout cas) lié à une invocation de la liberté de refuser tout commandement quel qu’il soit. C’est, de manière très argumentée, pointer le risque énorme encouru, caché par des menteurs chroniques, et très riches pour certains (dont le nouveau milliardaire français SB, qui a lancé le truc, en déclarant le vaccin prêt et disponible immensément avant d’avoir effectué les études de non-toxicité à long terme).
• « L’obligation vaccinale, telle qu’elle semble portée par le gouvernement à l’heure actuelle, reprend en quelque sorte l’argument des utilitaristes, et plus précisément celui du “harm principle” (principe de non-nuisance) de John Stuart Mill, à savoir : la seule raison valable pour une société de contraindre la volonté d’un individu est d’empêcher de causer du tort, de nuire à autrui. »
--> Faux : empêcher de causer du tort, de nuire à autrui, c’est tout le contraire de l’obliger à se faire vacciner par un vaccin peut-être dangereux ou mortel à long terme, retourner le truc à l’envers est effarant de stupidité, niant l’objection émise, donc ne trouvant plu’ aucune raison au refus, évidemment, malhonnêtement ! Les trucs en « isme » et grands auteurs étrangers méconnus des incultes, expriment le caractère prétentieux des littéraires dépourvus de logique, c’est affligeant, ruine de la philosophie (ou prétendue philosophie).
• « (…) Un autre enjeu sera celui de la coercition, dont l’application doit être proportionnelle à son application (…). “Toute la question sera comment et quel type de punition. (…) “Ce que je crains dans une telle obligation légale, c’est le couperet que cela peut représenter. Il faut accompagner, expliquer. Dans tous les cas, quelle que soit la manière dont on va obliger, que ce soit moralement ou légalement, une population entière à se faire vacciner, il faudra rester sur une transparence totale des arguments et continuer d’expliquer”. »
--> Mais non, que des menteurs expliquent leur truc n’a aucune valeur, aucun pouvoir de persuasion. La punition sans argument probant est dictature, la prétendue pédagogie de propagande n’est en rien légitime, intellectuellement, même si politiquement ou sociologiquement, elle peut l’emporter, écraser l’adversité et le bon sens, punir la logique et l’honnêteté.
• « Car au-delà des aspects purement théoriques, éthiques ou philosophiques d’une telle mesure, le contexte a son importance. Et sur ce point, en ce qui concerne l’obligation vaccinale pour les soignants, (…) s’accordent à dire que le calendrier doit être pris en compte, et la transparence de mise. »
--> Il n’y a nulle transparence quand sont cachés les arguments adverses. Certes, apparemment, se prétendre éthique et transparent évite de l’être en vrai, c’est du blabla, nullissime. La philosophie ce n’est pas que ça, théoriquement. Si j’étais prof de philo et recevait une copie comme ça, je mettrais la note de 01/20 « pour payer l’encre et le papier » (comme on disait au temps d’avant l’ordinateur). Le principe élémentaire d’un devoir, d’un article, c’est présenter le pour, le contre, la synthèse ; ici le « pour (refuser cette vaccination) » n’a pas du tout été compris, déguisé en n’importe quoi à côté du sujet, donc le « contre » est inadéquat, c’est intégralement nul. Et prétentieux en plus, auto-satisfait (et couvert d’honneurs par les pourris dominants, bien sûr).

* Ajout 184, 22/07/2021 bis (9h) : Virus pas bactérie ?
  J'ai recontacté une ancienne collègue spécialisée en résistance bactérienne aux antibiotiques : "Actuellement à la télé, médecins microbiologistes et épidémiologistes (et autres) clament que + le virus circule + il mute et génère des variants dangereux, donc il faut vacciner + pour l’empêcher. Or ce que j’avais retenu de mes cours en microbiologie (et formation continue Antibiotiques niveaux 1 et 2 à B.) et de la campagne publique « les antibiotiques : c’est pas automatique ! », c’était le contraire : il ne faut surtout pas que tout le monde prenne le remède antimicrobien, sinon ça génère une énorme pression de sélection qui sélectionne les mutants résistants, variants devenant très dangereux s’ils deviennent prépondérants. Qui a raison ? Pour prévenir les variants, il faut + de remède ou moins ?".
  Elle m'a répondu que les virus étaient totalement différents des bactéries, mais j'ai contre-répondu :
  "Merci pour ton analyse. J’essaie de la comprendre mais je ne suis pas sûr. Si la vaccination créait les anticorps qui, ensuite, massacraient le premier exemplaire de virus détecté, je le comprendrais, mais ça ne colle pas bien avec ce dont je me souviens de l’immunologie (ou crois me souvenir, dans le petit film de mes souvenirs, peut-être en partie inventés par les rêves nocturnes de mémorisation).
- Il me semble que la réaction immunitaire est déclenchée quand la charge d’agent étranger (bactérien ou viral ou chimique) devient notable, et c’est un combat non-annihilateur immédiat (surtout dans le cas biologique multiplicateur) mais d’élimination peu à peu, en long combat (l’allergie étant ce long truc quand il est indésirable). Bref, le virus aurait le temps de contaminer des cellules, de multiplier un peu face à l’adversité anticorps (c’est pour ça qu’on dit que les vaccinés restent contaminants, quoique moins que les non-vaccinés), mais à la fin il perd la guerre, dans 90% ou 95% des cas pour le virus actuel. Enfin, il perd la guerre chez les rendus malades qui guérissent d’eux-mêmes, et chez les asymptomatiques il perdrait dès la 1e ou 2e bataille avant d’avoir fait un mal notable. Bref, il se multiplierait aussi, muterait aussi, chez les vaccinés, et s’il mute avec pression de sélection par anticorps, paf ça générerait des variants (seuls à se remultiplier, même un peu), parfois, très possiblement, non ?
- Je crois bien que la mutation intervient lors de la réplication en cellule infectée, pas en vie végétative hors cellule sans réplication. Donc la mutation ne se produirait pas en circulation inter-individus s’infectant mais intra-individu infecté, même si c’est infecté asymptomatique à système immunitaire pas débordé totalement. Le discours sur la circulation du virus génératrice de variants me parait très douteux.
- Bref, la vaccination reproduirait vis-à-vis de virus ce qui se passe avec antibiotiques sur bactéries, sans immense différence totale. Il y a juste que le vaccin créerait comme des antibiotiques endogènes (ou « usines à antibiotiques endogènes ») agissant sur le virus devenu vivant dans l’organisme infecté. Enfin, pas tout à fait : il ne suffit pas de tuer la cellule infectée mais les particules contaminantes émises, mais ça reste similaire : ça ne tue que les particules normales pas notablement mutées.
- Et aussi, concernant ton expression « en amont », je ne crois pas que la vaccination BCG par exemple, 1 fois pour toute la vie, garantit un taux d’immunoglobulines (en sérum et mucus) hyper-élevé pour toute la vie, garantissant qu’à la première seconde où l’agent infectieux pénètre dans l’organisme, il est neutralisé. Je crois me souvenir qu’on parle de durée de la « mémoire » immunologique. Ce n’est pas que le sang est une soupe compacte de plein de globulines c’est que quand les globules blancs rencontrent un agent extérieur connu, ils se « souviennent » comment produire les globulines neutralisantes, et – le temps qu’ils les produisent – le germe se sera installé, avant d’être combattu. Et, selon les germes et les vaccins, cette mémoire serait de 1 mois à 100 ans, sans que ce soit une présence d’anticorps en amont attendant le germe, instantanément prêts à l’emploi.
- De même, ou en sens inverse, j’ai le souvenir des tests immuno, d’agglutination ou Elisa et qui étaient instantanés mais avec des concentrations énormes d’antigène et anticorps, je pense qu’in vivo c’est très différent. Quand la particule virale entre dans l’organisme, à mon avis il se passe plusieurs jours avant qu’elle tombe sur la protéine (ou cellule) de défense prête à la combattre. On est très loin des soupes compactes de nos kits réactifs, avec réactifs produits (par M. ou sa ferme associée) sur animaux en salle blanche ultra-stérile (soumis à zéro contaminant sauf celui visé pour produire anticorps, en masse).
  Je ne garantis pas du tout que mon scénario est la vérité, c’est juste le petit film qui me vient en tête. S’il est faux, c’est intéressant, mais je n’en suis pas sûr. (La télé aurait raison sans être incompétente abusant les crédules)."

* Ajout 185, 22/07/2021 ter (14h) : Le fameux Delta
  J’entends à la télévision que le nouveau variant delta (de covid19) est une calamité, totalement imprévisible, expliquant que très normalement les gouvernants prennent les décisions contraires à tout ce qu’ils ont juré. Puisqu’ils me classent complotiste absurde irrationnel : ce variant delta, j’y crois au moins ?
  Non, rationnellement je suis d’avis que c’est un abus imbécile. Si on me demande précisément ce que je pense du variant delta, je dirais que je pense que c’est une erreur professionnelle grave de faux épidémiologistes incompétents. Mon métier de 2012 à 2018 a été l’identification microbienne par séquençage, et ce n’était nullement le séquençage (surtout partiel) qui déterminait la taxonomie. « Tel petit endroit de l’ADN ressemble à delta » ne fait en rien de rien une classe homogène garantie de contagion et gravité déterminées (plein d’autres régions de l’ADN pouvant être impliquées dans ces caractères). Le simplisme est du n’importe quoi ayant oublié de réfléchir, oublié que l’attitude scientifique est basée sur le doute et non sur l’affirmation péremptoire invérifiée. La vérification en question consisterait à effectuer le séquençage total (50 fois plus cher) de ces ADN et comptabiliser les discordances (mismatches disions-nous entre professionnels à logiciels anglophones), on verrait qu’il s’agit d’une grande famille très diverse, et le point commun de la séquence Spike n’a nullement été prouvé déterminant, seulement affirmé sans preuve ni invalidation d’hypothèses concurrentes. Ce n’est pas de la science c’est du blabla littéraire ou commercial sensationnaliste.

* Ajout 186, 22/07/2021 [4] (17h) : Mauvais « humour »
   J’en avais vu une mention en nouvelle MSN mais ne l’avais pas noté, je l’ai vu aujourd’hui à la télévision en extrait vidéo, faisant s’écrouler de rire la présentatrice (sur chaine LCI) : un comique étasunien s’est moqué des Français en disant quelque chose comme « Trois millions de Français sont allés se faire vacciner après que le président Emmanuel Macroun le leur ait demandé. Pour les Français [montrés en train de fumer une cigarette], c’est ʺme vacciner pour protéger ma famille ? non !ʺ mais ʺme vacciner pour aller au café ? ah oui alors !ʺ ». Qu’est-ce que j’en pense ?
  Un comique n’a pas à être juste, c’est l’injustice et la caricature son fonds de commerce, mais là c’est simplement faux, affirmatif délirant. Ces gens s’inscrivant pour la vaccination (majoritairement non-fumeurs) n’étaient pas tous approbateurs de Macron mais majoritairement effrayés par les mesures dictatoriales annoncées par le président pour les y forcer : perte d’emploi, interdictions diverses et variées assorties d’amendes sévères (gâchant les vacances annuelles, empêchant les retrouvailles familiales, etc.). Et la dictature (ou « les diktats autoritaristes », pour dire autrement) ce n’est pas rigolo, enfin mieux vaut en rire peut-être mais en gardant à l’esprit que c’est grave, menteur quand ça se fait (républicainement) au nom de la démocratie, comme aux USA, presqu’exactement, interdisant pareillement le référendum d’initiative populaire pour que le meilleur menteur règne pendant 4 ans contre le peuple. Les Français ne sont pas ridicules (méritant moqueries) mais victimes (méritant d’être plaints), et au lieu de voir ça de l’extérieur comme anecdote ridicule, il convenait de comprendre que ça illustre le principe pourri de la république, y compris localement aux USA (pire par certains côtés : grands électeurs sans suffrage universel direct, lobbyisme légal, course au fric contre l’intérêt général, écrasement des faibles encouragé, etc.).

* Ajout 187, 23/07/2021 (6h) : Colère provax
   J’ai vu hier à la télévision (sur chaine LCI je crois) une séquence vidéo (YouTube ?) avec une jeune femme américaine (en France je crois) exprimant son rejet violent des refuseurs de vaccination anti-covid19. Elle parlait en Anglais (sous-titré de traduction française) mais a conclu par quelques mots de Français comme « éh les antivax, je vous merde ! ». Dans le détail, si je me souviens bien, elle clamait que les refuseurs doivent rester chez eux sans emmerder les vaccinés ni leur faire subir des restrictions. Selon elle, les antivax devaient se contaminer entre eux et ne pas faire chier les gens responsables intelligents honnêtes s’étant bien protégés (= vaccinés). Je crois me souvenir qu’elle a dit « qu’ils crèvent ! » en parlant des refuseurs de ce vaccin. Une fois la vidéo terminée, la présentatrice et ses invités ont souri, avec approbation, semblant dire que c’était juste même si les mots employés étaient peut-être un peu forts. Qu’est-ce que j’en pense ?
   Je classe ça en rejet haineux de l’autre, haine de la différence d’opinion, volonté d’interdire la liberté de croire ou ne pas croire. Ce n’est pas exactement du racisme dans la mesure où ce n’est pas un rejet à la naissance mais c’est une forme voisine de rejet groupiste, que je trouve atroce. Cette dame veut que les gens qui ne partagent pas sa croyance aveugle (dans l’innocuité de ce vaccin, dans la parole des prétendus scientifiques et prétendus médecins) soient punis, exclus, rejetés voire tués sans assistance. C’est de la haine brutale envers des innocents, simplement différents en osant ne pas croire les mêmes choses qu’elle a gobées sans intelligence critique, elle. Demeurée. Et pourtant non-« condamnée à obéir » par les opposants à cette vaccination, eux ne demandant qu’exemption d’obligation pour eux-mêmes en laissant autrui faire à sa guise, selon ses opinions personnelles. Il me parait clair que dans cette affaire, les refuseurs de ce vaccin sont les gentils et les colériques tyrans en face sont les méchants. C’est comme une guerre civile de religion, avec les vaccineurs comme oppresseurs de l’hérésie et les refuseurs de ce vaccin comme esprits libres demandant tolérance.
   En pratique, cela bouleverse notre futur : si les vaccinés imposent aux non-vaccinés de rester chez eux, mon épouse doit-elle cesser le travail et ne plu’ être payée ? (elle est femme de ménage non mensualisée, payée à l’heure faite). Et puis nous devions aller aider mes parents âgés malades (de diverses maladies, mais vaccinés anti-covid19), en l’absence de mes frère et sœur partis en vacances, faut-il annuler ce déplacement car ils nous chasseront comme maudits non-vaccinés ? Faut-il les laisser dans les difficultés matérielles et la solitude ? Pourquoi ? Nous ne sommes pas dangereux malades, pas contaminés, simplement nous ne sommes pas volontaires pour un vaccin peut-être tueur, personne n’en sait rien à ce stade.
   Vu de plus loin, je suis horrifié que le président Macron (et son valet Attal) ait voulu générer cette cassure dans la population, culpabilisant les incrédules comme « à haïr » par les crédules moutons, félicités. Ce type est un monstre fabricant de haine, de même que ses complices innombrables. Qu’ils soient très majoritaires me rend très triste, cassant l’utopie démocratique (d’un bien majoritaire) et l’espoir que l’être humain soit naturellement bon de cœur.
P.S. (28/07/2021) Plus tard, j’ai revu cette vidéo qui était dite de la youtubeuse « politic girl » et dont l’insulte finale en Français n’était pas « je vous merde ! » mais « mangez merde ! » (insulte apparemment classique sur le web : ma désapprobation d’une célébration d’avion Skyraider ayant brûlé vif une petite fille au Viet-Nam a été sanctionnée par un militariste en colère faisant taire mon argumentation par ce même « eat shit ! »).

* Ajout 188, 23/07/2021 bis (14h) : Discussion du « bon » côté
   Je transmettais mon soutien à une amie bousculée par sa famille voulant imposer vaccination covid19, et elle m’a répondu des éléments faisant très utilement réfléchir, sans que j’aie les idées claires a priori sur ces sujets :
1/ Elle juge que le débat actuel n’est pas sur la vaccination mais sur le pass sanitaire (choquant même beaucoup de vaccinés).
2/ Elle pense qu’il faut agir par manifestations et boycott de ces lois tyranniques.
3/ Elle estime que ce n’est pas facile du tout mais « quand on est convaincu d’être dans le vrai »…
  Mes réflexions :
1/ Je ne suis pas convaincu que le débat porte sur le pass sanitaire davantage que sur la vaccination : le scandale me semble concerner (mondialement) le mensonge certifiant après 1 an qu’il n’y a pas de risque à 5 ans sur ce vaccin sorti en toute urgence sans respecter les procédures officiellement obligatoires, et sans argument pour cette exemption (autre que la fortune colossale du nouveau milliardaire menteur que je connaissais). Cela dit, ce gouvernement français, ne voulant pas trop se contredire après avoir promis que le vaccin anti-covid19 ne serait pas obligatoire, a décidé (de manière autoritariste, diktats) d’emmerder les non-vaccinés terriblement pour les pousser à la vaccination. C’est très moche, politiquement abject, mais ça ne me parait pas essentiel : bien sûr que la politique est mensongère (machiavélique depuis Machiavel et déjà affreuse avant), bien sûr que l’autoritarisme de république anti-peuple est affreux, mais ce n’est pas une grande surprise, pas un scandale de principe jamais vu.
2/ Personnellement, je ne suis pas dans une logique d’action pour imposer mes vues. Je me contente d’analyser la pourriture totale du système pseudo-scientifique qui se déjuge par ses mensonges outranciers. C’est cela qui m’intéresse, pas la liberté d’aller au restaurant ou quelque chose de ce genre (pas besoin, me concernant). Quant au boycott des lois, je ne vois pas comment il est possible face à police armée et violente, éborgneuse de manifestants, la « justice » (fausse justice) aux ordres des dominants matraquant d’amendes à payer sous peine de prison. Personnellement, je « laisse courir » : je ne suis pas un activiste approuvant la violence de l’affrontement, je me contente de regarder et soupirer, même si c’est une forme de soumission et non de combat (vainqueur ou vaincu). D’autres tempéraments sont différents, chacun son truc. Ce n’est pas que c’est « sans enjeu », il est possible qu’un génocide soit en cours d’accomplissement (si ce vaccin s’avère tueur à 5 ans), c’est que je suis défaitiste, avec passé suicidaire et cancer métastasé en cours n’annonçant guère de futur, et je n’ai pas envie de me battre.
3/ Concernant ce vaccin et ce virus, ce n’est pas que je suis « convaincu d’avoir raison », c’est que j’ose douter et je trouve immensément abusives les certitudes clamées par les autorités (et les journalistes, les « experts » prétendus scientifiques ou médicaux). Je ne suis pas un opposant disant tout le contraire (comme un athée face à un croyant), simplement je pense avoir la sagesse de douter lucidement (façon agnostique ou sceptique). Il n’est pas prouvé que ce vaccin est dangereux, simplement il est possible qu’il le soit, sans que ce soit sûr, mais c’est déjà grave de l’imposer de force dans ces conditions.

* Ajout 189, 24/07/2021 (6h) : Pensées nocturnes
• Hier en débat télévisé (sur chaine C-News ou LCI), un représentant du Front National a posé une question comme (approximativement) : « Si les labos étaient très sûrs de l’innocuité de leur vaccin, pourquoi ont-ils exigé une décharge de responsabilité concernant les éventuels effets secondaires graves ? Et pourquoi, si les états étaient sûrs de cette innocuité feraient-ils signer à chaque vacciné une décharge pour que l’état ne soit pas poursuivi en cas d’effets secondaires graves ? ». La socialiste présente, alliée aux macroniens et intervenant LR, a balayé cela, avec des mots comme : « non c’est très normal : à l’hôpital, dès que vous allez subir une anesthésie générale, on exige de vous pareille décharge, sans laquelle ça ne pourrait pas fonctionner. » Je ne trouve pas que ça réponde à la question.
   D’ailleurs, que dirait cette décharge ?
A/ Si c’est « je déclare vouloir cette vaccination de mon plein gré sans y être aucunement contraint par autrui », ce serait mensonger, puisque l’Etat fait le forcing en menaces, empêchements, punitions, afin de contraindre à la vaccination, sauf hyper-résistance presque fanatique.
B/ Si c’est « j’ai bien été informé des risques liés à cette vaccination et je les accepte », ce serait faux : pas un médecin traitant (ou pharmacien/infirmier piqueur) n’avoue : « ce vaccin va peut-être vous tuer dans cinq ans, personne n’en sait rien ». Au contraire, le mensonge entendu partout est « la Science a prouvé qu’il n’y avait aucun risque pour vous, tout au plus une minuscule probabilité de petite gêne bénigne. » Or c’est faux, totalement : la science expérimentale se fonde sur l’expérience par principe fondamental, et là où l’expérience n’est pas encore effectuée, la science ne peut absolument rien affirmer, certifier. Ce n’est pas une « connaissance scientifique » si quelques modélisateurs proposent un schéma prédictif hypothétique, qui a valeur douteuse en attendant confirmation par les faits. Une hypothèse n’est pas un fait établi, et mérite doute normal plutôt que confiance aveugle, réclamer cette confiance relève de la tromperie en bande organisée, escroquerie (et meurtre si le vaccin s’avérera tueur).
  Je regarde sur Internet ce que je trouve au sujet de cette décharge, son intitulé exact. D’après https://www.20minutes.fr/sante/3075391-20210702-coronavirus-non-devez-signer-decharge-responsabilite-avant-faire-vacciner cette requête de décharge de l’état pour que le vacciné assume tout serait une fake news, je ne sais pas, je n’ai pas été vacciné anti-covid19, mais on me faisait signer un tel papier à la médecine du travail quand j’étais piqué en 2000-2018 pour le vaccin anti-typhoïde, je suis donc extrêmement suspicieux devant cette affirmation de fake news prétendue, je suspens mon jugement. Je pense quand même que sur le plateau-télé avec 5 personnes, il y avait au moins 1 personne vaccinée (et même vraisemblablement 5), or si ces vaccinés n’avaient pas signé pareil papier, ils l’auraient su, de l’intérieur. J’ai donc l’impression que la dénonciation de fake news est une contre fake news de propagande. Mais ce n’est pas certain, oui. Par ailleurs, https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/astrazeneca-bientot-une-decharge-a-signer-pour-se-faire-vacciner-a-tout-age-2112538 dément cette dénonciation de fake news, en disant que la décharge de responsabilité est en service en Allemagne, et que le ministre de la santé français a approuvé cette décharge, qui n’est pas un sujet affirme-t-il puisque le vaccin est sûr. Hum-hum, cela reste très suspect me semble-t-il…
• Par ailleurs dans ce débat hier, un opposant au gouvernement (peut-être le même représentant RN) s’est moqué de la parole publique ayant perdu toute crédibilité auprès des Français ; il rappelait que le jeune ministre de la santé a reçu une première dose de vaccin AstraZeneca quand il était réservé aux jeunes, puis quand il a été interdit aux jeunes il a dû recevoir une seconde dose autre : Pfizer peut-être. Personnellement, ce ne sont pas ces contradictions péremptoires qui me gênent mais : on nous affirme que l’efficacité est prouvée 90% pour Pfizer puis Pfizer, 80% pour Astra puis Astra, mais… quel est le taux pour Astra puis Pfizer ? Je suis presque certain que la réponse est « ça n’a pas été étudié ». Mais alors pourquoi l’affirmer efficace en ouvrant droit au très officiel pass sanitaire (de protégé) ? J’ai l’impression que le décideur politique clame « je veux qu’il en soit ainsi ! » et de faux scientifiques achetés approuvent officiellement : « c’est vrai, puisqu’il n’y a pas de preuve que c’est faux ». Mais… interdits de plateau-télé, de vrais scientifiques (comme moi) n’en objectent pas moins : « ce n’est pas vrai, il n’y a aucune preuve que c’est vrai ». La fausse science, alliée au mensonge politique, ça « marche », en tromperie.
• Sur le même thème : quand le politicien entend « ce n’est pas prouvé très mauvais », ce fier littéraire s’enthousiasme « donc c’est prouvé bon ! ». Mais c’est faux, en logique cela relève de l’infantilisme à 4 ans d’âge mental. La vraie conclusion logique est « rien n’a été prouvé, c’est peut-être un peu mauvais, voire très mauvais sans qu’on l’ait totalement prouvé sur ce trop petit échantillon (ou échantillon hélas atypique, par malchance) ». Bien sûr, cette science contestataire (honnête) n’est pas celle arrosée de milliards de budgets, elle est donc rejetée comme aberration « complotisme » ou « populisme » ou « fascisme » ou « islamo-gauchisme terroriste ». Les menteurs (ou idiots sincères) dominent, écrasent, et sont très fiers d’eux-mêmes.
• Autre point : ayant travaillé 9 ans en laboratoire Contrôle Qualité bioindustriel, je suis incité à demander : « vous avez chiffré l’efficacité de ce vaccin à 90% sur un ancien lot à l’époque, mais qu’est-ce qui prouve que la performance est la même pour un nouveau lot de production ? ». D’après mon expérience (vécue comme coupable complice), la réponse est : « rien, rien ne la justifie, c’est une convention routinière usuelle mais erronée en logique ». Les performances complètes ne sont nullement évaluées sur chaque nouveau lot, ce serait immensément trop couteux pour l’industriel (donc cher pour le client payeur, préférant la concurrence). L’industriel se contente de vérifier, avec un petit contrôle pas cher, que le nouveau lot n’a pas de grande différence avec l’ancien, de référence (ou les 3 premiers lots ayant formé référence). Avec marquage officiel « certifié bon ». L’abus de confiance est la grande routine. Au nom de la Science, à tort (en payant des diplômés scientifiques oubliant de réfléchir, ce qui est très courant puisqu’il s’agit de diplômes de récitation stupide et jonglage sans intelligence critique).
• Dernier point, je voudrais contester une idiotie émanant de ministres et journalistes : non, une « publication scientifique » ne vaut en rien « connaissance scientifique ». Il s’agit d’une présentation de constat (à confirmer ou infirmer), proposition d’interprétation (à débattre ou adopter ou rejeter). Dans mon travail, j’ai été signataire de plusieurs publications scientifiques, et la plupart du temps j’étais en désaccord avec ce qui y était écrit, oubliant de douter et de pointer les biais possibles, les décisions arbitraires. De l’intérieur, « scientifiquement » (au sens propre) c’était très discutable et difficile, mais des lecteurs gobeurs prenant ça pour vérité révélée n’y comprenaient rien, qu’ils invoquent pareille publication comme vérité indéniable est simplement stupide. Par ailleurs, toutes les publications que j’ai proposées corrigeant des fautes (dans les théorèmes, les tables, les procédures, les outils de mesure) ont été systématiquement refusées par la hiérarchie, enterrant ces sujets gênants : il ne faut dire que ce qui ne fâche pas. La Science est comme morte… Ça permet certes, au nom de la Science (trahie) de taper sur les petites gens, méprisés… Quelle horreur, mais c’est le tableau là autour. Si mon médecin traitant me téléphone pour me dire « vous êtes personne à risque, faites-vous vacciner tout de suite, la Science garantit que ça ne craint rien », je dirais (ou penserais sans le dire en guerre ouverte) : vous êtes réciteur incompétent en science, d’accord, vous faites votre métier, simplement j’ai prouvé que c’est faux, abusif menteur. On ne sait pas après 1 an ce qui se passe après 5 ans, non (pour un nouveau produit sur lequel on n’a pas encore cette expérience à 5 ans). » Je serai peut-être piqué de force, mais ils ont tort, totalement.

* Ajout 190, 24/07/2021 bis (17h) : Très fière célébrité littéraire
   J’ai lu une nouvelle MSN/LeFigaro ce jour : « ʺIl n'y a pas d'atteinte à la libertéʺ : Frédéric Mitterrand épingle les opposants au vaccin et au passe sanitaire » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/culture/il-n-y-a-pas-d-atteinte-%C3%A0-la-libert%C3%A9-fr%C3%A9d%C3%A9ric-mitterrand-%C3%A9pingle-les-opposants-au-vaccin-et-au-passe-sanitaire/ar-AAMtWpO?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je lis et commente :
• « Il n'y a pas d'autre solution... J'aimerais que les gens qui sont contre les vaccins et contre toutes ces mesures aient eu la chance ou le malheur de traverser l'expérience que j'ai eu moi (…) Il n'y a plus de poliomyélite, plus d'épidémie de rougeole parce qu'on se fait vacciner, c'est complètement passé dans les mœurs. À partir d'un certain moment, il faut prendre des mesures qui ne sont pas du tout des atteintes à la liberté mais des manières de protéger des libertés. La maladie, n'est pas une liberté, c'est une atteinte à la liberté ».
--> C’est faux : l’autre solution était de procéder normalement, obéissant aux injonctions procédurales imposées à l’industrie pharmaceutique depuis des scandales atroces des décennies en arrière : cette industrie doit prouver la non-toxicité non-létalité de son remède avant de le prescrire. Il fallait s’abstenir pendant 5 ans de le prescrire, jusqu’à documenter l’innocuité à long terme. Quant au bla-bla sur la liberté, il me fait penser à un stalinien approuvant les goulags qui protègent la liberté d’être bien communiste, en combattant le danger frappant cette liberté-là, c’est du verbiage.
• « L'obligation de présenter un passe sanitaire dans les théâtres et les cinémas est évidemment un sujet sensible pour l'ancien ministre de la Culture (…) Les nouvelles réglementations souhaitées par le gouvernement de Jean Castex (…) lui semblent indispensables. La maladie, qui l'a touché en début d'année, lui a fait toucher du doigt la dangerosité du coronavirus et la nécessité à s'en préserver par tous les moyens ».
--> Quelle preuve a-t-il reçu que sa maladie était due au coronavirus ? On lui a dit ? Grandiose. Et quand Mahomet dit qu’il ne faut pas manger de porc, on le croit automatiquement ? C’est du même niveau de bêtise crédule. La procédure covid consiste à déclarer « victime du covid » quiconque connait des troubles tout en ayant un test positif au covid, même si cela n’a rien à voir. Avec deux sous de sens logique, l’abus invalide se comprend, mais ça semble trop demander à cet « illustre personnage ».
• « Frédéric Mitterrand est plus que jamais en empathie avec ceux qui craignent la propagation du virus et de son nouveau variant delta. Il l'a réaffirmé : "Je peux vous dire qu'on a une autre manière d'envisager les choses. Et je pense à tous les gens qui ont des proches qui sont malades, qui sont inquiets et bien ceux-là, je peux vous dire, ils ne critiquent pas les mesures prises par le gouvernement." »
--> Et il n’a aucune empathie avec les gens qu’on oblige à se faire vacciner par un vaccin peut-être tueur ? (on le saura dans 5 ans). C’est de l’empathie hyper-sélective, adorant qui lui ressemble et méprisant qui ne lui ressemble pas, sale bonhomme moralement pourri, narcissique anti-altruiste. Et s’il avait eu un AVC et failli en mourir, aurait-il clamé qu’il faut immédiatement administrer à toute la population mondiale, de force, tel médicament anti-AVC, que vient de découvrir l’industrie pharmaceutique, et dont on ignore tout de la toxicité/létalité à échéance de 2 ans ? Apparemment, l’émotion et le nombrilisme dramatisant empêchent de réfléchir. C’est presque une caricature de la bêtise pro-vax pro-pass anti-liberté de refuser produit peut-être tueur.
  Et si ce type était presque mort du cancer du fumeur (qui tue parait-il 70.000 Français par an, davantage que covid19 surestimé à 110.000 en 2 ans), aurait-il hurlé que tout humain sur la Terre doit être soumis à ses désidérata à lui contre ce cancer ? C’est une forme d’égoïsme forcené, ici relayé car il se trouve aller dans le sens obsessionnel anti-covid19 des autorités.

* Ajout 191, 24/07/2021 ter (20h) : Voter bien ?
   J’avais été informé par mail mais je croyais avoir mal compris, la télévision vient de le confirmer aujourd’hui : le pass sanitaire sera requis pour aller dans les bureaux de vote. Alors… les « gentils » vaccinés voteront et les « méchants » non-vaccinés seront interdits de voter (et ça tombe bien ; ils étaient très suspects de mal voter, ceux-là, monstres sous-humains…). Qu’est-ce que j’en pense ?
  La France de Macron 2021 se confirme une fausse démocratie dictatoriale, façon république « démocratique » allemande : le peuple des communistes règne, et bien sûr les non-communistes sont écrasés punis, il suffit de clamer que c’est démocratique (dominé par le peuple – le peuple digne de ce nom, responsable, bien)…
   Vérifier sur Internet ne semble pas probant : il est dit qu’à l’Assemblée Nationale un amendement interdisant l’exigence de pass sanitaire dans les bureaux de vote a été rejeté par la majorité au pouvoir, mais… que c’est une fake news ridicule d’en conclure que le pass sanitaire sera exigé dans les bureaux de vote. Incompréhensible.
  Autre sujet voisin : j’ai entendu une macronienne expliquer à la télévision que le pass sanitaire n’était nullement répressif, car son but est simplement de pousser à la vaccination pas de punir, et donc sera lancée d’abord une grande campagne de « pédagogie » pour expliquer aux gens qu’ils ont tout intérêt à se faire vacciner et ainsi obtenir tranquillement le pass sanitaire… Sauf que je fais le parallèle avec le stalinisme dictatorial, pleinement : l’enfermement au goulag n’avait aucun but répressif, il s’agissait simplement d’expliquer à la population, pédagogiquement, qu’en étant bien communiste elle éviterait le goulag, automatiquement ! « Pédagogie », ils appellent ça ! (Les « sachants » expliquent aux « stupides » à quel commandement obéir sous peine de punition sévère)…
  J’ai aussi entendu aux informations que 161.000 personnes ont manifesté ce jour contre le pass sanitaire, davantage que la dernière fois, avant que la police ne charge ces manifestants car certains attaquaient la police (il y a eu 9 interpellations je crois). Les macronistes clament que « le fait qu’il y ait des manifestations en France PROUVE que ce n’est pas ici une dictature ». Mais c’est faux : en Chine (Tien An Men), à Hong Kong, en Iran, il y a parfois des manifestations protestant contre régimes dictatoriaux, simplement elles ne sont pas acceptées avec le sourire mais réprimées, avec arrestations. Comme ici sous régime macronien, exactement.

* Ajout 192, 25/07/2021 (7h) : Détail de cuisine
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/Gala : « Philippe Etchebest accuse le coup : son restaurant ferme à cause de la Covid-19 » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/philippe-etchebest-accuse-le-coup-son-restaurant-ferme-%C3%A0-cause-de-la-covid-19/ar-AAMw1lG?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Plusieurs cas de suspicions à la Covid-19 ont été déclarés au sein du personnel. (…) Fort heureusement, il ne s’agit pas d’une fermeture définitive, mais simplement d’un "principe de précaution" pour éviter toute contamination à la Covid-19. »
--> Si le principe de précaution était honnête (ce qu’il n’est pas), on ne l’invoquerait pas seulement contre la contamination covid19 mais contre la dangerosité potentielle du vaccin à long terme.
• « Une mauvaise nouvelle pour Philippe Etchebest qui a récemment critiqué la mise en place trop "rapide" du pass sanitaire (…) "Ça va très vite et nous n'avons pas été concertés en amont". (…) Philippe Etchebest est connu pour ne pas mâcher ses mots. (…) »
--> Je n’ai pas l’impression que ce cuisinier célèbre dise des mots dérangeants, du tout. Il ne pointe en rien les mensonges du gouvernement pouvant tuer les gens. Comme beaucoup de naïfs, il gobe la propagande (prétendue scientifique) affirmant prouvée la non-dangerosité, sans comprendre qu’on ne peut pas savoir après 1 an ce qui se passe après 5 ans, pour un nouveau remède (c’est le principe de la science expérimentale, de la pharmacologie validatrice, mais c’est peu connu, certes). Les journalistes, plutôt que les propos pertinents, préfèrent les propos incompétents de célébrités, c’est triste.
• « Il avait notamment confié ne pas avoir souhaité se vacciner pendant plusieurs semaines. D’abord "sceptique", le chef étoilé avait finalement craqué "par la force des choses", pour sa sécurité et celle des autres. »
--> C’est oublier gravement qu’il y a danger pour sa sécurité à se faire vacciner par un vaccin peut-être tueur, on le saura dans plusieurs années. Invoquer sa sécurité vis-à-vis des maladies ne devrait logiquement pas annihiler tout souci vis-à-vis de la toxicité des remèdes, qu’il faut normalement prendre le temps de tester et valider, sans les parachuter en urgence absolue, possiblement tueuse. L’attitude sceptique est sage, et craquer sous la pression c’est perdre cette sagesse par facilité pour échapper aux méchants donneurs de leçons erronées. L’expression « par la force des choses » me parait par ailleurs suspecte, elle peut avoir deux sens au moins : 1/ l’évidence des faits a eu une grande force de persuasion ; 2/ les menaces gouvernementales étant imposées, obéir semblait le plus simple. Les journalistes et gouvernants peuvent applaudir en entendant le sens 1, alors que le sens 2 contestataire défaitiste (un peu à ma façon) aurait mérité d’être exprimé en clair.

* Ajout 193, 25/07/2021 bis (8h) : Ironie erronée
  Je lis aussi une nouvelle MSN/ : « Le sénateur Claude Malhuret n'a pas manqué d'ironie contre les anti-vaccins » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/le-s%C3%A9nateur-claude-malhuret-n-a-pas-manqu%C3%A9-d-ironie-contre-les-anti-vaccins/ar-AAMvDla?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « POLITIQUE - La preuve par l’absurde. (…) le sénateur Claude Malhuret s’est lancé dans une longue tirade ironique sur ces détracteurs (…) président du groupe Les Indépendants - République et Territoires a choisi de répondre à ses détracteurs différemment. À grands coups de comparaisons et de références absurdes (…) j’ai soudain compris que nous vivions sous le joug d’une dictature et que sans une poignée d’héroïques résistants, nous ne nous en serions pas aperçus. (…) Après que pendant des années, onze vaccins nous aient été injectés à l’insu de notre plein gré, au douzième, bingo, nos yeux se sont décillés grâce à ces combattants de la liberté qui ont eu le courage de nommer l’infamie du pass sanitaire”, a déclamé le sénateur »
--> Les onze anciens vaccins n’étaient en rien imposés avant de s’assurer de leur non-létalité ! C’est une immense stupidité de faire l’amalgame, un mensonge outrancier (mais certes entendu mille fois sur les plateaux-télé).
• « Il a notamment souligné — en le déplorant — le rôle prépondérant des réseaux sociaux dans l’émergence des polémiques et la diffusion de fausses informations : “En définitive, la meilleure preuve des progrès de l’humanité, c’est qu’en 2500 ans nous sommes passés de Socrate sur l’agora à Francis Lalanne sur Facebook” a taclé Claude Malhuret. “Quel dommage que les réseaux sociaux n’aient pas existé plus tôt pour défendre, contre les dictateurs de la piqûre, la liberté de mourir en harmonie avec la nature et ses dons, parmi lesquels nos compagnons de toujours la variole, la poliomyélite, la peste et le choléra.” »
--> Super fier de sa culture classique, le dispensant apparemment de réfléchir, ce tribun méprise les arguments adverses, traités de fake news sans l’ombre d’une preuve. En quoi est-ce une fake news d’affirmer qu’après 1 an d’emploi, on ne sait pas ce qui se passe après 5 ans d’emploi ? (et qu’il aurait fallu, comme c’était obligatoire, tester pendant 5 ans avant de dire d’accord). Qu’il cite un antique philosophe grec me semble exprimer la revanche des littéraires sur les matheux : de prétentieux verbeux à tête vide (sauf de citations célèbres) veulent dominer les gens ayant le sens logique sans être notables autorisés à parler… Ce type est atroce de fausse supériorité. A mon avis, toutes les familles victimes de la thalidomide devraient porter plainte contre lui (et Macron, Castex, Véran, etc.) pour crime d’imposer un traitement à toxicité pas encore étudiée.
• « “Je voudrais implorer qu’on veuille bien nous épargner cette mauvaise querelle sur les libertés. Ce n’est pas le gouvernement, le pouvoir médical ou les partisans de la vaccination obligatoire qui les restreignent, c’est la pandémie. (…) Les mesures annoncées sont les conditions de son rétablissement”, a ensuite déclaré le sénateur, cette fois “très sérieusement”. “La très grande majorité des Français réalise que c’est en bornant quelques libertés aujourd’hui qu’on a une chance d’en sauver de bien plus précieuses en septembre”, a-t-il souligné »
--> Faux : la liberté de refuser un vaccin peut-être tueur à long terme, parachuté avant fin des études de toxicité, c’est immensément plus majeur que les restrictions de cinéma ou fête. Mais certes, puisque le propos rassuriste a été gobé, sans microgramme d’intelligence critique, cette objection n’est même pas envisagée. Que ces gens aient tous les micros est une honte absolue.
• « agitant le spectre d’un nouveau reconfinement à la rentrée face à des taux d’incidence qui ne cessent de grimper sur tout le territoire. »
--> C’est encore le niveau zéro de la pensée : le confinement a été imposé mais sans démontrer sa légitimité (en Suède, il n’y a pas eu de confinement, et bien moins de « morts covid19 » que chez nous), et le reproduire « par habitude » est simplement insensé quand n’ont pas été discutées ses justifications. Qu’il y ait beaucoup de contaminations n’a aucune importance si cela n’entraine pas plein de maladies et décès, se focaliser sur les contaminations est erroné, via éventuellement la faute inductive d’inférer « tant de contaminations impliquera tant d’hospitalisations et tant de décès, comme la fois d’avant ». La généralisation abusive est une faute logique, même si plein de faux scientifiques adorent la pratiquer, imbécilement, confondant hypothèse incertaine et certitude affirmable.
• « “La vaccination pour tous c’est la liberté pour tous. Les droits de chacun doivent être respectés. Les contraintes excessives évitées. Mais à condition de ne pas mettre en danger la santé d’autrui et de ne pas oublier que le corollaire de la liberté, c’est la responsabilité” »
--> C’est totalement oublier/mépriser/nier la liberté de refuser un vaccin peut-être tueur ! Cette liberté-là n’est aucunement respectée, elle est même criminalisée comme mettant en danger autrui, c’est immensément excessif et odieux de mauvaise foi (ou d’imbécilité profonde, certes, pauvre type). Et si dans 5 ans, il y a en France 40 millions de morts, les vaccinés, ces politiciens chérissant la responsabilité nous sortiront la formule habituelle : « responsable mais pas coupable » (je prends le fric mais je refuse les poursuites).

* Ajout 194, 25/07/2021 ter (9h) : Une mauvaise analyse psy
   Je lis enfin une nouvelle MSN/Europe1 : « Manifestations contre le pass sanitaire : "On a pris les Français pour des enfants" » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/bien-etre/manifestations-contre-le-pass-sanitaire-on-a-pris-les-fran%C3%A7ais-pour-des-enfants/ar-AAMwbo0?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Pour Serge Hefez, psychiatre et psychanalyste (…) une fracture sociale pourrait bien être en train de se créer. Pour le spécialiste, le risque est en effet d'aller vers une division entre les Français. (…) les oppositions se font désormais sentir autour du pass sanitaire. "Il y a des gens pour, des gens contre. Et ça crée effectivement une opposition extrêmement sensible parce qu'ils ne se comprennent pas. On sait que les vaccins ont sauvé de tout un tas de maladies contagieuses dans notre histoire, que l'on est le pays de Pasteur. Donc on comprend pas l'opposition et beaucoup d'hostilité naît dans cette période" ».
--> Ce spécialiste prétendument médecin est un incompétent grave. Il ne « comprend pas » la différence entre des vaccins archi-validés comme non-dangereux et un vaccin parachuté comme obligé avant d’effectuer ses études de toxicité ! Ce n’est pas un « spécialiste », c’est un âne (ou un menteur, certes, avec complicité des journalistes ne relevant en rien l’aberration).
• « Selon lui, des maladresses de l'exécutif sur la maladie ont contribué à alimenter les doutes de la population par rapport à la vaccination. "La première, ça a été de prendre les Français pour des enfants en s'adressant à eux comme un instituteur s'adresse à sa classe et en ne les prenant pas comme des partenaires dans ces décisions. La question du vaccin ou du pass sanitaire nous concerne tous dans notre vie quotidienne, dans nos convictions, a poursuivi le spécialiste. Et il y a un manque d'adhésion de beaucoup de gens parce qu'ils ont le sentiment que ça leur est imposé d'en haut, sans qu'on leur explique très clairement les enjeux". Une stratégie du gouvernement qui a eu pour conséquence de provoquer l'effet contraire à celui escompté. "Les Français se rebellent comme des enfants et en viennent à tout refuser, tout repousser sans pouvoir faire la part des choses entre ce qui pourrait être positif ou négatif. Et avec les enfants, on sait très bien que les faire participer à une décision est toujours plus payant que de leur imposer quelque chose". »
--> Erreur totale encore : les Français se rebellent comme des adultes insoumis aux caprices d’un sale gosse dictatorial voulant leur imposer ses désidératas sous la menace. Ils ont mille arguments immensément sérieux et en face il n’y a que mensonges débiles ou infantiles. Ce psychiatre à propos affirmatifs idiots ne rehausse pas dans mon estime la psychiatrie, oh non. Par ailleurs, c'est le principe de la république que les élus se comportent en dictateurs pendant leur mandat, sans chercher à faire participer les électeurs (sauf en Suisse grâce au référendum d'initiative populaire, ici interdit, en mentant sur le caractère démocratique de ce régime, en fait dictature à périodes de 5 ans). Le problème n'est pas psy mais politique, mensonger, caché.

* Ajout 195, 25/07/2021 [4] (13h) : Mauvaise interprétation de mauvaise personne
  Mot du président Emmanuel Macron ce jour en Polynésie (sur chaine télé LCI) : « il n’y a pas grande efficacité à manifester contre le virus ».
--> A mon avis : ce n’est pas du tout contre le virus que manifestent les gens mais, très précisément (et clamé en clair), contre les exécrables mesures prises par le gouvernement Macron au nom du virus (alors qu’il était très possible de faire autrement). Est-ce que le président joue l’idiot ? Dans quel but ? Apparemment, puisqu’il est si fier de lui-même, il se met là au niveau débile des gens selon lui, inaptes à réfléchir et avoir deux sous de jugeote. C’est là insulter les électeurs et je lui souhaite 0% des voix la prochaine fois. Ce sale type mériterait même destitution, si la constitution était moins pourrie, spécialement écrite pour le protéger, lui et ses complices, contre le peuple (avec mensonge prétendant que c’est une démocratie).
  Autre nouvelle mensongère ce midi : un médecin chef de service des urgences certifie que les patients qui arrivent en ce moment aux urgences sont tous non-vaccinés (anti-covid19). Cela ne me parait simplement pas possible, même pas plausible : les accidentés de la route, les AVC, les infarctus, touchent certainement autant vaccinés que non-vaccinés, le propos n’avait de sens que via la précision « parmi les patients covid », et qu’est-ce qu’un patient covid à l’hôpital ? c’est un patient souffrant de n’importe quoi et dont le test covid19 est positif (même si sa souffrance n’est en rien de rien causée par le virus de covid). Bref, les accidentés de la route ou AVC ou infarctus sont dirigés en deux comptages distincts selon leur test covid19 (qui parait lié à la vaccination, même si ce virus n’était pas pathogène) : victimes de covid19 s’ils sont positifs, inexistants (passés sous silence) s’ils sont négatifs. C’est une parole d’escroc (ou de menteur à très gros salaire, « volé », immérité), ne démontrant rien, ne faisant que réaffirmer ce qui a été arbitrairement décidé (avec pouvoir de conviction : nul).
  Un médecin généraliste, invité en plateau, a dit qu’avec les anti-vaccins, on ne peut pas discuter : ils ne savent pas pourquoi mais ils sont contre, ils délirent sur « qu’est-ce qui se passe à 15 ans ? » ou des trucs aberrants comme ça. Euh, peut-être qu’il parle de quelques personnes réfractaires handicapées mentales sans argument, mais il y a aussi ou surtout des gens comme moi : scientifiques avec une foule d’arguments contre, auxquels ne répondent que des mensonges grossiers. Pourquoi je suis contre ? Parce que n’ont nullement été menées les études de toxicité à long terme qui étaient systématiquement obligatoires pour tous les remèdes, ce qui laisse un danger grave possible, pouvant aller jusqu’à la mort de tous les vaccinés, génocide phénoménal, ce n’est pas une raison ça ? Quant à l’histoire d’attente des 15 ans, c’est une très mauvaise caricature, malhonnête : avant le vaccin anti-covid19, chaque remède était testé environ 10 ans, et on n’avait pas non plu’ de données à 15 ans (qu’il n’y a donc aucunement à exiger spécialement cette fois), mais la non-toxicité à long terme était documentée, au moins à 5 ans sur humains (et 10 ans sur animaux). Ici, après 1 an, il a été clamé, irrationnellement, hyper-stupidement (mais en se faisant un max de fric) qu’il n’y avait rien à craindre. Ces médecins (peut-être pas tous mais tous ceux passant à la télé) sont des escrocs, trahissant la confiance du public, c’est dramatique, ruinant totalement la relation thérapeutique (il n’y aura plu’ d’effet placébo si on ne croit plu’ en son docteur, etc.).

* Ajout 196, 25/07/2021 [5] (19h) : Discours présidentiel long
   Je lis une nouvelle MSN/OhMyMag : « Emmanuel Macron répond cash aux anti-vaccins » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/emmanuel-macron-r%C3%A9pond-cash-aux-anti-vaccins/ar-AAMxpr2?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « "Tous les soignants que j'ai pu voir depuis le début de mon passage ici ont été clairs : 'nous croyons en la vaccination'. Vous êtes tous engagés dans des métiers de science et de soin, quand la science donne des armes, il faut les utiliser", a-t-il lancé dans un premier temps, rappelant que la vaccination est un "combat essentiel". »
--> C’est aveugle idiot : les chefs serviles ont présenté au président exclusivement ses fans parmi le personnel, ça n’empêche en rien que plein de soignants sont refuseurs au risque de perdre leur emploi (et larmoient à ce sujet quand interviewés par journalistes). Quelle est la preuve de représentativité de l’échantillon qu’a rencontré Macron ? Et ce n’est absolument pas la science qui donne cette arme vaccinale anti-covid19, c’est entièrement faux, incompétent (en philosophie des Sciences, confirmant que Macron a volé son diplôme de philo Bac+5, nullard presque cancre, imbécile). La science cherche à découvrir des lois de la Nature, ça n’a rien à voir avec leur emploi utilitaire qui relève de la technique, et passe par des étapes de validation immensément incertaines, l’expérience tranche, pas les consensus de dominants en congrès avant vérification. Côté science, je n’ai vu nulle part démontré que ce virus sars-Cov-2 est la cause des décès en question, il y a plein de blabla affirmatif mais aucune théorie mise en test et corroborée, me semble-t-il. Et il ne faut pas utiliser les outils techniques avant de s’être assurés de leur innocuité, jamais la science (expérimentale, pas mathématique pure) n’a donné son feu vert pour affirmer sans preuve expérimentale, c’est un contresens total. Que Macron impose cette vaccination avant d’avoir vérifié son innocuité à 5 ans est un combat, certes, une agression atroce contre la santé des gens et contre le bon sens (et contre la science, basée sur le doute et pas sur le dogme). Il n’a rien compris ou ment totalement en nous prenant pour des ahuris sans compétence pouvant le mettre minable. Par ailleurs quand il dit « nous croyons à la vaccination », c’est bien de croyance qu’il est question, avec théoriquement en France (et selon les droits de l’homme) la liberté de « croire ou ne pas croire » sans que ce soit puni, mais… si, avec son pass sanitaire Macron punit, opprime, discrimine, ceux qui ont d’autres croyances que lui, ou pire : qui ont un savoir logique (démentant sa croyance à lui), sacrilège, punition ! Effarant de malhonnêteté intellectuelle et immoralité… Et c’est pour ces « valeurs » que Macron envoie des soldats se faire tuer en attaquant à l’étranger, c’est atroce.
• « (…) un petit tacle glissé aux anti-vaccins. "Si on aime sa propre liberté et qu'on respecte les autres, le seul geste à faire est de se faire vacciner", a-t-il déclaré. Avant d'ajouter : "Aucune liberté n'existe sans devoir. [...] La liberté où je ne dois rien à personne n'existe pas. Que vaut votre liberté si vous me dites que vous ne voulez pas vous faire vacciner ? Si demain vous contaminez votre père, votre mère ou moi-même, je suis victime de votre liberté [...] Ça n'est pas la liberté, ça s'appelle l'irresponsabilité, l'égoïsme". »
--> Ah, on en est aux insultes parachutées sans argument valide ? OK. Macron, tu es un super-irresponsable hyper-égoïste, et j’argumente, moi, au contraire. Pousser autrui à la vaccination peut-être tueuse, c’est la plus atroce geste anti-liberté du monde (ne respectant pas autrui), c’est presque de l’assassinat (incertain, puisque la létalité du vaccin est inconnue). Si tu es pour employer tous les remèdes sans vérifier leur non-toxicité, que te soient dès aujourd’hui administrés tous les médicaments et remèdes découverts depuis deux ans et dont n’a pas encore été établie la non-toxicité (à long terme), vas-y bouffe, avale, sois multi-piqué, puisque tu clames que ça ne risque rien par principe (et que l’historique énorme des abandons pour toxicité avant commercialisation est un tissu de fake news venant des complotistes. Oui, ces complotistes irresponsables qui osaient délirer que le Rainbow Warrior avait été explosé par les services secrets de Mitterrand et que le nuage de Tchernobyl ne s’était pas arrêté à la frontière…) C’est de la propagande pur jus, avec zéro pensée contradictoire, zéro intelligence (ou encore moins : négatif proche de moins l’infini en intelligence analytique). Avoir donné le pouvoir à cet égoïste irresponsable est une calamité, justifiant de mettre à la poubelle cette constitution, pour établir (non la 6e république mais) la 1e démocratie, à la Suisse, virant instantanément les tyrans trahissant leurs électeurs.

* Ajout 197, 25/07/2021 [6] (20h) : Ballade triste
   Je lis par ailleurs une nouvelle MSN/FemmeActuelle : « Alain Souchon à propos de la vaccination contre la Covid-19 : "On vit dans un monde de fous !" » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/alain-souchon-%C3%A0-propos-de-la-vaccination-contre-la-covid-19-on-vit-dans-un-monde-de-fous/ar-AAMxHjc?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Alain Souchon, fervent défenseur de la vaccination, est monté au créneau contre les anti-vaccins (…) "C'est extraordinaire ces gens qui n'y connaissent rien mais sont contre, par principe. On vit dans un monde de fous !" »
--> Il y a aussi des gens qui y connaissent beaucoup et qui sont contre, qui y connaissent beaucoup plus que toi, troubadour donneur de leçons en pharmacologie. Durant mes études, j’ai appris les protocoles d’études animalières pour les tests de toxicité prenant 10 ans, et toi n’y connaissant rien tu balaies ça afin de valider le « pour » immédiat. C’est de l’incompétence caractérisée. Mais je n’emploierais pas le terme de folie, détourné (vers les opposants comme moi) par les dictateurs comme Staline-Brejnev et les dominants occidentaux partisans de la république anti-peuple.
• « Avant de déplorer : "On sait bien pourtant, que c'est la seule façon d'atteindre l'immunité collective et d'éviter de retomber dans les mêmes galères." (…) »
--> Non, ce n’est pas un savoir, c’est une croyance. Et les galères en question sont les décisions très contestables du dictateur au pouvoir prenant prétexte de ce virus pour écrabouiller la population, par jouissance autoritariste ou quoi, ce n’est pas un argument objectif, neutre, que de s’y croire incontestablement soumis.
• « faire un parallèle avec une autre maladie contagieuse, qui sévissait pendant son enfance et a été totalement éradiquée (…) "Vous savez, quand j'étais petit, il y avait la polio qui faisait des ravages chez les enfants. On nous disait de faire attention et de se faire vacciner. C'est un truc normal et ordinaire", s'est-il souvenu. »
--> Non, il est immensément différent de faire vacciner avec un vaccin connu sans danger ou bien avec un nouveau truc à danger totalement inconnu puisqu’on n’a pas attendu les délais normaux. L’amalgame est super idiot, imbécile. J’aimais bien les mélodies de Souchon, mais qu’il prétende me donner des leçons aussi imbécilement, ça gâche tout, il se montre là un sale type.

* Ajout 198, 27/07/2021 (4h) : Faux arguments à nouveau
   A la télévision hier, sur chaine LCI ou C-News, j’ai entendu un médecin argumenter rigoureusement, pour dire invalide l’objection au vaccin anti-covid19 fondée sur le principe “on n’a pas assez de recul”. Il a affirmé que cet argument était faux, que l’information existait mais n’était pas assez connue : il fallait se renseigner et pas refuser. Ou les gens sachants (comme lui) doivent encore et encore faire preuve de pédagogie pour dire ce qui est.
   Comme il me parait totalement impossible que, 1 an après, on sache ce qui ce passe 5 ans après, j’envisage des malentendus, mal pensés :
1/ Les vaccins à ARN messagers n’ont pas été inventés à partir de rien contre covid19 mais étaient déjà en cours de développement contre diverses pathologies depuis 10 ans. On a ces données.
2/ Les vaccins sont connus, documentés, pour ne pas révéler d’effet indésirable plus de deux mois après injection. Cela aussi, on en a la preuve expérimentale, scientifique.
   Pas convaincu du tout, j’objecte :
1/ Tester, en recherche amont, une technologie sur 10 patients ne garantit en rien ce qui peut se passer sur 5 milliards de patients, on peut passer à côté de gros problème, entraperçu mais oublié car jugé « non significatif » statistiquement, car l’échantillon est bien trop petit pour prouver quoi que ce soit. (Mais l’innocuité est encore moins prouvée, d’autant que ce serait une preuve par non-significativité, logiquement invalide, pour « aucune conclusion » en toute rigueur). Il y a aussi le biais lié à « la charge de la preuve » : les partisans du vaccin exigent que soit prouvée la responsabilité du vaccin dans une pathologie éventuellement constatée, or démontrer cette relation de cause à effet est immensément difficile, faisant se perdre dans le « bruit » les signaux d’alerte éventuellement mesurés, puis gommés.
2/ Que ce soit vis-à-vis des autres remèdes de technologie ARN messager ou vis-à-vis des autres vaccins, il est faux, illogique, de raisonner de manière inductive (généralisation abusive), par similarité (qui éviterait l’expérience vraie). Le scandale thalidomide a enterré ces fausses validations bâclées en fait pas du tout démonstratives. C’est une faute de prendre une hypothèse envisageable pour vérité prouvée. Il est effarant que pour covid19 aient été oubliées ces évidences pharmaco de base très élémentaire. Enfin, non : pas « oublié » puisqu’on fait taire les gens comme moi qui le rappellent et l’expliquent, « négationné » serait peut-être un terme plus adéquat.
   Bref, il est entièrement faux (mensonger) que les preuves d’innocuité à 5 ans (des vaccins anti-covid19) existent et sont disponibles, à expliquer avec superbe assurance aux gens non informés. Il ne s’agit en rien de preuves expérimentales mais de données « pouvant inciter à penser que » (inciter les croyants enthousiastes optimistes dénués d’intelligence critique). Le risque n’est en rien prouvé inexistant, il est plutôt un choix secondaire de conclusion, chez certains observateurs subjectivement (et « nécessairement » à prendre en compte s’il y a principe de précaution).
   Autrement dit : ce n’est pas du tout qu’il y a preuve médico-scientifique d’innocuité, c’est que les médecins ne réfléchissent pas de manière contradictoire. Comme m’a dit le prof de maths en fac de médecine : « vous n’êtes pas ici pour réfléchir mais pour réciter ». Sauf que... face à l’inconnu, ce programme est une catastrophe, d’incompétence (se prétendant Elite en compétence, indéniable)…

* Ajout 199, 27/07/2021 bis (17h) : Avis philosophique célèbre
• Le lis ce jour une nouvelle MSN/LeFigaro : « ʺChacun y va avec son petit égoʺ : Michel Onfray charge les anti-vaccins » (https://www.msn.com/fr-fr/video/actualite/chacun-y-va-avec-son-petit-%C3%A9go-michel-onfray-charge-les-anti-vaccins/vi-AAMBhCs?ocid=msedgntp ). Je cite et commente :
– « (…) Nous ne savons plus faire société, nous ne savons plus faire république, nous ne savons plus faire communauté, chacun y va de son petit ego. (…) ʺJ’ai bien le droit, je ne veux pas, ça ne m’intéresse pas, j’attends, je vais voirʺ (…) »
--> C’est le principe communiste ou totalitaire : l’individu doit s’écraser et ce sont les dominants qui imposent à tous ce qui convient, sous peine de punitions. Être philosophe, en théorie, c’est peser le pour et le contre, pas militer pour cette tyrannie broyant les individus, refusant la liberté individuelle, broyant les minorités.
– « Il n’est pas question de dire que le vaccin tue (…) »
--> Mais justement : l’étude de toxicité/léthalité n’a pas été effectuée ! Signaler que c’est un risque, un danger, n’est pas une absurdité tenant de l’idiotie profonde (que mépriserait le philosophe, sage par définition) mais une vraie éventualité, à prendre en compte tant elle est grave. Et inventer cette contrainte spécialement dans ce cas serait étrange mais c’était ce qui était pratiqué en grande routine par l’industrie pharmaceutique, à titre obligatoire officiel (bien qu’onéreux), ici pour une raison totalement inexpliquée (mais avec milliards de dollars dans la poche de l’organisateur SB) cela a été « omis », un vrai philosophe devrait pointer la contradiction effarante, pas du tout s’engager dans un plaidoyer pour cette anomalie en cachant les arguments contre.
– « Quand on leur dit ʺon aimerait bien fabriquer une immunité collectiveʺ, on s’entend dire ʺon s’en fout de la collectivité, de la communauté, on n’en a rien à faire. ʺ »
--> Peut-être que 0,03% des antivax répondent ça, et peut-être que 0,04% des provax clament que si on se fait vacciner hop automatiquement on gagne une rivière de diamants cent mille carats… Ce n’est pas un philosophe qui laisse entendre que cela représente les camps en question, c’est un propagandiste engagé, contre la raison. Si le gouvernement ou autre m’annonce « on aimerait bien fabriquer une immunité collective », moi ce que je dirais c’est : « vérifiez d’abord (comme d'habitude depuis la thalidomide) que votre vaccin est sans danger, pas tueur à échéance de 5 ans sur humains, 10 ans sur animaux ». Ma réponse est en faveur de la santé collective, alors que ce sale type, prétendu philosophe (à tort) est un danger pour les gens. Enfin, c’est trop tard maintenant : avec presque tout le monde vacciné, son camp à lui a gagné, et si le vaccin s’avère tueur, ça fera des milliards de tués… (ce qui certes résoudra le problème de la surpopulation humaine, est-ce le but caché ?). Tant de bêtise cache manifestement un grand mensonge, mais je ne sais pas lequel.
• De manière moins désespérante, je lis une nouvelle MSN/LeFigaro : « Le passe sanitaire pourrait signer la fin de notre conception de la liberté en Occident » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/le-passe-sanitaire-pourrait-signer-la-fin-de-notre-conception-de-la-libert%C3%A9-en-occident/ar-AAMBUos?ocid=msedgntp ). C’est intéressant, mais comme je n’ai rien ou presque à contester là, je ne cite pas avec objections.

* Ajout 200, 28/07/2021 (5h) : Touché personnellement, aïe…
   Dans l’ajout 187, je mentionnais une dame vaccinée (anti-covid) criant tout récemment aux non-vaccinés quelque chose comme « restez chez vous, on ne veut plu’ vous voir, laissez-nous jouir de nos libertés entre nous ! », et… j’envisageais, sans vraiment y croire, que mes parents (âgés, vaccinés) pourraient ainsi refuser de nous revoir (non-vaccinés) en dépit de notre venue chez eux programmée pour le mois d’Août, à leur demande autrefois. Tout a été sévèrement chamboulé hier, je vais l’expliquer pas à pas.
   Cette fin de semaine, je devais me rendre (pour une vingtaine de jours), avec ma femme et mon fils, chez mes parents, pour que nous nous occupions d’eux en l’absence de ma sœur et mon frère habitant eux leur région mais partant en vacances aoutiennes. C’était un geste généreux de notre part, relevant de l’aide à autrui dans la souffrance. Nous avions prévu d’y aller en train ou autocar mais, juste avant que j’achète les billets, le dictateur Macron nous l’a interdit, sans argument, délirant que même avec un masque et sans symptômes de quoi que ce soit, nous étions des contaminateurs horribles criminels (puisque non-vaccinés). Il n’y avait absolument pas le temps de se faire vacciner (X+2+2 semaines) avant la date de départ prévue (et en plus nous ne voulions pas être vaccinés par ce vaccin à létalité inconnue à 5 ans, imposé par des escrocs milliardaires). Donc nous avons organisé un covoiturage automobile (je ne pouvais pas conduire avec ma sciatique ou cancer du sacrum, en cours d’analyse). Mais hier 5 jours avant le départ, la médecin-traitante de mes parents a exprimé ses immenses craintes que nous, non vaccinés, côtoyons ma mère, certes vaccinée mais fragilisée par chimiothérapie. Clairement : si ma mère décède prochainement (même de son cancer mais avec positivité covid asymptomatique), l’autorité médicale déclarera que nous sommes les tueurs, criminels irresponsables ayant imposé notre présence alors que non vaccinés donc dangereux sales pourris à mettre en quarantaine (et égoïstes imbéciles refusant d’accepter de protéger autrui)… Nous avons donc annulé ce voyage, laissant mes parents à leurs problèmes matériels et solitude (et nous ne les reverrons peut-être jamais avant leur décès de vieillesse si le cirque des variants covid dure plusieurs années). Je pense que ce petit drame familial est profondément injuste, et même pas « logique sanitairement », à mon avis cette doctoresse est une salope incompétente attaqueuse d’innocents.
   Pourquoi incompétente ? Parce que la médecine requiert des rudiments d’information pharmacologique, sur les procédures d’établissement de la non-toxicité non-léthalité (10 ans minimum d’expériences obligatoires, dont les 5 dernières sur humains), ce qui a été trahi pour le vaccin anti-covid19 incroyablement et sans aucune justification (pour une maladie tuant bien moins que le tabac vendu par l’Etat, même en surestimant systématiquement les « décès dus à covid » sans preuve aucune de causalité), enfin : aucune justification autre que financière (milliards de bénéfice) pour les chefs de labo producteurs de vaccins. Elle n’a absolument pas perçu le problème, le scandale, c’est une faute professionnelle de par sa compétence prétendue. Par ailleurs, elle trahit son serment d’Hippocrate, d’œuvrer pour le bien des gens [d’après Wikipédia : « (…) Je dirigerai le régime des malades à leur avantage (…) je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion. (…) » ; certes un « poison possible » n’est pas un « poison certain », mais il convient de douter et ne pas l’administrer en prétendant servir le bien des gens, pas avant démonstration que c’est un « non-poison ».]
   Avec la version 2012 ne se référant plu’ vraiment à Hippocrate, c’est un peu pareil : « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé (…) J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. (…) Je ferai tout pour soulager les souffrances. (…) Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. » Simplement trahi..
   Il ne s’agit plu’ là de réflexion générale théorique, sur ce qui se dit en débat télévisé ou sur nouvelle Microsoft, je suis maintenant personnellement touché, criminalisé, à tort, par des criminels officieux (puisqu’écrivant les lois à leur avantage exclusif, les déclarant nobles justiciers œuvrant pour le bien objectif, indiscutable). Ça fait mal, cette malhonnêteté active, dominante, écraseuse, victorieuse, tyrannique oui.
   Note 1 : Je crois que j’ai trouvé une définition claire du principe de précaution tel qu’il est pratiqué en vrai. Ce n’est pas du tout le sens intuitif « s’il y a un risque (même virtuel sans encore de preuve) il faut agir pour éviter ce risque », non. Tout au contraire c’est « au nom du risque, les dominants peuvent agir comme bon leur chante, en opprimant les objections sans besoin d’argument valide ».
   Note 2 : Parmi les médecins et scientifiques tournant en ridicule leur prétendue compétence, je pense qu’une minorité est menteuse pour le fric et les honneurs, une majorité serait simplement stupide irréfléchie (et diplômée à ce titre en récitation servile).
   Note 3 : En ce qui concerne « Macron dictateur » (mot spontané ci-dessus, évidence intuitive), je confirme. Dictateur ne veut pas forcément dire « grand dictateur s’assumant tel », ça signifie aussi le cas « petit dictateur mal déguisé en démocrate ». Et en logique pure : non-« grand-dictateur » n’est pas équivalent à non-« petit-dictateur ».

* Ajout 201, 28/07/2021 bis (6h) : Pari ?
   Hier au téléphone, ma mère a exprimé un argument intéressant, que je n’avais pas envisagé jusqu’à présent je crois : « affirmer après 1 an que le vaccin n’est pas tueur au bout de 5 ans » ne serait pas une faute logique mais un pari, escompté rapporter gros en vies sauvées contre le virus.
   Euh, j’ai répondu (dans le tac au tac verbal) que c’était une faute quand même, mais à la réflexion j’ajoute un point : il est abominable que la personne décidant de faire un pari (OK c’est son choix, concernant elle-même) agisse pour faire punir les gens n’effectuant pas le même pari. Là, ce n’est pas de l’illogisme mais de l’immoralité. Belliciste puisque si le contradicteur fait pareil, c'est la guerre. Ce n’est pas « illogique », c’est la moche « logique égoïste, dictatoriale ».
   Cela redevient de la logique pure quand le parieur clame en même temps « notre valeur la plus précieuse est la liberté d’opinion ». Là, il y a contradiction franche avec la persécution des opinions différentes. Certes, sur ce thème, l’affaire vaccin anti-covid19 n’est pas une nouveauté incroyable, ne faisant que poursuivre la loi Gayssot (criminalisant le doute) et la loi contre le voile féminin (criminalisant les habits pudiques).
   Parallèle religieux : Pari de Pascal + Inquisition numéro X (croire en Dieu ne fait rien perdre et peut apporter beaucoup, « donc » l’athée sera brûlé vif). La partie conséquence intolérante ruine la noblesse éventuelle de la partie pari, puisqu’elle efface le questionnement pur, en effet la principale motivation du choix (faire le pari ou non) devient la terreur face à la punition du non-pari. Ça gâche absolument tout, ça devient de la tyrannie irrationnelle (s’imposant par la force avec zéro argument convainquant un esprit libre – esprit libre interdit, condamné à mort).
   Par ailleurs, un pan médical de pari se juge avec jugement bénéfices/risques, et quand le risque est de perdre la vie 5 ans après (avec probabilité totalement inconnue faute de test), le rapport bénéfice/risque n’est pas grandement positif pour le remède pas encore validé mais X/infini qui vaut zéro, zéro intérêt, oui, en analyse logique, sereine, sans être victimes d’accusations et crachats par les candidats-dominants-écraseurs. Que ces écraseurs prétendent avoir le monopole de la rationalité contre l’irrationnalité est une faute totale, quotidienne hélas ces jours-ci.

* Ajout 202, 28/07/2021 ter (8h) : Retour logique
   Je repense à quelque chose : le médecin qui clamait faux qu’on ne sait pas ce qui se passe 5 ans après injection de vaccin covid19, il n’était pas forcément de mauvaise foi, peut-être simplement illogique, littéraire (blablateux et pas rigoureux). En effet, il y a des extrémistes qui clament « 100,00% des vaccins à ARN tuent à 5 ans, c’est prouvé ! ». Et vis-à-vis de ceux-là, il a effectivement la preuve que c’est faux, sur tel autre vaccin en test par le passé. Mais c’est une erreur totale de croire que cela répond pareillement (en faisant l’amalgame entre les objections) à un logicien comme moi disant « peut-être que ce vaccin-ci, à ARN ou autre, tue à 5 ans ». Là, invoquer un autre vaccin arbitrairement classé comparable, ne prouve rien. Rien de rien. La généralisation abusive est une faute, et s’appuyer sur le fait que les plus mauvais des opposants commettent des fautes aussi (affirmation dite certaine sans preuve, etc.) n’assure pas la victoire, honnêtement.
  Enfin, je crois que, sans stupidité totale, c’est peut-être une recette de mensonge rhétorique : pour vaincre une objection face à laquelle on a zéro argument, on caricature l’objection en l’assimilant à une version ridicule, on vainc cette objection-là facilement puisque ridicule, et on prétend avoir vaincu l’objection principale, ce qui est totalement faux mais peut impressionner les auditeurs inattentifs, ou peu logiques. Mais désolé, je suis vigilant, et moi je dénonce ce piège (s’il est volontaire et qu’il n’y a pas coïncidence avec un avis croyant brut stupide, en blouse blanche oui ce n’est pas incompatible du tout).

* Ajout 203, 28/07/2021 [4] (11h) : « Tous d’accord » côté scientifique ?
• Aujourd’hui en débat télévisé L’heure des Pros, le pro-vax fanatique Laurent Joffrin a déclaré (quelque chose comme) « le vaccin n’est pas dangereux, c’est prouvé puisque tous les scientifiques sont d’accord en ce sens ! Que les gens (ne croyant pas les journalistes relayant l’information) se renseignent ! ».
--> C’est simplement idiot, mensonger. Scientifiquement ou pas, on ne peut pas savoir après 1 an ce qui se passe après 5 ans avec un vaccin inconnu auparavant (ce vaccin précis, même si d’autres un petit peu similaires sont connus – le 17e antibiotique fluoroquinolone, en cours de test, a été refusé/interdit car ayant la spécificité de rendre aveugles plein de patients humains, une similarité chimique ou biologique ne prouve en rien de rien une égalité ou même similarité en toxicité, il faut tester chaque nouvelle formulation, ses spécificités ayant des conséquences inconnues a priori avant examen expérimental). Où est l’erreur ayant généré ce malentendu colossal ressemblant à une lecture inadéquate ?
– Si au sondage « êtes-vous ʺcertainʺ que le vaccin est dangereux ? », 100% des scientifiques répondent Non, ça ne prouve en rien qu’il n’est pas dangereux mais que cette dangerosité n’est pas prouvée à ce stade prématuré (elle aurait pu l’être s’il y avait eu toxicité aiguë à court terme, mais une non-toxicité à court terme n’est pas incompatible avec une forte toxicité à long terme genre 5 ans, le temps qu’un cancer se développe).
– Même si la question de sondage était « pensez-vous ʺvraisemblableʺ que le vaccin est dangereux ? », il n’y aurait pas 100% des scientifiques qui répondraient non, moi et plein d’autres on répondrait « sans opinion » ou « ne sait pas » : puisqu’on ne sait rien à ce stade, il faut attendre la sanction expérimentale, et notre avis pifométrique n’intervient en rien de rien dans la réponse en dangerosité effective.
– Mais plus sérieusement, la vraie question serait : « pensez-vous ʺdémontréʺ que le vaccin est non-dangereux ? », et là, la réponse juste devrait être 0% évidemment, mais des croyants scientistes et illogiques (n’ayant pas compris la faute des pseudo-démonstrations par non-significativité) pourraient faire monter ce taux à 40%, en tout cas le chiffre 100% me parait impossible (même en restreignant aux chefs ambitieux en excluant les lucides humbles).
– Quoi qu’il en soit, un accord entre scientifiques actuels dominants n’est qu’une opinion de scientifiques, opinion peut-être erronée (l’avenir le dira), pas une vérité démontrée, pas du tout. L’idéologie scientiste claironne certes que la Science actuelle détient la Vérité, toute la Vérité, rien que la Vérité, mais cette idéologie s’est ridiculisée comme aucunement crédible à chaque changement de théorie dominante, reconnaissant erroné ce qui avait été affirmé « prouvé indubitable ».
– Sur le principe, pour dire que la non-dangerosité du vaccin Untel est une loi scientifique, il faut que cette loi ait été théorisée, écrite, testée, or le test n’a nullement été effectué à ce stade très prématuré n’ayant pas examiné l’effet à long terme genre 5 ans. Donc, non, ce n’est en rien de rien une loi scientifique (qu’on appelle ça Vérité scientifique comme les scientistes ou bien « théorie acceptée en instance de réfutation possible » avec les logiciens). Avoir entendu « les scientifiques ("sérieux" = aimés des autorités) pensent que… » n’a aucun rapport avec « la communauté scientifique estime prouvé que ».
  Bref, Laurent Joffrin (clairement scientiste) n’a rien compris, et son affirmation est totalement fausse, arguments précis à l’appui (tandis que lui invoque une parachutée « crédibilité scientifique » sans écouter les divers avis ni les philosophes des sciences mettant en question la fiabilité scientifique en matière de Vérité indéniable).
• Dans le débat suivant, il est répété que 5 millions de Français « à risque » (âgés, obèses, hypertendus, etc.) ne sont pas vaccinés et tous les invités présents conviennent qu’il faut les vacciner, impérativement, qu’on soit pour ou contre la vaccination générale ou/et des petits enfants avant 12 ans.
--> Ces beaux-parleurs semblent persuadés que ces 5 millions de gens sont désinformés et sans accès à la vaccination, or non : certains vous écoutent et ont mille arguments contre votre position, arguments logiques et scientifiques que vous n’examinez en rien de rien, rendant votre parole nulle exécrable. Pourquoi chasser des plateaux les gens ayant des choses majeures à dire ? La réponse me parait simple : 100% propagande, pas 99% ni encore moins 50%, horreur – si c’est pour l’honnêteté intellectuelle « non merci : on a déjà donné ! »…

* Ajout 204, 29/07/2021 (5h) : Mister Joe
  Vu hier sur LCI, le président étasunien Joe Biden disait au micro à un interlocuteur (étasunien je crois) : « si vous n’êtes pas vacciné, c’est que vous n’êtes pas aussi intelligent que je le pensais ». Et il est dit que l’état de Floride refuse officiellement cette vaccination, c’est peut-être là qu’a eu lieu cette scène. Qu’est-ce que j’en pense ?
  C’est bien sûr marquant puisque parole du Maître du Monde, mais ça rejoint le présupposé des plateaux télé français : « les provax sont raisonnables intelligents, les antivax sont déraisonnables stupides »… Mais je pense que c’est presque le contraire : enfin, parmi les refuseurs de vaccin anti-covid19 prématuré, dans la foule il y a vraisemblablement quelques personnes stupides comme partout, mais pas seulement : les personnes intelligentes raisonnables forcément comprennent qu’on ne peut pas savoir après 1 an ce qui se passe 5 ans après injection d’un vaccin inconnu, et qu’il fallait donc procéder aux études de toxicité à long terme simplement normales, exigées d’absolument tout nouveau remède de l’industrie pharmaceutique. Il est bien de trouver un remède, bravo, mais il faut s’assurer qu’il n’est pas davantage dangereux que bénéfique avant de l’employer (à grande échelle, hors essais).
  Que le président Biden ait un cerveau déficient n’est certes pas une surprise : durant la campagne électorale 2020 on l’avait vu présenter à la tribune sa petite fille en disant très sérieusement « je vous présente mon fils, il est un bon garçon sérieux » (son fils étant décédé il y a quelques décennies). Ça ne s’appelle peut-être pas exactement maladie d’Alzheimer ni démence précoce, mais ça semble voisin. Et ça dispose du feu nucléaire pouvant exploser la planète… C’est peu grave, en comparaison, cette erreur de jugement sur la vaccination anti-covid…

* Ajout 205, 29/07/2021 bis (6h) : Temps vs Nombre
  Hier à la télévision, sur chaine LCI ou C-News est sorti un nouvel argument très fort, bouleversant la question (d’innocuité du vaccin anti-covid19) : un homme un peu âgé, avocat je crois, affirmait qu’on a un énorme recul sur le vaccin, car même si « côté temps » on ne l’a pas observé très longtemps, c’est intégralement compensé par le fait qu’on observe un nombre colossal de cas : 3 milliards de vaccinés à ce jour ! Un médecin confirmait qu’on compte le produit « patients x temps » comme un tout : 1 patient fois 12 mois + 1 patient fois 6 mois, médicalement, ça fait exactement comme 1 patient fois 18 mois. Et paf ! j’aurais intégralement tort de me fixer obsessionnellement sur le seul paramètre Temps, Durée. Est-ce que cela clôt la question (en me donnant tort, m’éveillant à la lucidité) ?
  Pas du tout, c’est une erreur grossière, d’incompétents complets. Certes, sur le plan comptable, financier, on a bien un produit simple (1 patient fois 18 paiements mensuels = 3 patients fois 6 paiements mensuels), mais c’est immensément différent en biologie. Si le temps de latence (ou d’incubation) est de 40 mois sur 10 patients, il reste 40 mois sur 100 patients (sans devenir 4 mois). La mathématisation « n’importe comment » n’est pas porteuse de vérité indéniable mais de fantaisie, souriante (ridicule si ça se prend au sérieux). Enfin, je perçois une objection à ce que je dis en matière de temps de latence : avec échantillon plus grand, l’intervalle maxi-mini s’élargit un peu, ce n’est pas totalement indifférent. Mais j’ai fait une simulation normale gaussienne : un temps 40 mois ± 2 mois (donc à partir de 38 mois) sur 22 patients donne 40 mois ± 3 mois (donc à partir de 37 mois) sur 370 patients :

  On ne passe pas du tout de 38 mois à (38*22/370=) 2 mois en prenant un effectif de 370 à la place de 22, non, on ne passe que de 38 mois à 37, à peine réduit et pas du tout proportionnellement aux effectifs. Le bla-bla littéraire (ou médical réciteur) est simplement faux, en biologie quantitative.

* Ajout 206, 29/07/2021 ter (7h) : Malentendu semi-expliqué
  Une amie, opposée à l’obligation vaccinale anti-covid19, me dit que vis-à-vis de proche se faisant vacciner quand même, elle aurait « essayé de convaincre d'attendre que le vaccin de Sanofi sorte car il paraît moins dangereux ». Qu’est-ce que j’en pense ?
  Euh, c’est une toute approche que la mienne. Je ne juge pas que les vaccins actuels (en Occident, Russie, Chine) sont vraisemblablement dangereux, ce qui serait moins le cas de tel ou tel autre, je juge que la dangerosité de tous ces vaccins, tous, est inconnue (en toxicité ou léthalité à long terme) si on n’a pas effectué 10 ans d’étude de toxicité classiquement, dont 5 sur humains. Si le vaccin Sanofi sortait à son tour « immédiatement prêt à l’emploi » cette année ou l’an prochain, je ne jugerais pas que c’est bien mieux mais que le problème énorme de non-validation (sortie prématurée, invalide) est encore reproduit, absurdement, sans explication valable.
  Enfin, elle donne un lien vers une vidéo explicative (de 48 minutes explicatives), https://m.youtube.com/watch?v=tYwCxe9gvQY&feature=share . Et effectivement, ce généticien de Saclay dit que certains vaccins (ceux actuellement employés) présentent des risques particuliers, de faire émerger des variants recombinés potentiellement davantage dangereux encore. Cela explique la préférence pour le vaccin Sanofi sans ARN ni ADN peut-être, mais à mon avis c’est comme une seconde couche de risque, à mon avis le scandale principal est la mise sur le marché et emploi (contraint en France) alors que la non-léthalité n’a nullement été prouvée. Qu’un vaccin risquant moins de produire un dérivé grave apparaisse, c’est peut-être un peu mieux, mais lui non plu’ n’a pas à être boosté artificiellement, administrativement, pour emploi massif avant fin des essais (donc sans aucune garantie d’innocuité). J'envisage (ou "crains", en un sens*) que ces vaccins mal testés tuent, pas que certains vaccins fassent émerger un virus hyper-tueur.
(* : ce n'est pas au sens où la télé dit "certains refusent le vaccin parce qu'ils ont peur !". Je ne suis pas un acharné de ma propre vie, tremblant de trouille à l'idée d'être moi-même tué, simplement j'observe avec effarement que s'est mise en place une procédure autoritaire pouvant génocider l'humanité, ce qui me parait grave, absurdement, et au nom de la raison ce qui est totalement scandaleux, injuste.)

* Ajout 207, 29/07/2021 [4] (16h) : Propagande officielle
   J’avais entendu ces mots inappropriés à la télévision, mais j’en ai maintenant une trace écrite (en nouvelle MSN/BFM-TV) : « "Vaccinez-vous pour vous et pour la France": l'appel de Macron en Polynésie française » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/vaccinez-vous-pour-vous-et-pour-la-france-l-appel-de-macron-en-polyn%C3%A9sie-fran%C3%A7aise/ar-AAMDMYv?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Emmanuel Macron (…) un discours dans lequel il a exhorté la population à se faire vacciner massivement pour endiguer le Covid-19 (…) Je vous le dis avec beaucoup de force : nous sommes la nation de Pasteur, nous sommes la nation des Lumières", a commencé le président de la République. »
--> Que la France soit la nation de Pasteur m’indiffère totalement : la France est aussi la nation de Guy George le tueur en série et ça n’a aucune espèce de rapport avec moi (je ne suis en rien solidaire de ce qu’a fait ce type, je ne suis pas coupable même pas un tout petit peu). Je n’ai en rien à applaudir les vaccins automatiquement du fait de la nationalité de l’inventeur de la vaccination, cette invention n’ayant rien à voir avec moi. C’est un faux argument relevant apparemment de la stupidité profonde, oubliant de réfléchir avec intelligence critique. Enfin, pas complètement : vu l’horrible lavage de cerveau que j’ai subi de l’école primaire à l’université, j’ai été endoctriné à applaudir le nationalisme franco-français et ses prétendus grands hommes, et là le grand chef des ministères dont celui de l’Education émet comme un rappel : « souvenez-vous, il faut applaudir et suivre, bien soumis, vu ? ». Sauf que… j’ai résisté à cette propagande, je suis devenu renégat, et je désapprouve ce principe. Ça ne veut pas dire que je déteste Pasteur, la vaccination (avec vaccin validé longuement sans danger) a fait parait-il disparaitre des maladies et c’est très bien, mais si Pasteur était russe ou chinois ce serait tout aussi bien, et ça ne conduit en rien à approuver un nouveau vaccin à létalité pas encore estimée avant d’être imposé.
  Quant à la référence aux Lumières, elle me parait sombrement stupide : le mot Lumières fait référence à la clairvoyance intelligente, ce qui est le total opposé de ce gouvernement voulant vacciner de force en interdisant les objections logiques imparables (« comment sait-on 1 an après ce qui se passe 5 ans après injection de ce vaccin inconnu ? et sans modèle validé expérimentalement puisque sans attendre la fin des essais… »). Classer en irresponsables et irrationnels, égoïstes criminels, les gens osant la lucidité, c’est le total contraire de l’esprit des Lumières (osant contester la tyrannie royale, à l’époque, par la réflexion intelligente sans violence). De mon point de vue, je suis les Lumières (de la discussion contestataire argumentée) et Macron est l’horrible autorité royale abrutie et sévère.
• « "Face à un virus, quand tous les spécialistes du monde entier vous disent que le seul moyen de s'en sortir est le vaccin, quand plus de 3 milliards d'habitants de la planète ont été vaccinés, je vous le dis avec force : le seul moyen de nous en sortir, de protéger les plus anciens, les plus vulnérables, de pouvoir aussi rouvrir la Polynésie pleinement, c'est le vaccin. »
--> C’est faux, c’est de la propagande mensongère, en plus d’être un propos idiot :
– L’argument d’autorité (se référant aux spécialistes à suivre aveuglément) est nul, il était ce qui bloquait au Moyen-Age : obéir aux théologiens dominants dictant et interdisant, sans oser soi-même réfléchir.
– J’ai entendu au moins deux généticiens (Henrion-Caude, Vélot) douter publiquement de l’innocuité de ces vaccins. Le mot « tous » est donc faux, ou bien il signifie « tous hormis ceux qui sont contre ma politique et donc à qui je vais retirer le titre d’experts ». Dictature, oui, anti-intelligence critique. Ce n’est pas de la science objective, c’est de la gouvernance autoritaire avec minuscule couche moisie de prétendue scientificité.
  Par ailleurs, dire que la vaccination est le seul moyen ne me parait pas juste. Beaucoup de politiciens critiquent que tout le budget ait été dirigé vers la vaccination et presque zéro vers le traitement ou la prévention par vitamine ou autre. Je ne garantis pas que ça aurait marché, mais comme je n’ai jamais été convaincu du danger de ce virus, je résiste au discours tenu là, présupposant plein de non-dits en fait très contestables.
  Quant au fait de se « sortir » de la pandémie, j’ai une tout autre solution, démentant la prétention présidentielle à détenir le seul moyen : si on arrêtait de tester les gens à ce truc, les contaminations affolantes disparaitraient, et les gens malades (de n’importe quoi) seraient simplement soignés comme autrefois pré-covid. (On ne fliquait pas l’entièreté de la population pour savoir combien avaient rencontré le virus de la grippe ou gastro-entérite même sans symptôme). Avoir classé les morts de vieillesse en « tués par le covid » s’ils avaient le test covid positif semble un mensonge total. Et je n’ai jamais entendu parler de preuve de cause à effet entre ce virus et les décès, non ils ont été décrétés à titre automatique sans démonstration, sans intelligence ni honnêteté. Dans le but d’affoler au maximum et imposer des trucs sévèrement (en foulant au pied le principe selon lequel en démocratie c’est le peuple qui commande, par définition, sauf mensonge, certes total et ne datant pas de ce président, ne faisant que pousser le bouchon bien plus loin).
• « "Vaccinez-vous pour vous, vaccinez-vous pour vos parents, vaccinez-vous pour la Polynésie et pour la France", a conclu Emmanuel Macron. »
--> L’appel à œuvrer pour la nation me confirme une fois de plus que Macron est un hypernationaliste (pas du tout un mondialiste, contrairement à ce que dit son opposante Marine Le Pen). Il n’a nullement dissous la police des frontières, à mon avis il est donc d’extrême-droite, antihumaniste (ce qui fâche certes Marine Le Pen, voulant le monopole sur ce créneau). Je le juge donc comme un horrible bonhomme, xénophobe actif (via éventuellement nation européenne, parfois, pas clairement, c’est un autre sujet).

* Ajout 208, 30/07/2021 (12h) : Clivage
  Discutant avec une amie, je lui ai répondu :
  Je n’ai pas suivi les détails légaux en cours de promulgation, il me semble que oui, il a été dit que les centres commerciaux de plus de tant de mètres carrés doivent appliquer le pass sanitaire à leurs clients et employés. Et ce pass sanitaire est soit vaccination soit test PCR tous les deux jours, pendant les heures de travail payées (imposé par le gouvernement aux employeurs), alors ça conduit évidemment les employeurs à dire « faites-le une fois pour toutes, pas tous les deux jours, ça me coûterait cher ». C’est pas juste puisque ce vaccin n’est pas garanti sûr (hors mensonges) mais c’est ce qui se fait, sévèrement hélas.
  A la télé ce matin, j’ai vu une autre « mocheté » (relative) : la présidente d’un site de rencontres (amoureuses et autres, je ne connais pas bien) expliquait que ses clients avaient demandé à mettre sur leur profil « vacciné(e) », ce qu’elle a accepté et fait programmer comme question facultative, ça a eu un grand succès, et on se rencontre maintenant « entre vaccinés » (comme si c’était « puisque les non-vaccinés c’est sale, quelle horreur, pire que syphilitiques et sidaïques, et on peut le savoir ce n’est pas classé secret médical youpi ! »). Effarant que cela ait été voulu, comme évolution, clivage organisé en communautés presque ennemies. En blablatant sur l’égalité de tous…

  Par ailleurs, j'entends à la télévision ce jour une précision nouvelle : pour le taux de non-vaccinés et autres, on ne parle plu' des hospitalisés en général (ce qui était clairement faux), mais des hospitalisés "au titre du covid" ; toutefois, puisque c'est déclaré "au titre du covid" selon le résultat du test covid indépendamment des symptômes, ça treste très inexact : les accidentés de la route polytraumatisés par le choc, s'ils sont par hasard positifs asymptomatiques à covid, sont déclarés "victimes de covid, hospitalisés au titre du covid", ce qui est faux stupide ou menteur calculé.

