Suis-je Samuel-Charlie ? attention...
Avalanche verbale choquée et sans doute condamnée
par Shlomo Meunier (sous traitement Solian et +), 22/10/2020
dernier ajout

  J'ai été frappé par l'histoire du prof décapité la semaine dernière, et dégoûté par les fausses analyses politiciennes et journalistes/"intellectuelles" appelant à l'unité en écrasant (au nom de la liberté) mon avis différent. J'ai écrit beaucoup de choses opposées (à ces appels à la guerre) sur différents sites miens, mais je les rassemble ici car le sujet est le même, à la base. Si on me traine en procès en isolant une demi-phrase dite inadmissible odieuse, non c'est tout ce site qu'il faut lire, si l'honnêteté était le principe (je rêve...).

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Mise à jour 2020 : Professeur tué (17/10/2020)
  Hier a été annoncée la décapitation d’un professeur de 4e ayant montré à ses élèves les caricatures Charlie-Hebdo de Mahomet, après avoir suggéré à ses élèves musulmans de sortir de la pièce (ce qu’ont fait la plupart, pas tous).
   Aujourd’hui à la télévision (sur chaines C-News et France 2), les commentateurs clamaient que les professeurs après cet assassinat terroriste étaient maintenant dans la peur, de transmettre l’enseignement de la république, ce qui est tout à fait inadmissible (disaient-ils). C’est maintenant la guerre ouverte entre l’Islamisme (financé par le trafic de drogue, à écraser totalement) et la République, admirable (disaient-ils). Hélas (selon eux), certains prétendus penseurs, au lieu de combattre ce mal depuis des décennies, avaient stupidement émis autrefois des « oui mais », trouvant des excuses voire justifiant les monstres, de manière aberrante et grave. Il faut (disaient-ils) que l’école enseigne maintenant clairement, comme élément-clé de nos valeurs, le droit à se moquer des religions, à enseigner la Shoah, le darwinisme, la Liberté, etc.
   Je ne suis pas d’accord avec cet ensemble, quoique de manière complexe, pas simplistement opposée :
1/ Je trouve assez sain que les professeurs aient peur, puisque depuis des décennies ou siècles, ils avaient la conscience tranquille de faire peur aux élèves (vivant la crainte des mauvaises notes, punitions, exclusions). Qu’il y ait une forme de retour me parait juste, même si je n’approuve pas que ce soit en agitant une menace de mort, je préférerais une crainte de baisse de salaire, renvoi et misère.
2/ L’enseignement de la république est de la propagande, très contestable à mon avis. Je ne préfère pas la propagande islamiste de l’autre côté, mais on peut aisément faire mieux, équilibré, éveilleur d’intelligence (logique et/ou inventive) plutôt que de soumission obéissante.
3/ Le président Hollande avait déjà déclaré la guerre il y a des années (sans demander l’avis des gens), et je n’étais pas d’accord. Les Islamistes ont à mon avis raison d’être antisionistes quand les politiciens Occidentaux ont tort d’être sionistes (racistes puisque ne rendant nullement les USA aux Amérindiens). La propagande fonctionne plein tube pour cacher ce que le camp opposé (politiquement différent : antisioniste) reproche à nos dirigeants, c’est très moche, partisan méprisant/insultant les gens percevant l’abus.
4/ La persécution du trafic de drogue me parait injuste, non pas que je mange de la drogue mais il semble que ce commerce est une affaire entre consommateurs chrétiens-israélites-athées (pas pourchassés du tout) et vendeurs musulmans (pourchassés). Ça ne semble pas juste du tout : aux USA au contraire, j’ai vu dans des films que les consommateurs étaient envoyés en prison, sans exemption partisane.
5/ Je ne trouve pas du tout la république admirable (j’ai résisté à la propagande scolaire dite « instruction civique »), c’est un système oligocratique donnant le pouvoir à des menteurs pas du tout représentants du peuple, prenant des mesures impopulaires. Et sans sanction efficace si en face veut faire pareil et si d’autres encore sont bien diabolisés par les médias aux ordres (faisant semblant de s’opposer sur des querelles de personne en approuvant le fond).
6/ Comme pour les attentats palestiniens de 1972 aux Jeux Olympiques, il ne me parait pas stupide criminel d’envisager que c’est une guerre où les victimes sont dans un camp coupable. Nos bombardiers 1944 sont célébrés par cette république comme héros (sans dire qu’il s’agissait de massacreurs de bébés innocents, dans le camp condamné), nos législateurs travaillent à criminaliser l’antisionisme dit antisémite (sans avouer que le Sionisme a massacré terroristement des villages palestiniens, bébés compris, pour faire fuir la population musulmane ou chrétienne). Le simplisme Bien contre Mal est ce qui me parait le plus idiot criminel, dans ces affaires. L’Islam date de plein de siècles mais le terrorisme islamiste n’existait pas avant le terrorisme sioniste, c’est oublié/caché/négationné par 100,0% des observateurs télévisés.
7/ Je trouve horrible le Coran massacreur de mécréants mais tout autant la Torah massacreuse de goys (y compris bébés cananéens) et les Evangiles massacreurs d’incroyants en Yahvé pro-Juif (d’où le sort des Musulmans au temps des croisades puis des Amérindiens ensuite). Se moquer ultra-spécifiquement des Islamistes dits seuls monstres me parait très malhonnête.
8/ La Liberté d’opinion a disparu de France avec la Loi Gayssot sacralisant la Shoah, en s’alignant sur la position israélienne (racistement aussi, sans couvrir le génocide amérindien tout autant, non pas du tout). Quant au darwinisme, c’est une théorie prouvée en rien, en douter parait sain et que cela soit puni par l’école prouve que c’est un endoctrinement stupide, de type militaire abrutisseur. (C’est effectivement ce que j’ai connu – Darwin n’était pas encore au programme, mais il était commandé d’applaudir les auteurs dits célèbres sans droit à les critiquer et encore moins à les montrer mauvais ou nuls). Après mes études, j’ai démontré faux un prétendu théorème de mathématiques (base des statistiques inductives) et… au lieu de constater que j’avais mathématiquement raison (ou éventuellement trouver mon erreur mais tous les calculs informatiques prouvaient que j’avais raison), on m’a condamné comme insultant des grands hommes et tous les enseignants. CQFD, en un sens : l’école condamne intelligence et honnêteté intellectuelle, oui hélas. (Je n'affirme en rien qu'intelligence et honnêteté intellectuelle sont spécifiques du côté Islamisme, mais en tout cas la République Française et son école trahissent ces valeurs clairement).
--- Ajout 18/10/2020 : Exclu de la classe !
  Je lis ce jour une nouvelle MSN/LePoint effarante (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/cet-acte-horrible-est-la-derni%C3%A8re-chose-capable-de-faire-r%C3%A9agir-les-l%C3%A2ches/ar-BB1a8GmS?ocid=msedgdhp ) au sujet du prof d’histoire-géo décapité en région parisienne : « (…) 1/ professeure d'histoire-géo (…) militante laïque au tempérament affirmé, "les actes horribles sont la dernière chose capable de faire réagir les lâches". (…) Défenseure d'une application rigoureuse des principes de la laïcité notamment à l'école, elle dénonce la grande rigidification de la norme religieuse en cours et le rôle joué par les discours de victimisation portés par des associations en guerre contre l'universalisme. Interview d'une prof révoltée. (…) Est-il devenu impossible d'enseigner la laïcité au collège ou au lycée ? (…) Ce sujet me tient à cœur et je l'aborde avec exigence scientifique. (…) On relève les arguments, on débat, mais je veille surtout à ce que les élèves ne puissent pas choisir le point de vue qu'ils vont défendre. C'est comme cela qu'ils comprennent qu'une opinion n'est qu'une opinion. Elle peut les vexer, et alors ? Il faut être ferme. J'ai le souvenir d'un élève qui avait refusé de faire la minute de silence après les attentats de 2015. J'ai été claire : « Vous prenez votre table, vous la retournez contre le mur, vous ne faites désormais plus partie de cette classe. » Cet élève a fait cette minute de silence et ne se souvient même plus de cet épisode aujourd'hui. Son attitude dénotait un conflit de loyauté, il ne faisait que ce qu'il supposait que ses parents attendaient de lui. Cela lui aurait permis de se dire qu'il n'avait pas trahi ses parents. (…) Nous le constatons tous les jours, l'orthodoxie religieuse devient la norme et les accommodements ne sont en aucun cas une solution. Plus on sera sympas et accommandants, plus on encouragera l'orthodoxie. Encore une fois, il n'y a que la fermeté qui paye. (…) J'attends des propos forts, je n'en peux plus des « oui, mais ». On le constate, ce « mais » est un droit à tuer. (…) »
  Je ne suis pas d’accord :
- En matière de lâcheté, cette prof militante laïque me semble la première accusable : respectant le devoir de réserve, elle n’explique nullement à ses élèves que nos gouvernants sionistes (de gauche-centre-droite) sont alliés aux terroristes sionistes, meurtriers d’enfants à Der Yassin et autres, en toute impunité. Oh non, elle ne le dit pas, jamais : elle serait mise à pied, perdrait son salaire, serait (injustement mais presque unanimement) accusée d’antisémitisme atroce, alors chut… mais : qui est lâche dans cette affaire ? Et jamais elle ne dira que, puisque la laïcité organise le droit plein et entier d’adhérer aux religions, cette laïcité approuve l’extermination biblique des Cananéens pour fonder Israël, ce qui a été recommencé 3000 ans plus tard avec les Palestiniens et pleine approbation de nos gouvernants, en voie de déclarer criminel tout désaccord à ce sujet (projet législatif de classer l’antisionisme comme antisémite donc inadmissible punissable de droit commun). Cette prof vent debout contre l’islamisme, dernier refuge des antisionistes, est sur cette même ligne clairement. Elle est où la lâcheté, elle est où ? Enfin, autre explication certes (si elle ment totalement au sujet de l’universalisme) : elle défendrait ce point de vue, allié aux dominants d’ici, non par lâcheté mais par conviction cachée, haine spécifique approuvant les massacres d’Amérindiens et Palestiniens puisque non-juifs non-français… Horreur.
- Quant à la prétention de scientificité, c’est une idiotie, pour des sciences humaines à pouvoir prédictif nul, simple bla-bla a posteriori, avec chapelles diverses non départageables par expérience.
- Obliger les élèves à défendre un point de vue qui n’est pas le leur, pour montrer que tout n’est qu’opinion, me parait fautif, gravement. Ça donne l’illusion que le bla-bla artificiel seul gouverne le monde, qu’un mensonge efficace est bon puisqu’efficace, je trouve ça scandaleux. En matière mathématique notamment (mais chimique aussi), j’ai démonté des fraudes organisées à très grande échelle, et avec « tout n’est qu’opinion », les escrocs s’en tireraient tranquilles. Enfin, le conditionnel n’est pas juste : c’est ce qui se passe et ils éliminent les contradicteurs classés fous comme moi. Cette prof complice de ces pourris est une salope, voleuse de salaire et dangereuse pour ses élèves mal formés, comme pourris de l’intérieur s’ils avaient au départ une lueur de logique, d’honnêteté intellectuelle.
- Tout au contraire, n’ayant aucunement peur de la contradiction, elle refuse le label « opinion » à l’enfant d’avis « je ne suis pas Charlie » et le punit, l’exclut de la communauté scolaire obligatoire (jusqu’à ce qu’il craque sous la pression et se couche/baisse-son-froc, obéissant sous l’autorité)… Et elle en est fière, n’envisageant pas une seconde que c’est de la dictature totalement contraire du mot « liberté » qu’elle enseigne comme valeur première (et invoque sans doute à grands cris contre l’Islamisme, puisque c’est le principe « Je suis Charlie »).
- Bien sûr, elle veut de la force, de la fermeté, aucune compréhension envers les avis différents, c’est la dictature en marche, elle n’a simplement rien compris à l’intelligence, au débat, au pouvoir de conviction. Ecraser a sa préférence, salissant la profession d’enseignant, endoctrineur en fait (ici et maintenant, sans généraliser dans l’absolu).
- Personnellement, j’envisagerais le sujet religieux sous un angle immensément différent (anti-« laïcité alliée à toutes les religions ») : montrer que les religions du Livre sont esclavagistes et assassines pour désaccord d’opinion : non pas seulement l’Islam mais tout autant les religions israélite et chrétienne, expliquant hélas le monde d’aujourd’hui. Richesse colossale des massacreurs d’Amérindiens, réédition du massacre des Cananéens en Palestine avec interdiction d’être en désaccord… Oui, ça éveille l’intelligence, que n’a pas cette enseignante, spécifiquement anti-islamisme, inéquitablement, bêtement. Et révoltée bêtement oui, criant très fort bêtement. Heureusement, avec rébellion adolescente, ses élèves ne sont pas condamnés à être idiots… C’est là comme une autodestruction de l’école (de la légitimité scolaire), à mon avis. (Du moins si elle était représentative des enseignants, pas anormale excitée dangereuse en voie de reconversion loin des enfants).
--- Ajout 19/10/2020 : Nouveau sujet de réflexion, lié
  J’ai entendu à la télévision des questions rares, rendant envisageable le fait (révélé par des journalistes mais démenti officiellement) que la rectrice d’académie s’apprêtait à rappeler à l’ordre le professeur Samuel Paty avant qu’il soit exécuté :
- Un prof a-t-il le droit d’imposer à ses élèves de déclarer en public quelle est leur religion ?
- Un prof de 4e a-t-il le droit de montrer (imposer la vue) des images de nu à ses élèves ?
  Ces éléments légalistes m’intéressent peu, mais démentiraient que ce prof soit un pur héros de la république avec 100,00% de soutien des autorités françaises. La propagande semble réécrire l’histoire, simplement, comme d’habitude.

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195e objection (19/10/2020) : Ecrasé au nom de la lutte contre l'Islamisme
• Ce jour sur chaine C-News, en débat Morandini-Live (au sujet de l’enseignant français décapité par un Islamiste de 18 ans), un invité Musulman avait grand-peine à faire accepter son opinion que, pour lui comme pour des croyants sincères chrétiens ou israélites, Dieu est au-dessus de la République même s’il faut respecter les lois de la République. Les quatre personnes autour s’acharnaient, pour crier qu’obéir aux lois de la République, et seulement à elles exclusivement, est totalement obligatoire, non négociable, sans quoi il n’y a plu’ nation, il n’y a plu’ pays.
   N’était pas du tout présente mon opinion, qui aurait été insultée pareillement (ou pire) à grands cris :
- Je n’aime pas cette république, qui inclut des lois que je désapprouve (dogme Gayssot notamment, contre la liberté d’opinion là où ça déplait aux sionistes, et pour l’oubli/approbation du génocide amérindien ; auto-amnistie des politiciens corrompus ; droits du squatter supérieurs aux droits du propriétaire ; droits d'abus de pouvoir pour enseignants, juges, services d'adoption, etc.) et qui n’ont nullement été soumises à l’approbation de la population. Qu’elle les impose sous menace de police/« justice »/prison en fait une dictature (oligocratique) mal déguisée en démocratie libérale.
- Je n’aime pas le principe nationaliste xénophobe, et s’il n’y a plu’ de nation, plu’ de pays, je dis : tant mieux. C’est mon opinion, interdite de se présenter aux élections (par la constitution, avant même la loi ultérieure obligeant à être approuvé par 500 élus/dominants). Oui, dictature ici, c’est confirmé.
• Dans le débat suivant, de la même émission, une dame a clamé (sans aucune objection de personne) que l’Islamisme doit être déclaré criminel comme le négationnisme. Un autre débatteur a crié que l’islamisme est (horriblement) antisioniste propalestinien terroriste prêcheur de haine.
  Là encore, ça aboutirait à me classer criminel (moi antiraciste non-violent) sans droit de réponse*. Oui, nous sommes en dictature, médiatique en plus de légale.
* : Ma réponse détaillée est que je suis sceptique préférant le doute, ce que la dictature en place classe à tort négationnisme génocideur. Je désapprouve le sionisme car les USA ne sont pas équitablement rendus aussi aux Amérindiens (donc aucune logique historique n’est invocable, seulement un fanatisme judéo-chrétien ou racisme anti-goy – mais en criminalisant toute contestation ce n’est pas objet de débat honnête). Je désapprouve le crime contre l’humanité qu’a constitué l’invasion expulseuse de la Palestine britannique en 1948, et les dominants occidentaux qui sont approbateurs de ceci, faisant condamner ceux qui sont contre (condamner au nom de l’intérêt général, incompréhensiblement [menteusement semble-t-il], en se prétendant représentants des populations occidentales qu’ils donnent à tuer)…

--- Ajout 19/10/2020 : Objection majeure
  Aujourd’hui dans un débat télévisé sur chaine C-News, un commentateur du parti LR (au sujet du professeur français décapité par un islamiste il y a 3 jours) s’est exclamé, à propos de ceux qui hésitent à frapper très fort contre l’Islamisme coupable et ses complices : « La lâcheté, c’est le début de la responsabilité ».
  Euh, que répondre à ça ? Si je soupire et laisse faire ce qui me semble le mal (dominant, par exemple), suis-je lâche (non combattant) donc co-responsable de ce mal ? C’est effectivement ce que clament les activistes mobilisateurs, secouant les neutres pacifiques, mais je ne suis pas d’accord. En effet, cela s’appliquerait pour tout et n’importe quoi, de manière contradictoire, en étant débordé (si on s’engage) par des violents de ce camp. Donc non, je ne suis pas d’accord.
  Exemples :
- Dans la guerre froide Capitalistes/Communistes, les uns exploitaient mochement les travailleurs de peine, les autres martyrisaient mochement les dissidents, dire que les neutres au milieu sont co-responsables de ces deux horreurs ne me parait pas juste. (Et, né en pays capitaliste, je critiquais de l’intérieur le capitalisme sans approuver l’approche communiste).
- Dans la guerre larvée Occidentaux/Islamistes, les uns approuvent le racisme pro-juifo, les autres décapitent des incroyants, dire que les neutres au milieu sont co-responsables de ces deux horreurs ne me parait pas juste. (Et, né en pays sioniste, je peux essayer de critiquer de l’intérieur le sionisme sans approuver l’approche islamiste).
  Enfin, si les activistes veulent qualifier de « pitoyables merdeux » les non-engagés parlant sans agir, libre à eux, mais j’envisagerais des insultes similaires à leur encontre (sauf qu’ils ont le pouvoir et le monopole injuste de la condamnation judiciaire pour injure).

