J’ai osé inventer « la mécanique floue »
Alternative à « la mécanique quantique »
par D.Fience, 14/10/2020

  Après avoir détruit la crédibilité de la mécanique relativiste, sur un site à moi, j’en viens à contester la mécanique quantique, autre pilier des sciences physiques modernes.
1/ L’expérience-clé
  J’ai lu que la très bizarre mécanique quantique, totalement contre-intuitive, était prouvée avoir raison contre la mécanique déterministe (Newton, Einstein, etc.) d’après les expériences d’Alain Aspect. Pour telle expérience à faire, la mécanique quantique avait prédit un résultat totalement indéterminé de 4 à 10, quand la mécanique déterministe (à variable cachée envisagée) avait prédit le résultat 6. L’expérience pratique a donné les résultats 8/4/9/7, ce qui sonne entièrement raison à la mécanique quantique, corroborée, et totalement tort à la mécanique déterministe, invalidée.
  Mais ce principe de match me semble biaisé : la mécanique déterministe prenait bien davantage de risque à affirmer une valeur ponctuelle quand la mécanique quantique s’accordait une immense marge d’erreur, pouvant recouvrer plein de résultats. Mon idée nouvelle est de dénier que la mécanique déterministe affirme 6 mais de considérer qu’elle est imprécise intrinsèquement et donne le résultat 7±3. Alors ladite expérience ne permet en rien de trancher, d’invalider l’une des deux concurrentes.
2/ En généralisant
   A mon avis, l’erreur des sciences physiques élémentaires (déterministes) est d’affirmer des lois avec le signe « égal », le signe bien plus approprié étant « environ égal ». Et je ne dis pas cela au sens « la vérité est peut-être 0,2% moins que ce calcul » mais « peut-être que la vérité est n’importe quoi fluctuant autour de ce calcul ». Par exemple, pour la loi P=m.g donc m=P/g, il ne serait pas affirmé que m est une constante parfaite mais une donnée peu fluctuante, peut-être un peu changeante avec le temps ou les circonstances.
   Je me souviens des « expériences prouvant les lois », en travaux dirigés de sciences physiques quand j’avais environ quinze ans. La professeure lâchant des craies de la fenêtre, avec un chronomètre, trouvait devant nous témoins un temps de chute de 4,7 secondes et 4,6 secondes en recommençant, 4,8 secondes en recommençant encore. Puis, en faisant le calcul avec les formules du cours (et la hauteur d’étage dont elle nous informait), on trouvait 4,71 secondes confirmant pleinement que ce temps n’est pas n’importe quoi mais que l’équation physique t=k.h dit vrai ! Mais… même si je l’ai gobé et récité sur commande, je ne suis plu’ d’accord. Peut-être que l’équation juste est t environ égal à k.h ceci fluctuant pour donner parfois 4,6 secondes et parfois 4,8 secondes (et rarement 4,0 secondes ou 5,4 secondes). Le prétendu test n’était pas probant, ne valait pas preuve de l’égalité prétendue professoralement.
   Ceci est partiellement envisagé classiquement avec les incertitudes de mesure (comme le temps d’appuyer sur le chronomètre, le temps de réaliser que la craie a heurté le sol, la hauteur prétendue de l’étage ou de la main lâcheuse de craie), mais par expérience universitaire, prendre en considération toutes les incertitudes était effrayant conduisant à prédire un résultat de type « presque n’importe quoi ». Eh bien, au lieu d’oublier ces incertitudes, je suis d’avis de dire maintenant : « oui, les équations (déterministes) prédisent (aussi) un peu n’importe quoi, et ne sont donc pas invalidées par l’expérience qui donnait raison à la mécanique quantique ».
   J’ai par ailleurs étudié les statistiques, démentant que les incertitudes soient précisément chiffrables (probabilité en rectangle) pour suggérer qu’elles sont immensément étendues (en cloche infinie, sauf à tronquer avec un risque arbitrairement décidé, contestable). Toutefois, le classique modèle normal, gaussien, est une supercherie idiote, conduisant à dire par exemple que le temps de chute de la craie sera négatif (de manière très très rare), ce qui est insensé, pas mathématiquement pertinent. Et j’ai démontré que les statistiques classiques ont tort d’employer ces modèles d’aléas prétendus prouvés, alors que ne sont pas examinés des modèles alternatifs (comme la cloche bornée sin^4). Bref, loin d’être un domaine difficile mais gérable, les incertitudes n’évacuent pas mon hypothèse de lois approximatives comme vague centre de « environ n’importe quoi ».
3/ Contexte personnel
   De 14 ans et demi à 15 ans et demi, j’étais considéré surdoué génial en sciences physiques et c’était un malentendu. Je répondais comme on me le demandait mais sans être convaincu de la vérité indéniable des cours. Puis, avant/après un suicide, j’ai complètement sombré, immensément triste (les docteurs idiots appellent ça « malade dépressif, requérant médicaments chimiques pour corriger le cerveau anormal »). J’ai continué à parfois briller en maths, purement logiques, mais pas en sciences physiques, puisque je n’apprenais plu’ les cours à réciter (ou à employer en jonglage dit savant).
   Aujourd’hui à 56 ans, je suis content d’enterrer ces sciences physiques prétentieuses, dans mon coin (mis en invalidité psychiatrique pour incapacité à mentir encore – dans le domaine bioindustriel où j’avais professionnellement atterri).