* Ajout 209, 30/07/2021 bis (14h) : Tiers facteur, oui
   Je lisais hier une nouvelle MSN/FemmeActuelle : « Covid long : et si cette forme de la maladie était causée par un autre virus bien connu ? » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/covid-long-et-si-cette-forme-de-la-maladie-%C3%A9tait-caus%C3%A9e-par-un-autre-virus-bien-connu/ar-AAMHv7h?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Quelles sont les origines du "Covid long" ? Pour l’heure, aucune cause précise de cette forme longue de la maladie n’a été identifiée. Mais plusieurs hypothèses ont été émises. Dans une récente étude, des chercheurs ont suggéré que le virus d’Epstein-Barr, responsable de la mononucléose, pourrait se réactiver au contact du coronavirus et déclencher le "Covid long". Explications. (…) Plus de 20% des patients touchés par l’infection au coronavirus sont atteints d’un "Covid long" (…) Nous connaissons les symptômes mais nous n’en connaissons pas la cause" (…). »
--> Contradiction : il ne fallait pas l’appeler Covid long, signifiant que la cause est covid, mais maladie inconnue survenant après covid (entre autres peut-être).
• « Il existe plusieurs hypothèses. (…) le "Covid long" serait dû à un autre virus dormant chez les patients. (…) la réactivation du virus Epstein-Barr, dormant chez 95% des adultes, qui causerait ces symptômes. (…) Ce virus dit "EBV" (…) Ce dernier peut aussi être de nouveau actif en raison d’un état inflammatoire, qui serait en cause dans les cas de Covid-19. »
--> C’est là avouer en clair que l’affirmation de cause à effet entre covid passé et prétendu « covid long » ensuite est erronée, abusive, seulement hypothétique, artificiellement privilégiée (pour raison politique pro-vaccinale) dans un contexte multi causal complexe.
• « (…) D’après les résultats, 73% des personnes souffrant de "Covid long" avaient des anticorps spécifiques à l’EBV, ce qui signifie que le virus s’est réactivé à cause du coronavirus. Les chercheurs ont constaté que le virus d’Epstein-Barr s’était réveillé "peu de temps après ou en même temps que l’infection à la Covid-19." »
--> C’est une nouvelle erreur, en sens inverse (ce n’est pas parce que ces chercheurs vont dans mon sens [de contester la culpabilité de covid] que je vais m’abstenir de noter leurs erreurs logiques). Le « à cause de » est abusif, rien ne prouvant la relation de cause à effet dans ce cas (aussi). En matière de fausse causalité, il faudrait aussi envisager la causalité inverse : la réactivation du virus EBV aurait entrainé une fragilité favorisant la contamination covid, c’est possible, envisageable, il faut être très prudent avant d’affirmer prouvée une causalité. Autre cause envisageable : la réactivation d’EBV ne serait pas due au virus covid19 ni à la réponse endogène à cette infection, mais serait due aux traitements infligés pour prétendument combattre covid19 – le faux covid long serait dans ce cas une maladie nosocomiale relevant de l’erreur médicale, ça change beaucoup de choses (et il est évident que les médecins refuseraient cette idée, peut-être juste mais les accusant directement).
• « "Ces résultats suggèrent que de nombreux symptômes longs du Covid ne sont peut-être pas le résultat direct du virus SARS-CoV-2 mais peuvent être le résultat d'une réactivation de l'EBV induite par l'inflammation de Covid-19", ont conclu les scientifiques. »
--> D’accord, c’est là un langage scientifique honnête : « cela suggère que (...) peuvent être (...) » et non pas « il est scientifiquement prouvé que… (puisque c’est publié en revue scientifique) ». Si pareil était fait pour le reste de l’affaire covid, la crise actuelle ne serait peut-être pas.

* Ajout 210, 31/07/2021 (7h) : « FDA = Faut Déconner Absurdement » ?
  Je lis une nouvelle MSN/l’Express : « Obligation, forte incitation... Comment certains pays parviennent à imposer la vaccination » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/obligation-forte-incitation-comment-certains-pays-parviennent-à-imposer-la-vaccination/ar-AAMKTp9?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente ce qui est nouveau pour moi :
• « Aux Etats-Unis, la ville de San Francisco a annoncé fin juin qu'elle allait demander à ses quelque 35 000 employés de se faire vacciner, sous peine de sanctions pouvant aller jusqu'au licenciement. Cette exigence ne prendra toutefois effet que lorsque les vaccins auront été complètement approuvés par l'agence américaine des médicaments (FDA). »
--> Cela signifie que la FDA n’a pas encore approuvé ces vaccins, et elle a raison ! Mais pourquoi est-il administré alors ?? Cela semble une faute professionnelle et un crime tenant de l’exercice illégal de la médecine (prétendue). Je vérifie sur Internet qui me dit que 57,7% des habitants (au 28/07, 55,0% au 30/06) ont reçu au moins une dose aux USA, avant acceptation du vaccin…
  Regardant ensuite sur Internet, je lis que la FDA a donné une autorisation partielle pour cas d’urgence (https://www.nbcchicago.com/news/coronavirus/are-covid-vaccines-fda-approved-heres-the-latest/2549097/ ). Un autre site (https://www.aarp.org/health/conditions-treatments/info-2021/full-fda-approval-covid-vaccine.html ) explique que pour l’approbation complète, future, il est exigé preuve de sûreté sur 6 mois, pas davantage. S’il y a deux ans d’incubation puis enclenchement de maladie mortelle chez 100% des vaccinés, la FDA s’en fout, approuve. C’est une parodie de santé publique, c’est une usine à dollars se contrefichant de tuer les patients… Dans la société française où j’ai travaillé 34 ans, l’encadrement tremblait de peur en cas d’inspection FDA (pouvant nous interdire l’exportation aux USA), mais ces hyper-sévères inspecteurs FDA, finalement toujours approbateurs (chez nous), n’ont en rien détecté les horreurs que je signalais en interne, ces gens étaient seulement des méchants incompétents, obnubilés par la perfection administrative avec zéro réflexion critique de type scientifique ou logique. Non, les instances de validation gouvernementale ne garantissent rien du tout, objectivement, elles ne font que faire semblant, menteusement. C’était pareil avec l’agence française de certification dont j’ai oublié le nom, moins célèbre (et moins sévère avec nous puisque n’exerçant pas de pression protectionniste contre les produits étrangers).
• Sur cette page figurait un lien vers une autre page : « Covid-19 : "La fracture entre les vaccinés et les non-vaccinés va probablement s'aggraver" », mais je ne peux pas le citer et commenter car il est réservé aux abonnés de l’Express.

* Ajout 211, 31/07/2021 bis (8h) : Premier = grandiose ?
  Je lis aussi une nouvelle MSN/GentSide : « Jean Castex en colère, sa petite phrase qui fait mal sur les anti-vaccins » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/jean-castex-en-col%C3%A8re-sa-petite-phrase-qui-fait-mal-sur-les-anti-vaccins/ar-AAMJvuW?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « s'attaquer frontalement aux réfractaires à la vaccination. "Pasteur est déjà bien agacé sans doute par ceux qui considèrent que la vaccination est un danger, il doit se retourner dans sa tombe", a ainsi déploré le chef du gouvernement. »
--> Soit c’est un mensonge politicien odieux, soit c’est un manifeste d’incompétence sévère, crasse. « Refuser ce vaccin-ci, n’ayant pas du tout passé la validation normale de 5 ans de non-toxicité documentée », ça n’a rigoureusement rien à voir avec « affirmer que la vaccination, toute vaccination, est un danger ». Cet amalgame est furieusement idiot. Qui plus est, il est prouvé expérimentalement, documenté scientifiquement, que certaines vaccinations se sont avérées dangereuses, et ont été interdites en catastrophe après validation pratiquée trop vite : le vaccin contre la dengue s’est avéré très dangereux, inadmissible (avec nombreuses victimes aux Philippines notamment), et ça ne fait en rien insulter la mémoire de Pasteur, qui n’a je crois jamais garanti « toute vaccination quelle qu’elle soit, toujours, sera sans danger », ce serait invalidé par les faits, mais je crois qu’il ne l’a jamais dit. Le Premier Ministre ment, ou délire, avec bien sûr tous les micros tendus, tandis qu’on fait taire les contradicteurs lucides classés délirants irrationnels stupides menteurs criminels… Système pourri.
  En cette période olympique, où la télé nous répète que Premier + Français = héros grandiose médaille d’or, je crains que le Premier Ministre français porte très mal son titre, ou bien c’est dans un sport spécial : premier en incompétence ou fierté à tort.
• « estimant que la France n'a "pas été au rendez-vous de la course au vaccin". »
--> Le généticien Christian Vélot, dont je rapportais les propos dans l’ajout 206, disait au contraire que les premiers vaccins sortis sont basés sur un principe (novateur) dangereux, et que ce n’était pas une course visant à sortir quelque chose le premier, encore faut-il que ce qui est sorti soit sans danger, ce qui n’est pas le cas de ces premiers sortis, ayant gagné la course au produit-quelconque, sans participer à la course au produit-sûr (déclarée inutile par les autorités). .

* Ajout 212, 31/07/2021 ter (10h) Argument bête
  Ce jour sur chaine télé C-News, j’entends une intervenante contester les manifestations anti-pass sanitaire en disant que ces gens (prétendant à la liberté) oublient l’intérêt général et une valeur essentielle mais hélas oubliée : l’altruisme. Qu’est-ce que j’en pense ?
  Je ne suis pas d’accord et je suis choqué. L’intérêt général n’est pas du tout que chacun se voit injecté un vaccin à non-toxicité pas encore établie ; c’est faux, menteur, criminel, d’accuser les lucides d’égoïsme anti-intérêt-général. Certes, si l’intérêt général avait prévalu, peut-être que ces contestataires auraient dû empêcher tout le monde de se faire vacciner, mais justement : la liberté d’autrui a été respectée, en laissant les gens se tromper s’ils le voulaient, ce n’est que quand ces contestataires sont à leur tour pourchassés par le gouvernement qu’intervient la révolte « stop, ça suffit, là ». Ce n’est pas qu’ils doivent, pour l’intérêt général, se coucher et obéir, c’est qu’ils sont victimes de monstres méprisant l’intérêt général, l’altruisme.
  Certes, ce vaccin n’est pas prouvé dangereux, il est seulement possible qu’il le soit, mais le principe de précaution devrait prendre en compte ce risque de danger simplement « comme d’habitude », pour tous les autres remèdes de l’industrie pharmaceutique, donc 10 ans d’études avant prescription pour emploi hors essais. Evidemment, pendant ce temps-là, la maladie est active, mais ni plus ni moins que pour les autres médicaments et vaccins (contre SIDA, paludisme, etc.), il n’y a objectivement aucune spécificité à la maladie covid19 : elle n’est pas très grave (faisant moins de mort que le tabac vendu par l’Etat) et elle est artificiellement déclarée hyper-envahissante (ce qu’on aurait pu voir pareillement pour la grippe et autres, si les tests étaient pratiqués ainsi à immense échelle). Déclarer « malades », « cas », les contaminés non-malades semble la clé du faux alarmisme organisé.

* Ajout 213, 31/07/2021 [4] (12h) Anomalie politicienne
   Ce jour sur télévision C-News, j’ai entendu le député RN Gilbert Collard condamner la dictature sanitaire d’Emmanuel Macron, en étant rabroué par la journaliste dirigeant les débats, disant qu’en dictature, on ne peut pas manifester comme cela se fait ici, avec des slogans virulents. Puis un reportage sur l’Italie a montré les manifestations là-bas aussi, criant que le chef du gouvernement est un dictateur, et le journaliste italien interviewé expliquait qu’au pouvoir en Italie est un groupe d’Union nationale, seule l’extrême-droite était opposante, donc alliée aux manifestants, tentant de les récupérer. Qu’est-ce que j’en pense ?
– Je pense que la république est une fausse démocratie, une dictature en pointillés, menteusement déguisée en démocratie, le mensonge (de fausse-représentation) éclatant dans les moments de lois impopulaires, trahison parlementaire de référendum, etc. En tout cas, Macron autoritariste imposant ses dictats est un petit dictateur trahissant la confiance mise en lui par des électeurs ayant cru que voter en 2017 contre Marine Le Pen sauvait du risque de dictature. Que Macron se soit prétendu libéral, ultralibéral, est un mensonge éhonté puisqu’il est autoritaire imposant ses désidératas personnels en interdisant à la population de dire non librement. Peut-être que le RN (dit extrême-droite mais ne l’acceptant pas) serait pire en contrainte, on n’en sait rien à l’avance, moi je juge que Macron est lui-même d’extrême-droite, active, féroce, méprisant/écrasant les petites gens et les lucides rebelles. Et puis les manifestations sont tolérables par un petit dictateur en n’en tenant aucun compte, comme l’avait fait François Hollande avec les lois El-Khomri, ça n’empêche en rien que les lois impopulaires imposées signent une dictature. (Si on dispose d'intelligence critique plutôt que d'être guidé par l'ambition dans le système écraseur en place).
– Cela semble pareil en Italie, où les dits-extrême-droite sont affirmés fascistes dictateurs à titre d’insulte, même si les autres font pareil. Avec le précédent Mussolini, restant dans les mémoires là-bas, l’amalgame permet aux dominants de se prétendre modèles de vertu démocratique en écrasant le peuple (ce que ferait peut-être aussi l’extrême-droite, différemment).
  Tout cela semble indiquer que les politiciens sont des guignols dangereux, tyranniques (comme révélés par cette crise covid19) en hurlant le contraire, c’est très lamentable.

* Ajout 214, 01/08/2021 (5h) Injustice expliquée
   Suite au drame familial rapporté dans l’ajout 200, j’ai dit à ma sœur que j’allais « péter la gueule » à cette docteure salope nous classant en pestiférés criminels puisque non-vaccinés, puis ma mère au téléphone m’a dit (informée dans mon dos semble-t-il, sans demande aucune d’explication) qu’il ne fallait pas casser la gueule à cette petite dame d’un mètre cinquante et trente-cinq kilos. C’est un malentendu total, qui me choque grandement. Quand des manifestants riant jaune ont brandi la tête en carton d’Emmanuel Macron et Marine Le Pen au bout de piques, ont-ils été mis en prison pour meurtres ??? Ben non, ça s’appelle le second degré, que sont censés comprendre toutes les intelligences dites normales (sauf puritains coincés ou fanatiques interdisant de sourire du sacré).
   Non, ce n’est pas en violence physique effective qu’on pète la gueule à quelqu’un totalement inconnu (pouvant mesurer 2 mètres de haut, peser 130kg et être championne du monde de karaté), à adresses inconnues, à 800 kilomètres de chez soi avec interdiction de voyage, l’interprétation au premier degré était totalement absurde, insensée. Cela signifiait (et n’avait de sens que) en casse argumentaire de dominant injuste, gifles virtuelles abattant sa fausse supériorité, logiquement point par point, imparablement (sauf malhonnêteté outrancière, à la façon du gouvernement et des journalistes). Et ça, c’est fait : j’ai cassé sa position atroce, poussant à la vaccination anti-covid19 prématurée (sans documenter la toxicité à 5 ans, « rien à foute ! approuvé ! ») en pourchassant les non-vaccinés osant être logiques et moraux contre le pouvoir autoritariste menteur.
1/ Cette dame, je l’ai prouvée illogique : on ne peut pas savoir après 1 an ce que donne dans les corps un vaccin inconnu après 5 ans.
2/ Je l’ai prouvée nulle en sciences (la médecine est classée science de nos jours) : en science expérimentale, les modèles et hypothèses ne valent rien avant d’être corroborés par l’expérience, déclarer qu’ils constituent le savoir scientifique dispensant d’expérience est une erreur absolue. Note zéro sur 20 en biologie Bac moins 2…
3/ Je l’ai prouvée incompétente : elle ignore que, depuis le scandale thalidomide, un remède n’est acceptable qu’après dix ans d’études (de toxicité notamment) dont cinq sur êtres humains, le passage sur l’humain n’étant envisageable que s’il n’y a pas toxicité sur deux familles d’animaux distincts (« les humains ne sont pas des cobayes ! »). C’est la base très élémentaire de la pharmacologie, enseignée aux futurs médecins comme elle, et aux futurs laborantins (comme moi). A ne jamais oublier.
4/ Je l’ai prouvée dictatoriale : elle abuse de son autorité pour briser les familles sans discussion, comme si elle détenait la vérité indiscutable (sans répondre en rien aux objections argumentées, décisives mais exclues sans examen). Façon Hitler-Staline-Macron en blouse blanche…
5/ Je l’ai prouvée en faute professionnelle lourde : poussant vers un vaccin peut-être mortel à 5 ans, en contradiction avec son serment d’Hippocrate (garant de sa position prétendue grandiose inattaquable moralement).
6/ Je l’ai prouvée menteuse : prétendant ce vaccin garanti sans danger mortel, ce que personne ne sait encore à échéance de 5 ans, puisque l’expérience n’a pas été faite, déclarée « inutile » ce qui est faux de toute évidence, scientifique comme de bon sens diplômé en rien.
7/ Je l’ai prouvée mochement dominatrice : (elle craint les non-vaccinés, nous craignons ce vaccin actuellement, ce serait un peu pareil mais) elle détient le pouvoir avec son président chéri, pouvoir de nuisance et de punition, criminalisant officiellement les avis autres.
8/ Je l’ai prouvée injuste : traitant des gentils aidant en méchants tueurs, en se contrefichant des dégâts infligés par cette affirmation, crue a priori.
9/ Je l’ai prouvée auto-contradictoire : appliquant avec zèle le principe de précaution pour "ne pas contaminer" mais condamnant de l’appliquer pour "ne pas empoisonner".
10/ Je l’ai prouvée égoïste intolérante : imposant sa voie à elle en condamnant et empêchant celles d’autrui, employant pour ça son pouvoir (abus de pouvoir).
   Ces fiers « sachants » sont seulement des « sachants réciter », diplômés par des études (stupidement dites « supérieures ») chassant les esprits logiques contestataires (en PCEM1, le prof de maths à qui je prouvais qu'il se trompait a répondu "vous n'êtes pas ici pour réfléchir mais pour réciter", j'ai fui ce truc atroce de bêtise, je ne dis pas bravo aux diplômés non). Trois ans d’âge mental. Mais se prétendant L’Elite, tellement supérieure aux vils quidams (logiciens, etc.)…
   Enfin, je repense à quelque chose : mon modèle hypothétique (plausible et pas certain) du temps de latence ou d’incubation. Peut-être que mon esprit est déformé par ma formation et expérience (de 34 ans) en bactériologie : quand on met une cellule bactérienne en milieu nutritif, elle attend par exemple 5 heures en « latence », cherchant à s’habituer à son environnement, avant de commencer à multiplier, d’abord lentement puis enfin exponentiellement (linéairement en échelle logarithmique), cela pourrait être différent pour une maladie en incubation. Toutefois, dans mes études il y avait aussi des cultures de cellules eucaryotes et la cinétique était la même sur le plan qualitatif (avec simplement durées d’un autre ordre, et les cellules cancéreuses ne ralentissaient pas ensuite). Bref, il est tout à fait possible qu’un vaccin anti-covid19 (ou autre) fasse muter un lymphocyte du sang humain, le rendant cancéreux mais en latence 2 ans (enkysté peut-être, ou en gène temporairement inactif), puis la multiplication/expression s’enclenche, donnant la maladie mortelle générée par le vaccin. Avec 5 ans de données humaines, ce serait vu interdisant ce vaccin, mais avec 1 an seulement de données, ce n’est nullement vu, et affirmer dans ce cas que cette hypothèse de latence est fausse scientifiquement prouvée délirante irrationnelle, c’est un mensonge absolu, une idiotie profonde, une erreur totale (mais pas désintéressée, s’il y a à la clé des milliards de dollars et la jouissance d’oppresser les populations « inférieures » aux dominants). Certes, pourquoi 5 ans ? (la latence ou dormance pouvant durer 30 ans). C’est simplement que c’est le consensus admis pour tous les remèdes, depuis le scandale thalidomide. L’appliquer aurait été naturel, sans justifier de rejet spécial. Par contre, avoir accordé une exemption ultra-spéciale (sans avouer les risques associés, en hurlant au contraire contre ceux les signalant, classés « complotistes » irrationnels), cela parait une totale aberration. Les urgences en nouveau remède n’étaient pas moindres avant covid19, avec des maladies très graves comme SIDA, paludisme, etc. Les exigences en sécurité auraient dû rester les mêmes. Ou, sinon, il aurait fallu avouer le risque énorme accepté par pari très risqué, accepté tel, mais nier le danger et précipiter les choses est incohérent, faute lourde, contre l’intelligence et la morale.
   Bilan : oui, j’ai cassé cette fausse médecin-salope, ayant avec « succès » trompé mes parents naïfs (peu habitués aux réflexions en biologie et épistémologie), mais que j’ai laminée par des arguments massue, lui pétant la gueule sur le plan des idées, de la légitimité, elle n’ayant aucun argument que sa croyance répétante faussement appelée savoir et compétence. M’accuser moi (et même : me condamner) pour propension à la violence physique (et domination du plus fort physiquement – comme mon grand frère brimeur) est insultant, diffamatoire, scandaleux, immensément injuste. Il n’a jamais été question de violence physique et puis c’était de la légitime défense. Je suis fâché d’avoir été traité ainsi. Quelque chose s’est comme cassé, dans la relation familiale (en ce sens : la médecin-salope a gagné, « bravo », salope oui)… [Le but, quasi-explicite, de la politique actuelle avec pass sanitaire, est de rendre affreuse d'inconfort la vie des non-vaccinés, afin qu'ils se vaccinent : le but est de leur pourrir la vie, et si c'est réussi des bravos sont escomptés... J'ai lu, hélas, le livre "gouverner c'est mentir", il faudrait un second tome : gouverner c'est emmerder les électeurs autant que possible, avec aide prétendue médicale, jusqu'à en faire des moutons serviles obéissant en disant "merci, donnez-nous encore des ordres, on vous adore"].

* Ajout 215, 02/08/2021 (8h) Discussion différente
  Un ami contradicteur, avec qui je discutais d’habitude de divers sujets, a accepté de parler exceptionnellement de biomédecine, et c’est un angle nouveau, intéressant, merci. Je le cite et réponds mes opinions sur ces sujets-là :
• « Je n’ai tout simplement pas les compétences pour trancher des questions que tu soulèves. Ceci dit je te rejoindrai sur quelques points aussi surprenant que ça paraisse. Effectivement je suis tout à fait d’accord qu’on n’a aucun recul sur les vaccins à ARN. »
--> Euh, là ne me semble pas le problème principal. Je reprends mon point de vue, mieux expliqué peut-être : 1/ Normalement pour accepter un nouveau vaccin (même de type chimique connu), il faut un dossier avec dix ans d’études, dix ans de recul (en non-létalité notamment, dont cinq ans sur humains après pré-test sur animaux obligatoire avant de passer sur humains) ; 2/ dans le cas des vaccins anti-covid19 (à ARN en premier, à ADN en second, à protéines recombinantes en troisième, etc.), ceci a été court-circuité sans la moindre justification et sans le reconnaître même, pour donner le feu vert sur base de seulement 1 an d’études… ce qui est hélas compatible avec un produit raté à létalité 100% à 5 ans ! Scandale (ARN ou non). Mais chut il ne faut pas le dire, sinon on est classé « complotiste » ou « irrationnel » ou « égoïste » ou « incompréhensible » ou « délirant bouffeur de fake news »… par les médias unanimes, incroyablement (hors Internet, celui-ci étant donc déclaré par eux : « monstrueux », « dangereux », « criminel »)… Alors qu'envisager un problème n'est pas l'affirmer certain, et le principe de précaution est théoriquement la prudence dans le doute, alors qu'ici (et partout dans le monde mais sans avoir l'indécence d'invoquer le principe de précaution) est fait tout le contraire.
• « On nous parle d’ailleurs de recherches depuis 10 ans mais quid des essais in vivo ? Une des rares choses dont je me souvienne en médecine, c’est le cancer déclenché par insertion d’un virus (type grippe) dans l’ADN de la cellule qui se manifeste des décennies après à cause d’agents extérieurs : soleil, tabac etc… »
--> Cet argument sera balayé par les gens passant à la télé disant que « ça n’a rien à voir, que mon ami confond avec les virus à ADN pas ARN », en omettant de signaler que nos lymphocytes (parmi les globules blancs de notre sang) ont une enzyme reverse transcriptase transformant l’ARN en ADN. Donc la clameur « prouvé impossible ici ! » est mensongère, je donne plutôt raison à mon ami sur ce sujet.
• « Le problème de la chose c’est que ces grands médecins, et je ne doute pas qu’ils le soient, se contredisent perpétuellement entre eux d’où la méfiance des populations. »
--> Je trouve immensément saine cette méfiance envers de faux sachants. Qu’ils soient prétendus « grands » médecins me parait par contre abusif, la plupart semblent des ânes dogmatiques prétendant détenir le vrai, sans preuve et sans avoir réfléchi de manière contradictoire (puisqu’ils ne donnent aucune réponse à mes objections). Quand nous étions en PCEM1, les redoublants chahutaient pour que les nouveaux comme nous deux n’aient pas les cours et échouent au concours, c’était une course de très mauvaises gens visant la gloire usurpée, j’en garde un souvenir affreux – ceux qui ont gagné cette course (et les plus ambitieux parmi eux, écrasant les autres) ne me semblent pas grands, non pas du tout.
  Par ailleurs, que les dits spécialistes se contredisent est sain, c’est un débat d’opinions, ce qui est scandaleux est que chacun prétende à la vérité indéniable, « scientifique ». Que l’école/collège/lycée/université nous ait lavé le cerveau à respecter les prétendus grands hommes détenant le Savoir (en contexte scientiste), ça n’a pas suffi, et c’est tant mieux si le bon sens populaire se rebelle en sagesse sceptique. Je peux consolider celle-ci par une foule d’arguments, mais le vaste mouvement spontané est déjà bien.
• « Une des rares que j’ai trouvée convaincante, peut-être parce que c’est une femme et donc moins grande gueule que les hommes, est Catherine Hill. »
--> J’ai aperçu plusieurs fois cette dame et l’ai trouvée nullement convaincante, c’est une des acharnées pro-vaccins n’expliquant en rien comment après un an on peut connaitre la toxicité à 5 ans. Nulle, ou malhonnête achetée par les labos.
  Une autre femme m’a paru immensément plus convaincante : Alexandra Henrion-Caude ; avant de ne plu’ jamais être invitée à la télé, en étant classée « complotiste », elle expliquait avoir eu entre les mains le dossier d’acceptation de ce vaccin anti-covid19 et ça ressemblait à une mauvaise blague ridicule : « test sur animaux : pas besoin ; pouvoir cancérigène : pas besoin ; pouvoir tératogène : pas besoin », il est invraisemblable que cela ait été validé, c’est une faute lourde, commise par les officiels, sous pression malhonnête.
  Enfin, je ne suis pas d’accord avec le sexisme de dire Hommes = Grandes Gueules, Femmes = Douces Réfléchissantes ; dans mon livre « Contre la Réalité », je brossais au contraire le portrait d’une humanité à 4 cases : Hommes/Femmes et Dragons/Tortues (± extravertis/introvertis, ± Grandes Gueules/Doux Effacés), certes l’idéal célébré (pas seulement dans les mondes musulman et Occident-pré-1968) est la diagonale Hommes Dragons + Femmes Tortues, mais l’expérience fait rencontrer plein de Femmes Dragons et mon ami et moi, plutôt réservés au lycée autrefois, sommes des Hommes Tortues je crois, pas des grandes gueules, non.
• « Elle avait dit il y a quelques mois qu’une vaccination insuffisante (moins de 80 % des gens) ne ferait que renforcer par sélection naturelle la souche la plus virulente et la plus résistante du covid. Ceci explique peut-être cela. »
--> Cela me semble mal pensé, presque idiot, désolé. C’est comme si, au lieu de « les antibiotiques c’est pas automatique ! », on disait : « il faut que bien plus de 80% des gens même sains prennent des antibiotiques, sinon ça va sélectionner des variants dangereux », alors que c’est le contraire. C’est le remède qui sélectionne la résistance, il y a un vif débat entre pro-remède et anti-remède, il n’y a pas à balancer une prétendue grande vérité univoque définitive. Par ailleurs, ce qui est sélectionné par les remèdes c’est par principe la résistance, pas du tout la virulence (intensité du pouvoir pathogène), qui n’a rigoureusement rien à voir et l’amalgame est ici une faute, stratégiquement commise pour avoir plus de poids rhétorique en catastrophisme, à tort. L’intérêt du virus n’est pas de rendre les hôtes malades puis morts, il est de se multiplier beaucoup et longtemps, de se diffuser à d’autres hôtes, que l’hôte initial meure est plutôt un « dommage, tant pis » de son point de vue à lui. Un virus s’améliorant (de son point de vue à lui) gagne en contagiosité mais perd en virulence. C’est l’évolution naturelle des maladies virales devenant bénignes à terme avant d’être oubliées (avec virus toujours présents, mais sans le cirque artificiel de tester tout le monde et déclarer « malades » les gens ayant rencontré le virus sans symptômes, sans virulence subie).
• « Mais le plus grave de la chose est l’instauration, il faut dire qu’on en était déjà pas loin, d’un état totalitaire. Le mot est parfaitement justifié. »
--> Je suis d’accord à moitié. Oui, cette gouvernance autoritariste d’Emmanuel Macron me parait dictatoriale, mais les partis d’opposition ne sont pas « interdits selon le principe totalitaire ». Je vois bien plus de totalitarisme dans la loi Gayssot (de 1990, confirmée depuis par droite/gauche/centre), qui fait emprisonner quiconque ose exprimer un désaccord et même un simple doute. (Avec complicité de la Cour Européenne des Droits de l’Homme [et de nos « intellectuels »], au nom de la Liberté d’opinion… !).
• « Imagine-t-on Merkel, Biden ou Johnson instaurant l’obligation vaccinale ? »
--> Oui, tous ces gouvernements poussent très fortement, par contraintes diverses imposées, vers la vaccination. Comme en France, ils n’ont pas encore franchi le pas de déclarer la vaccination obligatoire pour tous mais en pratique ils font tout en ce sens, sans l’avouer. Les mensonges politiciens, ce n’est pas une nouveauté sur le principe.
• « Ils y laisseraient leur peau. Et que dirait-on si Poutine obligeait les infirmières russes à se vacciner au Spoutnik ? J’entends les quolibets d’ici. »
--> Je ne crois pas : la propagande médiatique ne s’enclencherait pas cette fois puisque les autorités françaises font pareil. Il y a suffisamment de sujets de diabolisation pour en omettre un là où ce serait gênant pour nos dirigeants (et leurs alliés) aux commandes des médias.

* Ajout 216, 02/08/2021 bis (17h) « Hygiénisme délirant »
   Je cherchais sur youtube une publicité m’ayant fait réfléchir et cela a proposé ensuite une vidéo intéressante, de manière imprévue, anti pass sanitaire (https://www.youtube.com/watch?v=lLOiWgzAUdY du 27/07/2021). Il y est notamment rapporté l’atroce plan stratégique de ce pass : « Que les non-vaccinés aient une vie de merde ! ». Il s’agissait d’un « match » entre Nathan Devers, jeune philosophe contre 4 provax propass : 3 journalistes et une élue LaREM. Sur beaucoup de points je suis d’accord avec lui, notamment sur "l'hygiénisme délirant", mais sur 3 points : non (enfin, OK : pas facile d’improviser et faire court en dialogue tac au tac, mais moi j’ai le temps d’argumenter, par écrit) :
1/ Il répond très mal pour l’obligation de vaccination des soignants, sans invoquer mon argument-massue : ces gens, formés un peu à la pharmacologie, savent (mieux que le grand public) qu’un scandale est intervenu pour imposer un vaccin pas encore prouvé sûr (et les médecins très cher payés ne veulent pas le reconnaître, pas cracher dans la soupe qui les auréole de gloire et d’euros, eux). Avant d’invoquer un devoir de vaccination, un préalable totalement obligatoire est de prouver que ce vaccin n’est pas dangereux ou létal (à 5 ans, classiquement), or cela a été sciemment omis pour les vaccins anti-covid19 (approuvés moins d’un an après leur découverte), donnant totalement tort à ceux qui veulent l’imposer et totalement raison aux refuseurs. Contrexemple : la grippe tue aussi 10.000 à 30.000 personnes par an, est-ce que 1 an après la découverte du vaccin antigrippe et avant de savoir son innocuité (espérée mais pas encore établie) il a été imposé à titre obligatoire ? Pas du tout, c’est beaucoup trop prématuré, c’est à ce stade une mise en danger de la vie d’autrui (les vaccinables), avant d’invoquer que les non-vaccinés peuvent contaminer.
2/ Il a très mal répondu aussi concernant le covid long s’ajoutant aux décès covid graves. Il a parlé d’autre chose alors que j’aurais dit qu’une immense erreur médicale semble en cours : on appelle covid grave tout cas de souffrance assortie d’un test covid+ même s’il correspond à un virus asymptomatique tandis que les souffrances viennent d’ailleurs ; pour covid long de même le fait d’avoir diverses souffrances après un test covid+ passé est imputé à covid alors que ça peut venir de tout autre chose. C’est une décision de type automatisme administratif, sans aucune valeur scientifique de preuve « relation de cause à effet », ça sent l’entourloupe phénoménale, et l’intégralité de la crise covid19, dans ces conditions, relève peut-être du faux et usage de faux. Que des « scientifiques » expriment tel ou tel avis alarmiste pro-autorités n’en fait en rien une vérité scientifique démontrée, requérant examen contradictoire des hypothèses concurrentes (oui examinées et pas diabolisées insultées comme « irrationnelles »).
3/ Il a enfin mal répondu quand on lui a jeté à la face la « liberté » de ne pas être contaminé par les non-vaccinés. Là, il faut répéter que le scandale numéro 1 est d’imposer un vaccin pas encore sûr, il n’y a pas à mettre en service un vaccin peut-être dangereux au nom de ses bienfaits, peut-être annulés par des défauts gravissimes ou létaux, à 5 ans, pas vu après 1 an. Sinon (preuve par l’absurde), je vois un scénario merveilleux pour tel milliardaire écolo-fanatique trouvant qu’il y a immensément trop d’humains sur Terre : inventer un poison mortel retardé à 4 ans après injection, et l’associer à un tout nouveau médicament contre la malaria ; puis exiger que la planète entière se vaccine contre la malaria (à quelques tests + partout même si les gens ne sont pas malades dans plein d’endroits) « pour protéger » et éradiquer le parasite donc à titre obligatoire immédiat indiscutable ; alors ce sera rendu obligatoire, pour au moins 90% des gens, et 5 ans plus tard, il aura gagné : 90% de l’humanité morte, + grand génocide de l’histoire de l’humanité, sous alibi « sanitaire » prétendu imparable, évident... Non, les rebelles ont raison de refuser tant que la non-létalité n’est pas prouvée (même si la malaria tue, hélas, mais ce n’est pas le sujet premier au sujet de ce « vaccin » prétendu.) Ce n’est en rien une certitude que ce scénario hypothétique cauchemardesque corresponde aux vaccins covid19, mais le principe de précaution impose le doute comme devoir premier. Certes, avec « retard 20 ans », ce ne serait pas détectable par les procédures habituelles, mais avoir (dans le cas anti-covid19) exempté de la vérification « sur animaux puis sur humains pendant 5 ans » est totalement incompréhensible. On ne peut pas affirmer scientifiquement, rationnellement, une innocuité avant d’en avoir établi la preuve expérimentale, pour un nouveau traitement. Cela cache manifestement quelque chose, espérons que ce n’est pas génocidaire, simplement. En attendant, le devoir de précaution devrait faire interdire ce vaccin jusqu’à 5 ans après début des essais humains, et sans traiter la population humaine générale en cobayes « consommables »…

* Ajout 217, 03/08/2021 (6h) Détail légal pas anodin
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/Capital : « Des avocats attaquent le pass sanitaire au Conseil constitutionnel au nom de "50.000 citoyens" » (https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/des-avocats-attaquent-le-pass-sanitaire-au-conseil-constitutionnel-au-nom-de-50-000-citoyens/ar-AAMQccA?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente.
• « “Les vaccins n’ont pas reçu d’autorisation de mise sur le marché définitive (…) Cela pose donc un vrai problème juridique de soumettre les salariés à l’acceptation de ces produits pharmaceutiques”. Rappelons que si des autorisations de mises sur le marché dites “conditionnelles” ont été délivrées par la Commission Européennes aux vaccins, c’est uniquement parce que “les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l'emportent sur le risque inhérent au fait que toutes les données ne sont pas encore disponibles”, rappelle l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé ».
--> Cela ressemble à l’attitude FDA d’acceptation en cas d’hyper urgence mais sans affirmer que tout est documenté, ce qui serait faux. Simplement, en France, les officiels s’abstiennent bien d’avouer que, tant que la non-létalité à 5 ans n’est pas testée, le « principe de précaution », inscrit maintenant dans la constitution, devrait faire interdire ce vaccin prématuré. Il est faux qu’il y a une urgence absolue puisque les décès imputés à covid19 sont moindres que ceux imputés au tabac vendu par l’Etat en toute tranquillité sans crise particulière (et par ailleurs ces décès imputés à covid19 sont très surestimés puisqu’aucunement secondaires à preuve de cause à conséquence : quelqu’un mourant de ses comorbidités mais étant positif covid19, même asymptomatique, est affirmé faussement « tué par covid19 », c’est du faux et usage de faux, et même avec sa stratégie toute pourrie, ça ne justifie même pas l’alarmisme forcené et les exemptions de preuves de non-toxicité à 5 ans).

* Ajout 218, 03/08/2021 bis (7h) Mauvaise référence au passé lointain
  Autre nouvelle, MSN/LeFigaro : « Vaccination : ce qu'on disait, au XVIIIe siècle, du recours à la contrainte en matière de santé publique » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/vaccination-ce-qu-on-disait-au-xviiie-si%C3%A8cle-du-recours-%C3%A0-la-contrainte-en-mati%C3%A8re-de-sant%C3%A9-publique/ar-AAMQIyb?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente.
• « (…) ʺLa liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autruiʺ. L’adage est connu de tous, mais ne cesse d’être dévoyé depuis le début de l’épidémie. À tel point que cette maxime jadis conçue pour limiter les interférences abusives du magistrat dans la vie des citoyens se mue en un alibi pour les justifier. Alors que la tradition politique occidentale affecte exclusivement la force armée à la lutte contre les criminels, son rôle évolue dans un sens inquiétant. Hier, on mandatait des policiers, non pour traquer lesdits criminels, mais pour assigner tout un peuple à résidence lors de confinements successifs qui n’avaient même pas été imposés, jadis, lors de la grippe espagnole. On propose désormais que ces policiers infligent des amendes et des peines de prison aux responsables des établissements et des rassemblements qui ne discriminent pas leur public sur une base sanitaire. »
--> Cette réflexion historique est effectivement intéressante, j’ajouterais toutefois un point : c’est dans le principe-même de police qu’il y a un problème, une ambivalence inconfortable. La police d’une part protège les innocents des méchants (merci) d’autre part elle protège les gouvernants de la contestation (c’est moche, tyrannique). On l’a vue avec les manifestants Gilets Jaunes éborgnés, la rancœur anti-police étant alors décriée en affirmant « mais la police vous protège ! ». A mon avis elle ne devrait que protéger les gens contre les méchants, pas protéger les gouvernants contre le peuple, j’y vois une faute lourde.
• « Quoique nécessaires, la lutte collective contre l’épidémie et la promotion de la vaccination contre le Covid-19 justifient-elles ces mesures extrêmes ? »
--> Ce n’est là nullement un propos journalistique objectif mais un cri militant pro-vaccination, n’envisageant en rien de rien les objections. C’est un article tout pourri, intellectuellement malhonnête.
• « “À circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles“, fait valoir le parti sécuritaire. Ce à quoi (…) répondent (…) que les libertés ne sont pas un privilège pour temps calmes. En réalité, elles ont été proclamées en des temps plus difficiles. »
--> Cette contestation ne me parait pas la plus judicieuse. Personnellement, ce qui me choque est qu’il ne s’agit pas de circonstances exceptionnelles, covid19 tuant moins que le tabac vendu par l’Etat, ce n’est pas une monstruosité abominable autorisant tous les débordements.
• « (…) XVIIIe siècle (…) l’ancêtre de la vaccination qu’est l’inoculation, juge en 1764 que la santé fait partie des choses "qu’un gouvernement sage abandonne à la discrétion des particuliers". Deux ans plus tard, un autre partisan de l’inoculation (…) suggère dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert que l’inoculation forcée correspond davantage aux mœurs d’une Cité totalitaire comme Sparte qu’à celles des nations modernes, tout en tablant sur le fait que l’encouragement, l’exemple et l’éducation suffiront à terme à diffuser cette pratique sanitaire utile. En 1808, Joseph Fouché, pourtant réputé être un ministre de l’Intérieur très autoritaire sous Napoléon, refuse d’imposer la nouvelle technique vaccinale (…) à l’ensemble de la population : “la douceur et la persuasion sont les moyens les plus efficaces pour faire le succès de la nouvelle inoculation“ (…) la conflictualité que l’idéal d’autodétermination porté par les Lumières entretient avec l’inoculation forcée : “jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, il parut impossible politiquement et moralement de l’imposer aux individus“ »
--> Je note simplement comme menteur que les politiciens de maintenant clament incarner les Lumières avec leur vaccination forcée (au nom de la Raison, en refusant d’entendre les objections, diabolisées sans examen)…
• « Il fallut attendre 1902 pour observer l’instauration d’une contrainte vaccinale générale en France, contre la variole. Le statut des Français a alors été aligné sur celui des colonisés qui subissaient déjà un paternalisme rigoureux (…) “les populations colonisées sont d’emblée considérées comme des citoyens de seconde zone qu’il faut éduquer et protéger, y compris contre elles-mêmes“ (…) Voilà qui en dit long sur la mentalité qui sous-tend l’usage de la force en santé publique. »
--> Effectivement, les gouvernants traitent les résistants à la vaccination comme sous-humains n’ayant plu’ de droits, que celui d’obéir à la quarantaine imposée (alors que l’immense majorité n’est pas contaminée)…
• « Concédons un point aux apôtres de la force. La lutte contre une épidémie est un projet social qui requiert un haut niveau de coordination au sein d’une collectivité. Mais le but d’une société civilisée est de faire rimer coordination avec coopération plutôt qu’avec coercition. »
--> Je ne suis pas d’accord avec les présupposés de cet article, hyper-engagé et pas objectif. Il affirme que la vaccination est parfaite, à faire, mais qu’au lieu de l’imposer par la force il convient d’y inciter par pédagogie. C’est atroce de mauvaise foi : la prétendue « pédagogie » ne viendrait pas de sachants honnêtes mais de militants malhonnêtes refusant les objections scientifiques imparables (après 1 an de remède nouveau, on ignore tout de sa toxicité à 5 ans, on ne peut donc pas le dire bon immédiatement, pas du tout, ce n’est pas un manque d’explication/coopération, c’est qu’un mensonge veut écraser les gens, escomptés malléables sans intelligence critique).
• « le scénario d’une planète entièrement vaccinée est souhaitable. Il existe bien des principes non négociables qui gouvernent l’action collective. Si l’autodétermination des peuples fait partie de ces principes, le consentement individuel aussi. »
--> Que la planète soit entièrement vaccinée avec un vaccin sûr n’a aucun rapport avec la question actuelle : pourquoi vacciner avec un vaccin exempté des preuves expérimentales de son innocuité à 5 ans (qui était normalement requise de tous les remèdes depuis le scandale thalidomide). A ne pas poser les bonnes questions, on ne risque pas de trouver les bonnes réponses…
• « Mais, dira-t-on, ce consentement ne revient-il pas en l’occurrence à conférer au non-vacciné un permis de contaminer son prochain ? ».
--> C’est encore mal pensé : tant que le vaccin peut tuer, le refuser semble un droit élémentaire, il n’y a aucunement à accuser les refuseurs de gêner les bénéfices prétendus de ce vaccin.
• « (…) sciences humaines (…) littérature scientifique (…) prix Nobel d’économie (…) qui explique comment réguler ces risques sans recourir à des mesures policières, de manière consensuelle, par la négociation contractuelle chaque fois qu’elle est possible. »
--> Je ne crois pas que l’économie (et les autres sciences humaines) soient des sciences : elles sont du bla-bla expliquant tout et son contraire, sans valeur prédictive testable. Par ailleurs, cette prétendue négociation consiste à faire accepter le Bien (prétendu) par le quidam (imbécile rebelle), alors que la situation covid19-2021 est toute autre : le menteur dominant veut écraser le rebelle plein d’arguments imparables.
• « (…) Les vaccinés auraient le loisir de former des clubs réservés aux inoculés. Tandis que les irrationnels qui préfèrent le risque viral à la solution vaccinale ne pourront plus imposer aux autres un risque non consenti. »
--> Mensonge, total ; les refuseurs ne sont pas des irrationnels mais davantage rationnels que les vaccinés (fanatiques ou trompés par la propagande, ou couchés sous les menaces).
• « Les critiques du passe sanitaire impératif seraient d’ailleurs plus crédibles s’ils militaient pour le droit de leurs concitoyens d’exiger ce document aux portes de leur entreprise et de leur domicile. Sans quoi la liberté qu’ils revendiquent n’est qu’un permis de contaminer aussi injustifié que les mesures impératives qu’ils dénoncent et qui négligent le coût qu’elles infligent à la collectivité. »
--> Si le vaccin tue tout le monde 4 ans après injection (hypothèse qui n’a pas été démentie puisque pas encore testée), le coût pour la collectivité sera bien plus immense que celui mentionné ici, malhonnêtement. Quant à dire que a liberté de refuser ce vaccin est « injustifiée », c’est une affirmation fanatique elle-même injustifiée, balayée par une foule d’arguments, sur les risques non pris en compte, sous pression gouvernementale et financière.
• « (…) prix Nobel d'économie (…) sans recourir à des mesures policières (…) un prix d’accès assez forts (…). »
--> Après la discrimination des non-vaccinés, voici la discrimination des pas-riches, quelle horreur !
• « (…) les assurances sociales et les hôpitaux seraient fondés à conditionner le remboursement des frais d’hospitalisation ou une prise en charge liée au Covid à la vaccination. »
--> C’est seulement oublier que cette vaccination est une mise en danger de soi-même, puisque l’innocuité à 5 ans n’a en rien été établie pour les vaccins anti-covid19. Pénaliser financièrement ceux qui ont refusé cette prise de risque revient à une extorsion de fonds à l’encontre des lucides, seuls les moutons benêts bénéficiant du système de protection collective. Effarant !
• « Les non-vaccinés ne pourraient pas répercuter le coût de leur attitude sur la collectivité. Puisque ces derniers se plaisent à sous-estimer la dangerosité du virus, ils ne verront aucun inconvénient à renoncer à une prise en charge inutile à leurs yeux. (…) l’incitation négative (…) moyen de lutter contre l’épidémie sans enfreindre le principe de consentement »
--> Le journaliste écrivant cela n’a rien compris : actuellement, les gens hospitalisés pour souffrance quelconque (cardio-vasculaire, diabète aigu, etc.) sont affirmés (sans preuve aucune) « victimes de covid » s’ils ont un test covid positif, même si le virus est chez eux asymptomatique. Or avec ce nouveau système, préconisé par cet imbécile, ne seraient plu’ remboursés les souffrants « fautifs » d’avoir un tel test positif (asymptomatique, mais ce n’est pas dit, sans aucune preuve du contraire pourtant).
• « (…) Dans le passé, il n’était pas rare de voir des collectivités françaises rémunérer ceux qui se vaccinaient contre la variole. Aujourd’hui, la presse recense les cas d’entreprises aux États-Unis qui indemnisent leurs collaborateurs qui se font vacciner. Certains États organisent des loteries réservées aux inoculés. Autant de pratiques paisibles dont nous gagnerions à nous inspirer »
--> Acheter les gens (leur consentement) est horrible si ça peut les tuer. (C'est pire que l'achat de sang à Haîti, les pauvres devant donner leur sang pour ne pas mourir de faim). Il est effrayant que pareille idée soit estimée magnifique (le fric jouant avec la vie humaine). Et si ça venait secrètement d'un milliardaire écolo voulant diviser par 10 la populationn humaine sur Terre par un vaccin tueur en retard de 4 ans, ce serait une aubaine qu'il n'ait à payer que quelques dollars pour que les gens acceptent d'être tués, une énorme couche de mensonges évitant de dire que c'est une mise à mort...
• « (…) nos sociétés doivent apprendre à résoudre leurs défis sécuritaires et sanitaires sans empiler les mesures policières, sans quoi elles s’exposent à des maux plus grands que ceux qu’elles prétendent combattre. »
--> C’est mal pensé, encore une fois, cela ne serait valable que si les refuseurs étaient des abrutis profonds à diriger avec douceur sans violence, mais le problème est inverse : ces refuseurs ont des arguments imparables et les forceurs en face sont des menteurs ou/et abrutis.

* Ajout 219, 04/08/2021 (10h) Explication honnête ?
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/ETXDailyUp qui semblait prometteuse : « Pourquoi certaines personnes hésitent-elles à se faire vacciner ? » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/fitness/pourquoi-certaines-personnes-h%C3%A9sitent-elles-%C3%A0-se-faire-vacciner/ar-AAMTKEf?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente
• « Pour comprendre pourquoi certaines personnes refusent de se faire vacciner ou retardent leur première injection, une étude polonaise s'est intéressée à leurs arguments. Si les scientifiques se montrent assez pessimistes pour convaincre les antivax de changer d'avis et de se faire vacciner contre le Covid-19, ils préconisent de concentrer les efforts sur les personnes indécises au sujet de la vaccination. »
--> C’est mal parti, cet article, présupposant que « les scientifiques » sont tous favorables à ce vaccin dès maintenant, ce qui est faux, pure propagande.
• « Des chercheurs (…) ont analysé les discours de personnes s'auto déclarant "anti-vaccin". Publiée (…) l'étude, réalisée en ligne via un questionnaire, s'est basée sur un premier panel de 3.000 Polonais représentatifs de la population. Seules les personnes répondant que le vaccin "fait plus de mal que de bien", ont été retenues pour la suite de l'étude, à savoir 493 personnes. »
--> Ça se confirme stupide malhonnête, et que ces prétendus « chercheurs » se prétendent scientifiques n’empêche en rien qu’ils soient des idiots à intelligence déficiente. En effet, la question n’est pas entre l’affirmation « c’est mal » contre l’affirmation « c’est bien », le problème colossal est que les autorités clament « c’est bien » alors que la logique dit « on n’en sait rien (donc il ne faut pas le faire compte tenu du principe de précaution ou des règles pharmacologiques usuelles depuis le scandale thalidomide) ». En passant à côté du sujet, je crains que les « chercheurs » aboutissent à de fausses conclusions, déjugeant la cause en n’ayant éliminé les arguments rationnels imparables qui leur font face. Escroquerie, pseudo-science pourrie.
• « Ces dernières ont été classées en deux catégories, les antivaccins et les sceptiques. »
--> Si les avis sceptiques sont pris en compte, c’est bien mais sa contredit la phrase précédente, donc auto-contradictoire, nulle.
• « (…) une série d'affirmations retrouvées chez les anti vaccins polonais. (…) s'est concentrée sur la place de l'expérience face aux inquiétudes liées à la vaccination. (…) après une vaccination étaient davantage convaincues que la vaccination pouvait causer de graves problèmes de santé" (comme l'autisme ou une faiblesse générale à long terme), rapporte l'étude. "Cependant, elles étaient également convaincues par d'autres arguments antivaccins, non liés aux effets secondaires des vaccins - comme l'opinion selon laquelle les vaccins ne protègent pas contre les maladies graves et ne diminuent pas le risque d'épidémies". »
--> Hein ? Il s’agit de la vaccination en général ? Pas spécialement anti-covid19 prématurée après 1 an d’études ? C’est totalement hors-sujet pour le problème actuel. Donc les conclusions seront erronées, fautives par amalgame (chez le lecteur, puisque les auteurs ont dévié par rapport au sujet de grande actualité). Certes, c’était encouragé par autorités et journalistes classant les « anti-vaccin-covid19 » sous le vocable « anti-vax » comme ceux refusant tout vaccin quel qu’il soit. Cela relève de la manipulation diabolisant les oppositions en les assimilant à tel groupuscule extrémiste pour les disqualifier, à tort. Cela relève de la malhonnêteté pseudo-intellectuelle, de la rhétorique menteuse, ce n’est en rien scientifique mais politique fanatique.
• « Un méli-mélo d'arguments (…) certaines affirmations ne présentaient pas de lien avec l'injection (telle que l'autisme ou l'apparition d'allergies). »
--> Comme l’affirmation de « cause à conséquence » est immensément difficile à établir, l’affirmation de « non-lien » est extrêmement difficile à établir (si l'on était honnête, pas comme l'industrie classant le "pas prouvé mauvais" en "prouvé bon" alors que la vraie conclusion logico-mathématique est "pas de conclusion"). Ici c’est parachuté comme vérité sans le moindre argument, c’est invalide. Ça confirme que ce n’est en rien scientifique, c’est du bla-bla relevant de la propagande.
• « (…) des explications "vagues". (…) Il peut alors s'agir du "biais de confirmation", à savoir "un individu qui recherche activement des informations cohérentes avec son hypothèse préexistante et évite les informations indiquant des explications alternatives", expliquent les chercheurs, ce qui renforce les croyances. »
--> Oui, mais en l’occurrence les croyances des antivaccins ne sont pas différentes sur le principe des croyances des pro-vaccins. Honnêtement, ce ne serait pas un argument pour déjuger les antivaccins.
• « Une course pour convaincre les indécis. Les participants encore indécis sur le vaccin "sont pour la plupart confiants dans l'efficacité des vaccins", rapporte le résumé de l'étude, "ainsi que dans le fait qu'ils faisaient l'objet de recherches appropriées". »
--> Cela exclut encore une fois les arguments principaux contre le vaccin anti-covid19, pour lequel les recherches ont été bâclées, « pas besoin » pour plein d’éléments essentiels à réponse potentiellement rédhibitoire. Mais certes, en se centrant sur « les vaccins en général », on passe à côté du sujet, cet article (cette publication) mérite la poubelle direct.
• « Cependant, leur confiance reste à gagner, car ils sont "sensibles aux déclarations du mouvement antivaccin sur les effets secondaires et le complot des Big Pharma". »
--> Parler d’effets secondaires est commettre un amalgame une nouvelle fois fautif : pour les vaccins anti-covid il y a les effets secondaires à court terme connus (surestimés par certains antivaccins) et les effets à long terme totalement inconnus (affirmés inexistants pat les autorités et faux experts, seuls médiatisés).
• « En étudiant la position "ambivalente" des indécis, les chercheurs espèrent trouver les arguments les plus susceptibles de faire pencher la balance de leur côté. C'est un enjeu de taille car ils représentent une "part plus importante que les anti-vaccins". »
--> C’est là avoué en clair : les chercheurs de cette étude sont du côté pro-vaccin, nullement objectifs prêts à basculer du côté antivaccin en cas d’arguments pertinents. C’est bien de la propagande unilatérale, orientée, anti-scientifique.
• « Les chercheurs sont a contrario sceptiques quant à la possibilité de faire changer d'avis un anti-vaccin. »
--> « Bien sûr », il n’est nullement envisagé que l’antivaccin ait raison, amenant le chercheur à changer d’avis. Ce n’est en rien une analyse en débat contradictoire honnête, c’est plutôt un compte-rendu de campagne d’endoctrinement, envisageant de ne pas réussir à 100% le lavage de cerveau escompté. Donc cet article est un mensonge organisé, prétendant expliquer ce qu’ont à dire les opposants, et cachant leurs arguments valides, pour se centrer exclusivement sur les points contestables de quelques fanatiques. Cet article est une merde, malhonnête au dernier degré. Comme les télévisions (et leurs prétendus « débats »), certes, guère pire, sauf qu’ici c’est prétendu scientifique et non avec l’habituelle réserve « je dis ça mais je ne suis pas scientifique ! ».
  Euh, est-ce que, quand les 5 ans seront atteints sans avalanche de morts parmi les vaccinés, je reconnaitrai mes torts, absolus ? Pas du tout : une faute immense a été commise, bravant le principe de précaution (qui certes bloque pour rien dans plus de 50% des cas) et ça semble cacher quelque chose d'indicible. Il faudrait donc que les fautifs (de validation prématurée sans expérience) soient poursuivis, avec investigation approfondie sur leurs motivations (secrètes sauf débilité non-responsable), alors cela deviendra clair, et avoir tant retardé cette explication justifie ma position, pas fautive mais juste (même si apparemment inutile dans ce cas comme bien souvent quand s'applique le principe de précaution, envisageant le mal sans le prétendre prouvé certain futur).

* Ajout 220, 04/08/2021 bis (11h) Examen de définitions
  La "pédagogie" est puissamment demandée/préconisée pour ramener (sans les coups de bâton prévus jusqu'ici) les anti-vaccin-covid dans le « bon » camp. Je doutais mais je vérifie :
  Selon Google : « pédagogie = Science de l'éducation des enfants (et, par extension, des adultes) ; méthode d'enseignement. »
« enseignement = Action, art d'enseigner, de transmettre des connaissances. »
« éducation = Mise en œuvre des moyens propres à assurer la formation et le développement d'un être humain »
« connaissance = Avoir connaissance de, connaître, savoir. »
« savoir = (…) réel (…) pouvoir affirmer l'existence de »
--> Bref, la pédagogie est réservée aux sachants, mais… « pouvoir affirmer l’existence de », c’est nul puisqu’on peut affirmer à tort, on « peut » se tromper ! Qui plus est, la notion d’ « affirmer l’existence réelle » est un aveu de profonde bêtise philosophique, oubliant/interdisant l’hypothèse du rêve, mal évacuée par l’escroc René Descartes (« discours de la méthode »), ne s’en sortant qu’en appelant à l’Inquisition Religieuse, faute d’argument. Même scientifiquement, en aval du choix axiomatique d’oublier l’hypothèse du rêve, ça reste invalide pour le vaccin anti-covid-19 : 1 an après, la non-léthalité-à-5-ans (exigence systématique en pharmacologie) n’est en rien un savoir, une preuve de non-existence, c’est une hypothèse, consolidée par domination sociale, comme le dénonçait pour la fausse science Paul Feyerabend (« contre la méthode, théorie anarchiste de la connaissance »).
  Bref, la fausse connaissance s’impose dictatorialement, en invoquant à tort la Raison. Appeler ça « pédagogie » est faux si on prétend que c’est « à juste titre », mais si « la loi du plus fort » l’emporte, oui on peut dire n’importe quoi, y compris « pédagogie », « La Vérité » (« pravda » stalinienne). Dictature oui, de la bêtise méchante se prétendant Raison et bonne.
  Par ailleurs, j’entends à la télévision ce jour l’expression « les malades du covid », « les morts du covid », cela me semble faux. Enfin, il semble trop tôt pour parler de définition officielle, mais en pratique, visiblement, on appelle « malade du covid » quiconque est malade avec test positif au virus sars-cov-2, même si celui-ci est asymptomatique sans maladie covid proprement dite (Co-Vi-D signifie Maladie [= Disease] du Virus Corona). C’est une contradiction de principe, un mensonge organisé, pour affoler au maximum, et (ou « pour » ?) justifier le flicage maximal de la population… De même pour les morts, la positivité au test sars-cov-2 dispense en pratique de la moindre preuve que c’est la maladie covid19 qui a tué, faux et usage de faux.

* Ajout 221, 04/08/2021 ter (18h) Analyse d’un colonel prenant des risques ?
  On m’a transmis les propos de Jacques Amiot, colonel français (de l’Armée de l’Air puisque posant devant un avion de chasse ?), à https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10159553304119074&id=682684073 . Qu’est-ce que je pense de ce réquisitoire contre nos dirigeants dits criminels dans cette affaire covid19 et vaccin lié ? Je suis partiellement d’accord mais pas intégralement. J’aurais voulu citer ce que je n’approuve pas et y répondre, texte en main, mais c’est informatiquement bétonné contre le copier/coller, ici, pour une raison indéterminée (il semble que c’est un texte scanné comme image pdf et non enregistré comme texte pdf). Alors je vais relire et commenter en racontant approximativement avec quelles idées je suis en désaccord. Enfin, finalement mon outil d’export pdf donne partiellement accès aux mots superposés aux images, et je vais pouvoir citer, en partie.
• « Dont acte ? "Messieurs, je ne vous salue pas car un militaire ne salue jamais des criminels." Colonel Jacques Amiot Besançon le 28 juillet 2021 »
--> Au contraire tout à fait, je juge que plein de militaires sont des criminels (qui s’entre-saluent protocolairement), comme le général Butcher Harris ayant organisé le massacre des bébés allemands par le feu en 1944-45, l’aviateur chef de bord ayant lancé la bombe atomique sur les civils d’Hiroshima, etc. déclarés héros par nos « historiens » de pure propagande, avec fausse justice ne les poursuivant en rien pour crimes de guerre ou crimes contre l’humanité, alors qu’il y a immensément davantage de morts innocents qu’à Srebrenica. Les militaires sont par principe des tueurs, et ne me semblent pas avoir de leçons à donner en matière de crime. Cela dit, en période de non-guerre, oui un citoyen militaire peut émettre des jugements intéressants voire justes, sur les mauvais dirigeants qui le commandent et le paient. Même si légalement il n’a peut-être pas le droit, moi je suis intéressé et je l’approuve de lancer l’alerte.
• « Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la santé, Quoi qu’il puisse m’en coûter je n’hésite pas à affirmer que vous êtes des criminels et j’associe à cette accusation tous ceux qui vous soutiennent dans votre funeste besogne : certains élus, journalistes, (je ne généralise pas). »
--> Si c’est à titre de jugement, c’est invalide puisque n’a pas été entendue la défense par les accusés ou leurs avocats. Si c’est un réquisitoire d’accusation, c’est possible mais le système est tellement pourri que c’est réservé aux procureurs nommés par le pouvoir, donc protégé des accusations… Il aurait fallu en dire un mot, comme « je rêve qu’en démocratie, vraie (à la Suisse), le peuple puisse mettre les dirigeants élus en accusation s’ils fautent en actes ou lois impopulaires ou actions pouvant tuer leurs administrés, voici donc ce que serait cet acte d’accusation imaginaire, à mon idée personnelle (proposition pour un référendum d’initiative populaire à choix multiple, parmi 8 listes d’accusations par exemple) ».
• « Vos premiers crimes remontent au début de 2020 quand, par décret, vous avez refusé aux médecins généralistes la possibilité de soigner leurs patients sous des prétextes fallacieux. Depuis cette époque vous avez des dizaines de milliers de morts sur la conscience car beaucoup de nos concitoyens auraient pu être traités et sauvés. Je vous défie de me prouver le contraire »
--> Personnellement, la gouvernance par décret ne me parait pas plus scandaleuse que par le vote parlementaire de faux représentants, trahisseurs de référendum et immensément plus payés que la médiane des salaires. C’est le principe de république qui est tout pourri, pas spécialement un président court-circuitant les parlementaires. La seule solution serait le Référendum d’Initiative Populaire, jetant les faux-représentants trahissant le peuple après élection, qui ne serait nullement un chèque en blanc pour 5 ans. Par ailleurs, je suis en désaccord total avec le principe d’exiger de l’adversaire la charge de la preuve, ce qui me donne raison en cas de doute ; non, l’attitude intellectuellement et moralement correcte consiste à déclarer qu’il y a doute là où il y a doute, en donnant tort aux affirmatifs sans preuve (ici, le colonel ne fait pas mieux que les gouvernants, il fait pareil en sens inverse). Personnellement, je ne suis pas du tout sûr que covid19 ait fait des dizaines de milliers de morts en France, tant par faute du gouvernement (selon le colonel) que par maladie virale malgré les mesures des gouvernants (selon eux). Il se pourrait que la positivité sars-cov-2 ne corresponde à aucune maladie (coviD-19 n’existerait pas), le classement étant erroné pour les morts de vieillesse ou comorbidités ayant par hasard un test sars-cov-2 positif asymptomatique. Ça se discute en tout cas (si c’était permis, sans hurlements diabolisateurs des gouvernants et leurs alliés, « opposition » politicienne comprise), l’accusation du colonel me semble prématurée, peut-être mensongère. Une réserve à ce que je viens de dire : j’envisage que des milliers de vieilles personnes soient décédées en avance à cause de la procédure dite covid19 de les mettre en coma artificiel. En Mai-Août 1984, lors de mon stage de fin d’études puis premier emploi, une jeune collègue a eu sa grand-mère qui a subi un accident : en voulant écraser une mouche avec sa béquille, elle a chuté et s’est fracturée le col du fémur, opération pour installer une prothèse de hanche, sous anesthésie générale, et elle en est morte, tout le monde disant « oui, c’est le risque bien connu ; l’anesthésie générale est souvent fatale pour les personnes très âgées » ; 36 ans avant covid19, on savait qu’il est potentiellement tueur d’endormir les anciens, y avoir eu recours en routine covid19 a pu tuer en masse… Mais c’est une erreur médicale, pas politicienne. Qui plus est, ça ne permet pas de juger qu’il y a eu crime : quand j’ai été hospitalisé en 1998-2000, j’ai subi une dizaine d’opérations sous anesthésie générale, et chaque fois les médecins m’ont fait signer une décharge : « je soussigné… ai été informé des risques de l’anesthésie, que j’accepte » (si je meurs, c’est de ma faute)… Bref, les tueurs ne seraient pas criminels légalement. C’est moche mais organisé ainsi, avec des justificatifs d’assurances je crois (aux USA sans ces décharges, les chirurgiens n’acceptent presque plu’ d’opérer, le risque financier étant trop grand pour eux).
• « car, partout dans le monde, des médicaments ont prouvé leur efficacité. Début 2020 on a aussi découvert que la Chloroquine, largement utilisée depuis plus de 70 ans notamment en Afrique, était mystérieusement devenue un produit dangereux. Le seul but de cette décision totalement illogique et condamnable a été de pouvoir imposer un ʺvaccinʺ en tentant de justifier qu’il n’y avait pas d’autres solutions. La vérité finira par éclater ; vous ne pourrez pas encore la cacher bien longtemps. Depuis plus d’un an le général D (…) a démontré que les pays qui pratiquent les traitements précoces ont proportionnellement beaucoup moins de décès que la France ; bien tardivement l’Institut Pasteur vient d’ailleurs de confirmer l’intérêt de l’Ivermectine. »
--> Personnellement, je n’ai jamais vu cette prétendue preuve de l’efficacité de chloroquine et/ou ivermectine, à mon avis c’est à examiner avec immense soin et réplication de confirmation avant d’être déclaré probant. Ici le colonel se comporte en croyant, de ce qui l’arrange pour criminaliser les gouvernants, ce n’est pas convaincant objectivement. A ma connaissance, il n’est pas prouvé que sars-cov-2 est pathogène alors un placébo « employé tôt aux premiers signes » aurait pu faire aussi bien que la chloroquine, les guérisons spontanées étant à tort comptabilisées « succès thérapeutiques ». Par ailleurs, les comparaisons entre pays ont potentiellement plein de tiers-facteurs biaisant la comparaison (climat, pyramide des âges, etc.), pouvant produire des différences pour d’autres raisons que le paramètre examiné, ce n’est pas en soi démonstratif, « cela peut inciter à penser que », oui, mais ce n’est pas assez pour condamner à coup sûr, comme « criminels » (du moins si la justice était juste, ce qu’elle n’est pas, mais c’est un autre sujet).
• « (…) Vous êtes des criminels car, toujours en raison de ce refus de soins, les hôpitaux ont été engorgés, des opérations et des soins urgents ont été repoussés avec pour conséquences de nombreux décès ; sans parler de "l’assassinat" de personnes âgées par le Rivotril par manque de moyens en raison de votre incurie. »
--> Le colonel affirme des choses que je n’ai a priori pas de raisons de croire (pas davantage que je n’ai de raison de croire les gouvernants) : je n’ai pas vu de statistiques des décès par soins urgents repoussés. Par ailleurs, les journalistes ont expliqué que « les hôpitaux engorgés » en hiver n’étaient en rien une nouveauté spéciale covid19 mais pour eux un « marronnier » : un reportage super-classique refait chaque année à la même époque, depuis bien avant covid19. De même les grèves du personnel hospitalier duraient depuis des années, protestant sans être écoutés. Cela a été détourné malhonnêtement par le pouvoir prétendant que la crise hospitalière était entièrement due à covid19, mais ce détournement n’est pas davantage tueur que le laisser-faire habituel.
• « Vous êtes des criminels car, toujours pour cette raison, vous avez provoqué l’effondrement de l’économie avec pour conséquence un chômage de masse, des suicides… »
--> Euh, ce n’est pas convaincant : si le succès de MacDo entraine la banqueroute de Burger King, avec dix suicides de néo-chômeurs de cette entreprise, va-t-on déclarer criminels chez MacDo les employés (ou dirigeants, ou cadres ou quoi ?) ? Ce sont les rudes lois de l’économie, affirmer que c’est un scandale tueur n’est pas objectif mais fanatique du côté politique anticapitaliste anti-commerce etc. Certes, si tout le monde était fonctionnaire à travail éternel, ça n’arriverait pas, mais la performance serait nulle et ce serait la misère, c’est ce qui est arrivé à l’URSS, finalement effondré. Que nos gouvernants aient fait grand mal à l’économie, au nom de cette crise covid19, je suis d’accord (et il y a eu immense mensonge du prétendu ultra-libéral Macron gendarmant ça avec immense sévérité, état policier) et je ne serais pas choqué si on exige (demain en 2022 ?) qu’ils remboursent tant de centaines de milliards, ou prison à vie si insolvables à ce niveau, mais ce n’est pas plus tueur que l’économie occidentale normale. Non. Mais attention, je ne dis pas du tout : « nos gouvernants ne sont pas criminels », c’est simplement très-fautifs sur un point différent – voir au paragraphe suivant.
• « (…) je ne critique pas ceux qui se font "vacciner" car c’est leur choix qui, souvent, a été largement provoqué par la propagande de médias aux ordres. Il ne faut pas s’étonner de cette attitude de nombreux médias car beaucoup sont la propriété de ceux qui vous ont propulsé au pouvoir par effraction, avec l’aide efficace de la justice, qui a bien opportunément disqualifié monsieur Fillon. Il est par contre monstrueux de vouloir injecter de force aux Français des produits, toujours en cours d’expérimentation et dont on ne connait absolument pas les effets notamment à moyen-long terme. Les Français, à vos yeux, ne sont rien d’autres que des cobayes soumis au bon vouloir de puissants laboratoires pharmaceutiques. »
--> Oui, là est le point clé, qui n’aurait pas dû être noyé dans de mauvaises accusations (point précédent). Si ces vaccins s’avèrent tueurs 4 ans après inoculation (et personne n’en sait rien actuellement, puisque l’expérience n’a pas été faite et les modèles sont très douteux sans aucune valeur de « vérité scientifique ») alors nos gouvernants seront immensément plus criminels que des contributeurs partiels à quelques suicides, ils seraient immenses criminels contre l’humanité, coupables du plus grand génocide jamais commis. Mais, à l’heure actuelle, ce n’est pas avéré, ils sont simplement coupables de faute immense pour n’avoir pas respecté le principe de précaution et les procédures officielles en pharmacologie, sans explication et avec tonnes de mensonges prétendant ces vaccins sûrs, alors que le doute devrait être total, rédhibitoire pendant cinq ans pour validation habituelle. Laisser mourir des gens pendant ce temps-là (si sars-cov-2 est gravement pathogène parfois, pas toujours asymptomatique ?), c’est un peu regrettable mais c’est moins grave que de peut-être assassiner des milliards de gens trompés.
• « Manifestement vous accomplissez scrupuleusement la feuille de route prévue depuis longtemps par les mondialistes dont le seul souci est d’imposer un ʺvaccinʺ afin d’engranger des milliards de dollars. »
--> Là, c’est le colonel que je trouve coupable de bêtise. Il n’y a pas « les mondialistes » comme groupe homogène de mauvaises gens écrasant les gens purs que seraient les nationalistes comme ce colonel. Je suis anti-frontières (sincère : pour les milliards de personnes migrantes potentielles et pas seulement les capitaux et marchandises) donc mondialiste mais conscient que cela ruinerait la fortune occidentale (juste punition pour la fortune héritée de l’envahissement tueur de l’Amérique, recel de crime contre l’humanité « oublié » par la loi Gayssot, hum…). Mon but est un partage mondial de l’effort et de sa rétribution, tout au contraire des capitalistes exploiteurs sans vergogne, et que je sois amalgamé avec eux est une insulte idiote, presque « criminelle » (contre l’honnêteté intellectuelle). Colonel, cela ruine tout à votre lettre, car vous serez accusable d’œuvrer pour les hypernationalistes comme Marine Le Pen, et diabolisé à ce titre. Peut-être même seriez-vous un sous-marin de Macron, infiltré en camp Le Pen pour émettre de mauvaises accusations, avant que le camp Macron ne hurle « ceux qui nous traitent de criminels sont aberrants cachant leur but politique de prendre le pouvoir par le mensonge ». Je n’affirme pas que c’est la situation, j’envisage. Ce mot-là sur les mondialistes, totalement hors-sujet, ruine tout à mon avis. Il aurait fallu dire « les hyper-capitalistes mondialistes » pas « les mondialistes (tous) ».
• « Pour imposer cette feuille de route vous avez constamment menti aux français et gouverné par la peur, des cas, des hospitalisations, des décès largement surévalués. Les mesures que vous avez décidées le 12 juillet sont le fruit de l’imagination de psychopathes tyranniques. »
--> Encore une fois, ce n’est pas totalement faux mais immensément mal dit. Il ne suffit pas de dire qu’il y a eu mensonges, les autres en face disant que non et que c’est cette accusation qui est mensonge. Il faut et suffit de dire que, 1 an après découverte d’un vaccin, il est totalement mensonger d’affirmer qu’on « sait » son absence de toxicité-léthalité cinq ans après injection (ce qui était documenté toujours par l’industrie pharmaceutique, avant cette invraisemblable exemption pour ces vaccins anti-covid19), ce mensonge-là, immensément évident indéniable est un million de fois plus probant que les mots en l’air « vous avez menti, je le sais ». De même, il est très moche d’affirmer que le problème des gouvernants relève de la maladie mentale ou psycho-sociale, cette étiquette est celle qu’employaient les atroces dictateurs staliniens, et là n’est aucunement le facteur-clé (ni en excuse ni en culpabilité). Hors-sujet, rendant les autres accusations suspectes, ça gâche tout.
• « Nous faisons partie des cinq pays du monde à être rentré dans une tyrannie plus que draconienne. Qu’est devenue la patrie des droits de l’homme ? »
--> Oui et non. Effectivement, l’autoritarisme punitif est une forme de tyrannie, mais il faudrait préciser : « petite tyrannie mal déguisée en démocratie, n’annulant pas les élections ». Quant aux droits de l’homme, contrairement à la propagande partout, j’en ai démontré la bêtise profonde, criminalité morale (alliance aux religions massacreuses, à la xénophobie causant les guerres) et faute intellectuelle (interdisant le scepticisme sans preuve d’erreur), et faire appel à cette prétendue grande cause signe un « oubli de réfléchir » (manque d’intelligence critique), au nom de la nation qui plus est, confirmant le caractère partisan hypernationaliste, ce qui discrédite l’objectivité du propos.
• « Par plusieurs lectures j’ai compris que pour imposer une gouvernance mondiale les mondialistes devaient préalablement éliminer les nations souveraines ; j’avais encore un léger doute mais je n’en ai plus. »
--> Encore une fois, il ne s’agit pas de « les mondialistes » mais « certains mondialistes, assoiffés de pouvoir universel », alors que je suis un mondialiste souhaitant le référendum d’initiative populaire, cassant les dominances indues. Erreur de réflexion, certitude erronée.
• « Messieurs Klaus Schwab, Jacques Attali, Georges Soros, Bill Gates, Anthony Faucy, et beaucoup d’autres (…) se prennent déjà pour les maitres du monde. Avec eux vous participez donc activement à la destruction de la France, et actuellement vous nous préparez le coup du variant Delta, certainement pas plus létal que les précédents, de manière à soumettre encore un peu plus le peuple. »
--> Ces personnes citées, dominatrices, n’incarnent en rien l’ensemble des mondialistes. Au contraire, il y a un autre mondialisme souhaitant que ce soit la masse des pauvres qui gouvernent enfin démocratiquement, sans l’artifice des frontières faisant qu’une minorité mondiale (les Occidentaux, dont la France) domine injustement, en prétendant faussement incarner l’idéal démocratique alors que leur principe est l’aristocratie méprisant la majorité (les étrangers dans ce cas). Des culpabilités autres me paraissent à suspecter : ainsi en France, clamer que la liberté d’expression autorise à se moquer de tout notamment l’Islam mais pas le sionisme, cela parait immensément suspect. De même, que la diplomatie française approuve qu’Israël a été rendu aux Juifs mais aucunement les USA aux Amérindiens, cela signe une immense malhonnêteté pro-juive, évidente, raciste. Mais ce colonel ne veut peut-être pas le dire, Marine Le Pen ayant abandonné le souhait de son père d’abolir la loi Gayssot (classant blasphème tout doute vis-à-vis de la Shoah) et semblant vouloir être invitée au dîner du CRIF selon le principe « amis juifs, moi aussi comme vous je déteste les arabes, mais je ne peux pas le dire comme ça »… Je comprends l’honnêteté humaniste, mais les valeurs nationalistes (et la religion judaïque, le communautarisme juif même athée, le sionisme) sont opposées.
• « (…) Nous avons bien compris que vous voulez culpabiliser les non « vaccinés » et, surtout, que votre principal but est de dresser les Français les uns contre les autres. J’espère qu’ils auront l’intelligence de ne pas tomber dans ce piège maléfique ; sans quoi tout peut arriver. »
--> Cela me semble effectivement évident mais je suis très pessimiste, les lucides étant nettement minoritaires et pouvant être écrabouillés par les moutons et néo-convertis entendant jouir du privilège d’échapper aux punitions…
• « Pour moi il ne s’agit pas uniquement de liberté de choix mais, surtout, de préserver mon intégrité physique et celle de mes proches. Affirmer que les ʺvaccinsʺ ne présentent pas de risques graves relève de la "voyance" et non de la science. »
--> Est-ce un mot maladroit ou une pensée profonde (hostile à tous les vaccins même anti-variole autrefois) ou un sabordage volontaire (donnant aux avis opposés les arguments pour hurler à l’irresponsabilité) ? J’aurais dit, très différemment, que ces vaccins anti-covid19 sont entièrement différents, ayant la spécificité incroyable (fautive) d’avoir été affirmés sûrs avant d’en faire l’expérience sur 5 ans (10 ans sur animaux), et sans informer les piqués qu’ils prennent un risque, peut-être mortel on n’en sait rien.
• « A vos places je ne serais pas tranquille car l’histoire a montré que les tyrans et leurs collaborateurs finissent en général très mal. (…) »
--> Non, Jozef Staline, Mao-Tse-Toung, Fidel Castro, Franco, etc. sont paisiblement morts de vieillesse. Quelques tyrans sont renversés "de leur vivant" ou perdent leur guerre d'expansion mais je ne suis pas convaincu que ce soit une grande généralité. Et cette menace de sanction n'est pas moralement saine, les gouvernants pouvant ensuite se dire innocents menacés de mort par des violents méchants, c'est mal pensé stratégiquement, à mon avis. Il aurait au minimum fallu parler de "légitime défense", "violence en retour", "effet boomerang".
  Bilan : il y a beaucoup de mots justes dans cette accusation multipoints mais aussi beaucoup d’accusations erronées ou mal ciblées, je trouve ça globalement très médiocre.

* Ajout 222, 05/08/2021 (11h) Amitiés cassées
  Je lis ce jour une triste nouvelle MSN/ParisMatch : « Jennifer Aniston dit avoir coupé les ponts avec des amis anti-vaccins » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/jennifer-aniston-dit-avoir-coup%C3%A9-les-ponts-avec-des-amis-anti-vaccins/ar-AAMW0xE?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « (…) l'actrice a révélé qu'elle avait dû prendre ses distances avec des personnes qui ne souhaitaient pas se faire vacciner. / l'actrice refuse de fréquenter ses amis qui ne sont pas vaccinés. »
--> « Bravo » aux politiciens pro-vaccins-covid19, ayant réussi à casser des amitiés personnelles en poussant les moutons à rejeter les rebelles, vaste campagne de haine organisée, en toute légalité, c’est effarant.
• « (…) avant de confier qu'elle avait dû s'éloigner de certaines connaissances et de certains amis qui étaient réfractaires au vaccin. »
--> Parler de devoir est un mensonge, c’est un choix, justifiant qu’elle ne méritait en rien l’amitié que lui donnaient ces gens qu’elle rejette pour gober 100,0% de la propagande gouvernementale, avec 0,0% d’intelligence critique (ce que pourraient lui pardonner ces amis, mais elle les rejette unilatéralement). Atroce. C’est une très mauvaise personne (je ne la connais pas comme actrice, n’ayant fait qu’en entendre parler).
• « (…) Il y a toujours de nombreuses personnes qui sont anti-vaccins ou qui n'écoutent tout simplement pas les faits. C'est vraiment dommage ».
--> Faux : ce sont les pro-vaccins qui refusent les questions dérangeantes (comment savoir après 1 an la léthalité à 5 ans ? habituellement exigée à démentir par l’expérience) ou récitent les mensonges des autorités non crédibles, prenant les gens pour des idiots (à raison, visiblement, dans son cas à elle).
• « (…) Je viens de perdre quelques personnes que je voyais régulièrement qui ont refusé de se faire vacciner ou qui n'ont pas souhaité dire (si elles étaient vaccinées ou non), et c'est malheureux. »
--> Ça ressemble à une actrice nazie expliquant qu’hélas elle a dû rejeter d’anciens amis refusant de devenir nazis ou de dire s’ils étaient nazis ou non. C’est de la dictature presque explicite, n’abordant pas une seconde les arguments contre cette direction semi-imposée (avec punition officielle en cas de refus).
• « D'après la star de ʺFriendsʺ, les vaccins anti-covid sont à n'en point douter une chance de renouer un jour avec la vie d'autrefois. »
--> Oui, c’est vrai, sauf qu’il manque à ce jugement une conditionnelle : « à supposer que ce vaccin ne tue pas les gens, 5 ans après injection, ce qu’on ignore totalement, par décision incroyable des autorités ! ». Et ça change tout, absolument.
• « Jennifer Aniston a conclu en expliquant qu'il en allait de la responsabilité de tous. ʺJe pense que c'est votre obligation morale et professionnelle d'informer, car nous ne sommes pas tous testés tous les jours. C'est délicat parce que chacun a le droit d'avoir sa propre opinion. Mais beaucoup d'opinions ne se basent sur rien d'autre que la peur ou la propagandeʺ ».
--> C’est mal pensé, oubliant la responsabilité des responsables ayant pris sans le dire le risque de tuer des milliards de gens (immoralement et anti-professionnellement) avec mensonge en guise de prétendue information. Son opinion à elle est 0% lucide 100% gobeuse de propagande (interdisant les questions gênantes auxquelles elle n’a pas la moindre ébauche de réponse). Simplement crédule stupide. Ses ex-amis n’auront pas vécu une grande perte en étant rejetés par cette sale dame, intolérante sans argument aucun (quand ses amis lui accordaient aimablement d'avoir choisi d'être vaccinée, trompée par les autorités sans que ce soit de sa faute). En matière de camps gentils/méchants, mon avis est totalement opposé au sien, mais ce n'est pas équivalent symétrique : j'ai mille arguments discutés face à la critique et elle aucun, que sa croyance de type infantile (avant l'âge de raison).

* Ajout 223, 05/08/2021 bis (15h) Technologie magnifique ?
• L’autre jour dans un débat télévisé, j’ai entendu une dame (politique ou journaliste) expliquer l’évidence tellement simple pour sortir de la crise actuelle (de manifestations anti pass sanitaire et anti-vaccinations) : il suffit d’expliquer (avec pédagogie) aux gens la nouvelle technologie magnifique qu’est l’ARN messager qui existe depuis 60 ans mais est maintenant très bien maitrisée, superbement, alors les gens pleinement convaincus par ces évidences iront tous se faire vacciner ! Bravo, quelle merveilleuse stratégie ! Sans coups de bâtons ! Qu’est-ce que j’en pense ?
--> Ça reste la malhonnêteté habituelle. Ainsi en URSS après la révolution de 1917, des experts politiques ont pu être envoyés dans les villes et campagnes, expliquer (avec pédagogie) la nouvelle politique magnifique qu’est le communisme conçu des décennies auparavant par Karl Marx et maintenant pleinement abouti parfait, alors les gens pleinement convaincus par ces évidences iront tous s’inscrire au Parti Communiste ! Bravo quelle merveilleuse stratégie ? ou bien est-ce du lavage de cerveau par propagandistes interdisant les objections énormes (classées complotistes, irrationnelles, égoïstes, immorales, etc.). Oui, le mécanisme est le même. Loin de l’extrême-gauche, il s’applique pareillement à l’extrême-droite avec le nazisme et autres, il s’agit de mépriser la population en escomptant lui laver le cerveau « pour son bien », ce qu’elle va « évidemment » adorer… Quel mépris pour l’intelligence individuelle, et quelle malhonnêteté de diaboliser les objections (par amalgame le plus souvent, en trouvant quelque horrible parmi les opposants)…
  Même sans parallèle suspectement politique, c'est aussi une évidence technique. J'avais lu un ouvrage français de science-fiction des années 1950 ou 1960 avec des extra-terrestres débarquant dans un lointain futur comme 1980, et à cette période les humains étaient dépeints comme jouissant de l'énergie gratuite, chaque pièce possédant deux ou trois centrales nucléaires, technologie magnifique... et si, au discours de propagande de l'époque, quelqu'un avait objecté que les déchets radioactifs sont dangereux des millions d'années, il suffisait de le traiter de complotiste délirant disant n'importe quoi contre l'intérêt général. Propagande, oui.
  A titre anecdotique, je note que cette dame est incompétente en biologie : on apprend à l’école, Bac moins trois peut-être, que l’ARN messager ne date pas de 60 ans mais de plusieurs milliards d’années, avec l’apparition de la vie sur Terre, c’est une loi de la Nature et pas une technologie ; qu’une technique y ait eu recours n’est qu’un bidouillage moderne peu inventif (quoique le contraire soit clamé pour des histoires de brevets, de gros sous en commerciale interdiction de partage au nom de la prétendue « propriété intellectuelle »).
• La veille peut-être, j’avais entendu un observateur (médecin je crois) dire qu’en faveur du vaccin anti-covid19, tous les scientifiques sont d’accord, du moins parmi ceux qui sont sains d’esprit. Qu’est-ce que j’en pense ?
--> Je vais voir la définition Google de sain d’esprit : « Qui est sensé, logique, raisonnable ». Or… pour ou contre le vaccin covid19, c’est tout le contraire ! Sensé, logique, raisonnable, est l’objection qu’un an après découverte d’un vaccin, on ne peut en rien savoir sa létalité 5 ans après injection (à examen toujours exigé jusqu’à présent, et incroyablement omis cette fois, sans aucune justification argumentée)... Mais des insensés, illogiques, déraisonnables, partisans fanatiques de cette vaccination précipitée, clament être les seuls sains d’esprits, combattant la démence paranoïaque (rationalité pathologique). Une nouvelle fois, c’était exactement le principe de la dictature soviétique : les opposants argumentés étaient dirigés (plutôt que vers la prison) vers l’hôpital psychiatrique… La santé mentale, au sens politique, n’a de sens qu’en diabolisation de l’opposition argumentée en face, haïe, et cassée en prétendant à l’objectivité « médicale » ou « sanitaire ». C’est une mauvaise farce si c’est un mot en l’air sur le ton de la plaisanterie (absurdité irréfléchie faisant sourire), c’est une honte si c’est mis en pratique.

* Ajout 224, 07/08/2021 (7h) Malentendus autour de la Science
   Il est clair que notre président est scientiste abruti (scientisme = « la science actuelle dit le Vrai, tout le Vrai, rien que le Vrai »), puisqu’il a dit à Mulhouse « ne pas croire les scientifiques c’est être paranoïaque », et puis il s’abrite pour la gestion covid19 derrière un « conseil scientifique » pour prétendre « ce n’est pas moi qui le dit, c’est la science, donc c’est La Vérité »). Et dans les informations télé et débats revient souvent la même idée : « quand on ne sait pas, il faut demander aux scientifiques ».
   Or le travail d’un scientifique n’est nullement de dire La Vérité, il est de « chercher » la vérité, sans jamais la trouver, ne faisant qu’émettre des approximations qui s’avèrent après expérience : ratées ou bien acceptables. Bref, le scientifique émet des hypothèses généralement fausses.
   Pourquoi cette erreur (épistémologique) monumentale ?
   A mon avis, les journalistes et politiciens (voire le grand public) sont en demande de vérités prévisionnelles, prédisant l’avenir tracé pour le changer en mieux. Dans l’Antiquité on s’adressait parait-il à l’oracle, aux devins, au chamane. Au Moyen-Âge : au théologien dominant ou au pape. Maintenant à la Science, dont ce n’est pas le métier, mais qui l’accepte, tant il y a de milliards à la clé. C’est un colossal malentendu.
   Une partie du malentendu vient du terme abusif « connaissances » (scientifiques), en oubliant que connaissances ne veut pas dire connaissances objectives (des religieux en concurrence ont des connaissances coraniques, talmudiques, évangéliques, bouddhistes, shintoïstes, etc.). L’école secondaire et l’université françaises délivrent un enseignement qui est dit « transmission des connaissances » et les examens sont dits « contrôles de connaissances ». Mais il ne s’agit pas de connaissance du vrai universel éternel, il s’agit de récitation des théories actuellement dominantes, peut-être invalidées demain par l’expérience. Les incompétents (comme Macron, clairement voleur de diplôme Bac+5 en philo) l’ignorent, ils veulent croire, cherchent qui croire, et ont jeté leur dévolu sur cette branche, crue à tort parfaite ou tout au moins : « très bien ». En logique, c’est une erreur, une faute, mais sociologiquement « ça gagne » (les croyants non-religieux, déficients en intelligence critique).
   Au début de l’affaire covid, les journalistes ont été choqués de voir « les scientifiques » se contredire les uns les autres. Nul mystère pourtant en cela ; ils n’expriment en rien La Vérité (exempte de contradiction, inconnue) mais leurs opinions, diverses et souvent (ou toujours) fausses. Il est très normal que ce soit divers et contradictoire. Simplement, la lucidité consiste à ne pas y croire.
   Si un scientifique a eu le grand mérite d’émettre une hypothèse couronnée de succès expérimental, approuvée par les pairs, c’est très rare et ça conduit au Prix Nobel (si ce n’est pas une découverte dérangeant les intérêts dominants – comme hélas ma réfutation du NPP, de la formule d’écart-type estimé, des validations industrielles par non-significativité, des preuves de normalité gaussienne, des demi-dilutions linéarisées, etc.), mais ça ne signifie en rien que toutes les opinions de cet individu sont des vérités. Comme tout le monde, il pense beaucoup de bêtises et quelques choses judicieuses, sans savoir à l’avance lesquelles seront d’un groupe ou l’autre. « Croire » les Prix Nobel, ou le grand chef primé décoré, cela relève du Star System se cherchant des idoles, ça n’a rien à voir avec la pertinence en vérité.
   La modélisation scientifique consiste souvent à prolonger les courbes observées, sans garantir en rien que les choses continueront sans changement brusque (en hausse ou baisse). Cela me rappelle la problématique de « gestion du signal » en chromatographie liquide informatisée, qui a été mon métier (ou un de mes métiers) durant 34 ans. Pour augmenter la sensibilité (rapport signal/bruit), on cherche à minimiser le bruit, par moyennage compensant les aléas électriques, mais il ne faut pas que ce moyennage cache un petit signal qui serait écrasé. Il y a donc des algorithmes décisionnels, à paramètres choisis par le technicien ou ingénieur en charge de piloter la machine. Des cours théoriques orientent ce qui est attendu, mais cela s’avère souvent faux. Je me souviens ainsi que la loi sur le nombre de plateaux théoriques affirme que plus un produit sort tard après l’injection plus son pic sera large et peu haut, mais dans le dosage de cotrimoxazole sur colonne de silice greffée apolaire : le premier pic, triméthoprime, est très large écrasé, quand le second, sulfaméthoxazole, est fin et haut, les spécialistes imputant cela à l’effet des silanols résiduels (même sur colonne end-capée) faisant immensément trainer le triméthoprime, à quelques molécules piégées polairement, relarguées en retard. Bref, les prétendues lois ne disent pas le vrai, le savoir universel, mais ne font que suggérer, l’expérience pouvant les contredire. Quand le signal est 0 ; moins 1 ; 0 ; moins 1 ; 0 ; +1 ; 0 ; +1 ; + 2, on ignore totalement si ce +2 est un +1 de bruit légèrement accru avant une valeur retombant à 0 ou +1, ou bien si c’est l’amorce d’un pic +3 ; +5 ; +8 etc. Prolonger les courbes n’est pas du tout savoir, c’est une hypothèse, pouvant très normalement être démentie car on ignore le futur et c’est l’expérience qui tranchera (« le Réel » pour ceux qui y croient, les Réalistes, majoritaires quoique oubliant l'hypothèse du rêve). De même, pour la fréquence d’acquisition/moyennage, en cours de sortie du pic, les lois chimiques parlent d’un produit pur, mais c’est tout faux s’il y a co-élution partielle de deux produits ou davantage, avec des points d’inflexion supplémentaires, si possible à ne pas rater, mais à ne pas « croire voir » s’il n’y en a pas, que simple effet du bruit se surimposant au signal. C’est tout sauf facile, on tâtonne, on ne détient pas la Vérité pouvant impressionner les profanes. On fait de son mieux pour éviter les erreurs, mais ce n’est pas connaître la Vérité objective (qui classerait les incroyants en fous ou idiots, non pas du tout).