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Objections majeures (19/10/2020)
  Un débat sur chaine télévisée LCI (après décapitation islamiste de professeur français il y a 3 jours) m’a intéressé pour deux points, me bousculant un peu dans mes évidences tranquilles :
- Les Musulmans qui se sont plaints du professeur en question, et ont filmé leur colère, sont accusés d’être responsables de la mise à mort de ce professeur (par quelqu’un d’autre qu’ils ne connaissaient pas), la question portant sur eux étant « complices ou commanditaires ? ». Euh, je suis gêné : puisque j’explique pourquoi je n’aime pas les (racistes) juifos, serais-je classé complice ou commanditaire si quelqu’un m’entendant décide d’égorger trois juifos ? (sans aucunement que je l’ai suggéré)… Peut-être que la justice pourrie en jugerait ainsi mais à mon avis c’est très injuste. Si j’achète un petit gâteau et qu’il s’avère très mauvais, et que je conclus à haute voix après avoir vomi dans la rue « affreux, ce gâteau oh », et qu’un passant très frappé par mon dégoût va « donc » aller assassiner le pâtissier, oh non ce n’est pas ma faute à moi, pas d’accord. Le tueur porte l’entière responsabilité de cet acte de mort, avoir critiqué n’était en rien (automatiquement ou partiellement) un appel à tuer. (La différence d’analyse serait peut-être spécifique aux dégoûts énoncés au nom de l’Islam dont les textes sacrés appellent à tuer les mécréants, mais pareillement la religion judaïque appelle à tuer les non-Juifs possesseurs d’Israël, la religion chrétienne appelle à tuer les incroyants dans le dieu biblique – en tout cas moi sans religion du Livre, je ne serais pas condamné, si la justice était juste, ce qui n’est pas le cas, certes. Cette injustice dominante fait peur, mais ça ne s’appelle pas terrorisme, insulte réservée par les dominants à l’autre camp).
- Il est clamé avec relative unanimité : « scandaleux/absurde/idiot est l’amalgame entre dénoncer l’islamisme (en légitime défense) et faire preuve de haine islamophobe (jusqu’à massacrer des innocents, musulmans non islamistes, comme à Christchurch) ». Mais… jamais nulle part, ailleurs que dans mes écrits, je ne vois l’équivalent sur la judéophobie : « scandaleux/absurde/idiot est l’amalgame entre dénoncer le racisme juifo (en légitime défense) et faire preuve de haine antisémite (jusqu’à massacrer des innocents, juifas non juifos*, comme Hitler et certains terroristes) ». Oh non, le premier amalgame est dénoncé, hué, mais au contraire le second amalgame a force de loi en Occident – Occident à leaders/législateurs/journalistes/« intellectuels » simplement scandaleux/absurdes/idiots, ou malhonnêtes (en interdisant de le dire, classant cela aussi « antisémite », à tort toujours mais ça domine avec force de loi). Par ailleurs, j’ai entendu la commentatrice Laurence Sailliet (ancienne politicienne-chef LR) dire qu’il fallait interdire le mot islamophobie car on a entièrement le droit de détester l’islam et que c’est totalement différent de l’antisémitisme (inadmissible) qui est détestation des juifs et non de la religion judaïque ; j’en déduis une nouvelle fois que le concept d’antisémitisme (avec lequel on accuse quiconque déteste la religion judaïque ou le sionisme) est un amalgame très volontariste pour cacher des coupables (juifos) derrière des innocents (juifas non juifos, comme moi), et au lieu de l’interdire, c’est brandi comme menace de répression féroce, légale. Honte à ces commentateurs politiciens juifophiles, racistes actifs. Pire : les enseignants sont complices aussi, puisque leur cours sur la liberté d’expression doit expliquer (en fait : informer, faire gober avec soumission) que la liberté légalement autorise à cracher sur l’Islam mais interdit de cracher sur le judaïsme, le sionisme… Ça change presque tout sur le jugement quant à ce qui s’est passé. Enfin, le pauvre prof exécutant (zélé ?) ne méritait pas la peine de mort, mais son camp est atroce d’injustice active, oppressive, laveuse de cerveaux innocents.
* : je précise une nouvelle fois le principe de ma définition :


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Marianne ensanglantée (20 octobre 2020)
  Après la décapitation islamiste d’un professeur public français d’histoire-géographie, il y a 4 jours, une amie a mis sur Facebook un dessin de Marianne (symbolisant la république), la tête tranchée/affalée dans une mare de sang, avec les mots « Jusqu’à quand va-t-on se coucher ? ».
  Je réponds ici (pas sur le site gendarmé), dans une direction totalement imprévue par le dessinateur/questionneur :
- A mon avis, je vais me coucher toute ma vie, sous la menace, sinon j’aurais moi-même coupé la tête de cette République, salope, racketteuse armée faisant tuer ses contribuables pour ses abus à elle (même si ces personnes sont en désaccord avec ce qui est fait abusivement en leur nom).
- Quand j’étais enfant, j’étais brimé/martyrisé par mon grand frère, qui adorait me faire pleurer et faire de moi une victime d’injustice. Et je faisais quoi ? Ben, je me couchais, la domination par plus fort que soi semble hélas une loi du monde, bestial comme humain.
- On m’a appris à l’école le principe des « lumières », l’utopie que tous les petits faibles se mettent ensemble pour que cesse l’oppression par le fort, ce qui a finalement gagné en 1789, créant la république, dite admirable. Mais… les petits Chouans en désaccord avec les nouveaux détails ont été massacrés. Et puis il y a eu les mobilisations pour la guerre externe, sous peine de mort, ça a entièrement recommencé, l’oppression, sauf que ce n’était plu’ un roi héréditaire de droit divin qui écrasait les gens).
- Ça c’est ce qu’on m’a raconté, mais ce que j’ai vécu est différent, république pourrie différemment :
. En 1981, mes camarades de classe qui avaient déjà 18 ans, eux, ont voté Mitterrand qui promettait de diviser par 2 la durée de service militaire obligatoire (obligatoire sans nous demander notre avis, pour apprendre à se battre et se faire tuer sur ordre méprisant notre avis), et… ils ont été cocus, Mitterrand élu ne faisant nullement ce qu’il avait promis, les gens n’étaient pas contents mais la république lui donnait entièrement le pouvoir de leur dire merde. Enfin, il a été réélu après 7 ans, mais parce qu’entretemps, après 5 ans de plein pouvoir intouchable, les électeurs avaient viré son équipe, et comme les remplaçants s’avéraient aussi menteurs nuls oppresseurs, les virer à leur tour a réélu Mitterrand. (Le même phénomène est intervenu plus tard pour le président Chirac, sauf qu’il a supprimé le septennat et la réélection abusive est moins automatique). Les commentateurs poussaient des hourras en disant « c’est le jeu de la démocratie », et c’est faux : le peuple est privé du pouvoir (sauf tous les 5 ans), c’est la république pas la démocratie, gouvernent les faux représentants menteurs. Je n’étais pas d’accord, je ne me suis pas inscrit sur les listes électorales.
. De même, en 1981, Mitterrand a aboli la peine de mort contre l’avis populaire, mais il imposait ça dans le « paquet » : si on voulait virer la domination des bourgeois injustes et inefficaces (ou si on voulait le service militaire beaucoup moins long), il imposait de voter pour ça. C’est très moche, anti-démocratique, manœuvrier pourri. Avec un honnête référendum d’initiative populaire, façon suisse, cela aurait été cassé, le peuple ayant le pouvoir pour de vrai. Pas en République, non, république salope. Pareil pour les fonds secrets du gouvernement et le système monarchique de la 5e république gaullienne : les opposants avaient hurlé contre, mais une fois parvenus au pouvoir, ils n’ont nullement abrogé ces abus mais dit « c’est notre tour d’en profiter ». Et ce n’est même pas « mal foutu », c’est organisé sciemment pour le mensonge triomphant, pratiqué par tous les politiciens avec jubilation. Tous pourris oui, pas forcément pour leur propre poche mais pour la domination injuste de leurs copains sur la populace méprisée.
. De même plus tard, avec les lois El Khomri je crois, de gigantesques manifestations clamaient que la population n’était pas d’accord, et les gouvernants ont répondu comme la République les autorisait/encourageait : « allez vous faire foutre, on fait ce qu’on veut, on a le pouvoir ! ». République salope, oui.
. En 2014, le président Hollande a déclaré la guerre aux Islamistes, au nom de tous les Français et en se clamant représentant de leur volonté. Résultat, les Islamistes massacrent des Français (comme les Français de 1944 massacraient des Allemands par bombardements incendiaires, bébés compris voire bébés de préférence)… Je ne suis pas d’accord, et alors ? Les gouvernants (et députés) s’en fichent éperdument, ils font à leur guise, avec mon argent réquisitionné sous la menace fiscale/policière/judiciaire/carcérale.
. Pareil si je suis en désaccord avec l’armement nucléaire, illégal (disant merde au chapitre désarmement du Traité de non-prolifération nucléaire), si je suis en désaccord avec les frontières, xénophobes, si je suis en désaccord avec l’alliance gouvernementale avec USA-Israël (massacreurs/spolieurs racistes d’Amérindiens-Palestiniens) et avec les dominants juifos (persécution de la résistance prétendue antisémite par amalgame malhonnête), les gouvernants de la République n’ont en rigoureusement rien à foutre : ils font ce qu’ils veulent. Et ils endoctrinent les enfants à les approuver, notamment avec les cours d’ « instruction civique » dispensés par les profs d’histoire-géo. Et… moi je me couche, je laisse les forts, les pourris, dominer, armés (je dis mon désaccord, c’est tout).
- D’autres, différents, combattent cette république en mettant des bombes pour exploser les électeurs, coupant la tête de nos voyageurs à l’étranger ou nos profs d’histoire géo ici. Moi je trouve que cette hyperviolence est une autre mocheté, mais c’est une guerre du mal contre le mal. Et si la République me hurle après : « jusqu’à quand vous coucherez-vous devant nos ennemis ?! », je lui réponds : vas te faire foutre, salope, c’est une guerre du mal contre le mal, et tu m’interdis le bien, menacé de prison, alors ma décision est solide, que tu la condamnes prouve ta pourriture profonde. (Je précise : les Islamistes ne recrutent pas depuis mille ans avec la force du Coran ou quoi, mais avec le scandale total du martyr palestinien depuis 1948, or là notre république juifophile est effectivement en faute ultralourde, même si les décapitations en retour sont horribles excessives).

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196e objection (20/10/2020) : Est-ce que je change pour applaudir l’hommage à Samuel Paty ?
   Le Président de l’Assemblée Nationale, Richard Ferrand, a aujourd’hui tenu des propos marquants, au sujet du professeur décapité il y a 5 jours : « 1/ Il a été assassiné parce qu’il développait l’esprit critique de futurs citoyens. 2/ En S. Paty, c’est la France républicaine et humaniste qui a été lâchement, atrocement, agressée. 3/ La liberté de propager le savoir est sacrée. » Ce dernier point figure aussi presque mot pour mot dans un discours de l’opposant Jean-Luc Mélenchon, ajoutant (4/) que ce savoir transmis combat l’obscurantisme et la haine. Le premier ministre Jean Castex a lui dit (5/) que cela attaquait notre valeur la plus chère : la liberté.
   Ces mots sont grandioses, mais… non, je ne m’agenouille pas avec dévotion, je ne suis absolument pas d’accord :
1/ Il est faux que l’éducation publique développe l’esprit critique des enfants : ils sont tenus d’admirer qui on leur dit d’admirer, sans droit à objecter (un désaccord est classé « pas compris », écrasé en répétant la même chose différemment – préparation endoctrinant à ce que font les politiciens avec les adultes : « si vous n’êtes pas d’accord, c’est que nous n’avons pas assez expliqué, nous allons le redire encore mieux »). Et il faut réciter les leçons sans les contester. C’est une mutilation de l’intelligence critique. (Peut-être que les écoles islamistes font encore pire, mais l’éducation publique française, et l’université aussi, n’est pas du tout un modèle). Enfin, je parle de ce que j’ai connu en 1969-1984, qui a pu un peu évoluer mais je ne crois pas, car la loi a empiré, horriblement, punissant de prison l’esprit critique : le doute personnel sur la Shoah est classé criminel. En tout cas, si j’avais été élève de ce professeur, avec le nouveau cours sur la liberté d’expression, illustré par les caricatures de Charlie-Hebdo, j’aurais fait preuve d’esprit critique, dérangeant (ou cassant) tout : « Msieu’, pourquoi c’est magnifique de se moquer de l’Islam et interdit de se moquer du judaïsme raciste expulseur de sale race arabe en Israël ? avec soutien de nos gouvernants de gauche et droite, et persécution judiciaire du comique antisioniste Dieudonné osant s’exprimer ? ». Et s’il m’avait répondu professoralement que l’antisionisme est antisémite raciste, et coupablement allié à l’Islamisme osant mélanger religion et politique, j’aurais demandé : « pourquoi dit-on que l’islam politique est horrible scandaleux quand le judaïsme politique, qu’est le sionisme, est lui l’ami de nos gouvernants et législateurs, donnant leurs électeurs (non consultés) à tuer aux révoltés d’en face ? Pourquoi n’est-il pas considéré raciste (ou religieux fanatique) de rendre la Palestine aux Juifs 2000 ans après sans rendre les USA aux Amérindiens 300 ans après ? Pourquoi est-il légal de vénérer Jésus-Christ ayant professé que les non-Juifs sont des chiens ? Pourquoi la religion israélite n’est-elle pas classée intrinsèquement raciste puisque non-prosélyte n’invitant pas les Palestiniens mais imposée aux bébés de la race préférée de Dieu, descendante d’Abraham ? ». Oh non, cet esprit critique serait saqué sévèrement, la leçon consiste au contraire à savoir répéter que cracher sur l’Islam est bien, cracher sur le judaïsme est une honte atroce, c’est à apprendre par cœur et réciter, sous peine d’être saqué. Voire passage en conseil de discipline, et même signalement à la police pour le caractère immensément suspect de la famille ayant généré un tel élève, danger pour l’ordre républicain (sioniste)…
2/ Il est faux que la république française est humaniste : jusqu’en 1962, elle pratiquait l’indigénat en Algérie, classant en sous-hommes les Musulmans. Surtout, depuis 1948, elle est alliée à Israël, raciste pro-juive anti-arabe, alliée aux USA leaders du sionisme, selon la même logique raciste : rendre la Palestine aux Juifs mais surtout pas l’Amérique aux Amérindiens ! Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas Juifs ! Se dire humaniste dans ces conditions (inavouées, cachées, interdites de discussion, prétendue « antisémite »), c’est immensément lamentable, menteur pratiquant l’abus d’autorité. Et c’est tueur, pas seulement joueur politicien, les révoltés d’en face pouvant se faire justiciers massacreurs (comme les Alliés en 1941-45, dits héroïques chaque 8 Mai ici, ayant massacré les civils et enfants du camp malaimé).
3/ Les enseignants français, hors mathématiques pures et langues étrangères, ne transmettent pas du savoir mais de la croyance (concernant les sciences expérimentales, interdisant le scepticisme) ou du bla-bla (pour la littérature, la philosophie, les sciences humaines). Appeler cela « savoir » tient de la dictature, comme la récitation du Coran des ayatollahs ou du petit livre rouge de Mao. Nos politiciens n’y comprennent rien, étant scientistes ignares, inconscients que le scientisme a été invalidé par toutes les révisions d’anciennes lois crues à tort vraies.
4/ Il est faux que cette république combat la haine : elle pratique activement la haine du doute sceptique, puni de prison ! (car permettant de résister au faux-argumentaire sur lequel est bâti Israël en expulsant la majorité arabe). Par ailleurs, le sionisme officiel de nos dirigeants appuie la haine armée combattant les expulsés palestiniens voulant revenir (et ceux ayant fui les massacres terroristes par les colons réitérant le massacre des Cananéens, bébés inclus, avec approbation divine prétendue – c’est à cela qu’est alliée notre république « laïque », ça me choque immensément). Je connais mal le mot « obscurantisme » mais Larousse.fr dit que c’est : « Opposition à la diffusion de l'instruction, de la culture, au progrès des sciences, à la raison, en particulier dans le peuple. » Et cette république est elle-même férocement obscurantiste, combattant la raison : a) psychiatrisation des objections argumentées invalidant les sciences expérimentales ; b) condamnation de l’humanisme ne respectant pas la supériorité judaïque (ce manque de respect étant classé « antisémite »). Par ailleurs, je trouve la définition stupide, louant la culture façon française verbeuse auto-satisfaite, moi j’appelle ça divertissement, un peu nul pas grandiose.
5/ Il est faux que la liberté est une valeur essentielle pour cette république. La loi Gayssot persécute la liberté d’opinion, avec l’approbation stupide de la Cour Européenne des Droits de l’Homme autorisant les gouvernants à décider toutes les exceptions qu’ils jugent nécessaires (et Staline, Hitler, Khomeini aurait pareillement interdit le droit au doute pour les opposants à leur dictature). La loi contre le voile enfreint aussi la liberté d’habillement qui figure dans les Droits de l’Homme, mais avec complicité des journalistes et des faux intellectuels, personne d’audible ne le dit, alors ça ne vient pas à l’idée des moutons citoyens...
   Je répète que le sous-officier d’endoctrinement Paty ne méritait pas (selon moi) la peine de mort, mais les politiciens me semblent très coupables, ils feraient mieux de dire : « désolés, celui-là encore, on l’a fait tuer avec nos conneries en cachette attisant la révolte des arabo-musulmans palestinophiles ».

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A quel âge ? (21/10/2020)
  Récemment, les débats au sujet du professeur décapité ont dérivé à la télévision vers l’affirmation que l’Islamisme était depuis longtemps connu comme odieux puisqu’antisémite. Si cela avait été seulement argumenté par « antisioniste allié au Hamas donc antisémite », j’aurais pu objecter assez aisément à l’amalgame pratiqué malhonnêtement, mais un argument plus fort a été donné. Il y a presque dix ans, « le terroriste islamiste Mohammed Merah a tué des enfants juifs de 3 ans d’une balle dans la tête : c’est indubitablement une horreur raciste ! ». Mais euh, moi qu’est-ce que j’en pense ? Je classe « juifas non juifos » (innocents) les bébés juifs, mais un enfant de 3 ans, je le classe où ?...
  Pas facile. Je pense y voir plus clair (sans toucher au sacré ici, condamnant tout ce qui ressemble même de très très loin à de l’antisémitisme) en prenant l’exemple de l’apartheid. En Afrique du Sud 1970, la plupart des Africains du Sud blancs étaient apartheidiens oppresseurs racistes des Noirs locaux, mais ma logique aurait dit : attention il ne faut pas dire « tous les Africains du Sud blancs sont des racistes pourris », non, les bébés sont innocents, de même que quelques renégats anti-apartheid (en hôpital psychiatrique, ou en prison, ou écrivant plus ou moins en cachette leur désaccord). D’accord, donc haïr tous les Africains du Sud blancs était du racisme injuste (antiblanc), haïr spécifiquement les racistes (majoritaires) parmi eux était de l’antiracisme juste (haine politique, pas raciste), mais… un « terroriste » qui tue des enfants blancs africains du Sud de 3 ans (pas bébés) aurait-il été un monstre raciste ou un combattant politique excessif ? (Avant de hurler que tout meurtrier d’enfant est incontestablement un monstre atroce inexcusable pour quelle que raison que ce soit, ne pas oublier que la république française est alliée aux massacreurs de bébés à Hiroshima, et célèbre chaque 8 Mai les bombardiers massacreurs de bébés à Dresde, en plus de condamner comme antisémites ceux qui oseraient désapprouver les exécutions d'enfants cananéens ou palestiniens). Je pense que la réponse n’est pas univoque claire, non. J’envisage deux types d’enfants de 3 ans blancs africains du sud à l’époque. Le premier, A, adore répéter comme ses parents que les sales nègres sont des singes, à traiter en esclaves, en crachant dessus en prime ; le second, B, ne s’intéresse absolument pas à ces questions, seulement aux petites voitures ou poupées. A mon avis, B est totalement innocent et le tuer est un crime raciste ; le cas A est lui difficile. En un sens, A est victime de l’intoxication endoctrineuse parentale : il est horrible, mais il n’a vraisemblablement pas encore l’âge de comprendre, « ce n’est pas de sa faute à lui »… Mais quand A va grandir sans changer d’avis, il va devenir petit à petit un monstre, sans passage clair à la majorité légale (par exemple le jour des 18 ans dans certains cantons et le jour des 21 ans dans d’autres) ou à l’âge de raison (environ 7 ans selon certains psychologues, 12 ans selon d’autres, 16 ans peut-être décrété maintenant en hommage à Greta Thunberg).
  Bref, c’est un sujet difficile, et il parait abusif de trancher pour hurler au scandale raciste ou non dans un cas aussi flou. A mon avis. (Evidemment, les éventuels fanatiques des deux camps hurleraient contre cette indécision, clamée coupable selon telle loi et selon la loi contraire, mais ça me semble abusif. Si j’étais appelé à trancher en étant nommé juré contre mon gré, je demanderais à être dispensé de siéger, et si ça m’était dictatorialement imposé je me révolterais contre cette dictature. Enfin, je serais peut-être dispensé pour raison médicale psychiatrique, c’est comme ça que j’ai été dispensé du service militaire obligatoire, le psychiatre militaire me jugeant dangereux après que j’ai dit que « si on m’enferme à l’extérieur de ma tête, je vais me révolter contre la réalité », et effectivement, ne pas me mettre de mitraillette entre les mains a peut-être évité quinze morts moi compris…)

----- (ajout 21/10/2020)
  Sans surprise (hélas), la récente décapitation islamiste d’enseignant français est prise en France républicaine (juifo-dominée ?) pour prétexte à une répression sioniste (anti-antisioniste) : cf. nouvelle MSN https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/le-collectif-pro-palestinien-cheikh-yassine-sera-dissous-mercredi/ar-BB1adFrs?ocid=msedgdhp
  A qui profite le crime ? à Israël… (mais chut, il ne faut pas le dire, c’est classé complotiste, même si les débats ont reconnu qu’il fallait continuer et améliorer l’infiltration dans les milieux islamistes…).
  [Enfin, cette dissolution d’association propalestinienne en France ne changera pas grand-chose pour Israël directement, mais c’est simplement qu’elle aide à inculquer aux électeurs français la fausse assimilation antisioniste = monstre massacreur d’innocents, au lieu du rappel historique : sioniste = monstre massacreur d’innocents, victorieusement impuni étouffé, d’où révolte opposée massacrant des innocents aussi....]

