La vraie révolution des « nombres négatifs vrais »
Délire ± gentil
(par A.Doks, 22/05/2015 "après Jésus-Christ")

  C‘était au Canada, près de la ville moderne de Chicoutimi. De pauvres migrants somaliens (méchamment repoussés hors de France et Europe) sont venus s’installer en 2015 sur le site de Chicoutimo (l’ancienne ville amérindienne, proche, rasée au XIXe siècle, avec « bénédiction » religieuse du massacre par les Européens, « nouvelles tribus d’Israël »). Et puis, en 2016 quand des amis québécois sont allés voir là-bas les courageux pionniers, il n’y avait personne, rien. Leur maison et les migrants eux-mêmes avaient disparu, alors que la population de Chicoutimo aurait dû remonter à deux habitants (et une habitation). Et alors vint l’explication, mathématique limpide : la population de Chicoutimo n’était pas zéro avant cette réinstallation (en 1900-2014) mais « négative ». Ajouter des habitants ne remontait pas la population à un compte positif : elle restait négative (invisiblement) ou nulle… Effrayant, non ? On me dira que c’était « un rêve », mais j’ai détruit absolument tous les critères de vie éveillée, par la logique pure, et cette expérience est donc aussi valable qu’une autre. (Elle n’est simplement « pas réaliste », et le malhonnête réalisme gouverne ce monde ici, par la force, ce n’est pas joli).
  Pour ces « nombres négatifs »… Effectivement, quand (dans mes souvenirs) à dix ou onze ans, on m’a appris leur « existence » (mathématique), cela paraissait insensé : comment peut-il y avoir moins que zéro (et ce : jusqu’à « moins l’infini ») ? [Même si, sur une ligne, on peut compter de zéro à « plus l’infini » vers la droite et zéro à « moins l’infini » vers la gauche]. Pour les « quantités »… on aurait pu me dire ceci : un entrepôt automatisé gère la population des produits stockés, avec le compte aujourd’hui à « moins sept », et cela signifie que les sept premiers produits qu’on apportera (dans la grosse nouvelle fabrication effectuée pour ravoir un gros stock) disparaîtront aussitôt, en « réparation du manque » (commandes en attente). Ce pourrait être pareil pour les humains habitants, si un Dieu amérindien tient les comptes et nous déclare en débit à réparer… C’était le cas dans mon rêve, là, avec le Moi qui rêve en position de Créateur (certes pas tribal Amérindien mais humaniste).
  Du coup, cela remet en question certaines de mes évidences mathématiques, comme par exemple ma contestation de la loi « normale » (gaussienne) là où elle affirmait non-nulle la probabilité d’effectifs négatifs. Je ne suis pas sûr que cet éclaircissement aille dans le sens décrété nécessaire (le « rétablissement de ma santé mentale »), mais il me paraît lumineux.
  Sur le plan historique, je trouve ça très juste : l’Europe qui a envoyé des dizaines de millions de ses pauvres conquérir l’Amérique a un lourd passif, négatif moralement, et elle est donc en devoir de recevoir des dizaines de millions de nouveaux pauvres, du Sud et de l’Est (surtout qu’elle est allée les conquérir pour imposer religion nataliste et médecine démographiquement déséquilibrante). Si démocratiquement l’Europe le refuse, elle devrait être exterminée/parquée comme les Amérindiens l’ont été. Quant aux Américains, puisqu’ils ont fait pression pour recréer Israël et le maintenir ethniquement pur en refusant le retour des expulsés palestiniens (et de ceux ayant fui les exterminations terroristes de 1948), leur riche pays USA sera rendu aux descendants d’Amérindiens survivants et leurs cousins. Ce sera la fin de la raciste civilisation occidentale et je trouve ça mérité. (De l’intérieur, comme un aristocrate anormal en 1788, souhaitant l’abrogation des privilèges). Ici personne ne réfléchit, et surtout pas les prétendus « intellectuels », alors ça va péter, c’est normal. Tant pis.
  Ce que je dis n’est pas complètement idiot : les politiciens et « intellectuels » clament qu’il faut enseigner d’où l’on vient, le poids du passé, les erreurs à ne pas recommencer… pourquoi n’arrivent-ils pas du tout aux mêmes conclusions que moi (et que les associations noires réclamant réparation de l’esclavage) ? Ça me paraît assez simple, au vu de la loi Gayssot, loi interdisant la liberté d’expression pour tout ce qui touche au scepticisme quant à la Shoah : nos politiciens ne veulent en rien punir le racisme qui nous a enrichi autrefois, punir le racisme qui nous fait conserver jalousement cette richesse indue, leur seul but semble de rappeler la culpabilité vis-à-vis des Juifs, imposer les réparations des spoliations antisémites (sans jamais parler de spoliations antiarabes en Palestine 1948), imposer l’amitié envers Israël éthniquement purifié et notre soutien à l’interdiction de retour des Palestiniens… Bref, le racisme continue plein pot, avec accord de tous les gens dits « sains d’esprit » (ayant tellement peur de l’accusation infâmante « antisémites »), et nous devrions être massacrés par des justiciers humanistes (des anges si Dieu existe, des esclavagistes Islamistes sinon). Ça a commencé, et les impôts qui me sont réquisitionnés par la force sont employés à payer les bombes lancées par nos gouvernants sur les Islamistes, sans me demander mon avis (enfin, je suis « démocronde », mais ce parti n’atteindra sans doute jamais ici les 0,0001% – c’est-à-dire 60 personnes).
  Bouh, il n’est pas beau ce monde là autour. J’espère que c’est un cauchemar et que je vais me réveiller dans un pays de bizounours (le matin prochain ou post mortem). Si le Messie est censé être un descendant des Hébreux venu dire stop à la raciste domination israélite, il est clair que ce n’est pas l’autre guignol 2015 ans en arrière, disant chez « saint » Matthieu que les non-Juifs sont des chiens, et que les non-Juifs doivent se reconnaître chiens en ne mangeant que les miettes tombant de la table des Juifs. Non, ce serait moi le Messie, et si on m’a fait tant de piqûres à l’hôpital (aïe, j’aime pas ça), c’est peut-être pour me préparer à la crucifixion. C’est même pas drôle, non. Et ça ne prouve pas que le Créateur (Moi qui rêve ?) est un sale type, c’est juste qu’il s’amuse à m’entourer de méchants, apparemment, pour que j’ai la « satisfaction » de me sentir gentil en comparaison.
  (Gros soupirs).