* Ajout 225, 07/08/2021 bis (16h) Nouvelle leçon "philosophique" prétentieuse
   J’ai lu une nouvelle MSN (/Europe1) ressemblant à deux antérieures (ajouts 183+199) : « Les manifestations anti-pass sanitaire sont "un mouvement liberticide", juge Raphael Enthoven » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/les-manifestations-anti-pass-sanitaire-sont-un-mouvement-liberticide-juge-raphael-enthoven/ar-AAN2LJT?ocid=msedgdhp&pc=U531 )/ Je cite et commente :
• « "Être libre, ce n'est pas faire ce qu'on veut". Fracture vaccinale, libertés… Alors que de nouvelles manifestations sont prévues pour protester contre le pass sanitaire, le philosophe et écrivain Raphaël Enthoven (…) sa vision philosophique du climat social actuel en France. Celui-ci estime que le mouvement de protestation est "un mouvement liberticide". En effet, développe-t-il, "un monde où chacun peut contaminer l'autre est un monde où nous sommes moins libres qu'un monde où il faut présenter un pass sanitaire à l'entrée d'une boîte de nuit ou d'un restaurant." »
--> Ce prétendu « philosophe », avec zéro amour de la sagesse, dit simplement n’importe quoi. En URSS stalinien, il aurait déclaré liberticide les manifestations anticommunistes car toute la population était privée de dessert puisqu’insuffisamment communiste par certains rebelles ! C’est simplement de l’idiotie profonde. Enfin, mon exemple parallèle n’est pas parfait : il faudrait imaginer une propagande clamant une épidémie de « pensée capitaliste qui tue », avec en prévention contre elle,injection immensément conseillée et bientôt obligatoire de communistine lavant les cerveaux de tout relent capitaliste, bon l’injection de capitalistine tue peut-être les gens après deux ans, on verra, mais les autorités, un an après découverte de cette substance affirment que c’est sûr, sans danger à 5 ans, et ce philosophe propagandiste certifie que les manifestations anti-injection de communistine sont liberticides (anti liberté de dessert). Il a simplement oublié de réfléchir, de prendre en compte les données du problème, alors il blablate n’importe comment, c’est simplement nul.
• « (…) les manifestants qui protestent contre la mise en place de ce dispositif ont "une définition folle de la liberté". Car, rappelle-t-il, "le propre d'une liberté en société, c'est qu'elle trouve ses limites dans la liberté de l'autre", ce qui, selon le philosophe, est communément admis par l'ensemble des gens qui défilent depuis plusieurs semaines pour s'opposer au pass sanitaire. "Tout le monde serait d'accord pour dire que leur liberté s'arrête là où commence celle de l'autre, sauf dans l'hypothèse du passe sanitaire", dit-il. "En réalité, le mot de 'liberté' est ici le cache sexe d'une détestation arbitraire du vaccin qui se maquille en refus du pass sanitaire." »
--> Pas du tout, ce n’est en rien arbitraire mais une exigence d’appliquer le devoir de précaution et les procédures usuelles de la pharmacologie, anti-empoisonnement, ici mises à la poubelle sans argument et sans que le prétendu « philosophe » n’y voit rien. Incompétent, abruti, et donneur de leçon, ça va habituellement ensemble. La première liberté qui a été enfreinte, c’est de forcer les gens à être piqués par un produit peut-être tueur. La « liberté des piqués d’échapper aux mesures dictatoriales contre tous si pas 100% piqués » n’est pas un argument premier mais hyper-secondaire. Si tel médicament nouvellement découvert et peut-être tueur s’administre sur un cristal de sel, la liberté première est-elle celle de refuser le truc peut-être tueur ou de préférer le sucré au salé ?
• « "Le mouvement d'aujourd'hui est un mouvement liberticide", affirme Raphaël Enthoven. "Ce n'est pas du libertarisme, ça, ça n'a rien à voir : le libertarisme est un respect de la liberté de l'autre, une exaltation de la liberté de l'autre, sûrement pas une soumission de l'autre à mes propres miasmes et à mon virus." »
--> La liberté élémentaire qui a été oubliée, bien avant le virus, est de ne pas être empoisonné par un produit tueur, peut-être tueur, affirmé sans danger avant d’en avoir fait l’expérience contrairement à tous les usages et toutes les évidences. Refuser le vaccin, ce n’est pas « parce que je n’en ai pas envie, moi-moi-moi, je fais ce que je veux, na ! prout-caca ! j’ai deux ans d’âge mental et j’en suis fier ! », tout au contraire c’est le bon sens argumenté envisageant qu’un génocide avec milliards de morts est en train de se commettre (avec l’expérience des remèdes interdits suite à longue étude de toxicité avant catastrophe d’emploi général – mais ici affirmée « pas besoin »), ça ne gêne pas son idée de la liberté « de l’autre » ça ?
• « Et alors que la contestation semble teintée d'un fond de doute et de rejet de la science, Raphaël Enthoven affirme qu'il est tout bonnement impossible de dissiper un tel doute. "À l'ère où l'égalité des droits est confondue avec l'équivalence des compétences, les gens interprètent en termes d'égalité des droits, ce qui relève des compétences", explique-t-il. »
--> Faux : les prétendus compétents pro-vaccin-covid19 sont des menteurs absolus quand ils affirment qu’on sait après un an qu’il n’y a aucun danger après cinq ans. Ils n’ont rien compris à la science expérimentale, niveau Bac moins cinq, ce sont des nuls absolus, ou des menteurs achetés, le doute vis-à-vis d’eux est sain, potentiellement salvateur. Le scepticisme populaire incompétent est consolidable par des tonnes d’arguments-massue, et les diaboliser au nom d’un mépris de classe anti-populace est puant d’orgueil immérité.
• « La conséquence de tout cela ? "Vous donnez aux gens le sentiment que vous êtes anti-démocrate, que vous spoliez les gens d'un savoir qu'ils n'ont pas", poursuit-il. "De ce point de vue, il est donc extrêmement compliqué de défendre la science ou de montrer qu'il n'y a rien de totalitaire dans le fait de dire que deux et deux font quatre, ou dans le fait d'imposer aux gens d'être, d'être vaccinés". »
--> Non, ce débile n’est pas un maître en logique mais un abruti profond. Les prétendus experts n’énoncent nulle évidence indéniable mais récitent le programme gouvernemental sans aucune intelligence critique. La méfiance populaire est davantage sensée que cette propagande sub-débile, refusant de répondre aux questions qui fâchent (et cachées ici, ou inconnues de ce « beau-parleur », expert en compétences dit-il ?). Quant à l'évidence de 2 et 2 font quatre, il se montre supérieurement incompétent : j'ai lu un livre consacré au mathématicien David Hilbert, qui a passé sa vie entière à tenter de prouver que 1+1=2, avec immense difficulté et tomes entiers d'écritures logiques ; ce qu'il y a, c'est que l'arithmétique élémentaire nous est inculquée lors de la petite enfance, avant émergence de l'intelligence critique. En Biologie, 2+2=0 (antagonisme) ou 4 ou 1000 (synergie) ou autre, mais cet incompétent discourant de compétences n'y connait rien.
• « Sommes-nous pour autant tous capables de jouer ce rôle d'incarner ces contrôles, à l'entrée d'un cabinet de psychologie, d'un bar ou d'un restaurant ? "Scanner un QR code, c'est une démarche que l'on fait ordinairement, ce n'est pas quelque chose qui me paraît pas coercitif, ni qui met l'autre en situation d'être à mes yeux un officier de police judiciaire", estime Raphaël Enthoven, qui rappelle que la loi impose, pour accueillir les individus, qu'ils présentent les garanties nécessaires à la sécurité des autres. »
--> Mais, bon sang, et les « garanties nécessaires à la sécurité de ces vaccins », pourquoi ont-elles été oubliées ??? ou rejetées, sciemment, ce qui est encore pire, gravissime.
• « "S'avisait de contrôler ça, vérifier ça, c'est peut-être désagréable, mais, ça ne fait pas de nous des flics, ni des auxiliaires de police". Pour lui, en effet, c'est encore la liberté qui est ici en jeu. Or, "il n'y a pas de liberté sans loi, il n'y a pas de liberté sans régulation, et en période de pandémie, il n'y a pas de liberté sans contrôle." »
--> Si un régime autoritaire invoque telle crise pour fliquer les gens, si : la liberté est cassée. La loi qui pousse à se faire piquer par un peut-être poison n’est pas une loi juste et bonne mais une horreur atroce. Qu’elle soit décidée par des tyrans jupitériens à la Macron ou par des parlements trahisseurs de référendums, et même par d’éventuels référendums donnant la décision à la majorité intoxiquée par la propagande. Ce type ne m’a convaincu en rien de rien, et j’estime qu’il est passé totalement à côté du sujet, idiot profond ou menteur au service du gouvernement (ou autres intérêts, financiers notamment)… Ce type vole les places chez les éditeurs, pour ne dire que des sottises, c’est immensément lamentable (mais socialement vainqueur, en système pourri).

* Ajout 226, 07/08/2021 ter (18h) Propagande au nom de la masse silencieuse
   Je lis une nouvelle MSN/Slate étonnante : « Et si la France qui se vaccine manifestait à son tour ? » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/et-si-la-france-qui-se-vaccine-manifestait-%C3%A0-son-tour/ar-AAN0lLX?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « (…) forte mobilisation contre le pass sanitaire. Défilera dans les rues de l'Hexagone tout un agglomérat d'individus venus crier leur colère de vivre dans un pays devenu à leurs yeux une dictature. Chacun ira de sa petite musique. Quand certains réaffirmeront leur refus de la vaccination, d'autres s'alerteront de la confiscation des libertés publiques. Les plus effrontés invoqueront l'esprit de résistance et n'hésiteront pas à se réclamer de l'héritage de Jean Moulin, en appelant à la grandeur de la France et à son sursaut. (…) »
--> Ces mots sont suprêmement méprisants, prétendant ridicules des gens dont les arguments ne sont en rien examinés, et encore moins invalidés puisqu’ils sont justes…
• « (…) ces joyeux drilles représenteront un infime pourcentage de la population française. Une goutte d'eau si scrupuleusement étudiée par les chaînes d'information en continu qu'elle donnera l'impression à certains de ressembler à une averse torrentielle. Ce sera un succès manifeste des anti-vaccins et autres aimables complotistes dont on nous montrera en boucle les images, ces avenues et places noires de monde où, entre pancartes révolutionnaires et drapeaux tricolores, on distinguera ici et là quelques douteuses références à la Seconde Guerre mondiale. »
--> Cet article semble un condensé de malhonnêteté intellectuelle, effectivement ça méritait lecture, à vomir. Tout au contraire de ce qui est dit là, des sondages ont montré ces manifestations soutenues par davantage que 40% des gens, ceux qui manifestent physiquement (au risque d’être bastonnés/intoxiqués par la police) étant les plus courageux, mais reflétant l’opinion de bien davantage de monde.
• « (…) Rien n'aura changé. Tout ce que la France compte d'aigris, de souverainistes, d'identitaires, d'extrêmes de tout bord, continuera à fanfaronner sur leurs réseaux sociaux quand la très grande majorité de la population française en sera, du moins pour les plus chanceux, à bronzer sur les plages du littoral ou à vagabonder en montagne. »
--> Faux : il y a bien davantage de monde que ces extrémistes caricaturés pour cacher les questions graves qui se posent. L’amalgame est une technique mensongère pour salir l’opposition.
• « Pourtant à n'en pas douter, on continuera à nous entretenir des manifestants du week-end passé comme si ces derniers représentaient un mouvement d'envergure, une force agissante avec laquelle il faudra compter. »
--> Tout au contraire, j’ai entendu sur toutes les télévisions un consensus pro-vaccins pro-pass traitant en idiots dangereux les opposants, sans leur donner la parole. Ce n’est pas assez sévère, apparemment, selon le militant qui écrit ça.
• « (…) Évidemment, ce ne sera là que chimères et effets en trompe-l'œil. Quand bien même seraient-ils un million qu'ils continueraient à ne représenter qu'eux-mêmes, à savoir un mélange hétéroclite de personnes fort excitées souffrant toutes d'un rapport très compliqué à la réalité du monde d'aujourd'hui. Un échantillon représentatif de tout ce que ce pays compte de désillusionnés et autres inadaptés, âmes simplettes ou excessivement tourmentées dont l'absorption en continu de nouvelles fantaisistes les transforme en grands pontes de la science médicale, tout à fait capables de remettre en question des concepts auxquels ils ne comprennent goutte. »
--> C’est tout le contraire ! Il n’y a pas quelques idiots qui anormalement ont été choqués par le discours sévère du président le 12 Juillet, menaçant de ruine et inconfort maximal des gens s’ils ne se faisaient pas piquer (avec ce vaccin peut-être tueur, mais chut il ne faut pas le dire). Un grand nombre, très loin d’approuver, se sont couchés sous les menaces et ont obéi au tyran pour échapper aux punitions annoncées, et l’auteur de cet article les classe en approbateurs silencieux, cela tient du hold-up.
• « (…) qui s'imaginent des destins de révolutionnaires là où ils ne sont que des répliques des miliciens d'autrefois, quand au nom de la France éternelle mais néanmoins collaborationniste, il s'agissait de traquer juifs, métèques et résistants pour les remettre à la force occupante. »
--> C’est l’insulte classique : traiter de néo-nazis et collabos quiconque est en désaccord avec le camp se prétendant le Bien. En face, quelques rebelles font d’ailleurs pareil, disant que les médecins ou pharmaciens se comportent en collabos. Au-delà des insultes réciproques, il me semble utile de poser la question de la légitimité objective : pourquoi ces vaccins ont-ils été acceptés avec seulement un an d’étude au lieu de 5 ans exigés toujours (et 10 ans sur animaux pour ne pas traiter les piqués humains en cobayes) ? Face à cette question, refusée par le pouvoir hurlant au complotisme, il y a deux camps : les tyrans imposant leur choix irréfléchi dénué d’arguments, et les rebelles résistants n’ayant pas le pouvoir mais une autre forme de légitimité, morale. Bref, je juge en sens totalement inverse de cet auteur, qui n’a pas le moindre argument pour me faire changer d’avis, que des insultes, me traitant d’âme simplette pour crime d’être logicien quand lui est réciteur endoctriné…
• « Auxquels se mêleront quelques justiciers des libertés individuelles, de ces esprits exaltés qui cherchent sans cesse la confrontation avec l'État républicain, persuadés qu'ils sont de vivre sous le joug d'un régime hautement autoritaire, si autoritaire d'ailleurs que personne ne les empêche de battre le pavé voire même de s'en servir pour juger de la nervosité des forces de l'ordre. »
--> Faux : en Iran, en Chine, il y a aussi des manifestations contre la tyrannie, elles sont simplement réprimées, souvent, comme ici. On nous dit que c’est contre la violence des manifestants, mais « à qui profite le crime ? » : si Macron envoyait des casseurs déjuger toutes les manifestations, il aurait tout gagné, alors que les manifestants ayant des choses à dire perdent leur crédibilité quand les médias les montrent comme des enragés hyperviolents contre les honnêtes gens.
• « (…) on rejouera à l'infini cette farce sordide. À la longue, on ne saura même plus l'objet de leurs revendications tant elles apparaîtront comme disparates voire contradictoires – de la révocation du président de la République à l'affirmation de bien vouloir recevoir une dose de vaccin si ce dernier exhalait le génie cocardier d'un laboratoire installé sur le territoire national. »
--> Comme dans toutes les révoltes s’agrègent des revendications différentes, idem pour 1789, 1944 et autres, sacralisées par la propagande historique. Ce n’est pas un argument, parler de farce est une insulte gratuite. Je trouve immensément plus grave l’absurdité en forme de farce absurdissime d’affirmer qu’après un an, on sait la dangerosité à 5 ans, sur un remède inconnu (peut-être tueur, l’expérience future le dira, elle seule).
• « Pendant ce temps-là, les Français continueront de se faire vacciner par millions. Oui, par millions. »
--> La plupart obéissent pour échapper aux punitions, qu’ils craignent sans du tout les approuver. Affirmer que ces victimes approuvent les bourreaux me semble une grave faute de pensée.
• « De quoi se demander si l'heure n'est pas venue d'établir un nouveau rapport de force plus fidèle aux réalités du terrain. Ou autrement dit, la France silencieuse doit cesser de l'être. »
--> Attention, des gens n’allant pas manifester, comme moi, sont totalement opposés aux diktats et menaces macroniens, la situation n’est pas « Manifestants » contre « tous les autres », pas du tout. Et le drame totalement injuste est que le silence (médiatique) est imposé aux opposants, les propagandistes ayant le monopole de la parole télévisée, sous quelques variantes certes (obliger ou forcer sans vraiment obliger ?)… Non, ce n’est pas le réveil des silencieux qui ferait le triomphe de Macron, pire dictateur depuis De Gaulle ou encore avant, et n’ayant même pas l’honnêteté démocratique de demander référendum pour le virer ou non, immédiatement.

* Ajout 227, 08/08/2021 (17h) Phase 3 expliquée ?
   J’avais entendu l’autre jour à la télévision quelqu’un dire que, certes les essais de vaccin anti-covid19 ne termineront leurs essais de phase 3 qu’en 2023, mais on est seulement en attente de savoir combien de temps dure l’immunité, le reste étant parfaitement documenté, notamment la non-toxicité. Et aujourd’hui je lis une nouvelle MSN/HuffPost qui détaille le sujet : « Les vaccins à ARN messager vous posent question ? Recul, phase III... ce qu'il faut savoir » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/les-vaccins-%C3%A0-arn-messager-vous-posent-question-recul-phase-iii-ce-qu-il-faut-savoir/ar-AAMZwi7?ocid=msedgntp ). Je cite et commente.
• « (…) inquiets pour leur état de santé dans quelques années, s’ils décident de se faire vacciner maintenant. (…) Faut-il pour autant craindre des effets secondaires à long terme avec les vaccins à ARN messager, à cause d’un éventuel manque de recul sur les procédés et les ingrédients utilisés ? (…) rassemblé études et avis scientifiques sur le sujet. (…) »
--> Attention : les avis de scientifiques sont des opinions tenant du n’importe quoi (contradictoire et souvent faux), ce n’est pas la vérité scientifique du moment.
• « “Les vaccins à ARN sont le résultat de plus de trois décennies de recherche” »
--> La recherche, cherchant à optimiser la formule (quelle portion d’ARN partant de la totalité non manipulable intégralement ?) pour efficacité [et non-toxicité animale, normalement – court-circuité pour vaccins anti-covid19], n’a pas pour fonction de vérifier la toxicité sur humains, qui incombe à la validation clinique. Que quelques essais aient débuté il y a 30 ans sur trois souris n’implique en rien qu’on a 30 ans de recul en toxicité sur vaccination humaine de masse. Mensonge (sans le dire, prétendant à tort répondre à la question).
• « (…) Les travaux et le consensus scientifique général autour des vaccins ARN confirment que cette technologie n’est pas dangereuse. »
--> Ce n’est pas la technologie qui est suspecte de dangerosité (comme on ne suspecte pas toutes les quinolones d’être dangereuses mais certaines se sont avérées très gravement toxiques). Erreur de questionnement (question détournée) donc erreur de réponse (réponse fausse, hors sujet).
• « [Une phase III inachevée, synonyme de manque de données ?] Mais qu’en est-il des vaccins à ARN développés précisément contre le Covid-19 ? Si les autorités de sûreté du médicament de la France (ANSM), de l’Europe (EMA), des États-Unis (FDA), l’OMS et plus de 90 pays du monde entier considèrent que les vaccins ARN sont sûrs ».
--> Que des gens soient sûrs, croyants, on s’en fiche éperdument, quelles sont leurs preuves ? En science expérimentale, la preuve c’est l’expérience documentée, réitérée, reproductible. Ici, ça n’a pas encore été acquis puisque la connaissance ne sera disponible que dans le futur. Que des chefs très chers payés avec conflits d’intérêt plausibles se disent « sûrs », on s’en fout éperdument.
• « ils se basent sur les données d’une phase III qui n’est pas encore terminée, peut-on régulièrement entendre chez les plus réticents. Effectivement, les essais de phase III de Moderna et de Pfizer, entamés en juillet 2020 devraient se prolonger au moins deux ans après la deuxième dose pour “évaluer la protection et l’innocuité à long terme” (…) “Ces procédures sont habituelles dans la conception de tout médicament” (…) Si les patients des essais de phase III sont encore surveillés, c’est avant tout pour mesurer la durée de l’immunité. »
--> Sauf que, pour délivrer l’autorisation d’emploi d’un remède, il faut toutes les données exigées, il est absurde de donner le feu vert avant de, peut-être, observer des effets graves qui seraient dans le dossier normal, sans feu vert prématuré. Peut-être que, si tout va bien, on se contente d’enregistrer « rien à signaler » et mesurer la durée d’immunité, mais si une catastrophe apparait, on la note et on alarme, c’est prévu, ce n’est pas parce qu’on espère « pas de problème » que cela garantit (en quoi que ce soit) qu’un problème ne surviendra pas. En épistémologie (philosophie des sciences expérimentales), on appelle ça « la sanction de l’expérience » ou « l’épreuve du feu » pour une théorie, sans valeur aucune tant qu’elle n’y a pas été soumise (n’étant que simple hypothèse douteuse, très possiblement fausse).
• « Le prolongement de la phase III permet également de recenser d’éventuels effets indésirables tardifs. Mais en réalité, les agences nationales et internationales considèrent qu’il y a très peu de chances que cela arrive. »
--> Ce qui vaut preuve ce n’est pas l’avis pifométrique (faussement dit probabiliste, à calcul non montrable car non effectué) des individus achetés par les labos mais l’expérience pratique.
• « Ces institutions estiment qu’elles ont eu suffisamment de données pour trancher sur la balance “bénéfices-risques” des vaccins contre le Covid-19. Ainsi, et contrairement à ce qu’affirme Florian Philippot, tous les produits que ces institutions ont autorisés apportent beaucoup plus de bien que de mal. »
--> Faux : tant que n’a pas été collecté le temps habituel les données en toxicité, on ne peut pas objectivement dire qu’on connait les risques (on n’en connait qu’une sous-estimation, de type « inférieur ou égal à », affirmer que ça vaut « environ égal à » est erroné, faute professionnelle ! et déclarer en faute qui le rappelle est un pur scandale). Ce n’est pas du savoir, c’est de la croyance, et financièrement intéressée (en bénéfice pour les labos producteurs, en promotion pour les chefs, en réélection escomptée pour les élus).
  Vérification intuitive (vu que les risques sont au dénominateur, leur sous-évaluation donnant une surestimation du ratio) : si Rapport Bénéfices Risques était de 50/2 = 25 à 1 an (« super, vaccinez ! »), il peut devenir 50/5000 = 0,01 à 5 ans (« catastrophe, ne vaccinez surtout pas ! »), oui c’est ce que je disais qualitativement.
• « Même pour les 12-20 ans, qui n’ont que très peu de risques de mourir du Covid-19. Le vaccin à ARN messager leur apporte beaucoup plus de bien que de mal, selon les vérifications de l’Agence européenne du médicament, car il protège contre les formes longues du Covid-19, courantes chez les jeunes, et ne cause que très peu d’effets secondaires. »
--> Faux : il n’est pas prouvé que ce qui est appelé « covid long » est une conséquence de la cause covid, c’est une décision administrative d’attribuer à tel passé une classification des souffrances présentes, pouvant venir d’autre chose ou être simplement inexpliquées. Que quelqu’un donne une explication ne suffit pas à prouver que c’est vrai. Dans l’antiquité, face aux tempêtes marines inexpliquées, les religieux disaient l’explication : la colère de Dieu, est-ce pour autant vrai ? Non pas forcément, ça peut être n’importe quoi, ce n’est en rien prouvé, un avis n’est qu’un avis, l’affirmer vérité est une faute, lourde quand on donne tort au contradicteur affirmé en faute alors que c’est soi-même qui déraisonne, qui décide personnellement de faire acte de foi (avec intolérance envers autrui sagement sceptique).
• « Cette règle “bénéfices-risques” prévaut pour tout médicament, pandémie ou non. Le doliprane (mortel après 6 comprimés) ou la pilule – dont le risque de provoquer un AVC est de 1 à 10 sur 10 000 – sont aussi autorisés, du moment que ces effets indésirables sont identifiés et qu’ils sont très largement moins fréquents que les effets désirés. »
--> Manipulation : la situation n’est absolument pas la même. Ultra-spécifiquement pour les vaccins anti-covid19, il n’a pas été attendu de comptabiliser les risques mais déclaré (officiellement !) quatre ans en avance qu’on sait tout ! Le mensonge est là, pas compris (ou caché) par les auteurs de cet article, menteur ou idiot. Mais pouvant impressionner le profane crédule, tel semble le but. Mensonge total !
• « Par ailleurs, les institutions ne sont pas infaillibles, mais de nombreuses études indépendantes, menées par des centres hospitaliers ou d’autres laboratoires ont également conclu que les vaccins à ARNm sont sûrs, et vérifient en permanence que c’est toujours le cas. »
--> Ça ne change rien au fait qu’il est beaucoup trop tôt pour conclure, avant d’avoir enregistré les données. S’il y a un mécanisme de latence 3 ans, on le saura après 4 ans, et les certitudes des observateurs après 1 an sont une impression temporaire n’ayant presque aucun intérêt, en tout cas aucune force en pouvoir de conviction.
• « (…) En réalité, on dispose déjà d’un peu de recul sur les vaccins ARN. Parce que cela fait maintenant un an que les patients des essais de phase III ont été vaccinés. Si un effet grave et fréquent avait été détecté, il aurait provoqué une suspension de l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché, délivrée par l’Agence européenne du médicament (EMA). »
--> La non-toxicité à court terme ne prouve en rien de rien l’absence de toxicité à moyen-long terme. Erreur de pensée, tenant de la débilité profonde, note zéro sur 20 en classe CM2 pour enfants de 10 ans. Que des officiels surpayés se prêtent à ce cirque est un scandale considérable.
• « (…) Dernière interrogation : malgré tous ces éléments garantissant la sécurité des vaccins, on ne sait pas ce qu’il se passe, 2 ou 5 ou 20 ans après le schéma vaccinal. C’est vrai. Mais la quasi-totalité des effets secondaires des vaccins apparaissent “huit semaines après l’injection” »
--> Incorrect : la toxicité ne se mesure pas par similarité mais en questionnant chaque produit, l’expérience l’a prouvé indispensable en trouvant des catastrophes dans des familles de produits réputés sûrs. Le vaccin contre la dengue a été arrêté d’urgence après avoir vacciné 500.000 enfants philippins, en s’apercevant tardivement d’effets gravissimes, tous les feux verts précédents (prématurés) s’avérant faux, mensongers de la part des approbateurs certifiant leur conclusion définitive (et s’avérant justes les logiciens rebelles ayant osé douter). Quant au terme « quasi-totalité », il est pire encore : si les vaccins anti-covid19 font partie des 5% tueurs tardivement, des statisticiens pourront dire « c’est négligeable, pas significatif », mais administré à des milliards d’humains ça fera un génocide terrible, qu’est-ce qu’on a foutre que la quasi-totalité des autres vaccins ne posent pas pareil problème ? Le principe des études pharmacologiques est explicitement de questionner chaque produit, aucunement de raisonner en estimation globale par famille, type « ça ressemble à tel truc sûr, donc c’est sûr ». Pas du tout, faute professionnelle grave, note éliminatoire en pharmaco ! (zéro pointé !).
• « (…) l’ARN des vaccins a une durée de vie de “quelques heures à quelques jours au maximum”, dans notre organisme, avant d’être dégradée et de disparaître ».
--> Faux : si l’ARN est « choppé » par une enzyme reverse transcriptase (présente dans nos lymphocytes), il est transformé en ADN hyper-stable, pouvant durer des années ou siècles. Et puis… ce qui a été observé n’est pas garanti la vérité éternelle, sauf pour les scientistes choisissant d’oublier la réserve obligatoire en science expérimentale : « jusqu’à preuve du contraire ». Il ne faut pas confondre croyance douteuse et connaissance indubitable. La sagesse consiste à le garder à l’esprit, même si les fonceurs détestent cette objection, logiquement imparable, alors ils hurlent avoir raison, c’est pitoyable, de stupidité ou mensonge acheté.
• « Autrement dit, l’ARN messager n’aurait que quelques jours pour causer du mal (s’il devait en causer). Voilà pourquoi on cite souvent le fait que 3,5 milliards de doses ont déjà été injectées sans problèmes (au-delà de très rares effets indésirables non prévus, largement évoqués dans la presse, et au-delà des effets indésirables connus »
--> C’est mal pensé : si l’ARN est devenu un ADN malencontreusement intégré en ADN humain, devenu mutant, cela peut causer cancer, détecté des années plus tard. Ce n’est pas la durée sous forme ARN qui compte mais la durée des conséquences induites, qu’on sait beaucoup plus longues (c’est d’ailleurs le principe de cette vaccination, pas refaite tous les jours). Cela semble un discours d’incompétent piochant des trucs ayant l’air rassurant et ne comprenant en rien que ça n’a aucun rapport avec le sujet.
• « “L’ARN messager ne persiste pas dans le corps humain au-delà de quelques heures, il n’y a donc aucun risque d’effet secondaire tardif au bout de plusieurs mois ou de plusieurs années”, résume Karine Lacombe, cheffe de service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine à Paris »
--> Moi je réclamerais remboursement de ses salaires volés à cette incompétente crasse, donneuse de leçons qui plus est. (Voir paragraphe au-dessus pour la faute commise, oubliant objection très évidente, rédhibitoire.)
• « Il est vrai qu’on découvre régulièrement la toxicité de produits considérés jusqu’à présent comme sans danger. Rien ne prouve que cela n’arrivera jamais avec l’un des ingrédients présents dans le vaccin à ARNm. Mais comme rien ne prouve non plus que ce que vous mangez, vos soins beauté, et toute la matière qui vous entoure ne vont pas se révéler dangereux à un moment donné. »
--> Il ne s’agit pas du tout d’inventer une suspicion universelle jamais appliquée nulle part, mais d’appliquer aux vaccins anti-covid19 la procédure habituelle des médicaments et vaccins, incroyablement court-circuitée cette fois-ci, sans le moindre argument ni même aveu en clair de l’avoir fait, donc prenant un risque peut-être mortel (inavoué aux piqués, trompés par mensonge rassurant, ce que continue de faire cet article, potentiellement criminel).
• « Des produits considérés comme anodins s’avèrent parfois plus toxiques que l’on ne croyait. Le risque zéro n’existe pas. Le vaccin n’échappe pas à cette règle. (…) »
--> Oui, si on avait appliqué la procédure normale documentant la non-léthalité humaine à 5 ans (et animale à 10 ans), ça ne garantissait pas une non-léthalité à 11 ans, bien sûr, la question n’est pas qu’est exigée pour ces vaccins-là un zéro risque jamais exigé nulle part. Le scandale est d’avoir court-circuité les vérifications habituelles (de non-risque) en disant « pas besoin », avant de conclure (menteusement) « donc pas de risque ». Si on avait appliqué les procédures simplement habituelles, on n’aurait pas non plu’ obtenu un risque zéro absolu, on aurait simplement travaillé raisonnablement, en gérant les risques habituels, au lieu de donner un feu vert immédiat, immensément prématuré, au risque de tuer tous les vaccinés, millions en France et milliards dans le monde. SB s’en fout, il est devenu milliardaire, mais pour les autres gens, c’est totalement incompréhensible, de mauvaise foi ou/et stupidité. (Si j’emploie des insultes, désolé, c’est en légitime-défense, les télévisions répétant que les antivax et assimilés sont des abrutis profonds, des fous s’ils sont scientifiques.)

* Ajout 228, 08/08/2021 bis (20h) Avis de manifestants anti-pass-sanitaire
   Je lis une nouvelle MSN/Libération intéressante : « Manif anti-pass à Paris : ʺOn n’est plus égaux entre citoyens dans ce paysʺ » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/manif-anti-pass-%C3%A0-paris-on-n-est-plus-%C3%A9gaux-entre-citoyens-dans-ce-pays/ar-AAN3qiC?ocid=msedgntp ). C’est assez sensé, plus que les informations partisanes opposées d’habitude. J’en retiens essentiellement un néologisme astucieux : « Pierre, 59 ans, graphiste à Paris : (…) ʺOn prend le chemin d’un régime dictatorial. On n’est pas encore en Corée du Nord, mais c’est une dictature douce, une démocrature.ʺ ».

* Ajout 229, 11/08/2021 (20h) « Un grain (de lucidité interdite) » ?
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/LeFigaro : « Brian May répond à Eric Clapton : ʺfaut avoir un grain pour dire que les vaccins sont destinés à tuerʺ » ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/culture/brian-may-r%C3%A9pond-%C3%A0-eric-clapton-faut-avoir-un-grain-pour-dire-que-les-vaccins-sont-destin%C3%A9s-%C3%A0-tuer/ar-AAN9ttD?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « (…) Le guitariste de 76 ans n'apprécie pas les mesures sanitaires limitant (…) le public des concerts aux seules personnes vaccinées. Il a donc annoncé qu'il se réservait le droit d'annuler ses concerts si le public était contraint à de telles mesures. (…) Mais de telles déclarations ne pouvaient pas rester sans réponse (…) Brian May (…) "nous avons des points de vue très différents à bien des égards", explique-t-il "et notamment concernant le covid. Mais les antivax, je suis désolé, ils sont neuneus. Il existe une multitude de preuves qui montre que la vaccination est efficace", ajoute-t-il. "Tous les médicaments que vous prenez ont des effets secondaires mais, je suis désolé, faut vraiment avoir un grain pour dire que les vaccins sont destinés à tuerʺ. »
--> Ce donneur de leçon n’a rien compris, et il est davantage neuneu que des gens comme moi argumentant en sens inverse de lui, lui parachutant ses croyances comme vérités prouvées. Quand on regarde une courbe de croissance cellulaire : tant que le temps de latence n’est pas atteint, on ne voit rien, ça ne prouve en rien qu’il n’y a rien qui se prépare invisiblement, seule l’épreuve expérimentale du temps tranchera. Les « espoirs » confiants ne sont en rien de rien des preuves, sauf pour neuneus certes. Quant à dire (en sens totalement opposé) que ces vaccins sont destinés à tuer, ce n’est en rien prouvé, tout comme il n’est en rien prouvé qu’il y a innocuité ou quasi-innocuité, il s’agit d’une hypothèse parmi d’autres, les affirmateurs ayant tort mais pas les questionneurs. Par contre, interdire ou condamner les questions qui se posent très sérieusement, c'est tromper sciemment les vaccinés (en leur affirmant prouvé qu'il n'y a aucun risque mortel, ce que personne ne sait à l'avance).
• « (…) Le Royaume-Uni assiste à une montée en flèche des contaminations causée par le variant Delta, même si le pays dispose de la campagne vaccinale la plus avancée d'Europe. La politique du gouvernement britannique de lever les restrictions sanitaires et tout miser sur le vaccin, irrite les anti-vaccins. »
--> Ce terme « les antivaccins » est mensonger, il faut dire « certains antivaccins », d’autres comme moi sont résignés presque je-m’en-foutistes (si la majorité veut se faire vacciner au risque d’être tués, c’est son droit, je ne suis pas partisan d'interdire le suicide, notamment), et pas antivaccins en général, seulement pour ces vaccins-là précipités, approuvés avant examen normal de leur toxicité à 5 ans (en les affirmant à tort "sans danger, c'est prouvé", non c'est faux, sauf pour les neuneus scientistes antilogiques, traitant leurs contradicteurs de neuneus ça fait partie de leur bêtise profonde, oui).
  J’ai écrit quelques mots a posteriori sur ce sujet :
- Tueur volontaire ou involontaire ou pas tueur ? Ce sont trois hypothèses, simplement, à l’heure actuelle. Tueur total ou partiel ou pas tueur ? 3 hypothèses pareillement. Si se posent ces questions inhabituellement (pour des remèdes venant de l’industrie pharmaceutique, dite « la science » par les journalistes) c’est que très anormalement, enfreignant toutes les règles, n’a pas été attendu le temps habituel pour établir l’innocuité à moyen-long terme. Pourquoi ? vu que ce n’est pas une maladie très grave, tuant moins que la drogue tabac vendue par l’Etat tranquillement, qui continue à ce faire. Pire : la décision d’acceptation hyper-prématurée, sans les données habituelles de toxicité, a été (en France) clamée « prise au nom du devoir de précaution » , ce qui est incohérent, comme neuneu, et semble cacher de lourds secrets inavouables. Ce n’est pas sûr, non, mais le principe « tout va bien madame la marquise » ne semble pas approprié, ou… autant approprié qu’en Juin 1789.
- Scientifiquement, on ne rejette pas les hypothèses déplaisant au pouvoir politique en les injuriant comme « neuneus » ou « grain de folie », non, on les teste, on attend le temps d’expérimentation permettant de les prouver fausses (ou éventuellement exactes). Mais les guitaristes professionnels savent sans doute mieux que moi scientifique… simplement : qu’ils n’injurient pas, s’il vous plait. Avoir tort n’est pas très grave, mais avoir tort méchamment est horrible.

* Ajout 230, 12/08/2021 (13h) Graphe explicatif
   Un dessin vaut peut-être mieux que tous les discours :


* Ajout 231, 13/08/2021 (7h) Commentaire
  L’amie à qui j’ai envoyé le dessin ci-dessus (en forme préliminaire sans marquage de l’axe des abscisses) me répond aimablement « Génial ton dessin. J'espère juste que la possible bombe à retardement n'explosera pas, ce serait tellement triste pour toutes ces personnes naïves qui croient encore en la bonne foi du gouvernement. »
  Euh, merci beaucoup. Simplement, je perçois que je dois m’expliquer un peu :
– Comme elle, j’envisage anormalement une catastrophe mais sans la souhaiter bien sûr (peut-être que ça conforterait mon ego argumentaire, mais je ne souhaite pas du tout que des milliards de gens meurent prématurément pour ça).
– Je ne suis pas totalement certain que le gouvernement français soit de très mauvaise foi pour cacher un danger parfaitement compris, peut-être qu’ils sont simplement nuls ne comprenant rien à rien (et volant les salaires de chefs responsables).
– J’envisage au moins quatre hypothèses pour expliquer l’attitude du gouvernement français (et des autres, similaires) :
a) Ils ont été piégés par SB, chef de Moderna, ayant immensément en avance affirmé que le vaccin était prêt à être utilisé ; pour ne pas paraitre des monstres auprès des populations (électrices là où il y a élections), les gouvernants se sont sentis obligés de dire officiellement : « oui, faisons-le immédiatement », sans comprendre l’énorme danger de ne pas avoir mené les normales études de toxicité à moyen-long terme.
b) Même chose à une variante près : ce ne serait pas une non-compréhension mais un calcul : « les petites gens n’y verront rien, ils sont tellement stupides, et on s’entourera de prétendus experts pour faire passer la pilule, en disant que nos mensonges valent ʺpédagogieʺ (des sachants envers les nullards, des généreux civiques envers les égoïstes violents) ».
c) SB ne viserait pas que la fortune en milliards de dollars, il servirait un projet de groupe ou individu dans l’ombre, voulant écraser les humbles par l’Elite (prétendue), l’obligation vaccinale (contre la raison) serait en cela un couronnement, une grande victoire (ou le prélude à une dictature tous azimuts).
d) Même chose mais le vaccin serait sciemment tueur, pour abaisser l’effectif de l’humanité de 8 milliards à moins d’1 milliard (pour raison écologiste ou autre).
  Entre ces différentes hypothèses, je n’ai pas d’avis clair, j’envisage un peu tout, simplement. Tout ce qui pourrait expliquer la bêtise triomphante à l’œuvre actuellement. Avec mes cancers, il n’est pas sûr que je sois encore là quand les choses se clarifieront, si elles se clarifient un jour, ce qui n’est même pas sûr.

* Ajout 232, 19/08/2021 (5h) Donneur de leçons médicales célèbre
   Hier, j’ai lu une méchante nouvelle MSN/Gala : « "Des égoïstes" : Michel Cymes tape sur les antivax » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/des-%C3%A9go%C3%AFstes-michel-cymes-tape-sur-les-antivax/ar-AANsrPJ?ocid=msedgdhp&pc=U531#image=AANspbE|1 ). Je cite et commente :
• « (…) l'ancien médecin a partagé son avis tranché sur les antivax, "des égoïstes qui ne pensent qu'à eux" selon lui. »
--> Tout au contraire, je juge que les piqueurs forceurs sont les plus égoïstes immondes de tous. Si on vous dit qu’un nouveau médicament révolutionnaire contre la grippe (qui tue des dizaines de milliers de gens en France par an) vient d’être découvert, qu’on ignore tout de sa toxicité (pouvant tuer les piqués deux ans après injection), mais il faut se faire piquer sinon on est un égoïste contaminateur ne pensant qu’à soi-même (!), la réponse adéquate n’est nullement « oh oui, vous avez tellement raison, j’ai honte, piquez-moi ! » mais « ça ‘va pas la tête !? combien on vous paie pour dire ces imbécilités ? le premier devoir est de vérifier la non-toxicité de ce vaccin, normalement, alors seulement se posera la question de vacciner les gens, personnes à risque ou tout le monde ». Dire n’importe quoi, dangereux, et l’imposer en insultant autrui, là est le pire égoïsme. Macron président et Cymes animateur télé médicale : même faute, ultralourde.
• « (…) "Nous sommes 66 millions de Français, il y a 200 000 personnes qui manifestent dans les rues dans toute la France. Je pense qu'il faudrait arrêter d'en parler, parce qu'ils ne représentent rien", a-t-il lâché, cash. »
--> Faux : je ne vais pas manifester et pourtant je donne raison au principe de ces manifestations, ce qui prouve Cymes mensonger, ou aveugle, ou idiot le pauvre. Ne méritant en rien sa célébrité en tout cas, comme volée.
• « (…) estimé que les antivax étaient "des égoïstes" : "Il y a 200 000 personnes égoïstes qui se baladent dans les rues en criant des slogans, dont certains dépassent complètement le cadre sanitaire, puisqu'il y a des pancartes antisémites ou anti-Macron qui se promènent dans les défilés" »
--> Quand deux cent mille personnes protestent, bien sûr que quelques-uns en profitent pour revendiquer des trucs hors-sujet, pas là davantage qu’ailleurs. Les pointer dans ce seul cas constitue de la malhonnêteté caractérisée, prenant quelques boucs-émissaires (d’ailleurs peut-être envoyés par le pouvoir) pour salir le mouvement de masse. Macron étant le grand responsable ayant clamé que seraient virés de leur travail des non-vaccinés (soignants je crois, pour commencer), oui, la révolte est anti-Macron, ce n’est nullement hors-sujet, mais pointé vers le coupable numéro 1 de la tyrannie en place. Quant aux pancartes dites « antisémites », celles que j’ai vues dites telles ne l’étaient nullement, mais crier à l’antisémitisme est une technique usuelle, presque systématique, pour certains juifos se classant en éternelles victimes, et autorisées à ce titre à pratiquer le pire racisme, au nom de l’antiracisme, intelligence et honnêteté sont ailleurs, désolé. Certes Cymes crie comme la télé, comme les médias, comme la prétendue Elite, mais celle-ci favorise les juifos, racistement, parvenus par entraide communautaire et pas du tout au mérite puisqu’ils sont archinuls. Wikipédia me confirme que sa famille d’origine est juive polonaise et s’il y a tant de juifos parmi les médecins, à mon avis c’est par entraide communautariste (raciste) avec un concours totalement idiot sélectionnant les pistonnés connaissant les sujets à l’avance. Que ces malhonnêtes gens (pas « les Juifs » mais les dominants, à majorité juifo) dominent est une honte, qu’ils fustigent toute résistance est en un sens logique (en faveur d’eux-mêmes) mais malhonnête quand c’est au nom de l’antiracisme.
• « Ce sont des égoïstes qui ne pensent qu'à eux et pas à la collectivité." Un message on ne peut plus clair. »
--> Non, le commandement numéro 1 pour presque tout le monde est l’autoprotection. Si tel incendie a tué brûlés dix enfants et que cent personnes autour ne se sont pas lancées dans les flammes pour les sauver (ou plutôt : mourir en essayant de sauver), ce n’est nullement qu’il s’agit de 100 « égoïstes », c’est que le geste pour autrui est secondaire au fait de ne pas se mettre en danger de mort. Cela figure en clair dans la définition légale de la non-assistance à personne en danger (Google me détaille ; « Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. »). Le « sans risque pour soi » est une évidence, non seulement avant condamnation mais avant accusation même. Or pour ces vaccins anti-covid19, la procédure normale de 10 ans d’étude (démontrant entre autres choses la non-toxicité sur animaux avant de passer à l’humain, puis la non-toxicité sur humains, même à moyen-long terme) n’a nullement été effectuée. C’est inadmissible (surtout au pays du « principe de précaution » prétendu), mais certes c’est égoïstement très bénéfique pour le patron SB devenu milliardaire, pour le président Macron ayant fait oublier les protestations contre sa réforme des retraites, etc. Plein d’égoïstes triomphent en fustigeant les dits antivax, qui font simplement preuve des réserves normales, évidentes (pour tous sauf intoxiqués par la propagande, et frileux soumis craignant les sanctions gouvernementales en cette dictature « sanitaire »).

* Ajout 233, 19/08/2021 bis (9h) Complément utile sur la notion de recul
   Sur les télévisions, la dangerosité possible des vaccins anti-covid19 n’est même plu’ l’objet de débat, considéré clos, de manière ultra-probante, dans le sens d’une toxicité nulle ou minuscule négligeable… ce qui est faux : l’incertitude reste totale. Les commentateurs certes se gaussent « vous dites qu’on n’a pas de recul avec ce vaccin ? Si ! On a des milliards de vaccinés et tout se passe assez bien ! ». C’est simplement hors sujet. Le « avoir du recul » n’est pas le terme adéquat : il y a la dangerosité à court terme (très bien connue si on a un énorme nombre d’exemples), et par ailleurs, tout à fait indépendamment, la dangerosité à moyen-long terme (totalement inconnue puisque pas encore testée expérimentalement, scientifiquement). Le « recul-temps » n’a rien à voir avec le « recul-réplications ».
   Dans le domaine microbiologique, quand on mettait 2 ou 3 bactéries en tube avec milieu de culture, il ne se passait rien pendant 12 heures par exemple, puis un trouble commençait à apparaitre vers 14-15 heures, avant de devenir une soupe concentrée de bactérie aux temps 24-48 heures. Si après 10 heures, on avait clamé « il n’y a rien, c’est scientifiquement prouvé, aucune contamination significative, on l’a même prouvé sur 4 milliards de tubes !!! scientifiquement ! c’est acté, le débat est clos, on a suffisamment de recul ! », on aurait commis une immense erreur. L’effectif durant le temps de latence ne remplace en rien l’attente du temps au-delà de la latence.
   Certes, en bla-bla littéraire, en rhétorique verbeuse, des donneurs de leçons peuvent se donner entièrement raison. C’est simplement le triomphe de l’incompétence, crasse. Et c’est dangereux, quand on parle de santé, d’innocuité ou toxicité, voire mortalité.
   Pourquoi cette confusion énorme a-t-elle pu survenir ? A mon avis, c’est une conséquence de phénomènes qui ont été simultanément rares et lents, conduisant à confondre les deux sujets. Ainsi, tel médicament contre la fièvre s’est avéré tuer, au bout de 4 ans seulement, 10% des hypertendus en surpoids allergiques aux cacahuètes et au gluten, ce qui est rare. Donc, à un feu vert prématuré (sans distinction de cette sous-catégorie très spéciale) succède plusieurs années après une alerte de toxicité, au vu des ans et des très multiples cas d’emploi. C’est peut-être là qu’est née la notion double de « recul ». Mais, pour les vaccins covid-19, c’est le recul-temps qui manque, très spécifiquement, et il peut y avoir 8 milliards de vaccinés sans problème après 1 an et demi, ça n’empêche pas qu’il est possible que 100% meurent après 3 ans (100% de 100% de la population, pas 10% de 0,01% de la population). Affirmer l’avoir prouvé faux est une supercherie, puisque les 3 ans en question n’ont pas été expérimentés. Enfin, je donne là une excuse « pourquoi ils se trompent », mais ça n’excuse en rien qu’ils dictent leur loi en donnant totalement tort aux lucides, insultés et punis.

* Ajout 234, 19/08/2021 ter (18h) Complément sur l’immunologie et les virus
  J’ai entendu aujourd’hui un docteur dire quelque chose comme « Immunité = anticorps + "immunité cellulaire" ». Ce qui semblait confirmer mon souvenir d’une mémoire de cellules réactivables sans anticorps circulant en masse pour neutraliser le virus (cf ajout 184). Et cela dément le mot d’informations/politique clamant qu’il faut une 3e dose de vaccin chez les personnes âgées car leur taux d’anticorps baisse vite.
  Wikipédia confirme : il y a l’immunité humorale (facile à mesurer) et l’immunité cellulaire, via notamment les lymphocytes T. Et les « lymphocytes T à mémoire » sont une petite partie des lymphocytes ayant combattu l’infection, qui restent prêts à se réactiver et multiplier. Cela explique que certains vaccins n’ont pas besoin de rappels.
   Bref, il n’y a pas de grande universalité à la matière, mes souvenirs apparemment contradictoires peuvent s’appliquer ou non selon les cas. Cela n’exclut pas du tout que les remèdes sélectionnent les virus résistants (ce qui était la crainte formulée sur ce sujet).

* Ajout 235, 20/08/2021 (5h) Suite d’ajout 177 (et 140)
  A la réflexion, j’imagine deux autres hypothèses explicatives pour ce décès dit « dû à covid19 » :
- Hypothèse 5/ Le traitement anti-covid19, ajouté au traitement anti-pathologie-ancienne a créé une overdose fatale.
- Hypothèse 6/ Le traitement anti-covid19 étant jugé le plus dramatiquement urgent, pour éviter une overdose a été suspendu le traitement de l’ancienne pathologie, conduisant à mourir de cette ancienne pathologie.
  Cela ferait donc un total de 3 hypothèses sur 6 aboutissant au jugement « décès par erreur médicale ». Evidemment que, pour l'équipe médicale, le faux classement officiel « décès dû au virus covid19 » est une aubaine évitant poursuites par la famille, ce serait simplement mensonger, les prétendus experts compétents se comportant en escrocs pour échapper à la justice. Sans recours puisqu’officiellement ce sont eux qui détiennent l’expertise.
  En tout cas, le nombre de « décès provoqués par covid19 » serait biaisé, surestimé, pas du tout une donnée objective incontestable rationnellement. Le jugement populaire "tous pourris, tous menteurs" serait davantage juste que la soumission aux prétendus sachants.

* Ajout 236, 21/08/2021 (17h) Deux nouvelles sources
• On m’a envoyé un lien Internet intéressant, critiquant abondamment la sûreté des vaccins anti-covid19 : https://youtu.be/5dwCaAUwNPk
--> J’entends tout cela, toutefois je ne le gobe pas comme étant La Vérité (cachée par les autorités), je l’entends simplement, et cela fait partie des questions qui me semblent posées. Il faudrait discussion contradictoire (sans diabolisation d’un côté comme de l’autre) pour que je puisse finaliser mon opinion sur ces détails. C’est différent du scandale n°1, purement logique ne s’en remettant nullement à la réputation de tels ou tels « chercheurs » (dits exprimer « le vrai », je n'en suis pas convaincu) : au bout d’un an, on ne peut en rien de rien avoir vérifié la non-toxicité à 5 ans, requête habituelle, ici mise à la poubelle sans la moindre raison (pour une maladie pas énorme, tuant moins que le tabac en vente libre, même en truquant les chiffres "tués par covid" pour les maximiser systématiquement). Les chercheurs (chefs, connus) que j'ai connus professionnellement étaient tous des escrocs, avec le fric pour unique but, crédibilité : zéro ou négative. Ils m'ont fait virer pour continuer leurs magouilles pourries, OK, mais je ne les crois plu' du tout et je dénonce leur aura usurpée.
• J’ai entendu, dans un débat télévisé sur chaîne LCI, Frédéric Lapostolle (médecin urgentiste) condamner tout doute au sujet des vaccins anti-covid-19, disant quelque chose comme : « La science ce n’est pas de la croyance, c’est des données ».
--> C’est faux. Cet homme est peut-être un urgentiste sachant faire les gestes d’urgence, mais il est simplement incompétent en philosophie des sciences (épistémologie). La Science n’est La Vérité que pour les gens d’idéologie scientiste, oublieux que le passé a démenti leur position comme non-scientifique (position invalidée à chaque changement de théorie dominante). Les scientistes sont des croyants en la science, oui des croyants aveugles, ne détenant en rien La Vérité davantage que d’autres croyants. Logiquement, la science c’est seulement constitué par des théories (proposées fausses, ou proposées à tester expérimentalement car très possiblement fausses, ou corroborées temporairement en instance de réfutation expérimentale à venir). Et puis... les données établissant l'innocuité à 5 ans des vaccins anti-covid19 sont... imaginaires, pas "données" du tout, c'est un travestissement total de la science expérimentale, ici trahie (en clamant la servir et la faire triompher, mensonge total).

* Ajout 237, 22/08/2021 (5h) Guerre avec l’école ?
   Hier soir (peu après 18h30), sur chaine télévisée LCI, a été interviewée une pédiatre (ce qui était affiché depuis le matin en bas d'écran comme le rendez-vous de la journée à ne pas manquer), qui a entre autres choses émis une idée me choquant fort. Elle disait que l’exclusion des élèves non vaccinés (en cas de positif-virus dans leur classe) ne serait que très temporaire, en effet son espoir était que les professeurs expliquent bien, avec pédagogie, aux enfants non vaccinés qu’il faut se faire vacciner ; ensuite, ceux-ci persuaderont leur famille qu’il faut se faire vacciner et la victoire vaccinale sera totale. Qu’est-ce que j’en pense ?
   Cela me parait immensément grave : ainsi, les collégiens soumis à propagande se verront affirmer que leurs parents (si non vaccinants) sont stupides, non crédibles, ne méritant pas autorité parentale ? (sauf à se coucher pour obéir au pouvoir, via les professeurs)… Pour moi, cela vaut déclaration de guerre. Jusqu’à présent, j’étais en désaccord profond avec quantité de choses enseignées professoralement comme vraies ou obligatoires* mais je ne le disais nullement à mon fils pour ne pas casser l’autorité professorale, même abusive, je jugeais que cette soumission idiote était hélas la condition pour obtenir le métier de ses rêves (pilote de ligne). Le désaccord était minimisé, pour dire quelque chose comme « chacun son domaine : croire les professeurs à l’école, croire les parents à la maison », or cela serait cassé si les professeurs travaillent à casser l’autorité parentale pour imposer partout leur propagande. Arguments à l’appui, avec zéro propagande, je prouverais ces profs nuls et imbéciles, et je l’expliquerais à mon fils, à titre de légitime défense.
   Enfin, je ne sais pas si je le ferai en vrai, tant ce serait lui nuire professionnellement, du fait de l’abus de pouvoir des enseignants cassant s’ils le veulent les projets professionnels des enfants. Peut-être que je me coucherai en soumission, mais c’est un scandale colossal, un triomphe total de la propagande imbécile sur l’intelligence critique. Et au nom de la raison, ce qui en fait un triomphe du mensonge sur la simple honnêteté intellectuelle. Ecole de merde pure, au service d’un pouvoir pourri, tyrannique.
  (* : orthographe anti-phonétique à millions d’exceptions inutiles, conjugaison inutilement complexe pour zéro apport en sens, genre des noms communs totalement inutile formant idiote usine à fautes et prétexte à règles machistes [ou surcroit de complexité aberrante anti-phonétique en cas d'écriture inclusive], scientisme prétendant à tort à la vérité indéniable dite connaissances pour des théories en instance de réfutation expérimentale et formulées en oubliant l'axiome facultatif qu'est la condamnation arbitraire de l’hypothèse du rêve, respect décrété obligatoire des grands auteurs prétendus même nuls cassables avec grande simplicité, mathématiques mal conçues faisant bachoter sur les formules célèbres en ne comprenant pas leur démonstration d’ailleurs parfois fausse, alliance avec la loi française punissant la pensée philosophique sceptique de 2 ans de prison, célébration des droits de l’homme et de la laïcité en fait auto-contradictoires car alliés aux religions massacreuses pour désaccord d’opinion, etc.). S'ils veulent la guerre, je peux tout casser, attention.
(Précision 23/08/2021 : une amie m’envoie une citation faisant écho à mon propos ci-dessus. « Le système scolaire est conçu pour enseigner l’obéissance et la conformité afin d’empêcher les capacités naturelles de l’enfant de se développer. » [Noam Chomsky]. Euh, cela rejoint partiellement ce que je disais, mais je ne suis pas sûr que le sujet soit le même. Wikipédia m’informe que Noam Chomsky est un étasunien de gauche, or j’avais entendu dire que l’école aux USA était presque exclusivement faite de disciplines d’éveil, très faciles, jusqu’à l’équivalent du Bac, puis devenait hyper-ardue à l’université, contrairement au système français très sévère jusqu’au Bac puis tranquille à l’université – du moins à l’époque que j’ai connue, pré-Jospin, avant effondrement du niveau pour donner le Bac à 90% des enfants. Bref, il ne parle peut-être pas du tout de l’école française dans ce propos. Wikipédia me dit aussi : « Il est scolarisé avant l'âge de deux ans dans une école d'inspiration deweyite (…) dont le critère d'évaluation est axé essentiellement sur la créativité — individuelle et collective — des élèves. Il y reste jusqu'à l'âge de douze ans puis retrouve le système scolaire classique (…) dont l'esprit de compétition interpersonnelle le consterne. » Bref, il parle peut-être de l’école de droite classique aux USA (avec culte du winner) comparée à l’école progressiste de gauche américaine qu’il a connue très jeune, ça confirmerait n’avoir aucun rapport avec la situation de l'école publique en France. En ce qui concerne ses mots, je ne dirais pas les mêmes car je n’ai en rien les éléments pour affirmer « conçu pour », je ne fais que constater sans avoir accès aux motivations des décideurs, mauvais décideurs. Par ailleurs, je suis moins angéliste que Chomsky, et il me semble que beaucoup d’enfants sont des monstres d’égoïsme à discipliner, ce qui explique en partie le semi-militarisme du système scolaire français, mais celui-ci reste immensément injuste pour les non-monstres à intelligence critique dépassant celle des enseignants. Et j'ai connu au CM1 avec un Monsieur Barbier une classe progressiste en pédagogie française Freinet, et j'y ai mis minable l'instituteur, l'obligeant à avouer que l'orthographe française était antilogique, sur l'exemple du mot accueillir qu'il vantait comme hyper-logique ; non, le problème n'est pas seulement le progressisme refusé par l'école classique. Enfin, j'émets d'immenses réserves au culte de la "créativité" ou des "capacités naturelles de l'enfant", cela me fait penser au culte de l'art moderne, de mochetés infâmes se prétendant "géniales car créatives", je ne suis pas d'accord ; oui, plein de dessins d'école maternelle valent en beauté les "œuvres" de Picasso, mais je ne conclus pas du tout que tout cela est génial fabuleux, seulement que les trucs de Picasso sont laids et nuls, hyper-chers par spéculation entre gens prétentieux à tort, se prétendant "intellectuels".)

* Ajout 238, 23/08/2021 (11h) Confirmation inattendue
  Aujourd’hui, le Pr Henri Joyeux (cancérologue à la retraite, auteur d’un nouveau livre de vulgarisation médicale) dans l’émission « L’heure des Pros » a confirmé que – même s’il vaccine anticovid19 les gens le demandant – il y a un risque totalement inconnu dans les conséquences à terme des vaccins anticovid19, qui sont toujours en cours d’essai, nullement validés avec innocuité affirmée. Quant à la nature de ces risques, que l’animateur exigeait de voir énoncés, il disait qu’on n’en sait rien par principe, même s’il envisageait peut-être en premier des maladies auto-immunes puis des cancers.
   Je ne prends pas du tout cela pour la « preuve » que c’est vrai, mais comme une confirmation que ce que je dis n’est pas irrationnel stupide égoïste criminel… Indépendamment les uns des autres, des gens sensés démentent totalement le consensus dominant, arguments énormes à l’appui (et en face n’a aucun argument sur ce sujet, qu’une croyance forcenée avec diabolisation appelant à haïr, à punir, et à faire taire comme en dictature franche, oui).

* Ajout 239, 23/08/2021 bis (18h) Réflexions complémentaires
   J’entends dans des débats sur chaine C-News qu’un des arguments pour forcer les enfants à la vaccination anti-covid19 est qu’ils font souvent des « covids longs ». Or je ne crois pas à la relation de cause à effet affirmée assurément entre positivité passée à un test sars-cov-2 et fatigue ou autre des mois plus tard. Ça peut venir de tout à fait autre chose, ou éventuellement de la maladie covid19 mais pas du virus : conséquence du traitement de choc appliqué, par exemple. Ce serait une faute totale de diagnostic, je serais curieux de voir le dossier de validation de ces diagnostics, à mon avis il est inexistant : il s’agit plutôt je pense d’une décision administrative, entérinée par les autorités car elle va dans le sens alarmiste voulu (gouvernement pas la peur, semi-terroriste, comme les diktats sont semi-dictatoriaux).
   Par ailleurs, il me revient à l’esprit un point, concernant les démonstrations de cause à conséquence (exigées impérativement pour la dangerosité du vaccin, jugées inutiles pour la dangerosité du virus, hum) : on dit « les mêmes causes entrainent les mêmes effets », mais cela est totalement inopérant pour ce virus. En effet, on nous a dit : « fièvre ? c’est ce virus ! non, fatigue ? c’est ce virus ! non, diarrhée ? c’est ce virus ! non, perte du goût ? c’est ce virus ! non, courbatures ? (cette année on ne dit plu’ c’est la grippe, on dit :) c’est ce virus covid19 ! etc. » Presque tout et n’importe quoi est affirmé conséquence de cause covid19, et idem pour le fameux covid long. Ça semble immensément loin du principe de « cause donnant conséquences », ressemblant plutôt à une classification administrative fourre-tout – ce qui, en un sens, est « excellent » pour maximiser les chiffres (de malades covid19 ou faux-malades comptés malades) et permettre d’affoler la population, la tenir en laisse ainsi.
   Enfin, j’ai entendu à la télévision qu’en date d’aujourd’hui, le vaccin Pfizer est validé aux USA en fin de phase III, et que les gens ayant par le passé juré qu’il était faux (« fake news » honteuse criminelle !) qu’il était encore en essais s’avèrent des menteurs odieux, ayant trompé les vaccinés (avec « succès », selon leurs « valeurs »). Toutefois, je ne suis pas personnellement convaincu par cette validation étasunienne, n’exigeant recul temporel que de 6 mois alors que j’avais appris à l’université que 5 ans était obligatoire (sur humains, 10 ans sur animaux).

* Ajout 240, 27/08/2021 (12h) « Le doute tue ! » ??
   J’ai lu hier une nouvelle consternante : « Véran: "le doute" vis-à-vis du vaccin "aura tué et continue de tuer, y compris en métropole" » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/v%C3%A9ran-le-doute-vis-%C3%A0-vis-du-vaccin-aura-tu%C3%A9-et-continue-de-tuer-y-compris-en-m%C3%A9tropole/ar-AANMocr?ocid=msedgntp ). Je cite et commente :
• « (…) "Le doute" vis-à-vis du vaccin "aura tué" aux Antilles, a affirmé ce jeudi Olivier Véran, le ministre des Solidarités et de la Santé (…) "Une partie conséquente de la population des Antilles françaises doute. Elle doute du vaccin, de son efficacité. Elle considère parfois qu'il existe d'autres moyens de lutter contre le virus, à tort", a-t-il déclaré. "Depuis quelques jours, et l'arrivée de cette [nouvelle] vague, les réticences sont peu à peu en train de reculer. Et la vaccination progresse. Et je suis convaincu que nous y arriverons. Mais le doute aura tué. Parfois le doute tue encore. Y compris en métropole." »
--> C’est une accusation mensongère méritant dépôt de plainte. Quand une entreprise pharmaceutique découvre un médicament pouvant sauver des vies, est-ce que tout doute (officiel ou autre) retardant son emploi est « tueur » ? Alors il faut mettre en prison pour meurtre tous les officiels en service avant 2020 (ceux pas encore décédés aujourd’hui de vieillesse), ayant appliqué le principe de précaution (défini ou non) avant l’acceptation immensément prématurée des vaccins anti-covid-19, devenu apparemment le nouveau standard.
  De même, apparemment, plu’ jamais ne sera exigé de test de toxicité (à moyen-long terme) pour nouveau médicament sauveur, retardant son emploi, donc « tuant »… Plu’ jamais il ne sera exigé de test de toxicité sur animal avant test sur humain, puisque tout retard tue, et tuer les cobayes humains par toxicité est infiniment moins grave (selon le ministre) que « tuer » par non-emploi de nouveau remède (à validation pas prématurée au nom de l’urgence sauveuse).
  Je demande que le ministre Véran reçoive en injection (et ingestion et autres) tous les médicaments nouvellement découverts et à toxicité pas encore connue, puisque leur emploi est exigé par lui immédiatement, sous accusation de tuer ! C’est idiot ? Oui, absolument, idiot et dangereux, et culpabilisateur à tort, honteux de mauvaise foi. L’accusation erronée de meurtre me semble mériter la prison, pas l’énorme salaire (puis retraite privilégiée) de ministre.
  Cela me fait une nouvelle fois penser à la dictature stalinienne (ou nazie ou maoïste que je connais moins – j’ai fait Russe en deuxième langue étrangère au collège) : « que tous ceux en désaccord avec moi-dominant soient déclarés criminels incontestablement tueurs ! ». Effarant…
  C’est aussi apparenté aux imbéciles « statistiques » affirmant que ne pas lutter efficacement contre la pollution ou le chômage « tue » tant de personnes, méritant poursuite pour meurtre. Attention aux accusations de tuer de manière « indirecte ». Quand un décès est multi causal, l’affirmer dû à une cause unique (choisie par l’orateur condamnant) est une des recettes super classiques citées par le livre « gouverner c’est mentir ». Après la surestimation (ou invention) des nombres de « tués par covid19 » vient « donc », aussi malhonnêtement, la poursuite des « tueurs ayant gêné le gouvernement sauveur contre covid19 ». Persécution de l’opposition politique, oui on est en dictature, ça me parait clair. Avec déguisement en démocratie car durée limitée à 5 ans, sans éternité officielle. Ç’aurait d’ailleurs pu être explicitement le discours stalinien : « la misère tue, donc conduire les travailleurs à la misère tue, donc le capitalisme tue, donc le non-communisme tue, donc à titre de légitime-défense tuons les non-communistes, la meilleure défense c’est l’attaque ! ». Ce serait risible si ce n’était pas ici clamé avec immense sérieux.
(Complément 28/08/2021 : Dans mes ajouts 136 et 171, je parlais de publicités gouvernementales mauvaises, abusives [pour faire vacciner en trompant le public, sciemment]. Or j’ai entendu à la télévision des médecins dire que le nombre important d’hospitalisés [et décédés] « à cause de covid19 » parmi les vaccinés anti-covid19 était dû au fait qu’en se faisant vacciner, ils se croient à l’abri et ne respectent plu’ les gestes-barrières. Or c’est exactement le message officiel : « tous vaccinés : tous protégés ! », donc intuitivement : puisque protégés, bises, abandon du masque, etc. La publicité gouvernementale serait tueuse, selon ces médecins, s’ils osaient le dire. [Enfin, personnellement, ce n’est pas moi qui émets cette accusation car je ne suis pas encore convaincu que sars-cov-2 est pathogène, mais au lieu que tout le monde accuse tout le monde de meurtre, il conviendrait de calmer tout ça, et sans criminaliser spécifiquement les sceptiques osant douter].)

* Ajout 241, 27/08/2021 bis (14h) Publicité gouvernementale mensongère encore
   Aujourd’hui, j’ai revu une publicité officielle du gouvernement pour faire la leçon (au public jugé apparemment imbécile) sur le sujet covid19. La conclusion était : « (1) On peut débattre de tout, sauf des chiffres. (2) Aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid19 sont non-vaccinées. » Cela me semble totalement mensonger :
1/ Si les chiffres sont biaisés, mal collectés, ils peuvent parfaitement être faux. Chiffrer n’est en rien objectiver. Cela a été prouvé scientifiquement par l’expérience : à la réunion des deux Allemagnes, les Allemands de l’Ouest se réjouissaient de bénéficier des énormes productions d’acier en Allemagne de l’Est, officielles, mais… c’était entièrement faux, chiffres de pure propagande. En France avec covid, c’est pareil : administrativement, tout trouble qui survient chez quelqu’un positif au virus sars-cov-2 est affirmé avoir pour cause la maladie covid19, sans preuve aucune, par décision administrative, de propagande affoleuse. C’est tellement malhonnête que j’envisage que sars-cov-2 ne soit pas pathogène, les gens malades d’autre chose (ou de vieillesse) étant affirmés « malades covid19 » s’ils ont par hasard une positivité à tel truc bénin (on pourrait dire pareillement « malades de calvitie », « tués par la calvitie »). Par ailleurs, clamer que "loin des statistiques industrielles suspectes", les chiffres scientifiques sont indéniables, c'est faux : j'ai prouvé qu'un théorème appris à l'université (le + utilisé du monde en statistiques sur échantillons) était faux, j'ai démontré que certains des outils de mesure produits par l'entreprise qui m'employait étaient faux, et on m'a fait taire, exclu comme malade mental, pour continuer à faire du fric avec des chiffres faux et une aura scientifique usurpée (moins de 12 ans d'âge mental, en fait). Oh si, on peut discuter des chiffres... (sauf pour les scientistes stupides idolâtrant la science, à tort).
2/ Je le disais depuis longtemps : si le vaccin protège essentiellement de la positivité au test sars-cov-2 (même si celui-ci ne serait pas pathogène), automatiquement il y aurait une grande majorité de non-vaccinés dans la population des positifs sars-cov-2, en bonne santé comme hospitalisés. Bref, cette proportion (dans le sous-groupe des hospitalisés, en cachant l'autre) ne prouve en rien de rien que le vaccin prévient de l’hospitalisation toutes sous-populations confondues. Certes, ce n’est pas, dans ce cas-là, que le chiffrage est faux, c’est qu’il ne démontre rien de rien, alors qu’il est présenté comme immensément probant pro-vaccination ce qui est faux. Si vous êtes très malades, vous serez hospitalisés que vous soyez vaccinés ou non, mais si vous êtes vaccinés, il y a peu de chances que vous soyez trouvés sars-cov-2 positifs donc ça ne sera pas compté « hospitalisés à cause de covid19 », ne changeant rien de rien à l’hospitalisation, et ne prouvant en rien que la vaccination protège de l’hospitalisation. Le message se voulant pro-vaccination est donc totalement mensonger.

* Ajout 242, 28/08/2021 (17h) Ruiner mathématiquement la propagande
   J’ai pensé à un truc virtuel semi-évident, démentant la loi gouvernementale « les affreux contaminateurs ce sont les non-vaccinés, alors que les vaccinés protègent admirablement autrui ». Prenons une réunion en intérieur (illégale : sans contrôle de pass sanitaire) où viennent 11 vaccinés (libres de s’éclater) et 1 non-vacciné (bravant les injonctions à rester enfermé chez lui coupablement). Il est dit que la protection vaccinale est de 90% pas 100% (et sans vaccin, environ 10% des gens ont rencontré le virus) ; à l’issue de cette réunion, les 12 convives sont contaminés et il s’agit de désigner le coupable… Pour le gouvernement c’est avec totale certitude le non-vacciné, atroce, qui n’aurait jamais dû entrer, sale « race » ! Mais si on fait le calcul mathématique, désolé, la probabilité est plus grande que le contaminateur soit un (ou plusieurs) des vaccinés.

  (n est le nombre de contaminés avant réunion, N le nombre de présents par groupe)
  Bilan à mon avis : les médecins et politiciens sont des abrutis, réciteurs et littéraires, pas des matheux certes, mais ça ne les autorise pas à mentir, ni accuser à tort, punir à tort.

* Ajout 243, 29/08/2021 (11h) Radars
  J’entends un débat télé dire qu’on n’a pas à invoquer la liberté individuelle contre l’obligation vaccinale anti-covid19, car c’est très normal que la liberté individuelle concède des exceptions pour le bien de tous : on ne refuse pas les radars qui brident la liberté de conduire à 300 km/h, c’est exactement pareil. Qu’est-ce que j’en pense ?
  C’est entièrement faux : l’obligation de restreindre sa vitesse ne risque pas de me tuer avec une probabilité totalement inconnue. Dans l’affaire des vaccins anti-covid19, il ne s’agit nullement de refuser un truc bénéfique prouvé bénin sans risque, mais un truc fallacieusement validé sans respecter les exigences usuelles (établies après scandales pharmaceutiques très graves, imprévisibles a priori avant long essai), sans justification (crédible) aucune, tous les vaccinés pouvant tomber morts trois ans après, personne n’en sait rien, même si de faux scientifiques (oubliant ce que science « expérimentale » veut dire) clament que leur croyance parachutée vaut vérité.

* Ajout 244, 30/08/2021 (19h) La glorification du gouvernement annonce la diabolisation des opposants
• Je lis une nouvelle MSN/RMC étonnante : « Fred Hermel: "Ce jour où j'ai eu de la compassion pour les manifestants antivax" » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/fred-hermel-ce-jour-o%C3%B9-j-ai-eu-de-la-compassion-pour-les-manifestants-antivax/ar-AANTFi0?ocid=msedgntp ). Un chroniqueur décrit son bonheur de déambuler dans Paris, discuter amicalement avec des policiers, puis il est choqué de voir des manifestants anti pass antivax hurlant leur haine, puis il voit des amoureux et gens qui dansent en souriant, et il trouve que la France c’est le bonheur, il plaint les haineux ne comprenant pas que cette nation est magnifique. Qu’est-ce que j’en pense ?
--> Cela relève de la sensibilité personnelle, c’est un sentiment comme un autre. Sauf que… c’est un sentiment de privilégié, non soumis à la répression ruineuse commandée par le dictateur et ses relais. Un tel béni oui-oui aurait pu sourire de la vie sous Hitler, sous Staline, etc. en trouvant ici ou là des amoureux heureux, des danseurs jouissifs, et il aurait pareillement condamné la colère des persécutés. Je trouve ça affreux. C’est un sentiment possible mais anti-altruiste, allié aux persécuteurs, je n’aime pas ça, non. Et surtout : c’est imbécile (et immoral) de ne pas chercher à comprendre les reproches formulés par les manifestants, la crédulité vis-à-vis des autorités est excusable chez un déficient mental, mais chez un fier donneur de leçons, c’est odieux.
• Une autre nouvelle MSN/BFM-TV est marquante : « Une étude estime que près de 50.000 morts ont été évitées en 2021 en France grâce à la vaccination » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/une-%C3%A9tude-estime-que-pr%C3%A8s-de-50-000-morts-ont-%C3%A9t%C3%A9-%C3%A9vit%C3%A9es-en-2021-en-france-gr%C3%A2ce-%C3%A0-la-vaccination/ar-AANUhgI?ocid=msedgntp ). Qu’est-ce que j’en pense ?
--> Le mot d’estimation est bien pratique car une estimation peut être erronée, mais les médias et politiciens (scientistes abrutis) entendant que c’est scientifique classent ça en vrai indéniable. Ce chiffre 50.000 s’il est ± 50.000 signifie peut-être zéro, mais affirmé 50.000, c’est nul en pertinence. L’article dit que la fourchette est 36.000 à 62.000 selon les scénarios considérés mais n’a sans doute pas été considéré le mien : les chiffrages de « morts tués par covid19 » seraient totalement faux, immensément surestimés ou inventés pour en fait « morts de quelque chose, tout en se trouvant positifs au sars-cov-2, virus bénin peu létal ou pas létal du tout ». Le chiffrage d’incertitude est donc assurément très partiel, le doute sur des hypothèses étant non chiffrable objectivement. Ainsi, il a été prolongé linéairement une courbe, en observant que les comptages officiels de morts étaient bien en dessous, et cela est attribué à la vaccination, sans envisager que les nouveaux variants sont moins tueurs. Affirmer une estimation en omettant toutes les hypothèses contestables employées, c’est du faux et usage de faux, se présentant comme très probant, alors que ce n’est pas vrai, c’est une déclinaison automatique d’hypothèse pro-vaccination. C’est nul. Pire : si ce chiffre est pris pour accuser les anti-vax de tuer des dizaines de milliers de personnes, un faux est instrumentalisé pour punir injustement, c’est atroce (de mauvaise foi, propagande, malhonnêteté, injustice).

* Ajout 245, 31/08/2021 (6h) Intéressant mais cher
   A titre indicatif, j’ai voulu voir ce qu’Internet disait des tests covid19 (ou plus exactement : sars-cov-2) français. Et je suis tombé sur la description d’un test multiplex « haut de gamme », le texte de présentation disant « test capable de détecter simultanément le SARS-CoV-2, les virus de la grippe A et B ainsi que des pathologies respiratoires de l’enfant et des personnes âgées (…) Au regard du coût élevé de ces tests complexes (…) Cette sélection réduit sensiblement la taille du marché, (…) Contrairement à la médecine de ville qui représente des millions de tests PCR, notre cible est hospitalière avec des situations de patients plutôt critiques, à très fort risque où il faut faire tout de suite le distinguo entre le COVID-19 et d’autres virus. » Qu’est-ce que j’en pense ?
   Effectivement, un tel test est excellent, tendant à confirmer éventuellement « sars-cov-2 (donc covid19) est la seule cause apparente pour telle infection grave ou mortelle ». Toutefois, 3 remarques :
– Il est dit que ce test est très cher, peu utilisé, donc je crains que la majorité des cas soit simplement « sars-cov-2 oui ou non, si oui alors on affirme que covid19 est la seule et unique cause », ce qui est potentiellement une erreur biomédicale.
– J’avais lu sur Internet (je ne sais pas si c’est d’une source fiable) que dès l’apparition de covid19 en Mars 2020 en France, le nombre de tués par la grippe était passé de mille environ par mois à zéro. Cela semble très suspect d’avoir compté en « tués par covid19 » les « tués par la grippe » (ou « tués par la grippe tout en ayant infection bénigne au sars-cov-2, petit germe opportuniste de surinfection bénigne ». Effectivement ce test aurait pu éviter pareille méprise mais il n’est peut-être pas assez utilisé pour cela – et le gouvernement (et les autorités de santé, payeuses) voulant affoler la population au maximum au sujet de covid, il n’a aucune raison de favoriser son emploi, risquant de faire s’effondrer l’édifice de mensonge organisé pour faire vacciner anti-covid coûte que coûte.
– Il reste possible qu’il y ait un autre virus, inconnu, tueur, qui provoque plein de décès en ce moment ; il ne serait pas dans ce test puisque pas encore séquencé, et ce test serait donc faux, pouvant conduire à identifier une cause unique là où ce n’est qu’un à-côté bénin à l’infection principale. Seuls les scientistes confondent « dangers connus » et « vrai problème », la sagesse est plutôt dans le doute non affirmatif. Mais les décideurs détestent cette sagesse dubitative et préfèrent foncer affirmativement, quitte à se tromper (en général ils blablatent pour s’en sortir toujours, même en cas d’erreur avérée – l’affreux système de république, ou « dictature républicaine » dirais-je, leur garantissant les pleins pouvoirs et l’impunité jusqu’à l’élection suivante, le référendum d’initiative populaire est interdit, le peuple n’a pas du tout le pouvoir, on n’est pas en démocratie, on n’a que le choix de choisir son dictateur périodiquement).

* Ajout 246, 31/08/2021 bis (18h) Invalidation totale de l'aveuglement général
   Aujourd’hui dans les débats télévisés sur chaine C-News comme hier sur chaine LCI, il n’y a plu’ débat sur la légitimité de refuser le vaccin anti-covid19, considérée nulle, cachant protestation politique ou aberration. Le discours unanime est quelque chose comme : « 1/ Quant aux quelques soignants continuant à refuser cette vaccination (au nom de leur liberté), ils sont absurdes ou idiots ou de mauvaise foi puisqu’il y a plein d’autres vaccins obligatoires qu’ils ont acceptés, 2/ qu’il est très nécessaire de ne pas contaminer les faibles hospitalisés pour autre chose (3/ et quelle preuve ont-ils que ce vaccin est dangereux ??? non, soyons sérieux). 4/ Et puis l’argument massue clôturant les débats est que 80% à 95% des hospitalisés sont non-vaccinés, alors que le taux de non-vaccinés est de bien moins de 50%, ce qui prouve le caractère immensément protecteur du vaccin (même si ce n'est pas 100,0%). » Qu’est-ce que j’en pense ?
   C’est totalement faux, idiot ou criminel de la part de ces donneurs de leçons.
1/ Il n’est en rien comparable d’accepter un vaccin prouvé non dangereux avec des décennies de recul-temps et devoir accepter (de force) un vaccin à recul-temps non encore examiné, pouvant tuer tous les injectés 3 ans après. Ça n’a rigoureusement rien à voir, et une faute colossale a été commise dans la validation officielle opérée, contrevenant furieusement au principe de précaution et aux instructions systématiques de prudence depuis le scandale thalidomide. Les soignants (et les techniciens bio comme moi), informés des bases pharmacologiques, perçoivent ce scandale mieux que la population générale, crédule. Quant aux médecins, ce sont des abrutis sélectionnés comme réciteurs serviles s’interdisant de réfléchir, et très cher payés pour approuver le système, donc eux peuvent ne pas protester, pas du tout parce qu’ils sont les plus pertinents (ou "les seuls vrais sachants").
2/ Les maladies nosocomiales sont une immense routine, n’ayant nullement débuté avec covid19, et n’ayant entrainé nulle campagne automatique de vaccination obligatoire des soignants. Hospitalisé, j’ai attrapé une septicémie à bacille pyocyanique, potentiellement mortelle, y a-t-il pour autant vaccination obligatoire contre ce bacille pyo ? Absolument pas. Ce n’est en rien un principe systématique. Certes, une fois le vaccin disponible, il pourrait être bénéfique de le préconiser, mais – une fois établie son innocuité, ce qui n’est pas le cas du vaccin anti-covid-19, pouvant tuer tout le monde 3 ans après injection (en ayant « oublié », avec aide de milliards de dollars, l’ancienne requête de 5 ans de recul sur humains, 10 ans sur 2 espèces d’animaux de 2 familles différentes). Hop, pas besoin de prouver « pour de vrai », il est préféré hurler que c’est prouvé, même si après 1 an, c’est super-débile, pitoyable, mais… faisant autorité, abus total d’autorité.
3/ C’est tout le problème général en justice « à qui incombe la charge de la preuve ? » = « à qui donnera-t-on tort si la situation objective est un doute ? ». Le principe de précaution avait tranché officiellement : quand il y a un risque potentiel, ni prouvé danger vrai ni faux danger illusoire, la décision est de prendre en compte le « danger (peut-être) vrai ». Ici tout au contraire (avec cette affaire des vaccins anti-covid19, Moderna criant victoire en premier), affirmer qu’il n’y a pas de danger est considéré établi au bénéfice du doute, en refusant l’hypothèse de danger (pour les vaccinés) tant qu’il n’y a pas preuve de catastrophe effective. C’est l’exact contraire du principe de précaution. Il y a des objections évidemment :
a) Il pourrait être hurlé qu’il y a (à ne pas vacciner tout de suite) danger génocidaire d’exterminer des milliards de gens, empêchant cette fois de prendre le temps du principe de précaution, mais ce n’est absolument pas le cas, covid19 tuant moins que le tabac en vente libre.
b) Il est clamé qu’attendre tue, puisque l’on a affaire à une pandémie mortelle, obligeant à braver la prudence frileuse habituelle autrefois. Mais c’est faux, et si un industriel découvrait demain un remède contre le cancer ou la malaria ou la vieillesse (qui tuent, oui), cela ne le dispenserait en rien de prouver que son remède ne tue pas 3 ans après première prise (surtout avec prise forcée au monde entier tous âges). On sauve les futurs malades uniquement après avoir prouvé que ça ne va pas tuer tout le monde.
c) Que ceux voulant se faire vacciner immédiatement (à commencer par les décideurs) se fassent injecter tous les médicaments sauveurs découverts par l'industrie depuis moins d'un an (et à innocuité pas encore démontrée), non ils ne veulent pas parce que c'est très dangereux ainsi ? Oui, c'est ce que disent les refuseurs de vaccins anti-covid19 ainsi très prématuré. Les idiots menteurs ne sont pas ceux qui doutent, là, mais ceux qui imposent (et cachent les vraies objections).
4/ J’ai cassé totalement la prétendue preuve, qui n’en est une que pour les littéraires idiots, entendant de vagues trucs allant plus ou moins dans tel sens. Chiffres en mains, en prenant scientifiquement une hypothèse alternative, on invalide la corrélation sous-entendue entre grand nombre de vaccinés parmi les cas graves et grand pouvoir protecteur de la vaccination. Non, ce n’était pas une preuve du tout, c’est une arnaque !


* Ajout 247, 31/08/2021 ter (19h) Complément d’analyse de pub
   Dans l’ajout 241 j’analysais la fin d’une publicité pro-vaccin officielle, mais elle est repassée, et le début ne me parait pas inintéressant à contester aussi. Source : https://www.youtube.com/watch?v=uUZDWW7V36A
   Discussion entre amis à table de jardin :
(1) – Alors, je ne sais pas vous, mais j’en ai vraiment ma dose de ce covid.
(2) – Tu me diras, comment ne pas se faire vacciner aujourd’hui ? C’est tellement important !
(3) – Perso, j’hésite encore.
(4) – T’es sérieuse ?
(5) – Franchement, je préfère attendre.
(6) – Attendre quoi ? D’être hospitalisée ?
(7) – Eh oh doucement, moi je la comprends, moi non plus je ne le connais pas ce vaccin !
(8) – Par contre, les conséquences du covid, on commence à bien les connaître…
(9) – Et depuis trop longtemps même.
(10) – J’avoue, moi aussi j’hésite. Mais à mon âge, c’est quoi les risques de me retrouver à l’hôpital ?
(11) – Tout le monde peut se retrouver à l’hôpital !
(12) – La question, ce n’est pas seulement de te protéger toi, mais aussi les autres…
(13) – Merci.
(14) – C’est important aussi, les autres.
(15) – Entre nous, est-ce qu’on est sûr qu’il nous protège vraiment ce vaccin ?
(16) – Grave !
(17) – C’est vrai ça, est-ce qu’il est vraiment efficace, ce vaccin ?

[Avant la réponse finale hors discussion, discutée en point 241 (± "on ne peut pas discuter les chiffres, qui prouvent le vaccin efficace")].
  Je discute point par point :
1/ Personnellement, le covid ne me gêne en rien, seulement les diktats officiels édictés en son nom. Peut-être que ce virus n’existe pas, je serais gêné tout autant. C’est un problème politique, pas biomédical. La Suède n’a pas confiné, ici nous avons hyper-confiné en ayant parait-il davantage de morts (prétendus), c’est louche. On peut douter, oui, il y a de quoi. Mais la parole officielle balançant des chiffres (peut-être de propagande fausse) ne répondront en rien.
2/ La propagande clame que se faire vacciner est hyper-important et hyper-facile, mais c’est oublier que ce vaccin a été validé très prématurément, en ignorant totalement s’il tue tous les vaccinés 3 ans après. Y penser suffit à ne pas vouloir se plier à cette injonction à se faire vacciner (anti-covid19, spécifiquement, ayant trahi tous les standards de sécurité pharmaceutique, sans explication, mais avec milliards de dollars à la clé, et jouissance des dominants poliçant la vie des gens avec immense sévérité et terroristes menaces de ruine).
3/ L’hésitation est saine. Entre deux dangers, choisir n’est pas simple.
4/ Les soumis à la propagande ne voient qu’un côté et condamnent le doute. Comme dans ce spot n’est nullement mentionnée la dangerosité possible, effectivement les dubitatifs paraissent insensés, c’est simplement du mensonge, cachant les vrais arguments, rédhibitoires. Ce spot est de la propagande orientée, inéquitable, malhonnête.
5/ Attendre est raisonnable, non pas attendre sans rien faire mais en effectuant les tests classiques de validation de non-toxicité avec le temps possible d’incubation de maladie secondaire induite, très possible (genre cancer, très long à passer d’une cellule mutée à une tumeur envahissante).
6/ La réponse est hors sujet. Sinon, que l’Humanité entière se fasse vacciner par le vaccin anti-vieillesse qui vient d’être découvert, et dont on ignore la létalité. Mais non, c’est seulement après qu’ait été établie la non-dangerosité du remède qu’on peut le dire bénéfique, pas avant. Accuser tout retard de faire du mal, c’est oublier que foncer sans se poser de questions peut faire bien davantage de mal encore (au moins 4 milliards de morts si la vaccination anti-covid19 s’avère tueuse).
7/ Des personnes non-spécialistes ne connaissent pas moins ce virus que les autres, s’ils sont contre son vaccin c’est qu’il n’est absolument pas comme les autres : il a été validé sans avoir prouvé sa non-toxicité (essai complet sur animaux avant de passer à l’humain, pouvoir cancérigène, pouvoir tératogène, etc.). Les spécialistes officiels ont fait n’importe quoi, faute ultralourde, ils n’ont rien de rien à répondre aux objections, que cela vienne de gens non-spécialistes ou professionnellement dans les métiers de santé. Si les officiels envoyaient mille pages de propagande, on ne connaitrait pas mieux ce vaccin, si n’est en rien donnée une réponse aux objections graves.
8/ Personnellement, je ne connais en rien les conséquences du covid, hors affirmations mensongères des gouvernants et leurs alliés. Ainsi quand il est dit que tous les hospitalisés ou presque sont non-vaccinés, ce n’est pas une connaissance qui est donnée mais une désinformation : non, les vaccinés anti-covid19 ne cessent pas d’avoir des fractures, AVC, accidents de voiture, etc. Tout est menteur, affirmé connaissance, c’est une honte. Qu’il y ait des crédules gobant ça n’est pas faux, mais c’est très triste.
9/ Oui, la propagande fonctionne plein tube depuis plus d’un an, c’est lassant, cette bêtise victorieuse, oppressante maintenant, punitive…
10/ La question de vacciner ou non les personnes risquant très peu de forme grave est légitime, pas simple, correspondant à une certaine stratégie qui n’est pas forcément la bonne. Mais ça ne me semble pas du tout l’argument choc pour refuser la vaccination contrainte : c’est la toxicité inconnue (sujet ici caché).
11/ Pareil : ce « tout le monde peut » est un piège en rien spécifique au sujet covid. Tout le monde peut être écrasé en traversant la rue, faut-il interdire les voitures ? Ce n’est pas le sujet majeur propre au vaccin covid19. La question posée était ici « les risques », répondre « davantage que 0,000000% » est hors sujet car "risque 0,000001%" serait accepté par la personne en question.
12/ La question du caractère égoïste du refus de vaccination a été le grand sujet il y a environ un mois (oubliant que pour sauver autrui, normalement il ne faut pas se mettre soi-même en danger de mort). C’est périmé, apparemment, les dernières publications discutées à la télé ayant invalidé le dogme officiel que les vaccinés n’étaient pas contaminants, pas transmetteurs. Ce qui est là affirmé a depuis été reconnu faux.
13/ L’approbation indiquant quel est le bien est évidemment du côté vaccineur : c’est un clip de propagande, pas de réflexion équilibrée.
14/ On sombre dans la leçon de morale, sans autoriser les opposants à la vaccination à dire de même : forcer les gens à se vacciner avec un truc peut-être tueur, c’est tout le contraire de protéger les autres que soi, c’est une violence terrible à leur encontre.
15/ Basculer le sujet sur l’efficacité est oublier les débats préliminaires essentiels, en rien éclaircis : cette prétendue maladie est-elle grave ou les chiffres sont-ils truqués (pour compter « tués par covid19 » les « morts de quelque chose avec positivité au test sars-cov-2 ») ? Ce vaccin est-il prouvé sûr avec 5 ans de recul-temps classiquement ?
16/ Insister très fort sur cette mauvaise question fait bien sûr partie de la propagande égarant les esprits sérieux.
17/ Réinsister sur la mauvaise question va introduire la mauvaise conclusion, prétendant répondre à tout, alors qu’ont été cachées les questions essentielles. C’est du très mauvais travail de propagande, crédible en rien de rien. Sauf par crédules comme ma famille en région parisienne (parents, frère, sœur), certes, me donnant totalement tort, sans avoir rien compris à mes arguments, différents de ceux présentés à la télé. Bref, c’est très très mauvais en crédibilité, mais ça fonctionne en continuation du lavage de cerveau débuté il y a un an et demi, auprès de la majorité des gens.