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197e objection (21/10/2020) : Oui ou non au rejet argumenté des autres ?
  Sur Facebook, un ami a posté un dessin disant aux Islamistes (voire ultra-israélites ou ultra-chrétiens) « Ces dessins vous choquent ? Les infidèles vous frustrent ? Ça vous rend agressifs ??? --> Cassez-vous, vous serez bien plus heureux ailleurs !! Si possible sur une île déserte ou une montagne paumée, histoire de ne pas aller faire chier trop de monde ».
  J’ai répondu mon désaccord : Euh, et pourquoi alors, si ce qui se passe au Mali ne nous plait pas, ne reste-t-on pas chez nous au lieu d'aller faire la guerre là-bas ? (comme les US au Vietnam etc.) Si on se l'accorde, équitablement il faut l'accorder à autrui. [Le principe moral c'est] "Traites autrui comme tu voudrais être traité"...
  C’est aussi oublier que la laïcité française, et la Déclaration « Universelle » des Droits de l’Homme, approuvent les religions massacreuses des gens pensant différemment (Judaïsme, Christianisme, Islam), oui après le faux alibi « Tu ne tueras point », faisant exception le fait de tuer avec (prétendue) approbation divine… C’est là le cœur du problème, apparemment vu par personne, caché étouffé jusqu’à ce que ça pète. Et je n’en ai jamais été informé par les enseignants, participant à cacher le truc, je m'en suis aperçu après mes études en lisant les textes sacrés des 3 religions, avec effarement choqué.

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198e objection (21/10/2020) : Est-ce que je me trompe en oubliant de condamner ?
  Une amie répond de manière intéressante à mes écrits (sur l’assassinat islamiste de ce professeur français) [c’est moi qui numérote] : « 1/ Chacun ses opinions et ses croyances, ça ne devrait pas être un problème. 2/ Qu’on soit d’accord ou pas avec ce professeur, une chose est certaine, il ne méritait pas de mourir assassiné. 3/ Nous sommes dans un pays où même les pires meurtriers de subissent pas la peine de mort, malgré tout, certains assassinent sauvagement des profs ou d’autres personnes seulement parce qu’ils sont heurtés dans leurs croyances. 4/ Où va-t-on ?? 5/ Marianne symbolise la devise « liberté, égalité, fraternité » et je la trouve dramatiquement malmenée en ce moment. »
  Je réponds (merci pour ces objections) :
1/ Le droit de croire ou ne pas croire, c’est hélas faux en France depuis 1990. Le dogme Gayssot punit de 2 ans de prison et ruine le fait de ne pas croire comme cela est commandé (racistement qui plus est – élisant le génocide juif et méprisant le génocide amérindien, pour alliance avec USA et Israël). C’est un colossal problème, interdit de dénonciation (qui fait partie du crime prétendu).
2/ D’accord.
3/ Je n’ai jamais dit que cet assassinat était bien. Cependant, il faut bien noter que nos gouvernants (et leurs serviteurs fonctionnaires soumis au devoir de réserve) sont alliés aux USA massacreurs d’Amérindiens car pas chrétiens, alliés à Israël massacreur de Palestiniens car pas Juifs. C’est colossal comme injustice horrible. Et si on dit qu’il y a prescription pour l’envahissement tueur de l’Amérique, équitablement il n’y avait aucune raison de rendre Israël aux Juifs, sauf race supérieure affirmée racistement. Et la loi pour interdire l’opinion antisioniste (affirmé toujours être une haine antisémite) allait être votée quand tout a été interrompu par la crise covid19.
4/ En 2014, le Président Hollande a déclaré la guerre à l’Islamisme, sans être démenti par le président Macron qui lui a succédé et finance toujours (à crédit) ses armées combattant l’Islamisme à l’étranger. Or… c’est quoi la guerre ? (et ce n’est pas qu’on y va, on y est depuis 2014) : massacrer les innocents du camp en face (cf. Dresde, Hiroshima etc. célébré par notre république et nos enseignants). Paf, ça nous pète à la gueule, ce n’est pas incroyable, c’est très normal, il ne fallait pas déclarer la guerre si on voulait la paix tranquille. Il ne fallait pas s’allier à Israël expulseur terroriste (cf. livre israélien « le nettoyage ethnique de la Palestine ») si on ne voulait pas être touché par la colère en retour.
5/ Le slogan « liberté égalité fraternité » est un slogan ridiculisé par l’officiel démenti en pratique. La Liberté (d’opinion sans violence) a été tuée par la loi Gayssot. L’égalité est un mensonge depuis le début : en république, l’élu est privilégié et si le quidam ne se sent pas représenté, tant pis pour lui, qu’il ferme sa gueule et paie les impôts rackettés (il peut « manifester », en étant éventuellement éborgné c’est dit normal, et si les gouvernants décident de le mépriser/ignorer la loi les y encourage). La fraternité, enfin, est une horreur, avec le grand frère costaud cassant la gueule du petit frère innocent, c’est contraire de l’amitié.

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Résistant ou collabo ? (21 octobre 2020)
   J’ai entendu quelques phrases d’une interview de l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, parlant de l’enseignant décapité islamistement : « C’était un grand résistant (…) pour l’intelligence (...) ».
   Je désapprouve totalement cette décapitation mais je pense l’exact contraire : comme les autres professeurs (ou la plupart), cet homme était un petit officier endoctrineur, collabo de la dictature en place, contre l’intelligence critique, punie.
   En effet, il devait inculquer aux enfants que l’expression Charlie Hebdo c’est magnifique et l’expression antisioniste c’est abominable. Dans la guerre entre les envahisseurs terroristes israéliens et les résistants palestiniens (devenus islamistes après écroulement de l’URSS), il s’agissait de prendre parti arbitrairement pour les Israéliens. Et c’est contre l’intelligence, qui noterait comme scandaleux de ne pas rendre équitablement les USA aux Amérindiens si on a rendu la Palestine aux Juifs, qui noterait que la religion judaïque ne devrait pas être légale puisque le racisme est interdit (religion réservée aux bien-nés, embrigadés dès la naissance, et refusée aux Palestiniens, « sale race » ! comme les Cananéens exterminés autrefois dans les textes dits sacrés).
   Oui, les enseignants fonctionnaires sont par principe les valets de la république, et si celle-ci est dominée par les sionistes, il est « logique » qu’ils répandent ce message appelant chacun au sionisme (en crachant sur ses ennemis islamistes voire musulmans palestinophiles, voire athées humanistes ou agnostiques antiracistes). Mais c’est l’exact contraire de la résistance, l’exact contraire de l’intelligence (logique et morale – certes c’est différent si on définit l’intelligence sociale ou financière)…

Je ne suis pas Samuel (22/10/2020)
     Hier soir avait lieu le grand discours du Président Macron aux obsèques du professeur Samuel Paty décapité par un islamiste. Il ne disait rien de nouveau par rapport aux politiciens interviewés, agitant lui aussi les valeurs grandiloquentes liberté et intelligence. Simplement, il se trouve que lui, réputé très intelligent très bon élève, marié à une prof, se présentait comme l’incarnation admirable de l’intelligence et de la liberté, contre l'intolérance obscurantiste, que laissait transparaitre dès 2015 les refus d’élèves (musulmans), ici ou là, refusant d’obéir à la minute de silence « Je suis Charlie » imposée par le corps professoral. Et d’ailleurs, en tant que parents d’élèves, nous avons été joints par la principale du collège (public) où est scolarisé mon fils, disant qu’à la rentrée de la Toussaint serait commémoré ce drame (sans dire explicitement que « ce sera à nouveau une minute de silence, ʺJe suis Samuelʺ, maintenant exigée, les refuseurs étant des monstres en puissance, dont il conviendra une nouvelle fois de signaler les familles à la police pour enquête et sanction préventive ou/et fichage S du père »…).
     Je ne veux pas faire du tort à mon fils, et (je ne suis pas Islamiste ni musulman ni croyant ni arabe ni binational mais) je lui cache que je ne suis pas d’accord (il célébrera « Je suis Samuel » comme exigé dictatorialement par les autorités, sans que je lui ai dit que moi « je ne suis pas Samuel », on pourra en discuter un jour mais quand il aura un métier stable, je ne veux pas le faire persécuter comme j’ai été persécuté, classé « fou » pour honnêteté inadmissible dans le monde industriel menteur). Macron est un escroc ou un fanatique idiot (anti-intelligence), un dictateur en tout cas (anti-liberté). Ce qu’il aurait convenu qu’il dise, si la base était « pour de vrai » l’intelligence et la liberté, c’est que la république envoie ses profs au coupe-gorge, en les utilisant comme endoctrineurs pour le sionisme anti-arabe anti-musulman.
     Le parti de Macron préparait, avant la crise covid19, un projet de loi criminalisant l’antisionisme, le classant antisémite. Donc avoir l’honnêteté et intelligence de classer Der Yassin (le plus célèbre Oradour Israélien 1948) en crime contre l’humanité serait une pensée/opinion interdite. Au nom de l’intelligence et de la liberté ? Oh non, c’est l’exact contraire : la bêtise sur ordre, la soumission servile à l’autorité (« supérieure », juifo ou juifophile). Et la position professorale qui sera employée pour écrabouiller l’éventuelle rébellion enfantine (contre l’endoctrinement) va automatiquement se heurter à de grandes difficultés. Je ne parle pas des enfants de familles Islamistes ou même des enfants de famille musulmanes, mais des enfants intelligents épris de justice, de juste liberté d’opinion et de jugement. Je laisserai mon fils se faire écraser, il a des ambitions professionnelles et je ne veux pas lui nuire, mais si j’avais comme lui 11 ans maintenant, je serais viré du cours avec signalement de la famille à la police. Pour crime d’intelligence (QI 169) et d’honnêteté (logique, intellectuelle et morale), exerçant ma liberté de pensée (en fait interdite, en affirmant le contraire bien sûr, le mensonge blablateur rhétorique gouverne).
     Je n’aurais pas voulu que mes parents enseignants soient décapités, je ne veux pas que mon frère enseignant soit décapité, mais ils sont les petits officiers militairement astreints (avec devoir de réserve) à embrigader salement les jeunes pour une cause atroce, raciste (rendant Israël aux Juifs et surtout pas les USA aux Amérindiens). Pauvre Monsieur Samuel, victime des politiciens abominables, mais « je ne suis pas Samuel » : si j’avais été enseignant, moi aussi, j’aurais refusé de dispenser ce cours prétendant que cracher sur l’Islam c’est bien mais cracher sur le sionisme c’est abominable. (J’aurais été viré, ou/et classé « fou », ou/et muté en Enseignement à Distance loin des élèves). Enfin, mes parents retraités étaient effectivement comme Samuel Paty profs d’Histoire-Géo mais mon frère est enseignant d’éducation physique et sportive, il n’est vraisemblablement pas en première ligne pour cet endoctrinement (plutôt : quels gestes faire pour sauter en hauteur le plus possible, etc.). Bref, j’aurais été viré comme « mauvais prof », contraire de « héros de la cause », mais ce n’est pas la cause liberté-intelligence, au contraire cette cause est sionisme (fanatiquement religieux ou/et raciste) contre l’intelligence et la liberté. C’est le triomphe judéochrétien, Jésus-Christ ayant enseigné que les non-Juifs sont des chiens, et les athées sionistes Ben Gourion et Sylvie M n’en retenant que le racisme communautariste « non-prosélyte » (n’invitant pas du tout les Palestiniens même chrétiens).
     Je ne prétends en rien de rien que le héros dans cette affaire est le décapiteur, appelé pour ça au Paradis d’Allah, pas du tout. Simplement, je constate une vaste entreprise pour amalgamer l’intelligence critique avec des monstres. Dans la guerre actuelle, du mal (islamiste) contre le mal (sioniste), l’intelligence et la liberté sont ailleurs, prenant les coups des deux bords fanatisés. Euh, un agent double (Islamiste secrètement sioniste) va peut-être me faire assassiner islamistement, les deux camps s’en féliciteraient (secrètement pour le côté sioniste). Monsieur et Madame Macron vous êtes des nuls ou/et des menteurs.
     Autre éventualité : je serais mis en prison pour « apologie du terrorisme » (antisioniste), et bien sûr interdit de porter plainte contre les politiciens français pour « apologie du terrorisme » (sioniste). Enfin, ça ne me serait pas interdit mais eux accusés seraient déclarés pleinement innocents par la « Justice », et je serais condamné en plus pour dénonciation calomnieuse. C’est ça qui est pratique/« génial » quand on a le pouvoir (de la République antipopuliste, anti-peuple) : on écrase les honnêtes gens impunément, les ex-libres intelligents surtout. (Hélas).
     Enfin, théoriquement les juges sont indépendants du pouvoir, mais ils appliquent la loi et la loi est ouvertement sioniste pro-juive. La loi Gayssot, qui punit de deux ans de prison le scepticisme philosophique ou bouddhiste (« tout est illusion ») oblige à vénérer le drame du génocide juif (réparé entre autre par la recréation d’Israël) mais encourage à oublier/approuver le génocide amérindien, grâce auquel les USA maîtres du monde ont refait notre fortune (plan Marshal) et assuré la pureté d’Israël (veto contre les résolutions ONUsiennes exigeant le retour des expulsés et fuyards terrorisés). Et la loi contre le racisme et l’antisémitisme (pas « contre le racisme » quel qu’il soit) élit racistement la communauté juive et/ou israélite au-dessus des autres, conformément à la Torah et la Bible certes, racistes aussi mais interdit de le dire, ce serait classé antisémite... J’ai par ailleurs l’expérience et la preuve que des juges mentent ouvertement, impunément (d’après mon expérience du tribunal, pour adoption, 1 cas sur 1 soit « 100% » des cas…). La Justice est ailleurs, vraisemblablement pas en Etat Islamique ni en Chine mais sur la planète Mars peut-être.

***** Compléments hors rassemblement de multisite *****

(22/10/2020) Vraiment pas de « oui mais… » ?
     En relisant les textes ici rassemblés (ci-dessus), j’ai quelque chose à ajouter en réponse à la prof laïque militante en colère : Madame, puisque vous condamnez tous les "Oui mais" (car ce sont des autorisations de tuer !), êtes-vous d’accord pour condamner en tribunal Nuremberg-bis les auteurs des massacres (bébés inclus) à Dresde, Hiroshima, Der Yassin ? Donc Churchill, De Gaulle, Roosevelt, Ben Gourion, Begin, rejoindraient Hitler et Staline au musée des monstres atroces ?
     Je crains que là elle réponde « oui (ce n’était pas très bien) mais… (c’était la guerre) ». Argument faux, invalide, car le président Hollande (après le président Bush Jr) a déclaré la guerre à l’Islamisme, donc les tueries 2015-2020 seraient autant « excusables ».
     Là, l’argument majeur et définitif serait pour elle « oui mais j’ai raison parce que j’ai raison » (ou « parce que ma religion détient le Bien incontestable et si vous le déniez je vous pète la gueule »). Exactement ce qu'elle interdit aux Islamistes... J’appelle ça de la malhonnêteté intellectuelle, simplement, cette dame devrait être révoquée de son poste d’enseignante laïque (si elle n’était pas appuyée par son ministre et son président, partageant le même avis, malhonnête aussi, oui). Elle est où l’intelligence elle est où ? Et la liberté de les montrer en tort ?
     Non, stop, je vais me faire massacrer (par eux ou en face), moi, à oser être logique…

(22/10/2020) Collèges électoraux
    Quand je disais que la république française était une salope (= "le régime républicain français était un salaud", sans misogynie), traitant jusqu’en 1962 les Musulmans en sous-hommes, on pourrait me répondre « faux : c’était simplement un système équitable à 3 collèges partageant le pouvoir local (chrétiens, israélites, musulmans) » (le fait que les arabes musulmans majoritaires en nombre n’aient pas le pouvoir étant une complète coïncidence, involontaire). Et paf dans ma gueule ? Hum, donc, puisque ça enterre sciemment la loi démocratique 1 humain = 1 vote (pour préférer quelque chose comme "en valeur, 1 israélite = 10 chrétiens = 100 musulmans"), je pense que l’an prochain l’admirable République Française va remplacer le brouillon système universel n’importe comment par 3 collèges partageant un tiers du pouvoir chacun : Juifs ashkénazes, Juifs séfarades, goys (le fait que les goys majoritaires en nombre n’aient pas le pouvoir étant une complète coïncidence, involontaire). C’est idiot atroce injuste raciste ? Ben oui, c’est ce que je disais.