* Ajout 248, 03/09/2021 (17h) Président vs Professeur
   Hier j’ai lu une nouvelle MSN/ étonnante : « Didier Raoult "a pu créer ces phénomènes" de rejet du vaccin selon Macron » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/didier-raoult-a-pu-cr%C3%A9er-ces-ph%C3%A9nom%C3%A8nes-de-rejet-du-vaccin-selon-macron/ar-AAO1uMN?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Le professeur Didier Raoult "est un grand scientifique français", a reconnu le président Emmanuel Macron jeudi à Marseille, mais "par sa parole médiatique" il a "peut-être pu créer ces phénomènes" de rejet de la vaccination contre le covid. (…) faible taux de vaccination. Il est d'à peine 30%, dans les quartiers nord de la ville. »
--> Il y avait des raisons objectives de rejeter cette vaccination, accessibles à tous les informés de pharmacologie donc leurs relations, pas besoin qu’un grand ponte dise quelque chose en ce sens. Certes, avec l’expression « a pu peut-être », ce n’est pas affirmatif accusatoire, seulement du domaine hypothétique, mais c’est mal pensé. Simplement, le professeur Raoult et d’autres, en se désolidarisant de la majorité scientifique pro-gouvernementale, a illustré que la parole prétendue scientifique n’est pas la vérité révélée indéniable mais un groupe de discussion un peu dans tous les sens. Le reconnaître serait lucide et raisonnable, rationnel, mais c’est tout le contraire de la pensée du scientiste Macron, ayant volé ses diplômes « supérieurs » de philosophie.
  En pratiquant l’implicite injonction macroniste, les scientifiques ne devraient débattre qu’entre eux, avant qu’émerge un consensus relatif, et celui-ci serait alors assené à la population (jugée stupide) comme La Vérité. C’est l’exact contraire de la lucidité, de l’honnêteté intellectuelle, ce président est un bandit de la (fausse) pensée.

* Ajout 249, 05/09/2021 (6h) Magazine orienté
   La télévision (chaine LCI ?) a montré hier la couverture d’un magazine « L’Express » intitulé : « Les antivax ont tout faux » (ou des mots de ce genre). Je vais chercher à me le procurer mais ça me semble très faux et minusculement juste. C’est comme sous Brejnev en URSS si on avait dit « les dissidents ont tout faux ». Certes, ils ne dominent pas politiquement, ce n’est pas une réussite en cela, mais ils ont entièrement raison de condamner la dictature abusive en place. Dire qu’ils ont tout faux est leur donner tort de manière injuste à mon avis (quoique de manière très juste selon les atroces autorités écraseuses).
  Mais il faudrait que je lise le contenu précis pour me faire vraiment une opinion argumentée.
   Cherchant sur Internet, j’en trouve un utile résumé ou extrait à https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/pourquoi-les-antivax-et-une-partie-des-anti-passe-sanitaire-ont-tout-faux_2157453.html . Je cite et commente :
• « Pourquoi les antivax (et une partie des anti-passe sanitaire) ont tout faux. Les opposants aux vaccins comme ceux, plus nombreux, au passe sanitaire sont en recul. Derrière les arguments sur la liberté, on retrouve souvent des thèses pseudoscientifiques. »
--> Oui, il y a des arguments sur la liberté et des thèses pseudoscientifiques mais pas seulement. Il y a aussi des objections parfaitement rationnelles, scientifiques et morales, et ne pas en parler devrait interdire d’affirmer que les antivax ont « tout » faux. Il faudrait dire en clair « en cachant comme d’habitude les arguments imparables de ces gens, il ne reste que du tout-faux ! » (aveu d’examen malhonnête, propagande déguisée en analyse).
• « (…) "Comment pouvez-vous obliger des gens à avoir une injection qui a une autorisation de mise sur le marché provisoire et qui est en phase d'expérimentation ?" s'indigne une sexagénaire. (…) "Expliquez-moi les pathologies qui sont sorties suite au vaccin : les jeunes filles qui perdent leurs règles, donc elles vont être stériles (…) "Pourquoi vous ne soignez pas ?" enrage une quadragénaire. "L'Institut Pasteur a reconnu les soins par ivermectine. Personne n'en parle, le gouvernement a commandé tellement de vaccins qu'il faut tous les envoyer" (…) On pourrait sourire devant les arguments avancés par cette poignée de militants. On aurait tort. Selon un sondage OpinionWay réalisé à la mi-juillet, 16 % des Français refusent toujours la piqûre. A la mi-août, 34 % soutenaient l'opposition au passe sanitaire (Ifop). Ces réfractaires partagent parfois l'une ou l'autre des idées du cortège de Pau. Elles correspondent à des rumeurs qui circulent sur Internet, toutes démenties par les études scientifiques. (…) Et si des troubles menstruels ont bien été signalés à l'Agence nationale de la sécurité du médicament, aucun impact sur la fertilité n'a en revanche été démontré. »
--> Il n’y a nullement à sourire de ces questions, ou on peut tout autant sourire du virus sars-cov-2/covid19 et de n’importe quoi (humour noir etc.), ce n’est pas du tout un argument opposé mais une expression de rejet. Ce n’est en rien une rumeur que de noter qu’un an après découverte du vaccin il est totalement impossible d’affirmer (avec les autorités) son innocuité à 5 ans, et même sa non-léthalité à 5 ans. C’est de la pure logique. On pourrait dire que cet argument énorme contre ce vaccin-là, c’est de la science, si ce terme n’avait été volé par des blouses blanches chefs alliées au gouvernement et mentant à son service (et à celui des puissances financières impliquées). Par ailleurs, pour la question de la fertilité, c’est une enfreinte explicite au principe de précaution politiquement clamé (et discrètement trahi) : un risque est mentionné, et il devrait suffire à interdire le produit au bénéfice du doute, mais non ! on exige preuve du danger effectif et en attendant on fonce en se fichant éperdument du risque signalé, c’est le contraire absolu du principe de précaution. Que les menteurs pourris sourient des arguments logiques, ça en fait des sombres idiots alliés au pouvoir dictatorial stupide. Ce sont ceux-là qui ont « tout faux » ou presque, je crois.
• « Toutes ces balivernes n'ont, fort heureusement, pas convaincu une majorité de Français : 83 % des plus de 12 ans se trouvaient complètement vaccinés au 28 août, ou avaient déjà réalisé une première injection. (…) »
--> C’est « oublier » (en fait « passer sous silence », cacher) que plein de vaccinés l’ont fait très à contrecœur pour échapper aux sanctions gouvernementales dictatoriales (sans l’ombre d’un référendum). Peut-être ainsi que sous Staline, 83% des gens applaudissaient le leader, était-ce magnifique de popularité ou convient-il de signaler que c’était principalement par peur des punitions et que les 17% restants étaient en instance d’enfermement/esclavage au goulag ? Ne pas interroger les motivations vraies, ce n’est pas un argument, c’est de la propagande sub-débile.
• « Certains ont été convaincus par la très bonne efficacité des vaccins qui, malgré le variant Delta, continuent à protéger à 97 % contre le risque de faire une forme grave. »
--> Se centrer exclusivement sur l’efficacité, c’est se tromper totalement (ou plus exactement : être trompé totalement par les autorités, politico-« médicales »). Pour tout remède, la question de son emploi (pouvant être convaincant éventuellement) repose sur la balance bénéfices/risques. Effacer totalement les risques pour ne prendre en compte que les bénéfices, c’est de l’idiotie profonde, crasse, c’est ce qu’entend inculquer la propagande, nulle.
• « D'autres s'y sont résolus à reculons, contraints par le passe sanitaire. Mais enfin, le résultat est là : (…) la France se trouve désormais dans le peloton de tête des pays les plus vaccinés au monde (…) Les arguments des cortèges contre le passe sanitaire ont échoué à faire douter, au-delà des 9 millions d'indécrottables réfractaires isolés par les sondages. »
--> Si, 3 ans après injection, 100% des vaccinés décèdent (ce n’est pas prouvé, ni certain ni impossible), cette course avec prétendu « peloton de tête » aura été une course massacreuse génocidaire, c’est atroce. L’envisager comme risque (indéniable en science expérimentale où c’est l’expérience qui tranche, pas le bla-bla de prétendus experts façon Moyen-Age) devrait enclencher le principe de précaution automatiquement et faire suspendre ce vaccin, jusqu’à démonstration habituelle de son innocuité sur 5 ans. Ici abandonnée pour aucune raison expliquée (et fortune milliardaire de certains, et jouissance oppressive d’autres). Heureusement qu’il y a quelques lucides réfractaires, et ce ne sont pas eux qui sont dans la crotte pseudo-intellectuelle, tout au contraire !
• « Faut-il dès lors s'inquiéter d'une frange d'agités, bruyante certes, mais très minoritaire, et qui évolue de plus en plus dans un monde parallèle ? D'un point de vue sanitaire, assurément. Car il est aujourd'hui devenu impossible de le nier : les antivaccins ont du sang sur les mains. »
--> Cette accusation devrait être sanctionnée par les tribunaux (à supposer qu’ils soient honnêtes et pas au service des autorités menteuses). Un remède ne doit être prescrit qu’une fois prouvée son innocuité. Il n’y a pas lieu de condamner les refuseurs des prétendus remèdes à toxicité (et léthalité) inconnue(s). Si, à terme, il s’avèrera qu’il y avait innocuité, effectivement leur prudence aura empêché de sauver des vies, mais si le remède s’avère tueur, on aurait dû les écouter, sauvant un nombre bien plus grand de vies. Dans l’ignorance du futur, le principe de précaution (s’il était honnête) imposerait le non-emploi. Entre le risque de tuer 4 milliards d’humains (vaccinés effectivement) et le risque de ne pas sauver 4 millions d’humains (morts avec sars-cov2 et affirmés « tués par covid19 »), la balance quantitative confirme cela aussi, très rationnellement et très moralement, quoique puisse dire une Justice pourrie à faux-experts achetés.
• « (…) ceux dont les habitants, moins vaccinés que la moyenne, remplissent nos services de réanimation" (…) »
--> C’est faux : il est fait ici mention exclusivement des positifs au test sars-cov-2 (quand bien même celui-ci ne serait pas pathogène), les malades en réanimation devenant non-comptés si la vaccination les a protégés de cette positivité. C’est une erreur lourde, que ne comprennent pas les médecins, stupides réciteurs ne réfléchissant pas (sélectionnés selon ce critère, très exactement – je l’ai connu de l’intérieur, avant de m’enfuir vers des études honnêtes).
• « une étude en pré-publication de chercheurs de l'université de Montpellier (…) estime à 47 400 le nombre de décès qui ont pu être évités en France grâce à la vaccination. »
--> Et si le vaccin tue 47,4 millions de Français dans 3 ans, il sera où le bénéfice admirable ? Toute la question est la balance bénéfices/risques et les risques sont inconnus, affirmés anti-scientifiquement « négligeables » avant d’en avoir fait l’expérience. L’anti-scientificité est dans le camp des prétendus scientifiques, escrocs menteurs pourris (et donc chaleureusement félicités par les autorités menteuses).
• « (…) Cet été, grâce aux vaccins, la vague a été relativement modérée »
--> Où est la preuve de causalité ? Si les nouveaux variants sont modérés, la vague est modérée, avec ou sans vaccination. Il y a là une faute de pensée, une affirmation abusive chez les journalistes, et médecins et politiques leur dictant quoi dire au public escompté naïf (dont je ne fais pas partie).
• « (…) Convaincre les réticents. (…) on voit bien que la part de la population réfractaire continue de diminuer (…) »
--> Effectivement, les autorités s’acharnant à rendre impossible la vie des non-vaccinés, de plus en plus de gens pensant que cette vaccination est mal succombent aux pressions et acceptent la piqûre en question. Pas du tout parce qu’ils sont convaincus (de son bien-fondé), mais parce qu’ils sont cassés par la violence dictatoriale. Pour ma part, cancéreux suivi par scanners répétés, je viens d’apprendre qu’un pass sanitaire devient obligatoire pour entrer dans l’hôpital de la ville près de chez moi (avec scanner), même pour les patients oui, donc il faut se faire vacciner ou crever, de maladie sans aucun rapport avec covid (ou faire des tests bientôt payants chers, sauf avec commande médicale mais il faut 11 jours pour obtenir un rendez-vous médical dans ma petite ville et ça peut être trop selon le délai après demande oncologiste de scanner), oui cette pression peut « contraindre » pratiquement, pas du tout « convaincre » intellectuellement/honnêtement.
• « Laurent-Henri Vignaud, coauteur d'Antivax. La résistance aux vaccins du XVIIIe siècle à nos jours. »
--> C’est l’amalgame habituel : au lieu de pointer les fautes ultralourdes commises ultra-spécifiquement avec les vaccins anti-covid19 (validés avant preuves de non-toxicité), il s’agit de dire que ses opposants sont comme d’habitude des abrutis criminels (refuseurs d’éradication de la variole) contre tous les vaccins par principe. C’est du mensonge par amalgame et de la manipulation mentale.
• « (…) "Les études récentes évaluent à 15 % la proportion de personnes qui ont entendu, notamment sur les réseaux sociaux, des choses tellement inquiétantes qu'ils préfèrent s'abstenir et attendre, dont 5 % à 10 % de réticents forts, (…) Parmi les craintes les plus fréquemment exprimées, le manque de recul, le risque de survenue d'effets indésirables à long terme, ou la modification de notre patrimoine génétique. Autant de peurs infondées : "Il y a un malentendu sur la question du recul. Il ne s'agit pas d'une question de temps, car on n'a jamais vu d'effet secondaire apparaître à distance de l'injection : passé six mois, il n'y a vraiment aucun signal. Il s'agit d'un recul en nombre de personnes vaccinées, pour voir émerger les effets indésirables rares" (…) Aujourd'hui, il n'y a donc plus vraiment de crainte à avoir - et certainement pas de voir son ADN modifié, puisque l'ARN contenu dans le vaccin ne pénètre pas dans le noyau de nos cellules. »
--> C’est une cascade de mensonges et idioties (par ces condamneurs de craintes). « On n’a jamais vu donc il n’y aura jamais » est un illogisme appelé induction, c’est une faute intellectuelle, antiscientifique entre autres. La science expérimentale, c’est constater ce qui se produit, même surprenant, même jamais vu : l’expérience a raison par principe, pas du tout les croyances antérieures (surtout forgées inductivement par généralisation abusive). Par ailleurs, le vaccin contre la dengue a été abandonné en catastrophe longtemps après son approbation et après avoir vacciné plus de 500.000 enfants philippins, le cacher est un mensonge, intéressé (escroquerie active). De plus, un vaccin peut provoquer un cancer, indécelable à six mois mais envahissant après deux ans, tueur après trois ans, il n’y a aucun argument contre cela qu’une affirmation parachutée au nom (invalide logiquement) de l’autorité (abusive). Le recul-temps est totalement indépendant du recul-réplications, confondre les deux est un amalgame fautif cachant le problème, camouflant la faute lourde d’avoir validé sans recul-temps. Enfin, l’ADN peut être modifié par un ARN via une enzyme (la reverse transcriptase) qu’il y a dans certaines cellules humaines (lymphocytes, globules blancs pouvant engendrer leucémie en cas de mutation maligne). « Ne pas avoir vu encore (de manière assez reproductible pour être publié) » ne signifie en rien de rien « avoir prouvé impossible pour l’éternité ». Tout ce paragraphe est le contraire de « faire de la science », c’est « croire des croyants auto-satisfaits en blouse-blanche (diplômés pour avoir bien récité les dogmes de l’époque) ». Il y a d’immenses craintes à avoir, d’être dominés par ces charlatans menteurs (ou idiots ne se rendant pas compte). Et pour reprendre le mot du grand titre : ce sont ces escrocs officiellement-experts qui ont tout faux, pas du tout les sceptiques qui objectent logiquement en face.
• « "Parmi les plus réticents, on trouve souvent les partisans de pratiques médicales alternatives, notamment dans les déserts médicaux, où les médecins généralistes ont peu à peu été remplacés par ces thérapeutes" (…) »
--> Et parmi les pro-vaccin-anti-covid, on trouve souvent des gens affirmant que « quand 100,0000% des gens seront vaccinés, Jésus-Christ reviendra sur Terre pour établir le Paradis ici-bas avec mille vierges super-appétissantes par mec »… Non, qu’il y ait des gens disant n’importe quoi ne déjuge en rien les arguments (énoncés par ailleurs) qui sont eux pleinement fondés. L’amalgame ressort de la rhétorique trompeuse, malhonnêteté intellectuelle. Cet article a tout faux, oui, c’est lui qui a tout faux.
• « "A cela s'ajoutent la contestation de l'Etat, et le fait de ne plus se trouver totalement maître de son corps" (…) Ce n'est pas tant le vaccin que ces militants-là combattent que l'empiètement sur les décisions individuelles. Cet argumentaire a nourri la contestation du passe sanitaire, accusé de nous faire basculer dans un régime autoritaire, comme Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan ou François Asselineau l'ont prétendu dans les manifestations de cet été. »
--> Que tel machin ait nourri une partie de la contestation m’indiffère. Tout à fait indépendamment, je juge dictatorial (autoritaire et +) ce régime qui pousse par la menace (de licenciement ruineux, de vie pourrie) les gens à se plier à une vaccination peut-être tueuse (on n’en sait rien à l’heure actuelle), et mentant ouvertement en affirmant que les risques sont connus négligeables, prouvés tels.
• « (…) d'autres opposants à Emmanuel Macron louvoient davantage. Officiellement pour la vaccination, mais contre le passe sanitaire : cette position est-elle intellectuellement tenable, si l'on part du principe que le vaccin, gratuit, est largement bénéfique ? (…) »
--> Il ne convient pas de donner des leçons sur « l’intellectuellement tenable » si on ne parle que des bénéfices en oubliant la partie risques de la balance bénéfices/risques. Partie risques qui est tout le problème, caché, camouflé, enterré, sous des montagnes de mensonges.
• « [Il vous reste 84% de l'article à lire (…) rejoignez nos (…) abonnés !] »
--> Vue la malhonnêteté totale de ce début, je ne risque pas d’acheter, non !
  Bilan : les journalistes de l’Express, et les autorités (avec leurs médecins carpettes) ont tout faux, les sceptiques anti-vaccin-covid19 (du moins certains d’entre eux) ont tout juste, normal que les premiers hurlent le contraire, menteusement mais très fort, ce n’est simplement pas crédible.

* Ajout 250, 05/09/2021 bis (13h) Mensonge officiel vers les parents d’élèves
   Ce week-end, juste après la rentrée de mon fils en classe de 5e, j’ai eu à signer plein de papiers administratifs. L’un d’eux n’était pas à signature obligatoire mais disait : « Notice explicative. Vaccination contre la COVID-19 des collégiens et lycéens. La vaccination des adolescents contre la COVID-19 est aujourd'hui fortement recommandée par les autorités sanitaires dès l'âge de 12 ans révolus. Elle n'est pas obligatoire. (…) Le formulaire d'autorisation doit être complété, signé et retourné dès que possible au collège (…) La vaccination se fait dans le strict respect des règles qui encadrent l'utilisation des produits de santé. Comme pour tout type de vaccins, les vaccins contre la Covid-19 peuvent occasionner des effets indésirables, majoritairement bénins, après leur administration. Les plus communément rapportés sont : une douleur à l'endroit de l'injection, de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires ou articulaires, quelques frissons et un peu de fièvre. Ces troubles sont sans gravité et disparaissent rapidement. (…) »
  A mon avis, il aurait honnêtement été obligatoire d’ajouter : « Ceci concerne les effets secondaires connus à ce jour. Dans le cadre ultra-spécial des vaccins anti-covid19 (et pour des raisons secrètes mais il ne faut pas le dire, c’est classé complotisme diabolique délirant), les effets à échéance de 3 ans ou 5 ans (après injection) sont totalement inconnus, pouvant aller jusqu’au décès de 100% de la population vaccinée. En signant, vous l’acceptez pleinement et déchargez de toute responsabilité les autorités vous ayant recommandé cette ʺvaccinationʺ (pas ʺmise à mortʺ : on n’en sait absolument rien, la science se base sur l’expérience, dans ce cas l’expérience n’a pas encore été acquise, vous verrez bien, si vous acceptez, et si vous êtes encore vivants vous-mêmes). Merci de nous approuver, très incroyablement, non : très rationnellement dit notre propagande, avec soutien de plein plein de complices, riches (par coïncidence sans aucun doute). L’école qui vous a formés autrefois rend intelligent et lucide et libre, dit-on, lol (morts de rire). Tout ça est très drôle et tragique poignant, en même temps, super ! Vous avez entendu : "En même temps", votez bien l'an prochain! (c'est le but) ».
  Non, en version soft sans suicide des autorités, il fallait dire au moins : « Ceci concerne les effets secondaires connus à ce jour. Dans le cadre ultra-spécial des vaccins anti-covid19, les effets à échéance de 3 ans ou 5 ans (après injection) sont totalement inconnus, pouvant aller jusqu’au décès de 100% de la population vaccinée. En signant, vous l’acceptez pleinement et déchargez de toute responsabilité les autorités vous ayant recommandé cette ʺvaccinationʺ (pas ʺmise à mortʺ : on n’en sait absolument rien, la science se base sur l’expérience, dans ce cas l’expérience n’a pas encore été acquise, vous verrez bien). Merci de nous approuver, étonnamment mais majoritairement semble-t-il, chers moutons. »

* Ajout 251, 06/09/2021 (7h) Plaintes
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/ParisMatch modérément étonnante : « Covid: "des milliers de plaintes" arrivent à la Cour de justice de la République, selon François Molins » ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-des-milliers-de-plaintes-arrivent-%C3%A0-la-cour-de-justice-de-la-r%C3%A9publique-selon-fran%C3%A7ois-molins/ar-AAO7PJq?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Seule juridiction habilitée à poursuivre et juger Premiers ministres, ministres et secrétaires d'Etat pour les crimes et délits commis "dans l'exercice de leurs fonctions", la Cour de justice de la République reçoit des milliers de plaintes concernant la gestion par le gouvernement de la crise du Covid-19. »
--> Le sujet démarre mal : pourquoi ces chefs ne sont-ils pas soumis à la justice ordinaire, dans un pays ayant « égalité » pour devise (liberté égalité fraternité) ?
• « (…) La CJR, juridiction d'exception mi-politique, mi-judiciaire, souvent placée sous le feu des critiques, mène actuellement une instruction depuis juillet 2020 concernant l'ancien Premier ministre Edouard Philippe, l'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et son successeur Olivier Véran, pour la gestion du Covid-19. Un collectif d'enseignants a par ailleurs déposé devant elle en mars une plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui" contre le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer, accusé de "ne pas protéger les personnels en contact avec les enfants", qui "répandent le virus" du Covid-19. (…) »
--> La dangerosité (prétendue) du virus sars-cov-2 ne m’ayant pas été démontrée, ce ne serait pas du tout ce genre de plainte que je porterais personnellement. Mais bien plutôt :
– mise en danger de la vie d’autrui, en forçant les gens à se faire vacciner avec un vaccin à léthalité inconnue à 3 ans et 5 ans ;
– mensonge massif en bande organisée, intéressé financièrement (milliards de dollars) et politiquement (jouissance à gendarmer sévèrement la vie publique), pour déclarer la non-toxicité des vaccins anti-covid19 dès 1 an après leur découverte, violant toutes les règles de prudence pharmacologiques officielles habituelles et le devoir de précaution. Sans explication, sans l’admettre, et en insultant comme idiots complotistes ceux l’ayant signalé ;
– tyrannie anti-démocratique des dictats (effrayant la population menacée de ruine et interdictions multiples) émis sans référendum et avec interdiction de référendum d’initiative populaire qui virerait le tyran (et ses principaux complices actifs) ;
– action délibérée pour casser la concorde inter-individuelle et faire rejeter une part de la population française (les non-vaccinés) en provoquant des haines intra-familiales, cassant des amitiés, etc. (dans un pays ayant pour devise la fraternité).
  Oui, il y aurait de quoi porter plainte, mais pour cela il faudrait croire en la justice de la Justice, ce qui n’est pas du tout mon cas, d’après mon expérience : lieu d’abus de pouvoir éhonté, au détriment des petites gens, méprisés (quoique payeurs – selon le principe fonctionnaire d’envoyer chier l’usager, emmerdeur).

* Ajout 252, 08/09/2021 (13h) Antivax = terroristes ?
   Aujourd’hui, un des sujets de débat dans l’émission télé Morandini Live était : les antivax qui menacent de mort les médecins vaccineurs, de supplice en place publique pour les directeurs d’hôpitaux et d’écoles dirigeant la vaccination, etc. C’était dit honteux : « les antivax sont devenus fous », « c’est totalement inadmissible », etc. « Ils osent même dire que les provax sont fous, c’est le contraire ! ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   Cela me parait un raisonnement aussi peu honnête que la pourriture 1944 ayant fait brûler vifs les bébés de soldats allemands : la généralisation forcenée, diabolisatrice (« tous les Allemands sont des monstres atroces, oui nouveau-nés inclus ! Brûlons-les vifs ! Nous héros ! »). Quelques monstres (éventuels) parmi les antivax ne justifie en rien de rien le jugement erroné « tous les antivax sont des monstres ».
  Pour l’affaire du vaccin anti-covid19, la violence-source me semble celle du Président Macron, promettant la ruine aux non-vaccinés soignants (et pompiers etc.), c’est d’une violence terrible, colossale. Beaucoup obéissent à contre-cœur, de nombreux autres soupirent et continuent de résister en silence (oral, c’est mon cas), d’autres manifestent publiquement en criant leur désaccord scandalisé (une de mes amies fait ainsi), d’autres encore développent une violence en retour (abimer les centres de vaccination, voire pire). Absolument rien ne justifie l’amalgame des 4 groupes avec le dernier (ou le demi-sous-groupe extrémiste au sein de celui-ci). C’est de la rhétorique de propagande, de la malhonnêteté active. Ce n’est pas nouveau, je crois que ça date au moins de Jésus-Christ (« tous ceux qui ne sont pas avec moi sont contre moi », principe de l’amalgame simpliste, aveugle excluant examen mesuré).
   Bien qu’opposé à ce vaccin immensément prématuré et donc dangereux potentiellement, je n’appelle à guillotiner personne, affirmer que j’ai dit ça « puisque antivax » est de la débilité profonde, ou malhonnêteté absolue. Evidemment, les avis sensés n’étant nullement invités sur les plateaux, ça facilite la diabolisation, simplement commise à tort, totalement. S’il y a des excités parlant de tuer, que leur cas soit traité, isolément, sans accuser d’autres personnes totalement innocentes de cela.
  Qui plus est, d’après la vidéo montrée dans l’émission, cela semblait rigolard, genre humour noir en se prétendant bourreaux justiciers, ce n’était nullement un projet pratique (armé) de mise à mort effective. Comme cela est souvent dit : de nos jours, les humoristes Coluche ou Pierre Desproges, Guy Bedos (et je ne sais plu’ quel est l’auteur ancien ayant écrit au 18e siècle « comment Dieu, qui est un être bon et sage, aurait-il pu mettre une âme dans un corps tout noir ?! »), seraient en prison, sans envisager en rien qu’il y ait caricature outrancière au second degré. Notre époque est devenue idiote, apparemment. Avec immense fierté et moult leçons données.
   Et pendant que certains simulent une violence virtuelle, imaginaire, la vraie violence est exercée par le pouvoir forçant à vaccination, punissant, interdisant, avec sa police armée et sa prison. Elle est là, la vraie violence.
  Enfin, un autre côté de la violence terrible au sujet du vaccin anti-covid19 est d’avoir organisé une répression organisée (avec haines jusque dans les familles) pour les quelques lucides refusant un remède à létalité à 5 ans totalement inconnue, scientifiquement. Mentir pour cacher cela, pour tuer peut-être (on le saura dans 1 à 4 ans), pour faire du fric et jouir d’autoritarisme forcené, c’est d’une violence colossale. S’il y a bientôt 4 milliards de morts avec cette campagne vaccinale, beaucoup de pays décideront la peine de mort pour les (grands et petits) responsables (guillotine ou équivalent), ce n’est pas idiot dément, il s’agit de questions immensément pertinentes, simplement interdites, cachées, pour diaboliser comme « sans la moindre raison »… Une fois encore, avec un principe de précaution autre que mensonger, ce risque colossal, bien que non avéré à ce jour, serait pris en compte pour interdire (retarder de plusieurs années) ces vaccins-là, mais non : le mensonge règne.

* Ajout 253, 10/09/2021 (6h) Nouveaux articles
• Je lis ce jour une nouvelle MSN/AFP de propagande : « Le nouveau défi du co-inventeur des vaccins à ARN messager » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/technologie-et-sciences/le-nouveau-d%C3%A9fi-du-co-inventeur-des-vaccins-%C3%A0-arn-messager/ar-AAOg7k6?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
– « (...) L'objectif est désormais d'entraîner nos systèmes immunitaires à réagir à des parties du virus qui ne mutent pas aussi vite que la spicule.(...) »
--> Effectivement, cela semble un défaut de principe des vaccins à ARN Pfizer et Moderna : se focaliser sur un truc hyper-précis du virus, en devenant inefficace s’il y a une mutation à ce niveau. Normalement, cela aurait été vu, et aurait constitué un motif de rejet, non-validation, si l’étude de validation avait normalement duré 10 ans. Avoir tout précipité n’est pas un exploit fabuleux mais une erreur méthodologique, une faute scientifique (ou anti-scientifique en se prétendant scientifique).
– « "Les personnes conservatrices anti-science et anti-gouvernement nous ont complètement pris de court. Je ne m'attendais tout simplement pas à ce que ce groupe se positionne contre les vaccins", regrette-t-il. (...) »
--> Tel que cela est dit, ce n’est pas faux, mais c’est passer à côté de l’essentiel : les principes scientifiques n’ont en rien été respectés, ils ont été odieusement trahis, dans la validation précipitée de ces vaccins anti-covid19. L’attente de la sanction expérimentale (principe n°1 de la science expérimentale) a été remplacée par la croyance de leaders en blouse blanche, considérée valoir Vérité indéniable, « scientifique ». Cela tient du hold-up, et ce « grand chercheur » cher payé et super-fier n’y a rien vu, ou fait partie des privilégiés surestimés, ce dont il jouit avec bonheur, trahissant totalement la science au sens propre.
• Par ailleurs, je lis une nouvelle MSN/Capital : « Toulouse : un enseignant suspendu après avoir diffusé une vidéo complotiste » (https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/toulouse-un-enseignant-suspendu-apr%C3%A8s-avoir-diffus%C3%A9-une-vid%C3%A9o-complotiste/ar-AAOgOU4?ocid=msedgdhp&pc=U531 )/ Je cite et commente :
– « Un professeur d'espagnol toulousain a diffusé une vidéo complotiste devant ses élèves de seconde, le 7 septembre. L'objectif pour l'enseignant était de mettre en avant les prétendus dangers de la vaccination contre le Covid. (…) Il a été convoqué par le Rectorat deux jours plus tard et va être suspendu (…) l’enseignant s’est appuyé sur l’extrait pour évoquer les dangers inhérents aux vaccins contre le Covid-19. (…) l’Éducation nationale a également réagi, déclarant qu’il n’était "pas acceptable qu’un professeur exprime ainsi ses opinions personnelles auprès de ses élèves". En conséquence, ce professeur d’espagnol a été suspendu "par mesure conservatoire". »
--> Il se confirme donc que les professeurs (ou les fonctionnaires en général ?) sont astreints à répéter la propagande gouvernementale, sans droit au libre arbitre, même au titre de la « liberté pédagogique » des professeurs. Cela me semble clairement un système dictatorial, anti-tolérance, anti-pluralité. Avec interdiction des arguments s’opposant aux autorités (certes payeuses, mais avec l’argent extorqué des contribuables sous la menace armée)… Visiblement, hélas ce n’est en rien de rien la pertinence ou la vérité qui doit guider, mais l’obéissance servile, au garde-à-vous (absolu respect au tyran et à ses petits officiers relais). C’est effarant, mais ça explique beaucoup des mensonges proférés partout.

* Ajout 254, 10/09/2021 bis (11h) Clarification d’expression
  Apparemment, l’énoncé officiel des décès attribués à covid19 a changé : au lieu de dire comme avant « tués par covid19 », la nouvelle expression est « décès liés à covid19 ». C’est une grande amélioration, reconnaissant qu’il n’y a généralement pas la moindre preuve de cause à effet (morts pour diverses raisons tout en étant positifs au test sars-cov-2, affection peut-être asymptomatique), et que l’expression « ce vaccin tue en masse, on le sait » est un mensonge, instrumentalisé autrefois par décision oratoire d’expression biaisée.
   Que ce soit mieux maintenant, je l’enregistre mais les trompeurs d’autrefois (que je dénonçais à l’époque, en étant comme diabolisé par la propagande, déclarant irrationnelle toute objection), seront-ils punis ? Je ne crois pas, non. Ils ont triomphé, accomplissant leur travail de mensonge au service de la vaccination voulue (avec comme principe « tous les moyens sont bons »). C’est très moche, victoire honteuse. Mais que ce soit légèrement descendu d’un ton va certes dans le bon sens, un petit peu.

* Ajout 255, 16/09/2021 (12h) Une autre dame intéressante
   Aujourd’hui en débat télévisé « L’heure des pros », plusieurs hommes pro-vaccin pro-pass-sanitaire essayaient d’empêcher de parler une dame ayant une voix argumentée très différente, heureusement un peu soutenue par l’animateur pour avoir droit de réponse sans être interrompue dès qu’elle ouvrait la bouche. Cette dame était une « psychologue et auteure », Marie-Estelle Dupont, disant grave que les ados soient maintenant éduqués (sur base du vaccin ant-covid19) à la soumission, affirmée valeur grandiose. Elle estimait que les conséquences seraient graves pour l’équilibre psychologique de ces futurs adultes qui auront le pouvoir dans quelques décennies. Je trouve ça immensément intéressant (hélas) et les censeurs (très majoritaires) qui cherchaient à la faire taire m’horripilaient.
   Par ailleurs, coupure publicitaire entre deux périodes : Je revois encore passer la publicité avec les amis à table discutant de covid, avec conclusion « 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid19 sont non-vaccinées. » (Sous-entendu très clairement, comme affirmé par tous les journalistes entendus : être vacciné protège de l’hospitalisation). Et je répète (comme la pub répète) que c’est faux : pour ce dénombrement, il s’agit de compter que, parmi les personnes hospitalisées pour n’importe quoi et trouvées positives au test sars-cov-2, 8 sur 10 sont non-vaccinées (anti-sars-cov2). Si la vaccination protège de la positivité sars-cov-2, ça aboutit à ça, même si les vaccinés seraient autant hospitalisés (mais dirigés vers autres services). Donc la pub est de la propagande mensongère, de l’endoctrinement menteur, l’expression « à cause de covid19 » étant fausse (ce n’est pas la maladie avérée, c’est le résultat du test même asymptomatique si la maladie vient d’ailleurs), et la conclusion suggérée peut être fausse (ou vraie, ce n’est pas tranché du tout). La rhétorique triomphe anti-logiquement, c’est une honte (aux plans intellectuel et moral).

* Ajout 256, 19/09/2021 (11h) Cas familiaux
   Mon épouse, ayant discuté avec sa famille philippine au téléphone, m’informe que toute sa famille est malade de covid, ou plus exactement : la situation est que toute sa famille est malade, et par ailleurs positive au test sars-cov-2. L’un(e) d’entre eux, ou plusieurs, pourraient mourir, est-ce que cela me fait culpabiliser (que mon exemple hostile au vaccin anti-vovid19 ait peut-être influé sur leur choix de refuser ce vaccin) ?
   Ce n’est pas si simple :
– Les membres de la famille qui eux se sont fait vacciner (notamment ma nièce D.) sont aussi malades et positifs, donc il n’est pas du tout démontré que cette maladie a été provoquée par la non-vaccination.
– Effectivement, en choisissant la non-vaccination, certains n’ont pas bénéficié des bénéfices (prétendus), mais inversement ils n’ont pas risqué les risques, cachés en France (et peut-être là-bas aussi). S’il y a 2 morts sur 20 parmi les non-vaccinés, il ne faudra pas hurler sans prendre en compte qu’en vaccinant ces 20, il y aurait peut-être eu 20 morts dans 3 ans. On n’en sait rien pour le moment, il ne convient pas de hurler pour le moment.
– C’est à chacun de faire le choix pour ce vaccin ou contre, sans se prétendre le jouet de tel influenceur pas prosélyte mais suivi. Or le problème de ce vaccin est qu’il n’est pas proposé avec information complète et honnête, il faudrait que la demande de vaccination individuelle dise en clair : « je demande à être vacciné pour bénéficier des avantages de ce vaccin, j’accepte entièrement les risques de ce vaccin, inconnus à ce jour (à échéance de 3 ans) pouvant aller jusqu’à tuer tous les vaccinés OK parfait ». Si c’était énoncé tel, oui ce serait légitime, mais dans la mesure où le contexte est un mensonge organisé clamant indubitable la croyance (sans aucune preuve expérimentale) « il n’y a en ce vaccin aucun risque mortel et de minuscules risques bénins », tout est biaisé, honteux, faire porter l’accusation sur les honnêtes dubitatifs est une injustice scandaleuse.
– Si dans 5 ans, il s’avère que ces vaccins étaient inoffensifs, effectivement les employer aura été bénin, et les refuser aura été dangereux, mais si ce principe fait condamner les refuseurs, il faut abolir le principe de précaution : en cas de danger potentiel au sujet d’un remède prétendu sauveur sans risque, ne serait plus donné raison à ceux qui craignent mais à ceux qui foncent, au risque de tuer, oui tuer tout le monde (un jour, si ce n’est cette fois, avec éradication de l’espèce humaine ce n’est pas rien ! comme Hitler élevé à la puissance mille !). C’est un énorme choix de civilisation, colossal et pas du tout évident bénin, on nous ment, et sous menace de punition si on n’acquiesce pas c'est atroce. Et je maintiens ma préférence personnelle pour le doute, inactif, tout en autorisant les fonceurs à foncer en ce qui les concerne eux-mêmes. Le drame est (comme en France macroniste) quand les fonceurs persécutent ceux qui sont d’avis différent (tout en mentant sur le principe de précaution, trahi mais prétendu obéi).
  Par ailleurs, j’envisage (une fois encore) une discussion contradictoire, sans oppression dictatoriale :
– Pourquoi ne vous faites-vous pas vacciner ?!
– pourquoi ce vaccin a-t-il été validé sans preuve qu’il ne tue pas tout le monde à 5 ans ?...
– Les scientifiques affirment catégoriquement qu’il est sans risque autre que bénin et rare !
– ce sont des faux scientifiques, des scientistes fanatiques idiots, prenant leur croyance pour la vérité démontrée, c’est faux… L’expérience (invalidant les croyances erronées) n’est pas accessible avant la durée effectivement dite, c’est le principe de la science expérimentale...
– Un immense nombre de publications est unanime dans le sens de l’innocuité !
– plein de publications sont nulles débiles, approuvées par d’autres nuls, j’en ai l’expérience…
– Vous ne croyez pas à la science ?!
– j’ai invalidé la science par la logique. Mais sous certaines hypothèses, en fait facultatives et pas obligées par la raison, elle pourrait avoir quelque légitimité, relative partielle, si elle était pratiquée honnêtement, sans idiotie scientiste, scientifiquement invalide mais se prétendant science championne…
– Vous avez fait quoi comme études ?! Littéraires ?!
– non, scientifiques…
– Ben alors ! Soyez cohérent !
– j’ai écouté ce qu’on me racontait, récité et jonglé comme exigé pour le diplôme et le travail, mais sans y croire (l’avenir m’a donné raison pour les trucs « affirmés prouvés » puis démentis pour instaurer de nouvelles prétendues vérités). J’ai vu de l’intérieur les fautes commises, les horreurs pratiquées en routine, cassant tout. Les pires scientistes sont les littéraires incompétents, idolâtrant ce qu’ils ne connaissent pas du tout…
– Tout le monde a tort sauf vous ?!
– je ne sais pas, j’écoute les arguments prétendus, et je casse tous les mensonges, avérés, dont ceux pour l’innocuité de ce vaccin, on a menti aux gens de manière éhontée, scandaleuse, trahissant le serment d’Hippocrate, le principe de précaution, etc…
– Vous affirmez que ce vaccin est tueur ?! Ou qu’il contient des puces extraterrestres pour contrôler les gens ?!
– pas du tout, je doute, et j’affirme que la preuve d’innocuité à 5 ans n’est en rien documentée. Peut-être que ce vaccin est tueur et peut-être qu’il est sans aucun danger, on n’en sait rien de rien, affirmer le contraire (dans un sens comme dans l’autre) c’est mentir…
– La compétence des médecins, vous la niez ?
– oui, ils sont sélectionnés comme étant les plus stupides réciteurs dénués d’intelligence critique, je me suis enfui de ces études débilissimes…
– Vous êtes suivi psychiatriquement ?!
– « goulag ou hôpital psychiatrique » pour les fauteurs d’objection imparable, on appelait ça dictature atroce quand ce n’était pas encore ici…
– Vous dites vraiment n’importe quoi !
– non…
– Si ! Et c’est le mot de la fin !

* Ajout 257, 19/09/2021 bis (12h) Parlant de choses et d’autres
   J’informais une amie de mes difficultés pour faire réaliser les examens relatifs à mon nouveau cancer, l’hôpital refusant maintenant l’accès aux non vaccinés covid19, sauf test PCR négatif de moins de 72h, mais l’examen étant prévu le lundi difficile de gérer la fermeture de laboratoire pour le week-end ; et pas de parking à proximité du labo or je ne peux presque plu’ marcher, c’est immensément difficile ; et comme je n’ai pas de smartphone, le labo m’a dit que je ne recevrai pas de QR-code et il faut espérer que le vigile à l’entrée de l’hôpital ne refoule pas les gens n’ayant qu’en papier-texte le test négatif sans truc immédiat à scanner… Mon amie a conclu : « il faut beaucoup de courage pour se faire soigner… ». J’ai répondu : Ton expression est en partie juste, mais… ce n’est pas à mon avis du courage, c’est de la persévérance difficile, des manœuvres pour contourner les difficultés, ça demande « santé et capacité », et que font les gens épuisés inaptes à se battre ainsi, ils meurent ? C’est davantage qu’un petit inconvénient regrettable, « ça » me parait très monstrueux (Macron et les siens, et les faux opposants). Ce n’est pas unique sur Terre, aux Philippines quelqu’un n’ayant pas l’argent pour payer l’hôpital meurt effectivement…
   Dans un tout autre domaine, elle me parlait de ses enfants adultes, venus loger temporairement en amenant deux chats en plus de celui de la maison. Et j’ai répondu (ramenant indirectement au sujet covid) : « J’imagine avec un peu de crainte (chez toi) la situation de deux nouveaux chats dépossédant le chat unique de son territoire… est-ce la guerre ? ou bien y a-t-il comme chez les chiens une certaine paix quand les uns se soumettent au dominant ? Je n’ai pas dit que Macron est un chien nous considérant comme des chiens mais la question se pose presque… bestialité ? ». Oui, Macron, Véran, Attal, Blanquer, bousculant sévèrement autrui pour pousser à la vaccination (imposer leur volonté dominatrice, forcer à la soumission), se comportent en petits roquets écraseurs, c’est affreux, comme inhumain, barbare arriéré…

* Ajout 258, 27/09/2021 (10h) Pub améliorée, rendue honnête
 (Publicité gouvernementale complète)  (Ma version)
 Alors, je ne sais pas vous, mais j’en ai vraiment ma dose de ce covid.  Pourquoi ils oppriment les gens dont l'opinion est de craindre ce vaccin peut-être dangereux ?
 Je valide.  Il est scientifiquement prouvé sans danger ǃ
 Bah, ça va, toi tu es comme moi, tu es vacciné.  Non, la science expérimentale n'affirme rien quand les modèles n'ont pas encore été validés par l'expérience.
 Tu me diras, comment ne pas se faire vacciner aujourd’hui ? C’est tellement important !  Mais comment ne pas se faire vacciner aujourd’hui ? C’est tellement important !
 Perso, j’hésite encore.  Il suffit de ne pas être candidat à la vaccination, en dépit des pressions dictatoriales.
 T’es sérieuse ?  Eh, on n'est pas du tout en dictature, soyons sérieux ǃ
 Franchement, je préfère attendre.  C'est pas une dictature éternelle mono-parti, c'est une dictature temporaire multi-partis, c'est différent mais ça reste dictatorial, d'oppresser le peuple en le forçant à soumission.
 Attendre quoi ? D’être hospitalisée ?  Et pour te faire vacciner, t'attends quoi ?ǃ D’être hospitalisée ?ǃ
 Eh oh doucement, moi je la comprends, moi non plus je ne le connais pas ce vaccin !  Non, j'attends que soit prouvée sa non léthalité, non toxicité. On en sait rien, tous les vaccinés peuvent mourir 3 ans après, personne n'en sait rien…
 Je valide.Par contre, les conséquences du covid, on commence à bien les connaître…  J'y crois pas ǃ Par contre on sait les conséquences graves de ce virus ǃ
 Et depuis trop longtemps même.  Non, j'ai jamais vu de preuve de cause à effet entre le test et la maladie, c'est peut-être du bluff intégral, expliquant qu'il y ait tant de positifs asymptomatiques.
 J’avoue, moi aussi j’hésite. Mais à mon âge, c’est quoi les risques de me retrouver à l’hôpital ?  T'as pas automatiquement confiance dans les docteurs ?ǃ
 Tout le monde peut se retrouver à l’hôpital.  Non, ils sont sélectionnés comme réciteurs, et ceux qui passent à la télé ont rien compris à la logique scientifique.
 La question, ce n’est pas seulement de te protéger toi, mais aussi les autres…  On s'en fout, l'important c'est de protéger les autres ǃ
 Merci.  La propagande a clamé que les vaccinés ne pouvaient pas contaminer, et puis zut, l'expérience a prouvé que si. La propagande mentait. Pareil pour "tous vaccinés tous protégés", ça s'est avéré faux, plein de vaccinés attrapant la maladie.
 C’est important aussi, les autres.  Ah merde. Putains de gouvernants.
 Entre nous, est-ce qu’on est sûr qu’il nous protège vraiment ce vaccin ?  Eh, en plus, est-ce qu'il protège vraiment, ce vaccin ?
 Grave !  Le problème majeur n'est pas l'efficacité mais la toxicité inconnue à l'heure actuelle. Pouvant tuer des milliards de gens.
 C’est vrai ça, est-ce qu’il est vraiment efficace, ce vaccin ?  Pourquoi ils en parlent nulle part ? Ils nous mentent ?
 On peut débattre de tout, sauf des chiffres  Et les chiffres, ils sont crédibles ? Ou biaisés en décidant mal comment compter, comme tu disais…
 Aujourd’hui, en France, 8 personnes hospitalisées à cause de covid19 ne sont pas vaccinées.  Si le vaccin protège de la positivité au test, les malades qui auraient été dits covid seront dits autre chose, sans diminuer en nombre total…


* Ajout 259, 28/09/2021 (10h) Bientôt vacciné, oui moi…
   Visite aujourd’hui à la cancérologue. J’ai informé ma famille du résultat (3e et 4e cancer diagnostiqués et) : « Au fait, la vaccination covid m’est maintenant imposée, car bientôt immunodéprimé avec la chimio, mais la cancérologue a reconnu que la télé et les généralistes mentent : ce n’est absolument pas prouvé que le risque de cette vaccination est faible, personne n’en sait rien, simplement décision a été prise d’accorder davantage de poids au danger covid connu qu’au danger vaccin inconnu. Sans respecter le principe de précaution, c’est vrai, c’est mensonger, mais elle me demande de le faire dans mon cas très particulier très fragile. OK. »

* Ajout 260, 10/10/2021 (20h) Un cas célèbre moins dans le moule
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/FemmeActuelle surprenante : « Cyril Hanouna méfiant : son avis tranché sur le vaccin contre la Covid-19 » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/cyril-hanouna-m%C3%A9fiant-son-avis-tranch%C3%A9-sur-le-vaccin-contre-la-covid-19/ar-AAPlc7Q?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Cyril Hanouna a confié sa méfiance au sujet du vaccin contre la Covid-19. »
--> Un tel point de vue est immensément rare à la télévision. Attendons de voir l’argumentaire.
• « Plusieurs Français doutent encore de l'efficacité du fameux vaccin. Cyril Hanouna fait partie des sceptiques. "Je me pose des questions. J'ai peur de tomber malade", a déclaré l'animateur dans l'émission »
--> Le rédacteur d’article semble de mauvaise foi, confondant deux points négatifs éventuels qui n’ont aucun rapport entre eux : le manque d’efficacité et la toxicité. Le premier est démenti par des tonnes de publications scientifiques (parait-il) mais le second est totalement inconnu, en vraie science expérimentale, même si des tas de menteurs en blouse blanche « certifient » le contraire, en oubliant les fondements de la science.
• « "J'ai peur d'avoir des effets secondaires", a-t-il avoué. La raison ? Les différents discours contradictoires du gouvernement qui laissent Cyril Hanouna perplexe. (…)"On nous a dit plein de choses. Moi je me rappelle, au départ, je devais me faire vacciner à l'AstraZeneca, quelques jours après, on apprend que l'AstraZeneca ce n'est que pour les plus de 55 ans. On nous a dit, au départ : 'Le masque ça ne sert à rien' (...) Après on nous a dit non", a déclaré Cyril Hanouna. "Je ne donnerais jamais de leçon aux gens, mais je ne dirais jamais aux gens 'allez vous faire vacciner'. Chacun fait comme il veut", a-t-il précisé, tout en affirmant ne pas être un "antivax". »
--> Oui, c’est raisonnable : les faux scientifiques en fait scientistes, prétendant dire le vrai, se sont ridiculisés (en contradictions) et leur crédibilité en sort à peu près nulle. Ce serait simplement salutaire si ce n’était pas potentiellement aussi grave : si ces vaccins tuent 3 ans après la 1e dose, plus de la moitié de l’humanité va être tuée, faisant passer Hitler et Staline/Mao pour de petits garnements pas bien graves, en comparaison… Un avis sagement sceptique le note, simplement, sous les crachats de gens innombrables, très fiers à tort. Certes, la réponse générale est "j'y crois pas trop, à cette léthalité du vaccin", mais c'est du domaine de la pure croyance, en mettant à la poubelle le principe de précaution, des décennies d'exigences officielles concernant les remèdes, etc. Oui, c'est possible, mais ce qui a été fait semble quand même une faute très lourde, assortie de mensonges en masse pour tromper les populations crédules.

* Ajout 261, 21/10/2021 (13h) Devise trahie
   Aujourd’hui dans l’émission télé « l’heure des pros », la (très intéressante) psychologue Marie-Estelle Dupont, au milieu de 3 hommes hostiles, a eu un argument que je trouve immensément pertinent. Mais insultée de toutes part elle n’a pas pu développer, que confirmer ce qu’elle avait exprimé : ce gouvernement fait, à propos de cette crise sanitaire (ou au prétexte de cette crise sanitaire) tout le contraire des prétendues valeurs de la république – liberté, égalité, fraternité. Je développe (cherchant à comprendre) puisqu’elle n’a pas eu l’occasion de le dire elle-même.
- Liberté : l’instauration de couvre-feu, d’interdictions diverses pour les gens préférant ne pas recevoir le vaccin prématuré (pouvant tuer tout le monde après 4 ans), c’est explicitement une forme dictatoriale de gouvernance, obligeant par peur de la sanction, sans droit à expliquer l’erreur des gouvernants. La liberté est re-morte, après la loi Gayssot ayant puni la résistance au dogme officiel (1990-2021+).
- Egalité : l’instauration du pass sanitaire a fait voler en éclat le principe d’égalité, les obéissants ont tous les droits, et on trace qui ils sont, tandis que les rebelles (d’opinion, à opinion condamnée officiellement, punie) n’ont pas les mêmes droits, très durablement, même quand disparait le prétexte sanitaire. C’est une bipartition arbitraire totalement contraire au principe d’égalité de tous en droits.
- Fraternité : j’ai vécu dans ma famille la désapprobation des vaccinés (obéissant aux dirigeants) envers les non-vaccinés (résistants), les relations familiales harmonieuses ont été sciemment détruites par ces gouvernants, voulant que les moutons fassent pression hostile sur les rebelles. J’imagine que cela a pu détruire des couples aussi, et les médias racontent la destruction d’amitiés de longue date pour cause de désaccord sur le sujet décrété majeur par les autorités.
   Bref, ce gouvernement est non seulement monstrueux sur ces 3 points, mais odieusement menteur quand il prétend que ce sont les 3 valeurs de leur république (de merde, à mon avis).

* Ajout 262, 09/11/2021 (13h) Enorme changement de discours ?
   Hier, le présentateur télévisé Pascal Praud a cherché à obtenir réponse à un fait qu’il avait lu et le rendait perplexe : « en Allemagne, il y a en ce moment davantage de nouveaux cas covid+ qu’il y a un an en arrière, alors qu’il y a 70% de vaccinés anti-covid là-bas en ce moment et environ zéro il y a un an, alors en quoi le vaccin protège-t-il de la contamination ? ». Il s’est fait couper, railler, en disant qu’il y avait davantage de vaccinés en France, mais finalement le Docteur Blachier, épidémiologiste, a reconnu que oui, le vaccin protège des formes graves mais ne protège en rien de la contamination, de la positivité. Les débatteurs ont été secoués par cette toute nouvelle idée, comme jamais envisagée (officiellement, ou même publiquement à titre crédible). Des propos ont dit que la campagne « tous vaccinés : tous protégés » était donc une erreur, ou un mensonge, à débattre, puis le sujet est passé à autre chose.
   Pourtant je vois en cette nouvelle idée une révolution immense : le pass sanitaire perd totalement son sens, puisqu’il était basé sur le principe « on sait qu’une personne vaccinée n’est pas contaminante, seule une personne non-vaccinée est immensément suspecte d’être contaminante (sauf test négatif très récent) ». Or, si c’est maintenant reconnu faux, pourquoi ne pas déclarer erroné (imbécile ?) ce pass sanitaire ? Et criminel le renvoi des soignants (et autres) exclus, privés de salaire, pour « crime » d’être pour quelques-uns restés non-vaccinés « donc contaminants » (avec l’ancien dogme, erroné, « donc contaminants comme les vaccinés » maintenant, ridicule absurde mais l'ancien dogme n'en était pas moins violent punitif, trainable devant les tribunaux si la « Justice » de la république était juste, ce qu’elle n’est certes pas du tout). Et immorale la culpabilisation « il faut se faire vacciner pour les autres, alors qu’au contraire ne pas se faire vacciner c’est égoïste et indirectement tueur ». Et Macron ayant semé la discorde dans les familles (et cercles d’amis) rejetant comme « atroces contaminants » les non-vaccinés, tout cela était faux ? Et sera impuni ? Sans doute oui, hélas…
   Bref, cela me semble donner raison (sans le dire) aux opposants envers le pass sanitaire, enterrés ces derniers mois car les dominants oppresseurs ont gagné à terroriser la majorité de la population, avec de fausses vérités inventées, affirmées « prouvées » (totalement à tort), justifiant de déboulonner des milliers de prétendus spécialistes, déjugés en clamant « savoir indubitable » leur croyance que je disais très douteuse et qui s’avère maintenant fausse (semble-t-il). C’est très énorme, oui.

* Ajout 263, 10/11/2021 (18h) Discours présidentiel encore
   Hier soir, j’ai regardé le discours du président Macron à la Nation. Le sens général était « votez pour moi ! » mais j’ai été choqué par un détail, répété et encore. Il fait appel vigoureusement à la « responsabilité » des gens non vaccinés covid, pour qu’ils se fassent vacciner maintenant immédiatement, pour leur propre bien et le bien de tous. Qu’est-ce que j’en pense ? Il a dit qu’il y avait maintenant du recul, avec des milliards de vaccinés dans le monde, donc rien à craindre.
   Je dirais le contraire : monsieur le président, vous n’êtes absolument pas en position de donner des leçons de responsabilités, puisque vous avez violemment poussé les gens à se faire vacciner par un vaccin peut-être mortel après 5 ans, la science n’en sait rien de rien, sauf menteurs que vous avez choisi de croire, selon une erreur totale de management, grave, irresponsable. Certes, ce n’est pas du tout certain, mais en attendant on ne sait absolument pas, et vous avez trompé des millions de gens, par mensonge affirmatif clamant un non-risque qui n’est qu’une croyance sans aucune assise expérimentale (à 5 ans, comme exigée autrefois de tous les remèdes, les gens compétents le savaient c’est la raison pour laquelle vous vous êtes acharné contre eux, résistants, avec menaces de renvoi et ruine). Vous incarnez le mensonge irresponsable. Avec dictature pour imposer vos croyances et punir croyance différente, même logiquement argumentée. Mais puisque vous détenez la propagande avec vos alliés fausse opposition, vous allez peut-être vous voir réélu, ça invalide le bien-fondé de la république.
   Quant à la confusion recul-temps et recul-répétition, elle révèle que vous avez moins de 10 ans d’âge mental, vous êtes à plaindre certes, mais arrêtez de donner des leçons mensongères, pitoyables si elles n’étaient pas virulentes écraseuses. Vous avez semble-t-il inventé la république dictatoriale entre deux élections, c’est peut-être innovant créatif mais c’est immensément moche.
   Détail annexe totalement ridicule : vous imposez que les gens de plus de 65 ans devront recevoir une 3e dose avant le 15 décembre, sinon ils perdront leur pass sanitaire. Cela se basant parait-il sur le fait que ces personnes sont fragiles et que l’immunité anti-covid baisse après 6 mois. Mais… si une personne âgée de 66 ans s’est finalement fait vacciner (comme moi) en Novembre (sur injonction médicale douteuse), pourquoi lui imposer immédiatement 3e dose sous 1 mois alors qu’elle sera protégée 5 mois de plus ? Par ailleurs, si c’est une question de « risque de forme grave », le pass sanitaire est un mensonge, puisqu’il a été vendu comme « assurance de ne pas contaminer les autres » alors qu’il devient presque officiellement « moyen d’emmerder les gens ciblés (pour n'importe quoi genre âge, sans rapport avec pouvoir contaminant) jusqu’à ce qu’ils se vaccinent »… Si ce sale type est réélu, et/ou pas poursuivi en justice pour crimes d’autoritarisme en série, infondé, c’est à désespérer de cette république, où une propagande très assidue suffirait à diriger la majorité des gens, sans aucun retour de bâton une fois les mensonges révélés.

* Ajout 264, 11/11/2021 (18h) Discussion entre opposants
   Après mon ajout d’avant-hier (n°262) une amie me répond de manière intéressante (c’est moi qui numérote) : « 1/ Il y a longtemps que les lanceurs d'alerte clament sur les réseaux sociaux que ce vaccin (ou plutôt cette thérapie génique) n'est pas efficace, n'empêche pas la transmission du virus, et peut générer des effets secondaires graves... 2/ Ce qui est nouveau, c'est peut-être qu'on en parle sur les plateaux télé ? 3/ Pourquoi, fort de ce constat, l'obligation du vaccin ou du pass n'est pas stoppée nette ? 4/ Parce que nous sommes gouvernés par des personnes malhonnêtes et manipulatrices qui cherchent à faire du profit sur notre dos (on sait bien que la maladie rapporte beaucoup plus que la santé). 5/ Personnellement, je pense qu'il y a aussi des raisons encore plus graves que le profit qui les motivent à agir ainsi, comme le tranhumanisme et le génocide de la population mondiale. 6/ Ce sont peut-être des théories du complots, mais elles méritent d'être examinées pour la simple et bonne raison qu'elles permettent d'expliquer les décisions toutes plus illogiques les unes que les autres depuis bientôt 2 ans. »
   Je réponds mes sentiments sur ces sujets :
1/ Je ne suis pas très à l’aise avec la notion de « lanceur d’alerte » qui amalgame deux situations immensément différentes : A/ une personne très bien informée de choses secrètes inavouables publiquement et qui prend le risque de les révéler (c’est admirable selon moi), B/ une personne délirante qui imagine des trucs et clame sans preuve que c’est la vérité prouvée (cela m’intéresse peu, c’est sans grande valeur argumentaire et constitue peut-être un contre-feu menteur des autorités pour faire déjuger les vrais révélateurs A de scandales). Quand je lis une dénonciation par prétendu lanceur d’alerte, je ne peux pas savoir si c’est un cas A crédible ou B non-crédible.
2/ Effectivement, l’autre jour c’était la toute première fois que le mensonge général des autorités apparaissait à la télévision comme la conclusion logique, unanime, sans possibilité de contre-attaque.
3/ Si ce n’est pas stoppé, c’est qu’il n’y a pas constat par tout le monde : les autorités continuent à clamer leur roman, et les supporters du gouvernement (je croyais ne pas en connaître, j’ai appris aujourd’hui qu’il y en a 1 dans ma famille personnelle) approuvent et exigent de ne rien changer aux choses imposées, contestant que ce soit erroné. En s’affirmant « prouvé par les scientifiques » comme ils disent toujours, sans que ce soit documenté par débat tracé envisageant les différents hypothèses (simplement : des chefs en blouse blanche clament leur opinion, et la couleur de leur blouse fait appeler ça « preuve scientifique »).
4/ Oui, la course au fric me parait une hypothèse extrêmement plausible, mais en tant que sceptique, j’estime ne pas avoir les preuves pour clamer que c’est démontré, certain. Hypothèse simplement. L’immense nullité avec volonté dominatrice étant une autre hypothèse, pareillement envisageable.
5/ Oui, il est plausible que le but soit une extermination de la majorité humaine, pour raison écologiste, ou aristocratique (« élitiste »), ou misanthrope ou autre, mais pareillement : ce n’est pas prouvé.
6/ Envisager une programmation de génocide en cachette n’est pas une théorie du complot puisque rien n’est affirmé certain démontré, il s’agit simplement d’observer que ça expliquerait tout (ou presque peut-être, à débattre), ce qui d'ailleurs ne vaut pas démonstration tant que n'ont pas été prouvées fausses toutes les autres explications possibles.

* Ajout 265, 16/11/2021 (18h) Plaintes oubliées
   J’ai entendu dire à la télévision que le gouvernement (avec prétendue preuve scientifique indiscutable) a dit successivement qu’un vacciné transmettait 12 fois moins la maladie qu’un non-vacciné, puis 6 fois moins, puis 2 fois moins, puis encore moins (peut-être 1,1 fois moins, quasi-négligeable), et que cela serait en grande partie dû à des mesures non représentatives, parlant de « un vacciné » sans comprendre qu’un vacciné depuis quinze jours ne ressemble pas du tout à un vacciné depuis cinq mois (situation qui n’était pas encore expérimentée, mais sans noter que cela signifiait un non-savoir humble là où était prétendu un savoir indéniable en injuriant/culpabilisant/psychiatrisant les objecteurs). Mais alors, chaque soignant ou pompier renvoyé/ruiné pour avoir refusé l’injonction (à se vacciner pour ne pas contaminer le public fragile auprès duquel il intervenait) devrait porter plainte pour licenciement abusif, fondé sur argumentaire tenant du faux et usage de faux. Donc réintégration immédiate obligatoire pour eux, punition de leurs responsables (hiérarchiques et politiques) pour dénonciation calomnieuse, indemnisation pour le préjudice subi, prison ferme pour les responsables s’il y a eu conséquence maladive (dépression, avec ou sans divorce, avec ou sans suicide). C’est énorme, colossal, alors chut : les télés glissent ça sous le tapis, « pour ne pas perturber la réélection ou élection de leurs chéris », acteurs ou complices actifs dans cette affaire.
   Et à l’élection présidentielle 2022, il y aurait disqualification pour faute lourde de tous les candidats sauf Philipot et Dupont-Aignant. Et le vote blanc gagnerait avec peut-être 90% des voix, il faudrait que la loi fasse que cela annule l’élection et entraine dissolution de la 5e république, qui donnait plein pouvoir à une petite minorité, sans recours pendant 5 ans. É-norme, donc chut…

* Ajout 266, 19/11/2021 (6h) Retour sur le passé
   Hier ou avant-hier, le Professeur Delfraissy, chef du Conseil scientifique covid-19 du président de la république, a publiquement reconnu que les vaccins anti-covid19 étaient très décevants en matière de prévention de la contamination, même s’ils sont satisfaisants et utiles dans la prévention des formes graves. J’ai entendu ça en souriant, quant à la bêtise auto-contradictoire des prétendus scientifiques affirmant prouvé n’importe quoi puis son contraire, mais cela va au-delà. Je repense à la médecin de famille de mes parents (cf. ajouts 200 et 214), nous ayant interdit en Aout dernier de leur rendre visite car nous étions « non-vaccinés donc dangereux quasi tueurs »… éh bien non : nous étions contaminants ni plus ni moins que des vaccinés, selon le point de vue officiel corrigé actuellement…
   Elle s’en fout très certainement, cette dame, d’avoir eu tort, d’avoir créé des tensions hostiles abimant les liens familiaux, elle continuera à dire n’importe quoi, au nom de la science mal comprise, jusqu’à sa retraite. A mon avis, donc pleinement confirmé, elle est en faute professionnelle gravissime et devrait démissionner pour prendre un emploi moins prétentieux, à erreurs moins graves. Qui plus est, il est confirmé qu’elle a trahi le médical Serment d’Hippocrate, exigeant de ne jamais tromper le patient. Et bien si, elle a affirmé vrai du faux, pour imposer sa volonté à elle, égoïstement, en écrasant les arguments honnêtes et lucides que j’exprimais au contraire.
   Ce que faisait cette dame n’était en rien « savoir », c’était « croire », et son statut de médecin ne lui apportait aucune espèce de compétence consolidant ces croyances. Diplômée en récitation stupide, elle entendait continuer à réciter stupidement n’importe quoi, c’est une honte pas une supériorité en crédibilité, non pas du tout. Ce n’était qu’une jouissance de statut social immérité, pour que son opinion personnelle (parachutée) écrase l’opinion d’autrui (argumentée). C’est tout à fait scandaleux, mais les choses étant à grande échelle organisées pour la domination de cette fausse élite scientiste, elle n’aura nullement à reconnaître ses torts ni présenter ses excuses. Je trouve qu’il y a là une très profonde injustice. J’ai simplement la satisfaction de voir conforté mon solide sentiment d’avoir eu raison contre elle.
   Toutefois, en sens partiellement inverse, je n’affirme pas « vrai à 100,000% » la nouvelle conclusion du conseil scientifique, disant à nouveau n’importe quoi comme prétendue vérité indéniable éternelle, alors qu’il ne s’agit que d’un résultat partiel pouvant à son tour être démenti dans le futur même proche. La sagesse intellectuelle me semble dans le scepticisme, la non-prétention au savoir, au contraire total de ces commandeurs s’affirmant indéniables. Ce monde est idiot et moche. Mais cette petite dame médecin me semble avoir été la pire de tous.

* Ajout 267, 19/11/2021 bis (10h) Erreur logique
   Aujourd’hui, j’entends dans un débat « L’heure des Pros » contester qu’il y ait eu mensonge dans ce qui était officiellement dit il y a 6 mois, totalement démenti aujourd’hui (quant à la transmission de covid19 par les vaccinés), la réponse de la Dr Milhau étant « non, pas mensonge : les connaissances scientifiques évoluent, c’est tout ! ». Cela me semble une totale erreur, grave, propre à l’aberration scientiste, anti-scientifique.
   Si une nouvelle « connaissance » dément une prétendue-connaissance passée, c’est qu’une espérée-vérité remplace et enterre une erreur-avérée, ayant à tort été qualifiée de vérité (prouvée). Il n’y a pas vérité avant et vérité après, chacune relative à son temps, c’est qu’on appelait vérité une erreur.
   Selon le matérialisme scientifique dominant : quand (vers 1900 ?) la théorie microbienne de Pasteur a remplacé les explications antérieures parlant d’humeurs malignes ou autres, ce n’est pas que les microbes n’existaient pas avant 1900, et qu’ils sont apparus en 1900, c’est qu’on était dans l’erreur et on a découvert en 1900 la vérité. Vérité vraisemblable, pouvant d’ailleurs être à son tour démentie dans le futur, on verra.
   Non, ce n’est pas un nouveau-vrai qui remplace un ancien « vrai-de-plein-droit », c’est que l’ancien prétendu-vrai-prouvé était faux, à prétendue preuve mensongère, idiote prétendu supérieure, à tort. Mais les scientistes n’en clament pas moins qu’ils détiennent à chaque instant le vrai indéniable, indubitable. Erreur lourde, dominante scandaleusement.
   Certes, on pourrait refuser mon glissement de « connaissance » à « vérité » dans l’argumentaire, mais une « connaissance » qui n’est pas une vérité est une simple « croyance », abusivement prétendue connaissance.
   Autre objection, les connaissances seraient toujours relatives. Mais alors les connaissances scientifiques ne sont en rien supérieures aux connaissances coraniques ou romans Disneyland, on tombe dans le n’importe quoi ne méritant pas l’aura de la prétendue « connaissance ».

* Ajout 268, 22/11/2021 (9h) Avant censure très prochaine, sûre
   Hier j’ai entendu sur télévision C-News la passionnante interview du Pr Christian Perronne (dont j’avais analysé le livre anti-gouvernemental sur covid19 dans l’ajout 28) par Ivan Rioufol (journaliste du Figaro, souvent présent aux débats « L’heure des Pros » où il est le seul anti-vaccin covid).
   Le Pr Perronne, chef de service hospitalier a été rétrogradé suite à ses propos passés, classés complotistes par sa hiérarchie (puisqu’il donnait tort au gouvernement au lieu d’en relayer la parole comme requis). Apparemment, hier il a mis une troisième couche en ce sens, et risque la prison, pour délit d’opinion à mon avis.
   Parmi les choses très majeures qu’il a dites :
1/ Selon lui, citant les statistiques mondiales : là où on ne vaccine pas la pandémie s’arrête, là où on vaccine très fort la pandémie s’enflamme très fort, là où on a commencé à vacciner la pandémie est apparue alors qu’elle n’était pas présente.
2/ Selon lui, ces vaccins à ARN messager ne sont en rien des vaccins, mais des bidules faisant réagir le corps humain différemment de vaccins.
3/ Selon lui, ces vaccins sont expérimentaux en Phase III jusque 2022 voire 2023, et il est totalement illégal d’avoir obligé à les utiliser.
4/ Selon lui, la décroissance globale de l’épidémie n’est pas due à la vaccination croissante mais à la perte de virulence progressive habituelle de tout virus.
   Cela a été discuté, honnêtement je trouve, le journaliste Rioufol ne gobant pas tout ce qui irait dans son sens anti-vaccin-covid mais apportant la contestation de type gouvernemental (ou « médical allié au gouvernement »).
1/ Il était envisagé que le Dr Perronne se réfère à des chiffres mondiaux erronés, ou grossisse abusivement quelques micro-anomalies non représentatives. Personnellement, je n’ai aucun avis sur le sujet, je ne crois pas davantage ce professeur que le gouvernement, je suis simplement content d’entendre des lectures contradictoires, enfin, au lieu de la pensée unique clamant le prétendu indéniable prouvé. Le journaliste tempêtait « on ne peut pas vous laisser dire que le vaccin tue ! » (introduisant la chasse aux délirants non crédibles), et le Dr Perronne a dénié qu’il avait dit cela ainsi, même s’il y avait un peu de cela. Je comprends ce qu’il a voulu dire : s’il y a 1% de morts parmi les non-vaccinés et 2% parmi les vaccinés, le vaccin semblerait augmenter le risque de décès, sans qu’il tue 100% des vaccinés, ça n’a rien à voir.
2/ Il était répondu que le Dr Perronne se butait sur une vieille technologie de vaccins d’antan, sans que ça empêche l’émergence d’une nouvelle façon de faire, aussi efficace peut-être et plus rapide à développer semble-t-il. Je n’ai pas d’avis à ce sujet, ne tirant pas gloire d’années comme expert en vaccins d’autrefois, ce qui lui est spécifique.
3/ Cela me semble le point capital, dont il n’a hélas pas été débattu, presque. Avoir imposé publiquement un truc à risque inconnu scientifiquement (à innocuité pas du tout prouvée à ce stade) est une erreur très lourde, contraire au serment d’Hippocrate et aux lois depuis le scandale de la toxicité Talidomide. Si tous les vaccinés meurent quatre ans après, ce qui n’est pas impossible (quoique pas sûr du tout), un immense génocide aura été commis, en faisant taire tous les lucides en signalant le risque, c’est très grave, criminel contre l’humanité, et contre l’intelligence, contre la morale.
4/ Je suis d’accord qu’une corrélation entre deux phénomènes n’a en rien valeur de « preuve causale ». Mais le Pr Perronne commet la même faute que les gouvernants : alors qu’il énonce un « possible » effectivement, il est abusif d’affirmer que c’est la vraie vérité prouvée à la place de celle (abusive aussi) des autorités.
   J’avais acheté et lu le livre du Docteur Perronne « Y’a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? ». J’avais envisagé d’acheter son livre suivant « Décidément ILS n’ont toujours rien compris ! » (voir ajout 134), mais je n’avais pas concrétisé cela, le seul élément nouveau semblant la confirmation que le nombre de « victimes covid19 » est faux, surévalué, en comptant « tué par covid » quiconque meurt de quoi que ce soit en étant positif au test de ce virus, même sans démontrer en rien le lien causal, présupposé en interdisant la contestation de cet arbitraire administratif, arrangeant bien le gouvernement catastrophiste liberticide. Mais le lire dans un livre ne m’apporterait pas grand-chose, ai-je pensé, tant ça semblait évident. Les nouvelles pensées cette fois contre le vaccin semblent un troisième groupe d’arguments du Dr Perronne, n’ayant pas encore fait l’objet de livre. Il est presque certain qu’il serait interdit de publication, et peut-être ne reverra-t-on jamais cet homme sur un média. Hélas pour le débat contradictoire.

* Ajout 269, 24/11/2021 (18h) Preuve triple puissance 3, définitive ?
   Hier et aujourd’hui était clamée un drame affirmé immensément démonstratif (comme enterrant les avis sceptiques définitivement, prouvés idiots/criminels) : dans une famille d’un petit village des Vosges, trois personnes sont mortes du Covid, n’étant pas vaccinées. Donc cela « prouve » que le vaccin sauve et que le refus de vaccination tue !
   Sauf que… j’objecte : il semble que ces 3 personnes sur 3 ont été trouvées mortes dans leur maison, sans avoir été hospitalisées ni suivies médicalement. Alors quelle est la preuve qu’elles sont mortes du covid et pas d’autre chose ? Grippe ou AVC ou intoxication etc. Non, la logique officielle s’applique : puisqu’un non-vacciné anti-covid (et/ou testé covid+ même asymptomatique) est décédé, automatiquement il est clamé qu’il a été tué par covid. Force de conviction de cette conclusion médicale ? Nulle, ou négative, moins que nulle, mensonge intéressé pire qu’erreur par mégarde généralisant abusivement.
   Confirmation Internet : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/vosges-une-famille-decimee-par-le-covid-19-20211123
   Il y a des mots assez imparables stupides comme « la vaccination peut nous sauver ». C’est comme « on peut gagner si on joue au Loto », oh certes ce n’est pas faux, le mot « peut » étant infalsifiable, non prédictif non-testable, non-scientifique, simple bla-bla.

* Ajout 270, 25/11/2021 (18h) Incohérence supplémentaire
   Je n’avais pas suivi les détails, mais le fait qu’en matière de covid19, il soit maintenant reconnu (depuis 1 semaine au moins) que la vaccination ne prévient pas la contamination, cela aurait dû amener à supprimer les règles actuelles suivantes (ce qui ne semble pas du tout le cas) : « Si vous êtes cas contact : si vous êtes vacciné, vous pouvez aller à l’école/au travail. »
   Source : https://www.ameli.fr/ain/assure/covid-19/comprendre-le-covid-19-se-proteger/en-cas-de-contact-avec-une-personne-malade-du-covid-19 (point 1)
   C’est faux, c’est une usine à contaminer autrui, et en discriminant les non-vaccinés injustement puisque pas seuls contaminants du tout. Mais apparemment tout le monde s’en fout, l’autoritarisme continue à commander n’importe comment, c’est une honte totale. Enfin, je ne prétends pas que les vaccinés doivent être poursuivis/interdits massivement comme les non-vaccinés mais qu'il faudrait au contraire, équitablement, laisser vivre tout le monde (comme les vaccinés), cesser de criminaliser et insulter les non-vaccinés.

* Ajout 271, 26/11/2021 (18h) Antilles en furie
   Hier un des grands titres d’actualité était la révolte aux Antilles (initialement : contre l’obligation de vacciner anti-covid les soignants), ayant amené le gouvernement métropolitain à envoyer en masse des troupes d’élite en appui de police et gendarmerie locales. Mais… cela me parait insensé : il conviendrait tout au contraire de lever immédiatement cette obligation de vacciner anti-covid les soignants. En effet cette obligation a été instaurée en clamant « les non-vaccinés contaminent, les vaccinés ne contaminent pas ! (donc agissant auprès de fragiles, les soignants ont besoin absolu d’être vaccinés pour ne pas contaminer/tuer) », or… il s’est avéré que c’était une erreur totale : les vaccinés contaminent comme les non-vaccinés, vacciner vise éventuellement à se protéger soi-même des formes graves de covid mais n’a aucun rapport avec la transmission du virus. Pourtant : non, personne au gouvernement n’en tire les conséquences (et la prétendue opposition roupille tranquille, complice), on préfère envoyer des fusils et entamer une guerre civile, c’est totalement effarant…

* Ajout 272, 27/11/2021 (7h) Ecrit immensément intéressant
   Une amie, lisant mon ajout 270, m’a adressé un lien allant disait-elle dans le même sens : https://www.xavier-bazin.fr/un-ami-medecin-mappelle-il-est-tellement-effare-de-la-situation-quil-se-prepare-au-pire/ (de Xavier Bazin, écrivant sur Internet).
   Je dis ici ce que j’en pense : globalement, cet article critique le gouvernement de façon qui me semble rationnelle et convaincante, bravo et merci. Toutefois :
1/ Attention aux « comparaisons interdites » : ce n’est pas que ce qui est dit soit faux ou abusif, c’est que cela fonce spécifiquement sur le pire des interdits en notre société, la comparaison de goys à des Juifs des années 1930. Cela entrainera des hurlements de haine (prétendus « cris contre la haine antisémite »), et sera considéré comme disqualifiant totalement la pensée en question. Encore une fois, même si cette comparaison partielle est sensée, stratégiquement il aurait mieux valu ne pas l’évoquer si l’in escomptait être « audible » à grande échelle. Je suis d’accord que ce n’est pas juste, mais cette société pourrie est ainsi bâtie que des intouchables exigent le monopole absolu de l’indignation morale. (Je ne dis pas ça par racisme antisémite : je suis moi-même juifa d’origine, quoique pas du tout juifo de comportement).
2/ Quand il est dit que les « non-vaccinés » sont en train d’être opprimés par la majorité, ça me semble inexact, presque mal pensé, pardon. Pendant des mois après la proposition de vaccin à tous, je l’ai refusé (et ma femme aussi, pour d’autres raisons, refusant aussi – elle – que notre fils de 11-12 ans soit vacciné, moi je n’avais pas d’avis à son sujet à lui). Puis la cancérologue m’a exhorté à me faire vacciner, disant que la chimiothérapie me rendait immensément fragile, basculant dans mon cas la balance bénéfices/risques, même si elle reconnaissait que les risques du vaccin à 5 ans étaient inconnus, que les médias et officiels mentent à ce sujet. J’ai donc accepté, je suis vacciné maintenant, depuis ce mois, mais je ne suis en rien de rien un vacciné oppresseur de non-vaccinés. Je suis un « vacciné malgré moi » donnant raison aux non-vaccinés. Et à mon avis, il y a un nombre considérable de gens dans ce cas, peut-être même la majorité (le gouvernement peut mentir en clamant que la majorité l’approuve « puisque » vaccinée). Menacés comme non-vaccinés (menacés de renvoi professionnel donc ruine, menacés d’interdiction de sortie donc mort sociale/sentimentale, menacés d’interdiction de scanner à l’hôpital donc mal soigné ou mort, menacés d’interdiction de sport « en manque », etc.), nous nous sommes soustraits à cette menace sans du tout l’approuver. Bref, cela fait plein de victimes ayant accepté très à contrecœur d’être vaccinés, comptés à tort par les autorités comme approbateurs de leur politique de vaccination forcée sans officielle obligation, alors que de cœur ils sont non-vaccinés. Les accuser d’oppression des non-vaccinés est injuste. Même si, effectivement, ils constatent avec effarement ne plu’ faire partie des victimes d’oppression, celle-ci étant très choquante. Certes, cela pourrait être pire : les vaccinés sympathisants des non-vaccinés pourraient être bannis comme les non-vaccinés, ce qui n’est pas le cas, mais ils reçoivent quand même en pleine face les injures adressés aux non-vaccinés (irrationnels, égoïstes, absurdes, irresponsables, criminels tueurs, etc.). Peut-être que certains, voulant éviter ces insultes, se rangent vers une neutralité laissant les autorités dire n’importe quoi, mais j’en suis un contrexemple : bien que vacciné, je donne raison aux non-vaccinés et me scandalise de l’oppression qu’ils subissent.
3/ Extrait me gênant un peu : « Australie (…) un État policier s’est mis en place pour faire respecter les mesures "sanitaires" : un homme de 27 ans a été traqué par la police et considéré par les médias comme "l’ennemi public numéro 1" simplement parce qu’il avait été testé positif… et osé sortir de son hôtel ! ». Euh, je comprends qu’il est abusif de classer en « tueur ultra-dangereux » un simple porteur de virus ne respectant pas la quarantaine imposée, n’ayant aucune intention de tuer, ayant peut-être un risque modéré ou moyen de transmettre le virus (rarement létal, qui plus est), mais en se rangeant du côté de ce refuseur de loi compréhensible (mettant en quarantaine les positifs, sans brimer en rien les négatifs non-vaccinés), l’auteur semble se détourner du scandale principal pour s’allier à des personnes très contestables. Ça me semble critiquable, voire abusif.
4/ Autre point douteux, comme « mal pensé » : « Quant aux États-Unis, peut-on encore parler du pays des libertés ? ». Euh, il est notoire que les USA (avec leur « statue de la liberté ») et la France (se disant « pays des Lumières ») prétendent tous deux au statut de « pays de la liberté », mais ce n’était aucunement crédible, bien avant la crise covid19. Aux USA, l’esclavage puis le puritanisme, la ségrégation raciale, le maccartisme anticommuniste, la cancel culture wokiste, tout cela fait un régime de l’interdiction intolérante, en pratique. En France, la loi Gayssot de 1990 punit de 2 ans de prison le doute quant au dogme historique rendant intouchables les juifos hurleurs racistes (anti-amérindiens antiarabes). S’étonner maintenant qu’USA et France égratignent leur réputation d’être libertaires, ce n’est pas lucide, pas pertinent. Au lieu de dire « incroyable il y a ceci contre la liberté », il aurait mieux fallu dire « preuve supplémentaire de la fausse liberté revendiquée par ces pays, il y a ceci ».
5/ Je note aussi une (petite) faute de pensée, certes habituelle en notre société : « Dès lors que le vaccin n’est pas "altruiste", rien ne justifie qu’on force qui que ce soit à prendre un traitement médical, dans une démocratie "normale" ». C’est une confusion et un amalgame : la démocratie est le gouvernement par le peuple, la majorité du peuple, qui peut parfaitement être dictatoriale broyant les minorités, ce n’est en rien contraire au principe démocratique (cf. dans le livre « Le grand Dilemme » de Jean Petot, mentionnant des républiques italiennes à la Renaissance, où les perdants des élections devaient s’exiler sinon ils étaient tués par la police obéissant aux élus de la majorité). Ici, ce n’était pas la « démocratie » l’argument mais la « démocratie libérale » (ou libertaire), bref la liberté, et il peut y avoir de la liberté même en régime non démocratique, par exemple si un roi débonnaire est très tolérant. L’argument asséné était donc invalide, confus. Comme immensément souvent sur les médias, certes, hélas.
6/ Nouvelle confusion plus loin : « il s’agit d’un traitement expérimental, sur lequel on n’a aucun recul sérieux sur les effets à moyen terme, notamment sur le risque de cancer (…) cela est encore plus choquant, si on considère que : Des traitements précoces existent, plus efficaces que les vaccins, sans le moindre effet indésirable grave. » Là, c’est un plaidoyer à charge, n’ayant pas le souci de la cohérence logique. Oui, c’est vrai et c’est très scandaleux : ces vaccins ont été autorisés puis forcés avant d’avoir fait leur preuve d’innocuité à 5 ans (ce qui était la requête obligatoire officielle jusque-là), mais les nouveaux traitements précoces en concurrence sont dans le même cas, s’ils sortent maintenant. Le fait qu’il y ait piqûre ou non n’est nullement le problème, mais la trahison du principe scientifique, considérant l’expérience comme clé, sans que les modèles prédictifs soient acceptés avant vérification expérimentale, pratique, patiente en ce qui concerne l’effet tardif après latence. Vaccin préventif ou gélule précoce, ce n’est pas le problème, pas le sujet de scandale. La honte absolue est d’avoir affirmé qu’on a le recul (temporel) assurant l’absence de risque avant même de l’avoir vérifié pour de vrai. La croyance de gens diplômés en sciences (choisis favorables au gouvernement) a hélas été dite « vérité scientifique », ce qui est faux et constitue un abus illogique : le scientisme (prouvé non scientifique maintes fois, à chaque changement de théorie dominante prouvant que le prétendu « vrai prouvé » était faux).
7/ Autre point très douteux plus loin : « C’est aussi un mensonge éhonté face aux cas de ces jeunes, morts suite à la vaccination, sans qu’aucune autre explication raisonnable ne puisse être avancée (…) ils ne sont que l’arbre qui cache la forêt de morts et d’effets indésirables graves liés à ces vaccins ». C’est une nouvelle fois mal pensé, accomplissant la même erreur que les autorités, pour un but inverse. Qu’il y ait mort juste après vaccination ne prouve en rien de rien que c’est la vaccination qui a causé cette mort. (Les autorités font ainsi pour la cause « virus » : tout mort positif au virus est affirmé « tué par le virus », sans aucune preuve de cause à effet, c’est illogique abusif). Au fait, j’ai entendu que les pratiques médicales face à covid avaient évolué : on n’intube plu’ au départ les malades en réanimation, et ce changement a grandement réduit le taux de morts covid, mais sans reconnaître en rien que les morts en question, au début, avaient été tués par l’intubation (faute médicale involontaire) et pas par le virus, mensonge par omission entériné… Quant au « pas d’autre explication », c’est historiquement une faute lourde : autrefois, quand un tremblement de terre (ou une gelée tardive ruinant les récoltes) survenait, les humbles gens demandaient « pourquoi cela s’est produit ? », personne n’ayant la réponse que les religieux clamant « l’explication » : parce que Dieu punit les pas-suffisamment-croyants (donnant trop peu à l’Eglise) ; le fait d’être seul à proposer une explication ne veut en rien dire que cette explication est la vérité, la sagesse étant tout au contraire la réponse « je ne sais pas, on ne sait pas, actuellement, l’explication énoncée pouvant être fausse ». Enfin, les autorités es-covid ont changé leur vocable « tués par covid » en « morts liés à covid », mais sans préciser que cette amélioration était une révocation de l’ancien sens, abusif. Tel mort d’accident de la route était positif au virus covid, il était donc compté « tué par covid », maintenant on dit que c’est un mort « lié à covid », ce qui n’est pas faux mais cache une fausse relation de type coïncidence classée haute suspicion de causalité, à tort. J’ai les mêmes objections vis-à-vis de cet auteur au sujet de « morts liées au vaccin ». La lucidité consiste à être logique partout, pas à réserver l’objection logique là où ça arrange la thèse soutenue. Je clique sur « qui est (l’auteur) Xavier Bazin ? » et cela me répond qu’il est journaliste scientifique formé en sciences sociales. Euh, cela me parait suspect car je considère que les sciences humaines (sociales et autres) ne sont pas scientifiques, royaume de bla-bla affirmatif illogique. Cela peut expliquer qu’il n’ait pas les outils intellectuels pour analyser correctement les problèmes.
Bilan/ Je trouve ce texte « anormal » au bon sens du terme, la normalité ayant été dépravée en dictature intellectuelle ou terrorisme intellectuel (pseudo-intellectuel en fait). Il est loin d’être parfait mais excellent quand même, grand merci à mon amie ex-collègue de me l’avoir signalé.

* Ajout 273, 27/11/2021 bis (10h) Mauvais ministre Véran
   Hier j’ai entendu à la télévision la partie moraliste du discours du ministre de la Santé (la veille je crois avec les nouvelles mesures restrictives ou punitives). Des mots m’ont choqué : il oppose les gens bien, qui « croient en la science » donc se font vacciner, et les non-vaccinés égoïstes irrationnels irresponsables. C’est simplement n’avoir rien compris, ou mentir sciemment.
   Non, la science n’a en rien de rien établi que ces vaccins ne sont pas mortels à 5 ans (à 0,1% ou 100%) : pareille hypothèse d’innocuité étant une hypothèse scientifique en attente de corroboration ou invalidation, absolument pas un résultat acquis établi valant « acquis de la science ». Certes les leaders intolérants diplômés comme scientifiques ne respectent pas l’humble principe de la science expérimentale, toute de doute et prudence, mais clament détenir la Vérité indubitable (« justifiant » leurs énormes salaires et honneurs reçus). Les croire est anti-connaissance-scientifique pro-croyance-scientiste (ce n’est pas du tout synonyme en Français même si en Anglais « un scientifique » se dit « a scientist », hélas). C’est une faute en matière logique (prétention à tort au vrai indéniable) et morale (intolérance sans fondement).
  Il est très fier, ce ministre, il parait très stupide, ou cache son jeu en étant très menteur et pensant que personne lucide ne démontera ses faux arguments. Eh bien si : je veille (et sans doute des milliers d’autres gens, interdits de télévision, celle-ci semblant réservée aux menteurs ou micro-objecteurs bénins).

* Ajout 274, 28/11/2021 (7h) Complément d’analyse
   Un des points abordés par Xavier Bazin (voir ajout 272) n’avait pas été relevé par moi-même, me semblant effrayant mais peu discutable, pourtant j’y reviens, après réflexion, pouvant enrichir le sujet.
  « Prochaine étape : faire payer les frais d’hôpital aux non-vaccinés ? À Singapour, c’est décidé : le gouvernement a annoncé début novembre qu’il ne paiera plus les frais médicaux liés au Covid-19 des non-vaccinés. Ce sera donc aux non-vaccinés de payer leurs propres frais d’hôpital, s’ils ont le Covid. Et cette mesure est maintenant ouvertement évoquée par la presse française : "La voix du Nord. Faut-il faire payer les frais d’hospitalisation aux non-vaccinés ?" L’année dernière, alors même que les vaccins n’avaient pas encore été autorisés, le Parti radical de gauche demandait déjà le non-remboursement des frais de santé pour les "anti-vaccins". En Suisse, plusieurs élus ont demandé, eux aussi, à faire payer leurs frais médicaux aux non-vaccinés. Donc, n’imaginez pas que cela ne puisse pas arriver, dans nos démocraties occidentales. » Qu’est-ce que j’en pense ?
   Une logique très particulière rendrait cela envisageable, mais elle impliquerait de ne pas soigner gratuitement les fumeurs ayant le cancer du poumon, les accidentés de la route n’ayant pas porté la ceinture de sécurité, etc. C’est une forme d’organisation pas totalement absurde (culpabiliser et punir au lieu de pardonner), mais la réserver au cas covid19 constituerait une discrimination injustifiable, haineuse ou fanatique.
   Par ailleurs, je vois un énorme problème qui repose sur l’expression « liés au covid19 » (et « s’ils ont le covid ») : actuellement, on appelle réanimation ou décès « lié au covid19 » toute réanimation ou décès chez quelqu’un positif au test sars-cov-2 (dit à ce titre « avoir le covid »), même si cette contamination est asymptomatique sans aucune relation prouvée de cause à effet avec la réanimation ou décès. Tant qu’il s’agissait de truquer les chiffres officiels pour motifs politiciens de réélection, c’était mineur, mais si maintenant cela entraine la ruine de gens hospitalisés (pour accident de la route ou AVC ou cancer ou autre), cela devient monstrueusement injuste, attaquable en justice pour abus de pouvoir éhonté. Certes, il serait sans doute fait appel aux médecins comme « experts », l’avis « oui, je pense que ce lien était causal » valant judiciairement « il est prouvé scientifiquement que ce lien était causal ». Mais c’est faux : les médecins, souvent en faute avérée, ne cessent de répéter que leur métier n’est pas une science exacte mais constitue un art, difficile, approximatif. L’erreur d’interprétation judiciaire serait alors une contradiction totale, un déni de justice absolu. (Un de plus peut-être, tant cette justice semble pourrie, condamnant les innocents et excusant les coupables, en grande routine…).
   Bref, oui merci Monsieur Bazin pour avoir divulgué cette tendance affreuse qui se développe, à l’oppression financière des non-vaccinés, j’avais néanmoins des choses à ajouter sur ce sujet.