(22/10/2020) « Complicité par incitation/aide/compréhension/approbation » ?
    Ce jour est montré (sur C-News) un extrait télévisé où Pascal Bruckner (écrivain dit Wikipédia) accuse Rokhaya Diallo (journaliste antiraciste féministe, dit Wikipédia) d’avoir du sang sur les mains, ses condamnations à elle des caricatures de Mahomet avant l’attentat de Charlie-Hebdo ayant armé les tueurs. Elle n’était pas d’accord, et disait n’être responsable de la mort de personne, ayant seulement exercé sa liberté d’expression et de critique, sans convaincre l’accusateur.
    Personnellement, je suis d’accord avec elle : si A désapprouve B, ce n’est en rien un appel à tuer B. Si C tue B, c’est la responsabilité entière de C, pas de A.
    J’entends aussi que les enfants ayant répondu au tueur du professeur qui était Monsieur Paty dans la foule à la sortie du collège, contre de l’argent, sont passibles de 20 ans de prison pour complicité d’assassinat. Mais… s’ils n’étaient en rien informés que cette recherche avait pour but un assassinat, en quoi est-ce de la complicité ??? (Personne à la télévision n’envisageait mon objection). Si dans la rue, quelqu’un me demande où est l’avenue de la Poste, et que je lui indique, et finalement il s’y fait exploser en massacrant 30 enfants, et la caméra de surveillance indique que c’est moi qui l’ai dirigé, en quoi suis-je complice de ce massacre (que je n’envisageais en rien) ? Oui j’ai aidé mais sans du tout savoir à quoi, par simple potitesse. Me condamner dans un cas comme ça (complicité par aide avec aide involontaire), ne me semble pas de la justice mais de l’injustice à la recherche de bouc-émissaire, à punir sous les caméras à la place du tueur déjà mort.
    C’est effectivement différent si, après que C ait tué B, A dit « bravo C », oui cela est condamnable. Par contre, je suis en désaccord avec la condamnation (comme requise par le ministre Emmanuel Walls crois-je me souvenir) de A s’il a dit : « je condamne C mais je comprends que B, pas du tout innocent, l’a poussé à la haine ». C’est le principe « comprendre c’est approuver », je crois que le président Sarkozy disait ça sous la forme « l’intelligence est dans le camp du mal ». Je ne suis pas d’accord. Et ça ramène à la question du « Oui mais… ». L’Occident moderne désapprouve Dresde et Hiroshima mais les comprend : ça ne veut pas dire que l’Occident moderne a commis ces atrocités ou en est complice (s’il les condamne), donc comprendre (les enchainements causals ayant conduit à) une atrocité commise n’est pas de la complicité de cette atrocité, pas d’accord pour la prétendue complicité par compréhension. Enfin, en l’occurrence, ce n’est pas exactement la situation : moi qui n’étais pas né à l’époque je condamne ces atrocités et n’en suis donc en rien complice (même si je les comprends hélas), mais nos politiciens célébrant la "magnifique victoire" 1945 et saluant ses acteurs décorés, ces politiciens sont complices par approbation, à mon avis (autant que ceux saluant avec cris de joie la récente décapitation).
    L’autre injustice, c’est que ceux refusant la minute de silence « Je suis Charlie » ou « je suis Samuel » (les professeurs disent qu'ils doivent signaler officiellement ces cas) sont désignés comme approbateurs de ces atrocités, et c’est faux. Ces atrocités ont donné lieu à un déchainement des va-t-en-guerre qui appellent à la minute de silence obligatoire pour soumettre toute la population à leur combat. Or les rares comme moi qui répondent « non, c’est une guerre du mal contre le mal, je refuse d’obéir à un camp, coupable ici ou ailleurs », ceux-là sont à tort amalgamés avec l’autre camp. Persécution des neutres et non-violents, injustice (selon moi).
    J’entends aussi dire que ne pas pourchasser le cri Allah Akbar, c’est de l’islamo-gauchisme, en voie d’être officialisé comme criminel complice des tueurs. Moi aussi, ne me rangeant pas derrière les combattants contre cet islamo-gauchisme, je risque d’être accusé d’islamo-gauchisme moi-même. C’est faux : je n’aime pas l’Islam esclavagiste tueur pour délit d’opinion, SAUF QUE je désapprouve tout autant l’autre camp, judéo-chrétien, qui cache que Torah et Bible sont tout pareillement esclavagistes tueurs pour délit d’opinion. Je ne dis pas qu’il faut interdire ces 3 familles de religion, mais qu’il faut condamner leurs textes sacrés, à réécrire proprement pour promettre le Paradis (éventuellement cru) sans vénérer/approuver les horreurs (Déluge génocidaire, bombardement de Gomorrhe massacreur d'enfants, etc.). Elle était là depuis très longtemps, la très grave complicité par approbation, à mon avis. Oui, ça ruine la définition française de la laïcité et la "liberté de religion" selon les Droits de l'Homme dits universels, mais c'était idiot car les religions nazie et apartheidienne (Bible en remplaçant Juif par Aryen ou Blanc) méritent clairement condamnation. Il faut tout changer pour devenir juste, et je n'ai aucune chance d'être entendu, ça me parait clair.

(22/10/2020) Prochaine criminalisation de la contestation scolaire
    J’ai entendu (sur C-News) ce jour que nait de plus en plus solidement le projet d’interdire de contester ce qu’affirment les professeurs, le programme prévu de l’enseignement officiel – pour les élèves immatures comme pour les parents derrière. Tous les débatteurs approuvaient cela, ce rétablissement de l’autorité.
    Je ne suis pas d’accord. Ce serait de l’endoctrinement dictatorial, prétendant affirmer le vrai incontestable en mutilant l’intelligence critique, la logique-même quand les profs se trompent clairement (rarement, certes, en général).
    A mon avis, il faudrait que le programme soit ce qu’il est mais sans être présenté comme la Vérité incontestable et le Bien certain. Ce devrait être présenté comme information au sujet de théories présentement dominantes ici et maintenant, même si elles peuvent tout à fait être fausses (comme le Darwinisme enseigné en 1980 s’est avéré faux, la découverte de l’épigénétique donnant plutôt raison aussi à son concurrent Lamarck).
    Même pour la stupide usine à gaz de la langue française à l’école primaire, ça ne devrait pas être présenté comme un truc parfait à s’approprier avec émerveillement, mais comme un système bancal hélas à domestiquer pour pouvoir communiquer avec les anciens, mal formés aussi, au lieu que soit en service quelque chose de logique et simple.
    Bien sûr, je ne dirai toujours pas un mot de cela à mon fils : je ne le pousse pas à refuser l’école (d’où misère), il se soumettra comme je l’ai fait plus jeune (soumis aux dictateurs ayant le pouvoir écraseur), et je ne ferai que soupirer, en cachette. Enormes soupirs.
    Post Sciptum : j’oubliais un point, c’est que j’ai prouvé que la formule de l’écart-type estimé, enseignée dans tous les lycées, toutes les universités, par tous les enseignants, est fausse, mathématiquement fausse. Et alors, il deviendrait interdit de le prouver, oui c’est (en France au moins, avec cette interdiction à venir de contester l’enseignement se prétendant savoir) une dictature féroce, pire qu’islamiste, contre l’intelligence et l’honnêteté intellectuelle. Contre la raison (et tout est mensonge dans la clameur prétendue « pour la raison »). Affreux, et tuer (au Mali etc.) en ce nom-là ? C’est bien une guerre du mal contre le mal, dictature contre dictature.

(22/10/2020) « Sans lui, sans eux »
    Un argument nouveau a été exprimé aujourd’hui (informations de chaine TF1) : le père d’une élève et un imam l’appuyant encourent 40 ans de prison car sans eux (s’ils n’avaient pas exprimé sur Internet leur colère), ce professeur serait encore vivant !
    Je trouve ça effarant. Un ami de mes parents est mort par cancer du fumeur, donc si le buraliste du quartier et l’Etat ne lui avaient pas vendu de cigarettes, il serait encore vivant, et alors… paf, 40 ans de prison (pour le buraliste et le premier ministre responsable en chef hors président avec immunité légale) ? Pas du tout, c’est « faites ce que je dis, pas ce que je fais », ridicule parodie de justice. Mais dans le contexte de haine anti-islamiste cherchant bouc-émissaire, personne ne semble réfléchir équitablement, tous les gens ayant la parole (officielle et médiatique) foncent au combat, injuste peut-être mais « c’est la guerre ». Affligeant.
    Même sans impliquer l’Etat, il s’agit d’immenses évidences. Exemple : Monsieur X vend une voiture d’occasion à Madame Y, qui se tue au volant en rentrant chez elle. S’il ne lui avait pas vendu cette voiture, elle n’aurait pas été au volant ce jour-là sur ce trajet-là, donc serait encore vivante, pourquoi envoyer X en prison 40 ans au nom de cela ? Simplement absurde, s’il y a eu erreur de pilotage ou collision avec un tiers, ça n’est en rien l’accomplissement d’un projet de X.

(23/10/2020) Discours détaillé
    Une nouvelle MSN/LeMonde (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/samuel-paty-est-devenu-le-visage-de-la-r%C3%A9publique-l-int%C3%A9gralit%C3%A9-du-discours-d-emmanuel-macron/ar-BB1ahDds?ocid=msedgdhp ) m’a fourni le texte du discours du président Macron, rendant possible une réponse détaillée.
1/ (…) je n’aurai pas de mots pour évoquer la lutte contre l’islamisme politique, radical, qui mène jusqu’au terrorisme
--> Pourquoi ne combat-il pas pareillement le judaïsme politique, qui a mené jusqu’au terrorisme sioniste (vainqueur écrabouilleur en 1948), sionisme approuvé par les leaders de la république française, allant le jurer chaque année au diner communautariste du CRIF (lui n’étant nullement persécuté pour communautarisme, au contraire de l’équivalent musulman affirmé suspect de séparatisme).
2/ (…) je ne parlerai pas davantage de l’indispensable unité que toutes les Françaises et tous les Français ressentent. Elle est précieuse
--> C’est faux : je désapprouve la république française qui a envoyé ce prof au casse-pipe, chargé d’inculquer une leçon choquante (« il est bien de se moquer de l’islam, mais se moquer du sionisme est condamné », hein ? pourquoi ? taisez-vous, obéissez à l’autorité !).
3/ (…) assassiné parce qu’il avait décidé d’apprendre à ses élèves à devenir citoyens. Apprendre les devoirs pour les remplir. Apprendre les libertés pour les exercer. Ce soir, je veux vous parler de Samuel Paty.
--> Ce n’est pas admirable mais éminemment contestable, ce projet : il s’agissait d’inculquer à des innocents l’obéissance à des lois atroces contre la liberté d’opinion et contre l’antiracisme (classé antisémite là où il ne respecte pas la prétendue supériorité juifo).
4/ (…) Samuel Paty aimait les livres, le savoir (…) la passion de la connaissance, le goût de la liberté.
--> Aimer les livres, c’est ignorer l’arbitraire des éditeurs, fonctionnant par piston (juifophile ou familial, etc.) et refusant les innovations dérangeantes. Aimer le savoir, c’est ne pas comprendre que c’est en général une croyance dominante qui s’auto-désigne abusivement comme savoir incontestable/connaissance indubitable (en fait : en voie d’être prouvé erroné, remplacé par moins faux). Aimer la liberté c’est se révolter contre la loi française, interdisant la philosophie et le bouddhisme là où ils ne se soumettent pas au dogme pour l’Israël moderne. Ou bien ce professeur n’était pas informé (faute professionnelle) ou bien il était bête, ou raciste, il y a plusieurs éventualités mais aucune n’est admirable.
5/ (…) Aussi ne pouvait-on trouver meilleur endroit que la Sorbonne, notre lieu de savoir universel depuis plus de huit siècles, le lieu de l’humanisme
--> Le savoir français n’est pas universel mais un savoir comme un autre, il y a le savoir coranique, le savoir maoïste, le savoir vaudou, etc. Seule l’intolérance xénophobe nous prétend magnifiques respectant l’humanité entière. Et puis la république française qui s’admire en la Sorbonne n’est pas du tout humaniste mais alliée à USA et Israël, donc raciste anti-amérindienne et anti-palestinienne (en condamnant comme indignes les nés-français en désaccord).
6/ pour que la nation puisse lui rendre cet hommage.
--> Si la nation c’est lui parce que chef, c’est puant d’arrogance narcissique, de fausse supériorité royale incarnant le tout (sous menace armée en cas de désaccord, pas forcément tueuse mais éborgneuse LBD). Si c’est tous les Français sans exception, c’est faux : je condamne le décapiteur de ce professeur comme le violeur-tueur de telle petite fille, ça n’a rien à voir avec un hommage classant héros/héroïne la victime d’injustice. Définition de « hommage » selon Larousse.fr : « saluer avec respect, proclamer hautement leur valeur, leur mérite, les reconnaître avec gratitude ou estime. » Euh, ben non, la petite fille n’acquiert pas une immense valeur « parce que » elle a été violée et tuée, pareil pour le professeur « parce que » il a été décapité. Ça me semble de la confusion mentale. Dire « la pauvre »/ « le pauvre » (victime) n’implique en rien : « elle/il était très admirable, donc ». Il est où l’hommage de la nation française aux civils de Dresde massacrés en 1944 ? il est où ? Non, c’est de la propagande injuste, à visée politique, c’est récupérer ce drame (la décapitation de Conflans Sainte Honorine) et s’en féliciter pour propagander (« les admirables contre les affreux »), c’est moche, salissant.
7/ (…) Samuel Paty était de ceux-là (…) passer des nuits à apprendre l’histoire des religions pour mieux comprendre ses élèves, leurs croyances.
--> Comment « comprendre » les religions esclavagistes massacreuses d’innocents (judaïsme, christianisme, Islam, etc.) ? Comment comprendre les élèves juifos criant sans cesse être victimes de racisme et se classant eux-mêmes comme race supérieure (principe raciste copié par les Ariens nazis et les Blancs apartheidiens) ? Et avec approbation puisque c’est le principe de la laïcité à la française… (avec lequel je ne suis pas d’accord – sauf avec réécriture future éventuelle de textes sacrés expurgés des horreurs – ce qui est impossible car déniant la légitimité d’Israël donc classé antisémite, à tort mais c’est comme ça compte tenu des dominations en place).
8/ (…) De ces humbles qui se remettaient mille fois en question, comme pour ce cours sur la liberté d’expression et la liberté de conscience
--> S’il s’était remis en question, il n’aurait pas pu faire cours prétendant inculquer quelque chose, il aurait démissionné de la fonction professorale pour un sujet comme ça, où la consigne est d’imposer la pratique officielle française, combattant l’antisionisme et l’antiracisme (ne respectant pas la supériorité judaïque) pour ne vénérer que ceux crachant sur l’Islamisme ennemi d’Israël (depuis que l’URSS a disparu et que les Palestiniens ont trouvé cet autre camp se mettant de leur côté).
9/ (…) et des doutes qu’il partageait par exigence, par délicatesse.
--> Je n’y crois pas : professer est le contraire de douter. Noter sévèrement l’élève rebelle n’est pas délicat. Avec doutes et délicatesses, on ne devient pas professeur professionnel (de grand groupe en classe publique – c’est peut-être différent pour cours particuliers privés, avec infinies explications au rebelle éventuel pour le convaincre posément, s’il a tort).
10/ Samuel Paty incarnait (…) lettre aux instituteurs (…) Celui qui s’était donné pour tâche de « faire des républicains ».
--> Endoctriner à approuver la république (anti-démocratique en interdisant le référendum d’initiative populaire et payant des fortunes aux sénateurs élus comme copains des dominants sans consulter le peuple), c’est très moche, pas grandiose. Ça ne méritait pas du tout peine de mort, mais Macron est là en train de salir l’innocence du tué, c’est moche, mochement calculateur pour servir la cause macronienne/républicaine. Si j’étais devenu prof, ç’aurait été pour le confort de l’emploi à vie tranquille, pas du tout par conviction républicaine antipopuliste, anti-peuple.
11/ (…) Pour faire un républicain, écrivait-il, il faut prendre l’être humain (…) lui donner l’idée qu’il faut penser par lui-même, qu’il ne doit ni foi ni obéissance à personne, que c’est à lui de chercher la vérité et non pas à la recevoir toute faite d’un maître, d’un directeur, d’un chef, quel qu’il soit. » « Faire des républicains », c’était le combat de Samuel Paty.
--> C’est contradictoire : si tel était le but visé, pourquoi devenir maître professionnel dressant les humains en imposant le dire officiel avec contrôle de connaissance et désapprobation sévère si résistance ? Il n’est plu’ là pour s’expliquer, alors le dire ainsi menteur est très moche, surtout dans un prétendu hommage. Plus généralement, il est faux qu’être républicain (à la française, pas suisse) c’est ne devoir obéissance à personne, au contraire c’est devoir obéissance à l’élu (qui peut faire ce qu’il veut en disant merde aux électeurs) pendant la durée de son mandat (durée prédéfinie, interdite de contestation).
12/ (…) Ici, en France, nous aimons notre nation (…) et son histoire, sa culture (…). Et nous voulons l’enseigner à tous nos enfants.
--> C’est faux : Macron parle de lui-même et quelques autres, mais absolument pas de moi, qui ai honte de cette histoire massacreuse colonisatrice esclavagiste anti-liberté d’indépendance (enfin, je préférerais un monde uni sans frontière mais tout étant fondé sur des dominations, je comprends le souhait d’échapper à une domination , ce qui conduit au souhait d’indépendance vis-à-vis d’un centre commandeur), etc. Et la prétendue culture, je la trouve majoritairement moche, une infime partie de ce qui se prétend art me plait, et me déplait le racket fiscal exercé par le pouvoir républicain pour payer sa culture (prétendues œuvres d’art en propriété publique, théâtres et opéras subventionnés, statut très avantageur des intermittents du spectacle depuis Jack Lang, etc.).
13/ (…) dans chaque école, dans chaque collège, dans chaque lycée, nous redonnerons aux professeurs le pouvoir de « faire des républicains », la place et l’autorité qui leur reviennent.
--> Affreux : c’est un plan d’endoctrinement, avec les profs comme petits officiers endoctrineurs sévères. Ça salit encore une fois la mémoire de cette victime. Pire : c’est faire de ce civil innocent comme un militaire commandeur, presque « normalement » tué par le camp ennemi (à qui la République a déclaré la guerre, via le Président Hollande en 2014, avec confirmation encore actuelle par l’armée macronienne au Mali, en Syrie, Afghanistan etc.).
14/ (…) il ne faisait qu’enseigner. Il n’était pas l’ennemi de la religion dont ils se servent, il avait lu le Coran, il respectait ses élèves, quelles que soient leurs croyances, il s’intéressait à la civilisation musulmane.
--> C’est contradictoire avec le fait de féliciter les insultes envers l’Islam et l’interdiction de critiquer les bourreaux des musulmans palestiniens (ce qui était l’objet de ce cours, bénissant Charlie Hebdo islamo-critique et condamnant Dieudonné faisant pareil vis-à-vis du sionisme). Et puis… ne pas être ennemi des religions du Livre, c’est approuver l’esclavage, le génocide, etc. Moi ça me choque fort (le principe de laïcité à la française, approuvant toutes les religions, sans soumettre leur contenu vénéré à la loi pour tous).
15/ (…) Samuel Paty fut tué (…) Parce qu’il incarnait la République (…), la liberté qui se transmet et se perpétue à l’école.
--> Mensonge encore : l’école moderne apprend la préférence judaïque interdite de contestation (loi Gayssot méprisant les Amérindiens génocidés), l’écrasement républicain méprisant la population (cf. trahison du référendum sur l’Europe, par les dominants). Si cette victime était un brave homme, il devait être torturé de devoir transmettre ces horreurs, prétendre qu’il en était enthousiaste est l’insulter à mon avis.
16/ (…) Samuel Paty fut tué parce que les islamistes (…) avec des héros tranquilles tels que lui (…) Eux séparent les fidèles, des mécréants.
--> La République sépare les compatriotes des étrangers (indépendamment des mérites individuels), principe xénophobe antihumaniste, ce n’est guère mieux. Et même parmi les Français, en matière de croyance, la moderne République Française sépare les croyants en la Shoah (Juifs éternelles victimes, goys éternels coupables devant se coucher sous la domination juifo en jurant soutien à Israël) et les incroyants en la Shoah (condamnés, en prison déjà ou bientôt). Oui, prison pour délit d’incroyance, c’est très semblable à l’islamisme, et Macron associe le pauvre mort à la « gloire » de cette politique, cet endoctrinement des jeunes esprits innocents, quelle horreur…
17/ (…) Eux cultivent la haine de l’autre.
--> La république française cultive la haine de l’individu à opinion sceptique, puni de prison et ruine par la loi Gayssot (et bordées d’injures à la télévision, comme par Gérard Miller l’autre jour, non poursuivables puisqu’approuvées par le pouvoir, par la loi, celle-ci ayant été rédigée sans consulter le peuple en débat contradictoire puis référendum, non le principe de la république c'est que les faux représentants font à leur guise, ou au service de leur communauté préférée, juifo bien sûr sinon ce serait classé "antisémite"...).
18/ (…) Lui voulait sans cesse (…) découvrir les richesses de l’altérité.
--> Ce n’est pas crédible, s’il estimait riche la palestinophilie, il aurait été révoqué pour (prétendu) antisémitisme. Il y a certes l’altérité de variantes dans l’obéissance, mais la contestation de la loi (même injuste) est interdite.
19/ (…) Samuel Paty fut la victime de la conspiration funeste de la bêtise, du mensonge, de l’amalgame, de la haine de l’autre, de la haine de ce que, profondément, existentiellement, nous sommes.
--> Emmanuel Macron se présente là comme supérieur en bêtise, en mensonge, en amalgame, en haine de l’autre, et il prétend que nous sommes tous pareil pour nous faire tuer à sa place, oui c’est le problème, auquel il n’a rien compris ou qu’il retourne par bla-bla méprisant l’auditeur jugé crédule. Et en parlant d'existentialisme, Macron se la joue "intellectuel", au lieu de réfléchir avec honnêteté, c'est puant de fausse supériorité.
20/ (…) Samuel Paty est devenu vendredi le visage de la République, de notre volonté de briser les terroristes, de réduire les islamistes,
--> Faux : la République Française est alliée du terrorisme sioniste ayant refondé Israël, ennemie des résistants qui se sont tournés vers l’Islamisme en dernier recours (le principe kamikaze/islamikaze permettant aux faibles de contester l’écrasement total par les forts brutaux). Ce n’est pas que j’approuve les attentats, mais à mon sens c’est une guerre de leur mal secondaire contre « notre » mal primaire (je ne dis pas « nous moi compris » mais « nous soumis à des pourris parlant à tort en notre nom »).
21/ de vivre comme une communauté de citoyens libres dans notre pays (…) Nous défendrons la liberté que vous enseigniez si bien
--> Faux mensonger : l’école moderne a pour fonction d’inculquer l’obéissance à la loi, dont la loi Gayssot pro-juive interdisant la liberté de pensée sans violence, interdisant de choquer la communauté judaïque, seule la communauté musulmane étant à choquer autant que possible (pour qu'elle pète les plombs et devienne violente, d'où regain de support occidental à Israël contre les Palestiniens et leur Hamas, c'est précisément ce qui se passe, il était là le sujet, caché, mal).
22/ et nous porterons haut la laïcité.
--> La laïcité n’est pas une haute valeur mais une atrocité, alliée aux religions esclavagistes massacreuses pour délit d’opinion. Ce Macron (comme les autres) est vraiment un abruti, et un sale type salissant la mémoire d’un massacré.
23/ (…) Nous offrirons toutes les chances que la République doit à toute sa jeunesse sans discrimination aucune.
--> Faux : la loi française discrimine, puisque l’antisémitisme/judéophobie est un caractère aggravant aux crimes quand l’islamophobie ne l’est pas. Certes, la judéophobie est seule à être un racisme mais parce que la religion judaïque est raciste, racisme autorisé dans ce cas mais interdit aux autres, c’est de la discrimination active. Pas nouvelle certes.
24/ (…) Nous aimerons de toutes nos forces le débat, les arguments raisonnables, les persuasions aimables.
--> Faux : bien des débats (sur le sionisme expulseur par exemple) sont interdits, pour prétendu antisémitisme. Les arguments contre le dogme réaliste (anti-scepticisme) ne sont pas aimés par les dominants mais psychiatrisés, cassés par médicaments ou internement comme, ailleurs, pour les dissidents d’URSS. Et les incroyants en la Shoah ne sont pas abordés par tentative de persuasion aimable mais incarcérés par la force armée, arrête de mentir Macron (certes comme Hollande, Sarkozy, Chirac, Mitterrand, ce n’est ni personnel ni nouveau, quoique ce discours auto-admiratif pousse le bouchon particulièrement loin).
25/ Nous aimerons la science et ses controverses.
--> C’est un abus : je n’aime pas la science, et pourquoi serais-je tenu à ravaler ma réfutation de ses principes et pratiques ? Une fois de plus, le « nous » est abusif s’il prétend m’inclure (de force ?).
26/ Comme vous, nous cultiverons la tolérance.
--> C’est un mensonge : il n’y a absolument aucun projet d’abroger la loi Gayssot qui menace de prison les opinions sceptiques. Pire : la loi LaREM en préparation (avant l’interruption covid19) allait criminaliser l’antisionisme prétendu toujours antisémite – idiotie profonde, ignorant entre autres choses que Dieudonné a donné la parole aux minoritaires rabbins étasuniens ultra-orthodoxes condamnant Israël (recréé sans attendre le Messie) et demandant immense pardon au peuple palestinien spolié injustement. Condamner Dieudonné et tous ceux qui contestent le sionisme n'est pas de la tolérance, mais une stratégie quasi islamiste quoique pour une autre chapelle.
27/ (…) Nous apprendrons l’humour, la distance.
--> Faux, les condamnations de Dieudonné l’humoriste antisioniste prouvent que le dogme interdit le rire choquant les dominants (juifos).
28/ Nous rappellerons que nos libertés ne tiennent que par la fin de la haine et de la violence, par le respect de l’autre.
--> Faux, la liberté de pensée sans violence a été assassinée par la loi Gayssot, haïssant les sceptiques, avec violence carcérale. Et la France, qui rejette les étrangers sans papiers au lieu de les respecter comme êtres humains, est aussi alliée à la violence inéquitable d’Israël tirant (pour tuer) sur les Palestiniens expulsés revenant en coupant les barbelés, pas respectés car pas juifs ! Tais-toi Macron, ce bla-bla menteur (prenant les auditeurs pour des idiots profonds) est insupportable…
29/ (…) tout au long de leur vie, les centaines de jeunes gens que vous avez formés exerceront cet esprit critique que vous leur avez appris.
--> Faux : s’ils feront preuve d’esprit critique pour de vrai, ils seront mis en prison pour antisionisme. Donc ce qui a été appris sans viser cela n’est pas l’esprit critique mais l’esprit de soumission aux dominants (professeur d’abord, faux représentants ensuite, juifos discrètement derrière via serment de soumission annuel des gouvernants au diner du CRIF).
30/ (…) A leur tour, ils feront aimer la République. Ils feront comprendre notre nation, nos valeurs, notre Europe
--> Faux : l’école ne m’a en rien fait aimer la République (antipopuliste donc anti-peuple), ni la nation (xénophobe), ni les valeurs dominantes en France (antiamérindiennes, antipalestiniennes), ni l’Europe (xénophobe anti-ʺnon-Europeʺ donc antihumaniste).
31/ (…) Nous continuerons, oui, ce combat pour la liberté et pour la raison (…)
--> Mensonge : les autorités ici combattent ici la liberté (loi Gayssot) et la raison (dictature scientiste et psychiatrique, inéquité de traitement des cas Palestine/USA si on invoque réparation historique sans avouer de fanatisme religieux judéochrétien ou racisme anti-goy, les tueurs conquérants d'Amérique s'étant dits nouveaux Juifs de Dieu, "nouvelles tribus d'Israël"...).
32/ (…) parce qu’en France, professeur, les Lumières ne s’éteignent jamais. (…)
--> Faux : l’une de ces prétendues lumières est Voltaire, qui serait en prison (pour antisémitisme) s’il vivait aujourd’hui. Il est donc mort et enterré, pour ne conserver qu’un mot pioché ici ou là, en cachant le reste, éteint…
    Bilan : si en rêve j’étais membre de la famille Paty, je porterais plainte contre le président pour avoir sali la mémoire de la victime, avec moche récupération pour la guerre et la poursuite de l’endoctrinement des jeunes au combat sioniste (ce qui révulse évidemment les enfants arabo-musulmans ou humanistes, mais le Président refuse de le comprendre).