* Ajout 275, 28/11/2021 bis (18h) Une autre source, oubliée pardon
   Bien que j’ai fui Facebook en y étant insulté par des gens intolérants sans arguments, d’autres voix (par mail) m’ont dit y trouver bien plus pertinent qu’à la télévision, avec notamment un contributeur nommé L’éveilleur Quantique. Je suis allé jeter un œil, et j’ai trouvé un lien intéressant, un propos de l’avocat contestataire Fabrice Di Vizio, portant plainte contre le ministre de la Justice pour avoir dit que « celui qui refuse de se vacciner est un assassin ». Accusation calomnieuse, discriminant les non-vaccinés alors que les vaccinés sont aussi contaminants, l’accusation de meurtre spécifique des non-vaccinés (pour faire vacciner et échapper à l’accusation) étant donc honteuse, c’est elle qui est criminelle.
   Effectivement, c’était convaincant, je n’ai aucune objection.
  https://www.facebook.com/LeveilleurQuantique/videos/371867041359405

* Ajout 276, 01/12/2021 (15h) Sondage inouï
   J’entends ce jour sur chaine télévisée LCI qu’un sondage informe que 59% des Français sont favorables à l’enfermement des non-vaccinés. Je trouve ça effarant, les enfermer pourquoi ? Au temps où ils étaient prétendus seuls contaminants (si infectés), cela aurait déjà été choquant, mais cette affirmation parachutée sans preuve a depuis été démentie, abandonnée, alors à quel titre les enfermer ? Cette répression semble une réminiscence d’ancien jugement erroné. Enfin, il pourrait s’agir de faire le bien des gens contre leur gré, pour épargner de force les formes graves, mais ce n’est même pas ça puisque ces formes sont spécifiques des personnes âgées ou avec comorbidité, pas du tout l’intégralité des non-vaccinés.
   J’ai ainsi vu la journaliste de Valeurs Actuelles Charlotte d’Ornellas, souvent présente sur télé C-News (même de chez elle malade), devenir positive covid-19 en n’étant pas vaccinée, et elle ne regrettait pas du tout son choix de ne pas s’être vaccinée puisque jeune et en bonne santé, elle pensait n’avoir qu’une sorte de grippe si elle était éventuellement touchée par covid19. Et c’est ce qui s’est passé, elle est revenue à l’antenne maintenant, elle a eu entièrement raison, pourquoi aurait-il fallu l’enfermer (avant qu'elle soit contaminée, ou après guérison) ? Pour quelle faute ? Quel danger ? Si c’est pour un danger potentiel non avéré, simplement relevant du devoir de précaution et du principe « le risque zéro n’existe pas », cela s’applique tout autant aux vaccinés, donc l’argument punissant les non-vaccinés est auto-détruit.

* Ajout 277, 03/12/2021 (19h) De pire à encore pire abominable
   J’ai entendu à la télévision, avant-hier je crois, la fin d’un propos tout à fait effrayant : quelque chose comme « les non-vaccinés covid seront condamnés à payer 100€ d’amende chaque jour où ils restent non-vaccinés » !!! Puis il était dit que la France ne souhaitait pas aborder les choses ainsi, sans dire quel pays était concerné. Finalement, après deux jours de débats sur autre chose, quelques éléments suggèrent que ce serait spécifique à l’Autriche à partir de février 2022, et peut-être l’Allemagne juste après, le principe étant que la décision de vaccination obligatoire universelle implique forcément contrôle et punition des contrevenants. Punition seulement financière certes, sans coups de fouet ni lapidation…
   Mais personne dans aucun débat n’a envisagé que ce soit une dictature totalitaire extrémiste broyant l’opinion différente. Or je rappelle que ceux qui refusent la vaccination peuvent simplement refuser (ou démontrer faux) le mensonge officiel clamant que le bénéfice/risque de ce vaccin est très en faveur de la vaccination. Par principe logique, il est totalement impossible de savoir avant 5 ans si ces vaccins sont dangereux (voire mortels) à échéance de 5 ans donc le risque est inconnu en ce moment. Ce ne sont pas des idiots crédules disant n’importe quoi, au contraire ce sont des incrédules bien davantage logiques que la masse des moutons crédules suivistes. Les punir pour rébellion constitue un scandale colossal, terrible, honteux, justifiant les plus hautes réprimandes envers les persécuteurs (au lieu de donner légalement aux autorités atroces le pouvoir de coercition).
   Toutefois, avec complicité de plein de politiciens (se disant faussement dans l’opposition), de plein de médecins (se disant faussement scientifiques), cela gouverne et bientôt va punir. (Pas en France pour le moment, OK, mais c’est atroce là-bas ailleurs, on peut le dire). Que plein de scientifiques pensent que cette dangerosité de ces vaccins n’est pas la vérité, c’est leur opinion, légitime en tant qu’hypothèse à vérifier, mais ce n’est en rien un savoir à ce stade ; s’ils affirment qu’ils savent, ils sont en faute lourde, escrocs pratiquant l’abus de pouvoir, l’abus de confiance. Et les décideurs leur faisant confiance sont nuls, hyper-mauvais, dangereux pour le respect des innocents, des gens osant l’intelligence critique. Quand un parent me dit que "Macron, il est super-intelligent", je trouve cela à hurler... (choqué au bord de l'évanouissement, pas à clamer en approbation).

* Ajout 278, 04/12/2021 (9h) Encore au-delà quoique non officiel
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/Slate encore plus extrémiste que ce que je relatais hier : « Il faut rendre la vie impossible aux non-vaccinés » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/il-faut-rendre-la-vie-impossible-aux-non-vaccin%C3%A9s/ar-AARq3Cs?ocid=msedgntp ). Je cite et commente cette horreur absolue :
• « Quand dans quelques années voire des décennies si ce n'est plusieurs siècles, on étudiera cette pandémie qui nous accable, on restera effaré de constater combien la plupart de nos désagréments auraient pu être évités si seulement la collectivité dans son ensemble avait accepté de se faire vacciner. »
--> Si le vaccin s’avère sans danger, effectivement, on aurait évité des désagréments à vacciner tout le monde. MAIS si au contraire, ce vaccin s’avère mortel, alors on aura massacré des gens par tromperie active, c’est abominable génocidaire. Dans le doute entre les deux, le principe de précaution aurait dû commander d’attendre le délai habituel de 5 ans avant de conclure à une innocuité sur l’être humain. C’était la normalité officielle prévue, qui a été trahie sans explication et sans même signaler le risque pris, avec immense enrichissement de certains, hum.
• « Si au lieu de minauder et d'attendre on ne sait quelle preuve, quelle confirmation, quel commandement venu du ciel, l'ensemble de la population avait consenti à la vaccination. »
--> Ce « on ne sait » est immensément stupide : la réponse peut être donnée, mais elle est refusée, cachée, pour dire qu’il n’y en a pas, c’est une totale malhonnêteté intellectuelle. Anti-scientifique et clamée au nom de la science (en fait du scientisme abruti, crédule ou fanatique).
• « Il y a vraiment quelque chose qui ne tourne plus rond dans nos démocraties. Par je ne sais quelle crainte de ne pas brusquer une frange de la société – une toute petite minorité – qui sous divers prétextes refuse obstinément de se faire vacciner, nous voilà rendus de nouveau à vivre la peur au ventre, les yeux braqués sur les chiffres des hospitalisations, si vulnérables que, bientôt, au rythme où vont les choses, nous passerons nos journées et nos soirées enfermés chez nous à triple tour. »
--> Que la majorité des crédules incompétents écrase la minorité des lucides compétents, est-ce l’idée que se fait cet auteur de la « démocratie » ? alors la démocratie est une horreur dictatoriale. Et c’est très possible en principe, certes, même si tout est faussé par les discours habituels confondant « démocratie » et « démocratie libérale ».
• « Tout cela parce qu'une poignée d'individus, au mépris de toute connaissance médicale, sans le début d'un raisonnement qui puisse avoir un quelconque fondement scientifique, a décidé de s'affranchir de la vaccination. »
--> Tout au contraire : les abrutis crédules croient les autorités menteuses quand les gens compétents décèlent les mensonges et les prouvent. Mais certes il suffit de les faire taire, les étouffer, pour clamer qu’ils sont idiots, alors que c’est presque l’exact contraire.
• « De quoi rendre fous. Comme si en temps de guerre, certains refusaient la conscription sous prétexte que défendre la patrie en danger ne constituait pas à leurs yeux un impératif moral, une question de vie ou de mort. Répétant à l'infini que leur liberté individuelle n'était pas négociable. »
--> Absolument ! Je considère que la guerre de 1914-18 n’est nullement à célébrer comme magnifique victoire mais à pleurer comme boucherie dictatoriale abominable, ayant commandé aux gens de se faire massacrer pour aucune bonne raison (la guerre est venue de jeux d’alliance bellicistes entre puissants, méprisant le peuple vu comme chair à canons). Le nationalisme guerrier n’est en rien de rien une évidence mais un choix immensément contestable de certains, avec le statut de guerre ces mauvaises gens se muent en oppresseurs sanglants, envoyant les gens se faire tuer sous peine de mort, c’est atroce. Ce n’est pas seulement « la liberté » qui est abimée, c’est qu’une horreur totale est en place. Mais certes, les politiciens ne le disent jamais, puisqu’ils sont tout disposés à recommencer.
• « Alors, on tergiverse, on ergote, on dit oui, on dit non, on dit je ne sais pas, c'est trop tôt, on manque de recul, je préfère attendre de voir comment les choses évoluent. On connardise à tout-va, dans une sorte de grand délire collectif où aux imprécations de quelques fumistes qui, quel que soit le sujet, trouvent toujours matière à redire, répondent toute une bande d'égarés, convaincus de vivre dans une société qui serait comme un parc d'attraction, au milieu duquel chacun serait libre de vivre selon ses convictions, fussent-elles les plus ineptes jamais recensées de mémoire humaine. »
--> C’est l’exact contraire : des arguments imparables sont cachés, pour insulter abondamment les gens interdits d’exprimer leur défense. Le manque de recul temporel n’est pas un bla-bla tenant du n’importe quoi mais un fait ultra-majeur, caché, dénié par mensonge total, confondant sciemment recul temporel et recul de réplication. En microbiologie, durant le temps de latence, on pouvait inspecter 4 milliards de tubes au lieu de 4 dizaines, on ne voyait en rien se déclencher la multiplication avant l’heure (à la toute petite incertitude de réplication près, genre « 4 ans ± 1 mois sur 4 milliards de tubes, 4 ans ± 1 jour sur 40 tubes », mais conclure « rien prouvé » après 2 ans constitue une faute ultralourde, pas vue par les incompétents nullissimes certes).
• « Il faut cesser de parler à ceux réfractaires à la vaccination de ce ton doucereux qui serait celui d'un curé débonnaire à ses ouailles indisciplinées. Le temps des explications, des démonstrations, des discours de bon sens, d'empathie, de pédagogie, est passé. »
--> La pédagogie requiert que le pédagogue soit un sachant honnête, alors que quand le prétendu pédagogue est un menteur (sans la moindre démonstration objective) interdisant les objections et invalidations, ce qui se passe est au contraire du « lavage de cerveaux » abrutissant. Lui donner les pleins pouvoirs en écrasement est assez logique dans le domaine de l’horreur malhonnête, hélas.
• « Voilà près de deux ans que nous ressassons les mêmes sempiternelles antiennes. Ceux qui aujourd'hui ne sont toujours pas convaincus de la nécessité de la vaccination ne le seront ni demain, ni dans cent ans. L'heure est venue de leur rendre la vie impossible. De les mettre enfin devant leurs responsabilités lesquelles sont à hauteur de leur égoïsme et de leur bêtise : immenses. »
--> Le projet de passer activement d’une hostilité franche à un empêchement de vivre était à craindre, ici c’est fait, avec moultes insultes que mériteraient bien davantage l’insulteur. Qu’il adhère à faire tuer en masse comme en 1914 explique certes sa position possiblement massacreuse en se donnant entièrement raison, mais… non, ne pas dire qu’égoïsme et bêtise sont dans le camp en face de lui, oh non…
• « À l'heure d'aujourd'hui, rien ne justifie qu'on puisse se soustraire à la vaccination. Rien. »
--> Si, il y a des justifications immensément solides, mais en les interdisant d’expression effectivement il ne semble y en avoir aucune. C’est ainsi que Hitler, Staline, Mao et autres monstres commandaient la persécution de leurs « injustifiables » contestataires. Atroce.
• « Nous avons été bien assez patients comme cela. Nous avons supporté leurs vociférations absconses, nous avons enduré leurs sophismes inconsidérés, leurs discours délirants, leurs jappements d'individus froissés dans leur liberté individuelle. Au regard de la situation et de ce comique de répétition qui ne fait plus rire personne, nous sommes arrivés au bout de cette logique qui commandait de manger notre chapeau quand nous nous retrouvions confrontés à un tel déluge d'imbécilités. La plaisanterie a assez duré. Le temps des obligations vaccinales ou des sanctions financières est advenu. »
--> Voilà, il est appelé à la grande persécution des individus logiques osant résister au pouvoir oppresseur. C’est abominable. Et ça vient d’en bas, là, pas des commandants officiels faux-représentants (même si ceux-ci pourront accepter avec bonheur cette injonction « de la base », pour l’appliquer effectivement).

* Ajout 279, 07/12/2021 (11h) Nullité épistémologique
   J’entends ce jour un argument étonnant dans le débat télévisé « L’heure des Pros ». Concernant le fait que le pass sanitaire a été imposé pour empêcher de transmettre la covid puis, sans rien changer au discours, continue à être imposé alors qu’il est avéré que (cela pousse de force à se faire vacciner mais) la vaccination ne protège pas de la transmission, le (±) nouvel argument (exprimé par une journaliste) est « les connaissances d’aujourd’hui sont différentes des connaissances scientifiques d’il y a 6 mois ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   J’estime que c’est une erreur totale de principe, justifiant très mal une faute lourde d’action à tort dictatoriale. Je m’explique :
1/ Si les pseudo-connaissances scientifiques d’hier ont été invalidées, elles n’étaient nullement des connaissances mais des erreurs totales, ayant scandaleusement prétendu au titre de connaissances prouvées vraies. La science n’est crédible que comme théories un peu consolidées mais en instance de réfutation, le terme « connaissance scientifique » est une contradiction vantarde indue (pour crédules intoxiqués, éventuellement diplômés en science sans avoir rien compris à l’épistémologie), ou il s’agit de « connaissance en récitation », nulle en valeur objective, comme les connaissances coraniques, évangéliques, shakespeariennes, sataniques ou autres.
2/ Avec les nouveaux éléments, sans véracité-universelle-prouvée non plu’, le pass sanitaire devrait être supprimé sous ce nom prétendu protecteur qui est devenu faux, autrefois erroné par crédulité à tort et maintenant mensonge volontaire. Il devrait être appelé « pass discriminant pour faire pression sur les gens vers la vaccination, l’obéissance au plan gouvernemental ».
   Il aurait fallu objecter cela, ce que personne parmi les 4 autres personnes en plateau n’a fait, les gens pertinents ne semblant pas invités, comme d’habitude.

* Ajout 280, 14/12/2021 (7h) Vandalisme
   Comme pour les manifestations Gilets Jaunes qui avaient été déjugées par des individus violents très excessifs (peut-être envoyés par le gouvernement pour déjuger le mouvement, selon la logique « à qui profite le crime ? »), un acte dit horrible vient d’être commis pour déjuger les opposants au pass sanitaire covid). C’était une des nouvelles majeures hier à la télévision, et ça se retrouve par écrit en nouvelle MSN : « "Honte aux auteurs de cette souillure" : la classe politique condamne les dégradations du Mont-Valérien » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/honte-aux-auteurs-de-cette-souillure-la-classe-politique-condamne-les-d%C3%A9gradations-du-mont-val%C3%A9rien/ar-AARLIqT?ocid=msedgdhp&pc=U531 ).
   Je cite et commente :
• « Dans la nuit de dimanche à ce lundi 13 décembre, le mémorial du Mont-Valérien a été dégradé par un graffiti "Anti Pass", avec les deux "s" dessinés pour ressembler au sigle SS, ont annoncé les autorités. Selon la police, l’inscription sur le Mémorial de la France combattante fait 50 mètres de long. (…) Cette détérioration a été fermement condamnée par Emmanuel Macron, qui a invoqué en milieu de journée sur Twitter "une insulte à la mémoire de nos héros et à la mémoire de la nation. Souiller ce lieu sacré de la République, c’est porter atteinte à ce qui nous unit. Les auteurs seront retrouvés puis jugés", a commenté le chef de l’Etat. »
--> Je ne suis pas d’accord du tout. Il s’agit d’un lieu commémorant la seconde guerre mondiale, avec 100% de propagande malhonnête antihumaniste xénophobe. Je n’étais pas né et non, ça ne fait en rien partie de ma « mémoire », il s’agit seulement de faits racontés avec force de lavage de cerveau, intoxication, endoctrinement, pour diriger vers l’approbation de cette république avec laquelle je ne suis pas d’accord (je suis anti-frontières). Le camp dont il y a eu des fusillés au Mont Valérien était terroriste, massacrant par le feu les bébés et vieillards à Dresde etc. Non, ce ne sont pas du tout « mes » héros, mais ceux des endoctrineurs malhonnêtes pourris (et enseignants d’Histoire, biaisant le truc, sans signaler que Dresde a été bien pire que Guernica, sans parler d’Hiroshima des chers alliés étasuniens achetant l’approbation française par le plan Marshall).
  Au passage, je signale que l'expression "ce qui nous unit" dans la bouche du président Macron est risible ou scandaleuse, lui qui a puissamment travaillé à désunir les gens, pour que les vaccinés covid détestent les non-vaccinés covid. Ce type est un désunisseur actif, violent, tout le contraire d'un facteur d'union entre les gens. Si le monde était honnête (ce qu'il n'est certes pas), il aurait été destitué (impeached) pour cette horreur accomplie fièrement. (Je rappelle que les non-vaccinés covid ne sont en rien des monstres absurdes mais beaucoup sont des individus logiques comprenant que la science expérimentale ne peut en rien affirmer que ce vaccin prématuré "ne tue pas à 5 ans" avant de l'avoir effectivement constaté comme c'était la règle officielle). Faire haïr les intelligents comprenants, au profit des menteurs et ceux y croyant, c'est atroce, non qu'il ne nous parle pas d'union magnifique, non.
• « "Des dégradations insoutenables ont été réalisées sur le site du Mont-Valérien ce matin. Elles sont une insulte aux mémoires des hommes fusillés en ce lieu et de celles et ceux qui y sont inhumés. Aucune expression totalitaire et obscurantiste n’y aura jamais sa place" a pour sa part réagi le compte officiel des Hauts Lieux de la Mémoire nationale du ministère des Armées en Île-de-France. »
--> C’est faux : la république française, opprimant la liberté d’opinion punie de 2 ans de prison avec la loi Gayssot contre le doute sceptique, est un totalitarisme insultant l’honnêteté intellectuelle. La pluralité prétendue est fausse, puisque réservée aux tribuns (hors de prison donc) approuvant le dogme.
• « Damien Abad, président du groupe LR à l’Assemblée nationale a quant à lui jugé ces graffitis "scandaleux. Les dégradations du Mont-Valérien, haut lieu de la Résistance, ne sont en aucun cas justifiables. Ce site de mémoire et de recueillement en l’honneur de nos morts doit être préservé contre les faussaires de l’Histoire qui combinent indignité et inculture". "Honte aux auteurs de cette ignoble souillure. Voilà où conduit la banalisation du révisionnisme", s’est lui aussi insurgé le candidat communiste Fabien Roussel, rappelant que le Mont-Valérien était pendant l’Occupation un lieu d’exécution de résistants et d’otages (…) La ministre déléguée à la Mémoire et aux Anciens Combattants Geneviève Darrieussecq a annoncé vouloir déposer une plainte. "Dégradations scandaleuses anti-pass du monument de la France combattante au Mont-Valérien cette nuit. Je suis révoltée. Aucune cause ne justifie que l’on touche à ce lieu unique de notre mémoire nationale. C’est impardonnable. Nous déposerons plainte", a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux. »
--> Personnellement, je ne serais jamais allé effectuer ce graffiti, et pas seulement parce que mon cancer m’empêche de marcher. Simplement, je comprends son sens : le président Macron pourchassant violemment les non-vaccinés, sans référendum aucun et sans l’avoir annoncé avant son élection, se comporte en dictateur, armé de sa police dominante écraseuse façon SS. Ce n’est pas pile pareil, effectivement, mais ça va dans le même sens, totalement caché par la propagande. Bref, je comprends le principe du geste commis, même si je ne l’approuve pas en tant qu’acte effectif, poussant la révolte au-delà du débat d’idées.
• « La maire de Paris Anne Hidalgo a pour sa part annoncé s’associer à la plainte déposée par l’Etat. "Je condamne avec la plus grande fermeté les dégradations commises sur le Mont-Valérien. Il est intolérable de profaner la mémoire de celles et ceux qui se sont battus pour notre liberté", a réagi la candidate socialiste. »
--> Certes la socialiste Hidalgo, actuellement à 3% d’intentions de vote présidentiel dans les sondages, fait simple acte de présence parmi les condamneurs sans avoir une voix majeure, mais je suis en désaccord pareillement. Les combattants de 1940-45 ne se battaient pas du tout pour la liberté future (anéantie par la Loi Gayssot de 1990, violée par la punition des non-vaccinés covid en 2021), ils se battaient pour la propagande les intoxicant en affirmant que la France n’avait pas à être conquise quand devaient êtres conquis Madagascar, Algérie, Indochine, etc. C’était de la pure et entière xénophobie haineuse, bannissant l’auto-critique (et compréhension des objections très majeures). Certes la propagande continue 100% plein tube après la décolonisation, mais la sagesse me semble d’en avoir conscience, pas de rajouter une couche encore et encore en matière d’intoxication du peuple lisant les nouvelles, crues objectives quand il y a telle unanimité des politiciens de tous bords. Tous pourris à mon avis, oui.

* Ajout 281, 15/12/2021 (9h) Cas de refus religieux
   Je lis ce jour une nouvelle MSN/TéléLoisirs étonnante : « Viré de la série General Hospital pour avoir refusé de se faire vacciner, Ingo Rademacher attaque la chaîne pour discrimination » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/vir%C3%A9-de-la-s%C3%A9rie-general-hospital-pour-avoir-refus%C3%A9-de-se-faire-vacciner-ingo-rademacher-attaque-la-cha%C3%AEne-pour-discrimination/ar-AARNyaw?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Aux USA, des acteurs refusent la vaccination anti-covid pour raison religieuse, et quand ils sont renvoyés pour non-vacciantion covid, ils portent plainte pour discrimination religieuse. Qu’est-ce que j’en pense ?
   J’ignorais ce cas. Il s’apparente peut-être aux cas de Témoins de Jéhovah refusant transfusion sanguine pour raison religieuse, en se référant à tel passage biblique que les autres croyants (ou croyants prétendus) préfèrent oublier (donc enfreindre discrètement). Cela ne me semble pas un élément très majeur dans la mesure où je ne suis pas croyant, pas obéissant à des trucs dits sacrés, mais je constate que cela confirme le caractère dictatorial des autorités (étasuniennes comme françaises) imposant leur point de vue en punissant toute opinion différente, interdite. Avec bla-bla nullissime sur la Liberté et mensonge sur l’innocuité « scientifiquement » prouvée à 5 ans en moins de 3 ans.

* Ajout 282, 16/12/2021 (9h) Définition de "vaccin"
   Hier à la télévision dans le débat « L’heure des Pros 2 », l’animateur s’est référé en rigolant à la définition de « vaccin » dans le dictionnaire Robert : « substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l’immunité contre une maladie », cela ne correspondant pas aux prétendus vaccins anti-covid19 ne protégeant pas de la contamination et de la transmission. Qu’est-ce que j’en pense ?
– Que la substance employée soit pathogène ne me semble en rien une requête obligatoire : il y a des vaccins à cadavres de virus, qui ne sont plu’ pathogènes du tout, ça ne change rien au principe.
– La définition parle de vaccin parfait théorique et non de vaccin vrai pratique (comme un robinet parfait stoppe tout passage d’eau mais un robinet pratique stoppe en grande majorité l’eau, mais avec goutte résiduelle possible) : bien avant la crise covid, il était célèbre que les vaccins contre la tuberculose et la grippe ne donnaient pas une protection à 100% mais plutôt à 50% ou 80%, jugé bien mieux que 0% sans vaccination mais ne prétendant nullement au 100% idéal (même si la protection annoncée par la propagande « médicale » pouvait le cacher au public, jugé débile crédule à diriger par les « sachants », en fait menteurs).
– De même, l’immunité annoncée n’est pas forcément éternelle, elle peut être de trois mois sans changer le principe, partiellement protecteur.
  Bref, je ne suis pas choqué que ces vaccins covid ne correspondent pas pile à la définition du dictionnaire, le problème ne me semblant pas là. D’ailleurs, que disent d’autres dictionnaires ?
– Larousse : « Substance d'origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l'immunité à l'égard de l'infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l'égard d'autres infections. » Euh, là c’est le caractère « d’origine microbienne » qui est trahi par les prétendus vaccins à ARN messager, chimiques et non issus de cultures virales. Certes, l’origine de la formule est le virus, mais dit-on que la vanilline chimique artificielle est d’origine naturelle puisqu’elle copie la molécule de la Nature (en ôtant tous les dérivés présents dans la vanille naturelle) ? Non. Un article est intéressant sur Internet à ce sujet : https://crioux.wordpress.com/2021/03/07/ce-nest-pas-un-vaccin/ signalant que jouer sur les mots permet une entourloupe légale pour forcer à la vaccination (alors qu’un traitement forcé serait illégal).
– Linternaute : « Substance destinée à être injectée dans le corps et permettant de l'immuniser contre une maladie. » Oui, c’est très relatif, ces histoires de définitions, à exigences partielles finalement facultatives.
   Quoi qu’il en soit : à mon avis, le problème essentiel n’est pas là, l’horreur est d’avoir affirmé « prouvé sans risque (majeur) » ce qui n’a pas encore été examiné sur un temps de moyen terme, 5 ans étant exigé autrefois, officiellement sans discussion. L’avoir caché, et qui plus est au nom de la Science (en foulant au pied le principe même de la science expérimentale), est un mensonge frauduleux, énorme. Affirmer irrationnels ou criminels ceux qui le constatent est une horreur en matière intellectuelle et morale.

* Ajout 283, 17/12/2021 (7h) Sang sur les mains ?
   Ce jour parait une nouvelle MSN/FemmeActuelle frappante : « Covid-19 : “Ces sachants qui ont du sang sur les mains”, le coup de gueule d’Olivier Véran » (https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/covid-19-ces-sachants-qui-ont-du-sang-sur-les-mains-le-coup-de-gueule-d-olivier-v%C3%A9ran/ar-AARTbHb?ocid=msedgntp ). Je cite et commente :
• « Le Ministre des Solidarités et de la Santé de France a poussé un nouveau coup de gueule contre ceux qui s'opposent à la vaccination. (…) en a profité pour adresser un message aux Français et Françaises qui ne sont pas encore vaccinés. "Ne pas se vacciner, c'est prendre un risque pour soi-même et pour les autres qui n'est absolument plus justifiable", a-t-il lâché. »
--> Si, c’est entièrement justifiable, de par la faute commise par les autorités affirmant l’innocuité de ce vaccin (à 5 ans, classiquement) sans en avoir en rien la preuve expérimentale, avec mensonge total affirmant « risque connu, négligeable ». Avoir fait vacciner, c’est avoir pris un risque aussi, partiellement justifiable aussi, ni plus ni moins (plutôt moins compte tenu du principe de précaution). Avoir menti sur le risque pris avec cette vaccination prématurée n’est pas du tout justifiable, là est l’horreur n°1, le ministre trompe pour cacher ses fautes lourdes, il ment.
• « La solution serait-elle de mettre une amende à celles et ceux qui refusent de se faire vacciner ? Selon Olivier Véran, ce n'est pas la solution. "Convaincre ces gens-là en leur mettant une amende, je ne suis pas convaincu. S'il suffisait de mettre une amende de 100 euros aux Français qui jusqu'ici refusent contre toutes les évidences de se faire vacciner...", a expliqué celui qui veut lutter contre la désinformation massive via les réseaux sociaux. "Il y a ceux qui sont censés être des sachants et qui répandent de la fausse information. Ceux-là doivent payer pour ça, car ils ont du sang sur les mains. Les gens qui disent impunément des éléments qui incitent les Français à ne pas se faire vacciner ont une culpabilité particulière et puis, il y a des gens qui sont fragiles" (…) »
--> Si le vaccin s’avère tueur (par exemple à 100% par exemple 4 ans après première injection), ce seront les vaccineurs qui auront commis un génocide, qui auront davantage que des citernes entières de sang (pas de simples gouttes) sur les mains, et le principe de précaution devrait obliger à prendre en compte cette hypothèse, rédhibitoire pour la vaccination « en avance » sur la démonstration d’innocuité éventuelle. Telle est la principale évidence, cachée, négationnée. Mais les vaccineurs ne seront pas déclarés coupables et ne paieront pas car ils ont le pouvoir, dominent, abusent du pouvoir. Là me semble la culpabilité principale. Je rappelle ce que j’ai appris lors de ma formation universitaire 1981-84 : depuis le drame thalidomide, une étude d’innocuité ne peut plu’ être bâclée, affirmée probante « au jugé » sans expérience pratique démonstrative. Développer un nouveau remède prend depuis lors 10 ans, 5 ans sur animaux puis (si innocuité) 5 ans sur humains, avec refus si non-innocuité à 5 ans. J’ai vu dans ma vie professionnelle cela s’accomplir de manière éclatante : un nouvel antibiotique floxacine (quinolone fluorée) était très prometteur in vitro, et nous travaillions dessus activement, mais tout a été arrêté le jour où il est apparu que ce médicament rendait aveugles les humains (comme aucune autre floxacine, famille qu’on croyait bien connue, mais le constat expérimental faisait rejeter cette molécule-là, sans qu’ait le moindre sens ou crédibilité les « modélisateurs » ayant clamé : « d’après nos modèles scientifiques, il n’y a aucune raison d’envisager un problème »). La science expérimentale c’est le primat de l’expérience, alors que croire les modèles hypothétiques pas encore testés (même énoncés par des scientifiques à titre d’hypothèses, ou énoncés par des scientistes à titre de certitudes) ne vaut rien, rien de rien. Et c’est criminel, peut-être tueur (couvert de sang en cas de létalité) quand c’est dénié pour prescrire prématurément, en faisant fortune ce qui n’est pas forcément une coïncidence.
• « Je vois le niveau de montée des hôpitaux et je discute avec chirurgiens qui s'apprêtent à annuler de la chirurgie programmée pour des patients qui n'ont rien demandé pour prendre en charge en réanimation des patients qui ont refusé de se faire vacciner et qui considèrent que le Covid n'existe pas", a-t-il conclu, visiblement très énervé. »
--> Je ne dis pas que covid19 n’existe pas, je n’en sais rien, mais je constate une foule de mensonges rendant le truc très très suspect. Ainsi est faux le décompte quotidien de nouveaux cas covid19 : covid19 est le nom de la maladie dite provoquée par le virus sars-cov-2, quiconque est positif au sars-cov-2 mais asymptomatique n’est en rien un « cas de cette maladie », mais un « positif à ce test ». Le mensonge est systématique, injustifiable si ce n’est pour servir une volonté d’affoler les gens crus stupides, ce que je ne suis pas personnellement, désolé (contrairement aux journalistes unanimes, semble-t-il). Pareil pour le nombre de cas covid19 en réanimation ou décédés : il s’agit des malades en réanimation ou décédés qui sont positifs au test sars-cov-2, sans qu’ait en rien été établi que c’est la maladie covid19 qui a provoqué cela. Sars-cov-2 est souvent (peut-être toujours) asymptomatique et l’établissement de preuve cause-effet pour chaque cas (type décès) demanderait des enquêtes immenses qui ne sont pas pratiquées. La décision administrative d’affoler les gens prime. Avec criminalisation des gens décelant la fraude, c’est atroce. Pareil pour la preuve ultime que le vaccin est efficace : « 90% des malades en réanimation sont non-vaccinés covid » ; là il y a deux fautes complémentaires. Pour être convainquant, même à tort, il est oublié de préciser que cela est spécifique à la petite sous-population des hospitalisés qui sont positifs sars-cov-2. Il n’y a nullement 90% de non-vaccinés covid si on compte les accidentés de la route, les cancéreux en phase terminale, les AVC, les infarctus, etc. Mais chut, on se centre sur un tout petit morceau sans le dire, ça affole bien plus efficacement, ça se prétend probant avec davantage de poids même si c'est faux (le public est estimé stupide crédule, et ça marche presque systématiquement). Au mépris de l’honnêteté intellectuelle. Second volet : même si, parmi les positifs sars-cov-2 en réanimation, 90% sont non-vaccinés, cela ne prouve en rien que le vaccin est très efficace à prévenir ce passage en réanimation : en effet, si la vaccination réduit la probabilité de résultat positif au test in vitro sars-cov-2 parmi les contaminés par ce virus (« en vrai »), la plupart des vaccinés contaminés sars-cov-2 en réanimation seront comptés « non covid19 » (faux négatifs au test, comptés vrais négatifs au test), donc exclus des chiffrages, ce qui est une totale faute méthodologique. Le résultat du test ne fait pas foi tant que celui-ci n'a pas été validé, et cette validation n'est jamais montrée, considérée acquise par principe ce qui est faux, faute lourde voire faute majeure du diagnostic in vitro incompris (domaine qui était mon métier, ma compétence spécifique, avec plus de 30 ans d'expérience scientifique de ce domaine). Il suffit de ne pas l’envisager pour hurler avec colère avoir raison, c’est très lamentable. Et accusateur à tort envers les lucides, c’est immonde. Accuser autrui d’avoir du sang sur les mains quand on a de la merde plein les yeux (et le cœur), c’est injuste, pour le moins.

* Ajout 284, 17/12/2021 bis (19h) Témoignage dit « preuve »
   J’avais vu hier à la télévision un témoignage de malade en réanimation, non vacciné covid, disant qu’il regrettait de ne pas s’être fait vacciner et il appelait tout le monde à se faire vacciner. J’ai pensé qu’il n’avait rien compris, mais libre à lui de croire cela, de militer ainsi. Aujourd’hui ce témoignage a été discuté sur chaine C-News, l’animateur y voyant une preuve du besoin clair de se faire vacciner. L'écrivaine Gabrielle Cluzel n’était pas d’accord, disant que puisque des non-vaccinés sont aussi en réanimation, en nombre, cet individu n’est nullement en droit d’affirmer que s’il avait été vacciné, il ne serait pas allé en réanimation, il n’est pas logique.
   L’animateur ne voulait rien savoir, mais moi je donne raison à la dame, là. Qui plus est, avec mon hypothèse que la vaccination réduit la positivation au test sars-cov-2, j’ai un autre argument, semi-quantitatif :
- Etant non-vacciné et touché par une forme virulente de sars-cov-2, il avait quelque chose comme une probabilité 20% d’entrer en réanimation
- S’il avait été vacciné, il serait vtraisemblablement sorti sars-cov-2 négatif après infection (faux négatif), et donc il aurait été en réanimation mais sans que cela soit dit « dû à covid », donc non-compté « en réanimation » (sous-entendu "parmi les sars-cov2 positifs"), et donc il aurait été tout autant malade grave mais sans avouer que le vaccin n'a protégé en rien (les questions de faux négatifs sont pour spécialistes esentiellement, guère pour le grand public).
- S’il avait été vacciné, il aurait pu sortir comme un petit nombre sars-cov-2 positif après infection, et s’il avait été en réanimation puisqu’avec virus virulent, il n’aurait rien eu à dire sur l’efficacité de la vaccination à prévenir la réanimation.
   Ce n’est pas du chiffrage documenté prouvé, c’est une affaire de principe. Ce qui est affirmé probant ne l’est pas du tout. Il y a plein de raccourcis dans le pseudo-raisonnement oubliant les objections possibles. Ça ne vaut rien en débat contradictoire, ça ne marche qu’en mode propagande auprès de crédules croyants.

* Ajout 285, 17/12/2021 ter (20h) Grande décision en haut lieu
   Tout à l’heure, le premier ministre a annoncé remplacer le pass sanitaire par le pass vaccinal, interdisant le pass aux non-vaccinés qui seraient testés négatifs (à leurs frais). Donc, quand je n’étais pas vacciné, je n’aurais pas pu aller passer le scanner de surveillance de mon cancer, pouvant redémarrer et me tuer sans traitement, sauf à me faire vacciner. Je classe ça en mise en danger de la vie d’autrui, persécutant pour délit d’opinion, osant comprendre le principe de précaution sans croire les mensonges gouvernementaux (sur l’innocuité du vaccin « scientifiquement » prouvée). Outch !
   (Autre chose : j’imagine que les non-vaccinés contaminés guéris, qui recevaient le pass sanitaire du fait de leur immunité naturelle, ne seront pas comptabilisés « non-vaccinés » mais sera appliquée la loi « contamination = double-vaccination ». Sinon, ce serait du racket pour pousser à bouffer/acheter du vaccin même ne servant à rien : ce serait une faute trop criante. A confirmer.)

* Ajout 286, 18/12/21 (12h) "Vouloir"...
   Le ministre de la santé s’exprime ce matin en clair « Nous voulons que les Français se fassent vacciner ! » (source : informations télévisées sur chaîne LCI). Oui, mais les non-vaccinés « veulent » qu’on leur foute la paix. Pourquoi certains imposeraient leur « volonté » aux autres ? Ben, c’est les dominants (faux représentants trahisseurs de référendum) qui décident, qui imposent, qui écrasent, c’est très précisément le principe de la dictature. Honte à ces gouvernants, menteurs se claironnant démocrates libéraux, débilement.
   Ces idiots répondront certes que c’est faux : leur objectivité incontestable vient du besoin de sauver les gens. Mais non : en mentant sur l’innocuité à 5 ans (nullement prouvée, même pas encore testée), ils prennent le risque de tuer les gens, en nombre immensément plus grand que le virus, et ils mentent pour le cacher. Honte à ces mauvaises gens.

* Ajout 287, 18/12/2021 bis (19h) Mauvais ministre encore
   Je lis ce soir une nouvelle MSN/Gala qui me gêne : « Olivier Véran l’avoue : "Le pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale” » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/olivier-v%C3%A9ran-l-avoue-le-pass-vaccinal-est-une-forme-d%C3%A9guis%C3%A9e-d-obligation-vaccinale/ar-AARWC9p?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « (…) Olivier Véran a avoué que "le pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale". (…) "empêcher les gens d'aller dans des bars, des restaurants, des lieux qui reçoivent du public s'ils ne sont pas vaccinés est plus efficace que de leur mettre une amende de 100 euros quand on les attrape dans la rue." »
--> Je rappelle que ce ne sont pas du tout que les loisirs frivoles dont sont privés les non-vaccinés, c’est aussi et gravement l’accès à certains hôpitaux (comme celui de ma région), au risque de tuer les patients en surveillance périodique, pour détection de reprise cancéreuse avant qu'il ne soit trop tard. Oui, mise en danger de la vie d’autrui, c’est l’accusation que les dirigeants méritent bien davantage que les non-vaccinés ne faisant qu’être prudents face à un risque vaccinal inconnu, caché menteusement, très mal, très stupidement.
• « Selon lui, "l'idée n'est pas de punir, de sanctionner, d'ostraciser." »
--> Même si le but final n’est pas de punir et sanctionner, le moyen employé est de punir et sanctionner, c’est aussi moche et grave, vis-à-vis d’innocents davantage lucides que les autorités menteuses (ou/et imbéciles), en matière d’innocuité à 5 ans de ces vaccins inconnus.
• « Olivier Véran parle sans détour de son souhait : éviter un engorgement des hôpitaux. »
--> « Mon souhait » à moi serait d’enfermer en prison tous ces vaccineurs-forceurs, criminels par « mise en danger de la vie d’autrui ». Leur circonstance atténuante (libératoire) serait leur immense stupidité, mais plu’ jamais ils ne pourraient prétendre à la moindre crédibilité, au moindre sens moral. Déchéance sociale à perpétuité, paf, méritée.
• « "L'idée est de dire : maintenant on n'a plus le choix. On n’hésite plus parce qu’on ne peut plus remplir nos hôpitaux, on ne peut plus vivre comme ça, sous la menace d’une vague épidémique parce que cinq millions de Français font le choix de ne pas se protéger", conclut-il (…). »
--> Moi je dirais qu’on ne peut pas vivre « comme ça », forçant les gens à se vacciner au risque de les tuer si le vaccin s’avère tueur, ce qui n’est en rien impossible, puisque les protocoles de précaution officiels, habituels, ont été trahis, en mentant pour affirmer un « zéro risque scientifiquement prouvé », en mentant pour cacher que le principe de précaution apporterait théoriquement, automatiquement, un véto à cette vaccination prématurée.
   Il y a deux risques : le virus et le vaccin, se protéger du virus par vaccination ce n’est pas se protéger de tout risque mortel mais choisir l’un plutôt que l’autre ; refuser la vaccination n’est pas du tout refuser de se protéger mais se protéger du vaccin plutôt que du virus. Clamer en la matière un truc partisan univoque criminalisant l’autre est simplement idiot, nul en débat contradictoire, qui serait intelligent et honnête (deux qualités dont ce ministre semble totalement dépourvu).

* Ajout 288, 19/12/21 (02h) Charge de la preuve
   A la réflexion (nocturne), j’ai peut-être identifié la source de la malhonnêteté ambiante, concernant covid et son vaccin : un renversement (discret) dans la « charge de la preuve ».
   Le phénomène est le suivant, dans un domaine bien plus célèbre : les viols pédophiles (voire : les viols de femmes par célébrités). Autrefois, tout accusé était présumé innocent, jusqu’à ce que soit démontré sa culpabilité, mais après décision arbitraire des législateurs, cela est inversé : tout accusé est présumé coupable, jusqu’à ce qu’il prouve son innocence. Bref, s’il y avait doute, l’accusé était innocenté, maintenant : s’il y a doute, l’accusé est condamné. Comme sont condamnés les gens trouvant honteux ce renversement de principe, discret mais majeur, ruinant la présomption d’innocence.
   En matière de chimie/pharmacie, remèdes, autrefois un nouveau produit était considéré posséder l’innocuité, sa dangerosité étant à prouver (dans le doute, il était accepté, utilisé, vendu). Puis avec le scandale thalidomide (1962, avant ma naissance), de cosmétique ayant rendu des dizaines de milliers de bébés : handicapés, la loi a basculé dans le sens du principe de précaution. Tout nouveau produit est a priori jugé dangereux toxique jusqu’à ce qu’il ait fait preuve de son innocuité, ce qui est très long très cher, prenant 10 ans. MAIS, hop (sans le faire remarquer) arrivent les vaccins anti-covid en 2021, et sans du tout attendre ces 10 ans, ils sont affirmés sans danger, avec complète innocuité (à minuscule petit truc près, éventuellement, négligeable), avant même que le test d’innocuité à 5 ans sur humains soit intervenu. Cela ruine le principe de précaution, le viole explicitement, sans le dire ou en jurant le contraire. Il est affirmé que, puisque ce remède combat un risque, son risque à lui est à oublier. « Il n’y a pas de raison de penser qu’il est toxique » (la charge de la preuve appartient à ceux affirmant dangerosité et non plu’ à ceux affirmant innocuité, bien contents de faire fortune sans cette charge colossale), c’est ce qui a fait vendre la thalidomide, c’est reconnu depuis plus d’un demi-siècle un crime pseudo-scientifique majeur, mais il suffit de criminaliser les gens réticents à la vaccination, en criant très fort, avec punitions légales effectives, et hop : c’est gobé. Apparemment (jusqu’ici).
   Je pense que c’est une revanche des littéraires illogiques, autrefois jugés mauvais au lycée (années 1960-70-80), et qui s’éclatent en prétendant que « tout n’est que des mots » (comme répétait je crois une personne que je connais). Sans percevoir les contradictions et abus de pouvoir éhontés. Ce n’est pas rien : cela peut faire six milliards de morts (humains tués) si ces vaccins s’avèrent tueurs. Le bla-bla autosatisfait a des limites. La persécution des logiciens me parait potentiellement le plus grand crime de l’histoire de l’humanité (avec ce génocide potentiel immense).

* Ajout 289, 20/12/21 (20h) « Explication » disent-ils
  Aujourd’hui sur chaine télévisée C-News, il était regretté que les Français (autorités, opposition, chercheurs) ne se préoccupent pas d’analyser les motivations des non-vaccinés covid, mais que seuls des chercheurs (psychologues) anglosaxons et allemands ont publié sur le sujet. Conclusions citées :
– Système des 5C : confiance, contentement, calcul, contrainte, collectif.
– Biais cognitifs irrationnels : pessimisme, optimisme.
  Qu’est-ce que j’en pense ?
  Ces psychologues sont des escrocs, oubliant les raisons rationnelles de contester ces vaccins prématurés, en parachutant l’affirmation que c’est forcément une erreur à expliquer. Ce sont eux qui sont dans l’erreur, alliés aux autorités écraseuses, étouffant les objections logiques et scientifiques.
  Autrement dit : des faux scientifiques à l’esprit biaisé prétendent identifier les biais chez leurs contradicteurs, sans imaginer la réciproque, c’est une faute de pensée.
  Enfin, je note que ces immenses champions vaccinés de l’intérêt collectif, pourfendeurs du sale égoïsme des non-vaccinés, peuvent faire 6 milliards de tués par le vaccin s’il s’avère tueur. Magnifique exemple d’intérêt collectif ? De qui se moque-t-on ?
  Pour reprendre le sujet autrement : ces chercheurs se sont dit "toutes les évidences sont 100,00% en faveur de la vaccination, or plein de gens sont contre la vaccination, alors quelles sont les logiques maladives qui peuvent expliquer cette aberration irrationnelle ?". Il s'agit de prémices erronées, conduisant à une question fausse, des réponses fausses. Les évidences ne sont qu'à 50% (ou 10%) en faveur de cette vaccination, cela suffit entièrement à expliquer la résistance, argumentée. Aucun besoin de bla-bla imaginatif de type psychologue.

* Ajout 290, 21/12/21 (13h) Affreux encore
  Dans un débat sur télé C-News, un journaliste a dit que les non-vaccinés choisissaient de mettre en danger la vie des autres, méritant donc les plus sévères sanctions. Je trouve ça très horrible : les vaccinés sont contaminateurs aussi, les non-vaccinés ne mettent donc pas spécialement en danger autrui, surtout autrui vacciné (prétendu « protégé » par les autorités), ça me semble seulement exprimer un avis de haine discriminatoire, s’étant trouvé boucs émissaires. C’est horrible. Et injuste, faux. Que les accepteurs de vaccination prennent s’ils le veulent le risque d’être tués par ce vaccin (pas encore montré « non-tueur »), libres à eux, mais quand ils insultent et persécutent les lucides prudents, cela devient atroce. Et organisé par les autorités persécuteuses (et leur fausse opposition), c’est à désespérer de tout, ou presque. Avoir choisi de vacciner la population, par vaccin prématuré n’ayant pas du tout montré son innocuité, c’est là que se situe la principale mise en danger de la vie d’autrui, cachée, en étouffant les voix le signalant. Les donneurs de leçon gouvernementale (et alliés zélés) sont insupportables.

* Ajout 291, 23/12/21 (07h) Cauchemar nocturne
– (Procureur) Mais ! Comment pouvez-vous être anti-vax alors que c’est totalement irrationnel !
– (moi) je suis vacciné contre tuberculose, tetanos…
– Mais non ! On parle de la covid !!!
– rationnellement, ce vaccin là n’aurait pas dû être mis sur le marché avant d’avoir prouvé son innocuité…
– Mais c’est fait ! C’est archi-prouvé ! Sur des milliards de patients !
– pas sur les effets à moyen terme, depuis la jurisprudence thalidomide il fallait cinq ans de données humaines pour prouver une innocuité, là ça n’a pas été respecté, sans le dire, en trompant des milliards de gens, leur certifiant à tort qu’il n’y avait pas de risque…
– Refuser de se vacciner, ou même : exprimer de l’hostilité envers ce vaccin sauveur, c’est tuer ! Monstre !
– la première « mise en danger de la vie d’autrui », c’était de vacciner, forcer à la vaccination, avec un vaccin peut-être tueur…
– Vous osez affirmer que ce vaccin est tueur ?!
– on n’en sait rien pour le moment. On le saura bien plus tard. Répondre « pas besoin de vérification » à la case « pouvoir cancérigène » du dossier de validation, c’est une faute énorme, une mise en danger oui.
– N’importe quoi ! Les scientifiques du monde entier le certifient !
– non, les études scientifiques diplôment des réciteurs pas lucides, nuls en épistémologie (philosophie des sciences). En général ce sont des scientistes, et le scientisme est non-scientifique…
– Ben non ! Scientiste est un anglicisme qui veut dire scientifique !
– si vous êtes incompétent, c’est pas de ma faute…
– Cette odieuse diffamation sera poursuivie séparément ! Mais revenons à notre sujet ! Tous les modèles certifient qu’il n’y a aucun risque !
– en sciences, les modèles sont des hypothèses douteuses, jusqu’à leur éventuelle confirmation expérimentale…
– Mais non ! C’est La connaissance scientifique !
– « connaissance scientifique » est une contradiction, la science ne propose que des théories éternellement en instance de réfutation expérimentale…
– Au contraire ! C’est Le vrai, éternellement vrai !
– erreur de jugement, d’analyse, tant pis pour vous, mais ne pourchassez pas les gens lucides…
– Quoi qu’il en soit ! Ainsi en ont décidé les autorités ÉLUES ! Piquouze ! Les représentants du peuple ! Paf, dans ta sale gueule !
– faux représentants du peuple, trahisseurs de référendum, interdisant le pouvoir au peuple (le référendum d’initiative populaire)…
– Mais c’est la démocratie-même !
– non, c’est la république, anti-démocratique…
– La république est une démocratie, la meilleure, la seule en pratique !
– non, c’est un mensonge, anti-démocratique se prétendant démocratique ; une aristocratie de menteurs parvenant à tromper des crédules naïfs, quelques-uns, davantage que les autres menteurs.
– Présentez-vous alors ! Et aucune chance, c’est la preuve que vous dites n’importe quoi !
– non, dans un monde guidé par la publicité, la candidature est réservée aux milliardaires ou escrocs corrompus, et le système est bétonné en requérant d’être approuvé par lui-même (parrainages), ça vaut pas, l’honnêteté est ailleurs…
– Vous n'avez pas eu de cours d'instruction civique ? Vos instits n'ont pas eu le temps ? Vous êtes handicapé en retard mental de ce côté ?
– j'ai subi cet endoctrinement laveur de cerveaux, mais j'ai résisté à pareil abrutissement approbateur, désolé.
– Etes-vous un de ces sombres idiots classant notre louable président en dictateur ?!
– oui, dictateur, imposant ses dictats sans demander l’avis du peuple…
– Imbécile ! Vas voir en Corée du Nord ce que ça veut dire, « dictature » !
– je n’ai pas dit qu’il était champion du monde en dictature, simplement qu’il était dictateur antidémocrate.
– Il n’a en rien annulé les élections ! Et paf dans ta gueule, p’tit con !
– un dictateur temporaire reste un dictateur quand même.
– Tu sais ce que ça veut dire, au moins, dictature ?
– gouvernement autoritaire refusant l’opposition, avec par exemple gouvernement par ordonnances, conseils de défense secrets, vote parlementaire pour donner les pleins pouvoirs à l’exécutif sans opposition, on y est, oui.
– Ben non ! Tu dis n’importe quoi ! Hop je requière vingt-trois ans de prison ! Avec doublement en cas de non-abjuration à la sortie ! Promenade mensuelle autorisée sous surveillance par drone de bombardement mitrailleur ! Vive la République, vive le vaccin anti-covid, vive mes actions cotées sur le marché pharmaceutique !

* Ajout 292, 03/01/2022 (14h) Réponse à un parent scientifique biologiste
   A propos de mes traitements anti-cancéreux et de ma réfutation de la logique scientifique, on m’écrit « : Il faut reconnaître que les progrès en médecine sont au rendez-vous et qu'on doit ces performances à plusieurs disciplines purement scientifiques !! ».
   J’ai répondu : La médecine, qui se prétend scientifique (donc prétend aux scientistes dire La Vérité indéniable) depuis deux ans à propos de la crise covid, n'est en fait pas scientifique mais reconnait être un art, de par ses échecs en prévision et sa volonté de ne pas être astreinte à l'obligation de résultats. Si tu ne le comprends pas, je te laisse à tes idées qui me semblent fausses.
   Je pourrais ajouter que la médecine ne fonctionne absolument pas comme une science, celle-ci par principe cherchant des lois de la Nature partout valables éternellement, il s’agit plutôt d’une technique, tâtonnant en pratique et clamant « savoir » par erreur de généralisation abusive, induction (avec ou sans statistiques, oubliant qu’on ne sait jamais si un échantillon est représentatif de la population pas examinée en totalité).

* Ajout 293, 03/01/2022 bis (16h) Avis discordant intéressant
   Ce matin sur chaine télévisée C-News, j’ai entendu l’intervention (sous les reproches scandalisés) d’un spécialiste intéressant : Pr Claverie, disant « le vaccin n’est pas une arme ». Entre autres choses, il insistait sur le fait que le pass vaccinal est insensé puisque être vacciné n’empêche en rien d’être contaminé et contaminant, pas mieux que les persécutés n’ayant pas ce pass sanitaire. Moi il m’a convaincu (ou plutôt : confirmé dans mon analyse), merci à cette émission de lui avoir donné la parole (même s’il lui manquait mon argument clé pour démentir qu’est prouvée la prévention des formes graves par le vaccin anticovid : les chiffres cités sont mensongers, ne parlant absolument pas des cas en réanimation totaux mais uniquement la sous-population positive au test sars-cov-2, or si la vaccination accroît le ,ombre de faux négatifs sars-cov-2, on aurait ce tableau sans aucune protection de vaccin contre les formes graves, seulement classées à tort « non-covid »).
   Cette après-midi, j’entends un médecin généraliste dire que la vérité d’hier n’est pas la vérité d’aujourd’hui, sans recevoir la moindre contradiction. Je suis scandalisé : le propos d’aujourd’hui montre qu’était faux le propos d’hier et totalement usurpée sa prétention à la vérité. (Même si l’avis actuel n’est pas davantage une vérité mais risque d’être prouvé faux dans le futur). Mais non, l’illogisme domine, avec persécution des objecteurs argumentés logiques, c’est atroce.

* Ajout 294, 04/01/2022 (21h) Le mensonge revient
   Je disais plus haut que le nouveau vocable n’était plu’ « causé par covid19 » mais « lié à covid19 », et je disais que c’était bien davantage honnête. Mais je vois ce jour à la télévision une nouvelle annonce : « Aujourd’hui, 3.665 personnes sont hospitalisées en réanimation pour cause de covid19 ». Je suis persuadé que c’est totalement faux, abusif comme affirmation : peut-être que 3.665 sont positifs au test sars-cov-2, mais pas un seul n’a été prouvé « très malade pour la seule et unique raison de l’effet covid19 de sars-cov2 ». Le clamer sans aucune analyse contradictoire est de la pure propagande, du bla-bla en rien crédible. On retombe très bas en matière d’honnêteté intellectuelle, d’éthique scientifique, le mensonge règne, servant la propagande de la dictature vaccineuse.
   J’ai par ailleurs entendu la journaliste Charlotte d’Ornellas dire un point intelligent : puisque la vaccination anti-covid n’est pas obligatoire, il est illégal de persécuter comme coupables les non-vaccinés (insultes des dirigeants parlant d’irresponsables criminels tueurs, en plus des interdictions multiples ôtant les libertés habituelles comme l’accès à de nombreux hôpitaux pour scanners ou IRM).

* Ajout 295, 05/01/2022 (12h) Président incroyable de haine active
  Le président Emmanuel Macron vient de déclarer au journal Le Parisien : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire jusqu’au bout, c’est ça la stratégie. »
  Cela foule au pied, pisse dessus, son slogan de campagne il y a 5 ans pour être élu : « Je veux rassembler les Français », alors qu’il est hyperactif pour le contraire, volontairement, en l’assumant. C’est un très sale type, menteur et haineux, persécuteur, dictateur brutal. Certains disent qu’il dit ce que 90% de vaccinés pensent des 10% de non-vaccinés, mais c’est très faux. 90% de vaccinés ne sont absolument pas 90% favorables à la vaccination forcée et allant voter Macron, pas du tout. Plein de gens ont cédé à la peur des menaces gouvernementales dictatoriales, ce n’est en rien une adhésion. Moi-même je suis vacciné, ayant cédé aux affirmations en rien prouvées de la cancérologue, gouvernant par la peur (ce qui est immensément contestable) et admettant que le contexte est un mensonge général sur le risque du vaccin à 5 ans.
   Macron avait dit juste avant : « Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je suis un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. ». Hein ? Va-t-il y avoir déchéance de nationalité pour les conducteurs ivres ? non, seulement pour la non-vaccination covid ? Suppression du droit de vote ? Et pour les non-vaccinés ne violant pas la loi, c’est hallucinant. Par ailleurs, réserver le droit de vote aux approbateurs du président semble pire que les plus féroces dictatures, simplement moins menteuses.
   Nicolas Dupont Aignan, interviewé, dit que cela désigne affreusement « les mauvais français », pris en « boucs-émissaires » injustement, de manière assumée, volontariste. Je lui donne raison, même si je ne suis pas nationaliste comme lui.
   Le Pr Raoult, montré en vidéo, explique aussi que l’obligation vaccinale, sans justificatif scientifique, ressemble aux commandements religieux, et excessifs du 20e siècle (nazisme, stalinisme ?). Les commentateurs macronistes crient au scandale en voulant le censurer, moi je trouve qu’il est convaincant, et que Macron est semi-dictatorial, effectivement.
   Dans l’émission débat Morandini Live a été émise une autre objection intéressante aux propos présidentiels : quand quelqu’un vous dit « je t’emmerde ! », la réponse normale n’est pas du tout « oh, honte sur moi, je vais suivre tes conseils maintenant », mais vient plus assurément la réponse du tac au tac en légitime défense : « éh, moi aussi je t’emmerde ! ». c’est pire que nul en force de conviction, de persuasion, c’est de la haine pure, appelant haine en face, possible guerre civile (avec probable écrasement atroce de minorité).
  J’ajouterais un mot sur le rappel systématique, hystérique, à la responsabilité : avoir donné l’autorisation à un remède dont on ignore totalement s’il tue ou non tout le monde 5 ans après, c’est immensément irresponsable, surtout en court-circuitant (en le cachant) toutes les pratiques officielles de précaution, datant de la crise thalidomide 1962, immensément même avant la sacralisation du principe de précaution. Ces super-irresponsables fièrement aveugles, appelant savoir leurs croyances, sont le plus grave problème en ce pays et ailleurs. En tout cas ici, à mon avis, le grand-chef Macron mérite de se voir déchu de sa citoyenneté, destitué de ses titres officiels de « responsabilité », trahis au-delà du raisonnable, et mis en prison pour mise en danger de la vie de dizaines de millions de gens. En attendant le procès, ce devrait être la prison avec blocage de ses possibilités de fuite en tant que très riche puissant. Au pain sec et à l’eau, en cellule, hop, avec codétenus violeurs homosexuels comme c'est l'usage parait-il. Ce serait l’emmerder ? Oui, c’est assez légitime : retour de bâton, simplement, là serait la stratégie juste, honnête., à mon avis.

* Ajout 296, 05/01/2022 bis (17h) Scandales bis et ter
   Les membres du gouvernement Jean Castex et Gabriel Attal rivalisent de surenchère pour « justifier » les projets persécuteurs du président envers les non-vaccinés, L’un a dit que les non-vaccinés sont ceux qui emmerdent tous les français, l’autre a dit que les non-vaccinés outragent et fracturent la nation ! Quoi ?! En quoi ma femme non vaccinée emmerde-t-elle les vaccinés (et non vacinés) ? En quoi fracture-t-elle la Nation ? Cela mérite plainte pour dénonciation calomnieuse, dégueulis verbal insultant sans argument. Ces prétendus « responsables » sont les vrais irresponsables, menteurs, agitant leur haine de qui a une opinion différente de la leur. Tout cela au nom de la France championne du monde de la liberté d’opinion, c’est abominable de malhonnêteté intellectuelle.
   Enfin, ma femme n'a pas été malade covid mais même parmi la plupart des malades covid19 non-vaccinés, comme les journalistes Charlotte d'Ornellas (35 ans) et Ivan Rioufol (69 ans), la plupart semble avoir été un peu malade restant chez eux et puis ils ont guéri sans faire aucun mal à qui que ce soit. La généralisation de culpabilité à tous les non-vaccinés est donc une injustice totale.
   Et puis les non-vaccinés non-positifs sars-cov-2 sont bien moins dangereux que les vaccinés positifs sars-cov-2, la question de la vaccination n’a rigoureusement rien à voir avec la dangerosité, et avec les contraintes imposées par le gouvernement pour limiter cette dangerosité. Les décideurs sont très stupides et/ou très menteurs, affreux. Et donneurs de leçons, abominables.
   Mais « ces gens-là » ne sont pas poursuivables, puisqu’étant les dominants, à la tête de la force « publique », de la prétendue « justice », écrivant les lois à leur profit aux dépens du peuple, étouffé légalement. Politiciens : tous pourris (ou 99,9% si contrexemple convaincant méconnu).
   Je repense aussi aux mots de Macron « j’ai très envie d’emmerder les non-vaccinés ». Ça me rappelle le sale gosse disant « j’ai très envie de voler le jouet du fils des voisins » ou l’affreux satyre disant « j’ai très envie de violer la jeune fille du bas de la rue », normalement ça mérite une tape sur la figure en disant « éh, ces envies sont mauvaises, contrôle-toi, réfléchis avant d’agir », mais non : pour l’enfant-roi Macron gouvernant police armée et « justice », ces envies mauvaises sont exécutoires, c’est simplement atroce, d’immoralité.

* Ajout 297, 06/01/2022 (10h) Mensonges honteux encore
   Propos de Gabriel Attal hier, porte-parole du gouvernement : « Qui emmerde qui ? (…) Qui gâche la vie de nos personnes âgées, ? qui vivent dans la peur de cette pandémie. Ce sont les non-vaccinés ! »
  C’est archi-faux, accusation mensongère ! Les vaccinés sont aussi contaminants que les non-vaccinés ! (même si le taux de contamination peut varier de quelques % quantitativement, qualitativement il n’y a aucune différence). Honte à ce gouvernement ! Cela mérite plainte et prison, mais non, ce grand menteur et ses nombreux complices sont au pouvoir, c’est eux qui punissent et emprisonnent. Honte à ce système politique (républicain anti-démocrate, aristocrate populophobe, dictateur temporaire).
  Pour en revenir au mot de ce que disait le président : « Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je suis un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. » Je juge que c’est à relire avec Je = Macron, à la place de Je = non-vacciné. Alors… Macron utilise sa liberté de président pour menacer la liberté des autres de refuser un vaccin à létalité inconnue à 5 ans, il est donc irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen, dit-il. Donc le président est déchu de sa citoyenneté, destitué, immédiatement. C’est lui-même qui clame cela logique et raisonnable. Paf ! Bien sûr, ce n'était en rien son propos, entièrement mensonger, injuste, appliquant l'égoïsme tonitruant "faites ce que je dis, pas ce que je fais !". Cela aussi mérite destitution honteuse, voire mise en examen et emprisonnement de ses soutiens complices. Mais non, la justice est injustice au service du pouvoir, comme dans l'ancien régime (tant 2016 que 1788).

* Ajout 298, 06/01/2022 bis (16h) Autre objection
   Entendu sur chaîne C-News : Nicolas Corato, président d’un Think Tank, fait remarquer que des jeunes mineurs dont les deux parents refusent la vaccination, seront punis (privation de loisirs et transports, etc.) alors qu’eux n’ont rien fait de mal ou contestable, c’est une injustice caractérisée. Prise en otages. D’autres disent que cela génère des jeunes culpabilisés, apeurés, à vie potentiellement ruinée.

* Ajout 299, 06/01/2022 ter (19h) Pr Raoult intéressant
   J’ai entendu ce matin une interview du Pr Raoult dans l’émission Morandini Live, assez décevante pour plein de points mais intéressante sur un : il disait que la virulence des covid19 est allée décroissante après le variant anglais, le delta étant bien moins virulent que le précédent, et l’O-micron encore moins presque négligeable. Or, personnellement, j’avais envisagé cela (ajouts 215 etc.), que les nombres moindres de décès (par rapport au nombre de positifs) soient imputables à une baisse naturelle en virulence, mais absolument 100,0% des télés, des prétendus experts, politiciens et journalistes, certifiaient que si les taux s’étaient améliorés c’était exclusivement grâce au progrès de la vaccination, cause prouvée. (Le variant delta étant prouvé exactement aussi virulent que les précédents, "c'est un fait scientifique incontestable"). Or les microbiologistes entrant dans les détails aujourd’hui le démentent, toutes ces assurances (dans les discours unanimes) étaient de la propagande mensongère pro-vaccin, outch. La coïncidence temporelle vaccination/moindre-impact était interprétée de manière littéraire en relation cause-effet, sans aucune vérification scientifique, qui l'aurait démentie, invalidée. "Les scientifiques" officiels mentent en très grande routine, je le savais sur divers points mais c'est encore confirmé sur ce point-là. Les expressions « tout le monde sait bien », « nul ne peut dénier », sont donc menteuses quand on fait taire les gens compétents. Le mensonge appelant « savoir » de contestables croyances semble le mécanisme usuel, fier, très affirmatif, à tort. Merci de cette confirmation, Professeur, confirmant mon profond scepticisme.

* Ajout 300, 07/01/2022 (7h) Validation obsolète, gravement
   Je repense à une autre question, dans ma spécialité professionnelle, le diagnostic in vitro. A ma connaissance, le protocole de validation du test sars-cov-2 de routine n'a pas été rendu public, alors qu'il est peut-être immensément contestable, notamment : quelle est la technique prétendue de référence et quelle est sa crédibilité absolue ? au-delà des conventions arbitraires de crédibilité nulle. Et puis surtout : les taux de faux positifs et faux négatifs du test sars-cov-2 n’ont pas été réévalués avec les nouveaux variants successifs (en génome total, pas seulement en génome ciblé spike), avec les vaccinations, avec les divers vaccins, avec les divers nombres de doses, avec divers temps interdoses, pour les diverses classes de patients (d'âge etc.). De vieux chiffres très ponctuels, a priori totalement périmés, sont invoqués comme preuve absolue universelle éternelle. C’est mensonger, crédible en rien. Donc déclarer que « parmi les positifs sars-cov-2 en réanimation, le très petit taux de vaccinés, immensément faible par rapport au taux de non-vaccinés, prouve l’efficacité du vaccin (à prévenir les formes graves), c’est faux, abusif, mensonger, puisque le test sars-cov-2 pourrait tout à fait être rendu souvent faux négatif par la vaccination ou certaines modalités de vaccinations. Erreur méthodologique, non signalée, étouffée, négationnée. C’est affreux, et que la persécution des non-vaccinés s’effectue sur cette base nulle est une honte absolue, une faute scientifique relevant de la tromperie et/ou escroquerie, faute professionnelle et manquement grave à l’éthique.
   Quand j’entends dire qu’il faut de la pédagogie, ou que la pédagogie a assez duré et qu’il faut maintenant passer aux sanctions, je suis totalement scandalisé : les menteurs trompeurs ne sont en rien des pédagogues ou des gens rationnels mais des endoctrineurs menteurs, irrationnels, à contester et ne surtout pas suivre quand on a davantage d’arguments solides que leurs mensonges.
   Jamais le millième de cela n’est envisagé à la télévision : les incompétents se bombardant experts dominent, écrasent, insultent, condamnent, à tort totalement. Et quand j’entends dire qu’Emmanuel Macron (voulant très très fort emmerder les non-vaccinés) est vraiment super intelligent, vraiment sauveur, je hurle (ici)… Il incarne plutôt selon moi un mélange d’incompétence crasse, de méchanceté aiguë, de mauvaise action d’envergure (et brimeuse, armée, à l’encontre de sages prudents) : atroce, plutôt.

* Ajout 301, 08/01/2022 (10h) Dialogue imaginaire du jour
– Putain, chier, merde ! Les non-vaccinés nous emmerdent, il faut sévèrement les emmerder en retour !
– euh… sais-tu que ce vaccin peut tuer tout le monde 5 ans après injection ?
– Hein ?! J’y crois pas une seconde !
– euh, peut-être mais c’est une affaire de croyance, persécuter des gens à croyance différente de toi, c’est atroce d’immoralité…
– Non ! Pas du tout !
– euh pourquoi… ?
– Parce que c’est nous qu’on a raison, et on emmerde les minorités qu’on veut !
– euh, vous trouvez pas ça affreux stupide dictatorial ?
– Non ! Paf, et maintenant tu tais ta gueule, sinon c’est la prison pour toi, pour mise en danger de la vie d’autrui !
– euh, et la mise en danger par emploi d’un vaccin peut-être tueur, ça ne compte pas ?... votre prétendu « devoir de précaution »…
– On t’emmerde connard, irrationnel débile criminel tueur, toi !
– euh, je crois que c’est le contraire, potentiellement, en attendant de savoir par expérience, science expérimentale…
– Silence !

* Ajout 302, 09/01/2022 (8h) « Ouf » partiel
   J’ai entendu hier à la télévision sur chaîne C-News l’argument qui me paraissait évident (et donc n’est pas caché partout) : le nouveau pass vaccinal est dénué de sens sanitaire puisque les vaccinés sont contaminants comme les non-vaccinés (pourchasser les non-vaccinés comme seuls contaminateurs ou principaux contaminateurs est une injustice totale, incompréhensible sauf jeu politicien attisant la haine envers des boucs émissaires, machiavéliquement pour que Macron gagne la prochaine élection, calcul horrible aux dépens de personnes innocentes).
   Je crois que j’ai entendu ça dans l’interview de François-Xavier Bellamy, philosophe et député européen LR, et il est étrange que ça discorde totalement de la position de la leader LR actuelle Valérie Pécresse approuvant le pass vaccinal de Macron et ayant voulu confiner les non-vaccinés. Quoi qu’il en soit, même si les leaders sont horribles, la pensée honnête n’est pas totalement absente, ouf.

* Ajout 303, 11/01/2022 (9h) Respectabilité cassée
   Je repense à un point : le fait que l’hôpital de la ville proche de chez moi refuse les non-porteurs de pass sanitaire pour autre chose que les urgences. (Donc les refuse entre autres pour les scanners et IRM de surveillance de cancéreux). Cela n’a de sens que si c’est « pour ne contaminer personne », alors c’est compréhensible, mais depuis qu’il est admis que les vaccinés sont autant porteurs de virus et presque autant contaminants que les non-vaccinés, cela n’a plu’ de sens. Du moins : autre qu’emmerder les non-vaccinés. Et qu’un hôpital se donne pour vocation d’emmerder ses patients n’obéissant pas à telle ou telle mesure politique arbitraire très contestable, je trouve ça moralement fautif. La bonté neutre inhérente au principe de l’hôpital s’écroule. Naufrage. « Bravo » Macron et ses supporters…
   J’entends dire aussi que les non-vaccinés sont ceux-là même qui saturent les lits de réanimation à l’hôpital, que c’est un scandale méritant sanction, financière notamment (ou prison disent certains extrémistes). Cela me parait odieusement faux/injuste : exclusivement ceux qui sont malades avec forme grave à hospitaliser peuvent être accusés de cela, pas du tout « tous les non-vaccinés » (non-contaminés inclus). Sinon, à généraliser abusivement, on pourrait mettre en prison tous les obèses, tous les vieux, ceux qui posent problème mais aussi les autres par décision groupiste, c’est odieux de malhonnêteté intellectuelle à l’égard d’innocents. Il s’agit de tyrannie en marche, jubilant d’écraser, d’emmerder, des minorités à infime partie posant un problème. C’est le principe du racisme d’ailleurs : « puisqu’il y a des arabes et noirs délinquants, mettons en prison tous les arabes et noirs ! », je trouve ça inadmissible, odieux, et faire totale exception pour la non-vaccination covid n’a pas de sens, ne rend pas bonnes les pensées mauvaises.

* Ajout 304, 12/01/2022 (19h) A propos de haine…
   J’entends pour la millième fois à la télévision la phrase classique « les mosquées qui prêchent la haine (des chrétiens et des "juifs" [israélites]), il faut les fermer » (voire expulser les imams étrangers en question, est-il ajouté parfois). Je ne sais pas mais ce président qui prêche la haine (des non-vaccinés), pourquoi on ne lui ferme pas son clapet, avec destitution voire expulsion en exil ? Non, nulle espèce d’honnêteté, les gouvernants se donnent tous les droits, c’est honteux (et admis par la fausse opposition, complice active, puisque voulant faire la même chose, républicainement – de manière populophobe).
   J’entends aussi ce jour Brigitte Macron (dite « première dame de France ») dire « je crains la haine »… Et celle de son mari à l’égard des non-vaccinés, elle n’en a rien à foutre que l’approuver ? Injuste complice, pourrie elle aussi. Cf. https://www.lefigaro.fr/politique/brigitte-macron-craint-la-haine-lors-de-la-campagne-presidentielle-20220112
   Et, chez Emmanuel Macron, ce ne sont pas que des mots de haine mais des instructions hiérarchiques pour action (comme un chef de mafia commandeur de meurtres sans toucher une arme lui-même), c’est immensément grave.

* Ajout 305, 14/01/2022 (10h) Incohérence punitive encore
   Je suis informé aujourd’hui du nouveau protocole sanitaire pour les enfants de collège, mon fils de 12 ans étant concerné potentiellement, et j’y lis qu’en cas de ceci ou cela, il faut isolement de 7 jours puis test PCR. Or ces tests ne sont plu’ remboursés que sur ordonnance médicale, or le délai pour voir notre médecin traitant (débordé comme tous les médecins de la ville) est de 11 jours, donc il faudra payer ! Pourquoi ? Parce qu’il n’est pas vacciné, et depuis bien longtemps les gouvernants ont décidé d’emmerder salement les non-vaccinés. J’appelle ça de l’abus d’autorité, clairement. A mon avis, cela mérite destitution voire mise en prison de ces sales gens autoritaristes pour brimer des innocents (coupables de réfléchir davantage qu’eux au lieu d’obéir servilement)…
   Par ailleurs, on m’a communiqué un lien intéressant : https://www.facebook.com/watch/live/?ref=watch_permalink&v=1364613140667006 que je n’ai visionné qu’aujourd’hui (c’est long : 1h 27mn). J’en tire plusieurs informations intéressantes :
- Fin des essais cliniques pour les vaccins covid en 2026, pas avant (démenti par un autre intervenant, disant tout validé intégralement aux USA, contre-démenti ensuite, confirmant 2026 pour les enfants).
- Il a été décrit il y a plus d’un an que ces ARN messagers (Pfizer, Moderna), et ADN précurseur (AstraZeneca), entrainent la formation de prion, tuant par maladie de Creutzfeld-Jacob (au moins 21 personnes).
- Selon Alexandra Henrion-Caude : vacciner en pleine épidémie risque de faire émerger des variants, et il faudrait renvoyer les scientifiques à leurs laboratoires jusqu’à ce qu’ils sortent un vaccin prévenant la contamination, avant de décréter obligation vaccinale. Les décédés du covid quand on les autopsie n’apparaissent pas décédés de leur virémie mais d’infections bactériennes associées. Le fait d’avoir appliqué un remède sur population générale sans test préliminaire achevé est une immense première dans l’histoire de la médecine. L’étude de pouvoir cancérigène (de ces vaccins) est confirmée n’avoir pas été faite par manque de temps.
- Selon Karina Rouzi : (à la demande de savoir si les opposants osaient remettre en cause le consensus scientifique en faveur de la vaccination anti-covid) il n’y a pas de consensus scientifique définitif. La science n’est pas sûre, n’est pas figée, par définition.
   J'entends enfin que Christian Estrosi, proche du pouvoir LaREM, dit que les non-vaccinés ne devraient plu' avoir droit aux indemnités-chômage. Des journalistes l'expliquent comme opinion cohérente avec le fait macronien d'avoir dit que les non-vaccinés sont des non-citoyens... donc amputés des droits antérieurs. Sans aucun lien avec une dangerosité, simplement à titre punitif d'emmerdement maximal. Outch. Moi, ce sont tous ces bourreaux dictatoriaux tortionnaires (au nom ultra-menteur de la démocratie libérale) que j'amputerais de leurs droits.
  (Ajout 14/01/2022, 13h) Concernant le pouvoir cancérigène des vaccins anti-covid, ça semble encore une fois le mensonge habituel, de statistiques incomprises fautives, et de bêtise scientiste. « Il n’y a pas de preuve d’effet cancérigène » est interprété comme « il est prouvé qu’il n’y a pas d’effet cancérigène », c’est la classique faute lourde de validation par non-significativité, confondant à tort risque en acceptation et risque en rejet, avec une bêtise comme clamer un risque < 5% impressionnant pour en fait risque < 95% nul (pas valeur zéro mais peut-être proche de 100% très mauvais). La transition est « facilitée » (à tort) par l’idéologie scientiste : « la science actuelle dit le vrai, tout le vrai, rien que le vrai », « donc » ce que ne dit pas la science actuelle n’existe pas… C’est idiot, faux, mais domine. Je connaissais ça (en m’en offusquant) au niveau industriel, c’était presque mon sujet principal de réclamation scandalisée, ma « spécialité » avec moult argumentaire, tracé, irrécusable. Maintenant c’est devenu de portée générale, jusqu’aux actualités générales pour tous, avec immense multiplicité des complices prétendus « scientifiques ».

* Ajout 306, 15/01/2022 (16h) Diverses pages d’actualité
   Je lis aujourd’hui 4 pages d’actualités MSN à discuter, intéressantes et mieux que la télé en permettant l'analyse texte en main (via copier/coller), merci MicroSoft Network.
1/ MSN/Gala : « “Un fantasme total !” : Gérald Kierzek fait une mise au point sur les non-vaccinés » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/un-fantasme-total-g%C3%A9rald-kierzek-fait-une-mise-au-point-sur-les-non-vaccin%C3%A9s/ar-AASMoeH?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Alors que les cas de Covid-19 explosent, plongeant de nouveau les hôpitaux dans une profonde détresse, les regards accusateurs se tournent vers les non-vaccinés. Une erreur selon Gérald Kierzek qui conteste la responsabilité des non-vaccinés (…) "La vision de l’hôpital submergé par les non-vaccinés est un fantasme total" (…) médecin urgentiste (…) renverse le débat public, qui affirme que les non-vaccinés sont responsables de la crise des hôpitaux. "L’hôpital n’est pas saturé, en tout cas pas plus que d’habitude. C’est de là, d’ailleurs, que vient l’épuisement des collègues" (…). "on impute aux non-vaccinés la responsabilité d’une crise structurelle qui dure depuis des années, pour ne pas dire des décennies". (…) "Si l’hôpital craque, ce n’est pas à cause du Covid." (…) "nous ne traversons pas une crise du Covid, mais une crise de l’hôpital due à une gestion des ressources humaines et un management désastreux" (…) »
--> Effectivement, on entend dire que plus de 100.000 lits d’hôpitaux ont été supprimés les 20 dernières années dont plus de 5.000 l’an passé en pleine crise covid19. Que quelque chose sature l'hôpital est donc normal, et c’était prévisible. La saturation 100% ne serait pas une crise atroce mais une normalité prévue, souhaitée. La culpabilité en incombe aux gestionnaires et décideurs, pas à un sous-groupe de la population qui compterait beaucoup de malades covid. D'ailleurs, les hôpitaux publics français étaient en grève chronique avant la crise Covid, qui n'a pas généré un problème mais peut-être aggravé un grave problème préexistant. Par ailleurs, je suis très réservé devant ces fonctionnaires exigeant de travailler à bien moins que 100% : dans le monde privé, l'effort est constant, travailler est quelque chose de rude pas une promenade paisible. S'il n'y avait pas de patients, les soignants du monde privé seraient au chômage donc ils remercient implicitement les patients d'être malades. Mais... pas les fonctionnaires, non : ils veulent un Petit Travail Tranquille, et s'il n'y avait aucun besoin, ils seraient payés quand même, en déficit chronique épongé par la dette comme d'habitude. Les postiers en colère au guichet sont malaimables pour faire fuir les usagers (ça fait moins de travail ainsi), voir ce même mécanisme dans les hôpitaux ruine la noblesse des métiers de soignants, ne voulant pas rendre service mais imposer leurs désidératas d'enfants gâtés.
• « "L’hôpital est géré en flux tendus par des directeurs qui cherchent à le rentabiliser en maintenant un taux d’occupation des lits de 100 % – cela était établi dans un rapport dès 2017 pour les réas par exemple. On parle des opérations déprogrammées comme si cela était la faute des non-vaccinés alors que c’est un problème de ressources humaines. »
--> Effectivement si tout est organisé pour que l’on soit en permanence à 100% saturé, ce n’est en rien la faute de malades mais de l’organisation. Prendre des boucs-émissaires (parmi les malades et non-malades pouvant devenir malades) est honteux.
• « (…) Si les non-vaccinés sont donc mis sur le banc des accusés en ce qui concerne la crise des hôpitaux, c'est dans l'unique but de "se dédouaner de toute responsabilité". (…)"Si aujourd'hui, les non-vaccinés sont 'irresponsables', demain ce seront les fumeurs qui engorgent nos services de pneumologie, et après-demain d'autres encore." À sa connaissance, "il n'y a aucun argument qui permette de dire que les non-vaccinés mettent en danger les autres - et quand bien même, il serait de notre devoir de les soigner". »
--> Il conviendrait aussi d’expliquer l’énorme raison de refuser la vaccination, rendant responsables et sages les prétendus irresponsables irrationnels : on ignore totalement si ce vaccin tue tout le monde 4 ans après injection. Citer les autres vaccins est hors-sujet, chaque remède étant à suspecter de par les procédures normales de validation. Et puis : jamais dans l’Histoire de la médecine on a appliqué à la population générale mondiale un remède avant la fin satisfaisante de ses tests. Douter est donc ultra-logique, rationnel, et les suivistes fonceurs semblent des abrutis irrationnels : on peut tolérer leur aveuglement, mais quand la persécution touche les quelques lucides, un gigantesque abus de pouvoir a été commis, immensément grave, déjugeant pour toujours le monde politique et le monde scientiste prétendu scientifique (croyant l'état actuel de la science sans même attendre la fin de l'expérimentation).
2/ MSN/Gala : « Patrice Evra complotiste ? Son avis sur le Covid-19 surprend Bruce Toussaint » (https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/patrice-evra-complotiste-son-avis-sur-le-covid-19-surprend-bruce-toussaint/ar-AASKvgT?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « Patrice Evra (…) l’ancien capitaine de l’équipe de France de football (…) "À un moment, je pense qu’on en parle beaucoup trop de ce Covid. Il faut être sincère. Il y a des personnes qui sont décédées du Covid, mais j’ai l’impression aujourd’hui que si tu fais même un accident de voiture, on va dire : ‘c’est parce que t’as eu le Covid' ", a expliqué Patrice Evra sur la chaîne d’information. "Pour moi c’est politique. (…) J’ai toujours dit : ‘Quand tu veux gouverner et diriger des personnes, c’est avec la peur', donc voilà, il faut faire bien attention", a-t-il conclu. »
--> Euh, cela parait sensé, comme opinion possible, n’expliquant simplement pas pourquoi tous les gouvernements du monde, au même moment, auraient choisi cette stratégie.
• « (…) "Moi, je ne comprends pas quand il y a des personnes qui disent : ‘est-ce que t’es vacciné ?’, ‘T’es pas vacciné ?’. Mais chacun est libre de faire ce qu’il veut. À un moment, il faut arrêter" (…) Selon lui, "chacun est libre de croire ce qu’il veut". "Il faut laisser le droit aux personnes de faire ce qu’elles veulent, parce que personne ne sait vraiment qu’est-ce que ce Covid, d’où il vient. Pour moi, ce n’est pas un hasard. On ne va pas se mentir." (…) "Il y a Bill Gates qui en parlait dans une conférence en 2013" (…). "Après, je ne suis pas quelqu’un qui va dire : ‘Voilà, ce truc a été programmé’, mais (…) le Covid, moi personnellement il ne me fait pas peur" (…) "On parle depuis des décennies de virus, donc ce n’est pas si extraordinaire qu’il y ait eu des déclarations précédent cette crise", a tenu toutefois à préciser le journaliste de BFM TV. "Mais j’entends ce que vous dites (…), et c’est votre opinion et au fond votre liberté, même si, bon, ça pourrait, vous le savez aussi, être repris et interprété comme une forme de complotisme" (…) »
--> Puisqu’on nous a tellement menti, il est naturel, presque automatique de se demander quelle est la raison à cela, qu’est-ce qui pousse en ce sens. Envisager des réponses possibles n’est en rien affirmer un complot. Les journalistes se confirment hyper-stupides, s’interdisant d’envisager que les autorités mentent, ce qui est idiot. Cf. nuage de Tchernobyl s’arrêtant à la frontière, explosion spontanée du Rainbow Warrior, armes de destruction massive chez Saddam Hussein, etc (voir le livre « Gouverner c’est mentir »). Ce n’est pas du complot, c’est du mensonge, de l’abus de pouvoir (accepté par les journalistes voulant faire carrière sans que leur hiérarchie [alliée aux autorités] ne fronce les sourcils).
3 / MSN/ParisMatch « Covid-19 : la colère froide des soignants face aux antivax » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-la-col%C3%A8re-froide-des-soignants-face-aux-antivax/ar-AASNAbL?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « (…) À Rangueil, le service de soins continus (…) Ce service constamment sollicité est le seul de la région à pratiquer l’Ecmo, cette technique qui remplace l’activité des poumons quand ceux-ci sont trop endommagés par l’orage cytokinique engendré par le virus. (…) »
--> J’avais effectivement entendu ça : que la gravité de covid n’est pas due au virus mais à cet orage cytokinique ; il conviendrait toutefois de se demander si celui-ci ne vient que du virus ou du traitement violent appliqué ou de maladies autres, etc. Affirmer que ça vient du virus, sans argument ni preuve, a une valeur exactement nulle.
• « (…) éventuel "tsunami" de patients Covid. (…) Des patients n’ont même pas 30 ans. Beaucoup sont en surpoids. Leur point commun ? Une majorité de non-vaccinés. ».
--> Je vois là une faute de logique, double. Ce qu’a une majorité de gens n’est pas un point commun à tous. Puisqu’en 2012, 52% des électeurs français s’exprimant ont voté Hollande (et 48% Sarkozy), convient-il de dire « Le point commun aux électeurs français ? Ils ont voté Hollande ! » ? ben non, c’est idiot. Par ailleurs, la notion de « patients Covid » me parait très abusive, pour en fait des malades de n’importe quoi se trouvant être positifs au test sars-cov-2, même si ce virus n’était pas pathogène. Et si la vaccination protège en grande partie de la positivité à ce test, on dirait ainsi (à tort) que la majorité des « patients Covid » sont non-vaccinés Covid. Il faudrait répondre de manière convaincante à ces énormes éléments de doute pour être convaincant, ce qui n’est aucunement le cas.
• « "Les non-vaccinés, il n’y a pratiquement que ça."
--> C’est faux si on ne précise pas : parmi les patients covid en escomptant 0% de faux négatifs parmi les vaccinés.
• « (…) une dame diabétique de 84 ans, explique qu’elle a craint le vaccin. Et qu’elle le regrette… »
--> Citer 1 exemple est aussi peu probant que si on disait en sens inverse : "une dame en bonne santé de 30 ans explique qu’elle avait confiance dans le vaccin, mais après les très durs effets secondaires subis, elle le regrette" (sous-entendu "elle aurait mieux fait d'être lucide dès le début et refuser ce vaccin sans regretter plus tard son mauvais choix"). Il y a des cas individuels dans tous les sens, sélectionner ceux allant dans le sens voulu relève d’une des techniques de mensonge.
• « (…) "Dans certains pays, on tuerait pour des doses de vaccin…" »
--> De même, dans certains pays, on tuerait pour qu’on nous lise une page du Coran, et alors ? En quoi est-ce un argument de bien-fondé ? Qu’il y ait des croyants fervents n’empêche en rien qu’ils puissent avoir entièrement tort.
• « (…) Le terme de "repenti", utilisé par le ministre de la Santé, Olivier Véran, afin d’inciter les détenteurs de faux passes sanitaires à se mettre en règle en contrepartie de l’abandon de poursuites, semble aussi utilisé ici pour nommer ceux qui regrettent. »
--> Ceux qui regrettent sont des gens crédules gobant sans esprit critique l’affirmation « vous n’auriez pas eu cette grave maladie si vous aviez été vacciné ». Ils le gobent sans preuve expérimentale (puisque l’hypothèse affirmée n’a pas été testée sur eux), c’est de la crédulité, imbécile, anti-science-expérimentale. Cela ressemble à de la manipulation mentale, que normalement l’intelligence humaine devrait suffire à parer, hélas c’est très rare.
• « (…) Mais ça devient compliqué. Ça me donne envie de pleurer, ces gens non vaccinés qui ne devraient pas être là. Ça a un coût sociétal énorme. J’essaie de rester pragmatique. Je n’ai pas fait ce métier pour dire non… »
--> Là encore, cela affirme que les vaccinés ne sont pas malades graves, ce qui me parait très faux : il y a autant d’accidents de la route, d’AVC et infarctus chez les vaccinés que chez les non-vaccinés puisque cela n’a rien à voir. Mais en tronquant l’information, en la focalisant sans le dire, en oubliant les faux négatifs qui classeraient les très malades vaccinés en non-covid, tout est faussé, affirmé catégoriquement mais sans pouvoir de conviction aucun.
• « (…) À tous les niveaux, l’exaspération s’installe. (…) ne décolère pas : "Les patients aux urgences (…) c’est du variant Delta. Non vaccinés. »
--> Ça me parait très faux : les accidents de la route, AVC, infarctus, etc. n’existeraient plu’, tout malade se présentant aux urgences étant dit covid… Même s’ils ont un test sars-cov-2 positif, qu’est-ce qui prouve que ce virus n’est pas asymptomatique comme la majorité des gens quand l’urgence vient d’autre chose ? Non, la procédure automatique de tout imputer à covid19 a bien lavé les cerveaux, hélas.
• « (…) En France, quand on comptait chaque jour 20 000 contaminations de Delta, la pression sur l’hôpital commençait. Et là, on dénombre 180 000 cas… On ne sait pas ce qui nous attend avec Omicron, qui est plus contagieux. »
--> Actuellement on en est je crois à 300 000 positifs par jour, cet article semblant dater de quelques semaines en arrière. Et ça n’a rien à voir avec une pression insupportable pour l’hôpital puisque le nouveau variant n’est presque pas pathogène (moins que la grippe normale). Mais non, on interviewe des croyants alarmistes présentant leurs cauchemars comme vérités futures, et hop, le tour est joué. Le mensonge.
• « La propagande des anti-vaccin est bien organisée. »
--> Elle l’est beaucoup moins que la propagande des vaccineurs, avec soutien organisé de toutes les autorités, de tous les journalistes pensant à leur carrière, etc.
• « La plupart des malades en sont victimes. Des patients paient cher cette désinformation, nécessitant de l’oxygène, tandis que d’autres qui souffrent de cancers, d’hémorragies digestives ou de calculs attendent sur un brancard, dans un couloir sous les néons, par manque de place. Les antivax me parlent de libertés, sont exigeants ou parfois condescendants. Certes, rouler bourré est une liberté, mais qui empiète sur la vie des autres. »
--> Hé ! Vacciner avec un vaccin pouvant tuer 4 ans après l’injection, c’est abominable en matière d’empiètement sur la liberté des autres. Surtout si c’est en ayant menti pour affirmer l’absence de risque alors que ce risque est totalement inconnu. Les donneurs de leçons sont des propagandistes fanatiques, et très mauvais puisque je les casse par la logique aisément (mais certes, bien peu de gens-cibles ont pareil recul, notamment personne parmi mes parents-frère-sœur, tous bouffant les « vérités » officielles avec avidité en me condamnant et en étant fiers en cela).
• « (…) les proches d’un patient, Christian, 70 ans, pour les prévenir d’une insuffisance respiratoire importante. (…) Depuis son arrivée, il y a moins d’une semaine, Christian clame les bienfaits de la vaccination, ainsi que ses regrets de l’avoir compris si tard. Il remercie chaleureusement le personnel, promet de se battre. »
--> Le mot « compris » est un abus total : il n’a pas « compris » la vérité indéniable, il a « cru » le racontar qui lui été asséné avec autorité.
• « Dans la chambre voisine, les jours sont désormais comptés pour un homme de 49 ans qui a fait un arrêt cardio-respiratoire doublé d’un Covid grave. L’arrêt des traitements a été décidé, en accord avec la famille. »
--> Et qu’est-ce qui prouve que sa mort programmée est imputable à son test sars-cov-2 plutôt qu’à ses troubles cardio-vasculaires ? Ne pas se poser la question, c’est suivre servilement les instructions gouvernementales, certes, mais la compétence et l’honnêteté sont ailleurs.
• « (…) " On fait notre métier, on a prêté serment. Mais on en a marre. Surtout quand on reçoit des complotistes antivax. Je revois une dame me prévenir : ‘Vous ne me piquerez pas avec votre poison.’ La communication n’est pas toujours évidente" (…) »
--> Une communication de confiance n’est possible que s’il n’y a pas mensonge outrancier. Cette crise Covid avec ses tonnes de mensonges a cassé la confiance dans le corps médical, qui n’a que ce qu’il mérite en retour.
• « (…) "Sans être prophète de malheur, on ne sait pas si Omicron est beaucoup moins grave ou juste moins grave. Est-ce le variant lui-même qui est moins grave ? Ou y a-t-il moins de formes sévères parce qu’il touche des gens vaccinés, ou qui ont déjà contracté le virus auparavant ? Il y a une incertitude. Quelle que soit l’hypothèse, à partir du moment où il y a plus de cas, il y aura plus de cas graves", rappelle (…) professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’université (…) »
--> Ça prouve bien qu’on peut être professeur supérieur et immensément stupide (ou immensément menteur) : s’il y a une contagiosité mille fois plus grande et une dangerosité un million de fois plus faible, non il n’y aura pas plus de cas graves mais mille fois moins. C’est du niveau mental CM2, je pense, même pas de l’enseignement secondaire. Par ailleurs l’expression « plus de cas » est mensongère : ce qui est surveillé par les autorités n’est nullement le nombre de cas malades covid19 mais le nombre de positifs sars-cov-2, affirmé constituer le nombre de cas covid19 ce qui est entièrement faux : les asymptomatiques ne sont nullement malades, ne sont pas des cas de cette maladie (le D de coviD est pour Disease, maladie ou mot-à-mot « manque d’aise », « trouble », inexistant chez les asymptomatiques).
• « (…) "Et puis je m’en remets à Dieu." À Dieu et surtout à la science, ainsi qu’à tous ces soignants héroïques. »
--> Cette croyante croit à la science scientiste comme en Dieu, c’est effectivement du même ordre de crédulité sans intelligence critique à l’œuvre, OK. Mais il est faux que la médecine est une science : elle échoue si souvent qu’elle exige d’être considérée comme un art, et refuse l’obligation de résultat, s’autorisant l’échec qui en science vaudrait invalidation. Mais la pauvre dame est loin de cette lucidité, donc on lui donne la parole avec moins de « danger » (pour les autorités) qu’on ne m’écoute, moi. Enfin, pourquoi dire que les soignants sont héroîques, s’ils sont surmenés, ça peut être comme des ouvriers d’usines à cadences infernales, nullement classés héros. S’ils sont en danger eux-mêmes, ça peut être comme des laborantins manipulant des bactéries en groupes industriels. Réserver le label de héros à certains parait injuste, mais fait partie de la propagande, certes.
4/ MSN/Marianne « Mathieu Slama : "Le non-vacciné est devenu un épouvantail pour politiciens pyromanes" » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/mathieu-slama-le-non-vaccin%C3%A9-est-devenu-un-%C3%A9pouvantail-pour-politiciens-pyromanes/ar-AASMHfd?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « "Les non-vaccinés devraient être confinés chez eux dans les mêmes conditions qu’au mois de mars 2020 et par ailleurs ne devraient pas avoir accès aux assurances chômage. Quand on fait prendre de tels risques à la société, on doit en payer le prix." Ces mots de Christian Estrosi ont été prononcés de manière froide, imperturbable, sans la moindre émotion. Comment en sommes-nous arrivés là ? Depuis mars 2020 et le premier confinement, toutes les digues ont sauté les unes après les autres. Ce qu’on pensait inimaginable s’est produit. Des mesures impensables se sont normalisées. Un climat d’ordre et de coercition s’est installé. Puis la parole s’est libérée, jusqu’au point d’orgue de l’interview inouïe du chef de l’État dans Le Parisien, interview dans laquelle il insulte et menace des millions de ses propres concitoyens. Dans le même temps, on s’interroge sur le fait de ne pas soigner les non-vaccinés en cas d’admission en réanimation. On va même jusqu’à proposer, comme l’ont fait un avocat et un médecin dans une récente tribune publiée dans Le Parisien, de sanctionner pénalement les non-vaccinés pour mise en danger de la vie d’autrui. »
--> Faux (ce que dit l’interviewé semble juste, mais il rapporte et condamne un propos clairement faux) : s’il y avait mise en danger de la vie d’autrui, ce serait interdit par la loi, or nos gouvernants (et principale formation d’opposition) refusent d’inscrire dans la loi cette obligation vaccinale anti-covid. Donc c’est intenable, contradictoire, stupide ou/et mensonger. Par ailleurs j'ai entendu à la télévision sur chaine C-News que le propos d'Estrosi revient à une condamnation à mort (par inanition) : on priverait les non-vaccinés de sortir donc de travailler, et on leur interdirait les indemnités de personnes ayant perdu leur travail, donc quand elles auront épuisé leurs économies, elles ne pourront même plu' commander à manger et vont donc mourir de faim, c'est immensément grave comme projet de sanction. Si c'est dit pour faire peur, cela relève du terrorisme, dans le camp Macron qui serait donc terroriste sans l'avouer, quelle horreur ! Et quel mensonge dans la promesse de combattre le terrorisme sous toutes ses formes...
• « Un récent sondage dévoilait que près d’un Français sur deux était favorable au fait de faire payer les soins aux non vaccinés. Fureur persécutrice. »
--> Effectivement, instaurer cela spécialement pour la vaccination covid est une injustice totale. Les cancéreux du poumon qui sont fumeurs, les accidentés de la route qui roulaient trop vite ou étaient alcoolisés/drogués, les alcooliques à cirrhose du foie, les suicidaires s’étant ratés, eux ne seraient en rien astreints au remboursement, seulement les non-vaccinés covid. Injustice absolue, fanatique. Par ailleurs, comment quelqu’un ayant un trouble se verrait-il prouvé que cela est dû à sa positivité sars-cov-2 ? Je n’ai jamais vu nulle part pareille preuve, seulement l’affirmation péremptoire de docteurs pratiquant l’argument d’autorité, logiquement invalide (mais certes probant devant la « justice » française que je connais comme illogique et stupide ou menteuse ce qui n'est pas mieux).
• « Ce climat de haine et de persécution naît du besoin irrépressible de trouver un coupable à la crise sanitaire. "Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu'un petit nombre d'individus, ou même un seul, peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative", a écrit le philosophe René Girard. Une partie de la société est prise d’une fureur persécutrice, encouragée par un gouvernement pyromane qui sait que la mise au pilori des non-vaccinés sert ses petits intérêts électoralistes. La figure du non-vacciné est devenue un épouvantail, une sorte de créature mythologique coupable de tous les maux de la société, un criminel en puissance qu’il faut punir et empêcher de nuire. "Les ‘bons citoyens’ se gargarisent d’être des bons citoyens, sont fiers de détenir leur passe sanitaire, jouissent de leurs libertés retrouvées tandis qu’ils accablent les ‘mauvais citoyens’." »
--> Hélas oui, ça ressemble à ce qui se passe, l’explique, merci, hélas. Enfin, entre les non-vaccinés pourchassés et les vaccinés persécuteurs, il y a un autre niveau : les vaccinés sous la contrainte, qui auraient préféré la non-vaccination (qu'ils ne condamnent nullement) même s'ils ont été eux obligés d'accepter de subir cette vaccination forcée. Il y a aussi des non-vaccinés comptés administrativement comme vaccinés parce qu'ils sont guéris du covid19, donc avec anticorps naturels, et qui n'ont aucune raison de persécuter les non-vaccinés pas officiellement touchés par le virus (d'ailleurs certains ont pu être touchés par une forme asymptomatique sans se faire tester, et les classer criminels dangereux est une injustice absolue puisqu'ils sont comme-vaccinés en fait mais comptés non-vaccinés rebelles donc "dangereux à honnir...").
• « (…) nous avons succombé au ressentiment, à la peur et à la haine. (…) les "mauvais citoyens", ceux qui refusent la vaccination et qui se mettent ainsi "en dehors de la société". Nouveaux puritains hygiénistes. »
--> Oui, les donneurs de leçons féroces, aveugles menteurs, ressemblent effectivement aux puritains, merci du rapprochement.
• « (…) Faut-il mener des enquêtes de moralité sur tous les Français pour ainsi déterminer qui est un bon citoyen et qui ne l’est pas, qui aura droit au permis de citoyenneté ? Et que dire de ce gouvernement qui se fait tout d’un coup le chantre de la solidarité et de l’altruisme alors qu’il est responsable des pires régressions sociales depuis des décennies ? Est-il si responsable et solidaire, ce gouvernement ? Quant à Christian Estrosi qui donne désormais des leçons de civisme au Français et entend mettre au pas les mauvais citoyens, est-il si civique et exemplaire lui-même ? Rien n’est moins sûr. Ceux qui persécutent au nom d’une prétendue pureté morale sont souvent les plus hypocrites. »
--> Oui, il est clair que c’est une société du mensonge, se focalisant absurdement sur une horreur prétendue, parmi mille. Être non vacciné covid (même négatif pas contaminé ni contaminant) serait plus grave qu’être délinquant ou terroriste notamment, puisqu’avec déchéance de citoyenneté préconisée par le président qui n’avait pas voulu cela pour les terroristes ayant tué.
• « (…) « On ne gouverne pas un pays en flattant ses instincts grégaires et ses pulsions malsaines. Le citoyen exemplaire n’existe pas. »
--> Euh, même si théoriquement il ne faudrait pas, une mauvaise voie peut être suivie avec grand succès en popularité, notamment « plus de 50% d’avis favorables », c’est à désespérer du principe démocratique, présupposant une sagesse majoritaire.
• « Le citoyen est citoyen, point. Son seul devoir est de respecter la loi, il n’en a pas d’autres. »
--> Là, je ne suis pas d’accord, désolé : quand la loi est injuste, respecter la loi est un devoir injuste et y résister constitue une vertu, hélas dangereuse (en France 2022 comme en URSS 1975). Ainsi pour l’oppression de la liberté d’opinion, sans l’avouer, inscrite dans la loi française en 1990, avec racisme pro-juif anti-amérindien. C’est la loi, et c’est atroce de malhonnêteté. Pire : en système républicain sans référendum d’initiative populaire, ça peut venir d’une petite minorité méprisant la majorité (qui n’a pas accès à l’écriture des lois). Je rappelle que la trahison 2008 du référendum 2005 a prouvé que les prétendus représentants sont des faux représentants. Les lois qu’ils promulguent peuvent être très injustes, le système les valide tout autant, ça fait partie du système, tout pourri, à acteurs tous pourris, oui. Pas forcément avec enrichissement personnel, mais avec mensonge de prétendue démocratie en fait populophobe (la vraie démocratie étant insultée comme populisme démagogue).
• « (…) Un gouvernement n’a pas à juger et sanctionner le comportement d’un citoyen : seul un juge en a le pouvoir. »
--> Je ne suis pas d’accord, d’où vient la légitimité des juges ? Pas de la loi, qui est injuste. Pas d’une élection (en France, à la différence des USA). Et en routine, les innocents sont condamnés (j’en ai l’expérience directe), les coupables sont bénis (la télé le signale abondamment pour les délinquants multirécidivistes additionnant les condamnations avec sursis et stages d’amélioration s’ils le veulent bien).
• « (…) Dans une République, il n’y a pas de permis de citoyenneté possible : les droits ne s’accordent pas en fonction de notre comportement, mais sont inaliénables, consubstantiels à notre citoyenneté. Rappeler de telles évidences, c'est aujourd’hui prendre le risque d’être accusé d’être "provirus" : voilà où nous en sommes. »
--> Je ne suis pas du tout convaincu par le propos ici affirmé : le principe de république est qu’il y a délégation de pouvoir, les élus obtenant pleins pouvoirs le temps d’un mandat. Cela n’implique aucun respect particulier des citoyens, le « bas peuple » méprisé.
• « On ne gouverne pas en pays contre ses propres citoyens. On ne gouverne pas un pays en insultant, en menaçant et en punissant. On ne gouverne pas un pays, enfin, en trahissant ses principes fondateurs et en sacrifiant la cohésion nationale. On ne gouverne pas un pays comme Emmanuel Macron le fait. »
--> C’est mal dit : puisqu’EmmanuelMacron le fait, c’est que c’est possible. Ce qu’il aurait fallu dire en clair, c’est que c’est moralement moche, choquant et puis illogique, auto-contradictoire (pour ce menteur ayant prétendu avoir pour but de « rassembler les Français »), menteur affreux. Mais hélas possible, et c’est donc ainsi que ça se passe, en vrai, oui.