(24/10/2020 en voyage, tapé le 25) En repensant au président
- Finalement, puisque l’extrême-droite, la droite, la gauche, l’extrême-gauche, se rangent derrière Macron (au sujet de ce drame décapiteur), je m’avère constituer comme la seule vraie opposition, c’est vertigineux… (Enfin, peut-être avec Dieudonné, que je connais mal, s’il n’est pas en prison – et j’ai entendu dire qu’il était allé chercher soutien financier en Iran chez les Islamistes, ce n’est pas du tout ma position).
- Ce n’est pas du tout que suis « pro-Islamiste (anti-Macron) », je suis « anti-Macron principalement, anti-islamiste secondairement ». Il faut l’expliquer, car ça peut surprendre ou choquer. J’estime que dans la guerre Occident-Islamisme, la faute première incombe aux Sionistes, camp de Macron (et gauche et droite françaises), l’autre côté (maintenant Islamiste) me semble un Mal induit, secondaire. Le mieux serait de réparer la faute première, pas de l’absoudre/négationner pour combattre la seconde prétendue seule fautive. Certes, c’est tout le contraire de la propagande ici, qui appelle à combattre au nom du Bien pur affrontant le Mal totalement injustifiable (et qu’il est interdit d’expliquer…).
- Quand dans mon texte critiquant le discours présidentiel, je disais avec irritation « Macron tais-toi », c’était un peu mal dit, désolé. Le sens n’était absolument pas « Moi dominant je t’interdis la liberté d’expression ! » mais tout au contraire : « Stop, ne rajoute pas une 50e couche similaire à ton discours partisan unilatéral, tu ferais mieux de t’interrompre et donner la parole aux objections logiques ou/et morales, très évidentes mais étouffées injustement ».
- Si on me répond que le président est quand même L’Elu, représentant l’ensemble de la population ici, je réponds que je ne suis pas d’accord avec ce principe (= République, et pas démocratie à la suisse). L’élection à 2 tours revient à dire au 2e tour : « Qui choisissez-vous entre le mal et le pire ? L’élu dira qu’il représente votre volonté même si vous n’êtes pas d’accord, il s’en foutra éperdument. » Quant au 1er tour, le sens est : « Qui préférez-vous parmi ces riches [pouvant se payer campagne électorale] autorisés par le pouvoir en place (constitution + 500 dominants) ? ». Bien sûr que je vote Blanc + Blanc chaque fois, et ce président s’en fout. Sauf peut-être pour me sermonner quant à mon manque de « civisme » = soumission à l’arnaque en place… Et il ment quand il dit me représenter. Enfin, plus exactement : ses copains ont écrit des lois l’autorisant à le prétendre, même si c’est faux, abusif, abus de pouvoir. Avec référendum d’initiative populaire, il lui faudrait au moins 50% d’avis favorables (sur chaque chose importante), c’est pour ça que c’est interdit : ça bloquerait tout à la domination en œuvre…
- Parallèle imaginaire : en 1955, dans le Sud des USA encore dirigé par des partisans du retour à l’esclavage négrier, un extrémiste afro-américain décapite un professeur blanc ! en appelant (avant d’être abattu) au règne du Roi Noir qui soumettra le monde entier et les « sales blancs » ! Quelle horreur ! Euh, une question simplement : qu’est-ce qu’enseignait ce professeur ? La réponse est enthousiaste, claironnant que la leçon en question était « il est excellent (bel et bon et juste) de tourner en ridicule l’humanisme, l’insulter et se moquer de ses partisans : c’est une exigence de la liberté, notre valeur la plus précieuse ! » Euh… mais en posant une question un peu hors-sujet, pardon, il s’avère que le volet 2 de cette leçon était : « il est inadmissible de critiquer l’apartheid, s’en moquer ou tourner en ridicule ses partisans, cela étant classé abominable racisme antiblanc génocidaire ». Avoir caché la partie 2 ne semble pas innocent quand la première mesure officielle, en réponse à cet attentat suicidaire horrible, a consisté à dissoudre les dernières associations d’aide aux victimes de l’apartheid... Être choqué par cela, dire que la faute première est l’apartheid, me parait logique et juste, ce n’est pas du tout approuver la décapitation commise (sur petit soldat de ce camp), c’est souhaiter condamner les premiers fauteurs de haine, pas seulement les seconds.

(25/10/2020 en voyage, tapé au retour) Cauchemar mais pas n’importe quoi
     J’ai rêvé cette nuit, vraiment (j’allume pour l’écrire sur un bloc-notes), que je devais prendre l’avion avec ma femme pour aller dans son pays, les Philippines (alors que je suis en voyage dans les Alpes françaises) ; entre l’aérogare et l’avion Boeing 777, parqué un peu loin, un bus jaune nous transportait, pas de problème ; mais le bus a stoppé au milieu de rien, une sorte de terrain de foot goudronné un peu violacé, on nous a dit de descendre sans les valises, puis un militaire en uniforme a clamé « Suite au drame de Conflans Sainte Honorine, le Président de la République exige que chacun marque une minute de silence au garde à vous, en s’engageant à servir la France dans son combat contre l’Islamisme ! ». Alors moi, hostile au sionisme des anti-islamistes modernes (tous ou presque tous ?), je partais, m’enfuyais. Mon épouse m’a demandé où j’allais, et j’ai répondu que j’allais chercher des toilettes car j’avais un soudain grand-mal au ventre (mensonge mais n’attirant pas sur elle de foudres)… Et il était clair que je serais signalé, peut-être emprisonné sans procès, sans discussion. Puisqu’on me classerait Islamiste dangereux, inaudible. Au nom de la liberté et de la justice…
     Enfin, c’est un cauchemar, mais il me parait plausible, après le signalement des familles d’enfants ayant refusé d’obéir au commandement de marquer la minute de silence « Charlie Hebdo ».
     Euh, il ne serait pas totalement scandaleux d’appeler à cette minute de silence au nom de la liberté si :
1/ il y avait une minute de silence pour les enfants massacrés à Der Yassin, tués car pas-juifs (avec pleine approbation des leaders Occidentaux).
2/ Dieudonné ou un autre comique antisioniste serait officiellement félicité, voire subventionné comme artiste plaisant aux banlieues arabes de France.
     Mais non, pas du tout, la minute de silence « Je suis Samuel » est un appel à la guerre sioniste, de la part des dominants (juifos et juifophiles) avec complicité de leurs innombrables relais : journalistes et enseignants publics. Les libre-penseurs pacifistes non-violents seraient eux emprisonnés, au nom de « c’est la guerre, l’unité est obligatoire ». Hélas les seuls opposants en liberté autorisés sont des fanatiques violents, très faciles à diaboliser, pour que les gens choqués se battent pour parachever le triomphe sioniste. Ça semble un calcul stratégique, simplement malhonnête.

(25/10/2020, tard) Presque en clair
    Tandis que j’étais occupé à taper ce qui est au-dessus, la télévision était allumée, avec les informations d’une grande chaine classique (TF1 ?), et il était signalé qu’après le discours d’Emmanuel Macron, jugé par certains pays « contraire aux valeurs de l’Islam », le Qatar boycotte dorénavant les produits français, le président turc insulte (ou/et se dit insulté par) la France (qui rappelle à Paris son ambassadeur pour consultation), le drapeau français est brûlé à Gaza. Sans autre commentaire.
     Qu’en tire (j’imagine) le spectateur moyen ?: "il se confirme que l’Islam incarne le mal absolu décapiteur, haïssant la liberté à la française, plus que jamais le Bien est à chercher aux USA, en Israël et autres ennemis occidentaux du terrorisme (tiré du Coran) !"
     Moi, je lis presque le contraire : "les palestinophiles ont évidemment compris que le discours de Macron était un élément de guerre sioniste, ce qui révulse les Palestiniens, et les pays palestinophiles comme sont la plupart des pays musulmans."
     Où est-ce que je me situe ? Au milieu, neutre, risquant violence assénée des deux côtés. La faute-source est sioniste, israélo-étasunienne, puis occidentale (les minorités juifos contrôlant les pays occidentaux en mentant pour déclarer atrocement « raciste antisémite » toute résistance à cette politique raciste de contrôle et domination en accord avec les textes sacrés judaïques). Secondairement, la colère en face utilise le canal de la religion musulmane, par compassion avec la majorité des Palestiniens qui était musulmane (la portion chrétienne étant oubliée, négationnée)… Quant à l’antisionisme athée ou agnostique ou sceptique, ou comique ou artistique, il est négationné, et fera partie des victimes collatérales dans la guerre simpliste visant l’efficacité avant tout (le triomphe d’Israël, sans le dire ainsi bien sûr).
     Evidemment, ces mots de ma part seront (malhonnêtement) pris pour preuve de mon antisémitisme odieux (ou maladie mentale juive anti-juive) mais en vrai, c'est très différent : j'explique depuis le début ce qui est en train de se passer avec les pays musulmans, fâchés, je découvre la logique cachée par la propagande. Nier que le mot juif est un amalgame, hélas très compréhensible, participe à l'injustice, au refus de l'analyse logique.