* Ajout 307, 17/01/2022 (10h) Illégalité et trahison des droits de l'homme
   (Concernant les non-vaccinés covid persécutés par les autorités françaises sans qu’aucune loi ne soit enfreinte par eux) la journaliste Elizabeth Levy, dans l’émission-débat télé L’Heure des Pros, a dit que dans la Déclaration des Droits de l’Homme, article 5, il est écrit que nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas. Donc le pass sanitaire, obligation vaccinale déguisée, reconnue telle, setait une trahison explicite des droits de l’homme.
   Je suis allé vérifier sur Internet : en fait ce n’est pas la DUDH1948 mais la DDHC1789, Article 5 : « (…) Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. » C’est confirmé, Macron et ses copains, Pécresse et ses copains, sont des dictateurs enfreignant les Droits de l’Homme, en mentant pour clamer le contraire, c’est honteux.

* Ajout 308, 18/01/2022 (16h) Fausse « confirmation grandiose »
   Aux informations, j’ai entendu aujourd’hui qu’un cabinet d’étude (Conseil d’Analyse Economique) lié au premier ministre vient d’établir que le pass sanitaire macronien de fin 2020 avait fait qu’il y a eu 4.000 morts liés à covid19 de moins que s’il n’avait pas été instauré. Ce que les journalistes résumaient en « il est prouvé que le pass sanitaire a sauvé 4.000 personnes ». Sauf un, disant (sous les insultes) qu’une courbe avait été prolongée comme vérité intemporelle alors qu’elle était propre à un contexte temporel très particulier début 2020, et que deux paramètres majeurs non mesurables ont été négligés en jugeant qu’ils s’annulaient approximativement, et avec une méthodologie aussi contestable, la conclusion chiffrée est très douteuse.
   Je n’ai pas lu le rapport prétendu démonstratif, moi, mais à mon avis, il n’est en rien démonstratif car il est notoire que le pass sanitaire punitif a forcé plein de monde à se vacciner, or j'ajoute que, si la vaccination déminue la positivation du test sars-cov-2 parmi les contaminés (autrement dit : accroît chez les vaccinés le taux de faux-négatifs), il aurait pu n’y avoir aucune vie sauvée, aucune, seulement 4.000 morts de moins auraient été classés « liés à covid19 ». Ce serait du faux et usage de faux, n’est-ce pas une interrogation hyper-majeure ? Pas pour les journalistes majoritaires, gobant la parole officielle. D’ailleurs, j’envisage pire en mensonge : même si sars-cov-2 n’était pas pathogène (et que toute cette affaire covid était une vaste manipulation des masses), le fait d’avoir un « vaccin » diminuant la positivation du test ferait qu’il y aurait moins de morts (naturels, habituels) imputés à la fausse maladie en question, ne prouvant donc rigoureusement rien.
   Par ailleurs, on pourrait sauver 70.000 morts par an en interdisant le tabac, ce serait bien davantage majeur en nombre. La question n’est pas de s’autoriser toutes les mesures autoritaristes (type prison ou amende, certes pas peine de mort) au nom de vies sauvées, sinon il y aurait de toutes autres priorités que la vaccination covid. Idem pour l’interdiction de l'alcool, la voiture, la baignade, le chauffage, l’électricité, le bricolage, les animaux domestiques, les religions, l’école, le beurre et les huiles alimentaires, le sucre, le sel, tout ce qui produit des fumées, etc. (partout pouvant s’appliquer la prétendue loi d’émotion larmoyante dite logique : « chaque mort est un mort de trop, inadmissible ») mais non, les vies sauvées sont un alibi, brandi exclusivement là où cela arrange le gouvernement. Les crédules le gobent comme imparable, ils se trompent. Ce serait bénin si ce n’était qu’une vague opinion, mais quand c’est le support à une haine des non-vaccinés covid, cela devient gravissime, scandaleux.

* Ajout 309, 27/01/2022 (14h) Point pas totalement de détail
   J’ai entendu ce jour (sur télévision C-News) un argument intéressant : concernant le directeur des hôpitaux parisiens disant bien d’exiger que les non-vaccinés covid paient eux-mêmes leurs soins médicaux (pour crime d’incohérence), on peut répliquer que ceux qui ont fait diminuer le nombre de lits hospitaliers (entrainant non moins les déprogrammations d’opérations hors covid) voient leurs frais médicaux non-remboursés, et qu’ils soient pareillement « emmerdés », interdits de loisirs et de visites à l’hôpital hors urgences absolues… Non ? Ben alors, il ne fallait pas dire n’importe quoi. Par ailleurs, je rappelle que le refus de vaccination n’est en rien un acte déraisonnable égoïste incohérent mais, tout au contraire, une légitime défense face à des vaccineurs enfreignant totalement le principe de précaution, en imposant un vaccin peut-être tueur à 4 ans, avec risque totalement inconnu en science expérimentale, et mensonge absolu pour clamer que la science garantit un risque infime.

* Ajout 310, 28/01/2022 (6h) Discussion argumentée
   J'ai répondu à une amie (ne regardant plu' la télé) que : la télé reconnait que le vaccin et le pass ne servent à rien pour « limiter la propagation du virus », mais leur argument pro-vaccination est différent (d’une prévention de la propagation) : (ils disent que) il réduit énormément le nombre de formes graves, donc ne conduit pas à saturer les services hospitaliers de malades covid (contrairement aux non-vaccinés) avec déprogrammation d’opérations pour des gens souffrant d’autre chose. Toutefois, cet argumentaire-là me parait faux :
– Je n’ai jamais vu la validation du taux de faux négatifs (pas accru ?) chez les vaccinés, avec virus actuels, or s’il est grandement accru les malades de n’importe quoi allant en réanimation seront souvent dits covid chez les non-vaccinés, non-covid chez les vaccinés, c’est un biais total produisant la situation qu’ils disent en démentant totalement leur conclusion protectrice causale (artefact de faux classement, non action de prévention avérée).
– J’ai lu que l’hôpital français moderne était entièrement organisé pour 100% d’occupation (= saturation) des lits de réanimation, pour optimiser les coûts, cela n’est aucunement imputable aux non-vaccinés. De même la vaste entreprise politique de réduire le nombre de lits hospitaliers (même sous Macron, même pendant la crise covid) conduit à saturation des lits restants et déprogrammations d’opérations, sans que ce soit la faute des non-vaccinés. Mais, certes, les responsables de cela sont naturellement enclins à crier « c’est pas notre faute : tout irait bien s’il n’y avait pas les non-vaccinés » (en langage enfantin : « c’est pas moi, c’est les autres ! », 3 ans d’âge mental), oubliant évidemment la réciproque « tout irait bien s’ils n’avaient pas eux gestionnaires cassé l’hôpital ».
– Un point moins simple est l’effet des soignants quittant le métier dégoûtés, cela aussi conduit à la saturation totale des personnels restants, mais n’est pas tant imputable aux non-vaccinés qu’aux conditions de travail, salariales etc. (Toutefois, je ne donne pas totalement tort aux organisateurs imposant un effort constant type travail-privé à des fonctionnaires-pantouflards exigeant grand salaire sans effort, sinon grève, hum).
– Les fumeurs très malades, les alcooliques et drogués avec accidents de voiture, etc. (et peut-être les suicidés s'étant ratés, voir point suivant) contribuent aussi à occuper des lits de réanimation alors qu’ils ont fait des choix contestables, pourtant ils ne sont nullement condamnés et discriminés comme les non-vaccinés, c’est incohérent, injuste.
– Je me souviens d’un sentiment inconfortable quand j’étais hospitalisé en 1998-2000 : quand on me demandait « est-ce que c’est une T.S. ? » (tentative de suicide), je répondais « je me souviens pas », par crainte que ça soit transmis à une hiérarchie gestionnaire déclarant alors « tous les frais d’hospitalisation sont donc à votre charge, coupable »… Enfin, c’est vrai que le coma avait effacé le dernier jour, mais je songeais au suicide tous les jours depuis 19 ans auparavant… et encore chaque jour pendant cette hospitalisation (surtout avec maltraitances par kiné et radiologue). Enfin, c’était moins coupable que ça en même temps : j’avais été « sauvé » de force, contre mon gré (certes absent, comateux), je n’étais pas le responsable de cette hospitalisation. Euh, en un sens, ces « sauveurs » ont fait quelque chose de bien « pour l’humanité » sans le savoir, dans la mesure où le quidam qu’ils sauvaient là allait s’avérer (peut-être) immensément important pour le monde entier : le fait que j’ai invalidé la fausse-preuve que le réchauffement climatique soit causé par le CO2 humain, c’est énorme, colossal, pouvant faire économiser des milliers de milliards d’Euros sur la planète… (si c’était su, pas étouffé).

* Ajout 311, 03/02/2022 (5h) Souvenir professionnel
   Avant d’être mis en invalidité début 2019, mon métier était l’identification microbienne par séquençage, sauf que c’était pour la partie bactérienne (ciblé 16S, rpoB, sodA, etc. ou génome total), et pas virale (ciblé spike ou génome total). Je suis donc pas loin d’être un expert de l’identification sars-cov-2 mais pas tout à fait. Or je me souviens que le prérequis obligatoire pour ces analyses était d’avoir une culture pure, sinon la réponse était une erreur dite « double signal ». Or un virus n’est pas cultivable sans cellules supports, donc la culture pure (biomasse 100% de ce virus) est impossible, comment séquence-t-on donc les virus ? Vraisemblablement cela me semble devoir se faire via une multiplication PCR sélective employant des amorces (primers) ciblées. Bref, le virus sars-cov-2 aurait été découvert en Chine en demandant au séquenceur, dans les bouillons de cellules répliquées : « est-ce qu’il y a un virus sars-cov ? comme le sars-cov-1 qu’on connait bien ». La réponse « oui, ceci, appelable sars-cov-2 » n’est en rien la preuve que c’est le facteur causal des maladies en question (et que le vaccin contre ce virus protègera de ces maladies en question).
   Les tribuns et experts peuvent blablater des heures et des heures en disant qu’il faut convaincre par davantage de pédagogie, il se trouve que rigoureusement personne ne semble avoir les armes argumentaires pour prouver ce qu’il dit, dans cette affaire dite covid19. Il se pourrait qu’un virus bénin, non pathogène asymptomatique, ait été trouvé et déclaré à tort responsable de tout ça. Le trouver un peu partout ensuite ne prouvant absolument rien, et pas qu’il y a pandémie. Enfin, décider d’affirmer que tout mort positif à sars-cov-2 est « donc » mort « tué par covid19 » serait la dernière pierre du mensonge général, que j’envisage rationnellement face à des scientistes incompétents répétant des ouï dires. La pédagogie entendue comme « je sais et je vous dis la vérité » est une arnaque totale, il convient de la challenger par des spécialistes doutant que telle soit la vérité, ce qui fait s’écrouler la montagne covid… ai-je l’impression.

* Ajout 312, 04/02/2022 (6h) Comme microbiote intestinal ?
   Une ex-collègue non-vaccinée, lisant ce que j’ai écrit ci-dessus, m’a répondu : « Je ne connais pas grand chose en virologie, mais j'ai cru comprendre que le virus sars-cov-2 n'a pas encore été isolé. Donc, pas de preuve de sa véracité ? ».
   J’ai répondu en retour : Ta remarque est intéressante, quoiqu’incomplètement convaincante. Les virus ne sont jamais je crois isolables puisque non vivants sans cellule-hôte. Dire qu’ils sont eux-mêmes des êtres vivants ou des poisons se discute, je crois que ce n’est pas tranché. En ce sens, il me semble qu’il ne faut pas appliquer la recette bactérienne selon laquelle un isolement est obligatoire pour identifier/reconnaitre le germe. Cela dit, il y a depuis l’avènement du séquençage d’identification (prétendue) des anomalies (à mon sens) même en bactériologie. Ainsi, dans des prélèvements intestinaux, on « peut » (prétend pouvoir) identifier mille bactéries non cultivables, non isolables, simplement par bidouillage informatique auquel personne ne comprend rien, reconstituant dans l’ensemble des gênes ce qui semble mille ADN complets (technique dite « identification de novo », notamment). J’en doutais quand c’était mon travail, j’ai fait part de mes doutes à la spécialiste S.C., qui a seulement dit que c’étaient les prodiges de l’informatique, sans aucun argument. Hum. Effectivement ça peut être un peu pareil pour le prétendu génome total du virus sars cov2, où l’informatique croit trouver un petit morceau comme démarrage d’un virus sars-cov, et puis croit voir la suite, et croit voir la suite encore (mais pas sûr, avec des risques d’erreur acceptés). Tu as raison qu’il serait sain qu’un avis sceptique mette tout en cause et se voit tout réexpliquer, ce que ne savent apparemment pas faire les prétendus spécialistes.

* Ajout 313, 07/02/2022 (7h) Incitation au relativisme
   J’ai entendu hier à la télévision que le cancer tue en France actuellement 150.000 personnes par an, soit davantage que covid19 sur 2 ans. Est-ce que « donc » tout nouvel anticancéreux est administré à toute la population et avant la fin des essais (de toxicité notamment) ? Pas du tout, on nous ment quelque part. C’est (mochement) compréhensible de la part des producteurs de ces vaccins covid, pour faire fortune. Mais c’est incompréhensible de la part des politiques, sauf corruption secrète par les précédents.

* Ajout 314, 07/02/2022 bis (20h) Consentement « éclairé » faussement
   Ce jour au centre anti-cancéreux, j’ai reçu ma 3e dose de vaccin anti-covid, à la demande de la cancérologue (de justesse avant le 22/02/2022 me redéclarant « non vacciné »). Contrairement aux deux premières fois (en pharmacie), j’ai eu à remplir un document de consentement éclairé (et j’en ai demandé une photocopie – on m’a donné un exemplaire vierge, d’accord).
   Il fallait (après des questions sur nom/prénom etc. et mes éventuelles allergies et immunosuppression, etc.) cocher le paragraphe « Nous reconnaissons avoir reçu les informations sur cette vaccination (dont les contre-indications et effets indésirables), nous avons compris les termes de ce questionnaire et y avons répondu en toute sincérité (cochez la case si votre réponse est oui). » J’ai demandé à l’infirmière ce que ça voulait dire, et elle a répondu que les effets secondaires sont une possible allergie, mais si je l’avais déjà reçu 2 fois cette injection (et le même vaccin Moderna qu’ici) sans problème, je ne risquais rien. J’ai dit « je comprends ce que vous dites, oui » et elle a coché la case, avant de remplir sa partie à elle : numéro de lot, etc.
   Mais… même si j’ai répondu « oui » pour suivre l’injonction de la cancérologue (me faire vacciner, avec boost de rappel), c’est faux, et on trompe des millions de gens en France, des milliards dans le monde : je n’ai nullement reçu l’information que les effets secondaires à moyen et long terme (4 ans et 10 ans) sont totalement inconnus, pouvant être cancer, sclérose en plaque, mort subite, personne ne me l’a dit. Je le sais simplement parce que je réfléchis par moi-même, que ma formation universitaire m’a enseigné les procédures normales d’acceptation des remèdes pharmaceutiques, et que je suis un peu amateur d’épistémologie, ayant beaucoup réfléchi à la logique de la découverte scientifique, en science expérimentale.
   Bref, on m’a trompé, on a exigé que je dise avoir été bien informé ce qui était faux, mais était requis pour ne pas être « emmerdé » par le président de la république et ses innombrables complices. C’est une honte. J’ai menti sous la contrainte, moi, disant que j’avais tout compris (sous la menace, d’emmerdement social d’une part, de mort par covid selon les médecins déclamant avec certitude totale).

* Ajout 315, 09/02/2022 (12h) Auteur horrible
   Ce matin dans l’émission télé L’heure des Pros, l’animateur Pascal Praud a interrompu l’auteur (de famille juive) Raphael Enthoven (parlant de son nouveau livre) car l’actualité en direct montrait le départ du premier « convoi de la liberté » montant sur Paris pour protester contre le pass vaccinal et les restrictions dites sanitaires. L’auteur s’est offusqué de ce nom invoquant la liberté, disant qu’il s’agit de liberté de tuer autrui, qu’il n’y a absolument aucun danger au vaccin alors que le virus dont il protège tue. L’animateur a essayé de dire que le variant O-micron tue 0,0% des moins de 60 ans non-vaccinés (et pourtant contraints à la vaccination), mais sa voix était couverte par les hurlements de l’auteur exigeant qu’il invite donc les morts pour le contredire.
   Je trouve cet auteur affligeant. Non, il n’y a absolument pas « aucun danger » en ce vaccin. « Aucun danger n’a été prouvé (à ce jour) » est totalement différent de « il a été prouvé qu’il n’y a aucun danger, éternellement ». Certes pour un littéraire nul en maths et logique, « pas de danger-prouvé » vaut plus ou moins « prouvé pas-de-danger », mais c’est mathématiquement et logiquement faux, nullard. Et hurler pour imposer sa voix, ses diktats liberticides, c’est monstrueux, de bêtise, victorieuse avec le président de la république et tous les ministres sur cette même ligne (et les scientistes abrutis parmi les prétendus scientifiques et docteurs). Je dis « scientistes abrutis » non par jugement subjectif mais par jugement objectif démontré : le scientisme emploie l’aura de la science alors qu’il est anti-scientifique, invalidé par l’histoire des sciences, donc il y a contradiction, bêtise avec âge mental inférieur aux peut-être 5 ans de l’âge de raison.
   (Pourquoi ai-je cité que cet auteur était de famille juive ? Ce n’était pas dit à la télé, c’est wikipedia qui me l’a confirmé. Simplement, je constate pour la centième fois que des très mauvais penseurs sont publiés et, par pur hasard ? se trouvent être juifs. N’ont-ils pas été favorisés racistement ? Cela expliquerait la rancœur anti-raciste anti-juifo, menteusement classée racisme antisémite. Chaque illustration supplémentaire est une petite confirmation de l’injustice dominante, triomphante injustement.)
   Dans l’émission Morandini-Live qui suivait sur la même chaine C-News, le même convoi était critiqué par le représentant du parti LaREM disant que ces protestations étaient ultra-minoritaires, que les 90% de la population qui sont vaccinés approuvent le pass vaccinal et voient la menace de ce convoi protestataire avec inquiétude, le gouvernement devant en protéger la population (d’un blocage éventuel à la canadienne). C’est un mensonge éhonté, très choquant. Plein de vaccinés comme moi l’ont été sous la contrainte, médicale ou professionnelle ou sociale ou autre, cela ne signifie en rien de rien qu’ils approuvent la contrainte pour ce vaccin prématuré, à non-toxicité (et non-mortalité) pas encore établies alors qu’il est administré autoritairement à la population générale, pour la première fois de l’histoire de la médecine/pharmacie. Toujours, par principe (de précaution et d’évidence), on vérifiait que ça ne tuait pas avant de l’imposer, légalement ou via contraintes punitives. Hallucinant, de malhonnêteté (gouvernementale notamment, mais les fausses oppositions politiciennes à la LR-PS ne sont pas mieux).

* Ajout 316, 15/02/2022 (18h) Ouf, enfin !
   Aujourd’hui, enfin ! J’ai entendu à la télévision mon argument majeur contre ces vaccins covid prématurés. Le médecin (chef hospitalier) Dr Michaël Peyromaure, sur chaine C-News un peu après 13h40, a dit que :
1/ Le pass vaccinal n’a aucune utilité médicale actuellement, punissant/pourchassant des gens qui ne sont pas les publics menacés par cette maladie (personnes âgées avec comorbidité sévère).
2/ On ne connait pas les effets indésirables de ces vaccins à 3 ans ou à 5 ans, il pourra y en avoir, ou non, on n’en sait rien pour le moment.
3/ Personne ne peut dire qu’il n’y aura pas d’effet secondaire à 3 ans, puisqu’on est à 1 an et demi après découverte du vaccin. C’est impossible par principe.
4/ Les effets à long terme sont en train d’apparaître (zona etc.) mais il est difficile d’établir la relation de cause à effet, le Sénat français a commandé une étude en ce sens.
   J’ajouterai (aux points 2-3 super majeurs que je répète depuis très longtemps, voir ajouts 59 de novembre 2020, 87 de janvier 2021, etc.) que c’était évident dès le premier jour (d’acceptation anticipée du premier vaccin, affirmé à tort « à risque prouvé négligeable »). Et que la prétendue irrationnalité des opposants à ces vaccins prématurés était un mensonge total, une irrationalité totale accusant la logique d’illogisme. Je ressens cette parole maintenant presque publique comme une immense victoire : l’évidence (dérangeante pour les politiciens, sauf Philippot, Dupont-Aignan) est enfin énoncée, jusqu’à la télévision.

* Ajout 317, 20/02/2022 (10h) Confusion encore
   L’autre jour (vendredi 18 ?) j’ai entendu l’animateur Pascal Praud dialoguer avec la Docteure Milhau et, à la réflexion, les propos tenus me paraissent très incorrects. L’un disait que Covid n’est plu’ grave du tout maintenant avec le variant O-micron mais l’autre répondait quelque chose comme « attention ! il y a quand même encore plus de 200 morts covid par jour ! même avec O-micron ! » Qu’est-ce que j’en pense ?
   A mon avis c’est une confusion grave. En cas de test sars-cov-2 positif, une personne est dite « malade covid-19 », même si asymptomatique aucunement malade. Une personne malade d’autre chose et qui est positive au test sars-cov-2 (même asymptomatique) est dite « malade covid-19 avec comorbidité », et si elle décède (de sa comorbidité) elle sera dite « tuée par covid-19, (et en moindre mesure par sa comorbidité, négligeable en termes de santé publique) ». Or cela peut être totalement faux, notamment avec un sars-cov-2 très asymptomatique comme le variant O-micron. Si la contamination par O-micron bénin atteint un jour 50% de la population, les 1.700 morts/jour habituels d’autrefois (vieillesse, diverses maladies, accidents) seront dits 850 tués/jour par covid19, avec grands cris d’alarme, totalement erronés, pour un virus non léthal, voire presque non pathogène. C’est une erreur de méthode, un énorme mensonge. Autrefois, avec des variants dits graves, ça pouvait passer un peu inaperçu mais maintenant avec un variant bénin, ça devient criant de mauvaise foi.
   Imposer une dictature « sanitaire » en ce nom (interdisant le train et l’hôpital de contrôle/surveillance) est un crime politique. Et cela se fait au nom de vies sauvées, en cachant que ces vies sont comptées faussement. Faux et usage de faux, c’est de l’escroquerie, méritant destitution. A mon avis (certes pas selon les autorités ayant le pouvoir, pratiquant l’abus d’autorité en très grande routine).

* Ajout 318, 21/02/2022 (7h) Une autre dame intéressante
   Hier soir était interviewée dans l’émission « face à Rioufol » (chaine télé C-News) la docteure épidémiologiste Alice Desbiolles, auteure de l’ouvrage « L’éco-anxiété ». Elle a essayé de ne pas trop dire que, sur le sujet covid19, le gouvernement avait eu vraiment tort dans toutes ses décisions mais plutôt que celles-ci étaient toutes contestables. Et à la question « est-ce que le chiffre de 130.000 tués par covid en France vous parait à suspecter ? », elle a dit qu’il faudra effectivement se poser la question, pour séparer prochainement les morts « par » covid 19 des morts « avec » covid 19, le total vraiment causal pouvant être bien plus bas en vrai (que tout confondu).
   Merci madame, pour cette évidence enfin confirmée, publiquement.

* Ajout 319, 24/02/2022 (18h) Cas proches faux positifs ?
   Une amie m’apprend son désarroi car elle et sa mère ont eu la maladie covid19 faible il y a quelques semaines (test antigénique positif), mais elles ont décidé (contre l’avis de leur médecin traitant) de faire une sérologie, et toutes deux sortent négatives à ce test covid-là. Elles avaient eu un covid à signes atypiques, me dit-elle, même si ça n’explique rien. Qu’est-ce que j’en pense ?
1/ Tour d’abord je crois comprendre le médecin traitant, qui serait là compétent ayant conscience que tout ce que racontent les autorités présuppose 0% de faux positifs, 0% de faux négatifs, et que la vérité, bien moins propre, risque d’affoler ses patients, et il juge cela inutile, au sens : (selon lui) « mieux vaut vivre aveugles confiants que lucides déroutés (ou scandalisés ou rebelles) »…
2/ Ensuite, je regarde sur Internet si je trouve des taux de faux résultats sars-cov-2, puisqu’avec cette maladie incroyablement (coupablement ?) le diagnostic de maladie in vivo/médical a été remplacé par le constat de positivité au test in vitro/biochimique. Pour coller à la situation de cette famille amie, je me focalise sur les faux positifs du test antigénique. Et un petit rappel permet de lire les mots résumés de performances :

   « https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/12/21/que-sait-on-de-la-fiabilite-des-tests-antigeniques_6106923_4355770.html » indique que la sensibilité des tests antigéniques est mauvaise (nombreux faux négatifs) mais la spécificité est excellente (1 à 2% maximum de faux positifs). « https://covid-19.sciensano.be/fr/procedures/tests-rapides-antigeniques-ag-0 » dit que « La probabilité de résultats faussement positifs augmente donc fortement à faible prévalence (voir exemple dans le tableau ci-dessous) […] sensibilité 85% ; prévalence 0,1% ; spécificité 97% ; implique Pourcentage de résultats vrais positifs (valeur prédictive positive) 59,9%» et 2,8% avec prévalence 0,1% ». Ces 59,9% et 2,8% sont logiquement équivalents à 40,1% et 97,2% des résultats de test positifs sont des faux positifs. Oui, la fausse positivité est de la très grande routine, avec probabilité souvent supérieure à 50%. Ceci explique cela. Il y a simplement qu’est abominablement faux le discours officiel considérant à 0% cette valeur, pour donner le pass sanitaire/vaccinal notamment. Ce ne serait pas un incroyable mystère mais une habitude cachée au grand public par les prétendus « sachants », pour préserver leur aura (imméritée) et celle des gouvernants (en fait ridicules).
3/ Par ailleurs, la notion de signes typiques ou non pour covid est immensément relative, puisqu’on appelle « malade covid » quelqu’un d’asymptomatique, malade en rien, mais positif au test sars cov-2. Au temps du confinement, il était aussi notoire que tout et n’importe quoi valait suspicion de covid19, sans aucune notion de signes typiques, tout étant inclus (fièvre, diarrhée, fatigue, maux de tête, courbatures, etc.), maximisant les chiffres, et l’angoisse populaire, et la demande du vaccin, hum… Puis les sauveurs sont arrivés, votez pour moi, puis euh… il s’est avéré que les vaccinés attrapaient la maladie aussi, la transmettaient aussi, mais on allait persécuter quiconque oserait ne pas demander cette vaccination (non obligatoire puisque les risques à 5 ans en sont totalement inconnus, pouvant aller jusqu’à 100% de mort subite, hum, il suffit de ne pas en parler, de traiter d’irrationnels les lucides et hop, c’est avalé par la majorité !). Ça me semble de la manipulation caractérisée, crédible en rien.
   Bilan : tout cela confirme le résultat très lamentable de la politique déguisée en science, et cachant tout ce qui serait gênant pour son autorité (ou autoritarisme)…

* Ajout 320, 28/02/2022 (11h) Suite de discussion ancienne
   Mon ami contradicteur habituel (en politique et philosophie) répond tardivement à mon ajout 215, qui lui répondait à l’époque (il y a 6 mois). Ce sont de nouvelles idées, méritant réponses spéciales. Il dit cette fois (c’est moi qui numérote) : « 1/ Je ne vois pas de différences, différences que tu fais, entre ma méfiance vis a vis des vaccins à ARN et tes propres arguments. Les tiens sont plus techniques et plus scientifiques, ce qui n’a rien de surprenant. 2/ Je ne trouve pas du tout sain que ces médecins se contredisent entre eux. Il y a bien une vérité scientifique au moins a minima. Ça me fait penser à l’économie où les théories les plus contradictoires sont présentes discréditant la discipline. 3/ Je ne suis pas responsable des insuffisances de la langue française qui est une langue très imprécise. Je croyais qu’on était d’accord là-dessus. Si le terme « homme » définit le mâle de l’espèce ou l’espèce, ce n’est pas de ma faute. 4/ L’idée me semblait intéressante c’est tout. Mais le futur t’a donné raison avec l’omicron. 5/ Les partis d’opposition sont déjà en partie interdits : je pense aux gilets jaunes estropiés ou en prison. Quant aux partis officiels, les magouilles de représentation leur ont enlevé tout pouvoir. Avec 15% des inscrits, Macron et sa bande ont les pleins pouvoirs. Un véritable bourrage d’urnes. Et sur quel article de la constitution macron s’appuie-t-il pour proclamer des états d’urgences qui deviennent permanents. Si ce n’est pas une dictature, explique-moi ce qu’est une dictature. »
   Je réponds :
1/ Mes arguments sur ce point 1 n’étaient pas techniques ni scientifiques mais simplement logiques, compréhensibles d’un littéraire ou poète (tout adulte ou adolescent passé l’âge de raison). Par contre, j’ai entendu à la télévision l’argument de mon ami : « on n’a que très peu de recul sur les vaccins à ARN » et cet argument, contrairement aux miens (cachés car tellement embarrassants) était publiquement balayé comme faux en certifiant que « on a tout au contraire plus de 20 ans de recul sur les vaccins à ARN ! [Circulez, y’a rien à voir !] ». Je ne suis pas d’accord avec cette réponse (en fait c’est « DES vaccins à ARN, différents » non « CES vaccins à ARN-là »), et dans la mesure où chaque remède devrait (devait, depuis le scandale thalidomide) être suspecté au départ comme dangereux, sans généraliser par famille en aveugle (ce qui trahirait le moderne principe de précaution), cela devait s’appliquer à eux, même avec recul sur des cousins. Or cette objection s’applique autant aux vaccins à ADN ou protéines recombinantes : je traitais donc tout, alors que mon ami soulevait une objection elle-même très contestée (et les réponses à cela font que son objection de départ était mal ciblée).
2/ Quand on clame « la médecine est un art » (puisque à prédictions souvent démenties, sans obligation de résultat), il est clair que ce sont des avis différents, des voies incertaines assez libres, les contradictions entre médecins ne sont donc en rien surprenantes. Par contre affirmer, avec les autorités et médias, que les médecins disent LE vrai, donc unique, cela était clairement faux, et la fausseté a éclaté au grand jour avec les contradictions, très normales. Affirmer qu’il y a en médecine « une » vérité scientifique est un très mauvais jeu de mot, à mon avis erroné : il a ainsi été clamé que les contradictions gouvernementales n’en sont pas, car « la vérité » de Juin 2021 n’est pas « la vérité » de Janvier 2021, ce sont « des » vérités, chacune étant « une » vérité. Je ne suis pas d’accord du tout : si en Juin 2021 est apparu totalement faux ce qui était appelé vérité en Janvier 2021, il faudrait dire que c’était une erreur en Janvier 2021, abusivement affirmée vérité (ne serait-ce que temporaire). Sinon tout et n’importe quoi est vérité en même temps et contradictoirement, la notion de vérité ne mérite plu’ que la poubelle. C’est abusif. Pas sûr qu’on puisse atteindre « la vérité », mais c’est un idéal, un but. Ce n’est pas à chaque moment que, par définition, il y a une vérité minimale. Non : le consensus actuel pourra s’avérer une erreur demain ou après-demain. Je suis d’accord par contre que l’économie est aussi pleine d’erreurs, clamant détenir « la vérité » à tort, comme le montrent les avis contradictoires affirmés indéniables.
3/ C’est un malentendu, une objection erronée qui m’est là adressée, comme une accusation de sexisme, alors que la phrase source (de mon ami) était « Une des rares que j’ai trouvée convaincante, peut-être parce que c’est une femme et donc moins grande gueule que les hommes, est Catherine Hill. » Ça n’employait pas le mot Homme comme l’espèce mais comme l’opposé de Femme, en envisageant fortement la relation causale « Femme = moins grande gueule qu’un mâle », ce que je contestais, à raison à mon avis, totalement confirmé.
4/ OK.
5/ (C'est plus politique que biomédical, mais je réponds ici quand même, plutôt que sur un de mes sites spécialisés ainsi). Sur le fond, je suis d’accord avec mon ami quant à la dictature autour de nous (précision : ce ne sont pas « tous les opposants » qui sont en prison, des avis fortement différents étant assez libres, comme ceux de Marine Le Pen, Eric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Philippe Poutou, Nathalie Arthaud). J’ai adoré sur Internet voir une dame (aide-soignante noire, d’après mes souvenirs), juste après l’allocation macronienne de l’été 2021 décrétant la punition dorénavant des soignants non-vaccinés, le traiter de « dictateur », hurlant ce jugement, ajoutant qu’il allait en Afrique voir comment font les dictateurs là-bas, pour faire pareil ici. C’était bien plus convaincant que tous les propos journalistiques mielleux osant une demi-objection ici ou là. Inversement, j’ai entendu au moins douze journalistes affirmant totalement stupide, ou complètement idiot, d’affirmer qu’ici est une dictature, puisqu’on peut le dire sans être emprisonné ni tué, au contraire d’une vraie dictature, interdisant tout mot critique avec sanction grave immédiate, pour chaque individu même anonyme (« que ces imbéciles aillent voir en Chine ou Corée du Nord, ce que ça veut dire en vrai, le mot dictature ! »). Mon avis est entre les deux : la démocratie à la Macron est une fausse démocratie, j’en suis persuadé ; certes ce n’est pas la plus horrible dictature du monde, mais plusieurs pas vers la dictature ont été effectués, en plus du socle 5e république qui était déjà très contestable (qualifiée de « monarchique » par plein de commentateurs autorisés – et Macron qui avait promis une part de proportionnelle en 2017 s’est avéré un menteur ne le faisant absolument pas, sciemment pour garder un maximum de pouvoir personnel avec ses admirateurs sur-représentés). Et puis… le gouvernement par conseils de défense secrets, ça cache au peuple les motivations des décisions ; le gouvernement par ordonnances évite la soumission au parlement ayant une opposition ; le fait que la majorité parlementaire ait donné les pleins pouvoirs à l’exécutif évite aussi que l’opposition parlementaire puisse objecter, discuter ; le commandement jupitérien court-circuitant les interlocuteurs intermédiaires (syndicalistes, représentants d’associations, élus de terrain, etc.) était aussi revendiqué comme un caractère « innovant » spécifiquement macronien ; le fait que le gouvernement au nom de la crise sanitaire prive le peuple des libertés élémentaires, et veuille « emmerder » (avoué en clair) les non-vaccinés n’enfreignant aucune loi… tout ça va dans le sens d’une dictature : le grand chef impose ses diktats et punit les citoyens en désaccord, dont le statut de citoyen est même dénié, au nom de la prétendue irresponsabilité. Certes, il y a encore des élections prévues, avec davantage qu’un seul candidat (vivant), [et ce n'est pas une élection à l'iranienne sans enveloppe à bulletin vert Oui ou Rouge Non, la personne tenant l'urne ayant une mitraillette, avec 100,00% de Oui des électeurs, vivants...], oui ici maintenant ce n’est pas 100% dictatorial, peut-être 50%. Ce n’est pas une dictature pleine et entière, c’est une fausse démocratie cachant qu’elle est partiellement dictatoriale. Ceci dit, j’étais déjà immensément critique avant-même ces abus-là : l’abolition de la peine de mort contre l’avis populaire (1981, gauche), la trahison du référendum sur l’Europe (2005-2008, droite), cela indiquait déjà que la république n’est pas une démocratie : ce n’est pas le peuple qui commande mais des faux représentants, élus hélas en devant choisir entre le mal et le pire, dans un système bétonné contre les options nouvelles, extérieures au système dominant. S’il y avait (au sens propre) « bourrage d’urnes » (je n’en ai pas entendu parler récemment), ce serait encore pire, mais la critique sévère du système n’a pas besoin de cela.

* Ajout 321, 16/03/2022 (20h) Macron nullissime encore
   J’ai vu aujourd’hui à la télé le président Macron répondre à une soignante l’abordant dans la rue, en larmes, car interdite de travail et sans salaire parce que non vaccinée, demandant à retourner au travail (payé). Et le président Macron, avec sa réponse négative (si cette soignante reste non-vaccinée), prétend que 1/ beaucoup de soignants se sont fait vacciner, par responsabilité ; 2/ qu’il n’est pas possible que des malades viennent à l’hôpital pour se faire soigner et attrapent covid car cette dame soignante n’a pas voulu se faire vacciner.
   Cela me parait relever de l’imbécilité ou/et du mensonge outrancier (nullement signalé par les commentateurs télé) :
1/ La plupart des gens que je connais qui se sont fait vacciner ne l’ont nullement fait par conviction que c’était bien pour leur santé et celle des autres mais pour échapper aux sanctions, punitions, dictatoriales (ou autoritaristes, la propagande suffisant pour maintenir des élections avec continuation de ce pouvoir faussement dit démocratique). Obéir sous la contrainte et la menace, non ce n'est pas exercer sa pleine et entière responsabilité, ce président risque sinon de dire que les violées se sont fait engrosser par responsabilité pour la démographie nationale – on croit rêver, ou cauchemarder.
2/ Les vaccinés contaminent comme les non-vaccinés, cela a été établi après les mensonges initiaux. Affirmer qu’une non-vaccinée va contaminer car non-vaccinée, c’est de l’accusation mensongère, méritant plainte en retour, condamnation de l’accusateur mensonger, avec circonstance aggravante d’avoir persécuté les gens en désaccord avec lui, et interdiction pour lui de postuler à élection présidentielle… du moins en théorie, mais pas légalement puisque les lois sont écrites par ses copains, pourris actifs (et menteusement en notre nom à nous).

* Ajout 322, 27/03/2022 (8h) Un peu à côté du sujet : Dr Louis Fouché
   Une amie m’a indiqué comme intéressante une interview du Dr Louis Fouché, réanimateur hospitalier (se disant démissionnaire dans l’interview) dénonçant la façon dont a été gérée la crise covid (https://pure-sante.info/video-choc-louis-fouche/ ). C’est long, plus d’une heure et demie, cela reprend semble-t-il le contenu de son livre « Tous résistants dans l’âme ! » (titre qu’il dit lui avoir été imposé par son éditeur, il aurait préféré « bienfaiteurs du vivant »). Beaucoup de choses qu’il dit me paraissent sensées et graves : les conflits d’intérêt chez les prétendus experts en covid, les condamnations judiciaires en série de Pfizer leader de la vaccination anti-covid, la focalisation hypnotique qu’a constituée la crise covid amenant plein de gens à se faire gendarmes du Bien (masque, vaccination), etc. Mais j’ai noté 7 points avec lesquels je suis en désaccord, au moins partiel, et je vais les détailler ci-après (pour mémoire, pas pour importance en ce qui concerne la question covid) :
1/ Ce docteur appelle avec immense insistance à en revenir au Réel, et par ailleurs il sépare le réalisme (bien) et l’idéalisme (mal). Je ne suis pas d’accord : au nom du réalisme, le ministre de la Santé faisait taire toute objection sur la gestion covid en appelant les contestataires à venir voir les mourants covid, ce qui faisait taire tout le monde (accusé de monstruosité inhumaine sinon), et je n’aime pas ça. Des mourants, il y en a des milliers par jour en France, avec ou sans covid, et pourquoi se focaliser sur certains, au nom du réalisme, interdirait-il de réfléchir, sur le plan des idées, des principes, de la logique élémentaire ? Par ailleurs, ce docteur semble ignorer que le réalisme est une escroquerie, due à Descartes, ayant bien trouvé la sagesse sceptique par le doute, mais avant de tout reconstruire par une avalanche d’illogismes, non dénoncée par les philosophes contemporains et ultérieurs (sauf moi, des siècles après). Rien ne prouve qu’il y ait un réel, rien ne prouve fausse l’hypothèse du rêve (mon rêve présent). Appeler à vénérer le Réel est idiot dans ces conditions. Désolé.
2/ Ce docteur approuve la « Médecine basée sur les Preuves » (« Evidence Based Medicine » en Anglais), tout en disant que les protocoles d’expérimentation de grande taille et en double aveugle (avec leurs preuves statistiques) sont beaucoup trop chers, donc réservés aux grands groupes dominants financièrement. Il oublie gravement de signaler l’abus de pouvoir statistique, basé sur des formules/méthodes que j’ai mathématiquement/logiquement prouvées fausses, et qui – sur les grands principes – commet l’erreur totale d’affirmer qu’un échantillon est automatiquement représentatif s’il est tiré au hasard, ce qui est faux. Aucun échantillon n’est prouvé représentatif, éviter les biais connus ne garantit en rien qu’on échappe aux biais inconnus, les statistiques sur échantillon sont intégralement abusives, mais ce docteur non-matheux l’ignore, et impose des fausses preuves, c’est moche, stupide, grave.
3/ Ce docteur parle de la prolétarisation médicale comme mouvement tendant à faire perdre au gens tout savoir en matière médicale, pour qu’ils obéissent aux médecins sans réfléchir (ces médecins eux-mêmes étant débordés par les nouvelles et devant prescrire sans réfléchir en croyant les prétendus experts). Euh, on a vu ça dans la crise covid, où on interdisait de parole les gens n’étant pas médecins, pas « experts », mais je dénie qu’il y avait un « savoir » médical chez les gens avant (et qu’il y a un savoir maintenant chez les experts, c’est un autre sujet). Ouï-dire n’est pas savoir, et s’il faut 9 ans d’études après le Bac pour former un médecin, il semble que c’est pour lui faire ingurgiter bien davantage de choses que ce dont sont informés les non-médecins. Et je dénie que ces études de médecine (comme avis d’experts en formation continue) inculquent du savoir indubitable, puisqu’il est souvent contredit par les changements de théorie scientifique dominante (donc du prétendu savoir est reclassé erreur, et on l’ignore à l’avance). Bref, je suis en total désaccord avec les mots de ce docteur sur ce sujet.
4/ Ce docteur critique la démocratie macronnienne avec ses ordonnances évitant l’opposition, ses conseils de défense secrets, ceci traduisant bien plutôt un fonctionnement totalitaire. Oui, mais il oublie gravement que la république est une fausse démocratie, comme prouvé par l’abolition de la peine de mort en 1981 contre l’avis populaire, puis la trahison du référendum de 2005, les élus étant des faux représentants n’en faisant qu’à leur guise. Il faudrait le référendum d’initiative populaire à valeur exécutoire (façon suisse) pour les virer immédiatement en cas de trahison, donc les obliger à obéir au peuple, représenter enfin le peuple pour de vrai. Ce problème de principe me semble immensément plus grave que telle dérive ponctuelle récente.
5/ Ce docteur dit que plein de gens ont des « bullshit jobs », métiers sans aucune utilité et ils le savent. Come dircom (et autres dir que je n’ai pas notés). Je suis gêné, ce docteur ne semblant que fréquenter des directeurs chers payés et pas des petits employés. Sa vision me parait donc totalement tronquée, presque inintéressante, propre à une caste friquée pourrie. Par ailleurs, des directeurs de département peuvent être une calamité broyant des subalternes, il est faux de dire que leurs postes sont anodins sans aucune importance. En pouvoir de nuisance, ce n’est pas rien.
6/ Au nom de la biodiversité et avec le respect du vivant, ce docteur appelle à manger du fermenté. Je ne suis pas d’accord, enfin je peux manger du yaourt mais j’ai une totale aversion pour fromage affiné, vin/bière/cidre, saucisson, jambon cru, olives etc. Que son bla-bla affirme que c’est bien ne me convint en rien, moi je juge que ces produits ne sont pas comestibles. Comme du caca microbien, berk (j’ai les récepteurs pour m’en détourner, pas lui, ça ne lui donne pas raison).
7/ Ce docteur appelle à se demander comment s’organiser avec la Beauté du monde extérieur (au contraire de la vision cartésienne de l’humain dominant la Nature), et par ailleurs il répète à plusieurs reprises son immense admiration des Artistes. Je ne suis pas d’accord en partie, non que je veuille écrabouiller la Nature, mais la notion de Beauté objective me parait du mauvais bla-bla. Un cinéaste animalier pourra filmer la "splendide" course du guépard attrapant une gazelle et parler de beauté, mais la gazelle assassinée n’y voit pas de beauté, tout est relatif. De même, plein de trucs prétendus artistiques me semblent simplement merdeux, pas beaux du tout et fiers totalement à tort. Oui, il y a un sentiment de beau ici ou là (ou de bon en nourriture), mais c’est purement subjectif personnel, pas grandiose à mon avis. Je ne crois pas en une beauté intrinsèque, tout n'est qu'affaire de regard en la matière, et il est injuste d'affirmer que le goût "j'aime" est supérieur au goût "je n'aime pas" ; chacun ses goûts.
   Bref, même s'il est intéressant ici ou là, ce docteur ne me parait pas un exemple de sagesse, mais de point de vue partisan, engagé (et mal engagé parfois) oubliant de noter combien il est lui-même contestable.

* Ajout 323, 29/03/2022 (10h) Rechute médiatique
   Je vois ce matin afficher le titre « hier, 151 personnes sont décédées du covid19 », et un des jours passés, j’ai aperçu pareillement un nombre d’hospitalisés « pour cause de covid19 ». C’est un grand retour en arrière, oubliant les précautions oratoires requises par la logique. En effet, il n’y a aucune démonstration de cause à effet en routine pour les morts ou les hospitalisés. Il s’agit seulement des morts ou hospitalisés AVEC positivité au TEST de contamination Sars-cov-2, même s’ils sont malades de diabète ou morts de vieillesse. L’affirmation de causalité sans argument (ni même examen contradictoire critique), c’est du faux et usage de faux, qui reprend le dessus hélas.

* Ajout 324, 01/04/2022 (19h) Intéressante formulation
   J’ai reçu une copie gratuite du nouveau numéro papier du journal France-Soir. Et j’y lis un paragraphe ultra-intéressant : « Une chose est sûre : "en changeant constamment les règles, en clivant les individus, en culpabilisant les citoyens réfractaires,... il a utilisé les mécanismes de soumission que l’on retrouve dans les familles maltraitantes", analyse Yoanna Micoud. » Qu’est-ce que j’en pense ?
   Effectivement cela traduit avec des mots bienvenus ce que je ressentais vaguement : le gouvernement Macron a scandaleusement « maltraité » des gens réfléchissant avec davantage de pertinence que lui, c’est un scandale total, méritant théoriquement sanction judiciaire (sauf que ces gouvernants honteux écrivent les lois à leur profit, ce qui pointe la pourriture totale de cette république, non représentative, injuste, toute pourrie).
   J’écris ça le 1er Avril, mais ce n’est en rien une plaisanterie.
   Je lis plus loin des mots utiles, plus adaptés que le vocable « dictature » : « La seule attitude qui guide(ra) l’action d’un président parangon de la caste bureaucratique, est de donner, quelle que soit la question posée, une réponse a priori et abstraite : le bien ne se construit(ra) pas collectivement, il s’impose(ra) à vous, fût-ce malgré vous. La "théâtrocratie" devient autocratie. En ce sens, il incarne la fin de l’idéal démocratique ! ». Puis un mot d’Ivan Rioufol : « (…) Jamais un chef d’État, prétendument protecteur de son peuple, n’a autant fracturé la société. L’insulte est ce qui vient en premier à la bouche de l’autocrate qui dit : "Je, je, je". "Les non vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer à le faire, jusqu’au bout" : ça, c’était en janvier dernier. Mais il faudrait aussi rappeler ses insultes contre (…) "On les aura ces connards !". Il faudrait rappeler : "Ceux qui ne sont rien", "la lèpre qui monte", "les fainéants et les cyniques", "les salariées illettrées", etc. Le peuple, après cinq ans de macronisme, est en droit de s’estimer en légitime défense. Le "populisme", c’est-à-dire la voix des citoyens qui souffrent, est l’ennemi de cet incendiaire au regard fixe. (…) ».
   Je vais donner quelques sous, comme pour acheter ce numéro gratuit, merci. Comme 5€ paiement pour ce numéro bienvenu + 5€ soutien futur.

* Ajout 325, 04/04/2022 (5h) Un virus humainement fabriqué ?
   Une amie m’écrit : « Je discutais il y a peu avec une amie au sujet de Covid 19. Elle me disait avoir entendu que le virus avait été créé, mis au point, par des scientifiques. Bien sûr j'avais moi-même entendu cette théorie à de nombreuses reprises, surtout au cours des premiers mois de la pandémie. Mais depuis la commercialisation des vaccins, cette question de l'origine du virus ne semble plus beaucoup traitée sur les réseaux sociaux. En fait mon amie aurait voulu mettre la main sur un article traitant de la question avec des arguments bien étayés. Je ne sais pas où je pourrais trouver ça, aussi je me tourne vers toi : saurais-tu où trouver ce genre d'article ? ».
   Il est possible de demander à Google de donner des liens vers des articles à ce sujet surtout en posant la question en anglais, mais la fiabilité de ces articles n’est en rien garantie. De même pour la littérature scientifique avec les outils de recherche que j’avais autrefois au labo (Current Contents, etc.), mais c’est pareil : qu’un article soit publié en revue scientifique à comité de lecture n’implique en rien qu’il est fiable. J’ai l’expérience professionnelle d’avoir (commandé une copie et) reçu un article incroyable sur le plan statistique, et quand j’ai demandé à notre biostatisticien si c’était vrai, cet outil employé ainsi, il m’a répondu que non, bien sûr, si c’est publié c’est que les relecteurs sont aussi nuls que l’auteur. Les politiciens et médias ne le savent pas, croient que scientifique-publié = vrai, c’est de l’incompétence totale, une forme fanatique de l’erreur scientiste. Avant de devenir « vérité scientifique », une observation doit suivre un parcours gigantesque de confirmations, discussions, présentations en colloques, avant éventuel consensus, qui n’est d’ailleurs que temporaire, pas éternel, par principe.
   Ceci dit, en 2020 j’ai parlé du sujet, présenté à la télé : ajout 14 de ce site, 2e partie (« à 15h »).
   Je peux ajouter un mot de précision : la comparaison informatique à tout le monde vivant séquencé/publié se fait par exemple avec l'outil BLAST gratuit du NCCLS étasunien, ou avec celui du logiciel commercial Smartgene qui avait des avantages de détail pour fiabiliser la réponse, comme des indicateurs moyens par taxons ("centroïdes") en plus des séquences individuelles. Des comparaisons plus fines, base par base, avec ajouts et délétions éventuels, sont possibles avec d'autres outils informatiques que j'employais, mais sans balayer l'ensemble du vivant.
   Pour résumer en quelques mots : je ne vois pas comment on pourrait différencier assurément ce que fait un labo humain et ce que pourrait faire la Nature en milliards de milliards d’essais. Des prétendus scientifiques peuvent clamer « il est prouvé que », les croire relève généralement de la croyance, et pas de la vérité indubitable au sens mathématique où tout le monde admettant les axiomes confirme la même conclusion. Bref, il est possible que de mauvais articles scientifiques affirment prouvé que le sars-cov-2 est naturel, ou au contraire artificiel, ça n’implique en rien que c’est vrai. A mon avis, il vaut mieux avoir du recul épistémologique (épistémologie = philosophie des Sciences) que de s’immerger dans les articles bruts affirmant immensément davantage qu’ils n’en ont logiquement le droit.

* Ajout 326, 14/04/2022 (5h...15h) Livre banni ?
   A la télévision, je connaissais Marc Menant comme un théâtreux raconteur d’Histoire, plutôt peu plaisant, et puis il a été signalé qu’il avait écrit et publié un livre sur les vaccins (« L’inquiétante histoire des vaccins »), immédiatement en tête des ventes. Bof, je ne voyais pas quelle compétence il pouvait avoir sur ce sujet (à supposer qu’il l’ait écrit lui-même, ce dont je doutais), donc je n’étais pas intéressé. Mais hier, en émission-débat Morandini-Live, il était invité en tant qu’auteur de ce livre, et l’autre invité, membre de LREM, ne lui laissait pas finir une phrase, l’insultant comme « complotiste ». Cela m’a choqué, et du coup j’envisage fort d’acheter ce livre, apparemment dérangeant pour le pouvoir. Même à titre de soutien, je serais heureux que le chiffre des ventes montre contre-productive la censure-télé par le parti au pouvoir.
   Après l’avoir lu, ce jour : je suis effaré de lire que les principaux soutiens de Louis Pasteur ont fraudé dans leurs résultats, pensant le faire pour la bonne cause, que l’éradication de la variole n’est pas prouvée causée par la vaccination, de même que l’immense réduction de la polio. Oh, ce n’est pas parce que cet auteur l’écrit que je le crois lui sur parole, mais je ne croirai plu’ les gens m’affirmant le contraire, je leur demanderai leurs preuves s’ils m’assènent le prétendu argument. Dans le livre déjà (avant le débat-télé), il présageait que quiconque dit quelque chose contre la pensée unique sera traité de complotiste, et il parle de la prise d’intérêt dans les vaccins des capitalistes, tout en disant que ce n’est pas le sujet de ce livre que d’en donner les détails.
   Pour la partie risques des médicaments, il n’est pas convaincant, rien n’indiquant que les états graves ou décès ont pour cause le médicament. En tant qu’hypothèse et suspicion, c’est possible, mais il ne s’agit pas de preuve. Par contre, il y a un excellent chapitre contre le surdiagnostic, les aberrations du dépistage systématique (signalant par exemple que le fœtus d’Albert Einstein aurait été avorté de nos jours, pour anormalité cérébrale…). Excellente critique aussi des abus de la psychiatrie s’imposant sur n’importe quoi. Je ne regrette pas cet achat de livre, même s’il est peu majeur concernant le sujet covid19.

* Ajout 327, 30/04/2022 (15h) Nouvelle couche
   On me transmet un texte (de source FaceBook/Le Grand Réveil) : « Moderna a annoncé vendredi 29 avril avoir déposé une demande de modification de l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle auprès de l'Agence européenne des médicaments pour l'évaluation (…) vaccin de la société contre le COVID-19, chez les enfants dès l'âge de 6 mois. "Nous sommes fiers d'annoncer ce dépôt de dossier pour l'utilisation de notre vaccin contre le COVID-19 chez les enfants âgés de 6 mois à moins de 6 ans dans l'Union européenne", a déclaré Stéphane Bancel, directeur général de Moderna. "Nous pensons que notre vaccin sera en mesure de protéger en toute sécurité ce groupe d'âge important contre le SRAS-CoV-2, ce qui est vital dans notre lutte continue contre le COVID-19 et sera particulièrement bien accueilli par les parents et les soignants de ces enfants." » Qu’est-ce que j’en pense ?
   J’en pense que les parents seront contents si on continue à leur mentir en leur cachant que l’étude de pouvoir cancérigène n’a pas été effectuée sur ce produit : elle demanderait 5 ans, alors c’est déclaré « trop long, donc aucun risque, enfin on n’a absolument aucune preuve expérimentale mais des blouses blanches dits scientifiques le disent alors c’est forcément vrai » ! Et il n’y a même plu’ de raison à pareille prise de risque, puisque covid19 est devenu une infection mineure sans danger spécial. C’est effarant de mauvaise foi de la part des autorités officielles donnant l’agrément abusivement, et je pense que c’est de l’escroquerie en bande organisée de la part de l’entreprise en question et son chef devenu milliardaire « grâce à » cela. Sans me surprendre : je l’avais vu mentir de manière éhontée quand il était grand grand chef chez nous. J’étais choqué et, (en très stupide et chère formation « psychologie/résolution des conflits » qu’il faisait dispenser à tous,) on m’avait répondu que si je n’étais pas content, je pouvais démissionner… Maintenant qu’il est parti s’enrichir ailleurs, je lui retourne dans sa face, à titre privé : je reconnais bien là le menteur escroc que j’ai connu, inchangé…

* Ajout 328, 01/05/2022 (6h) Conseil constitutionnel complice ?
   Sur mon site analysant/démolissant la constitution, j’ai écrit, en premier jet (à propos de l’article 4) « violant la constitution sans alarmer en rien le conseil constitutionnel pourri (et achetable : on l’a vu dans la crise covid affirmer tout puis son contraire, pour donner dans presque tous les cas raison aux dirigeants). » Euh, j’ai entendu la télé le dire, crois-je bien me souvenir, mais il serait bien que j’en garde la trace plus précisément. Je crois que c’était pour une gouvernementale restriction de liberté, où le conseil constitutionnel avait dit quelque chose comme « on accepte, de justesse, parce que ça ne présente pas telle propriété donc ça passe, limite. » Puis la mesure liberticide suivante a enfreint la limite en question, donc il était envisagé par les observateurs que le conseil constitutionnel allait refuser, mais il a validé quand même, en totale contradiction avec son jugement antérieur, dans les deux cas pour donner raison au gouvernement. L’incohérence au service de l’approbation servile, démentant l’objectivité de ce conseil, prouvant sa malhonnêteté même.
   Je vais chercher avec Google davantage de détails, avant que tout ça soit oublié.
   Difficile de trouver, mais https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/pourquoi-le-passe-sanitaire-est-illegal-malgre-la-decision-du-conseil-constitutionnel dit « dans son avis du 19 juillet 2021, le Conseil d’État a souligné que l’application du passe sanitaire ne devait pas être justifiée par un "un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner". ». Puis le gouvernement a instauré le pass vaccinal, reconnaissant publiquement que le seul but est de pousser les gens à se faire vacciner (puisqu’il n’y a pas de justification sanitaire, les vaccinés contaminant autant que les non-vaccinés,). Et le Conseil d’Etat (comme le conseil constitutionnel) a validé cette nouvelle loi. Ce serait donc le Conseil d’Etat qui se serait contredit, pas le conseil constitutionnel.
   Je vais corriger mon texte-source en ce sens : « ou bien je confonds avec le Conseil d’Etat ».

* Ajout 329, 04/05/2022 (6h) Vidéo anti-vaccin américaine
   Une amie (refusant la télé, préférant Internet) m’a transmis une vidéo impressionnante d’AlphaNews montrant les très nombreux blessés du vaccin (anti-covid-19), ayant eu leur vie ruinée par cette vaccination. J’ai répondu :
   « J’ai vu ta vidéo, merci. Et je confirme que je n’ai jamais vu ça à la télé, de près ou de loin. Il n’y avait (à l’époque) que des traumatisés témoignant, un par un, environ un par mois. Et il y a beaucoup davantage de gens qui n’ont aucun effet que de gens traumatisés, abimés. Merci.
   Toutefois, je ne veux pas faire la promotion du vaccin, pas du tout, mais la vidéo n’est absolument pas probante. En effet, la culpabilité du vaccin est systématiquement affirmée avec l’explication « mon médecin a dit que c’était dû au vaccin », ce à quoi le doute scientifique devrait répondre ; « avec quelles preuves indéniables affirme-t-il cette causalité ? ». En l’absence de cela, l’argumentaire ne vaut rien. Même sans vaccin, tant de milliers de gens développent soudain une maladie, si avec ce vaccin c’est environ pareil, ça ne veut pas dire que les maladies en question sont dues au vaccin. Erreur de démonstration, faute scientifique oubliant de douter.
   MAIS, à mon avis, si l’attitude sceptique (qui me parait seule raisonnable) était suivie, peut-être qu’on n’aurait jamais dit que ce virus est un tueur dangereux, puisque cela a de la même manière été affirmé sans preuve, sur la base de jugements de médecins disant au pifomètre sans preuve, « c’est à cause de ce virus, c’est causé par le même déterminant que la positivité à ce test ». Sans preuve. C’est ce que je disais depuis le début : effectivement, les malades après vaccins ne sont pas prouvés malades à cause du vaccin, mais pareillement les malades après positivité sars-cov-2 ne sont pas prouvés malades à cause de ce virus (connu depuis le début comme très souvent asymptomatique, peut-être toujours).
   Pourquoi ça me concerne tant en me prenant aux tripes ? Euh, c’est le centre anti-cancéreux qui est en train de douter : ma douleur chronique (qui m’a encore réveillé cette nuit) est-elle liée au cancer qui a été vu (le 3e sur mes 4, le seul douloureux) ? Ou bien celui-ci est-il indolore comme les 3 autres, la douleur venant d’une autre pathologie, peut-être bien séquelle de mon escarre sacrée de 1999 suivie d’opération me ruinant la fesse gauche (ils ont pris cette fois des photos, impressionnés, jusqu’à présent ils ne regardaient que le scanner interne sans m’examiner pantalon baissé, c’est moi qui ai demandé cette fois si ce n’était pas lié aux énormes plis de la peau où se situe précisément le mal, chez moi (sans que je vois précisément puisque situé sur ma face arrière). Enfin ce n’est pas sûr non plu’, à suivre. En tout cas, avoir diagnostiqué 1/ il y a là douleur, 2/ il y a là cancer 3/ donc c’est le cancer qui cause cette douleur, 4/ c’est allé trop vite sans aucune preuve, et c’est peut-être faux. Ils pouvaient dire, même avec expérience, des choses fausses, le fait qu’ils soient médecins et expérimentés n’en protégeant pas, et presque aucunement.
   Il y a aussi que j’ai acheté et lu, après grande hésitation, le livre « l’inquiétante histoire des vaccins », avec un chapitre sur les méfaits du surdiagnostic, ça m’a marqué, fortement. Et, travaillant chez [B] 35 ans (moins 2 d’hôpital), j’ai peut-être fauté pour les requins s’enrichissant par cette frénésie de diagnostic in vitro affirmé expliquer toujours la maladie. J’ai trouvé aussi remarquable le chapitre sur la psychiatrisation excessive, et je pense être « en invalidité pour raisons psychiatriques » à tort, ça me confirme dans mes doutes. En l’occurrence, l’honnêteté anormale (en société capitaliste) est classée maladie mentale, comme en URSS pour d’autres dominants écraseurs mauvais…
   Merci en tout cas, en t’écrivant, je me concentre sur la logique et l’expression, j’oublie un peu la douleur (sourde, pas à hurler…).
   Merci encore. Euh, je te faisais juste part de mes doutes, pour cette vidéo, doutes possibles pas obligatoires, ça ne te donne pas tort d’y croire, je t’informe juste que moi je suis davantage réservé.
»
   Je pourrais ajouter qu’à d‘autres moments ou en d’autres lieux, la même erreur intervient pour d’autres dominants, comme les religieux (plutôt que les labos de big pharma). Ainsi le faux argumentaire « J’ai oublié le 24 Octobre ma 4e prière quotidienne, pour la toute première fois depuis mon baptême, et dans la nuit qui a suivi a eu lieu la gigantesque inondation ruinant ma ville, comme jamais de mémoire humaine depuis au moins 300 ans. Cette catastrophe est survenue donc à cause de moi, c’est prouvé : pourquoi cette inondation ce jour-là qui avait par hasard une probabilité inférieure à 1/(300*365,25) = 1/109.575 = 0,0009%, infiniment moins que les 5% considérés preuve dans le domaine bimédical, c’est donc une preuve absolue : Dieu a voulu punir mon manque de pratique religieuse fervente. » Sauf que ça ne marche pas qu'avec Dieu, mais aussi avec Allah, Grand Manitou, le Grand Prout des Nuages, la Nature, etc. Et le voisin de palier pourrait lui avoir prouvé que l'inondation est survenue après que (donc parce que), pour la première fois de sa vie, il s'est mouché le nez avec la main gauche (à cause d'une blessure de l'autre côté). Tout le monde "prouverait n'importe quoi", ce n'est pas probant du tout, non. Une coïncidence est possible sans valoir en rien preuve de causalité. Les statistiques incomprises, appliquées en étant mal pensées, sont une calamité.

* Ajout 330, 04/05/2022 bis (11h) Autre diagnostic, très intéressant
   Aujourd’hui, dans l’émission-télé-débat « L’heure des Pros », était interviewé le mari d’une femme morte la nuit passée « tuée par le vaccin » (c’est envisagé, pas affirmé, par le docteur ayant signé l’acte de décès). Ce monsieur (mal en point ce matin, évidemment, revenant après invitation un mois passé) signalait la nouvelle théorie selon laquelle ce vaccin anti-covid19 réveille des maladies dormantes en nous, en certains d’entre nous. Sans ce vaccin, la maladie ne se serait pas produite, mais cette maladie n’est pas une conséquence systématique chez chacun de cette vaccination (ne s’applique pas la loi d’autrefois « les mêmes causes donnent les mêmes effets »). Cela expliquerait beaucoup de choses, c’est très intéressant merci.
   Toutefois, j’avais lu la même chose concernant ce virus sars-cov-2 donnant « maladie covid19 » (et donnant rien asymptomatique chez la grande majorité des gens) : l’inflammation bénigne due à ce virus aurait la spécificité d’activer des maladies dormantes chez certains, d’où grande gravité possible mais pas chez tout le monde.
   J’ai l’impression qu’on est en train de voir un changement de paradigme en médecine et pharmacie, allant vers une personnification des conclusions, sans plu’ dire que tel agent pathogène attaque tout le monde pareil et tel remède guérit tout le monde pareil, non c’était trop simplifié, il semble bien que ce qui se passe est très différent. La gestion gouvernementale de cette complexité me semble cependant calamiteuse, affirmant prouvé un danger grave pour tous (du virus) ce qui est faux, et affirmant prouvé l’absence de danger pour tous (du remède) ce qui est faux. On avance dans la clarification, c’est bien.
   Certes la « loi » implicite en vigueur était « le risque zéro n’existe pas », mais je crois immensément douteux les affirmations (presque diktats) gouvernementaux : « le risque lié à ce virus est très grand », « le risque lié à ce vaccin est très petit ». Je crois qu’on n’en sait rien, plutôt (même s’il y aura toujours des prétendus experts avides d’autorité clamant qu’ils savent quel est le risque donc ce que tous doivent faire indéniablement – et les gouvernants passés, et réélus, décident de croire certains d’entre eux, hélas, en les affirmant « sachants » objectifs, ce qui est faux).

* Ajout 331, 11/05/2022 (11h) Auteur courageux ?
   Aujourd’hui dans l’émission « L’heure des Pros » était interviewé (avec hostilité, en lui coupant sans cesse la parole ou presque) Laurent Toubiana, épidémiologiste comme « hérétique » (hérétique un peu comme moi, même si je suis candide et pas docteur du tout). Il « osait » (bravo !) dire que la prétendue épidémie-gravissime Covid19 n’a pas généré de surmortalité, n’était pas une maladie grave, que sont morts des anciens ayant dépassé leur espérance de vie ce qui n’est guère anormal, que les pays n’ayant pas fait tout ce cirque ne se sont pas portés plus mal, que le « laisser-faire » en Grande-Bretagne et USA n’a pas été annulé pour situation grave mais parce que les dirigeants ont eu peur et ont finalement préféré prendre des mesures de terreur en étant sûrs que cela ne leur serait jamais reproché. Très très intéressant.
   Je crois que je vais acheter son livre « Covid19 - Une autre vision de l’épidémie », même si je le lirai plus tard, étant en plein dans un autre livre, sur un sujet très différent : la Constitution (abus d’un autre ordre, selon moi). A suivre. (Ce livre est « Numéro 1 des ventes », me dit Amazon, bravo, tandis que j’achète la version électronique, que je lirai d’ici 1 ou 2 mois.)

* Ajout 332, 13/05/2022 (18h) Livre de Toubiana, commenté
   Je ne récapitulerai pas ici les enseignements très intéressants de ce livre (« Covid19, une autre vision de l’épidémie »), pour ne pas dissuader les gens d’acheter le livre, mais je confirme que ça m’a grandement intéressé, confirmant et traçant beaucoup de faits qui m’avaient choqué, de conclusions partielles auxquelles j’étais parvenu, ici rassemblées en parcours cohérent. Bravo et merci. Je pensais lire ce livre en 2 mois, finalement je l’ai dévoré en 2 jours…Plus que jamais, je pense que cela fait au total un lourd dossier pour instruire un futur procès (des gouvernants) pour escroquerie en bande organisée.
   (Les notes que j’ai prises au fur et à mesure, je les réserve à 1 amie, intéressée par le sujet, je lui enverrai à titre privé, ce n’est pas de la divulgation publique piratant un contenu, non. Bravo et merci à l’auteur, Laurent Toubiana).

* Ajout 333, 14/05/2022 (20h) Films dits complotistes
   J’avais entendu parler du film « Hold Up » dénonçant des mensonges officiels au sujet de Covid19. Il était décrié comme absurde complotiste pour faire dans le sensationnalisme grâce au mensonge délirant. On m’a parlé de sa suite Hold On puis 2e suite Hold Out. Je n’ai pas réussi à voir Hold Up, apparemment supprimé d’Internet, peut-être interdit après condamnation légale. Mais j’ai vu aujourd’hui Hold Out (https://rumble.com/v134m5x-hold-out-film-complet-par-le-collectif-de-journalistes-indpendants-citizen-.html ) puis Hold On (https://citizen-v.com/fr/voir-hold-on-v2/ ), environ 2 heures 30 chacun. C’est très intéressant. Je ne suis pas 100% convaincu par les motivations envisagées, mais pas affirmées car il n’y a pas de preuve.
   En disant cela, je ne suis absolument pas complotiste, je n’affirme en rien qu’il y a complot prouvé contre les peuples. Simplement, je vois confirmé que ce qui a été appelé « vaccin (sauveur) » après avoir attisé la peur terrorisée face au virus (apparemment bénin) était une substance expérimentale autorisée officiellement mais aucunement validée scientifiquement, sans preuve d’absence de pouvoir cancérigène, sans preuve sur l’absence d’effet sur les grossesses, etc. Les affirmations officielles « ça ne craint rien ou quasiment rien, c’est prouvé » étaient mensongères, aucun besoin d’expert ou parent de victime pour le percevoir. Un an après, on ne pouvait absolument pas certifier la mortalité à 5 ans habituellement exigée. Et pour les grossesses : savoir si les enfants ayant vécu cette vaccination in utero auront en moyenne 50% de QI arriéré (ou 200% génial, tout est envisageable), il est totalement faux qu’on le savait avant même le terme de la première grossesse vaccinée. Le mensonge était clair, logiquement prouvé, les témoignages appuient ce jugement mais sans être le facteur clé. Quand bien même tout ce qui est dit dans ces films serait faux, ça ne changerait rien à mes critiques. Et si tout est vrai dans ces films, ça conforte grandement ce que je disais.

* Ajout 334, 27/05/2022 (17h) Nouveaux problèmes ou le même problème
   Une amie me transmet un article très intéressant, qui parle d’une publication scientifique en cours de préparation, détaillant les graves dangers potentiels ou avérés de la vaccination par ARN messager. Je suis gêné, non pas que ça contredise un enthousiasme chez moi envers ces vaccins (absolument pas, non) mais l’article a l’honnêteté d’être prudent et avoue que c’est à confirmer, pas encore prouvé indéniablement. Alors… si ça sera confirmé par l’expérience avec 10 ans de recul (comme obligatoire classiquement avant cette crise covid19), il aura été criminel d’avoir vacciné la Terre entière ou presque en prétendant prouvée l’absence de danger digne de ce nom (et les hurleurs précoces seront félicités), mais si l’expérience finalement conclut que non, il n’y a rien de grave, alors les hurleurs auront été en faute de hurler sans preuve aucune. Je ne fais partie ni des « alarmistes-virus rassuristes-vaccins » ni des « rassuristes-virus alarmistes-vaccins », simplement mon point de vue est que l’on peut d’ores et déjà confirmer ce que je disais depuis le tout début : la prétendue « validation » de ces vaccins est du faux et usage de faux, sans que soient encore acquises les données pour juger. Ce que je dis pointe un scandale oui, mais cela s’applique quels que soient ceux qui auront raison entre les deux groupes activistes susmentionnés. Je pense que la lucidité est de mon côté. Tandis que la réélection de Macron a indiqué que la majorité des Français a choisi le camp « alarmistes-virus rassuristes-vaccins », à mon avis cela dément le principe de lucidité démocratique comme quoi la majorité a raison (idem aux Philippines où la présidentielle a été gagnée par le fils du dictateur passé parce qu’il a acheté les voix par dizaines de millions, la population approuvant majoritairement cela). C’est triste, décevant, grave, oui, que l’humanité soit tuée ou non par ces vaccins (on verra, de ce côté, on n’en sait rien à l’avance, en science expérimentale, pour un fait nouveau, n’ayant bien sûr pas encore permis de valider les modèles – quoiqu’affirment les scientistes stupides ou malhonnêtes, très fièrement antiscientifiques).

* Ajout 335, 18/06/2022 (18h) Livre enrichissant
   Je viens d’achever la lecture de l’ouvrage « France : démocratie défaillante, il est temps de s’inspirer de la Suisse », de François Garçon ; son sujet n’est pas du tout la crise covid, mais elle est invoquée à plein d’endroits comme révélatrice. Extraits ci-après de mon site analysant le livre entier, Repub0.html, avec compléments [-->] :
– Pages 87-88 : « Dernière normalisation en date du caractère pseudo-réfractaire des Français avec la vaccination anti-Covid : "Les Français se laissent convaincre" titrait Le Parisien le 14 janvier 2021 : "Les Gaulois réfractaires que nous sommes s’impatientent et exigent maintenant d’être immunisés rapidement." ». Mauvaise analyse, parlant de certaines personnes peut-être majoritaires mais pas lucides, crédules, idiotes. C’est de la généralisation abusive que d’en tirer une leçon comme le fait ici l’auteur, comme si l’attitude réfractaire était stupide et se laisser convaincre était louable, davantage que prévu par Macron. Or c’est tout le contraire : ceux qui ont adhéré aux mensonges sont une majorité de stupides naïfs. Ça ruine l’argument de l’auteur. Objectivement, il n’y avait pas de quoi convaincre, et plein de gens se sont laissé tromper, c’est affreux – que ça démente ou non le jugement en « réfractaires au changement » que pronostiquait Macron.
– Pages 112-113 : « Lors de la crise de la Covid-19 (…) le président lit tout ce qui sort (…) pour ne rien laisser passer (…) Macron mémorisait les paquets de fiches que lui mitonnaient ses assistants. (…) On sélectionne ainsi des gens scolaires, qui savent répondre superficiellement, rapidement et à froid, à des questions. » Apparemment, les assistants de Macron ont été très nuls, ou achetés par Big Pharma, et le président n’a apparemment rien compris aux dangers du vaccin validé bien trop tôt, sans acquérir les données nécessaires, donc avec affirmation abusive de non-danger. C’est atrocement nul, lamentable, criminel (quand sont exclus, sans salaire, les soignants compétents et lucides, interdits de parole argumentée).
– Page 324 : critique de la gestion covid-19 par de prétendus très brillants responsables français comparativement aux bien meilleurs suisses n’ayant nullement fait de grandes écoles mais soumis au peuple.
– Page 372 : leçon covid19 « rien n’est plus tragique que de tout attendre d’un leader et de sa géniale équipe. (…) 80 km/h (…) typique d’un état centralisateur devenu fou, obsédé par la norme unique ». Hélas oui, quoique ce ne soit pas le pire à mon avis, mais le manque de recul vis-à-vis des causes de décès affirmées par docteur, et affirmation d’innocuité pour le vaccin avec dossier bâclé pas du tout complet).
– Page 374 : « symétriquement (…) individus s’exonérant du confinement (…) il faut que leur soit signifié qu’une journée d’hospitalisation en réanimation, indépendamment de la surcharge de travail pour les personnels hospitaliers, coûte 2.000 euros, 6.000 euros si intubés, dépenses dont la collectivité peut estimer ne pas avoir à s’acquitter pour prix de leur incivisme irresponsable. (…) responsabilité pénale sitôt que ces infectés priveraient de soins d’autres personnes (…) mis dans l’impossibilité d’accéder à un service hospitalier saturé. » Là, l’auteur est très mauvais. Je le notais dès le départ, et cela a été confirmé très tardivement, il n’y a pas eu afflux massif de malades covid vers les services de réanimation, mais un flux habituel de personnes en fin de vie, avec très multiples comorbidités, que les autorités ont malhonnêtement classées en « malades exclusivement à cause de covid ». De plus la mise en coma artificiel, que je savais personnellement tueuse pour bon nombre de personnes âgées, a été beaucoup trop décidée par les médecins, avant de changer de doctrine, donc l’intubation est en grande partie le résultat d’erreurs médicales, et les soi-disant fêtards inciviques ne sont pas tombés malades (voir le résultat « zéro hausse des hospitalisations » après la Fête de la Musique annoncée cataclysmique tueuse). Ensuite, il a été reconnu que le mode de fonctionnement de la réanimation « optimise » ces services pour tourner à 100% d’occupation, en y mettant des malades moins graves s’il y a des lits disponibles, pourquoi faire payer le prétendu surcoût à ces malades dirigés ainsi sans que ce soit leur faute ? Enfin, j’ai eu affaire à mon travail aux imbécilités des gestionnaires, et il est généralement aberrant de chiffrer le coût unitaire d’une prestation, en incluant en elle plein de coûts fixes (s’il y avait moins de prestations, il n’y aurait pas économie prodigieuse d’argent mais relèvement du coût unitaire de la prestation). Artifice comptable. Enfin, il a été rappelé que la saturation hospitalière était chronique chaque hiver depuis des années, bien avant la crise covid, alors que cette année cela était menteusement attribué au seul effet covid. De même, avant la crise covid, les personnels hospitaliers étaient en grève chronique pour se plaindre de la saturation exténuante compte tenu du manque de personnels et des réductions administrativement décidées en nombre de lits d’hospitalisation. Rien à voir avec covid, même si tout a ensuite été attribué à covid, aubaine pour dramatiser ce virus peut-être bénin. Mais l’auteur est tombé dans tous ces panneaux, gobant intégralement la propagande culpabilisatrice, sans intelligence critique.