(27/10/2020) La propagande continue
    Hier et aujourd’hui, j’ai aperçu des articles/nouvelles MSN claironnant un point de vue unilatéral de mauvaise foi totale. Je m’explique.
• D’abord un article de source L’Obs ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/nous-sommes-unis-macron-promet-de-ne-jamais-accepter-les-discours-de-haine/ar-BB1aoowN?ocid=msedgdhp ) « "Nous sommes unis" : Macron promet de ne jamais accepter les discours de haine »
--> Il est faux de prétendre que nous sommes unis puisqu’il ne m’a pas demandé mon avis, et je suis en désaccord total. C’est comme Brejnev en URSS, qui pouvait clamer « tous ici, nous sommes unis à penser… », sans préciser que les gens en désaccord étaient enfermés en goulag. Mensonge énorme. Et puis la haine en France s’est faite loi, en ce qui concerne la haine du négationnisme, du scepticisme (qui choquent les intouchables juifos), prétendre donner des leçons dans ce domaine est abject.
• « Le chef de l’Etat tente de faire baisser la tension. Confronté à un appel au boycott des produits français dans le monde arabe, et attaqué sur sa santé mentale par le président turc »
--> Ce n’est pas un scandale injuste comme cela est suggéré au lecteur mais un simple retour de bâton. Habituellement, ce sont les dirigeants comme lui qui décident les boycotts et internements psychiatriques d’opposants, là il trouve absurde d’en être victime à son tour. C’est le principe de l’immoralité : faites ce que je dis pas ce que je fais.
• « Nous respectons toutes les différences dans un esprit de paix […] Nous nous tiendrons toujours du côté de la dignité humaine et des valeurs universelles. »
--> C’est archi-faux : la différence sceptique est punie de prison en France (loi Gayssot), de même que les valeurs universelles (considérant que le génocide des Amérindiens n’est pas moins grave que celui des Juifs), et la seule paix qu’il conçoive est la paix d’écrasement sioniste en aucun cas la paix par rapatriement des Israéliens façon Algérie 1962, c’est donc de la paix orientée selon ses désirs à lui (et autres dominants juifos ou juifophiles) pas de la paix en général. Mais comme notre président a sa justice à ses bottes, il n’est pas poursuivable pour mensonge d’état. C’est simplement malhonnête, fraude intellectuelle en bande organisée.
• « Le ministère a déploré que (…) des appels au boycott de produits français (…) appels à manifester contre la France, dans des termes parfois haineux »
--> Encore une fois, les gouvernants et législateurs français s’autorisent à haïr le scepticisme, l’antisionisme, mais interdisent le retour de bâton qu’est une haine en sens inverse. C’est simplement déloyal. La vraie fin de la haine commencerait par l’abolition de la raciste loi Gayssot, et la condamnation des parlementaires qui préparaient la loi contre l’antisionisme, mais non, surtout pas : là ce n’est que du bla-bla mensonger, faisant semblant (très mal) d’incarner de hautes valeurs.
• « Ces appels dénaturent les positions défendues par la France en faveur de la liberté de conscience, de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du refus de tout appel à la haine »
--> C’est faux, archi-faux : la loi Gayssot combat la liberté de conscience et d’expression, la persécution de Dieudonné le confirme. La liberté de religion est une horreur alliée aux esclavagistes et massacreurs pour différence d’opinion. La haine est ce que promeut la loi Gayssot et la future loi contre l’antisionisme. Ce discours devant le monde est une suite ininterrompue de mensonges, avec complicité des journalistes n’y voyant absolument rien à redire et confirmant que tous les torts « sont dans l’autre camp ». Propagande pur jus, oui.
• Un autre article MSN/Lexpress.fr ( https://www.lexpress.fr/actualite/societe/we-are-one-emmanuel-macron-promet-de-ne-jamais-accepter-les-discours-de-haine_2137225.html ) « "We are ONE" : Emmanuel Macron promet de ne "jamais accepter les discours de haine" (…) Nous (…) défendons le débat raisonnable. Nous continuerons. »
--> C’est un odieux jeu de mot, le mot défendre ayant deux sens opposés : « prendre la défense de » et « interdire » (je défends la veuve et l’orphelin, et je défends de fumer chez moi). Ici, dans les mots présidentiels, le sens affiché est un immense soutien désintéressé au débat (quel qu’il soit) et le sens pratique caché est l’interdiction du débat (sur la moralité des alliances à Israël et aux USA).
• « La phrase "We are one" figure dans la chanson "One", du groupe U2, choisie par la famille de Samuel Paty lors de la cérémonie d'hommage, mercredi à la Sorbonne, au professeur assassiné par un islamiste. »
--> Cela peut expliquer la source circonstancielle de ce mot aujourd’hui, mais ça ne dispense pas le président de réfléchir avec un minimum de lucidité. La prétention à l’union nationale est horrible de la part de dictateurs faisant enfermer leurs opposants, interdisant le désaccord sous menace, et c’est ce que fait la loi Gayssot depuis 1990, c’est ce qu’allait parachever la loi contre l’antisionisme (prévue en 2020, peut-être repoussée à 2021 à cause du coronavirus).
• Enfin, je lis encore une autre nouvelle, MSN/20-minutes ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/boycott-des-produits-fran%C3%A7ais-bruno-le-maire-d%C3%A9nonce-des-menaces-inacceptables/ar-BB1apIU5?ocid=msedgdhp ), qui confirme, en un sens : « ʺLes pratiques de boycott sont inacceptablesʺ, a dénoncé le ministre de l’Economie Bruno Le Maire ».
--> Le gouvernement français se décrète ainsi le droit d’affirmer ce qui est inacceptable ou pas, non seulement chez nous (loi Gayssot etc.) mais à l’étranger aussi (interdisant aux autres pays de faire comme ils veulent). La dictature belliqueuse est ainsi avouée. Au passage, il serait juste de noter que la France a participé au boycott de l’Afrique du Sud qui a fait tomber le régime raciste apartheidien (après avoir fait la fortune d'Israël, seul acceptant de vendre des armes à l'Afrique du Sud, avec discrètement convergence de vue dans le concept "race supérieure élue de Dieu"), et a interdi le boycott d’Israël demandé par les mouvements pro-palestiniens. Ce n’est ni « toujours » ni « jamais » mais suit un plan sioniste clair.
• « (…) quand elles répondent à une politique qui ne vise qu’à défendre la liberté et la liberté d'expression. (…) la France défend ses valeurs et elle défend la liberté »,
--> Les ministres de Brejnev auraient pu dire pareil, en omettant de signaler les lois conduisant au goulag : « l’URSS ne vise qu’à défendre la liberté et la liberté d’expression, il défend ses valeurs et il défend la liberté ». Non, ces menteurs ne méritent ni leur pouvoir ni leur salaire, voleurs pourris.
• « Le président Recep Tayyip Erdogan a appelé lundi les Turcs à boycotter les produits français, accusant Emmanuel Macron de mener une ʺcampagne de haineʺ contre les musulmans ».
--> Le sens évident est là que le président turc est absurde de déclarer "victime de haine" un camp qui est le "fauteur de haine". Autrement dit : la France n'a aucune haine, mais est purement victime de haine. Là encore, c’est accuser autrui de faire ce que l’on fait soi-même en douce : (personnellement, je ne parle pas des Musulmans, dont je condamne la vénération d'esclavagisme et violence pour désaccord d'opinion, mais) la loi française hait les sceptiques et humanistes pro-Amérindiens (et bientôt pro-Palestiniens), mais prétend que la haine c’est les autres exclusivement, ici n’étant que la paix respectueuse. Mensonge énorme, mais nullement signalé, les journalistes étant tous complices, ou aveugles ou idiots ou calculateurs pour leur avancement (financièrement intéressé, escrocs)…
• « le patron des patrons a estimé qu’il fallait ʺfaire passer nos principes avant la possibilité de développer nos affairesʺ »
--> La prétendue Elite, économique cette fois, se couvre là de ridicule. Les principes en question sont officiellement « la liberté, sans exception » mais évidemment, sans le dire : « la liberté de se moquer de l’Islam avec interdiction de se moquer du sionisme ». Pourquoi ? « Parce que l’antisionisme est antisémite ! » Pourquoi y a-t-il donc des rabbins antisionistes ? et aucun bébé juif n’est sioniste et il y a des renégats juifas non juifos, non ? Non, chut, interdit d’en parler, c’est ça la liberté à la française, même si hélas n’a pas été élu Dominique Strauss-Kahn, prévu président et qui déclarait à sa communauté œuvrer chaque seconde de sa vie pour Israël… Fausse élite juifo et juifophile, menteuse, ça me parait clair, oui.
• Enfin, une nouvelle MSN/LeFigaro ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/face-%C3%A0-erdogan-unanimit%C3%A9-politique-derri%C3%A8re-macron/ar-BB1apF78?ocid=msedgdhp ) clame « Face à Erdogan, unanimité politique derrière Macron ».
--> Cela confirme que je suis le seul opposant ici à Macron… avec Dieudonné et les arabes palestinophiles peut-être, nullement représentés dans la fausse « représentation nationale » grâce au système pourri de l’élection à deux tours (à inconvénients jamais envisagés en « instruction civique » à l’école – entreprise de lavage de cerveau, à laquelle participait Samuel Paty, c’est moche, même si ça ne méritait pas peine de mort).
• Par ailleurs, j’admets m’être mal exprimé quand je disais d’une part que le judéo-christianisme s’imposait, caché derrière une laïcité menteuse, d’autre part que la minorité chrétienne parmi les Palestiniens était brimée aussi. En fait, il semble que la domination ne soit pas celle du christianisme allié au judaïsme mais des anciennes et nouvelles tribus d’Israël : Israélites (et adeptes athées du communautarisme juifo) + protestants étasuniens (ayant pareillement prétendu conquérir librement leur Terre Promise, en massacrant les autochtones en désaccord ou refusant de devenir esclaves des « élus de Dieu »).

(27/10/2020) Intervention armée et oui-mais croisés
    Ce jour dans l’émission Morandini-Live étaient interviewés les ex-directeurs des groupes d’intervention antiterroristes de police et gendarmerie nationales. L’un a dit que, quand il fallait hélas tuer, il était très satisfaisant de savoir que nous sommes le camp du Bien.
   --> Je ne suis pas convaincu de cela, et à mon avis un énorme « Oui mais » s’applique, là. Les anti-Occidentaux résistants s’attaquent à l’Occident qui est le camp des tueurs massifs d’Amérindiens et Palestiniens (en phase de conquête colonialiste, en plus d’avoir massacré les bébés allemands et japonais en guerre d’atrocités réciproques). Oh non, nous ne sommes pas du tout le camp du Bien mais un camp criminel, riche receleur de crimes passés, impunis. Ceci dit, sont coupables les dirigeants, les politiciens nous clamant être le Bien, mais pas la population et les bébés ici. Bref, oui, il y a horrible erreur de colère à massacrer des quidams ici, mais il est faux que nos forces armées incarnent le Bien. C’est une guerre du mal contre le mal, et les petites gens n’y peuvent hélas rien, qu’ils soient massacrés par en face ou qu’ils soient emprisonnés (ou même seulement menacés) par le camp dominant ici (juifo ou juifophile).
   Bref, oui, je comprends les policiers qui ont abattu le décapiteur récemment, mais il est très faux que c’était là le Bien frappant le Mal. Inversement, en face : oui, je comprends le palestinophile allant venger les bébés massacrés (car pas-juifs) en s’en prenant à des civils occidentaux électeurs de riches monstres, mais il est très faux que les petites gens ici puissent faire quelque chose, intoxiqués de propagande et menacés par lois injustes et fausse justice.

(28/10/2020) Eléments épars
   Sur Facebook, répondant à un droit de l’hommiste tunisien, une musulmane a émis un argument qui m’a semblé pertinent, quelque chose comme « l’athéisme est une pensée possible, mais quand il traite les autres de cons, il vire à l’insulte et ce n’est plu’ correct ». Et effectivement, une des caricatures de Charlie Hebdo fait dire à Mahomet « c’est dur d’être aimé par des cons », ce qui n’est pas une divergence de vue ni une critique argumentée mais une insulte brute, « bête et méchante » comme s’en vante ce journal. Et la méchanceté entraine naturellement retour de bâton quand on a sous-estimé un cru inférieur écrasé en rigolant, méchamment.
   A ce sujet, l’autre jour en débat « L’heure des Pros », la journaliste (juive militante) Elizabeth Levy rappelait quelque chose que j’ai déjà entendu comme « la loi française autorise entièrement à se moquer d’une religion mais interdit de se moquer des croyants ! ». Euh, d’une part le mot « cons » de Charlie-Hebdo est dirigé explicitement contre des croyants, l’argument est donc inapproprié, d’autre part cet argument me parait aberrant : dit-on « le nazisme c’est très mal, mais les nazis sont entièrement respectables » ?? Ça me semble du bla-bla injuste, ni suivi en pratique ni fondé en lui-même.
   Par ailleurs, à la télévision toujours, un soixantenaire disait venir d’une famille très catholique, et si à l’école de son enfance l’instituteur avait montré une caricature de Jésus-Christ nu faisant des trucs horribles*, son père serait assurément allé à l’école casser la figure de l’instituteur. Enfin, c’était sa conviction sincère, de mémoire, et ça me parait plausible, mais cela est habituellement caché pour faire peser sur l’Islam l’intégralité de la diabolisation affirmant sacrée intouchable pour les Français la position de professeur, laïc. (* : ou disant des mots très condamnés par l'Eglise : j'imagine Jésus crucifié avec découvert son sexe, énorme en érection massive et disant "ça m'excite ce clouage sado-maso, je bande un max, mais dommage, je ne peux plu' m'astiquer le pénis, il ne me reste plu' de main de libre, la déesse Shiva à 6 mains était mieux foutue que moi, putain la salope !")
   A ce sujet, le ministre de l’éducation Blanquer, qui a maudit l’islamo-gauchisme lequel disait-il conduit à l’horrible (décapiteur), est peut-être à la source d’une partie de la colère en pays musulman : le mot islamo-gauchisme là accusé se base en effet sur Islam pas sur Islamisme. Pour éviter l’ambiguïté, on dirait islamisto-gauchisme ou islamismo-gauchisme, mais par l'injustice d'amalgame attiser la haine/guerre semble l’objectif, et je pense que c’est pour écraser totalement les Palestiniens antisionistes.
   J’ai d’ailleurs entendu l’autre jour une leader de gauche (Esther Benbassa ?) accusée d’avoir salement manifesté avec les islamistes fin 2019 dans la manifestation contre la « prétendue islamophobie » (suite à l'attaque de mosquée blessant des musulmans à Bayonne, par un sympathisant d'extrême-droite), et elle disait que ç’avait été organisé aussi par la CGT, et dans une manifestation on ne se prétend pas ami approbateur de tous ceux se joignant au cortège. Cela m’a semblé convaincant, et pour ma part je n’ai jamais participé à une manifestation, conscient de ne pas maitriser qui se joint au cortège et parlera en son nom – je préfère écrire en solitaire mes désaccords avec le pouvoir ou autre, de manière argumentée et pas hurlante avec effet de foule et débordements par extrémistes (possiblement envoyés par le pouvoir ou autre camp adverse, pour déjuger la manifestation).
   Autre point, j’ai aperçu une nouvelle MSN ajoutant à la liste des pays musulmans en révolte choquée contre « la France » le Bangladesh où des centaines de milliers de personnes ont manifesté en hurlant. Et… ce pays n’est pas arabe, pas aussi clairement « palestinophile » que les autres, je pourrais donc m’être trompé dans mon analyse, le problème source n’étant pas politiquement le sionisme mais l’intolérance politique propre à l’Islam. Peut-être, mais j’y crois peu. En effet, le terrorisme arabe (hors FLN et GIA très spécifiquement algériens) date d’après 1948 (palestinien non-religieux avec l’OLP avant de devenir Islamiste avec le Hamas vers 1993 après l’effondrement de l’URSS vers 1989), il ne date pas du tout de l’émergence de l’Islam. Le terroriste vénézuélien Carlos attaquant la France se déclarait combattant palestinien, l’imam mis en examen dans l’affaire de décapitation était fondateur d’association pro-palestiniens, c’est sur le scandale du sionisme brimant les palestiniens que l’Islamisme recrute en pays non-musulman, pas par la force (environ nulle) du Coran (je l’ai lu et trouvé convainquant en rien, ou rien de plus que les bestiaux carotte-bâton déjà présents dans la Bible antérieure à ce Dernier Testament).
   Enfin, je suis peu convaincu quand j’entends dire que Charlie-hebdo se moquait autant de judaïsme et christianisme que de l’Islam, puisque caricaturant autant Jésus-Christ et des rabbins. Concernant l’Islam, ce ne sont pas des imams ou ayatollah qui ont été caricaturés mais la source-même de la religion. Il faudrait pour qu’il y ait quelque chose d’approchant côté judaïsme, dépeindre Moïse, Josué, Abraham en dictateurs génocidaires avec moustaches à la Hitler ou quoi, il ne suffit pas du tout de dire que tel rabbin a un gros nez ou les poches pleines de dollars. Et si Charlie Hebdo attaquait à boulets rouges le sionisme, comme Dieudonné, il serait lourdement condamné par les tribunaux, ce qui n’est pas le cas. J’ai donc l’impression qu’on nous ment (même si je n’ai jamais acheté Charlie-Hebdo pour vérifier).
   J’ai par ailleurs entendu un journaliste/auteur excité, Marc Menant, auteur de « La laïcité dévoilée », appeler à ce que la république interdise le port du voile dans la rue, comme anti-républicain, et ça me paraissait très excessif (pour des questions de pudeur j’envisagerais au contraire un voile athée-aussi ou/et masculin-aussi). Mais les autres débatteurs étaient en désaccord, davantage modérés (quoique n’employant pas mes arguments principaux : équitablement il faudrait autant interdire la kippa ce qui serait traité d’antisémite inadmissible ; la déclaration des droits de l’homme tant vantée par nos prétendus penseurs exprime en clair le droit d’afficher comme on veut en habillement ses croyances religieuses ; la dictature républicaine, sans référendum d’initiative populaire, sert un régime moche antipopuliste donc anti-peuple, antidémocratique ; équitablement, la laïcité ne s’allierait pas davantage à judaïsme et christianisme qu’à Islam, les trois groupes étant pareillement esclavagistes massacreurs pour divergence d’opinion ; s’en prendre à l’islamisme = Islam politique tueur devrait équitablement donner pareille opposition au sionisme = judaïsme politique tueur). Je suis allé voir le résumé de ce livre sur la page Amazon, et ça se vante de très multiples références littéraires franco-françaises, ce qui ressemble au bla-bla littéraire (sans logique, comme au lycée en cours de « français ») que je n’aime pas. Donc je n’achète pas.
   J’envisage d’ajouter à ce site (en en-tête) un dessin résumé : drapeau de Daech (Etat Islamique) au-dessus de la tête de Marianne coupée dans une mare de sang mais à côté : drapeau de République Française (avec une micro étoile de David bleue pâle dans la zone blanche) au-dessus de la tête du Bouddha coupée (puisque la loi Gayssot punit de prison le scepticisme, bouddhiste ou philosophique, simplement intelligent plutôt que pro-Juifo). [Je rappelle, je ne sais plu’ si je l’ai écrit sur ce site-ci, que l’auteur Blanrue dans le livre « Sarkozy et les Juifs » – impubliable en France (c’est ça la liberté républicaine à la française) – citait un périodique, interne à la communauté juifo de France, qui appelait chaque juifo (occidental ?) à s’engager en politique, pour être élu au nom de l’intérêt général, afin de – en vrai – servir leur communauté spécialement et puis surtout Israël. Entreprise menteuse visiblement couverte de succès, et non dénonçable sauf à accepter d’être traité de monstre antisémite, à tort mais la loi rédigée et votée par les « élus » est en ce sens mensonger. C’est très moche mais très cohérent. Le fait que je sois juifa ne me protège pas de l’accusation d’antisémitisme, s’ajoutant simplement une accusation de perversité masochiste. A ce sujet, quand je disais que le pouvoir décrétait qui est malade mental en France, je pourrais rappeler le Président Macron ayant dit en public « ne pas croire les scientifiques, c’est être paranoïaque » – ce qui est faux puisque lui est incompétent en sciences, quand les techniciens comme moi voient au quotidien les mensonges faussement scientifiques clamés à tort, ce qui peut bouleverser le monde – si le GIEC climato-catastrophiste se confirme concerné autant que les domaines biochimiques que je connais mieux.]

(29/10/2020) Pas mes lois
   Aujourd’hui, j’ai pris un taxi pour une visite médicale et le chauffeur m’a demandé ce que je pensais des attentats du jour (avec deux femmes égorgées dans une église), toujours en suite de l’affaire Caricatures de Mahomet approuvées par notre Président de la République. J’ai répondu que j’avais entendu l’autre jour à la télévision un spécialiste catholique des religions (Odon Vallet ?), au moment de la republication des caricatures, désapprouver cette re-publication, qui disait-il allait conduire à un regain de colère musulmane qui ferait des morts français, pourquoi vouloir cela ? Le chauffeur a dit « Oui, mais on ne va quand même pas changer nos lois pour eux ! ». J’ai répondu que ces lois n’étaient pas mes lois, m’étant imposées sans m’avoir consulté en rien. Notamment au sujet de l’insulte, je ne comprends rien à ces lois : pourquoi Dieudonné est condamné (antisionisme) et Charlie-Hebdo félicité (anti-Islam). [Que les législateurs donnent à tuer leurs électeurs sans les avoir consultés sur les lois écrites en leur nom, je ne suis pas d’accord, moi non plu’. Ça ne veut pas automatiquement dire que j’aurais permis ou interdit cette republication de caricatures insultantes, je veux simplement dire que ces lois sont inéquitables, pro-juifo anti-arabe. Il faudrait tout reprendre correctement, antiracistement (même si c’est prétendu antisémitement, à tort) avec éventuel moratoire sur les insultes, à éviter en attendant finalisation des débats].