* Ajout 336, 24/06/2022 (12h) Vaccin hyper-super-extra-sauveur ?
   J’entends aujourd’hui la télévision annoncer qu’une publication de l’OMS affirme que le vaccin anti-covid a permis de sauver des millions de personnes de la mort, à partir d’étude mondiale exhaustive. Qu’est-ce que j’en pense ?
   Je n’ai pas lu l'étude en question, donc je ne peux pas la certifier convaincante, ni la prouver fausse biaisée. Toutefois j’envisage plusieurs biais :
- Dire que la mortalité a été telle sans vaccin et bien moindre avec population vaccinée ne prouve en rien que le vaccin a sauvé s’il s’agit de virus différents (de périodes différentes, la gravité diminuant avec la succession des variants classiquement), et puisque la vaccination augmente aussi avec le temps, le risque est énorme d’attribuer à tort la diminution de gravité à l’effet vaccination croissante alors que c’est un effet nouveau variant à gravité décroissante. En première estimation, sans preuve éliminant cette hypothèse, je pense que l’étude en question est biaisée, logiquement erronée. Ce n’est que si cette objection est prouvée inappropriée que la conclusion devient audible, pas a priori du tout.
- Second biais possible : les gens affirmés morts du covid-19 ont pu mourir d'autre chose, en France ne comptant pas comme l'Allemagne par exemple, ai-je entendu dire. Il y a deux types d'abus commis je crois :
. pendant un temps, tous les morts dans un établissement EHPAD dit touché par le virus étaient automatiquement comptés "tués par le virus", avant qu'un changement de méthodologie requiert une vérification individuelle de positivité au virus.
. Second point : être positif à un virus généralement asymptomatique ne prouve en rien que la mort est survenue à cause de ce virus, pour des personnes âgées notamment, avec multiples comorbidités, overdose médicamenteuse, et énorme fragilité à anesthésie totale éventuelle (la mise en "coma artificiel" tue bon nombre d'anciens, c'est une mise à mort par abus médical, pas par effet du virus). La base des chiffres ne serait pas convaincante, même en chiffres officiels, sciemment majorés en France avec incitation financière à déclarer "mort covid-19" pour obtenir budget accru.
- Troisième biais possible, à nouveau comme le premier avec l'oubli du facteur temps confondu avec le facteur vaccinations, mais cette fois côté patients et non plu' virus : il est possible que tous les gens fragiles aient été tués par la première vague, ne sont restés que les gens solides et ceux-ci ont été vaccinés ensuite, constater que ceux-là ne sont pas morts ne prouve en rien qu'ils ont été sauvés par le vaccin, ils ont pu ne pas mourir car ils étaient solides.
   Je trouve l'information confirmée, sur Internet, par une nouvelle MSN-Paris-Match « Covid-19: les vaccins ont évité près de 20 millions de morts en 2021 » (à https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/covid-19-les-vaccins-ont-%C3%A9vit%C3%A9-pr%C3%A8s-de-20-millions-de-morts-en-2021/ar-AAYOEJa ). Je cite et commente :
• « La vaccination contre le Covid-19 a permis d'éviter 19,8 millions de morts sur un potentiel de 31,4 millions au cours de la première année suivant l'introduction des vaccins en décembre 2021. »
--> Je conteste que covid19 ait « tué » 11 millions de personnes (31,4-19,8=11,6): la plupart sont morts de vieillesse (« comorbidités ») tout en étant positives au test covid (et au test calvitie), ça ne prouve en rien de rien qu’ils ont été tués par covid 19 (ou la calvitie !). L’affirmation médicale totalement dénuée de preuve me semble avoir une valeur totalement nulle au départ, puis négative ensuite (cette profession s’étant totalement déjugée, apparaissant comme riches menteurs auréolés de fausse gloire).
• « avance une première vaste étude de modélisation (…) publiée dans The Lancet Infectious Diseases, est basée sur des données provenant de 185 pays et territoires, du 8 décembre 2020 au 8 décembre 2021. Elle est la première à tenter d'évaluer les décès évités directement et indirectement à la suite de la vaccination contre le Covid-19. Pour cela, elle utilise les chiffres officiels des morts avec Covid mais aussi le total des décès excédentaires de chaque pays (ou des estimations quand les données officielles n’étaient pas disponibles). L’excès de mortalité correspond à l’écart entre le nombre de personnes décédées (quelle que soit la cause de leur mort) et le nombre de morts attendues (à partir des données passées). Lorsque les données officielles n’étaient pas disponibles, l’équipe a utilisé des estimations de la surmortalité toutes causes confondues. Ces analyses ont été comparées à un scénario hypothétique alternatif dans lequel aucun vaccin n'aurait été administré. »
--> C’est une faute, lourde. Plein de morts sont venues du braquage total des hôpitaux sur le covid, fermant les services pour autre chose dont les patients sont alors morts. Non pas morts car tués par ce virus, mais tués par les humains débiles hypnotisés par les autorités catastrophistes au nom du virus. Affirmer qu’il y a causalité de par la dangerosité intrinsèque du virus est une erreur logique, c’est du faux et usage de faux. The Lancet devrait le reconnaître comme pour la fausse étude « modélisée » ayant déclaré l’hydroxychloroquine dangereuse (d’où interdiction immédiate en France) avant d’avouer que c’était tout faux (sans changer les décisions françaises…).
• « Le modèle a tenu compte de la variation des taux de vaccination d'un pays à l'autre, ainsi que des différences dans l'efficacité des vaccins dans chaque pays en fonction des types de vaccins connus pour avoir été principalement utilisés dans ces régions. La Chine n’a pas été incluse dans l'analyse en raison de sa grande population et de ses mesures de confinement très strictes, ce qui aurait faussé les résultats, est-il précisé. Selon cette étude, les pays à revenu élevé et intermédiaire ont représenté le plus grand nombre de décès évités (12,2 millions sur 19,8 millions), ce qui traduit les inégalités dans l'accès aux vaccins dans le monde. Près de 600.000 décès supplémentaires auraient pu être évités si l'objectif de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de vacciner 40% de la population dans chaque pays d’ici la fin de 2021 avait été atteint, conclut-elle. "Nos résultats montrent que des millions de vies ont probablement été sauvées en mettant des vaccins à la disposition des gens partout dans le monde" (…) Cependant, on aurait pu faire plus". »
--> Ça ne tient rigoureusement aucun compte du fait que la dangerosité de ces virus ait diminué intrinsèquement, en fonction du temps et des mutations successivement dominantes, que cela corresponde à l’évolution croissante des vaccinations peut parfaitement avoir produit un artefact, faisant attribuer au vaccin (à tort) ce qui venait de la baisse de virulence. Je ne suis donc nullement convaincu, cela me semble de la propagande. Je ne parle pas de complotisme en affirmant sousdoiement par Big Pharma, je n’en sais rien, je constate simplement la supercherie, sans prétendre l’expliquer (mais plein d’explications sont possibles, ne serait-ce que pour cacher les fautes lourdes commises ces dernières années, poursuivables en justice si la justice était digne de son nom, ce qui n’est hélas pas le cas, mais dans le dote craintif peut être bâti un faux argumentaire prêt à l'emploi). [Note : la question des pays industrialisés, ou non, me semble aussi mal traitée : il était annoncé une hécatombe en Afrique car presque pas vaccinée car trop pauvre or ces pays ont eu bien moins de morts "covid" que l'Occident, non pas sauvé par le vaccin mais comme mis en danger par le vaccin, ce que certains infectiologues attribuent aux anticorps facilitants, une personne vaccinée risquant davantage d'être contaminée qu'une personne non-vaccinée ; je ne certifie rien à ce sujet, c'est simplement ce que j'ai entendu, discordant avec ce qui est affirmé dans la nouvelle publication, me paraissant donc très douteuse.]
   J’en reviens au principe de base ; si (il est prétendu que) le vaccin anti-covid a sauvé 20 millions de personnes, cela signifie automatiquement que les gens hostiles au vaccin anti-covid auraient tué 20 millions de personnes (si on ne les avait pas fait taire autoritairement, durement, à très juste titre ?), génocide 3 fois pire que l’holocauste des Juifs par les nazis (déclaré monstruosité absolue atrocissime), c’est une accusation terrible, gravissime. Est-ce prouvé véridique ? Eh non, c’est un mensonge, un bidouillage de chiffres en oubliant toutes les objections logiques. Atroce. A mon avis, ça mériterait de porter plainte pour dénonciation calomnieuse, mais la justice pourrie donnerait évidemment raison aux autorités, puisqu’elle ferait appel aux faux experts mandatés par ces autorités. Affreux…

* Ajout 337, 27/06/2022 (13h) Annonce de persécution à nouveau à venir ?
   Une nouvelle Internet C-News me frappe ce jour (à https://www.cnews.fr/node/1235096 ) : « Vaccination contre le covid-19 : voici les personnes qui devraient recevoir une lettre du gouvernement ». Je cite et commente :
• « Reprise épidémique oblige, la campagne vaccinale contre le Covid-19 va reprendre. »
--> Je ne vois rien d’obligé : ce qui est annoncé comme augmentant est le nombre de testés positifs à sars-cov-2, menteusement dénommés « positifs covid19 » alors que le d à la fin de covid signifie disease, maladie, et un asymptomatique (ce qui est le cas très majoritaire) n’est nullement malade. Non, le mensonge catastrophiste n’est pas du tout obligé.
• « une nouvelle dose de rappel pourrait être nécessaire. Les personnes concernées recevront une lettre du gouvernement pour les y inciter. »
--> Si c’est une incitation de type « et vous aurez droit à notre sourire approbateur », ça va. Même si c’est avec cadeau d’un caramel mou. Mais si la dite incitation est comme la dernière fois : pour échapper à l’amende de 135€, pour avoir le droit d’aller passer le scanner de surveillance de votre cancer, etc. ce serait une pression affreuse, parler d’incitation serait un autre mensonge (certes pas étonnant avec ce gouvernement Macron, incroyablement réélu, ruinant le principe démocratique de sagesse majoritaire).
• « Va-t-on assister à un resserrage de vis pour contrer le Covid-19 ? "L'idée, c'est de ne pas revenir à des mesures plus contraignantes pour l'instant", a tempéré la semaine dernière la ministre de la Santé, Brigitte Bourguignon. Néanmoins, l'épidémie reprend de l'ampleur. Le nombre moyen de cas positifs par jour a bondi de 50% en une semaine. (…) »
--> Les cas de covid 19 sont des malades, théoriquement, aucunement des positivités au test. On aurait pu alarmer chaque année avec la grippe, la gastro-entérite etc. si on avait remplacé le comptage des ma-lades par le comptage des positifs au test, pratiqué à grande échelle. Ce n’est en rien de rien convaincant, ce n’est convaincant qu’en aval d’un axiome catastrophiste, entièrement récusable lui.
• « (…) Les personnes éligibles à la deuxième dose de rappel recevront prochainement une lettre du gouvernement afin de procéder à cette nouvelle vaccination. »
--> Deuxième dose de rappel signifie quatrième dose totale, ce n’est pas précisé, pas plus qu’il n’est précisé que le vaccin cible le virus initial, absolument pas la version actuelle, pour laquelle les performances n’ont nullement été établies mais seront affirmées excellentes prouvées, mensonge habituel dans cette crise.
• « Il s'agit des personnes de 60 ans et plus ainsi que des personnes immunodéprimées. »
--> Et que se passe-t-il pour les personnes oscillant entre immunodépression et normalité (périodes de chimiothérapie et de repos) ?
• « (…) deux nouveaux sous-variants d'Omicron, BA.4 et BA.5. Ces derniers, plus contagieux que le BA.2, résistent aussi mieux au vaccin. Ils provoqueraient, en quelques mois, une baisse de l'efficacité du vaccin contre les formes sévères. (…) »
--> S’il y a résistnce différente des nouveaux variants au vaccin, est-il admis et avoué que toutes les données antérieures sont hors-sujet ? tout repartant à zéro, en matière de démonstration d’efficacité, de balance bénéfice/risque…

* Ajout 338, 04/07/2022 (6h) Contestation ponctuelle
   Un ami contradicteur répond de manière intéressante à un de mes vieux mails. Je le cite en numérotant pour contre-répondre : « 1/ Ne me parle pas de Macron, c’est un charlatan. Son raisonnement, comme d’ailleurs certains médecins de plateau télé, est de dire "vous êtes en désaccord avec le vaccin anti-covid, alors vous êtes antiscientifique". 2/ Il ne leur vient pas à l’esprit que le vaccin covid est peut-être mauvais 3/ mais que l’idée de vaccination est bonne. 4/ C’est le niveau 0 voire négatif de la pensée. »
--> Je réponds :
1/ Je n’ai pas entendu cet argument-là d’Emmanuel Macron en reportage télévisé, et pas exactement non plu’ de la part des commentateurs présentés comme médecins « normaux » (pro-vaccin anti-covid19). Ce que j’ai entendu de Macron, d’ailleurs avant la crise covid19, est son scientisme tonitruant, fanatique : « si vous ne croyez pas les scientifiques, alors vous êtes paranoïaques » (au sujet du réchauffement climatique je crois, mais sans être sûr du contexte, peu expliqué, lors d’un débat avec la population à Mulhouse, en 2019 je crois). Ce que j’ai entendu de multiples médecins et journalistes les relayant, c’est « les anti-vaccins covid19 sont totalement irrationnels, sans l’ombre du moindre argument, contre ces vaccins qu’a trouvés et validés la science, eux sont dans la pensée magique, la peur délirante complotiste, exclusivement. » Ce n’est pas totalement contradictoire avec ce que dit mon ami mais c’est quand même différent.
2/ Il ne me semble pas que la situation soit non plu’ « le(s) vaccin(s) anti-covid est (sont) mauvais ». Cela ne semble pas aussi simple que cela. Plein de supporters de ces vaccins les disent parfaits, plein d’opposants les disent dangereux, personne ne semble avoir à ce jour de preuve en la matière. Côté partisans, la faute a consisté à donner l’agrément sans avoir acquis normalement les données de toxicité, mais ultra-prématurément au nom de l’urgence. La chercheuse Henrion-Caude disait qu’elle avait consulté le dossier de demande d’autorisation du premier vaccin, et qu’il était effarant : au chapitre « absence d’effet cancérigène », la documentation expérimentale dit "on n’a pas le temps de l’étudier, alors pas besoin". C’est de la faute professionnelle ultralourde en matière de pharmacologie, de la faute méthodologique ultralourde au niveau des autorités ayant gobé ça, avec immenses soupçons de corruption pour l’avoir accepté, et caché. Bref, ce n’est pas que ce vaccin est prouvé cancérigène, c’est qu’affirmer qu’il est (à ce jour) prouvé non-cancérigène (étape obligatoire normalement du jugement « non dangereux ») est faux, c’est du faux et usage de faux, tenant de l’escroquerie, quoiqu’imposé au nom de l’autorité scientifique, très menteusement. Ce n’est pas de la science expérimentale théorique, c’est de la domination par des individus autrefois diplômés en science, dont ils trahissent les principes sans le dire. Et en traitant d’irrationnels les très-rationnels démontant l’escroquerie commise, afin qu’ils ne soient pas écoutés mais diabolisés, punis, exclus.
3/ Là encore, je ne suis pas pleinement convaincu par mon ami. Comme lui, j’ai « appris à l’école » que la vaccination avait permis d’éradiquer des maladies comme la variole, prouvant son efficacité souvent énorme, pour le moins, mais… je viens de lire, dans l’ouvrage « l’inquiétante histoire des vaccins » que ce n’est pas vrai : la variole était en voie de disparition quand il y a eu à la fois campagne massive de vaccination et disparition apparente, sans qu’il n’y ait en rien de relation prouvée de type cause-effet. Ce pourrait être une coïncidence, rien ne documente une preuve de causalité, d’efficacité décisive. Je l’entends, tout au moins, comme objection majeure, même si je ne suis pas allé vérifier les publications scientifiques éventuelles sur ce sujet. En tout cas, entre mon enfance (quand j’ai gobé ça) et maintenant (lucide en philosophie des sciences), j’ai immensément évolué et, effectivement, je constate que la prétention à la preuve scientifique est généralement usurpée, affirmée sans démonstration, sans vaincre objection sceptique (celle-ci étant criminalisée ou psychiatrisée, car imparable)… Je n’ai pas étudié spécialement les vaccins, mais j’envisage la même chose effectivement à leur niveau. Un abus prétendant démontrer que c’est une bonne chose prouvée.
   Certes, sur le principe, il est envisageable que ce soit bénéfique d’inoculer un petit mal pour que le corps humain apprenne à se défendre contre lui, avant de le faire avec succès en cas de grand mal, mais ce « soigner le grand mal par petit-mal similaire » est aussi le principe de l’homéopathie, jugée charlatanisme par la « science officielle ». Entre un bienfait possible théorique et un effet pratique indéniable, il y a un fossé colossal. Je ne suis pas complètement certain qu’il ait été correctement franchi pour la vaccination et pas pour l’homéopathie, le oui-non officiel n’étant qu’une des 4 combinaisons possibles (avec oui-oui, non-non, non-oui), théoriquement à mettre en doute jusqu’à preuve effective, et pas par ouï-dire ou faux argument d’autorité.
4/ Le niveau zéro voire négatif de la pensée est un peu partout ce qui domine, hélas, pas seulement en matière de science ou pseudo-science. En matière philosophique, le premier livre que j’ai écrit a ainsi abattu trois millénaires de bla-bla prétentieux cachant que le problème essentiel n’est nullement résolu, pour dépasser l’innocence enfantine, mal contredite par les adultes prétendant au savoir. Que mon ami en prenne conscience sur le micro-point de la vaccination anti-covid19 est mieux que rien, mais le problème me parait immensément plus large (et illégal, en prendre conscience lucidement, intelligemment, étant comme le scepticisme puni en France de deux ans de prison)…

* Ajout 339, 18/07/2022 (01h) Avis lu par hasard
   Mon ami habituellement contradicteur me dit cette fois sa position es-vaccin-covid : « Je n’ai que deux doses de vaccination covid car j’estime que ça n’empêche pas la contamination. »
--> Ma réponse : c’est un point de vue, mais habituellement il est condamné par ceux qui clament (sans preuve) que la vaccination à jour (de moins de 3 mois) est la seule façon de garantir l’absence de formes graves. Certes, j’en doute : dans tout ce que j’ai vu de prétendu démonstratif était toujours commise une erreur, mélangeant dans le facteur temps à la fois la perte de virulence des variants successifs et la vaccination croissante des populations, attribuant en succès causé par la vaccination ce qui semble moindre gravité causée par variants moins pathogènes. C’est de la logique et de la biologie, pas de la médecine dont nous n’aurions pas le droit de parler. (Note : ce qu’ont appris les médecins diplômés est plein de trucs faux démentis ensuite, mais crus vrais stupidement, militairement au nom de l’autorité, je n’appelle pas ça de la compétence digne de ce nom, simplement de la crédulité moutonnière, pas facteur de supériorité).
   Pour ma part, j’ai reçu trois doses, non pas parce que je crois ceci ou cela (je ne crois pas en l’acceptabilité prématurée de ces vaccins, à chapitre « pouvoir cancérigène » pas encore documenté), mais parce que l’accueil de l’hôpital où se font mes scanners de suivi de cancer en cours interdit l’entrée aux « non à jour en termes de vaccination covid ». Donc même si je n’y crois pas, à cette vaccination, j’y suis obligé (et la 4e dose pour l’heure n’est exigée en France métropolitaine que pour les + de 60 ans), sauf à dire adieu aux cancérologues qui tentent de contenir ma maladie mortelle. C’est presque de l’injonction sous menace de mort, inventée par l’atroce Macron, un des plus horribles types du monde et… réélu triomphalement (je ne crois absolument plu’ au bon sens de la majorité, principe fondant la démocratie).
   Que ces vaccinations-là n’empêchent pas la contamination, la transmission, c’est sciemment tenu pour argument négligeable par Macron et sa clique, refusant de réintégrer les soignants non-vaccinés Covid, exclus sans salaire ni indemnités. Nous sommes en dictature (comme tu le dis depuis longtemps), oui, très fière ennemie de la pensée réfléchie, lucide, qu’elle domine outrageusement, par la force armée, au nom du bien commun, bla-bla. Atroce.

Ajout 340, 19/07/2022 (13h) + 20/07/2022 (02h) Pompiers et Académie de Médecine
   Hier à la télévision avait lieu une amorce de débat sur le thème « incendies en Gironde : faut-il réintégrer les pompiers non-vaccinés ? [anti-covid19] » (voir sur Internet : https://www.cnews.fr/videos/france/2022-07-19/incendies-en-gironde-faut-il-reintegrer-les-pompiers-non-vaccines-1244072). J’y lis la phrase terrible suivante : « De son côté, l'Académie nationale de médecine a publié un communiqué, ce mardi 19 juillet, dans lequel elle précise que réintégrer les "soignants" non vaccinés serait "une faute" en rappelant que l'hésitation vaccinale était "éthiquement inacceptable dans leur profession". L'Académie exprime également "sa ferme opposition à un tel revirement". » Qu’est-ce que j’en pense ?
   Cela me parait immensément grave. Jusqu’à présent, il était envisageable que les quelques médecins télévisés approuvant la persécution gouvernementale des non-vaccinés anti-covid (« à emmerder au maximum » selon le président Macron) soient des anormaux en quête de gloire personnelle sans impliquer toute la profession médicale. Mais non, donc, pas du tout : l’Académie de Médecine est très officiellement de ce côté-là aussi. En faute professionnelle donc, puisque c’est enfreindre le serment d’Hippocrate que d’administrer de force un produit peut-être dangereux (à pouvoir cancérigène inconnu à ce jour, avec « validation » immensément prématurée contre toutes les règles habituelles de prudence pharmacologique et contre le principe de précaution aussi). Il est scandaleux et stupide qu’elle prétende donner des leçons d’éthique aux gens lucides donc prudents, criminalisés et traités en idiots incohérents alors que c’est le contraire en la matière. Les médecins se couvrent là de honte (même s’il peut y avoir quelques exceptions, résistant à cette tendance dominante rangée derrière les politiciens dominants).
   Euh, qu’a dit le « débat » télé à ce sujet ?: absolument rien, sauf que les « soldats du feu » étaient en même temps des soignants, et que pour faire partie d’équipage pompier ils devaient respecter la loi, qui commande cette vaccination donc il n’y a aucun débat à avoir, il faut absolument continuer à exclure les pompiers non-vaccinés. Sans envisager une seule seconde que la loi soit abusive idiote criminelle, non « démocratie, bla-bla, représentants-du-peuple, bla-bla », hop, interdit de douter ! Intelligence bannie ! Outch, ça fait mal aux oreilles, et à l’esprit.

* Ajout 341, 20/07/2022 (18h) Un grand exemple de sagesse
   Une amie qui a lu ce que je viens d’écrire à l’ajout précédent, m’expose son point de vue, que je trouve assez admirable, sincèrement :
« Je pense qu’il y a quelques mois j’aurais réagi comme toi face à autant de mauvaise foi criminelle. J’aurais même essayé d’ouvrir les yeux aux gens, j’aurais mis des publications sur Facebook, etc… / Aujourd’hui, je n’éprouve quasiment plus aucune émotion face à cette tyrannie sanitaire, ni même d’offuscation intellectuelle. / Ce n’est pas que je me sois endurcie ou que je n’ai plus de cœur, c’est juste que j’ai compris que d’une certaine manière il faut passer par là pour que les gens se réveillent enfin, pour qu’ils réalisent enfin que le monde dans lequel nous vivons n’est que mensonge, corruption et crime. Les révélations sont tellement évidentes, elles sautent tellement aux yeux, et pourtant, la plupart pense encore que nos dirigeants sont honnêtes et que la télé dit la vérité. Cela me fait doucement sourire… en même temps que j’éprouve de la compassion pour tous ces êtres encore emprisonnés dans leurs croyances. / Petit à petit, j’ose espérer que chacun aura sa prise de conscience et y verra clair. Alors seulement, nous pourrons jeter ce vieux monde aux orties et en reconstruire un nouveau vraiment humain. / L’humain n’est pas mauvais au fond, mais il est tellement crédule, tellement conditionné. Depuis notre plus tendre enfance, on nous dit quoi penser, croire, faire. La société construit juste des marionnettes manipulables à souhait. Le pire c’est que nous nous croyons libres de penser et d’agir ! / J’estime qu’encore aujourd’hui, et après plus de 2 ans de délire sanitaire, il n’y a pour l’instant que 10% de la population à peu près consciente et réveillée. / Ne crois pas que je tire de la fierté de penser faire partie des personnes éveillées, pour moi, c’est juste un fait, et même ce n’est pas tous les jours confortable, de voir les gens que j’aime se débattre encore dans la glue, de me ne pas toujours savoir comment agir avec eux, les brusquer ou les laisser évoluer à leur rythme… mais, je me pose de moins en moins de questions et suis de plus en plus dans la position de l’acceptation de l’état de fait. »
   A part lire ceci est applaudir, ce qui est ma première réaction, en remerciant chaleureusement, je verrais quelques idées en cela à développer à ma façon :
• « que mensonge, corruption et crime » : euh, je pense que la généralisation totale est un peu excessive, je préférerais dire que ce qui domine est hélas mensonge corruption crime, même si ici ou là de petites gens sont admirables et/ou dévoués, très minoritaires peut-être mais pas inexistants.
• « emprisonnés dans leurs croyances » : euh, habituellement on oppose croyances contestables et savoir incontestable, mais je suis sceptique et je doute qu’il y ait un savoir incontestable. J’ai argumenté cela de tonnes d’arguments, dans le premier livre que j’ai écrit notamment, en 1993 et mis à jour depuis. Bref, je ne reproche pas aux gens de préférer leurs croyances au prétendu savoir objectif mais de ne pas prendre conscience qu’ils se basent sur des croyances très douteuses voire fausses explicitement (illogiques ou mathématiquement contradictoires).
• « jeter ce vieux monde aux orties et en reconstruire un nouveau vraiment humain » : euh, je ne partage pas cet optimisme (même théorique très lointain ou post mortem), je suis plutôt défaitiste. Par expérience, les révolutions débouchent toujours (ou très souvent ?) sur des horreurs pires que l’ancien temps, en un sens, l’optimisme n’est pas encouragé par l’Histoire (qui n’est certes qu’un roman, pour l’essentiel, même si en France c’est matière à dictature bannissant l’intelligence critique et le droit de douter).
• « Depuis notre plus tendre enfance, on nous dit quoi penser, croire, faire. » : euh, ce n’est pas ce que j’ai vécu. Par plusieurs côtés. 1/ Mes parents étaient peu dogmatiques, ne m’imposant aucune croyance dite vérité (religieuse ou athée), m’éveillant à l’agnosticisme dubitatif relativiste et intelligent, je crois. « Il y a des gens qui croient que… » et non « La Vérité est que… ». 2/ Ce que j’ai connu à l’adolescence, et plein de camarades (30% ?) ont montré la même tendance, c’est une rébellion contre l’éducation reçue, déniant le reçu-comme-vrai pour préférer suivre une voie personnelle ressentie comme inventive ou idéale, contraire aux valeurs familiales. Pour ma part, ça a touché essentiellement le métier voulu : j’ai voulu devenir balayeur de crottes de chiens à la place de polytechnicien, couronne à laquelle mes notes me promettaient. Non, tout n’est pas que suivisme docile (ou abruti, vu autrement), c’est complexe et malaisé, l’adolescence. Au risque du suicide, au passage.
• « La société construit juste des marionnettes manipulables à souhait. Le pire c’est que nous nous croyons libres de penser et d’agir ! » : euh, c’est exactement la conclusion à laquelle je suis parvenu quant au sens de l’éducation scolaire reçue, sauf que je ne n’emploierais pas un « nous » me classant parmi les moutons victimes. Je me sens rebelle passible de prison, emprisonnement politique, ayant osé résister aux directions imposées au nom de l’autorité « légitime ».
• « faire partie des personnes éveillées » : euh, c’est un mot devenu délicat, car la vague de wokisme venue des USA requiert l’entièreté du sens d’éveillé, l’interdisant au Bouddha et aux libres penseurs. De nos jours, « éveillé » signifie « en lutte acharnée pour faire réparer les écrasements produits par les mâles blancs hétérosexuels de plus de 50 ans, tous racistes misogynes esclavagistes violeurs patriarcaux homophobes transphobes antisémites islamophobes intolérants », ce qui est un sens immensément particulier mais devenu archi-dominant, presque imposé.
• « c’est juste un fait » : euh, personnellement je n’emploie jamais (ou j’essaie de ne jamais employer) cette expression, réaliste alors que j’ai invalidé le réalisme. Il y a des faits oniriques qui sont de faux faits, sans critère de démarcation sur le moment, et que quelque chose soit un fait ne le consolide donc en rien.
• « dans l’acceptation » : euh, moi aussi je suis dans une attitude défaitiste résignée plutôt qu’activiste militante. Simplement, mon équilibre personnel passe par une sorte de défouloir écrit affiché (comme davantage intéressant que les tonnes de blablas prétendus débats, à tort, taisant presque toujours mes idées) plutôt qu’une forme de silence. Chacun sa façon, effectivement.
   (Note, que je commence chaque réponse par « euh » n’est pas un hasard quelconque d’expression, mais il s’agit d’émettre une nuance différente sans dire non, et sans dire oui complètement, l’entre les deux malaisé étant symbolisé par ce euh… ou ahem en anglais, langue dans laquelle j’écris souvent, aussi).

* Ajout 342, 23/07/2022 (20h) Semi-aveu destructeur
   Je lis ce jour deux nouvelles MSN étonnantes : MSN/JDD « Avant de tirer sa révérence, le Conseil scientifique assume sa possible instrumentalisation politique » (à https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-avant-de-tirer-sa-r%C3%A9v%C3%A9rence-le-conseil-scientifique-assume-sa-possible-instrumentalisation-politique/ar-AAZSD9G?ocid=msedgntp&cvid=16f426bac04143279f84d6e3923bf595) et MSN/Gala « Jean-François Delfraissy cash sur la gestion du Covid-19 : le gouvernement ne disait “pas la réalité” » (à https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-cash-sur-la-gestion-du-covid-19-le-gouvernement-ne-disait-pas-la-r%C3%A9alit%C3%A9/ar-AAZSRKj?ocid=msedgntp&cvid=16f426bac04143279f84d6e3923bf595). Je cite et commente :
• « (…) le Conseil scientifique présidé par Jean-François Delfraissy (…) "Nous étions là pour éclairer les autorités sanitaires et politiques qui nous ont suivis sur un certain nombre de recommandations et pas sur d’autres. (…) Il était indispensable, pour nous, de rester indépendants mais ça n’a pas toujours été simple puisque ce sont les politiques qui nous ont nommés". (…) Interrogé sur une possible instrumentalisation de la part du pouvoir politique, il n’a pas voulu se cacher : "Sûrement. On a pu être instrumentalisé par nous-mêmes, par vous, les médias, qui avez porté l’idée d’un troisième pouvoir médical et par le politique lui-même, mais je pense pouvoir dire que nous avons eu un dialogue normal dans une démocratie."
--> Je ne suis pas de cet avis : ce Conseil Scientifique se posait comme « disant La Vérité », ce qui n’est pas du tout scientifique mais scientiste. Et cette « autorité » non issue d’élections était anti-démocratique. Cela se justifie simplement parce que Macron (certes élu hélas) est un scientiste fanatique, mais il ne l’avait pas annoncé dans son programme électoral en 2017 et les électeurs ont été doublés, comme cocufiés. Ce n’est pas démocratique et un référendum d’initiative populaire aurait dû annuler cette décision jupitérienne, en vraie démocratie.
• « (…) le président du Conseil a aussi admis que ses membres avaient dû apprendre à savoir dire : "On ne sait pas. Ce n’est pas simple pour des médecins et des scientifiques de reconnaître cela. On a progressivement appris l’humilité". »
--> C’est faux, c’est un aveu d’incompétence grave, de profonde bêtise philosophique, de nullité épistémologique. Il est totalement faux d’affirmer « la Science actuelle sait tout sur tout ». Elle ne fait que proposer des modèles sur le déjà-connu, incertains puis un peu consolidés. Ici, des scientistes petits chefs, diplômés en science (sans en avoir compris le contexte philosophique) répondaient à Macron scientiste-grand-chef (nul en sciences), c’est affligeant. Qu’ils se soient en partie rendus compte de l’abus de pouvoir est certes bien, mais c’était énonçable depuis le début, avec un minimum d’honnêteté intellectuelle, hélas absente des autorités, illégitimes.
• « (…) Les membres de l’instance se sont aussi montrés favorables à la création d’un Conseil de la science, qui aurait pour but de conseiller et d’éclairer les différents gouvernements sur les progressions de la science "indépendamment des crises" ».
--> Surtout pas ! Avoir créé cette autorité scientifique censée dire Le Vrai a été une erreur, peut-être imputable à la panique face à un virus ayant entrainé une hystérie catastrophiste des autorités (qu’elles ont ardemment cherché à transmettre à la population, avec grand succès hélas – je faisais partie des quelques résistants). Maintenant, il faut revenir à la raison, et non pérenniser les erreurs commises.
• « Jean-François Delfraissy (…) devant la Cour de justice de la République (…) il explique ne pas comprendre pourquoi le gouvernement ne disait pas "la réalité" sur les masques. »
--> C’est très mal dit : il ne s’agit en rien de la Réalité, puisque l’hypothèse du rêve n’est nullement démentie ni même abordée, Il s’agissait de « vérité », relative au monde d’alors, si on y croit.
• « (…) Une question se pose : le gouvernement aurait-il menti, début 2020, sur la nécessité de porter un masque pour cacher la pénurie ? Dès la fin janvier, il y aurait eu des remontées sur la question des stocks à Matignon, mais ces informations n'auraient dans l'immédiat pas été communiquées au Conseil scientifique. (…) Les membres du CS estiment alors qu'il faut "les réserver au personnel de santé en priorité". "Avez-vous pu être étonné par les propos de certains ministres ou de la porte-parole du gouvernement français (…), sur l'inutilité du port du masque en population générale ou l'incapacité du grand public à se servir utilement d'une telle protection ?" (…) "Oui, je n'ai pas bien compris pourquoi, au niveau politique et au niveau communication, ils ne disaient pas la réalité, c'est-à-dire qu'il y avait un nombre restreint de masques" (…). »
--> Je suis certain hélas que cet aveu de mensonge avéré n’entrainera aucune poursuite : démocratie ou pas, les dominants dominent, en république (ce n’est pas le peuple qui a le pouvoir, ce n’est pas vrai – enfin : il n’a que le pouvoir, périodiquement, de se choisir ses dictateurs).
• « (…) "Est-ce que certains scientifiques ne se sont pas trompés en évoquant une 'grippette' ? Est-ce que la génération actuelle était prête ?", s'est-il interrogé, sans toutefois donner de réponse. »
--> Le drame est là clairement avoué, en suggérant « incroyable : des scientifiques se sont trompés, alors que la Science dit Le Vrai par définition ! ». Eh bien non, absolument pas. La science cherche des réponses et en propose plein, dont plein de fausses, entre lesquelles elle essaie de choisir le moins pire. C’est uniquement avec l’erreur scientiste, erreur grave et antiscientifique, que la Science est affirmée dire Le Vrai (ici, qui plus est, en confondant « consensus scientifiques consolidés en congrès experts pluralistes » et « paroles quelconques de personnes se trouvant diplômées en sciences et maintenant disant n'importe quoi en réponse à question posée non-professionnellement, sans programme de recherche pour formuler une réponse optimale escomptée assez solide »).

* Ajout 343, 03/08/2022 (12h) Haines permises
   L’autre jour est réapparu à la télévision une députée (Laetitia Avia) qui avait présenté un projet de loi contre les appels à la haine sur Internet, loi refusée par le conseil constitutionnel. Et je me posais la question : puisque… si quelqu’un crie « je veux emmerder au maximum les Juifs », il va en prison pour haine antisémite, si quelqu’un crie « je veux emmerder au maximum les Noirs », il va en prison pour haine raciste… notre président Macron devrait être envoyé en prison pour avoir clamé « je veux emmerder au maximum les non-vaccinés-covid »… Ou expulsé hors de France comme ne respectant pas « nos valeurs » comme ils disent à la télé. Certes, il peut dire qu’il a des raisons sanitaires, mais ni plus ni moins que l’antisémite et le raciste prétendront faire œuvre de salubrité publique, c’est du même ordre. Et non, les non-vaccinés ne présentent pas un danger de contaminer autrui supérieur aux vaccinés, ce n’est même pas fondé, ça fait seulement partie de sa rhétorique de haine en se prétendant seul connaisseur de ce qu’est le Bien.
   Autre pierre au même dossier d’inculpation, quoique sans lien avec le covid : le président Macron a explicitement appelé à haïr « les Russes » suite à l’envahissement de l’Ukraine par l’armée rouge, ce qui s’est décliné en expulsion de sportifs russes, interdiction de romans russes ou soviétiques, bannissement de chiens et chats russes, etc. sans désaveu aucun de l’Elysée qui aurait affirmé une erreur de cible, seul le président Poutine étant visé, non. Non, c’était bien un appel à la haine généralisante (type raciste ou xénophobe) qui était commis encore une fois. Et ouf, je retombe sur mes pieds : cette erreur de haine généralisante abusive est la même que pour les gens hostiles à la vaccination covid19, amalgamés avec ceux hostiles à toute vaccination, et dedans étaient inclus ceux comme moi ayant prouvé par A+B que ces vaccins n’auraient jamais dû recevoir autorisation en avance extrême, avec danger énorme, inavoué, caché menteusement (avec complicités innombrables), puisque manquaient la plupart des données de toxicité (à moyen et long terme, cancérologie, tératologie/toxicité pour l’embryon, etc.). L’action macronnienne et gouvernementale (et des groupes alliés pro-vax-covid LR et PS) a été de diaboliser pour cacher, en mandatant éventuellement des violents pour déjuger le mouvement (comme avec les gilets jaunes, à black blocks jamais arrêtés, peut-être parce qu’agents gouvernementaux…). Là des fanatiques parmi les anti-vax ont violenté/agressé des innocents, d’où opprobre jetée sur tous les gens amalgamés avec eux. Le débat honnête est ailleurs, la science est ailleurs, il s’agit de basses manœuvres de tromperie, qui certes peuvent marcher, auprès d’esprits déficients, âgés par exemple… et néanmoins votants, d’où réélection du monstre dictatorial masqué, très très mal déguisé en démocrate.

* Ajout 344, 12/08/2022 (12h) Pompiers en renfort
   J’entends aujourd’hui à la télévision que face aux catastrophiques incendies de ce mois d’Août, il manque cruellement de pompiers, mais fort heureusement un miracle est maintenant annoncé :
– Trois cents pompiers européens vont venir nous aider. !
– et les cinq-mille pompiers français non-vaccinés Covid ?
– Non, interdits !
– et si les pompiers étrangers sont non-vaccinés ?
– Bienvenue ! Merci !
– hein ?
– Oui, c’est une question de principe, de discipline dans le corps des pompiers français !
   Je rêve, oui, je cauchemarde :
– au fou ?
– Policiers, enfermez ce complotiste délirant ! insultant la grandeur de nos décideurs élus représentant le peuple !
– ceux-là même qui ont trahi le référendum de 2005 ?
– En prison ! Vite ! Faites-le taire ! La matraque c’est pas fait pour les chiens !
– dictature ?
– Frappez fort ! Tout de suite !
– outch… aïe, ça fait mal…
– C’est bien !

* Ajout 345, 18/08/2022 (15h) Rappel
   La télévision redit presque chaque jour, notamment quand il est confirmé l’interdiction de retour des pompiers et soignants non-vaccinés covid19, que l’efficacité du vaccin a été très surestimée, et au début « on » croyait qu’il empêchait la transmission avant de se rendre compte que pas du tout (donc on ne peut pas accuser les non-vaccinés d’être spécialement des contaminateurs) MAIS, est-il systématiquement clamé, la seule chose qu’on sait avec certitude, c’est que ce vaccin (ou ces vaccins, à l’exclusion des vaccins chinois et russe rejetés par l’Europe) préviennent les formes graves, en protègent. Est-ce que je suis au moins d’accord avec ça ?!
   Non, désolé. Et je rappelle mes hypothèses qui le démentiraient.
– Le fait qu’il y ait moins de malades graves covid19 sur population vaccinée 2022 que sur population non-vaccinée 2020 n’a pas pour seule explication candidate l’efficacité du vaccin (à prévenir les formes graves), mais aussi la baisse de virulence du virus, la forme 2022 étant beaucoup moins agressive que la forme 2020, peut-être (et c’est la logique virale darwinienne : de plus en plus transmissible, de moins en moins pathogène, car tuer l’hôte stoppe la réplication).
– S’il est dit/affirmé/rappelé que les formes graves touchent infiniment davantage les non-vaccinés que les vaccinés, il y a aussi une explication alternative (je le rappelle moi aussi, l’ayant déjà dit plus haut). Qu’appelle-t-on une forme grave de covid19 ? réponse : un état grave tout en étant positif au test sars-cov-2 (même si ça n’a rien à voir avec l’état). Peut-être que sars-cov-2 n’est plu’ pathogène dans ses variantes 2022, alors les gens à état grave imputé à covid19 sont tous des faux positifs à covid19 (il n’y a pas corrélation entre contamination sars-cov-2 et maladie covid19 vraie, si elle existe) et si la vaccination abaisse la probabilité de positiver le test sars cov-2, le nombre de ces faux positifs sera plus faible chez les vaccinés. Ça ne prouverait en rien de rien que la vaccination protège des formes graves, il y aurait autant d’états graves chez les vaccinés (avec diverses maladies habituelles) mais moins souvent elles seraient attribuées à covid19. Affirmer que la vaccination protège serait une faute totale. Je n’ai jamais entendu le démenti de cette hypothèse. Les journalistes et docteurs se contentant de répéter ce qu’ils ont entendu dire sans montrer un micromètre d’esprit critique… Je le dis (redis) à leur place, voilà. Qu’ils se répètent les uns les autres et qu’ils appellent ça « consensus scientifique » a une valeur simplement nulle, face à l’objection logique.

* Ajout 346, 20/08/2022 (4h) Affichage sauvage
   J’en avais entendu parler à la télévision hier ou avant-hier mais j’en ai une première confirmation écrite ce matin (MSN/BFM-TV) seulement : « Toulouse : un arrêté va interdire l'affichage de slogans antivax » (à https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/toulouse-un-arr%C3%AAt%C3%A9-va-interdire-l-affichage-de-slogans-antivax/ar-AA10PeUR?ocid=msedgntp&cvid=f3c48b173b42405bb21e6895b6bf8b7e ). Qu’est-ce que j’en pense ?
   Cela me confirme que la France n’est pas une vraie démocratie libérale mais une dictature déguisée en démocratie libérale : le gouvernement s’arroge le monopole du mensonge légal. Exemple la campagne « tous vaccinés : tous protégés », ce n’est pas vrai ? peu importe puisque c’est le gouvernement qui le dit, et il s’arroge tous les droits, faisant la loi et décidant de l’appliquer ou non, par fait du prince, commandant les procureurs donc la prétendue justice. Ainsi, tout en clamant la liberté d’expression, avec larme à l’œil et main sur le cœur pour Salman Rushdie menacé de mort pour ce qu’il a écrit… nos gouvernants décident ce qui a le droit d’être dit, affiché, ou non, puisqu’eux seuls détiennent la Bonne Parole, La Vérité. Un peu comme l’ayatollah Khomeini, en version non « pour Allah », mais pour le vaccin prématuré anti- covid… (et les milliards € allant avec ? je ne sais pas, la jouissance d’écraser au nom du Bien prétendu peut suffire à ces monstres, je pense).
   On pourrait s’étonner que la population gobe ça, mais ça me parait imputable à l’habitude. J’ai connu les mensonges électoraux depuis Mitterrand 1981 et son service militaire réduit de moitié, le mépris de l’opinion majoritaire avec l’abrogation de la peine de mort en 1981, la trahison du référendum de 2005 ayant théoriquement rejeté l’Europe ultra-libérale, etc. Politique et mensonge sont devenus presque synonymes absolus, il n’y a pas de quoi en faire une révolution. C’est seulement matière à énormes soupirs, sans guère d’espoir puisque ça semble ainsi depuis les débuts de l’humanité, avant et après différentes révolutions censées tout changer. Mais non, pas en vrai, du tout, seulement au profit d’autres dominants, pourris différemment. La roue tourne, le « progrès » semble un mythe, la mocheté morale semble éternelle (si on creuse un peu, derrière la propagande du pouvoir).

* Ajout 347, 03/09/2022 (8h) Lucidité en retard ?
   J’ai été informé par un mail de France-Soir (merci !) d’un article* expliquant que le Royaume-Uni interdit sur les femmes enceintes le vaccin covid19, ce qu’il aurait dû faire depuis le début. Je ne garantis pas que cette nouvelle soit véridique, je ne suis pas un intime des autorités britanniques, mais je le disais depuis des années maintenant : avec « pouvoir cancérogène : pas besoin, pourvoir tératogène : pas besoin », il n’y avait absolument pas assez d’éléments pour approuver ces vaccins. Une faute ultralourde a été commise, et avec enrichissement phénoménal à la clé, cela mérite la prison à perpétuité ou quoi.
   Et ce n’est pas que je délire à affirmer prouvé que, chez les femmes enceintes, ce vaccin fera naître des extra-terrestres verdâtres ou soldats sans cerveau serviteurs aveugles de Macron, ce n’est pas du tout ça, c’est qu’on ne sait pas, pas encore, s’il y a danger ou pas. Le doute reste présent, et théoriquement avec devoir de précaution, quand il y a doute sur un danger potentiel, on interdit la substance, on ne l’autorise pas du tout. Ce qui rejoint le bon sens à l’ancienne (et le serment d’Hippocrate) avec des mots différents. Que cela parvienne enfin à la surface (ou non, si cet article raisonnable est hélas une fake news rêveuse), il serait temps de devenir sérieux sur cette histoire, en appliquant un minimum de prudence sans foncer tête baissée en punissant les gens ayant les yeux ouverts (en ce qui concerne les soignants, même si moi et mes proches directs ne sommes pas persécutés personnellement, seulement rejetés par ma famille suivant les appels à la haine proférés par le président Macron, et répétés en confirmation...).
* : « Royaume-Uni: le vaccin anti-Covid est finalement déconseillé aux femmes enceintes » à https://www.francesoir.fr/societe-sante/royaume-uni-vaccin-covid-deconseille-femmes-enceintes

* Ajout 348, 08/09/2022 (8h) Attention aux biais en publication « scientifique »
   Avant-hier, un ex-collègue (un chef, lui) est venu discuter aimablement avec moi, merci, et nous avons entre autres choses parlé de covid. Il me disait avoir vu une publication prouvant que le vaccin diminuait énormément les formes graves. Je lui répondais que j’en doutais, notamment tant qu’il est possible que la vaccination impacte le taux de positivité au test (qui est pris pour décider si un état grave est imputé ou non à covid), et il répondait que non, cela a au contraire été presque une surprise que tant de vaccinés apparaissent contaminés (et effectivement, j’ajoute : sans minoration par faux négatif chez les vaccinés qui aurait bien arrangé les autorités pour promouvoir leur vaccin).
   Après coup, il m’est venu une seconde idée, pouvant produire une erreur d’interprétation en une telle publication scientifique : vu qu’il y a quelques contre-indications à la vaccination, si une de ces contre-indications donne beaucoup de malades graves, cela déséquilibre par biais le taux de malades graves parmi les non-vaccinés (taux dit très fort « à cause de la non-vaccination » alors qu’il est très fort parce que ces pré-malades ont été exclus de la vaccination).
   Je l’ai vérifié sur un exemple fictif, et c’est entièrement confirmé :

   La publication « scientifique » aurait claironné : « la proportion de non-vaccinés est accrue d’un facteur 16 (+1500% !!!) parmi les cas graves ! Cela prouve totalement que la vaccination protège des cas graves (réduction de 94% du risque) ! », et cela aurait été faux, totalement faux, car si l’on exclut la petite sous-population de pré-malades-graves interdite de vaccination, cette proportion n’est même pas accrue de 0,000 001%. Cela n’apparaissait en rien sur la publication, mais il faut avoir l’audace de démêler les protocoles décisionnaires préalables à l’étude. Bref, que des chiffres « semblent prouver que » ne suffit absolument pas à me prouver quelque chose, j’ai besoin de lire très précisément l’argumentaire, pour le casser s’il y a lieu.

Ajout 349, 22/09/2022 (16h) Rêve de sieste
   Puisque je suis en invalidité, j'ai fait la sieste cette après-midi (même si on n'est pas en week-end), et j’ai eu comme une « révélation »… Oh, ce n’est absolument pas garanti certain, c’est un cauchemar, mais il me semble intéressant à noter. Ça fait référence à une bande dessinée ou un film vu dans mans mon enfance, où le héros gagnait contre Le Très Méchant qui était un médecin fou voulant stériliser la planète entière pour lutter contre la surpopulation. Bien sûr, ce scénario est absurde : comment administrer un truc stérilisant, même caché, à l’humanité entière ? Eh ben, c’est ce qui vient d’être fait avec le vaccin dit anti-covid 19 ! approuvé officiellement très très en avance. En matière de tératologie, toxicité sur les embryons donc la génération à venir, il fallait en attendre l’arrivée à l’âge sexuellement adulte (environ 15 ans) pour s’assurer qu’il n’y avait aucun problème de ce côté, or là, avec un blabla dément tout a été approuvé en moins d’un an, prétendu « garanti sans risque » avec persécution des gens d’avis différent (et pas seulement les complotistes hurlant « c’est prouvé toxique dangereux extraterrestre » mais tout autant des sceptiques comme moi osant dire « non, on ne sait pas encore »)…. Même si 10% des bébés nés avec mère vaccinée sont stériles (plutôt que 100% qui est autant possible), ce serait une immense « victoire » (en horreur, anti-liberté) des stérilisateurs. Au pire, cela pourrait condamner à l’extinction totale l’humanité (je n'ai pas fouillé les scénarios de ce côté, selon la durée de vaccination future et les âges de préocréation possible, à confirmer ou renier), si la propagande a « bien » été efficace mondialement. Ce n’est pas rien, et quand on nous parle du devoir de précaution, il est clair qu’il a là été foulé au pied.
   Je ne garantis en rien que ce cauchemar soit véridique, mais je garantis qu’est fausse l’affirmation qu’il n’y a aucun risque tel, connu dès à présent. Non, on verra, dans 13-20 ans maintenant…

* Ajout 350, 22/09/2022 bis (16h) Conférence osée
   Une personne que je connais m’a aimablement transmis un mail publicitaire de « La Lettre Santé Corps Esprit » présentant des extraits d’une conférence de 2 heures du médecin Docteur Louis Fouché, expliquant le scandale du vaccin anti-covid19, dangereux selon lui.
   Je n’applaudissais pas du tout à l’avance même si cela va plutôt dans mon sens, j’envisageais d’être en désaccord partiel voire complet, et après lecture et audition des extraits, je ne suis pas en désaccord général, je ne suis pas non plu’ convaincu affolé partant pour révolution, non. Je m’explique.
1/ Au départ, il dit que le fabricant Pfizer avait déjà compté des décès causés par le vaccin chez les enfants avant même de demander l’autorisation. Un intervenant en visioconférence lui demande comment un décès peut être assurément attribué au vaccin, et le Dr Fouché avoue qu’on ne le peut pas, car la loi de pharmacovigilance (challenger/dé-challenger/rechallenger) ne s’applique pas en cas de décès, que le problème est dans le principe même de pharmacovigilance, qui ne compte pas les décès ! Oui, mais moi j’aurais contre-attaqué alors : donc vous n’aviez pas le droit de dire que ces décès étaient assurément dus au vaccin. On peut dire qu’il y a suspicion ou hypothèse inquiétantes mais pas causalité certaine ni même probable. On n’en sait rien (ce qui est ma position, au contraire du Dr Fouché, même si lui et moi considérons abusive la campagne de vaccination anti-covid se prétendant à risque négligeable).
2/ Ensuite il présente des chiffres de Mars 2022 en Grande-Bretagne montrant qu’il y a davantage de décès et d’hospitalisation chez les vaccinés que chez les non-vaccinés, et il en déduit que la vaccination augmente le risque et que c’est prouvé par ces chiffres. Je ne suis pas d’accord avec ce statut prétendu de preuve. Peut-être que sur les 24 derniers mois [ou 240 sur 10 pays], 23 [ou 239] auraient semblé indiquer le contraire, et seul ce mois-là [en ce pays-là] va en un tel sens, et avec de telles variations inter-mois que cela n’a rien de significatif, la variabilité au hasard pouvant très bien expliquer de tels chiffres ; qu’il expose un mois et un seul [en un seul pays] pour conclure n’est pas probant, c’est une faute de pensée, comme mathématiquement incompétente (beaucoup de gens diraient « statistiquement » plutôt que mathématiquement mais je ne suis pas d’accord avec ça non plu’, les statistiques étant une usine à conclusions erronées, je l’ai montré dans de nombreux exemples, le simple projet de statistiques inductives étant au moins partiellement illogique, comme l’induction brute).
3/ Ce docteur conclut que la population doit descendre dans la rue pour faire condamner les autorités coupables, et je ne suis pas de cet avis. Enfin, je dois m‘expliquer là aussi soigneusement :
- Il se trouve que je ne suis pas mobile, le 3e de mes 4 cancers entrainant une sciatalgie m’empêchant presque totalement de marcher. Il serait donc suspect que je clame « oui, descendons dans la rue ! (enfin, sans moi, qui en suis incapable) et tant pis si on est débordés par des casseurs et matraqués tous à ce titre ! (sauf moi, tranquille chez moi) »…
- Si j’étais valide, de même je ne serais pas d’avis de générer une révolution violente. Ma vie, brimé par mon grand frère toute mon enfance, s’est entièrement construite comme inaction soupirante, face à l’injustice claire et incontestable, hélas les dominants dominent, c’est moche mais ça semble la vie. Et c’est si moche de dominer ainsi que je ne suis en rien candidat à prendre pareille place.
- Ceci dit, ici où je défoule ma pensée argumentée, je pourrais dire que ce vaccin est un scandale total, pas dans la rue non, et sans espoir d’être entendu ou « suivi » (en tant qu’opinion, si autrui existe, ce qui n’est même pas sûr – ce que je dis là est classé maladie mentale en France, sagesse en Inde, hum).
- Je ne juge pas que cette nouvelle présentation de prétendus faits toxiques bouleverse la situation. Même s’ils sont établis à partir de données officielles, je n’ai en rien la preuve que ces données officielles ne sont pas mensongères (comme la production sidérurgique est-allemande que l’on m’a fait réciter au lycée vers 1980, avérée totalement fausse lors de la réunification des Allemagnes en 1990). Par contre, c’est une affaire de principe : la toxicité à 5 ans sur l’être humain, qui était une exigence totale depuis le scandale thalidomide, avec interdiction de généraliser par famille de produits, cela a été trahi sans le dire, c’est une faute lourde (et un crime puisque impliquant la santé et avec intéressement financier). Et sans le dire et en prétendant se faire à risque nul, ce qui était clairement du mensonge éhonté. De même, en moins d’un an, il était totalement impossible de montrer une absence d’effet cancérigène, et tératogène (mort des embryons mais aussi retard mental des nouveaux nés, voire stérilité des adultes ainsi générés). Cela a été commercialement vendu avec un très mauvais boniment publicitaire, et trahison de blouses blanches se posant en gage de science tout en oubliant le principe de base de la science expérimentale : le doute en attendant expérience démonstrative.
   Bref, je suis d’accord que ce vaccin a été imposé de manière totalement abusive. Je le dis pour d’autres raisons que ce médecin. Je suis intéressé de l’écouter, même si tel ne me semble pas l’argument majeur, clé. Inversement, si demain ce médecin réapparait rigolard en disant que tout ce qui était dit là était inventé, prouvant la stupidité des anti-vax, des complotistes, cela ne me concernerait pas, et je resterais droit dans mes bottes, contre ce vaccin abusif aussi vite.

* Ajout 351, 25/10/2022 (4h) Lectures sur "covid-psy"
§ J'ai lu récemment une nouvelle MSN/ : « Le stress, la dépression et la solitude, de nouveaux facteurs de Covid long » (à https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/le-stress-la-d%C3%A9pression-et-la-solitude-de-nouveaux-facteurs-de-covid-long/ar-AA13gqAk?ocid=msedgntp&cvid=760a6c285d2d43468eea87855afd13aa). Je cite et commente :
• « L'étude conclut que les sujets atteints de troubles psychiques avant l'infection avaient 30 à 50 % plus de chance de souffrir d'un Covid long. "Nous avons été surpris de constater à quel point la détresse psychologique avant une infection par le Covid-19 était associée à un risque accru d'affections post-Covid" (…) Le lien entre ces troubles psychiques et ces symptômes de longue durée a besoin d'être approfondi à travers d'autres études, mais "ces résultats renforcent la nécessité de sensibiliser davantage le public à l'importance de la santé mentale et d'offrir des soins aux personnes qui en ont besoin". »
--> Je trouve ça navrant de bêtise pseudo-scientifique. Pas besoin de science pour deviner que les gens affaiblis sont moins résistants que les gens en pleine forme, et demander toujours davantage de moyens pour « poursuivre les études », c’est réclamer du fric dans sa propre poche, pour ne rien apporter de tangible ou novateur. La fraude de la psychologie fausse-science s’en donne à cœur joie avec pareil bla-bla pourvoyeur d’argent indéfiniment. J’ai l’expérience de plusieurs décennies en tristesse profonde, stupidement diagnostiquée maladie dépressive avec traitement médicamenteux alors que ce n’était nullement des problèmes d’infection bactérienne ou molécules anormales se glissant dans mon cerveau du fait de programmation ADN ou quoi, c’était une conséquence de la totale méchanceté d’une personne aimée, entendant jouir de sa liberté en me chassant, avec totale approbation de cette société échangiste au nom de la « liberté » ou « modernité ». Bref, au lieu de questionner la légitimité de la personne très directement source du mal, un « n’importe quoi » s’agite pour en minimiser les conséquences, en vain car ça ne répond en rien de rien au problème source, au deuil subi, imposé, méchamment, atrocement. (C’est même moins efficace qu’en automédication ceux qui se saoulent la gueule pour oublier, rarement avec grand succès). Le bla-bla faussement médical des psychologues et psychiatres me parait un des grands maux de ces temps, et il est peu étonnant que la fraude covid19 débouche sur une fraude parallèle à la prise en charge psychologique.
§ Il y a par ailleurs un lien vers « Covid long : ce que savent les scientifiques » (à https://www.lepoint.fr/sante/covid-long-ce-que-savent-les-scientifiques-26-09-2022-2491389_40.php ). Je cite et commente :
• « Contaminées par le coronavirus Sars-CoV-2, certaines personnes sont victimes d'une affection post-Covid-19, communément dénommée par les patients « Covid long », qui se caractérise par la persistance, des mois, voire des années durant, de divers symptômes invalidants. Cette affection peut concerner des patients ayant fait une forme initiale légère comme une forme sévère, voire toucher aussi des personnes qui n'ont présenté initialement aucun symptôme. »
--> Cela me parait une totale erreur de sujet, d’approche : si rien ne prouve que l’affection ultérieure est causalement liée au fait d’avoir été positif à ce virus, affirmer par principe que c’est une maladie liée à ce virus constitue un abus, un illogisme total.
• « (…) D'une part, ces symptômes ne peuvent pas être expliqués par d'autres diagnostics et, d'autre part, ont un impact sur la vie quotidienne. Le Covid long fait partie de la maladie Covid-19. »
--> Même erreur encore ; cela revient à dire que en cas de « on ne sait pas » (sans avoir de raison explicative précise pour une affection), celle-ci sera affirmée venir du virus de covid19, même si ce n’est en rien prouvé. C’est un abus total, un illogisme, une faute professionnelle pour les personnels de santé. Mais cela arrange bien les autorités qui ont délibérément surdramatisé au sujet de cette prétendue crise covid19. Financement et médailles iront donc dans le sens d’approuver cette erreur, c’est une forme de logique, mais dans l’erreur, absolue.
• « Si les symptômes principaux sont une fatigue inhabituelle, un essoufflement, un dysfonctionnement cognitif, (…) des troubles du sommeil, plus de 200 symptômes très variés touchant de multiples organes peuvent aussi être observés. (…) notamment des diarrhées, des nausées, un ralentissement du transit… (…) comme une vision floue (…) des aphtes, des signes cutanés… »
--> Eh ! Avant l’apparition du virus sars-cov2, il y avait des millions de cas de soudaine fatigue ou dysfonctionnement cognitif, vision devenant floue (chez personnes âgées notamment, c’est une conséquence très très habituelle de la vieillesse), cela prouve erroné d’attribuer maintenant ces symptômes à la positivité sars-cov2, qui a effectivement concerné des tas de gens mais sans que cela ne prouve en rien une causalité dans les dits troubles émergents. Quand bien même l’ancien taux aurait été de 10±2% et le nouveau 20±3%, oui il y aurait différence significative non imputable au hasard, mais les 20% compteraient 10% venus d’ailleurs, ce qui fait : rien moins que la moitié de surdiagnostics erronés, même pas envisagés !
• « (…) Sur les 25 537 volontaires âgés d'au moins 18 ans qui ont répondu, 33,9 % ont déclaré une infection par le Sars-CoV-2. Parmi ceux infectés plus de trois mois auparavant, 30 % déclaraient avoir des symptômes prolongés. »
--> C’est invalide scientifiquement : il manque une contre-épreuve, type test en double-aveugle. En effet, il faudrait savoir parmi les non-positifs Sars-coV-2 le taux de symptômes prolongés (genre diarrhée ou vision floue). Si c’est 30% aussi, voire davantage, cette histoire de covid long serait prouvée une arnaque, du faux et usage de faux, il faut au moins l’envisager sans foncer dans la certitude doctrinale… Si c’est un chiffre comme 27%±2% avec 30%±2% pour les contaminés, ce ne serait pas significatif. Et si c’est 15%±2% ce serait comme je le disais plus haut : significatif mais surdiagnostiqué dans la moitié des cas, ce qui constitue un taux d’erreur inadmissible (à mon avis, et « très grave » en tout cas, à noter, à avouer pour relativiser la crédibilité des affirmations).
• « (…) Le nombre de personnes concernées par une affection post-Covid-19 dans la population française a pu être estimé à 2,06 millions de personnes de plus de 18 ans, soit 4 % de la population adulte (intervalle de confiance à 95 % : 3,7 %-4,2 %). »
--> J’entrevois là une once de lucidité ; il s’agit effectivement d’affections post-covid-19, c’est d’accord, mais cela ne prouve en rien de rien une causalité covid19 dans le déclenchement ! Sinon, on pourrait citer le cancer et la tuberculose (et la tristesse de ne pas gagner au Loto) : plein de cas ont touché d’ex positifs sars-coV-2, va-t-on pour autant dire que ces affections les ont touchés parce qu’il y a contamination par sars-CoV-2 ? C’est de l’idiotie profonde ! Pire : il y a une erreur, même dans ces mots ici prudents : « post positivité sars-CoV-2 », ne signifie en rien « post Covid-19 », je rappelle en effet que le d de covid est disease, maladie, et que des asymptomatiques ne sont en rien malades. Bref, la confusion la plus totale continue à s’opérer, toujours dans le but de maximiser les chiffres, de prétendre le problème immense même s’il ne l’était pas du tout, en vrai. C’est stratégique, certes, mais au sens de stratégie mensongère pour un maximum de fric (ou d’approbation pour les politiciens payeurs, avec notre argent…).
• « (…) Un point important à souligner est que certains patients peuvent avoir une sérologie négative (autrement dit, on ne trouve pas dans leur sang d'anticorps anti-Sars-CoV-2) et pourtant avoir été infectés par le virus. En effet, il a été montré que certaines personnes ne produisent pas d'anticorps anti-Sars-CoV-2 après infection même si leur organisme réagit parfois au virus, en déployant des cellules immunitaires, les lymphocytes T, contre ce dernier. Ce point est essentiel, car il indique que le fait d'avoir un résultat négatif à un test sérologique n'est pas une preuve que l'on n'a pas été infecté. Or le fait que certains patients Covid long aient eu des sérologies négatives a pu jeter le doute sur la véracité de leur syndrome et de leur infection initiale notamment quand ils n'ont pas bénéficié de PCR. »
--> Effectivement, cet élément dément la contre-épreuve que j’envisageais avec les négatifs au test. Toutefois, cela me conduirait à dire « donc on ne peut rien affirmer du tout », et non pas du tout « tout nouveau symptôme est attribuable au virus, même chez les non diagnostiqués comme infectés ». Effectivement, quand on ne sait rien, on peut envisager ne rien dire puisque peut-être faux mais aussi envisager de dire le + affolant possible car pas prouvé davantage faux qu’autre chose. La raison scientifique me semble imposer dans ce cas une conclusion « on ne sait rien », sans ouvrir la porte aux fanatiques contradictoires, affirmant chacun comme vrai indubitable le non-« prouvé-faux ». C’est comme en religion, la sagesse me semble dans le scepticisme davantage due que dans l’islamisme intégriste, le judaïsme intégriste, etc.
  Autres points :
1/ Le fait que se soient multipliés les lymphocytes T indique une infection, pas forcément par le virus sars-cov2, affirmer le contraire est une faute lourde, pour maximiser les chiffres dans le sens voulu, malhonnêtement.
2/ Si le sujet est que les tests sérologiques ou rapides sont moins fiables que la PCR, avec possibles faux négatifs, il ne faudrait pas pour autant oublier que la PCR ne dit pas le vrai absolu mais a été arbitrairement décrétée constituer la référence. Ces discussions sur les faux positifs et faux négatifs sont dans l’absolu toutes contestables, pouvant être démenties par découvertes futures, l’avenir est inconnu, même si les illogiques scientistes pérorent, pleins de fausses certitudes et supériorité erronée.
• « (…) Parmi les patients Covid long figure une forte proportion de femmes. Des travaux qui restent encore à confirmer semblent également indiquer que les personnes ayant un terrain allergique pourraient être davantage impactées, tout comme les personnes ayant un terrain auto-immun (leur système immunitaire s'attaque à leur propre organisme, NDLR) ou ayant été atteintes par un syndrome de fatigue chronique par le passé. (…) »
--> Je vois là l’erreur habituelle + une nouvelle erreur. L’erreur répétée ici est qu’il manque le groupe témoin du double-aveugle : est-ce que, sans covid-19, les femmes ne présentent pas aussi un taux de symptômes accru ? L’erreur nouvelle est qu’il est erroné d’affirmer, pour une personne ayant déjà eu les mêmes symptômes avant covid19, que la réédition de ces symptômes n’a rigoureusement aucune autre explication envisageable que la contamination par ce virus. Mais, là encore, cette erreur de logique et de méthode va dans le sens de maximiser la gravité de la prétendue maladie covid long, d’où budgets accrus, et satisfaction des politiciens alarmistes ce qui va avec les dits budgets. Cette fausse science est vendue, achetée, honteuse.
• « La rééducation occupe aussi une place primordiale dans la prise en charge (…) Proposer une prise en charge psychologique, voire psychiatrique, quand celle-ci est nécessaire peut être pertinent. (…) »
--> Là encore, le risque de surdiagnostic ne semble nullement envisagé. Dans le doute pourra être attribué à covid19 ce qui vient de totalement ailleurs, psychologues et psychiatres ne sachant rien continueront à affirmer à tort, c’est hélas leur métier.
  Bilan : le titre de l’article me parait immensément abusif, il ne s’agit pas de ce que « savent les scientifiques », mais de ce que prétendent à tort savoir certains scientistes oubliant de douter comme l’exigerait la vraie démarche scientifique. On est là dans une très vaste calamité, que je dénonce dans plein de domaines (dont « climat et CO2 », sujet grave hyper-coûteux) : le fait qu’hélas la plupart des scientifiques sont des fanatiques scientistes dépourvus de lucidité, d’intelligence critique.

* Ajout 352, 12/11/2022 (4h) Alarme ultra-maximale
  François Braun (ministre de la santé français) vient de lancer un cri alarmiste : « On a encore un mort du covid19 toutes les 10 minutes ! ». Qu’est-ce que j’en pense ?
  Je n’y crois aucunement : il n’y a en rien investigation des mois sur chaque cas pour prouver la cause de la mort. L’habitude prise a consisté à automatiquement appeler « mort du covid » quiconque meurt de n’importe quoi tout en étant positif au virus sars-cov2 (accident de la route, chute d’un arbre, suicide, vieillesse, cancer, etc.). Ainsi, s’il y a un mort toutes causes confondues toutes les 5 minutes et 50% de positifs au virus, cela donne environ un (faux) « mort du covid » toutes les 10 minutes, même si c’était un virus bénin jamais tueur, par simple artifice de comptage voulu alarmiste au risque de mentir. C’est même du mensonge actif, et de l’escroquerie puisqu’il y a enrichissement massif de certains avec les vaccins prétendus préventifs. Mais puisque ces gens ont le pouvoir, pouvoir de poursuivre, de ruiner, etc. ils s'abstiennent de se chercher querelle à eux-mêmes et ils ne risquent donc rien. La justice est ailleurs, la médecine aussi. A mon avis (interdit, puni si j'étais encore dans le domaine médical).

* Ajout 353, 19/11/2022 (5h) Nouvelles
• Le sujet covid est moins externe pour moi dorénavant : non seulement mes parents, frère, sœur (loin d’ici, après vaccination anti-covid19) ont été malades du covid19 durant les mois passés, de manière fatigante et bénigne, mais mon fils est positif depuis hier soir, après avoir été cas contact au collège deux jours avant.
• J’entends une interview passionnante démontant les mensonges officiels effectués au nom de la science. C’est une longue et passionnante vidéo à « "Le préalable à la réconciliation, c’est que la vérité soit dite" Jean-Dominique Michel | FranceSoir » (à https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation ). Un anthropologue montre que les principes scientifiques de doute ont été trahis pour que triomphe les logiques grégaires stigmatisant ceux qui pensent différemment, ce qui est bien connu en sociologie. La mathématisation de l’humain par une fausse science officielle est aussi contestée de manière rare, merci. Les modélisations fallacieuses sont pointées du doigt, alors que les médias disaient que c’est la vérité certifiée par la Science, et (par hasard ?) ces modélisations allaient dans le sens voulu par les politiciens aux commandes. Un signal d’alarme en journal scientifique britannique (« On est en train de corrompre la Science ») a été étouffé il y a deux ans. La preuve mathématique de fraude a donné lieu à une plainte que le juge concerné a classée… « sans suite », sans argument, par décision motivée on ne sait comment, mais arrangeant très fort le pouvoir. (Emu, j’ai fait un don à France-Soir, pas colossal, mais le prix auquel j’aurais acheté un magazine super-intéressant, merci.)

* Ajout 354, 21/11/2022 (9h) Ministre Caca
   Un article MSN/JDD ce matin : « Soignants non-vaccinés : François Braun évoque un "problème d’éthique" à les réintégrer » (à https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/soignants-non-vaccin%C3%A9s-fran%C3%A7ois-braun-%C3%A9voque-un-probl%C3%A8me-d-%C3%A9thique-%C3%A0-les-r%C3%A9int%C3%A9grer/ar-AA14kRrw?ocid=msedgntp&cvid=22042499fbb54c6f9757ac3cc48e2a51 ). Je cite et commente :
• « (…) le ministre de la Santé François Braun (…) "Il y a un problème de santé et un problème d'éthique professionnelle" (…) "très peu de médecins" sont concernés mais que "1 050 infirmiers" ne sont pas vaccinés "sur les 300 000" (…) "Il s’agit d’abord de la "sécurité sanitaire". "Acceptons-nous que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles", s’interroge le ministre, rappelant que l’on "meurt encore du Covid tous les jours en France". »
--> C’est une ambiguïté tenant de la faute professionnelle chez ce ministre (prétendu médecin) apparemment incompétent en matière de santé. Il joue débilement sur le mot « protégé » qui renvoie aux vrais vaccins d’autrefois, qui garantissaient à la fois l’absence de forme grave, l’absence de contamination, l’absence de transmission, ici les 2 derniers sont hors sujet avec ce prétendu vaccin à moitié raté bien moins efficace que cela n’était escompté quand il a été autorisé par avance (le démenti expérimental valant normalement annulation de l’autorisation prématurée donnée en catastrophe avant de vérifier les performances). Bref, implicitement, il dit ici « les non vaccinés transmettent, les vaccinés ne transmettent pas (puisque j’ai dit ceux-ci : protégés) », mais c’est de sa part une erreur, une faute professionnelle lourde, entre imbécilité et malhonnêteté menteuse, ou escroquerie vus les enrichissements phénoménaux en jeu. Quant aux prétendus "morts covid", c'est un autre mensonge, voir l'ajout 352 le détaillant.
• « Le second problème concerne "l’éthique". Des soignants qui, eux, ont accepté de se faire vacciner, se sont notamment plaints auprès de François Braun. Si certains ont fait la démarche de se faire vacciner, ils n’accepteraient pas tous le retour de leur collègue selon François Braun. "Des soignants (…) me disent : ‘on s’est fait vacciner, on a fait le job, on a tenu la ligne pendant deux ans, et là vous nous dites que ceux qui n’étaient pas là pour nous aider vont revenir ?’ " (…) ».
--> Là encore, c’est de la confusion mentale, entre stupidité et mensonge : ceux qui n’étaient pas là pour aider n’étaient en rien refuseurs d’aider, ils ont été interdits d’aider, par injonction officielle, par erreur en les prétendant davantage contaminants que les vaccinés ce qui a été démenti. Par ailleurs, se faire « vacciner » (en fait « piquer par truc expérimental peut-être dangereux et allant s’avérer grandement inefficace ») alors que n’étaient en rien obtenus à ce stade les preuves de non-toxicité (cancérologie, tératologie, effet à long terme type maladies auto-immunes, etc.), cela ne faisait absolument pas partie du « job » normalement exigé de soignants, nullement astreints à une position de kamikaze mais astreints seulement aux précautions sûres. Que des piqousés l’aient mauvaise en se disant « si j’avais su, moi aussi j’aurais refusé », c’est bien possible, c’est ce que commandait la simple lucidité biologiquement compétente, qu’ils se mordent les doigts aujourd’hui c’est leur affaire, mais en rien un justificatif objectif à faire perdurer l’oppression des lucides. Quant au fait d'appeler "éthique" la punition de ceux ayant raison en félicitant ceux ayant tort, c'est une contradiction presque insupportable, d'auto-félicitation injuste gravement.

* Ajout 355, 26/11/2022 (3h) Articles lumineux
   Alors que toute ma famille est maintenant malade (4 personnes sous le même toit, peut-être de covid19 mais mon épouse refuse qu’on se teste tous « car c’est cher »), je reçois l’annonce d’un article très intéressant de France Soir avec Laurent Toubiana : « Mortalité selon le statut vaccinal : la réponse hallucinante de la Commission d’accès aux documents administratifs » (à https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/mortalite-selon-le-statut-vaccinal-la-reponse-hallucinante-de-la-cada ).
   Le refus officiel de donner les statistiques de mortalité par statut vaccinal covid est discuté. Je note notamment : « S’il y a une épidémie grave due à un virus ET que le vaccin protège, ALORS les non-vaccinés auront NÉCESSAIREMENT un taux de mortalité SUPÉRIEUR aux vaccinés. Il est absolument nécessaire de le vérifier pour déterminer si la balance bénéfice-risque peut être considérée comme positive. Nous ne pouvons que déplorer que la DREES se soit cantonnée à réaliser des appariements complexes et douteux (de son propre avis) de façon à promouvoir la vaccination, en utilisant les résultats des tests et des admissions hospitalières prétendument “pour Covid-19”, sans jamais avoir étudié les possibles biais de ces déclarations. Seules des statistiques de taux de mortalité TOUTES CAUSES CONFONDUES, selon le statut vaccinal peuvent permettre de savoir si la vaccination a le moindre intérêt concernant pour les Français. ».
   Autre article France-Soir très intéressant : « Gestion de la crise du Covid-19 : les scandales politiques et sanitaires éclateront-ils ? » (à https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/gestion-crise-covid-les-scandales-politiques-et-sanitaires-eclateront-ils ). Conflit d’intérêt évident à la tête de l'Europe, mensonge sur le caractère altruiste « démontré » de cette vaccination, propagande, etc.
   Le réquisitoire est lourd, mais le pouvoir partout échappe à toute sanction car il a le pouvoir… Concernant la propagande, je note que sur la chaine télé C-News, osant partiellement contester les dogmes gouvernementaux, les présentateurs vedettes (Pascal Praud, Jean-Marc Morandini) disent explicitement « je ne peux pas vous laisser dire ça » à ceux qui contestent qu’est prouvé le caractère protecteur de ce vaccin. Ils n’ont aucune compétence sur le sujet, mais ils estiment obligatoire de suivre à ce sujet le dire officiel. Je trouve ça affreux. L’article France-Soir explique cela par la prétenue obligation de « croire la Science », or moi qui suis informé d’épistémologie, je suis au courant que cette exigence de croire la science actuelle (scientisme) est un abus de pouvoir, non motivé en matière de crédibilité, simple écrasement des faibles par les puissants.
   Remarque ; si je mentionne des sites sans en faire des liens, c'est pour dire quelles sont mes sources sans aller jusqu'à programmation html complexe pour rendre le lien opérant, avec {a href="..."} {/a}. Quoi qu'il en soit quiconque peut aller voir ce lien ; surligner l'adresse que je cite, la copier (ctrl-c), la coller dans la barre d'adresse (ctrl-v), enter.
   Par ailleurs, j’entends les débats au sujet de la réintégration des soignants non-vaccinés, et ils me semblent sonner très faux :
– Dans la plupart des pays (tous en Europe sauf 2 je crois), ces soignants non-vaccinés ont été réintégrés, sans constater le moindre problème à ce sujet. La différence avec la France semble surtout le président français, qui a clamé qu’il voulait emmerder au maximum les non-vaccinés, donc tous ceux voulant faire carrière poussent à se mettre en conformité avec cette direction-là, même totalement dénuée de logique sanitaire ou logique en général.
– Le Président Macron prétend que cette affaire n’a jamais été un choix politique mais une stricte application des instructions scientifiques, qu’il a fait, fait et fera ce que les autorités scientifiques valident comme « à faire ». Ce cri de foi scientiste est idiot, au plan épistémologique, philosophico-scientifique, c’est un fanatisme prétendant abusivement au vrai. Par ailleurs, par le passé, plusieurs fois le président n’a pas obéi aux injonctions du conseil scientifique (reconfinement, non-réouverture des écoles, etc.) et il parait clairement menteur de s’abriter derrière un conseil uniquement dans les cas où il dit ce qu’on souhaite soi-même faire. Enfin, la notion d’autorités scientifiques (disant le vrai) est une invention incompétente ignorant comment marche la science. Les dominants, là comme ailleurs, dominent, et peuvent être prouvés en tort ultérieurement, comme ça a été le cas avec les rejets de Darwin, Pasteur, Einstein, Mendel, Aspect, etc.
– Dans les débats, d’autres commentateurs prétendent au bon sens en affirmant que le métier d’infirmier contient une éthique qui impose, entre autres choses, de ne pas blesser le patient, ne pas le contaminer, ce qui inclut l’obligation vaccinale. Non ? La télé n’y voyait aucune réponse mais j’ai cette réponse : les gens « du métier », formés à la vaccinologie normale, savent parfaitement qu’un vaccin ne peut absolument pas être validé en moins d’un an, que cela requiert 10 ans, peut-être abaissable à 7 ans avec immense budget mais les chapitres pouvoir cancérigène et pouvoir tératogène ne sont absolument pas remplissable en 1 an, donc il n’aurait jamais fallu approuver aussi vite ce vaccin-là (aucun rapport avec les vaccins en général, les autres vaccins). Et ainsi, le fait que les fabricants se soient trompés (ou « aient menti » plus exactement) en matière d’effet sur la contamination et transmission, cela n’aurait pas été possible si avaient été respectées les précautions obligatoires (au nom du principe de précaution). D'ailleurs, le terme "vaccin" n'aurait pas été mérité si avaient été connus les défauts de ce remède-ci (avant emploi généralisé), même si l'abus de langage est excellent pour la propagande trompeuse, menteuse... De même le caractère incertain des effets secondaires graves aurait été rédhibitoire, nécessitant d’attendre d’avoir suffisamment de données rassurantes pour passer en emploi sur la population générale (ce qui s’est passé là a été que sur la population générale a été testé un truc inconnu ne méritant pas du tout validation, même si certains pouvaient espérer que cela marche – ne serait-ce que pour raison financière ou électorale). Les gens formés à la biologie médicale le percevaient mieux que le grand public, dressé par les autorités à détester les récalcitrants à cette vaccination-là. Et si beaucoup moins de médecins que d’infirmiers doutent, c’est à mon avis que les médecins sont alliés aux dirigeants, faisant partie de la clase dirigeante, sans vouloir scier la branche qui leur profite tant. Par ailleurs, j’ai fait une première année de médecine (avant de m’enfuir sans redoubler) : il est totalement faux que les médecins constituent l’élite des étudiants, il s’agit au contraire des plus stupides avaleurs-réciteurs, ce qui m’a choqué très profondément à l’époque, mais qu’a confirmé le prof de maths auquel je démontrais qu’il se trompait. Sa réponse a été quelque chose comme « si vous voulez réfléchir, vous vous êtes totalement trompé d’études, jeune homme ! »… Je ne serais pas surpris que le taux de scepticisme parmi les médecins soit très inférieur, significativement, à celui de la population générale, et les infirmiers me semblent bien mieux incarner la population générale, usuellement cocufiée par les politiciens (dont beaucoup sont d’ailleurs médecins).

* Ajout 356, 28/11/2022 (18h) Fausse démonstration
   J’entends ce jour dans un débat-télé : « les gens se sont bien fait vacciner, et l’hiver s’est bien passé, c’est la preuve que la vaccination ça marche. Conclusion : il faut se faire vacciner, il n’y a pas à discuter. » Qu’est-ce que j’en pense ?
   C’est faux, totalement illogique : il n’est en rien démontré que si ça s’est bien passé c’est PARCE QUE il y a eu vaccination. Une autre hypothèse restant entièrement envisageable est que les nouveaux variants du virus ne sont plu’ graves. Avoir prétendu à la preuve est du « faux et usage de faux », comme d’habitude. Au nom de l’évidence, pour esprits inattentifs, crédules.

* Ajout 357, 03/12/2022 (8h) Détail dans mes archives
   J’ai retrouvé un film MP4 en Anglais du 30 Avril 2022, parlant de covid. Je crois me souvenir que c’est un correspondant hostile au vaccin covid qui me l’avait transmis, mais je n’en ai pas parlé ici car ça me paraissait peu probant. Je le mentionne aujourd’hui avant d’oublier ou détruire cette pièce jointe. Des journalistes y disent que les élus du Minnesota protestent contre le vaccin covid obligatoire, et il est présenté des cas de « victimes du vaccin ». Deux femmes disent ainsi que leur trouble grave est apparu le jour de la vaccination, et pour un enfant gravement malade, il est dit que son docteur a déclaré que cela venait de la vaccination covid. Qu’est-ce que j’en pense ?
   A mon avis, ces pseudo-arguments ne valent rien de rien. En effet, rien ne prouve qu’il y ait eu relation de cause à effet entre cette vaccination et ces maladies. Il y a eu coïncidence dans le temps, oui, mais ça pourrait n’être que coïncidence. La personne atteinte se souvient seulement comme chose particulière ce jour-là de cette vaccination mais il y avait peut-être d’autres évènements, eux non remarqués, qui ont pu causer le trouble. Ou rien de tangible et c’est apparu soudain, par hasard au moment de cette vaccination (si ça devait tomber ce jour-là de cette année, il y a 1/365 de propbabilité que ça tombe le jour de vaccination, voire 2/365 ou 3/365 en cas de multiples doses), et si on examine mille personnes à gros problème apparu cette année, rien d’anormal que 3 d’entre elles l’ait vécu le jour de cette vaccination par pur hasard.
   3/1000 environ égal à 1/365.
Proba d’évènement 1/365 --> binomialement attendu sur 1000 : 0 à 5 avec proba > 5%, 2 à 3 avec proba > 20%.

   Quant au docteur ayant dit que telle était la cause, pourquoi le croire ? s’il affirme son opinion personnelle, oubliant de douter. Ce n’est ni davantage crédible ni moins crédible qu’un autre docteur qui aurait conclu que ça ne peut pas venir du vaccin car lui est persuadé que ce vaccin est sûr.
   Bref, des deux côtés pro-vaccin-covid comme anti-vaccin-covid semblent commises des erreurs logiques, des confusions prises pour preuves. Affirmer cela probant, du côté que l’on croit, est simplement de la croyance. Théoriquement, en France tout au moins, le « devoir de précaution » devrait trancher en faisant interdire le produit incertain peut-être dangereux, mais un bla-bla hyperactif a prétendu le contraire : le devoir de précaution tranche en déclarant dangereux inadmissible ce virus (peut-être bénin, mais peut-être grave) d’où forçage en faveur du vaccin. Possiblement, mais arbitrairement.
   Je ne trouve rien de cela probant, et à mon avis la sagesse est dans le doute. Que l’on se fasse vacciner ou non, au bénéfice du doute, c’est affaire de sentiment personnel, de croyance vague, tandis que les affirmatifs catégoriques méritent d’être mis en question très attentivement. Il semble très faux que la rationalité commande cette vaccination, mais inversement de nombreux abus semblent commis pour la prétendre prouvée grave.
   Ce qui par contre me parait criminel, intellectuellement malhonnête, c’est de prétendre qu’en France « on a le droit de croire ou ne pas croire » mais « il faut croire bénéfique ce vaccin anti-covid » sous peine de sanctions (interdiction de scanner pour les cancéreux en surveillance, privation de revenus pour les soignants, dans ces deux cas c'est de la mise en danger de la vie d'autrui). Là, une arnaque injustifiable a été commise, un crime contre l’honnêteté intellectuelle.

* Ajout 358, 17/12/2022 (0h) 1 mot résumé
   Je lis une nouvelle France-Soir intéressante, rejoignant mon analyse personnelle selon laquelle le prétendu « fact checking » (vérification des faits) est souvent une escroquerie menteuse, et j’y note un détail intéressant : l’ensemble des anomalies mensongères devenues le standard de communication pour le pouvoir a été affublé d’un nom, le covidisme. Oh, que c’est horriblissime, ce covidisme, je suis d’accord avec ses journalistes anormalement rebelles.

* Ajout 359, 07/01/2023 (1h) Détail de séquenceur (complément principalement aux ajouts 55 et 107)
   J’ai encore entendu parler de séquençage du « virus covid » [sars-cov-2], cette fois c’était un invité de plateau télévisé, qui était à la fois médecin et politicien (maire je crois, pas député, de parti LR je crois, pas majorité au pouvoir). Il disait quelque chose comme « en France on ne séquence pas assez ce virus : sur chaque patient, il faut séquencer. Oui, il faut séquencer séquencer séquencer, ainsi on suivra en temps réel l’apparition des nouveaux variants ! et on verra s’il y en a des dangereux qui nous arrivent ! ». Euh, cela me parait en partie faux, mais je dois expliquer mon avis à ce sujet.
1/ De 2012 à 2018, mon métier professionnel était technicien supérieur en identification microbiologique par séquençage nucléotidique (ce qui correspond pile au sujet ici abordé). Enfin, dans mon cas, il s’agissait de séquences ADN de bactéries, pas séquences ARN de virus, mais le principe semble en grande partie le même, au niveau de la lecture des résultats (qui était mon travail, la pratique du séquençage proprement dit étant sous-traitée aux Pays-Bas ou en Allemagne). La première année, je tâtonnais (demandant souvent de l’aide à ma formatrice) mais au bout de 6 ans, j’étais considéré expert. Pas expert international faisant autorité devant les congrès et cours de justice mais expert dans l’entreprise, maitrisant de manière jugée suffisante ce sujet complexe.
2/ Les résultats positifs (non douteux) que nous rendions étaient, dans la majorité des cas, issus de la fonction informatique « blast » (Basic Local Alignment Search Tool), avec un nombre jugé suffisamment faible de discordances (« mismatches » disaient nos logiciels en anglais). Or… chaque mismatch (souvent toléré de 1 à 3) peut ici être lu mutation donnant un nouveau variant. Ce n’est pas si simple :
2a/ Cas des mutations silencieuses. Une séquence est une suite de bases (4 sont possibles, en première approximation = sur machine de routine, n’allant pas chercher les variantes méthylées ou autres) sur N positions successives ; cette séquence (par exemple CGATTGCCATC etc. enfin en remplaçant T d’ADN par U d’ARN) se décompose en codons successifs de 3 bases, ces codons codant pour des acides aminés formant une protéine ; or il y a bien davantage de codons (64) que d’acides aminés pour protéines (20, en première approximation), il se trouve qu’il y a beaucoup de codons différents ex aequo pointant vers le même acide aminé ; ainsi AGA et AGG codent pour une arginine, la mutation de A en G en cette 3e position est silencieuse, sans effet biologique. Hurler qu’on a identifié un variant dans ce cas est une fausse alarme, un artefact incompétent.
2b/ Séquençage total ou ciblé. Un microorganisme a un ARN très long, très cher à séquencer en totalité (quoique de moins en moins cher avec les années, la demande croissante diminuant le coût unitaire puis le prix unitaire s’il y a concurrence – malgré le risque de prix bas à moindre fiabilité, tout étant affaire de compromis). Il est donc souvent pratiqué un séquençage d’un seul gène, dit cible (du séquençage), par exemple gène 16S ou rpoB en ADN de bactéries, gène spike en ARN de virus sars-cov-2. Les deux modes (total ou bien ciblé) ont leurs avantages et leurs inconvénients, oui les deux ont des inconvénients, rien n’est parfait ni simple/simpliste. Avec séquençage ciblé, on passe à côté des mutations sur les autres gènes, pouvant impacter la virulence ou transmissibilité ou viabilité du virus (quand bien même ce serait moindre que sur le gène célèbre sur lequel les spécialistes ont établi un consensus, temporaire, en attendant invalidation possible à l’avenir). Avec séquençage total, on additionne les différences observées même sans impact (par exemple sur des gènes silencieux, non exprimés), et cela augmente le « bruit » (au sens de « bruit de fond » troublant une mesure), non significatif. Quand on nous parle à la télévision de séquençage, jamais on n’entre dans ce détail, souvent ignoré, parfois traité menteusement (affirmant par exemple que le gène spike définit tout à lui seul, la preuve en étant que… on l’affirme, hum, non, ce n’est pas scientifique, et pas certain du tout).
2c/ Question de la reproductibilité. Au cours du séquençage, par la technique que je connaissais (dite Sanger crois-je me souvenir), intervient une PCR aussi (comme en diagnostic principal de contamination covid). Le P signifie Polymérase, multipliant chaque source par des dizaines puis centaines puis milliers (chimiquement pas biologiquement à la façon de la culture bactérienne en étuve), rendant détectable ce qui était trop ténu au niveau de 1 seule molécule. Mais… cette multiplication n’est pas à l’identique à 0,000000000% d’erreur près, non. Il y a donc quelques différences qui peuvent être observées par artefact de réplication in vitro, sans dénoter une mutation in vivo. Et la séquence exacte rendue pour résultat est dite « séquence-consensus », car l’informatique calcule la formule la pluss probable parmi les quelques formules trouvées pour un même gène analysé. C’est du probable pas du certain. Hurler qu’on tient un nouveau variant est en ce sens inadéquat tant que ce n’est pas solidement confirmé, par réplications (ce qui fait un surcoût supplémentaire, peu viable en routine ou très grande routine chez tous les patients tout le temps). [Une autre question de consensus est peut-être spécifique de la bactériologie, je l’ignore : dans un individu bactérien, il y avait plein de copies du gène 16S, la séquence « consensus » retenue est la plus présente même si des discordances sont possibles par réplication naturelle imparfaite.]
2d/ Discordances entre noms et séquences exactes. L’expérience bactérienne que j’avais était que l’on prononçait identification probante seulement s’il y avait un grand décalage entre taxons candidats. Par exemple : c’est pile la Klebsiella pneumoniae de référence à 1 base près, les meilleurs candidats suivants n’étant qu’à 37 bases près (Klebsiella oxytoca) et 46 bases près (Klebsiella aerogenes). Mais quand on avait un faible décalage entre taxons candidats, on ne concluait pas à l’espèce, voire même au genre. Par exemple ; ça ressemble plutôt à Shigella sonnei à 12 bases près ou à Escherichia coli à 13 bases près. Quand il n’y a pas un saut énorme entre le proche vraisemblable et le lointain franc, on peine à trancher. Ou si, psychologiquement, on décide de clamer sa conclusion personnelle (en fait peu certaine, mais l’incertitude étant balayée par la confiance en soi) on peut se tromper, l’avenir pourra le dire, le confirmer, jusqu’à établir une faute professionnelle.
2e/ L’évolution taxonomique. Dans la différence entre taxons (espèces bactériennes ou variants viraux), il n’y a pas qu’une différence pile entre bases nucléotidiques, il y a aussi l’impact jugé significatif au point de changer de nom. Par exemple entre le variant alpha et le variant o-micron, il peut y avoir 6 acides aminés différents, mais quand à 1 acide aminé près on est proche de alpha, cela peut être considéré soit comme une négligeable variation au sein du groupe alpha, soit comme un variant à part entière, qui sera officialisé avec un nom particulier s’il est confirmé différent en propriétés biologiques (virulence, symptômes, transmissibilité, résistance à tel « vaccin » ou remède, etc.). Là, ce sont des congrès internationaux qui tranchent, ce n’est pas en recevant la séquence brute pour un patient unique que le soignant ou biologiste local peut clamer « nouveau variant ! » ou au contraire « toujours le même, aux micro-variations habituelles près ». Et l’expérience indique que souvent, l’évolution consiste à scinder en plusieurs taxons ce qui était « rassemblé faute de connaissance complète », il est bien pluss rare que des taxons autrefois distincts soient a posteriori rassemblés, quand la séquence est éventuellement déclarée primer sur les autres caractères biologiques.
3/ Le difficile lien entre séquence et virulence. A priori, quand on lit une séquence, on peut identifier des différences par rapport à une base de données, mais l’impact pratique de ces différences est inconnu. Ce n’est pas parce que le 23e acide aminé de la protéine examinée est une leucine au lieu d’une isoleucine que cela va sensiblement modifier les propriétés de cette protéine et donc du microorganisme associé. (Remontant à de très vieux souvenirs universitaires, je crois que la différence majeure en structure tridimensionnelle était la question « proline ou pas » donc « changement de direction ou continuation ». Ou je confonds avec le Tryptophane.). Quoi qu’il en soit, c’est un croisement entre les résultats de séquençage et les observations médicales qui peut aboutir à conclure qu’on a dans tel(s) cas affaire à quelque chose de sensiblement nouveau, à part. Il en a été question avec la notion de « sous-variants » mentionnée au grand-public. Parfois des différences effectives, in vitro, ne sont pas complètement majeures pour des jugements in vivo (je crois me souvenir de Bacillus mycoides, espèce définie sur la rhizoïdie visible des colonies non d'après spécificité en bases nucléiques). C’est un autre étage où intervient la démarcation entre négligeable et significatif.
   Bref, tout cela me conduit à penser que le mot d’ordre « séquençons, séquençons, séquençons, alors on saura tout immédiatement » est inapproprié, incompétent, erroné. Ça peut certes être un grand et « magnifique » slogan commercial ou politicien, mais scientifiquement je crois que les choses ne sont pas si simples du tout. (Je dis ça de loin, ayant quitté le métier en 2018, mais j’ai comme « des restes »).

* Ajout 360, 11/01/2023 (18h) Retour sur les "punis"
   Une amie m’a informé qu’elle va se rendre à une conférence sur les soignants non-vaccinés non-réintégrés, et moi intransportable je n’irai pas, mais j’essaie de faire le point sur le sujet, dans mon coin :
Est-ce que ces soignants ont eu raison selon moi ? Oui, ils ont refusé de se voir injecté un truc expérimental validé à tort en enfreignant toutes les mesures de précaution enseignées dans les écoles aux gens du domaine biologie-soin (dont je fais partie, en tant que technicien en analyses). En moins d’un an, on n’a absolument pas le recul suffisant pour conclure à une innocuité, en pouvoirs cancérigène et tératogène notamment. Par ailleurs, la déception sur la non-restriction de contamination chez les vaccinés n’aurait pas été une surprise en cours de route mais un critère de refus d’agrément, si les choses avaient été faites comme il faut. Une scientifique vue à la télé (Madame Hanrion-Caude, un nom comme ça) a dit avoir lu le dossier de validation du vaccin, et au chapitre pouvoir cancérigène l’argumentaire était marqué « on n’en sait rien pour le moment, on n’a pas le temps d’attendre, alors : pas besoin, il faut accepter en aveugle ». Quelle honte d’avoir validé ça, faute professionnelle ultralourde, et puis : quelle escroquerie vue les fortunes en jeu (est devenu milliardaire un grand chef d’industrie que j’avais connu dans mon entreprise comme grand-chef ultra-menteur illogique-puant atroce…). Que des soignants, davantage au courant des détails biologiques et médicaux que le grand-public, aient perçu le scandale et répondu « non : sans moi en tout cas », ça me semble mériter un immense bravo. Et honte à la population, ayant stigmatisé les prétendus antivax, mais je ne les condamne pas tous, ces condamneurs : ils avaient le cerveau lavé par les décideurs, vrais criminels (scientistes idiots, faux médecins trahissant le serment d’Hippocrate).
Pourquoi est-ce les petites gens parmi les soignants et pas les médecins qui ont refusé ? Logique ; j’ai fait un an de médecine avant de m’enfuir en courant : quand j’ai prouvé au prof de maths qu’il se trompait, il m’a répondu « vous n’êtes pas là pour réfléchir mais pour réciter ». Les médecins ne sont en rien de rien une élite intellectuelle. Ce sont des idiots profonds experts en récitation stupide, tel est mon diagnostic, argumenté, validé par l’expérience. Et moi aussi j’ai dit « non, sans moi », à l’époque (sous Mitterrand-Mauroy, pratiquant déjà le numerus closus pour exclure un maximum de candidats à aider autrui – avant qu’on en manque très gravement, la débilité crasse des décideurs n’est pas nouvelle, non pas du tout).
Est-ce justifié de leur refuser la réintégration ? Non ; j’ai entendu dire que les vaccinés peuvent attraper la maladie (confirmé par le cas de mes 2 parents et frère-sœur), et la transmettent presque autant que les non-vaccinés. Cela rend fautive et mensongère la raison pour laquelle les soignants non-vaccinés ont été exclus (« ne pas contaminer les gens en position de faiblesse »). Non seulement il y a eu faute (des décideurs punisseurs), mais nulle part il n’est question de punir les fauteurs de cette erreur grave, au contraire toutes les autorités (illégitimes selon moi) affirment qu’il faut continuer à sanctionner lourdement les non-vaccinés soignants (en fait innocents de contamination, faux-coupables de pertinence scientifique et sanitaire). C’est une honte absolue de continuer encore et encore, spécialement en France sous la coupe du semi-dictateur Macrotte, ayant juré d’emmerder au maximum les non-vaccinés, sans jamais se dédire en cela. En, prison cinquante ans, il aurait le temps d’y réfléchir, à mon avis, si j’étais juré, et si un tel procès était imaginable.
Que dire d’autre ? Il faudrait leur payer les salaires volés par exclusion abusive, nullement pris sur les impôts de la population mais sur les revenus des décideurs, avec saisie des diverses propriétés de ces gens se prétendant l’élite.

* Ajout 361, 12/02/2023 (7h) Fausse science
   Je me souviens de mon ex-collègue m’affirmant avoir lu la publication scientifique prouvant tel ou tel dire, officiel, au sujet de la pandémie covid ou son vaccin, et j’avais répondu que je n’y croyais pas avant de l’avoir lue. Cela peut passer pour de l’obscurantisme, la Science étant affirmée indéniable mais, outre que ce jugement de valeur relève purement de l’idéologie scientiste qui est anti-scientifique (refusant que l’expérience aie raison contre le dogme), en pluss cela masque un gros problème de méthode. Je m’explique sur un exemple imaginaire, pour illustrer le principe de pareille erreur, lourde mais méconnue, passant inaperçue aux yeux manquant d’intelligence critique.
   En l’an X, avec population vaccinée à 0% : sur 1 million d’habitants, mille sont morts d’affection liée à covid19. En l’an X+2, avec population vaccinée entre 65% et 95%, vingt habitants sur un million sont morts d’affection liée à covid 19. La probabilité que cela soit dû à un hasard d’échantillonnage et non à l’effet du vaccin est inférieur à 0,1% ce qui prouve scientifiquement le caractère salvateur du vaccin (ayant sauvé 980 vies humaines sur mille) ! On pourrait me dire que c’est une preuve statistique imparable. Et donc que les anti-vaccin-covid19 sont des irresponsables dangereux et même tueurs ! Prouvés par la Science !
   Or c’est faux, totalement faux. Examinons le détail de l’article, au niveau de la modélisation testée. Il est dit que, sans vaccin, la mortalité est de mille par million (estimé en l’an X), puis il est dit qu’en l’an X+2 sans vaccin la mortalité aurait « donc » due être mille par million. C’est faux, pour cela il aurait fallu ajouter « en imaginant que les virus dits covid19 étaient aussi létaux en l’an X+2 qu’en l’an X ». Et ce n’est pas du tout une évidence biomédicale : habituellement, l’évolution naturelle des micro-organismes soumis à pression de sélection est d’augmenter en contagiosité (avantage sélectif en contaminant davantage) et diminuer en létalité (pour se répliquer sans s’arrêter par mort de l’hôte). Donc le « en imaginant » était non seulement arbitraire, douteux, mais peu crédible, vraisemblablement faux. La rigueur des calculs aboutissant au risque mathématique « <0,1% » n’a en rien empêché une totale erreur de chiffrage, par emploi de mauvaises hypothèses (non mentionnées quand on passe sur les détails). Ainsi on peut me dire « je l’ai lu c’est prouvé », je peux répondre « je n’y crois pas, je voudrais examiner le détail » puis, une fois examiné ce détail : « c’était une fausse preuve, de la fausse science, abrutie, ou achetée. »
   D’autres biais sont aussi envisageables :
– En l’an X, le protocole de soins covid19 incluait une mise en coma artificiel, tuant hélas bon nombre de personnes âgées, cela a été supprimé en l’an X+1, faisant chuter les décès sans aucun rapport avec la vaccination (il ne faut pas le dire car sinon, les familles de tués porteront plainte pour erreur médicale ayant entrainé la mort, ruinant les docteurs ou/et l’Etat).
– En l’an X, on appelait « mort liée à covid19 » quiconque mourrait dans un EHPAD dit « touché par covid19 », sans vérifier que la personne décédée était effectivement touchée par ce virus ; on n’avait pas le temps, le test coûtait très cher à l’époque ; mais en l’an X+1 ça s’est amélioré, rendant moindre le nombre de faux positifs décrétés covid19 parmi les décédés âgés (sans aucun effet vaccinal).
– En l’an X, le test de positivité covid19 ne faisait pas la différence avec une positivité à la grippe, le taux de décès par grippe qui était de 500 par million est tombé à zéro car toujours qualifié « covid19 » depuis l’apparition de ce diagnostic ; cela veut dire qu’il y a déjà eu une chute de moitié par dissipation d’une erreur de diagnostic, ce qui n’a rien à voir avec un caractère salvateur du vaccin anti-covid ; les détails auraient été :
An X-1 : décès grippe 500, covid19 zéro
An X : décès grippe zéro, covid19 mille
An X+1 : décès grippe 500, covid19 200
An X+2 : décès grippe 500, covid19 20
   Dans cette situation, la modélisation aurait dû utiliser le chiffrage « 200 (covid19) » et non le chiffrage « 1000 (en fait covid19+grippe) », cela change tout aux calculs qui étaient à tort prétendus indéniables.
   etc.
   Les biais possibles sont innombrables, et calculer sans « réfléchir de manière critique » donne un résultat certes chiffré mais de valeur nulle en pouvoir de persuasion, l’affirmer « indéniable-car-scientifique » relève de l’incompétence totale, grave, scandaleuse et même criminelle quand cela sert de support (erroné, fautif, abusif) à accusations d’avoir tué.
- - - - - Ajout 12/02/2023 (14h) A dire aussi...
   Un autre biais, encore davantage majeur aurait pu être cité, mais je ne l’ai pas fait, à raison je crois. Je m’explique ci-après :
– Une tentation que je trouve coupable est d’affirmer « tué par coviD19 » voire « à mort liée à covid19 » quiconque décède en étant positif au virus sars-cov-2 même s’il n’y a aucune relation de cause à effet prouvée entre cette biologie (très très souvent asymptomatique) et ce décès (à nombre de causes possibles immense). J’ai vu un dessin humoristique où un homme va voir son docteur en ayant une hache plantée dans le crâne et le docteur dit « faisons un test covid, vos troubles peuvent venir de là », c’était humoristique dénonciateur mais cela semble avoir été pratiqué en masse, notamment avec incitation financière des soignants à déclarer une mort « due à covid19 », avec l’allocation de budget suivant au prorata des décès covid19 signalés. Déterminer sérieusement la cause d’un décès est une enquête colossale pouvant demander des mois sur chaque cas et coûter des fortunes, ce n’est absolument pas ce qui est pratiqué en routine : le médecin constatant le décès dit simplement son opinion sans preuve aucune (quant à l’origine du décès) et cela vaut fait établi, ce qui est invalide en termes logiques et scientifiques. Et si, entre les ans X et X+2, ces abus ont disparu ou énormément baissé, oui cela crée un biais avec une baisse des décès dits covid19 n’ayant rien à voir avec la vaccination.
– Toutefois, je signalais qu’en l’an X était commis l’abus encore pire de déclarer « tués par covid19 » des anciens en EHPAD dit contaminé sans même avoir été testés individuellement (ce dont j’ai entendu parler aussi), cela n’allait pas avec la loi affirmant qu’en l’an X c’est le test sars-cov-2 qui était pris pour critère causal systématique.
– Par ailleurs, l’abus que je signale ici, je ne suis absolument pas convaincu qu’il ait cessé. Au contraire, je suis persuadé que les 20 « morts liés à covid19 » encore résiduels sont des morts avec tests sars-cov-2, morts de n’importe quoi (accidents de la route, suicide, cancer, etc. dits comorbidités), et il n’était pas simple de dire qu’un « abus absolu » était devenu peut-être « abus réduit » (quoique restant « abus »). C’est la raison pour laquelle je n‘en ai pas parlé, dans une liste explicitement signalée comme non-exhaustive.
– Cependant, si j’en parle maintenant, c’est qu’il me semble finalement obligatoire de signaler que les prétendus « morts liés à covid19 » sont très suspectes d’être des liens abusifs, ce qui ruine tout l’argumentaire prétendu sauveur d’un côté, prétendant tueur l’autre côté. Il y a mille « liaisons » possibles autres que la « liaison causale » qui devrait seule être considérée ici. La « concomitance par hasard de simultanéité » est un de ces « liaisons » dépourvues de sens causal. Moins extrême, il y a le cas de suicide d’une personne totalement affolée à l’idée de mourir d’étouffement parce que dite positive covid – oui c’est une mort qui a un lien avec covid (même si, éventuellement, c’était une erreur de diagnostic, un cas faux + de sars-cov-2 comme il est affirmé qu’il y en a 20 ou 40% en technique rapide) mais ça n’a aucun rapport avec le fait que la pathogénicité intrinsèque du virus ait tué. Faire des statistiques affirmatives sur base de data aussi pourris ne vaut rien de rien, cela relève de l’escroquerie en bande organisée.
– Autre point : la question des avances sur décès. J’ai entendu dire cela à propos de la canicule (de 2003 en France ?) : le nombre de décès avait énormément cru cette année-là, puis ensuite il a énormément décru, même nettement en-dessous du niveau pré-canicule. Cela était expliqué par un mécanisme de « purge » ou d’avance : habituellement, il y a plein de cas mourants qui s’éteignent au fur et à mesure régulièrement ; en cas d’anomalie faisant mourir en masse tous ces cas fragiles, le nombre de décès augmente fort mais ensuite il n’y a presque plu’ de cas fragiles susceptibles de décéder (les habituels mourants en attente ne sont plu’ là, étant décédés en avance), abaissant immensément le nombre de décès, non pas par efficacité des mesures prises pour prévenir les décès (ce qu’affirment tous les discours autosatisfaits) mais parce que le stock des fragiles a été purgé, vidé (avant de se reconstituer peu à peu bien plus tard). Cela a pu intervenir pour covid, et cela de deux manières : directe si sars-cov-2 donne une infection bénigne mais constituant la goutte qui fait déborder le vase pour des mourants ; indirecte si l’affaire covid19 a suscité des mesures drastiques comme l’interdiction de visite des familles causant la mort par glissement de milliers d’anciens mourants ne trouvant plu’ de raison de vivre.
   Oh non, il n’y avait pas que le facteur vaccin à compter entre les ans X et X+2. CQFD selon moi, invalidant la scientificité de nombreux travaux prétendus scientifiques je pense.

* Ajout 362, 18/02/2023 (5h) Souvenirs de chiffres faux
   Il se trouve que j’ai terminé la lecture d’un livre de science-fiction qui m’avait été offert, et j’envisage maintenant – quant au sujet covid19 – d’acheter puis lire un ouvrage contestant ce que les officiels affirment au vu des chiffres officiels (quand bien même les chiffrages seraient biaisés) : « Covid19, ce que révèlent les chiffres officiels » par Pierre Chaillot. Je l’ai vu deux fois interviewé sévèrement à la télé, et il était très convaincant, très hérétique pourtant. Comment est-ce possible de conclure différemment sur la base des mêmes chiffres ? La publicité gouvernementale (propagande ?) ne clamait-elle pas quelque chose comme « on peut douter de tout sauf des chiffres ! » (ou « on peut discuter de tout sauf des chiffres ») ? Il me revient en mémoire un point qui m’avait choqué, affirmé sur plateau télé « au nom de la science » (prétendue) : quelque chose comme « avec cette nouvelle vague, qui contamine tant, on sait scientifiquement que cela fera tant d’hospitalisations, tant de décès, ce n’est même pas discutable, c’est une vérité mathématique ! L’avenir hospitalier est connu ! ». Intérieurement, je répondais « non, pas du tout », et il convient peut-être de l’expliquer ici, avant de lire le livre en question.
   Un des principes de la science expérimentale est l’affirmation « il y a des lois de la Nature, universelles et éternelles, à nous de les découvrir (gravitation, trajectoire dans l’espace, etc.) ». Cela a eu un immense succès en « sciences dures » comme la Physique, la Chimie. Mais… cela a été imprudemment étendu à la biologie, où là c’est faux en principe : les nouvelles générations sont des individus différents, qui pourront avoir des propriétés différentes de leurs ancêtres, sans aucune éternité de propriétés (et le mécanisme d’Evolution darwinienne, très discuté pour les singes ou mammouths, est totalement validé côté micro-organismes : les staphylocoques dorés qui étaient autrefois presque tous sensibles à la pénicilline sont devenus presque tous résistants à la pénicilline ; il aurait été totalement faux/idiot d’affirmer que le principe scientifique prouve qu’ils étaient/sont/seront éternellement sensibles à la pénicilline. On ne parle pas de froides lois de la Nature mais d’individus biologiques différents, simplement apparentés mais absolument pas identiques. En étant embauché en 1984 dans une compagnie experte en identification microbienne, j’ignorais que cela allait me conduire à une compétence spéciale sur ce sujet, pas tant « pointu » que d’intérêt général, finalement.
   Bref, pour réexpliquer le problème : le mauvais savant qui avait lu « sur la 1e vague, 1000 contaminés donnent 100 hospitalisations et 10 décès » pouvait clamer « et il en sera ainsi avec chaque vague, c’est la Science qui le certifie ! », mais c’était une faute de raisonnement, une erreur totale. Le taux d’hospitalisation et de décès ne sont en rien des constantes mais des inconnues, et pour les chiffrer à l’avenir, seule l’expérience le permettra, selon le vrai principe de la science expérimentale. Sur la 7e vague, cela peut parfaitement devenir, après examen : « 1000 contaminés donnent 12 hospitalisations et zéro décès ». Sans parler du fait que les hospitalisations sont en général « avec comorbidité » pouvant expliquer cette hospitalisation tout autant ou davantage que le test positif à ce virus asymptomatique très souvent (voire : toujours ?). Bref, sacraliser des chiffres constatés en prétendant qu’il s’agit de chiffres prédictifs indéniables, c’est une erreur lourde, une faute méthodologique, venant de nullité épistémologique. Du moins en biologie évolutive, pas en froide physique mécanique. Le fait que pareille opinion erronée soit émise par un diplômé en sciences ne prouve absolument pas que c’est ce qu’affirme la Science mais que l’enseignement des sciences est très malade, comme abruti, enseignant à répéter des pseudo-certitudes enseignées au lieu de réfléchir et chercher la lucidité, éventuellement prudente davantage qu’affirmative de « vérité ». Les journalistes, presque tous de formation littéraire (avouent-ils) n’y comprennent rien, il revient au public de ne pas se laisser berner, d’exercer son intelligence critique, au risque du scepticisme. La persécution des gens hostiles à ces vaccins covid expérimentaux (sans l’avouer) a illustré que les gouvernants et leurs alliés innombrables sont en grande colère contre la résistance aux prétendues vérités qu’ils clament (abusivement), et un peuple prétendu « éduqué » s’avère finalement crédule manipulable, à de rares exceptions près. C’est simplement triste, mais en tout cas : isolément, je résiste.
   Et je viens de commander le livre de Mr Chaillot, hélas pas proposé en version électronique moins chère. On verra le contenu détaillé.

* Ajout 363, 19/02/2023 (8h) Interview majeure
   Hier, j’ai visionné un lien* reçu avant-hier du journal France-Soir, et c’était si intéressant que je leur ai encore donné 5 Euros, pour la 4e fois je crois. C’était consacré à deux professeurs-chercheurs français (Emmanuelle Darles et Vincent Pavan) punis par leur hiérarchie pour faute en ayant contesté les directives covid19 officielles puis continué à investiguer sur le sujet covid19 (punition enfreignant les règlements officiels sur la liberté de recherche universitaire mais le procès en cours n’est pas fini d’être instruit). Ils étaient invités à témoigner au Parlement Européen par une députée européenne proche du Rassemblement National, Virginie Joron, qui disait aussi la pression insensée au Parlement Européen pour imposer le vaccin anti-covid19 (et cacher les objections), même si les pays de l’Est le contestaient, retrouvant dans cette attitude européenne (technocrate, pas populaire) une oppression leur rappelant le joug soviétique de 1945-91. Personnellement, je ne me sens nullement proche du Rassemblement National, puisque je suis anti-frontières, mais sur ce sujet covid19, je trouvais cette dame remarquablement honnête, et portant bien une contestation très légitime, courageusement face au pouvoir macroniste et ses alliés en la matière (LR en centre droit et PS en centre gauche). Elle signalait à juste titre que la persécution subie par les chercheurs dissidents évoquait l’Inquisition, et effectivement j’y vois une horreur grave.
* : https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-chercheurs-vincent-pavan-et-emmanuelle-darles-entendus-au-parlement-europeen (c'est long, 71mn, mais ça me semble en valoir la peine, pour compléter éventuellement mon résumé ci-après).)
   Quoi qu’il en soit sur le contexte, le sujet du jour était « les effets indésirables du vaccin anti-covid19 », ce qui a priori n’était pas le sujet de ma colère (je trouve scandaleux que ce vaccin ait été approuvé avant achèvement normal de son étude d’efficacité et innocuité, cet argument mien, "logique", n’étant pas une conviction "réaliste" que la toxicité véritable de ce vaccin est horrible). Mais les chercheurs pointaient des éléments effectivement troublants, cachés. Ainsi, les vaccinations ont été effectuées sans donner aux patients le pour et le contre, puisque les dangers n’étaient pas mentionnés par les piqueurs. Ils disaient qu’un médecin est rétribué 80€ s’il pique un patient pour covid19 tandis que déclarer les effets secondaires possibles lui demandent 45mn de travail médico-administratif non rémunéré : c’est une puissante incitation à piquer et cacher les effets indésirables qui s’en sont suivis éventuellement. Personnellement, j’aurais ajouté qu’un médecin traitant n’a nullement intérêt (pour garder sa clientèle sans qu’elle fuie vers un concurrent) à ce que soit reconnue une maladie provoquée par son incitation à lui à faire cette vaccination et en cachant les risques liés (ce qui peut conduire jusqu’au procès, à la condamnation, à la révocation).
   Autre point : les chercheurs ont vu des effets secondaires criants même dans les quelques signalements quand même effectués : 35 fois davantage de myocardites/endocardites etc. qu’avec tous les autres vaccins jusqu’ici, 18 fois davantage de troubles menstruels (je ne précise pas « chez les femmes » car ce mot en ce sens biologique est de nos jours ici affirmé transphobe et haineux envers la théorie du genre selon laquelle un homme se ressentant femme doit être compté pleinement femme, une femme se ressentant homme doit être comptée pleinement homme, n’en déplaise à la biologie classée très inférieure à la sociologie dominante). Ces facteurs d’alarme étaient confirmés dans les divers pays européens, aux USA, en Israël dès 2021 (ce pays ayant été en avance pour la vaccination-covid grâce à contrat spécial avec Pfizer en communiquant toutes les données sous secret médical à la compagnie privée), etc. Dans les tableaux de synthèse d’effets indésirables tous vaccins confondus, les valeurs covid19 écrasaient tout le reste, il était très évident qu’il y avait un problème grave qui aurait dû faire arrêter d’urgence ces vaccinations expérimentales de la population générale. Mais non, cela a été caché. Et ceux qui le signalaient étaient combattus, traités d’anti-vax aberrants irrationnels, etc.
   Dernier point dont je me souviens : il était dit que, officiellement, un médecin a le devoir – quand un trouble lui est signalé après prise d’un médicament – de le signaler aux autorités de pharmacovigilance, mais pour covid19 ces autorités de pharmacovigilance elles-mêmes annonçaient aux médecins qu’il n’y a pas d’effets secondaires, conduisant à ne pas renseigner les fiches de signalement (normalement il faut toujours renseigner pour compter, puis les autorités investiguent pour savoir si une causalité est à envisager ou non, ici les médecins étaient incités à dire « ça n’a rien à voir avec la vaccination » donc à ne rien signaler, c’est un biais majeur, faussant tout, dans le but clair de prétendre au maximum à une innocuité, même faussement). Le chercheur interviewé disait aussi avoir été contacté par un leader de la pharmaco vigilance lui reprochant ses études à charge. Loin d’avoir effectué leur tâche prévue de pharmacovigilance, les autorités en la matière ont donc commis des fautes lourdes, biaisant tout dans la simple collecte des données brutes, pour cacher les problèmes, et c’est malgré ça que des problèmes criants sont apparus.
   Il me revient un autre détail : il a été dit que le problème des anticorps facilitants (faisant que le taux de malades est pluss grand chez les vaccinés que chez les non-vaccinés), décrit tardivement pour le vaccin anti-covid19, avait déjà été décrit pour le vaccin anti-dengue, testé aux Philippines et arrêté de toute urgence, à autorisation jamais donnée. J'en tire personnellement la conclusion qu'était immensément faux le discours officiel "on donne l'agrément en avance compte tenu de l'urgence, et il n'y a AUCUNE raison de croire qu'un problème se posera". Si, il y avait toute raison de le croire, cela venait de la simple expérience, base théorique de la science expérimentale. Ce ne sont pas les anti-vax(covid) qui étaient irrationnels, c'étaient les pro-vax(covid) qui étaient idiots ou malhonnêtes ou incompétents, mais punisseurs triomphateurs hélas...
   Tout cela semble aller dans le sens de l’opinion qu’a une amie, ex-collègue, qui ne regarde pas la télé mais s’informe via FaceBook et me disait que le vaccin anti-covid19 présente des effets indésirables graves qui commencent à être confirmés indéniables. Personnellement, j’envisageais qu’elle soit en partie trompée par l’algorithme FaceBook d’information en silo (on n’y est informé que de nouvelles allant dans le sens de ce qu’on a cliqué comme bien, « liké », ce qui n’est pas du tout objectif, et un pourfendeur d’antivax s'y verrait en sens inverse ultra-confirmé dans ses certitudes préalables à lui). Mais avec cette interview des deux chercheurs biomathématiciens, j’ai bien l’impression qu’elle avait raison.

* Ajout 364, 20/02/2023 (9h) Livre au milieu
   En attendant la livraison du livre de Mr Chaillot en version papier, j’ai acheté pas cher en version électronique un petit livre d’analyse sur le sujet : « Réparer la santé : démocratie éthique prévention » par Alice Desbiolles. Elle était interrogée par Ivan Rioufol hier soir à la télé et ça m’a grandement intéressé, elle disait que l’erreur profonde de la gestion de crise covid19 avait été de bannir le contradictoire ; et elle jugeait la persécution des soignants non-vaccinés comme une invention invraisemblable et terrible, une faute lourde. J’ai donc commandé ce livre et entamé aussitôt sa lecture. Je marque ci-dessous les notes que j’ai prises :
– Page 24 (sur 108, ou 92 hors notes) : une erreur grave qui a été commise est signalée, il s’agit d’avoir considéré les modélisations comme preuves scientifiques, alors qu’il s’agissait d’hypothèses, finalement infirmées par l’expérience (dans la plupart des cas).
– Page 26 : dans l’affaire covid19, il est très néfaste que le prétendu « conseil scientifique » ait appelé à empêcher l’expression des avis minoritaires, ce qui est une faute de méthodologie scientifique, un article correct se terminant normalement par une partie Discussion envisageant d’autres lectures et interprétations.
– Pages 31-32 vient une discussion sur le scientisme qui a hélas remplacé la science dans l’affaire covid19. Mais je ne suis pas d’accord avec l’auteure qui appelle scientisme le fait de privilégier les sciences dures en méprisant la sociologie, et qui condamne le doute sceptique avec une citation d’Henri Poincaré « douter de tout ou tout croire, ce sont deux solutions également commodes, qui l’une et l’autre nous dispensent de réfléchir. » (dans le livre "La science et l'hypothèse", que je lirai peut-être). Je ne suis pas d’accord : le doute cartésien, doutant effectivement de tout via l’hypothèse du rêve, me parait sain et abat la fausse connaissance qui triomphe hélas partout, Descartes a menti dans sa reconstruction en fait ratée illogique, et ce Poincaré ne donne aucun élément pour condamner le doute, pour justifier sa condamnation, donc invalide (mais j'essaierai de lire son livre). Quant au scientisme, son erreur est de prétendre à la connaissance actuelle pour en fait des théories en instance de réfutation expérimentale, ça n’a rien à voir avec le rejet des blablas sociologiques, rejet me semblant justifié.
– Pages 32-33 : l’auteure a raison de citer Karl Popper, expliquant que le scientisme est contraire à la science, la scientificité venant de la possibilité d’être contredit, tout le contraire de l’affirmation d’une certitude.
– Page 41, une phrase me gêne : « on ne protège pas la santé en empêchant la vie sociale. Pas plus qu’on ne sert la paix en faisant la guerre. » Ce n’est pas que je suis moi-même en désaccord, mais j’entends habituellement affirmer le contraire absolu : « si tu veux la paix, prépare la guerre » et « soutenir la guerre en Ukraine, c’est sauver la paix mondiale », etc. A mon avis c’est très discutable, sans affirmation catégorique valable assurément, ni d’un côté ni de l’autre.
– Page 42, l’auteure rappelle à juste titre que la tradition en cas de pandémie était de trouver des boucs-émissaires, traités en parias, ce qui a été fait cette fois avec les non-vaccinés. (Je lis ça sous forme : c’est un mouvement bestial traditionnel, absolument pas une conclusion scientifique pertinente).
– Pages 53-54 est dénoncée l’obligation vaccinale, déguisée ou non, qu’il y a eu pour le covid19, contraire à la loi Kouchner de 2002 sur le consentement libre des patients.
– Page 64, je suis choqué par une expression « produits nocifs (alcool, malbouffe, etc.) », sachant que la prétendue « malbouffe » est le restaurant McDonald qui est presque mon préféré. L’auteure fonce sur les lieux communs parachutés sans esprit critique, je trouve ça honteux. Je mange un repas McDo une fois par mois environ, et sobre (nuggets + glace, c’est tout), les études portant sur 3 fois par jour 7 jours par semaine et avec tous les excès possibles par repas sont totalement inappropriés, et feraient condamner presque tous les restaurants traditionnels, suremployant le beurre notamment pour ses qualités gustatives (mais en repas cher donc rare, type 1 fois par semaine maximum). Bref, condamner un produit au nom de l’abus éventuel de ce produit est malhonnête, c’est l’abus qui devrait être condamné, concept inexistant quand le principe dit « malbouffe = McDo ». L’auteure ne se montre ni lucide ni honnête, là. (Je précise un point annexe : les nuggets en question sont de poulet, donc de viande animale, mais j’aimais autant les nuggets de brocolis – peut-être plus moraux – trouvés ailleurs avant qu’ils ne disparaissent.)
– Page 71, autre point qui me choque : « Considérer les personnes toxicomanes comme des patients plutôt que comme des criminels serait, à de nombreux égards, plus juste et pragmatique. » Au contraire, je trouverais ça très injuste : ces drogués ont choisi de se droguer, alors qu’ils se fassent plaindre et soigner aux frais d’autrui en se prétendant victimes me parait scandaleux. On l’a vu récemment avec l’affaire de l’accident de voiture provoqué par le célèbre drogué Pierre Palmade, se prétendant victime alors que ses choix égoïstes et bestiaux d’hyper-plaisir compulsif escompté ont massacré des innocents.
– Page 73, une phrase pas inintéressante mais discutable je crois : « il est toujours plus efficace, éthique et soutenable de s’appuyer sur l’autonomie des personnes que sur leur soumission. » Je suis d’accord pour l’éthique, compte tenu de mon éthique personnelle mais de là à la prétendre objective universelle, il me semble y avoir un abus à éviter. En termes d’efficacité, je suis presque persuadé du contraire : les sociétés dictatoriales montrent une efficacité colossale, comme la Chine pouvant construire dans une ville dix hôpitaux en dix jours (au lieu de deux à cinq ans en pays occidentaux ne forçant pas à la soumission autant). Et les sociétés antiques esclavagistes (avec hyper-soumission sous peine de mort) ont accompli des prodiqes en un sens (Egypte, Athènes, Rome). De même, le système soviétique a été très stable pendant des décennies, quand les démocraties (comme la France) batifolaient en rejetant les élus successifs, toujours décevants. Je ne dis pas que l’exigence de soumission me semble souhaitable, pas du tout, au contraire, mais invoquer l’efficacité pour appuyer ma préférence me parait incorrect.
– Page 76, je note une phrase, qui me semble n’avoir aucun rapport avec la crise covid19 mais qui m’intéresse pour autre chose, la mise à jour continuelle de mon ouvrage « contre la Réalité » : « Ce pragmatisme évite de sombrer dans l’idéologie, laquelle résulte notamment de la dénégation de la réalité dès lors que celle-ci ne va pas dans le sens désiré. » A méditer – mais pas ici en sujet covid19 plutôt philosophiquement (là où je dénie l’existence certaine de la prétendue réalité).
– Page 76 encore, une phrase importante, quoique non surprenante pour moi : « Souvenons-nous que durant la crise du Covid, nous en sommes venus, sur la base d’un statut vaccinal, à monter des citoyens contre d’autres, et même, des médecins contre des patients ! Une approche normative et puritaine n’a pourtant pas sa place chez un soignant, lequel n’est pas là pour punir ou récompenser des comportements. Rendre les individus – ici les non-vaccinés – responsables, pour ne pas dire coupables, des déprogrammations de soins, fut aussi tragique que vain. » Effectivement, j’ai été très choqué que le président de la République Macron, dont le rôle est rassembleur, fustige la partie de la population ne l’approuvant pas lui ("emmerder au maximum les non-vaccinés"), entrainant tout le pays à le suivre dans cette condamnation de prétendues mauvaises-gens. En ce qui concerne les déprogrammations de soins, le mot adéquat me parait différent : « injuste » (ou « mensonger »). Les opérations annulées l’étaient en conséquence des fermetures de lits, voulues par le gouvernement pour faire des économies, et en lien avec le manque de personnel, fuyant car dégoûté par les conditions de travail imposées au nom de l’économie maximale de fric, rien à voir avec les non-vaccinés (le texte le dit d’ailleurs en clair juste après, quand je poursuis la lecture, mais cette louable honnêteté d’analyse n’excuse pas le mauvais mot d’introduction).
– Page 82, il est cité « l’article 5 du code de déontologie médicale ». J’ignorais ce code, je chercherai peut-être à le lire pour voir si l’affaire covid/vaccin-anti-covid l’a autant foulé au pied que le serment d’Hippocrate.
– Page 83, un détail me choque : « en omettant de préciser que les données sont évolutives et qu’une "vérité" aujourd’hui peut ne pas en être une demain. » Je ne suis pas du tout d’accord avec cet emploi relativiste du concept de vérité : prétendre à la vérité (éternelle) est très différent de croire temporairement, les mots vérité et croyance sont faits pour ces deux pans, sans qu’il soit juste d’appeler « vérité du moment » ce qui sera prouvé faux demain. Certes, « il pleut aujourd’hui » peut être une vérité même s’il fait beau demain où « aujourd’hui » désignera autre chose, mais « ici, il pleut tous les jours » n’a pas à être appelé vérité s’il ne pleut pas certains jours. Les prétentions abusives à la vérité sont un des grands drames de la science abusive, et cette auteure (se disant médecin, disant l’épistémologie intéressante mais sans être épistémologue) ne l’a pas vu apparemment.
– Page 87, début de la conclusion, avec une observation judicieuse je trouve, hélas : « Depuis le surgissement du coronavirus (…) la "santé" ne se promeut pas mais s’impose, de gré ou de force, la fin justifiant dorénavant tous les moyens. Un récit où domine une seule émotion : la peur ». Effectivement, c’est le spectacle qui s’est montré, au mépris de l’honnêteté intellectuelle et de la cohérence morale en prétendue « démocratie libérale ».
– Page 88 : « Certes, la contingence, soit la possibilité pour un événement d’advenir sans explication ou cause déterminées, est de plus en plus difficile à accepter dans nos sociétés contemporaines ; en convenir revient à assumer une part inconfortable d’impuissance. (…) il s’agit d’une marque de sagesse. La sagesse de savoir que l’on ne sait ni ne maitrise tout. » A mon avis, ce n’est pas une surprise mais une faute liée au scientisme prétendant tout savoir sur tout grâce à la science, ce qui est un abus total, prétentieux, idiot. L’idée de cause à conséquence me semble venir d’un mécanisme d’explication parentale au petit enfant, pour faire comprendre l’idée de risque accru si on fait ceci ou cela, l’avoir généralisé infiniment n’est pas forcément judicieux. D’ailleurs, les religieux pourraient mettre les scientistes le nez dans le caca en ayant davantage d’explications qu’eux, appliquant partout leur invérifiable « vous ne savez pas pourquoi mais nous savons : c’est parce que Dieu l’a voulu ». Non, ce n’est pas une supériorité. J’ai été frappé, au sujet du covid, par l’acharnement d’enquêteurs et journalistes voulant absolument « savoir » si ce virus est venu du pangolin ou de trafiquage en labo secret quand, à mon avis : peu importe, il est là et il faut faire avec (et toutes les armées bidouillent secrètement et dangereusement des trucs pour armes biologiques interdites, ce n’est pas un scoop tonitruant, que cela soit venu de cela cette fois ou non, cela n’y change rien).
– Page 91 : « cet illimitisme mortifère, au même titre que la prédation hypertrophique qui en découle, sont contre-productifs puisqu’ils finissent par se retourner contre nous. Au-delà des individus, c’est bel et bien notre société pathogène, profondément malade d’elle-même, qui a besoin d’être soignée. » Euh, je ne suis en rien convaincu par la page antérieure qui prétendait démontrer que le covid19 venait de la pratique de l’élevage animalier intensif, à mon avis on n’en sait rien de rien et il y a plein d’autres explications possibles, mais – quoi qu’il en soit – je n’aime pas la phrase dite ici, passant à côté des problèmes : soigner la société, c’est du bla-bla flou sans rien faire en pratique. Il m’aurait semblé davantage judicieux de mettre en accusation les religions du Livre, qui ont généré le monde occidental consumériste, où La Genèse appelle à dominer et asservir la Nature, ce qui choque les Amérindiens, que ces religions nous ont aussi fait massacrer, cette civilisation judéo-chrétienne est très horrible et mériterait extinction, je pense, avec son bla-bla vide de contenu l’auteure n’en dit pas un mot.
– Mon bilan : (Note 3/5 "Partiellement intéressant") Je trouve cet ouvrage utile mais peu convaincant. Il désapprouve ce qui a été fait dans la gestion de crise covid19 (notamment la « dictature scientiste » en fait antiscientifique, le non-respect de la loi Kouchner de 2002 sur le consentement libre, etc.) et il a en cela raison, à mon avis. Mais il affirme des choses auxquelles je ne crois pas, qui me semblent mal pensées (caractère incorrect du doute systématique, intérêt majeur de la sociologie, couplet habituel sur la malbouffe, culpabilité certaine de l’élevage intensif, innocence des toxicomanes, etc.).

* Ajout 365, 27/02/2023 (2h) Discussion encore
   Mon ami contradicteur (pour le sujet politique, le plus souvent) a répondu ponctuellement à un mot de ma part concernant le covid, il me dit « C’est apparemment ce que tu avais prévu. Le virus est de plus en plus contagieux mais de moins en moins dangereux. D’où l’intérêt de vacciner pour éviter la propagation. Ça reste un choix personnel. » Qu’est-ce que j’en pense ?
   Je ne suis absolument pas d’accord avec mon ami, qui m’amadoue en disant me donner raison. Le fait que l’évolution darwinienne des virus humains soit telle n’est ni mon invention ni ma prévision mais ce qui m’était dit à l’école/université il y a quarante ans, paraissant effectivement plausible, compréhensible, j’en convenais et ça reste mon opinion (pas experte du tout). Quant à dire « d’où l’intérêt de la vaccination », cela me parait une erreur lourde, au moins double :
– Si tel virus est de moins en moins dangereux, devenant anodin comme les agents du rhume, cela ne justifie en rien une vaccination, cela peut être laissé en circulation, convenablement géré par nos défenses immunitaires (qui seraient d’ailleurs affaiblies si on voulait éradiquer tout contaminant – comme les gens se douchant trois fois par jour sont très sujets à développer des maladies de la peau, faute de flore commensale les protégeant des rares microbes dangereux). Que cela soit rien du tout ne justifie en rien un traitement, ce n’est pas vrai (même si tel bla-bla de toubib payé par les fabricants de vaccins peut l’affirmer, bêtement, et l’intelligence critique suffit à lui donner tort aisément).
– Le cas de ces vaccins est hyper-particulier, même si cela a été caché par les autorités clamant que quiconque s’opposait à ces vaccins-là forcément s’opposait à TOUS les vaccins. Normalement le développement d’un vaccin s’effectue durant une décennie, donnant pluss de 5 ans de recul sur humains quant aux phénomènes très lents comme le pouvoir cancérigène, le pouvoir tératogène (effets néfastes sur les embryons de la génération suivante pas encore née). Là avec covid19, pour une raison totalement inconnue, il a été déclaré après tout juste 1 an que c’était prouvé sûr ! Et la chercheuse Mme Henrion-Caude qui a lu le dossier de validation rapportait ce qui est marqué au chapitre Risque Cancérigène : « on n’a pas le temps de l’étudier, donc c’est bon ! » Il est invraisemblable que cela ait été accepté, validé, et menteusement en affirmant partout que les risques étaient prouvés négligeables, alors qu’ils n’avaient pas été encore étudiés ! Prendre de tels risques pour une maladie devenue bénigne n’est pas « un grand intérêt » mais une aberration, une faute professionnelle lourde de la part des responsables, avec fort soupçon d’escroquerie vue les énormes sommes d’argent en jeu, qui ont rendu certains milliardaires (comme mon ex-chef, menteur pourri que j’ai bien reconnu là).
   On peut dire que « c’est un choix personnel » si on est correctement informé, du Pour et du Contre. Mais si le Contre est caché par les autorités, et le Pour est proclamé génial par des campagnes publicitaires assidues, cela devient un choix très orienté, très faussé. Oui, ça vaut peut-être mieux qu’une obligation dictatoriale mais ce n’est guère pluss joli. Tromper les gens ou les obliger, ça reste affreux similairement, pour atteindre le but escompté.

* Ajout 366, 28/02/2023 (10h) Armes biologiques
   J’entends ce jour une interview passionnante de France Soir : « Les armes biologiques sont développées malgré les traités internationaux. Entretien essentiel avec le Pr Tritto » (à https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites ). C’est long (78mn) mais des temps 27mn à 33mn est désigné mon ancien employeur comme créateur du virus SARS-cov2 de la maladie covid19, ce qui conduit le Pr Tritto et ses collègues à porter plainte à la Cour Pénale Internationale de La Haye pour empoisonnement de l’humanité.
   Je reconnais mon erreur partielle quand je disais initialement que l’origine de ce vaccin a peu d’intérêt. Si, c’est passionnant, d’accord, mea culpa (pour ce petit point de jugement, pas pour la création du virus à laquelle je n’ai participé en rien, m’étant trouvé dans la branche bactériologie pas virologie, avant d’être viré par cet employeur effectivement affreux menteur pour le fric).

* Ajout 367, 06/03/2023 (13h) Vieux débat oublié
   Mon ami contradicteur m'avait fait répondre le 11/07/2022 et j'avais noté de le classer sur ce site mais je ne le retrouve plu'. Je le dis donc ici maintenant :
5/ Je ne comprends pas ce que t’as dit JA et que tu approuves, ça me semble totalement contraire à l’évidence, ça me parait férocement dogmatique. A mon avis au contraire, à l’évidence me semble-t-il, tout système politique me semble susceptible d’être pluss ou moins tenté par l’autoritarisme (dictatorial), et qu’il fasse un demi-pas ou mille pas dans cette direction, ce n’est nullement la même chose. Sauf à claironner avoir raison en interdisant les objections, encore une fois. De la révolution 1789 à la terreur et extermination des chouans, de la révolution de 1917 à l’oppression de toute contestation et au goulag, etc. je vois un continuum non un idéal soudain sali indéniablement en un micropoint évident et clair. Sur le fait que la macronie soit une dictature ou non, il y a pour le moins débat, que tu dises « non parce que j’ai raison » me fait sourire, sans me convaincre en rien.
   Il m'a répondu hier : « 5) Si je me souviens bien, notre ami JA faisait une différence totale entre démocratie et dictature. Je suis d’accord. L’Allemagne n’est peut-être pas une démocratie parfaite mais c’est pas mal. En France un dictateur décide de tout. Il y a là quand même une différence. »
   (Ma nouvelle réponse :) Personnellement, je suis en désaccord avec JA, et je vois toute une gradation sans limite claire entre démocratie absolue (type suisse ?) et dictature absolue (type nord-coréenne ?). Ainsi, ne sont pas absurdes des journalistes pro-gouvernementaux (même sur chaine « libre » C-News) qui s’offusquaient qu’on dise Macron dictatorial dans la crise covid19 : ils hurlaient « si vous ne savez pas ce que c’est une dictature, allez voir en Corée du Nord (sans élections ni opposition), vous comprendrez alors qu’ici n’a rien à voir et nous sommes au contraire ici en démocratie indéniablement ». Cette objection pas idiote n’était pas un argument contre ma position mais contre la position de JA et de mon ami. De même, pour la Pologne et Hongrie post communistes, a été définie l’idée de « démocratie illibérale » (ou « démocratie défaillante » comme la France avec sa laïcité bridant la totale liberté laissée aux religieux, vues d’un point de vue anglo-saxon parait-il), ce qui n’est pas un truc minuscule dénué de sens. Je préfère donc bien ma position, voyant plutôt un pourcentage de caractère démocratique variant en continu, la 5e république française et la présidence actuelle se situant peut-être à 30% (Corée du Nord 0% ?) quand mon ami pourrait dire que l’Allemagne est à 70% (Suisse 100% ?), mais passer du quantitatif au qualitatif avec un critère chiffré de oui/non (>50%/<50% ?) me semble peu lucide, insultant trop ou applaudissant trop selon les cas. Dans le monde technique, on appelle ça « perdre de l’information », choisir un renseignement étriqué là où un renseignement complet était envisageable (parfois on y est obligé pour pouvoir calculer quelque chose, mais ce n’est en rien un idéal systématique ; la lucidité préfère le complet quitte à devoir se rabattre hélas sur du simplifié si besoin impératif).
   Enfin, l’expression « un dictateur décide de tout » (en France actuellement) me semble partiellement abusive : le Conseil Constitutionnel peut bloquer un Président, une Assemblée Nationale moins politicienne pourrait le contrarier fortement (avec alliance des extrêmes sans que chaque extrême rejette l’autre en s’alliant plutôt au centre), le peuple même pourrait faire entendre sa voix via les élections législatives (s’il cessait de préférer le centre à un des extrêmes), les médias enfin pourraient cesser de s’allier en grande partie aux autorités pour pousser celles-ci à une popularité < 0,01% (au lieu de 20 à 30% actuellement), la police et l’armée pourraient cesser d’obéir et se retourner contre les autorités les commandant, etc. Ce n’est pas ce qui se passe, certes, mais ce n’est pas automatique comme en dictature, plutôt un truc complexe et risqué où le totalitaire dirigeant doit louvoyer avec mille complicités avant de déchainer sa volonté (à la « Macron vs Covid19 »).

* Ajout 368, 07/03/2023 (2h) Début de lecture du livre « Covid19, ce que révèlent les chiffres officiels »
* Notes très partielles sur ce qui m’a le plus marqué (n’épuisant pas du tout le livre, à lire entièrement, ça vaut le coup !) :
– Il montre que la prétendue catastrophe de très nombreux décès en 2020 n’intervient que si on compare à 2019, année exceptionnelle de sous-mortalité ayant battu tous les records, les décès de 2020 étant bien moindres que ceux de 2015, 2012, etc. L’affirmation catastrophiste peut ainsi être biaisée par présentation tronquée, dirigée, c’est une technique de mensonge qui a été employée très abondamment dans la crise covid19, pour affirmer prouvée une catastrophe qui n’en était pas.
– Ce que j’appelais mécanisme de purge s’appelle officiellement « les années moissons » (ou « de rattrapage »), c’est bien connu des spécialistes. D’accord. Et la périodicité décrite est souvent de 3 ans.
– Il est estimé que la pauvreté en France tue 26 fois davantage que le covid19, mais il suffit de ne pas en parler pour que personne n’en ait conscience. Merci à l'auteur Pierre Chaillot de le révéler, cassant le catastrophisme officiel ultra-focalisé sur covid19. Idem interpays en Europe.
– Les modélisations employées par l’INSEE pour annoncer les décès attendus conduiraient à dire qu’en l’an 2068, les personnes âgées de plus de 80 ans ne mourront plu’, et en l’an 2069 elles commenceront à ressusciter, et de plus en plus ensuite, c’est un modèle crédible en rien, considérant à tort le record bas de 2019 comme une tendance qui va s’accentuer régulièrement, sans preuve aucune. Ainsi, le principe « modèle chiffré = connaissance scientifique » est une supercherie : un modèle est une hypothèse, souvent très mauvaise, démentie par l’expérience donc par la science expérimentale.
– Le test PCR (prétendu référence absolue) n’est lisible que par collage bidouilleur informatique cherchant à trouver ce que l’on cherche ; plus on cherche de variants, plus il y a de positifs, sans que rien n’ait prouvé que ce résultat informatique est corrélé à une maladie.
– L’informatisation des hôpitaux avec tarification à l’acte conduit automatiquement à déclarer des pathologies bien payées, même si c’est faux, et c’est ce qui se produit, c’est une forme de corruption. Ainsi plein de grippes (et morts de grippe) ont été comptabilisés sans aucun test indiquant que la maladie en question est la grippe, pour vendre des vaccins antigrippaux avec fausse alarme. Puis le code covid19 a remplacé le code grippe, aussi abusivement. En plus du biais hospitalier, la médecine de ville a été corrompue par une prime financière en cas de déclaration covid (55€ au lieu de 25, plus de 100% d’augmentation !). Virus non identifié est devenu officiellement à classer en covid19, sur instruction de l’OMS. Puis tout ancien malade covid19 est reclassé malade covid19 à son entrée à l’hôpital, comme rechute probable (même pour une jambe cassée !). La grippe a en tout cas disparu des hôpitaux, puisque payée moins de 50% d’une déclaration covid19 (1007€/2208€).
* Ecrits de mémoire en voyage de ma part :
– La corrélation parfaite des décès aux températures (sans délai pour que chaque pays se trouve touché par une contamination grossissante) rend très incertain le modèle d’épidémie, qui ne serait qu’une lecture erronée d’un autre phénomène : le froid qui rend malade/fait hospitaliser/tue des personnes fragiles.
– La notion de R0 (nombre de personnes saines que contamine un malade) agitée par les médias n’est qu’un indicateur propre à un certain modèle, en rien un phénomène objectif indépendant des modèles. Il prétend prouver une épidémie mais n’est qu’une lecture épidémique de phénomène pouvant être autre.
– Moi qui ai travaillé 34 ans (2018-1984) dans une compagnie vendant des tests in vitro, je culpabilise devant le changement de paradigme qui fait appeler malades : non plu’ les porteurs de symptômes maladifs mais les positifs à un test in vitro, très mal corrélé à une maladie, mais décrété probant par les autorités (autorités très suspectes de mensonges). Personnellement, je n’ai jamais milité pour cette dérive au profit de mes patrons, je n’ai fait qu’exécuter les petits ordres commandés en interne, et inventer des techniques d’analyse en interne non destinées au grand public des patients de nos clients laboratoires.
– Apparemment, les souffrances hivernales habituelles étaient dites « états grippaux » sans preuve de grippe, pour prétendre à 10.000 tués/an par la grippe, pour faire vendre des vaccins anti-grippe. Puis avec covid, la positivité au test a remplacé la maladie même, pour prétendre à une pandémie sans aucune preuve qu’il y ait davantage que des usuelles souffrances hivernales, mais ça fait vendre des tests et des vaccins.
– Au fait, je réalise qu’on m’a menti pour me faire vacciner anti-covid19. Je rappelle les faits : la cancérologue m’a dit que j’étais très fragile avec ma chimiothérapie donc je devais me faire vacciner, d’autant que ce vaccin ne présente aucun risque. J’ai dit non : vous ne pouvez pas savoir s’il est sans risque 1 an après sa création, c’est un mensonge. Si elle avait contesté cela, donc menti, j’aurais refusé cette vaccination. Mais elle a dit que, dans le détail pour spécialistes, j’avais raison : le danger de ce vaccin est inconnu à ce jour mais le danger de covid19 est pour moi immense, donc en pesant risque inconnu peut-être nul contre risque énorme, la balance bénéfice/risque était clairement en faveur de ce vaccin, et je l’ai accepté ainsi. MAIS je me rends compte en lisant ce livre qu’il était très faux d’affirmer prouvé un risque colossal si je devenais positif sars-cov2. Tout au contraire, il est très possible que cette positivité soit un artefact, à tort cru facteur de gravité pour les maladies pulmonaires habituelles. Du coup, la vraie balance bénéfice/risque n’est plu’ énorme/inconnu (et toujours pas le énorme/rien clamé au grand public inculte) mais inconnu/inconnu, non probant, et j’ai donc été trompé. Toutefois, ça ne semble pas grave car je n’ai apparemment pas jusqu’ici d’effet indésirable, seulement du rien, zéro effet, ce qui n’est pas grave (et mon cas isolé ne ruine pas la sécu ni l’Etat). C’est bien davantage clair maintenant, grand merci à ce livre.

* Ajout 369, 09/03/2023 (11h) Interview et livre d'Alexandra Henrion-Caude
   J'ai vu aujourd'hui dans l'émission-télé "L'heure des Pros" l'interview-débat de Mme Henrion-Caude, généticienne que j'ai citée plusieurs fois déjà, notamment quand elle expliquait l'incroyable contenu du dossier de validation du vaccin anti-covid19. Aujourd'hui, elle présentait son nouveau (premier ?) livre "Les apprentis sorciers - Tout ce que l'on vous cache sur l'ARN messager". Elle était inquiétante, convaincante, je viens d'acheter ce livre, en version électronique moins chère, même si je n'ai pas fini de lire le livre de Mr Chaillot, très intéressant aussi.

* Ajout 370, 11/03/2023 (12h) Suite et fin du livre passionnant de Mme Henrion-Caude
   Euh, je pensais, dans l’ordre : reprendre ma lecture du livre de Mr Chaillot puis aborder la lecture du livre de Mme Henrion-Caude, acheté prématurément en soutien aux associations de non-vaccinés exclus, recevant les droits d’auteur. Mais j’étais un peu intimidé à l’idée de reprendre le livre de Mr Chaillot : je souhaitais revenir 3 pages en arrière, pour tâcher de comprendre précisément le mode de calcul du R0, mon but à moi étant de prouver sur un exemple fictif que l’employer pour affirmer une contamination est côté officiel du « faux et usage de faux » (ou non, si mon intuition s’avère erronée), pas facile mais patient, analytique, à tête très reposée. Avant cela, j’ai donc entamé (puis fini) la lecture du livre de Mme Henrion-Caude, l’espérant un peu pluss facile que l’effort que je m’impose sur l’autre. Je vais donc transcrire ici les notes que j’ai prises en lisant celui-là, en avance sur mon projet initial.
   Titre : « Les Apprentis Sorciers, Tout ce que l’on vous cache sur l’ARN messager ». Par Alexandra Henrion Caude, éditions Albin Michel)
- A la télévision, le présentateur Pascal Praud a cité un extrait fascinant (trop vite pour que je le prenne en note), mais je le retrouve bien dans le livre, évidemment. Et je vais le citer ici, pareillement à titre de promotion sans enfreindre de copyright en prétendant que ce sont mes mots, non. Mme Henrion Caude écrit : ” Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non. Est-ce que le vaccin empêche d’attraper le Covid ? Non. Est-ce que le vaccin empêche d’attraper à nouveau le Covid ? Non. Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? Non. Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.” (!!! Comment ce vaccin a-t-il pu passer les tests d’efficacité, si honnêtes ??)
- Les vaccins à ARNm étaient à l’essai depuis 20 ans, c’est vrai, mais avec échec systématique, parfois par mort de tous les animaux vaccinés.
- Tout récemment, aux USA, les règles pour le développement des vaccins a été changé, très allégé (”fast track”) et la définition de vaccin a changé, ne requérant plu’ immunité.
- Dire que l’ARNm vaccinal (avec ses nanoparticules lipides de camouflage, excipient) est sans risque car cela restera dans le muscle (où injecté) est un mensonge, documenté. On ignorait où iraient les composés quand a été décidée la vaccination du monde, et bien plus tard, il a été reconnu que cela allait où on ne voulait pas, mais l’humanité entière (presque) avait entretemps été vaccinée (j’ajouterais : par pression totalement aberrante, avec prise de risque cachée au public, désinformé activement quant aux risques graves éventuels, ce que j’avais signalé ici lors de ma 3e vaccination, la première où l’on m’a fait signer une approbation, disant noir sur blanc qu’on m’avait informé des risques, ce que je savais faux par principe et c’est très confirmé avec ce livre dans le détail biomédical).
- Les vaccins à ARNm et nanoparticules lipidiques de camouflage nous modifient génétiquement (via transcriptase reverse ARN/ADN), oui nous-mêmes (nos cellules) et nos futurs enfants (via nos spermatozoïdes ou ovules), via ADN, et puis ARN épigénétiques traceurs d’environnement.
- Il est signalé que la Croix Rouge Américaine, discrètement, n’utilise pour les transfusions que du sang collecté auprès de non-vaccinés covid19, ça c’est le vrai principe de précaution, mais immensément en retard pour l’Humanité...
- Mme Henrion Caude confirme par écrit que le monde a été vacciné avant fin des études de pouvoir cancérigène et tératogène, mais aussi de toxicité et efficacité ! Avec mensonge total du ministre de la Santé, promu depuis en responsable de communication du gouvernement entier ! (Olivier Véran). Enfin, c’est ici confirmé en livre publié, mais à la télévision depuis des années cette chercheuse le répétait, sans être accusée de diffamation devant la Justice puisque c’était vrai, c’est à ces occasions que la citais sur ce site-ci. Et elle argumente ici en détail (ça vaut la peine de lire le texte source, mon résumé n’étant qu’un aperçu pas démonstratif, ne dissuadant en rien d’acheter ce livre, très majeur).
[Note : si je suis tenté d'écrire Mme Henrion Caude ou Mr Chaillot, quand je ne me souviens pas précisément du prénom exact, c'est par respect, par opposition aux sales menteurs que sont le Macron, le Véran, et autres pourritures méprisant activement le public en désaccord avec eux, même argumenté.]

* Ajout 371, 11/03/2023 bis (15h) Autre interview intéressante
   Avec la nouvelle parution France Soir et les liens inclus, je suis tombé sur une longue interview (34mn, à https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite-videos-ne-pas-manquer/le-destin-de-lhumain-nest-pas-detre-soigne-dans) d’un médecin interdit car non vacciné covid19, Louis Fouché, souhaitant un soin autre positivement. Le point qui m’a le pluss marqué n’est pas une révélation incroyable mais une expression judicieuse : il signale que beaucoup sont allés se faire vacciner (anticovid) en pleurant, pour éviter les sanctions lourdes, ce qui est de l’extorsion de consentement et absolument pas un consentement libre et éclairé, comme pourtant garanti, menteusement. Bien dit, merci. Personnellement, je n’ai pas pleuré, mais j’ai cédé face aux menaces gravissimes annoncées, qui en fait étaient fausses, menteuses, de manière maintenant avérée.

* Ajout 372, 11/03/2023 ter (23h) Question marchande
   Quand Monsieur Chaillot expliquait que la volonté de rendre rentable la médecine avait indirectement rendu celle-ci malhonnête, corrompue par la course au fric, il me semble qu’il manquait un point, ou deux. Tout d’abord, en dehors des soignants réputés purs, il est notoire que l’industrie pharmaceutique (« Big Pharma ») est un groupe de vautours capitalistes n’hésitant pas à mentir dangereusement pour accroître les profits de leurs actionnaires, telle étant la définition du Bien dans les écoles de management. L’autre point est à mon avis (sans lien avec les énormes et chères usines capitalistes inventées au 17e siècle) le principe du monde marchand : si le but est l’enrichissement petit à petit systématique, l’esprit commerçant, sa base est le mensonge. A la question « pourquoi le vendez-vous si cher ? », le commerçant répond automatiquement « pour survivre, j’ai très peu de marge, je suis en danger de banqueroute » même si le but est de faire fortune en amassant des bénéfices maximaux. Ainsi, la normalité menteuse de ce monde, hélas, a gagné le domaine du soin. Les fiers managers trouvent cela magnifique, moi je trouve ça honteux.

* Ajout 373, 12/03/2023 (2h) Affronter le R-zéro
   Ça y est, après avoir tourné autour, je me sens prêt à affronter ma relecture des pages 164-168 du livre de Pierre Chaillot sur le modèle SIRD avec son R-zéro célèbre répété tous les soirs à la télé l’an passé (et peut-être l’année précédente, j’ai oublié). Hélas, dès la définition des grandeurs S, I, R, D, ça se passe mal, je ne suis pas d’accord, j’objecte dans tous les sens (signes --> ) :
S : susceptibles (infectables)
I : Infectés (malades) --> ou bien cas+ in vitro ?
R : Rétablis ou morts = ne pouvant devenir malades (--> en oubliant réinfections covid multiples ? par variants successifs notamment ?)
D : Décédés (--> de cette maladie ou toutes causes confondues ?)
Beta : Proba de tomber malade (--> en comptant ou non les asymptomatiques ?)
Gamma : Proba de guérir (--> en oubliant les interprétations covid long ?)
Delta : Proba de mourir
Beta de t = Beta * I de t sur S-zéro (probabilité de tomber malade en côtoyant les infectés --> tous supposés contaminants ? (pourtant j’avais entendu dire que ça dépendait de la charge virale personnelle…)
S-zéro = population globale
R-zéro = béta/gamma, nombre de reproduction de base (--> Est-ce comme le disait la télé le nombre de non-malades que contamine un malade ? confirmé sur Internet à LeMonde.fr : « Prononcé "R zéro", le R0, ou nombre de reproduction de base, indique le nombre moyen de nouveaux cas d’une maladie qu’une seule personne infectée et contagieuse va générer en moyenne dans une population sans aucune immunité (on appelle les gens sans immunité des personnes susceptibles).»).
   Ces multiples questions préliminaires gênent le modèle imaginaire que je voulais tester : une maladie bactérienne non transmissible mais que le mode de calcul pourrait éventuellement classer à tort en épidémie transmissible.
   J’entrevois aussi d’autres questions : quel accès à I, R, S, D sur la population si le test est facultatif non exhaustif ? Et puis les nouveaux contaminés ne sont comptés que parmi les testés seulement, ce n’est pas exhaustif (car certains ne se font pas tester) ni représentatif (car les souffrants de ça et autre chose se font davantage tester que le reste de la population). Bref, loin d’être une mesure crédible, ce R0 semble une sorte de « n’importe quoi ». Mais avant de finir mon examen, je voudrais le reprendre sur un cas immensément simplifié pour essayer de bien comprendre au moins alors. J’imagine que tous les infectés sont malades et contaminants potentiellement de tous les non-malades, à la probabilité Beta près, et que les décès n’interviennent que pour cette maladie seule, que les guéris n’ont aucune séquelle ni aucun risque de retomber malades. Est-ce que R0 est alors compréhensible ?
   Je prends un chiffrage imaginaire : S de t +I de t + R de t = 60 millions et D de t = 100. Je peux poser pour voir une valeur concernant I de t mais j’ignore s’il faut calculer ou imaginer les probas.
Imagions S de t = 59 000 000, I de t = 460 000, R de t = 440 000
Beta de t = Beta*460k/60M avec formule impliquant Beta ; selon moi : 460k/60M= 0,766%
Gamma de t = 440k/60M = 0,733%
R-zéro de t = 0.766%/0.733% = 1,045(je crois que moins de 1 était dit : décroissance de l’épidémie, au-dessus de 1 : croissance de l’épidémie, au-dessus de 1,5 ; grave, au-dessus de 2 : catastrophe de croissance exponentielle).
   Bref, le ratio nombre de nouveaux malades sur nouveaux guéris (et morts) était ce R0, mais… ça n’a rigoureusement rien à voir avec une nécessité de contamination inter-individuelle. Il en serait exactement de même si la source de maladie était la consommation de tel aliment (ou la volonté de Dieu) par exemple. Non, calculer un R0 prétendu nombre de personnes que contamine un malade est totalement faux. C’est uniquement s’il y a contamination qu’il a un rapport avec une contamination, et ce n’est même pas le nombre de personnes qu’infecte un contaminé car c’est fonction de l’intervalle de temps et n’a pas de sens de manière intemporelle ; on peut contaminer 2 personnes en 1 jour, 4 personnes en 2 jours, 20 personnes en 10 jours, et il n’y a pas de vrai nombre 2 ou 4 ou 20, c’est totalement arbitraire dénué de sens.
   Pire : si le traitement s’améliore, le nombre de guéris va augmenter (et R0 décroître) mais ça ne change rien au nombre de ceux qui tombent malades, donc au nombre de contaminés par un malade. Je vais peut-être relire le paragraphe entier de Mr Chaillot (moins critique que moi ?), mais il semble qu’une aberration totale a été annoncée dans les médias, le fait qu’il y ait un calcul impressionnant les journalistes nuls en Maths donc déclarant forfait et répétant servilement…
   Bref, pour en revenir à mon souvenir de téléspectateur, je me demandais « comment peuvent-ils connaître le nombre de contaminés par malade ? », et la réponse implicite était : « il s’agit des prodiges de la science et des mathématiques, qui font savoir (ne cherchez pas à comprendre vous-mêmes, vous êtes trop bêtes, c’est réservé aux sachants) », mais c’était totalement faux, la réponse juste était « non, ce qui est clamé comme connaissance est totalement inconnu, ce chiffre effectivement obtenu désigne tout autre chose, n’impliquant même pas qu’une épidémie ou pandémie existe actuellement ». Ce n’est qu’un paramètre d’évolution : nombre de nouveaux positifs détectés sur nombre de positifs disparus des comptes, par guérison estimée ou décès ». Mais chut, cette réponse honnête aurait fait dégringoler le prestige et catastrophisme de la prétendue science, le mensonge était donc hautement préféré, par les autorités et leurs complices journalistes, jusque sur la chaine (dite d’opposition infâme par les ministres de la Justice et de la Culture) : C-News. C’est affligeant. Enfin, quand je dis « complices », je pense devoir corriger en « ou idiots, au sens : lourdement incompétents même en logique simple type 14 ans d’âge mental »…
   Merci à ce livre de m’avoir permis de parvenir à cette conclusion, même si ce n’était pas sa propre conclusion.

* Ajout 374, 12/03/2023 bis (18h) Suite et fin du livre de Mr Chaillot
– Il montre que le modèle d’évolution exponentielle ne touche pas spécialement les années à covid19. Selon certaines analyses il se voit partout, selon d’autres il ne se voit nulle part. La science ce sont des hypothèses prédictives risquant l’erreur, non une lecture du passé en paramétrant librement pour affirmer n’importe quoi valide. Et l’effet de la température pourrait lui être lié à une sècheresse de l’air et maintien à l’intérieur avec taux élevé de particules fines : il n’est absolument pas certain que le facteur microbien soit l’explication des mortalités hivernales.
– Il montre de manière stupéfiante, pages 200-202, l’évolution du concept d’agent microbien pathogène pour réussir à imposer que les virus sont causes de maladies (plutôt que conséquences ou cofacteurs venus de causes communes inconnues). Les statistiques (liens sans causalité démontrée) y sont la clé, de manière très suspecte. Et avec le cas covid19, même la pluss souple de ces définitions n’est pas respectée, du fait des malades à tests négatifs et des tests positifs asymptomatiques. Le mécanisme psychologique est la recherche d’un coupable (microbe et/ou humain contaminant), sans que ce soit assurément fondé.
– Le fait qu’un modèle catastrophiste n’ait pas été vérifié est attribué aux mesures prises sauvant des vies (sans envisager que le modèle catastrophiste ait été erroné), c’est de la pure propagande, convaincante en rien. Que cela soit publié en revue scientifique est une honte.
– Les hausses de morts hospitalières s’expliquent par les consignes de refus de soins (rester chez soi avec du paracétamol, ne pas consulter de médecin traitant) au moins autant que par un prétendu virus épidémique.
– Les modélisations ayant annoncé une saturation totale des hôpitaux, les équipes hospitalières sont allées euthanasier (accompagner les décès par sédation) d’anciens en EHPAD, pour faire de la place, une grande part de la surmortalité vient de là. Sans demander l’avis des patients ni des familles, sur simple suspicion covid ! L’auteur ne conclut pas que les médecins ont assassiné mais que cela a été la conséquence d’une panique faisant faire n’importe quoi.
– Les essais de vaccins n’ont pas été en double aveugle, et employaient des tests à l’initiative des patients (sa sachant vaccinés ou placebo), c’est un biais absolu, tant chez Pfizer que Moderna. Et ils n’employaient que des sujets jeunes alors que la gravité de la maladie (prétendue) ne concernait que des personnes âgées. Et n’étaient pas comptabilisés tous les morts mais ceux imputés à covid19, sachant que la personne décidant la cause de décès savait si c’était un vacciné ou non, c’est très louche. Et avec conflits d’intérêts pour les directeurs d’études hospitaliers, lourdement payés par les fabricants de vaccins.
– Les autorités françaises refusent systématiquement de dévoiler les statistiques de décès toutes causes confondues, qui pourraient montrer qu’il y a autant de morts parmi les vaccinés que parmi les non-vaccinés, ils ne donnent les chiffres que pour les décès attribués à covid19 (présomptivement, sachant que cette présomption est bien moindre pour les vaccinés réputés protégés de cette maladie) ! C’est un biais total (voire de la fraude organisée dirais-je).
– De même, l’argumentaire officiel clamant que les non-vaccinés étaient ceux saturant les hôpitaux est démoli par l’auteur en pages 266 et suivantes, montrant que l’existence du virus contaminant n’est même pas nécessaire pour avoir obtenu les différences en question, tant les biais sont graves. En fait, le vaccin protège surtout du test (donc de sa positivité éventuelle, même si éventuellement elle n’aurait aucune signification médicale en symptômes). Et la plupart des non-vaccinés décédés étaient automatiquement déclarés « suspicion de décès par covid19 », pas du tout pour les vaccinés, c’est un biais total.
– La réduction des formes graves par le vaccin est aussi démontrée par une étude très biaisée (c’est expliqué pages 280 et suivantes : ce n’est pas le nombre de maladies graves qui est inférieur chez les vaccinés, mais celles dites covid-19). Anecdote cocasse : l’auteur signale qu’avec un test de grossesse à 2% de faux positifs comme ceux de covis19, un test de grossesse donnerait 2% des petits garçons souffrant de grossesse asymptomatique ! Euh, je rapprocherais de plus cela du fait que les non-vaccinés devaient se faire tester tout le temps : le même 2% de faux + à 1 test devient >5% d’au moins 1 test faux + sur 3 tests et >95% % sur 149 tests (mon calcul binomial) !

– Si les vaccins anticovid19 tuaient un nombre significatif de vaccinés rapidement, avant qu’ils soient testés positifs covid19 éventuellement, l’étude de type officiel conclurait que le vaccin protège du décès (dû à covid19), c’est un contresens complet, qu’aurait évité l’analyse toutes causes confondues (pour hospitalisation et décès, vaccinés et non-vaccinés), donc refusée férocement pour démontrer ce qui est voulu (par les autorités alliées aux producteurs de vaccins) et surtout pas ce qui est. Cet argument me semble vraiment très majeur, capital, presque une preuve de fraude en bande organisée.
– Un biais sur la date d’enregistrement des décès a été montré tout fausser, un décès moins de 15 jours après injection n’étant pas imputé à la vaccination. Ceci corrigé, il a été montré des taux de décès 14 fois supérieurs chez les vaccinés anti-covid au lieu de 6 fois moins. L’article, revu par les pairs, n’a cependant pas été publié, du fait de pressions inconnues…
– Spécialement pour les vaccins anti-covid a été renversé la charge de la preuve : ce n’est plu’ au fournisseur de montrer l’innocuité de son vaccin (sinon refusé) mais au public de montrer la dangerosité (sinon accepté). Avec empêchement assidu des chercheurs voulant publier en ce sens-là (classé complotiste ?).
– La plupart des fautes commises en 2020-2023 avec le covid19 avaient déjà été commises en 2009-2010 avec la grippe H1N1 en fait bénigne, tous les mécanismes fautifs étant dénoncés par un rapport du Sénat, mais suivis d’aucun effet. Tout au contraire, la politique française est devenue dictée par les « cabinets de conseil » étasuniens, servant les fortunes américaines. Donc ça a recommencé, en bien pire.
– Les prétendus fact-checkers sont des censeurs au service du pouvoir et sa parole unique, contre toute étude osant prouver le contraire, dénoncée comme fake news complotiste ou pire : extrême-droite antisémite…
–Vient ensuite un chapitre politique où l’auteur déchaine sa haine envers l’hostilité aux services publics français affirmant que celle-ci est totalement dénuée d’arguments. C’est totalement faux : les petites gens du privé sont outrées par les privilèges des fonctionnaires français, même si les leaders du monde privé sont très moches aussi. Mais il semble lui manquer une case, il récite sa condamnation sans lire les argumentaires qu’il diabolise sans argument lui-même, position qu’il trouve horrible quand c’est à son encontre, ça le discrédite en partie, attention.
– Dans les remerciements, j’ai noté un livre recommandé (« Covid19, le grand Cauchemar ») sous forme de lien Internet. J’ai essayé de taper cette adresse et ça télécharge le livre gratuitement, merci pour ce geste, qui est celui que je fais personnellement avec tous les livres que j’ai écrits, mais ça semblait rare chez autrui. Je pense lire ensuite ce livre de 473 pages. En tout cas, ça me décoince après la fâcherie politique qui précédait (me classant très à tort comme ultralibéral de droite parce que j’ose dénoncer des privilèges indus, de fausse gauche).
   Bilan sur ce livre : (4/5) Ouvrage passionnant, très convaincant, osant émettre des hypothèses complètement révolutionnaires comme « peut-être que covid19 n’était pas une épidémie mais un artefact de comptage des morts habituelles avec mensonge alarmiste », « peut-être que le séquençage ARN effectué n’a rien à voir avec un microbe causeur de maladie », « peut-être qu'il y a autant d'hospitalisés et décédés chez vaccinés que chez non-vaccinés, mais les non-vaccinés sont ± seuls classés victimes de covid19 », etc. Hélas, c’est un peu gâché par le dernier chapitre avant la conclusion, où l’auteur délire politiquement en insultant les gens en désaccord avec lui sans examiner leurs arguments, ce qu’il déteste et dénonce en sens inverse (être choqué par les privilèges des fonctionnaires français est pour lui forcément de droite néolibérale, c’est très faux, mal pensé, mais c’est hors sujet, pourquoi s’égare-t-il là-dedans ?).

* Ajout 375, 13/03/2023 (9h) Fausse philosophie
   J’entends ce jour l’interview du célèbre « philosophe » André Comte-Sponville qui, parlant du vaccin anti-covid19, déclare que la peur du vaccin était irrationnelle. Sans la moindre objection de la journaliste intervieweuse. Je suggère à ses fans d’offrir à cet incompétent donneur de leçons le livre de Mme Henrion Caude « les apprentis sorciers », il y découvrirait les monstruosités procédurales cachées par la propagande pour valider ce vaccin avec risques colossaux. Ce prétendu grand-homme me semble un idiot sans recul aucun mais se prétendant intellectuel, c’est-à-dire intellectuellement supérieur. Scandale, de fausse Elite, encore une fois.

* Ajout 376, 17/03/2023 (05h) Démenti partiel à Mr Chaillot
   Je me souviens qu’il disait que la définition de « germe pathogène » avait dû être tordue, pour y inclure sars-cov-2, le virus de covid19, avec ses « cas asymptomatiques », mais finalement j’avais déjà vu ça dans les années 1980, la bactérie Staphylococcus aureus étant mortelle chez certains patients mais totalement bénigne dans le nez de nombreux « porteurs sains ».
   De même, pour les infections urinaires, l’identification d’une bactérie n’était dite maladive (avec demande d’antibiogramme) qu’en cas d’envahissement bactérien (>10^5/ml crois-je me souvenir), la limite entre maladie et non-maladie étant quantitative, un peu arbitraire.
   Autre élément un peu dans le même genre : j’avais été étonné d’apprendre (vers l’an 2010) que, pour qu’un nouveau germe bactérien soit reconnu scientifiquement comme nouvelle espèce, il fallait qu’il émane de divers prélèvements dans la Nature, en zones distinctes (et ne soit pas qu’un mutant de laboratoire, éventuellement envoyé à distance à des confrères). C’est logique avec une science prétendant décrire les lois de la Nature et non les artefacts. Mais le cas de sars-cov-2, le virus de la maladie covid19, n’est pas clair à ce sujet, au cas où il émane d’une fuite involontaire de labo militaire préparant des armes biologiques par bidouillage génétique.
   A l’inverse, peut-être que les différents variants de sars-cov-2 (de alpha à o-micron, 1e à 15e lettre de l’alphabet grec) auraient pu s’appeler sars-cov-2 à sars-cov-16. J’ignore en virologie les règles taxonomiques. Certes, ce n’était pas le sujet de Mr Chaillot, mais un peu quand même, là où il dénonçait la biologie tordue spécialement pour intégrer cette espèce sars-cov-2.

* Ajout 377, 19/03/2023 (15h) Lecture du livre gratuit signalé par Mr Chaillot
   J’ai entamé la lecture du livre « Covid19, le grand cauchemar » écrit par Liutwin, apparemment pseudonyme pour ne pas payer de copyright sur les images reproduites sans disposer des droits. Et je vais peut-être détruire rapidement ce fichier, pour ne pas être accusé de recel de fraudes aux droits.
   Page marquée 15 (17 du fichier pdf), je suis choqué par un passage affirmant que le taux de contagiosité du virus sars-cov-2 (nombre moyen de personnes auxquelles un malade risque de transmettre la maladie) est 2,2, pas supérieur à celui du virus sars antérieur et de la grippe habituelle, sans aucunement vérifier comment se mesure et calcule ce facteur R0, ce qui aurait démenti totalement son énoncé comme facteur de contagion (il est calculable et possiblement énorme même avec une maladie non contagieuse). Et puis cet énoncé avec « risque » de contaminer dément même l’énoncé usuel, un peu pluss compréhensible en affirmant que c’est une mesure des contaminés effectifs comptabilisés. J’arrête là la lecture de ce livre oubliant de réfléchir, désolé. Dénoncer en se dispensant de vérifier ses dires est commode (en pouvant hurler très fort), mais ça ne m’intéresse pas.
   Je note simplement que le chapitre des pages 286-320 s’intitule « une idéologie sanitaire fasciste », ce qui me fait sourire quand je vois la macronie clamer que le référendum est fasciste (puisque voulu par le Rassemblement National). Avec un sous-chapitre (pages 306-311) intitulé « L’apartheid 2.0 », ce qui me fait sourire quand les médias, les centre et droite français, hurlent que des gens osent envisager (pour Israël) que l’apartheid n’ait pas été une anomalie strictement sud-africaine anti-Noirs. Ce n’est pas que je désapprouve ces passages sans les lire, mais l’auteur a perdu sa crédibilité avant, et je ne vais pas me mettre à le croire quand il dit des choses que j’approuverais éventuellement.

* Ajout 378, 19/04/2023 (12h) Interview choquante mais révélatrice
   J’ai entendu ce jour à la télévision un morceau de l’interview du Dr Jimmy Mohamed, confirmée sur Internet par écrit à https://www.public.fr/News/J-ai-un-probleme-avec-ceux-qui-ont-refuse-la-vaccination-en-etant-soignants-Jimmy-Mohammed-et-son-avis-tres-tranche-face-a-Jordan-de-Luxe-1770307 (je ne connais pas cette célébrité, Google me dit qu’il est médecin généraliste français et chroniqueur télé.)
   Il dit (c’est moi qui numérote, pour répondre) « 1/ "J’ai un problème avec ceux qui ont refusé la vaccination en étant soignants (…) 2/ Quand on est dans la santé on est dans la science, on n’est pas dans la croyance." 3/ A la place du Ministre, il n’aurait alors pas choisi de les "réintégrer". " Quand on pense que la vaccination va donner des maladies, que sur le long trerme elle va donner des cancers, on n’est plus sur de la science. 4/ Quand on réintègre des médecins qui sont contre la vaccination, on envoie un message un peu brouillé" ». Qu’est-ce que j’en pense ?
1/ Que ce monsieur prétendu docteur ait un problème, ça n’a aucune importance en tant qu’avis s’il respecte autant les avis opposés, mais ce n’est pas le cas, il se pose ici en dictateur allié aux dictateurs du gouvernement et leurs alliés, moi je trouve que le problème majeur est là, pas chez les soignants non-vaccinés, martyrisés. De plus, du point de vue de la science honnête, ce type a tort : les vérifications obligatoires n'ont pas été faites, ce qui est fautif et ne permet plu' de prétendre s'appuyer sur l'efficacité scientifique en prédiction. Il trahit donc ce dont il prétend se servir pour faire taire l'adversité, c'est faux, pitoyable.
2/ La science est une des voies employées en santé mais pas la seule. La science échoue dans certains domaines où réussissent parait-il des médecines alternatives (par effet placebo peut-être). Claironner que seule la voie scientifique chimique allopathique a raison, c’est un diktat, stupidissime sans argument, par loi du plus fort. Par ailleurs, comme cela a été vu à la télé de manière éclatante à l’occasion de la crise covid19, les gens agissant au nom de la science étaient de très mauvais scientifiques confondant méthodologie scientifique et croyance scientiste. Ces scientistes trahissaient la science qu’ils idolâtraient. Ce docteur-ci est autocontradictoire stupidissime, moins de 6 ans d’âge mental.
3/ Comme d’habitude est ici pratiqué l’amalgame entre « objections envers ce vaccin-ci » et « refus par principe de tout vaccin ». C’est de la confusion mentale, ou de la malhonnêteté totale si non-inconscient. Le livre « les apprenti-sorciers » du Dr Henrion-Caude explique quels prétendus vaccins se sont avérés dangereux : arrêt en cours de validation contre la dengue, arrêts encore pluss précoces dans d’autres essais en trouvant tous les animaux-tests morts, etc. La démarche scientifique consiste à tester le produit inconnu, sans déclarer qu’il est forcément parfait puisque prétendu « œuvre de la science », non, absolument pas, erreur lourde, immense. Avoir validé de manière prématurée les vaccins anti-covid19 a été une erreur méthodologique, anti-scientifique, n’attendant pas les résultats expérimentaux, seuls probants.
4/ Pareil : « contre tel vaccin » ne veut absolument pas dire « contre toute vaccination ». Et la science théoriquement c’est le doute, l’hésitation, peu importe que cela paraisse brouillé aux fonceurs exigeant des certitudes et affirmant les trouver dans tel ou tel truc (ici: l’affirmation ultra-prématurée « ça marche, sans risque aucun » par le chef de Moderna, que je connaissais dans mon entreprise comme menteur chronique, ridicule, cupide avide de fric).
Bilan/ Donner la parole à des idiots pareils, et sans aucune objection, ça ne semble pas du journalisme (ni de la médecine) mais de la propagande. C’est moche et c’est grave, avec des soignants lucides maltraités en pluss graves victimes (peu importe que ça me choque, c’est moins grave).
Suite possible/ Il est évident que la réponse à ma contre-réponse sera quelque chose comme « mais ce vaccin a sauvé des millions de vies ! ». Ce n’est pas vrai, ce n’est pas établi, les autorités (d’après le livre de Mr Chaillot notamment) refusent de communiquer les statistiques de mortalité toutes causes confondues qui pourraient le confirmer ou l’infirmer (ruinant dans ce cas l’intégralité du discours officiel avec poursuites pénales pour escroquerie et mise en danger de la vie d’autrui), c’est pluss que louche.

* Ajout 379, 05/05/2023 (21h) Continuation du très-horrible
   Je lis ce jour sur Internet une nouvelle C-News effarante : (à https://www.cnews.fr/france/2023-05-05/olivier-veran-la-victoire-des-oppositions-aura-permis-des-gens-qui-doutent-de-la ). Je crois avoir déjà cité plusieurs fois sur ce site Olivier Véran, autrefois ministre de la Santé, promu porte-parole du gouvernement maintenant. Sa déclaration, moins tronquée, est : « "la seule victoire de l'union entre la NUPES et le RN aura été de permettre à des gens, qui doutent de la science, de remettre la blouse blanche" (…) Olivier Véran, a dénoncé (…) une victoire des oppositions permettant "à des gens qui doutent de la science, de remettre la blouse blanche pour peut-être soigner nos parents demain dans les hôpitaux " ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   Tout d’abord, il faut décoder : le mot « victoire » n’est pas ici applaudi mais décrié comme abus scandaleux, de la part des pires ennemis du gouvernement actuel. Et ce ministre trouve scandaleux que soient soignants en blouse blanche des gens doutant de la science.
   Je trouve cela totalement scandaleux. C’est de l’idéologie scientiste versant dans le fanatisme. En effet :
– Le principe de la science (expérimentale) consiste à douter, sans aucune vérité prétendue éternelle, un futur démenti-expérimental pouvant dénier toute prétendue loi. Les scientistes (au sens français du terme) n’y ont rien compris, rien de rien, et clament que la Science actuelle dit le vrai indéniable, ce qui est une idiotie, démontrée telle scientifiquement : l’expérience a montré que bon nombre de paradigmes ont changé, des fausses lois affirmées vraies « prouvées par la science » ont été remplacées par des lois corrigées voire contraires. Une "science sans doute" n’est pas du tout une science mais une chapelle invoquant à tort le prestige de la science, comme l’église de scientologie, même si c’est différemment. Et vouloir interdire aux lucides d’être soignants, pour réserver ces postes aux croyants fanatiques, c’est absolument horrible (logiquement comme moralement). A mon avis, le Dr Véran devrait se voir retirer ses titres de médecin et docteur, il en est totalement indigne.
– L’histoire de la « blouse blanche » est aussi une idiotie : des bouchers et pâtissières portent la blouse blanche, c’est un simple moyen de protection contre les tâches (blouse) attirant l’œil sur les projections non voulues (blanche). Plein de scientifiques sont sans blouse blanche (quand j’ai visité le CERN, les techniciens étaient en blouse blanche, les mécaniciens en combinaisons bleues, les physiciens scientifiques de haut niveau : en pull ou costume, habit civil à leur convenance puisqu’ils ne manipulaient pas). Inversement, des soignants peuvent donner satisfaction en dehors de la science : acupuncteurs, réflexologues, etc. Si leur technique marche, la science expérimentale devrait leur donner raison, sauf dominance abusive de dictateurs technicistes.
– Ce que n’a nullement compris Véran, c’est que presque tous les ratés des vaccins anti-covid19 sont imputables au fait que ce vaccin n’ait nullement été développé scientifiquement mais commercialement par des escrocs beaux-parleurs (dupant les idiots comme Véran, et moi j’étais lucide contre celui qui a été leader de Moderna, menteur éhonté dans son ancien poste). La non-efficacité sur la transmission aurait été détectée (d’où refus) si les protocoles habituels avaient été respectés, mais des passe-droits démentiels ont été accordés, conduisant à des erreurs qualitatives totales. De même pour les effets indésirables, en cancérologie et tératologie notamment, absolument pas chiffrables en 1 an, compte tenu des temps de latence. Bref, Véran regrette de ne pas avoir assez persécuté au nom de la Science, alors qu’il est le pire traitre envers la vraie Science. Mais lui a tous les micros, pour déblatérer ses imbécilités, quand on fait taire les objections, ce système est intégralement lamentable.

* Ajout 380, 06/05/2023 (6h) Abrogation de loi
   Je lis ce jour une nouvelle France-Soir intéressante ; « L’abrogation de l’obligation vaccinale adoptée en première lecture, sans compensation financière pour les suspendus » ‘(à https://www.francesoir.fr/politique-france/l-abrogation-de-l-obligation-vaccinale-adoptee-en-premiere-lecture-sans ). Je cite et commente les points selon moi délicats :
* « Le groupe RN a déposé deux amendements afin "d’examiner la possibilité d’une indemnisation du préjudice causé à ces professionnels, les solutions envisageables pour compenser l’impact de cette période ainsi que la validation de certains trimestres de retraite". Ces propositions traitaient aussi de l’indemnisation des étudiants empêchés de poursuivre leur cursus dans le secteur médical.  (…) "Quel message adressé aux français avec cet amendement ? Je ne crois pas qu'il revienne à la solidarité nationale de prendre en charge des compensations à l’égard de professionnels qui se sont délibérément soustraits à une obligation légale et déontologique. Je ne doute pas que demain vous proposerez de payer les amendes de ceux qui brûlent les feux rouges ! " », s’est-il offusqué. «
--> L’amendement d’indemnisation des personnels spoliés me parait juste et son rejet final me parait scandaleux. En effet, il ne s’agit pas de gens s’étant soustrait à une loi quelconque, bonne, mais à une loi aberrante, abusive, gravement fautive. Les parlementaires ont ponctuellement déconné (avec la punition des insoumis à vaccination expérimentale dite obligatoire) et les résistants avaient là raison, sans en faire un principe général systématique pour toute loi. Sinon, c’est comme dire « à punir » le Général De Gaulle en 1940, « puisqu’il a osé s’opposer à la loi de coopération avec le nazisme en brûlant tous les feux rouges. » Non, il ne faut pas généraliser. Le cas de loi mauvaise fait exception aux généralités. Idem pour les martyres ayant osé s’opposer aux lois de l’Inquisition. Et puisqu’il s’agit ici de punitions financières, je serai d’avis de réquisitionner les revenus et propriétés des faux-représentants ayant signé ces lois affreuses : oui, ce n’est pas au peuple innocent de payer la faute commise mais aux coupables, pas du tout aux anormaux lucides résistants précoces.
   Par ailleurs, il n'y a eu aucun manquement déontologique de la part des refuseurs d'injection risquée, alors qu'il y avait faute déontologique ultra-sévère de la part des forceurs à injection risquée et de bénéfice incorrectement établi. Ceux qui continuent là à donner des leçons ne sont pas des justiciers mais les pires coupables.

* Ajout 381, 26/05/2023 (15h) Erreur presque habituelle
   Je lis ce jour une nouvelle étonnante, avec une affirmation de causalité qui me parait immensément douteuse : https://www.cnews.fr/sante/2023-05-26/sante-le-covid-19-cause-une-recrudescence-des-infections-nosocomiales-en-france. Je cite et commente :
   * « Dans un communiqué (…) Santé publique France a alerté sur la recrudescence des infections nosocomiales ces dernières années, notamment lors de la pandémie de Covid-19. (…) En baisse progressive entre 2001 et 2012, puis en stagnation de 2012 à 2017, la proportion de patients infectés dans un établissement de santé a augmenté de 14,7% entre 2017 et 2022. (…) mais les infections Covid nosocomiales représentent la moitié de l'augmentation (…) quatre bactéries, dont le staphylocoque doré et Escherichia coli, étaient impliquées dans près d'un cas sur deux d'infection nosocomiale (…) »
   --> C’est faux en termes de « maladies » nosocomiales : une positivité au test covid n’est pas une maladie, elle peut parfaitement être asymptomatique, la raison médicale d’hospitalisation étant « oubliée » pour facturer au prix majoré spécial covid (voir le livre : « covid19, ce que révèlent les chiffres officiels »). Ainsi dans un reportage, on peut montrer des patients mourants de maladie dite évitable (apportée par les soignants), on affirme (d’après l’historique des chiffres globaux) que la « cause » en est covid, mais en fait ce n’est pas vrai pour ces mourants-là : ce qu’a apporté covid, c’est un changement du mode de comptage, appelant malades des gens pas-malades (de ce qui est prétendu être leur maladie), c’est un artefact comptable, un mensonge de gestionnaires financièrement intéressés. C’est ainsi que « mourant de vieillesse » (sans cause microbienne) est devenu « mourant à cause de la grippe », puis « mourant à cause de covid ». Si on sortait un test « infecté par la mauvaise nourriture », 100% des hospitalisés seraient « infectés », et alors ? Aucun rapport avec une maladie…
   Mon métier était l’analyse en laboratoire de microbiologie et je sais de quoi je parle. Et quand on observe Staphylococcus aureus ou Eschericha coli, ce qui est facile, ce n’est pas du tout la preuve que c’est la cause de la maladie ayant généré besoin d’analyse. Ces germes faciles à visualiser peuvent être bénins (c'est un cas très courant) quand la maladie serait due à un non-détecté germe difficile, ou un virus (non cultivable) ou un dérèglement métabolique (sans microbe). Avoir vu un staph ou un coli, comme avoir détecté une positivité covid, n’est pas médicalement une preuve de telle maladie ; si c’est dit nosocomial c’est que c’est apparu en cours d’hospitalisation, mais la maladie problématique peut être ce qui motivait l’hospitalisation au départ (germe non détecté ou non détectable ou autre désordre non microbien).

* Ajout 382, 30/05/2023 (02h) Rêve nocturne (garanti...)
– Nouvelle brute du 27 Mai à 2h33 du matin : le service des Affaires Spatiales de l’Armée Française informe avoir perdu toute trace de la plante Sylwia Métailja, impliquée dans l’apparition du covid19 à Wuhan.
– 2h40 : correction, le laboratoire de Bioléthalité de l’Armée Française dément que de telles études aient jamais eu lieu.
– 2h42 : correction, le laboratoire de Bioléthalité de l’Armée Française ne peut pas exister, puisque cela enfreindrait plusieurs traités de paix internationaux, contre la guerre sale.
– 2h54 : annonce par Radio RTL que le journaliste scientifique Michel Jonzac, va revenir à 5h00 sur l’affaire de cette plante française qui aurait accouché du covid19.
– 3h41 ; annonce du décès de Michel Jonzac, à 41 ans, de suicide (se tirant 2 balles dans la tête). Il a laissé une lettre expliquant qu’il avait ruiné sa carrière entière en oubliant qu’il n’y a nouvelle journalistique qu’après confirmation.
Bilan : rien de rien, rendormez-vous tranquille. Shhhht…

* Ajout 383, 22/07/2023 (11h) Interview passionnante
   J’entends ce jour, merci France-Soir, l’interview d’un médecin belge député européen (« Le Dr Martin Zizi répond à la députée européenne Nathalie Loiseau (RE) après un clash sur Twitter: "Je veux une gestion de la société objective, pluraliste et ouverte" » à https://edition.francesoir.fr/videos-les-debriefings/clash-twitter-martin-zizi-deputee-Loiseau-reponse ). C’est passionnant, indiquant que le sars-cov2 n’a jamais été un monstre mais un équivalent de la grippe, alors que les vaccins en fait expérimentaux ont fait beaucoup pluss de morts. Et que la pétition questionnant la gestion de cette crise a été enterrée en étant prétendue d’extrême-droite, diabolisation fausse (en fait venant de gens de gauche belge) mais technique systématique des gouvernants et leurs amis, terrorisés à l’idée d’être poursuivi pénalement, au-delà d’une non-réélection politique.
   Je n’affirme pas que c’est la vérité vraie indéniable, mais je trouve que c’est passionnant à entendre, autant que la voix gouvernementale, pour qu’il y ait débat contradictoire, honnête, scientifique.