(29/10/2020) Appel étranger à tuer des millions de Français
   Je lis une nouvelle MSN/ParisMatch (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/pour-l-ex-premier-ministre-malaisien-les-musulmans-ont-le-droit-de-tuer-des-millions-de-fran%C3%A7ais/ar-BB1avDZE?ocid=msedgdhp ) effarante, toujours au sujet de la décapitation de professeur français : « si vous manquez de respect à une religion, alors des gens en colère vont tuer. Les Français, au cours de leur histoire, ont tué des millions de gens. Beaucoup étaient des Musulmans (…) Les Musulmans ont le droit d’être en colère et de tuer des millions de Français pour les massacres du passé. (…) je crois en la liberté d’expression, je ne pense pas qu’elle signifie insulter les autres (…) ».
    Je condamne ces propos racistes ou équivalents (groupistes), appelant à tuer certains innocents à cause de leur nationalité involontaire, quelle que soit leur opinion sur le sujet. MAIS je ne dirais pas du tout que la faute est spécifique à ce leader étranger : les leaders français de gauche-centre-droite célèbrent le 8 Mai glorifiant les assassinats de bébés allemands personnellement innocents, et cela me parait tout autant condamnable que ce que dit ce leader malaisien. Avant de s’offusquer, pour avoir le droit de s’offusquer, il faudrait impérativement faire le ménage ici, sinon il est normal que ça nous retombe dessus en retour de bâton.
    De même je condamne le principe de déclarer les Français modernes coupables des meurtres commis par leurs ancêtres. MAIS pour cela (avec le Droit de l’Homme « tous les enfants naissent égaux en dignité et en droits »), il ne faut pas être receleur de richesse criminelle. Donc il convient de dissoudre les frontières jalouses autour de l’Occident, refusant de partager sa richesse relative avec le reste du monde, après que nos ancêtres aient pillé ce monde et massacré les récalcitrants.
    Enfin, affirmer le droit à l'insulte sans restriction ici est envisageable, MAIS il faut abolir la loi Gayssot (qui interdit de choquer les Juifos) et supprimer la persécution de Dieudonné (et punir les juges et politiciens ayant oeuvré à cela, en totale contradiction avec leurs prétendus principes, la seule explication semblant un racisme pro-juifo).
    Bref, condamner cet ancien chef d’état étranger ne suffit pas, honnêtement il faut devenir cohérent en pratiquant tout autant une auto-critique bouleversant le monde.

(30/10/2020) Trois éléments en y repensant
• Hier, dans l’émission « l’heure des pros », il a encore été question des caricatures de Mahomet, certains disant que ce droit à se moquer est le fondement-même de la Culture française, et l’animateur Pascal Praud objectant simplement qu’un sketch comme celui de Desproges « On me dit que des Juifs se sont glissés dans la salle… » ne pourrait plu’ être présenté aujourd’hui, ses interlocuteurs convenant que Oui, maintenant on pratique souvent l’auto-censure.
--> Je suis gêné par cet « aveuglement », disant apparemment « on se demande bien pourquoi on pratique l’auto-censure parfois quand on rigole sans retenue d’autres fois ». Oh non, ce n’est pas « des fois » n’importe comment : cela va dans un sens très précis, comme la condamnation de Dieudonné avec félicitation de Charlie-Hebdo : ne surtout pas choquer les juifos (et autres sionistes, dominants) mais choquer autant que possible les musulmans (dominés et soupçonnés de palestinophilie, menaçant le triomphe sioniste). Il s’agit de la « victoire » d’un terrorisme intellectuel pro-juifo, auquel sont entièrement soumis nos politiciens et journalistes, pas moi antiraciste. Je le répète : la marche populaire « Je suis Charlie » en 2015 (« pour la liberté d’expression ») était une aberration malhonnête puisqu’elle intervenait le même jour que la 50e (environ) condamnation judiciaire de l’humoriste Dieudonné (sans le noter ni en parler).
• Par ailleurs, j’ai vu aux informations que le pape avait répondu aux meurtres hier de 3 Français dans une église par un Tunisien sans papier en souhaitant que les Français répondent à ce mal par le bien.
--> Certes, c’est mieux d’appeler à l’apaisement qu’à la guerre sainte, mais c’est oublier certaines paroles de Jésus-Christ, qui a dit tout et son contraire. Il est vrai qu’il a dit « aimez vos ennemis » (allant dans le sens du pape cette fois-ci), mais il a aussi appelé à tuer les parents éloignant leurs enfants de Dieu (ce qu’ont accompli les guerres de religion et envahissement massacreur d’Amérique etc.). Au lieu de vénérer quelqu’un ayant dit tout et son contraire, pouvant servir de référence sacrée à des massacreurs, je préférerais qu’on condamne ces religions (du Livre) en leur état actuel, à textes sacrés antiques violents, en réécrivant ceux-ci sous forme moralement acceptable. Sinon je condamne ces religions meurtrières. Et il est injuste de se plaindre d’être massacrés quand on veut massacrer autrui, c’est simplement une question de cohérence logique et morale.
• Tout au contraire (du pape), j’ai entendu Marine Le Pen appeler urgemment à des lois de guerre, puisque nous sommes en guerre contre l’Islamisme.
--> Ce n’est pas vraiment une opposition puisque ça rejoint la logique Hollande-Macron payant les armées françaises bataillant contre les Islamistes à l’étranger. Mais ce traitement guerrier du quotidien (déjà pratiqué contre le virus covid19 en matraquant la population d’amendes et menaces de prison) me parait affreux : avec l’adage « qui n’est pas avec nous est contre nous », il conduit comme en 1939 à criminaliser les neutres pacifistes pointant nos propres fautes. Je trouve cet amalgame immensément injuste, mais ça sera balayé au nom de « c’est la guerre ! », hélas.

(30/10/2020) Comme une ingénue candidate Miss ?
   Un ami à qui je transmettais ce que j’écrivais hier au sujet de l’ex premier ministre malaisien m’a répondu de manière intéressante, me faisant réfléchir en direction imprévue, merci (c’est moi qui numérote) : « 1/ J'apprécie ton universalisme humaniste parce que, même maladroit ou apparaissant ridicule venant d'autres personnes (on moque souvent les jeunes candidates miss qui sont "contre la guerre" ...) ça prouve que des gens gentils et de bonne composition existent quand-même. 2/ Tout part de là : culture ou pas, éducation ou pas, on a naturellement bon cœur ou pas et on n'assassine pas les gens ! 3/ (…) je suis triste et malheureux de voir l'étendue du désastre intellectuel dû à la folie religieuse (...) »
   J’essaie d’intégrer cela à mes bases.
1/ Finalement, je vois le monde comme trois groupes (avec dégradés intermédiaires bien sûr) : A/ les va-t’en guerre (d’un camp et de l’autre), B/ les aveugles (condamnant la guerre mais escomptant profiter de la non-guerre dans le camp dominant), C/ les critiques (essayant de comprendre les deux camps et souhaitant que chacun corrige ses fautes). Je ne suis pas A (à la De Gaulle 1940, FLN, OAS, OLP 1972, Hamas, Hollande, Macron) mais ça ne signifie pas que je suis B (à la Pétain, De Gaulle 1962, OLP 2005, ou « candidate-Miss » naïve), je suis pacifiste au sens C, difficile et à mes propres dépens matériels.
2/ Ce que je ne comprends/admets pas, c’est que sont glorifiés certains assassins et condamnés d’autres, je trouve ça malhonnête. L’Occident actuel approuve l’assassinat de bébés amérindiens 1800, germano-japonais 1945 et palestiniens 1948, et se prétendre anti-assassinat n’est alors pas honnête. Certes, on peut dire « oublions le passé, ne commettons plu’ du tout d’assassinat maintenant », mais alors il faut remettre les pendules à zéro, en restituant l’héritage criminel : soit condamner l’invasion d’Amérique/Australie et Israël, avec rapatriement des descendants de colons (façon Algérie Française 1962), soit abolition des frontières, ne déracinant personne mais cessant de repousser les nouveaux migrants venant à leur tour conquérir les zones voulues (retour de la majorité palestinienne en Israël, venue d’une majorité africaine en France, venue d’une majorité Latinos aux USA). Ne faire ni l’un ni l’autre ne me parait pas honnête, excitant la colère, jusqu’à l’assassinat justicier, hélas (avec nous Occidentaux dans le camp des salauds aussi coupables, pas des gentils innocents). Guerre du Mal contre le Mal, hélas alors que le Bien serait envisageable, simplement refusé, armes à la main.
3/ Moi je trouve malhonnête la condamnation exclusive de l’Islam, en « oubliant » (cachant) les appels au meurtre « sur ordre divin » dans les religions judaïque et chrétienne. Pour condamner, il faut soi-même être correct, et je ne suis pas d’accord avec les appels prétendus laïcs « tous contre l’Islamisme » avec sous-entendu discrètement : « et autres antisionistes antiaméricains » (contre les anciennes et nouvelles tribus d’Israël). Oh non, ça tient du hold-up pseudo-intellectuel. La vigilance logique et morale ne conduit pas à s’engager là-dedans mais à condamner les deux bords. Hélas ils sont tellement excités armés qu’on ne peut rien faire si on est non-violent comme moi. On ne peut que soupirer et refuser/condamner la propagande en cours ici (autant que la violence massacreuse des révoltés en face).

(31/10/2020) Vers la guerre de civilisations, malhonnêtement
   Je lis ce jour une affligeante nouvelle MSN/LeFigaro ( https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/jeannette-bougrab-une-partie-du-monde-musulman-manifeste-sa-col%C3%A8re-contre-ce-qu-incarne-la-france-%C3%A0-savoir-la-libert%C3%A9/ar-BB1aySif?ocid=msedgntp ) « 1/ Jeannette Bougrab (…) L’ancienne secrétaire d’État (…) les conflits de demain n’opposeront plus des nations ou des idéologies, mais des groupes religieux et que ce ʺchoc des civilisationsʺ représenterait la plus grande menace pour la paix. (…) 2/ La barbarie est là. Les islamistes s’en prennent à l’Occident mais également aux musulmans qui ne pensent pas comme eux. (…) Une partie du monde musulman manifeste sa colère contre ce qu’incarne la France, à savoir la liberté. (…) 3/ devant l’ambassade de France à Bagdad notre drapeau a été brulé. (…) des musulmans ont crié leur haine de la France (…) 4/ La communauté des musulmans, l’Oumma, ne connait pas de frontières. La France ne pourra pas lutter seule contre l’islamisme. Elle doit parler avec ses partenaires étrangers (…) 5/ Etienne de la Boétie écrivait que les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. La France doit se redresser. 6/ Face à un ennemi qui divinise la mort, l’islamisme, on doit être intransigeant et sans compromission (…) Mais il faut être honnête avec nos concitoyens : cela ne sera pas suffisant car ce nouveau fascisme continue de progresser et a trouvé sur notre sol depuis des années des alliés qui n’hésitent pas à brandir l’accusation d’islamophobie dès que vous osez critiquer cette idéologie mortifère. (…) 7/ On ne vaincra qu’en réapprenant nous aussi à mourir pour nos libertés. (…) ».
    Je ne suis pas d’accord :
1/ Ce qui est organisé par les sionistes (comme cette dame haute-placée, d’origine harki dit Wikipédia), c’est que l’Islam ou Islamisme affronte l’occident (chrétiens catholiques et protestants, israélites, athées, agnostiques, déistes, etc.). Or c’est un détournement criminel : on pourrait mettre en cause le sionisme, l’annuler par rapatriement des colons, et cela éviterait la guerre (justicière du point de vue adverse). Je rappelle que le sionisme est un racisme tueur, antihumaniste, et son pouvoir de séduction objective est environ nul. Il ne plait qu’à la majeure partie des Israélites et des protestants, vénérant l’Ancien Testament massacreur des Cananéens pour fonder l’Israël antique (et les rejoignent des juifos athées racistes anti-goy, ne retenant de la religion que le communautarisme rejetant l’autre). Tous les autres Occidentaux sont embrigadés par diabolisation du terrorisme islamiste, en négationnant le terrorisme sioniste qui l’a suscité en réaction. C’est du lavage de cerveau, atroce.
2/ La France n’incarne pas du tout la liberté : le comique antisioniste Dieudonné est persécuté par la justice, la loi Gayssot a tué la liberté d’opinion en sacralisant le génocide des Juifs tout en jugeant totalement négligeable le génocide des Amérindiens (pour fonder les ultrapuissants USA ultra-sionistes), la loi qui se préparait début 2020 pour criminaliser l’opinion antisioniste complète le tableau : une logique de guerre contre l’antisionisme, totalement contraire à la liberté.
3/ En France, il est interdit de brûler le drapeau français, d’uriner dessus ou se torcher avec, en tant qu’insulte (décrétée inadmissible) à la république, alors elle est où la liberté d’insulter revendiquée au nom de « je suis Charlie » ? Mensonge, total. De même, j’ai lu qu’insulter le président de la république française était condamné par la justice française, mais ce président donne l’entière liberté à Charlie Hebdo d’insulter (« haïr » ?) les idoles des Musulmans (prophète Mahomet, président turc, etc.). Tout semble malhonnête, ne suivant aucun principe universel mais ressemblant à des lois de guerre, condamnant les ennemis et félicitant les faits équivalents commis par les alliés. Pour les soldats décérébrés, ça suffit comme motivation, mais des libres d’esprit comme moi l’invalident.
4/ Ce qui est ici clairement annoncé, c’est un renforcement de l’alliance à USA et Israël, dits premiers combattants contre l’Islamisme, en négationnant qu’ils sont criminels contre l’humanité à la source de la révolte palestinienne, qui a tourné vers l’Islamisme finalement.
5/ La république tyrannique, pareillement, est « grande » parce que les gens comme moi subissent, sans révolte (massacreuse qui serait doublée par des hyperviolents comme d’habitude). Mais pour le percevoir, il faut être capable d’intelligence critique, ce qui manque à cette dame, haute diplômée bien sûr, comme réciteuse servile.
6/ La sacralisation des « héros morts pour la France » est un grand classique du camp ici, les Islamistes ne semblent guère différents en la matière. De même, les sionistes procèdent exactement comme les Islamistes : ils hurlent à l'antisémitisme raciste (ou judéophobie) dès qu'on les critique politiquement, moralement. Mais en clamant n’importe quoi, des mesures seront prises contre les neutres dits complices de l’autre camp, c’est malhonnête.
7/ Comme l’hymne La Marseillaise, ce discours appelle à ce que les citoyens acceptent de se faire massacrer au combat ordonné par les autorités, je trouve ça criminel de la part de ces autorités (et leurs partisans actifs comme cette dame ex-responsable).

(02/11/2020) L’amour universel (mais d’Israël seul)
   Ce matin, j’ai lu une nouvelle MSN affligeante comme d’habitude : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/a-vous-qui-reprenez-le-chemin-de-l-%C3%A9cole-la-lettre-d-emmanuel-macron-aux-%C3%A9l%C3%A8ves/ar-BB1aBP9i?ocid=msedgntp . « Le projet du terrorisme est de fabriquer la haine, de nous monter les uns contre les autres, de créer la peur. Nous lui opposons l’amour, le respect et la liberté », lance le président [E. Macron, aux élèves].
   Je suis effaré : est-ce la liberté de blesser ? (sauf les juifos, cf. loi Gayssot et loi en préparation contre l’antisionisme), est-ce la liberté d’insulter (principe interdit par la loi nous dit-on ailleurs, pour les quidams ne se prétendant pas journalistes) ? Et en quoi cette liberté super-dirigée est-elle de l’amour et du respect ? Amour des Amérindiens à droits approuvés inférieurs aux Juifos ? Amour des Palestiniens à droits approuvés inférieurs aux colons sionistes et étasuniens ? Auprès d’enfants au courant de rien, ce bla-bla menteur peut passer, mais c’est de l’intoxication active, à la bêtise profonde.
   « Les jours que nous vivons sont difficiles alors je veux que vous reteniez ces quelques mots. Vous êtes la France ! Être Français à l’école de la République, c’est apprendre à être libre, à s’épanouir, s'élever par la connaissance.».
   Les élèves sont-ils libres de douter de la Shoah ? Non, c’est illégal. Libres de douter de la théorie de Darwin ? Non, croire est obligatoire au nom de la prétendue connaissance à réciter. Libres de récuser arguments à l’appui le bien-fondé des minutes de silence officielles ? Non, c’est puni, saqué, dénoncé à la police…. Le mensonge débilitant règne, punissant les logiques et les honnêtes, encore. Comme « Vous êtes libres : libres d’obéir et/ou d’approuver la liberté de punir les désobéissants », c’est une liberté à la Hitler, Staline, en jurant le contraire, imbécilement.
   Concernant la minute de silence imposée ce matin au collège, je n’ai en rien informé mon fils (en 6e) que je suis choqué par ce rite. En tout cas ça me parait totalement aberrant, d’une stupidité insensée : pour célébrer la liberté d’expression, il est obligé d’obéir en taisant toute objection (interdite !), sinon il y aura enquête pour sanction ! Mais comment les décideurs et commentateurs télé peuvent-ils vouloir cela ? Ça me parait simple : c’est un rite de soumission militaire à l’abrutissement commandé, combattant, enterrant un peu plus encore la liberté d’expression (la vraie, non soumise à la propagande).

(02/11/2020) Propagande enseignante ?
   Hier, j’ai vu invité sur LCI comme débatteur Sébastien Clerc, auteur de « Parler de religion en classe », Il disait que c’était un essai personnel, précisant que s’applique la liberté pédagogique de chaque professeur, même si la minute de silence est commandée par le ministère. Il ajoute que l’école doit expliquer que les religions découlent les unes des autres, etc. J’ai commandé ce livre aujourd’hui (à livrer bien plus tard – non disponible au format électronique et les libraires sont fermés pour cause prétendue de covid19).
   Toutefois, j’imagine que j’objecterai : blablater sur les religions vues de loin, c’est dissuader de lire les textes sacrés, c’est cacher leurs horreurs, qui étaient et sont employées pour des atrocités prétendues légitimes incontestables… Découvrir ces horreurs est peut-être prématuré pour des enfants mineurs sans esprit critique consolidé, mais en sens inverse faut-il les laisser endoctrinés sans défense avant d’acquérir ces moyens de défense ? pas simple… En tout cas, moi enfant de profs d’histoire-géo qui ont enseigné ainsi un petit peu d’histoire des religions, j’ai débarqué totalement désarmé dans le monde adulte, ne comprenant rien aux bases faisant le monde. Si finalement j'ai lu les textes sacrés, c’est de ma propre initiative, et j’ai été choqué qu’on m’ait caché ces clés expliquant le monde… Je verrai ce qui est écrit dans ce petit livre (peut-être pour enseignants surtout), mais je crains que ça confirme mon impression scandalisée, qu'il y a approbation de tout au lieu de signaler les horreurs dans tout.

(03/11/2020) Loi d’urgence bientôt
   J’ai entendu ce jour à la télévision que les législateurs envisagent une loi interdisant « la mise en danger de la vie d’autrui », comme les protestataires ayant donné sur Internet le nom du professeur haï qui a en conséquence été décapité (par quelqu’un d’autre). Si cette loi passe, je porterais plainte contre l’Etat qui vend du tabac tuant 70.000 personnes par an en France (parait-il), et contre l’Etat envoyant ses soldats combattre (et mourir pour environ 1%) au Mali et ailleurs. Oui, c’est de la mise en danger d’autrui, mais apparemment personne ne réfléchit honnêtement, avec un « deux poids, deux mesures » implicitement employé pour criminaliser le camp adverse, dans la guerre en cours entre sionistes et antisionistes.

(06/11/2020) Autre livre
   Un Spam m’a indiqué un autre livre à sujet polémique : « Savoir, opinion, croyance : Une réponse laïque et didactique aux contestations de la science en classe » par Guillaume Lecointre, 2018. Dans le petit texte de présentation, il est encore mentionné le cas de l’évolution darwinienne refusée par certains élèves pour motif dit religieux, et il semble que la leçon soit « votre religion est une croyance, qui n’est finalement qu’une opinion comme une autre, mais le vrai savoir c’est la science ». Là encore, je ne suis pas d’accord, avec cette entreprise scolaire d’intoxication (que j’ai subie moi-même en tant qu’élève autrefois), endoctrinement au scientisme, affirmant abusivement que la science dit le vrai. C’est faux, j’ai maintenant les arguments pour le prouver faux, donc ça confirme que la guerre République/Ecole contre Musulmans intégristes me semble une guerre du mal contre le mal, pas du bien évident contre le mal évident. (Je ne dis pas inversement que les Islamistes ont raison et constitue le Bien, à mon avis leur opinion est esclavagiste-génocidaire-tueuse, exactement comme les opinions chrétienne et israélite, donc condamnables).
   J’ai commandé ce livre, non disponible en version éléctronique, et il me parviendra bien plus tard.

(09/11/2020) Théoriciens monstrueux âgés de 10 ans ?
   Hier j’ai lu une nouvelle MSN étonnante (confirmée à la télévision) : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/quatre-enfants-de-10-ans-arr%C3%AAt%C3%A9s-%C3%A0-albertville-pour-apologie-du-terrorisme/ar-BB1aLywC?ocid=msedgntp
   Plusieurs enfants en école élémentaire, âgés de 10 ans, ont été arrêtés pour « apologie du terrorisme » car ils ont dit à leur enseignant qu’ils allaient le tuer. Je trouve ça incroyable, totale erreur de classification. Que des gamins confondent leurs jeux vidéo massacreurs de tyran (en vente libre) et le monde scolaire (avec enseignant en position de tyran commandeur), ça mérite de les gronder, les réveiller et leur donner une punition, je ne vois pas le rapport avec le principe de terrorisme effectivement massacreur actif cherchant à terrifier une vaste population de faibles innocents sans défense. Quant au terme « apologie », il implique raisonnement justificateur argumenté moralement, je doute immensément que de tels gamins se soient livrés à pareille construction intellectuelle.
    La répression pratiquée en retour me semble une erreur complète, les enseignants et policiers menant une guerre aveugle (au service des dominants gouvernants) et se battant contre tout ce qui résiste, même des petits enfants simplement abrutis, sans faire de mal à personne en pratique. (A mon sens, oser résister à l'endoctrinement scolaire/républicain/autoritaire est pertinent, pas "inadmissible à écrabouiller en pourchassant leurs familles aussi").

(11/11/2020) Confirmation d’école endoctrinante anti-intelligence anti-liberté
    Le premier des deux livres commandés que j’ai reçu est « Savoirs, opinions, croyances ». En introduction page 9, je suis déjà choqué : « Même si notre démocratie garantit la liberté d’opinion et de conscience, cette même démocratie, parce que républicaine, ne peut tenir que si chacun ne croit pas n’importe quoi. » C’est tout à la fois une confusion et une contradiction, invalidant presque déjà tout le livre…
    Confusion : la démocratie est le gouvernement par le peuple, la France (au moins depuis 1870, peut-être 1789) n’est pas une démocratie, puisque les gouvernants imposent ce qu’ils veulent, même impopulaire, avec interdiction du référendum d’initiative populaire qui les mettrait au pas. Le fait qu’il y ait élection périodique (de prétendus représentants, principe de la république dite démocratie indirecte) n’y change guère le principe : les électeurs en colère virent systématiquement les gens au pouvoir, mais les suivants font pareillement ce qu’ils veulent eux et non le peuple, et ça s’appelle « l’alternance », autrement dit « le peuple est toujours cocufié par les faux représentants menteurs ». Cette situation organisationnelle n’a absolument rien à voir avec la liberté (au contraire, il n'y a aucune liberté de virer les dirigeants avant terme prédéfini). La plupart des prétendues démocraties se disent libérales, mais ce n’est pas une obligation de principe : j’ai lu que durant la renaissance italienne, les premières démocraties modernes étaient antilibérales, les vainqueurs d’élections faisant assassiner les perdants/opposants, par la police au nom de la volonté majoritaire (sauf exil terrorisé), tout le contraire de la liberté de pensée.
    Contradiction : le fait d’opposer ici démocratie (directe, très libre) et république (indirecte, dirigée) semble signifier que le peuple doit obéir aux croyances commandées par le groupe détenant le pouvoir, mais ce n’est en rien de la liberté ! C’est un jeu de mots de s’être prétendu démocratie pour finalement fonctionner comme une dictature. Mensonge. Je le refuse, et n’adhère pas à ce bla-bla menteur, incorrect. Ça se prétend didactique dans le sous-titre du livre (didactique : « qui vise à instruire » selon Google), mais je ne suis pas d’accord : l’enseignant est ici menteur, immensément contestable, ça ruine intégralement le projet de son livre, prétendant que l’enseignant détient le savoir incontestable, si j’ai bien compris la 4e page de couverture.
    Bien sûr, cette position d'enseignant endoctrinant à l'obéissance servile ne mérite pas peine de mort (par décapitation ou euthanasie), mais c'est moche (voire coupable, à débattre) et pas innocent.

(17/11/2020) Lettre familiale/professorale
    J’ai reçu une lettre très intéressante de la partie Professeurs d’Histoire-Géo de ma famille. Cela m’aide à réfléchir, à peser les pours et les contres, sans toutefois me convaincre tout à fait. Je vais discuter ici des points concernant ce site-ci :
– « Professeur assassiné (…) Il faisait son travail »
--> Oui, mais un militaire français en mission au Mali pareillement « faisait son travail », et qu’il ait été tué après avoir tué lui-même… cela n’est pas scandaleux horrible atroce, spécifiquement parce que c’est « notre » camp (prétendu). Toute la question pour ce professeur me semble : est-ce que ce travail était anodin respectueux d’autrui ou bien un travail agressif et/ou malhonnête ? Les télévisions unanimes affirment le premier avis, j’ai l’audace d’avoir le second avis, argumenté : cet enseignement-là était indéfendable (si la liberté d’expression moqueuse était vraie, pourquoi le comique antisioniste Dieudonné serait persécuté comme il l’est ?), et les profs étaient/sont/seront « envoyés au casse-pipe » à dispenser ce discours malhonnête (raciste pro-juif au nom de la lutte contre l’antisémitisme, prétendu). Enfin, c’est choquant en soi (en principe), mais ça devient dangereux (pour les petits officiers endoctrineurs) si les populations d’élèves en face sont incomplètement idiotes soumises (à l’arbitraire injuste au nom de l’autorité – autorité imméritée à mon avis). [Autre aspect : les législateurs/journalistes/enseignants/juges français condamnent « la haine », mais pratiquent activement la haine envers les négationnistes, les sceptiques, les bouddhistes avec leur maxime antiréaliste « tout est illusion », oh non, ce n’est pas explicable honnêtement sans dictature installée au nom de l’autorité parachutée – très choquante vue d’en face, choqué, envisageant légitime défense.]
– « (…) enseigner comment son pays se situe (…) dans les valeurs (Education morale et civique obligatoire depuis 2012 je crois) »
--> Si c’est la scolarité depuis 2012, effectivement je ne l’ai pas connue (ayant fini la mienne en 1984). Toutefois de mon temps on avait déjà comme discipline « Education civique », je peux donc me faire une ébauche de jugement à ce sujet. Et j’ai entendu à la télévision (vers 2012 peut-être effectivement) que les professeurs auraient/ont en plus pour tâche d’apprendre le « vivre ensemble », le « respect » d’autrui, ce qui correspond peut-être au terme « morale » de la nouvelle discipline étendue. Mais ça me parait totalement aberrant, en ceci que j’ai démontré que la République (sujet de l’Education civique) est immorale ! par principe, indépendamment des corruptions ou dérives éventuelles. Je ne suis pas du tout le seul (anormal) à l’avoir perçu/compris : l’écrivain Etienne Chouard dit que la vraie démocratie, sur le mode athénien antique, n’est pas élective (du plus brillant/riche menteur) mais fondée sur tirage au sort de vrais représentants ; et un gilet jaune l’an passé brandissait une pancarte pertinente « voter, c’est choisir qui t’enculera ! » (ce qui est peut-être illégal, dit homophobe par les leaders trouvant magnifique la sodomie, donc je lis à la place « voter, c’est choisir qui t’écrabouillera, au nom de toi-même ! »). Il y a d’énormes objections au système de république en place (démocratie indirecte sans référendum d’initiative populaire, donc sans pouvoir pour le peuple de refuser une décision qu’il désapprouve entièrement). Les valeurs de la République sont un contraire des valeurs de la démocratie, et ça les profs le cachaient/cachent/cacheront, ne serait-ce que par devoir de réserve (exigé des fonctionnaires), ce n’est donc nullement un honnête exposé de valeurs, mais un endoctrinement cachant/punissant les objections. Oui, ça me semble très militaire, comme appel à l’obéissance servile (comme dans le film effarant sur les US-Marines, commandant comme seule réponse : « yes-sir, sir ! »), la plus stupide possible, la plus oublieuse des valeurs morales venues d’ailleurs (religions ou altruisme/relativisme athée, notamment).
– « l’enseignement des principes qui fondent la République (et la civilisation mondiale) »
--> J’ai eu cette instruction civique expliquant la République, disant qu’il y a tant de centaines de députés et de cantons, deux chambres dont celle des sénateurs élus par les élus, etc. Mais… jamais on ne m’a expliqué (ou signalé) que les sénateurs, richement payés/avantagés, sont des politiciens copains des élus mais refusés par le peuple auxquels ils ne sont pas soumis, la loi organisant ce doublage du peuple tout en s’affirmant menteusement démocratie (= « le peuple à la pouvoir »). Jamais on ne m’a dit que le député fait ce qu’il veut et non ce que veulent ses électeurs, et même s’il est viré la prochaine fois il aura pu décider entretemps tout le contraire de ce que veut le peuple. Chut : silence, ce n’est pas du tout le sujet, de comprendre la pourriture faite loi, il ne s’agit que de réciter les lois en question. Oh non, cette éducation n’était nullement éveilleuse d’intelligence critique mais de soumission à la domination en place, à voir comme « formant les murs normaux de la classe ». De même au niveau mondial, on m’a expliqué l’ONU représentant tous les pays (tel nombre précisément, et tel et tel précisément par continent, etc.), dont le Conseil de Sécurité et l’Assemblée des Nations, avec 5 droits de véto (USA, URSS/Russie, Chine, France, Royaume-Uni), c’était à réciter par cœur… mais jamais on ne m’a signalé qu’avaient ainsi droit de véto privilégié les 17e et 19e population du monde (ex-colonialistes ne respectant pas les humains classés « indigènes »), quand ce droit était refusé aux 2e et 4e populations du monde, ex-colonisées donc jugées inférieures en dignité et en droits… (dont l’Indonésie musulmane, et si elle avait équitablement/humanistement droit de véto, cela bouleverserait la direction du monde). Non, chut : ne surtout pas faire comprendre les ressorts de l’injuste domination en place, menteuse en se prétendant démocratique (« 1 humain = 1 voix »). Ce n’est pas de l’enseignement, c’est de l’intoxication active. (Et bien sûr que ça peut choquer, entrainer rébellion voire hélas violence – moi gamin, je me laissais « acheter » par les bons points, les super-notes, mais un autre tempérament davantage objecteur aurait pu réagir différemment).
– « transcrits dans la Déclaration des droits de l’homme française (1789) et mondiale (Déclaration Universelle 1948) est un exercice difficile sur des thèmes abstraits. »
--> Personnellement, j’ai démoli point par point la légitimité morale (et logique) de ces deux déclarations, et d’autres (« de l’enfant », « européenne », etc.). J’ai fait cela à l’âge adulte (après mon second suicide, m’ayant libéré du sentiment « ce monde ne m’intéresse pas »), à titre de loisir, mais jamais l’école ne m’a fait réfléchir avec intelligence critique aux horreurs cachées dans ces textes. J’ai par ailleurs lu (vers 2010 ?) dans un texte de Stéphane Hessel (célèbre pour le pamphlet « Indignez-vous ! » et ex-rédacteur de la DUDH) qu’il est notoire (excellent selon lui) que la Déclaration Universelle n’est absolument pas du tout universelle mais a été imposée par manœuvres et chantages, pour obtenir la signature des dirigeants d’états la désapprouvant (entièrement ou presque). L’enseignement « positif », sans aborder les défauts énormes, me semble valoir endoctrinement, surtout quand on appelle « contrôle de connaissances » la récitation servile : « quel article de la DUDH garantit la liberté de culte religieux ? »… sans aucunement aborder ce qui ficherait en l’air nos gouvernants, payant les profs : « pourquoi la DUDH garantit la liberté de rite religieux tandis que la loi française interdit le voile islamique ? (et pourquoi le masque féminin islamique était ici classé inadmissible car cachant le visage… avant que le masque sanitaire soit affirmé obligatoire sous peine d’amende ?) ». Non, école de stupidité imposée (au service de la guéguerre en cours contre les antisionistes ?), pas du tout d’explication honnête (puisqu’il n’y a rien d’honnête à expliquer, les horreurs étant discrètement pratiquées avec mensonge officiel sur les valeurs prétendues).
– « (…) travailler sur des caricatures politiques ou sur des journaux satiriques (Canard, Charlie) suppose que les élèves comprennent le 2e degré, l’humour, ce qui n’est pas le cas… des élèves de 4e. »
--> Euh, la généralisation me parait abusive, ou spécifique aux « enfants (de 13 ans) de maintenant ». Dans les années 1970 (1973 à l’âge de 9 ans ?), j’avais reproduit avec délice une caricature du ministre Valery Giscard d’Estaing trouvée dans l’hebdomadaire humoristique Pilote, qui faisait sourire toute la famille, et de nombreux camarades de classe. Peut-être pas tous, effectivement, selon les lectures des familles, et peut-être moins encore maintenant, je ne sais pas. Il me semble que la société s’est considérablement crispée par rapport au monde « juste après la libération 1968 vis-à-vis des coincés dominants ».
– « Donc Samuel Paty prenait un risque évident… ou avait une vocation de provocateur… ou de martyre. Triste histoire. »
--> Oui, il est abominable que cela ait été sanctionné par « mise à mort » sauvage, mais… Hum, les médias déclarent intolérable ce « Oui mais », portant il me parait très judicieux, pertinent, intelligent (certes l’intelligence critique est bannie par l’esprit guerrier exigeant obéissance servile aux commandements)… Avec un peu de recul, ça a encore été illustré hier ou avant-hier, une bande en bas d’écran sur chaine d’information signalant une nouvelle non discutée par débatteurs : quelque chose comme « le président Macron a fait part de sa profonde désapprobation envers le New York Times, qui présentait les derniers attentats en France comme compréhensibles du fait de republication des caricatures de Mahomet, le président Macron clamant que cela valait hélas approbation/apologie du terrorisme ! ». Effectivement, les médias français aux ordres (du président et de leurs patrons engagés dans le même sens), oublient de faire preuve d’intelligence critique qui jugerait les fautes éventuelles des deux côtés. Non, pour le pouvoir : journalistes et professeurs sont là pour clamer le point de vue des politiciens aux commandes ici et maintenant, normalement il ne faut même pas le comprendre mais prendre ça comme « l’évidence du Bien », à « enseigner »/réciter et rappeler en « Informations » (en clamant que la « propagande » ça n’existe bien sûr pas du tout chez nous de la part des autorités)… Triste tableau, et ça a tué, donc. Je ne dis pas que les révoltés en face constituent eux le Bien, mais que notre système en place est un Mal, en affirmant le contraire.
– « Autorité. Enseignement. /C’est le seul domaine où je ne suis pas d’accord avec toi : le but n’est pas d’endoctriner mais de FORMER. /Si au XIXe siècle et au début du XXe on a conçu l’enseignement comme un catéchisme républicain, ce n’est plus le cas depuis fort longtemps. Si tu as subi un endoctrinement je me demande où ! /Quand un prof décrit la population américaine, il n’impose pas d’aimer les blancs ou les noirs. Quand il raconte le fonctionnement du communisme chinois, il ne demande pas d’y adhérer. Il s’agit d’informations. /Personnellement, l’ai toujours laissé de la place aux élèves pour poser des questions, garder l’esprit en éveil, on appelle ça l’esprit critique. D’ailleurs sans rire, tu es bourré d’esprit critique, non ? »
--> En classe de CM1, avec Monsieur Barbier et sa méthode dite Freinet, je me suis rebellé quand (sur l’exemple du mot « accueillir ») il a dit que « l’orthographe française est logique ». Non, monsieur, « ei » devrait se lire « è » comme dans veine, peine, reine, Seine, ou « é » comme dans vieillir, mais pas « eu » si c’était logique, et les exceptions à apprendre par-cœur sont antilogiques. Et, intelligemment, pour le « Bien pour tous », il aurait pu me dire : laisse-moi diriger la classe à faire ce qui est exigé par les autorités, on en discutera de manière plus fouillée en fin de journée (en m’expliquant l’écriture phonétique comblant mes vœux de logique, en m’invitant à inventer une phonétique en lettres standards de machine à écrire, etc.). Mais non : ça a plutôt été quelque chose comme « obéis et tais-toi, ça c’est félicité de bonne note, si tu n’es pas sage au contraire attention tu risques une mauvaise note, ou exclusion/interdiction de faire le métier que tu souhaites quel qu’il soit ». Endoctrinement à gober l’illogisme, refouler/casser l’intelligence clairvoyante, oui. /Autre exemple en CM2, le professeur Monsieur Benoit qui était blanc antillais nous régalait avec des images paradisiaques d’îles tropicales (merci à lui, même s’il tempérait parfois notre enthousiasme par « du calme, si vous n’êtes pas sage : on fait une leçon de grammaire, attention ! »), mais le message que je n’ai pas perçu était : « la France Outre-Mer, c’est une fabuleuse conquête, merci à nos colonialistes de jadis ». (Ce qui était cohérent avec, en Histoire : la victoire française d’Austerlitz, c’est magnifique fabuleux, la défaite française de Trafalgar, c’est affreux injuste). Avec le recul, j’appelle ça de l’intoxication au nationalisme, approuvant les tueries effectuées (par « notre » camp exclusivement) pour dominer, conquérir, coloniser (ce qui se retrouve jusqu’à Janvier 2020 avec le projet de loi LaREM pour criminaliser l’antisionisme). La « préparation » scolaire ne me semble pas du tout innocente, mais inculquant des horreurs. /Pour la période adolescente, j’étais tout cassé (sentimentalement) inapte à l’esprit critique ni même à « entendre » les cours scolaires. J’ai le sentiment d’être sorti de la scolarité sans du tout avoir les éléments pour comprendre le monde (légitimité ou non des conquêtes étasunienne et israélienne, notamment, et compatibilité entre le dogme historique Gayssot et l’épistémologie philosophique déniant que la Science actuelle détient le Vrai indubitable – ou en « informe » les élèves/la population), mais le programme est peut-être différent pour les jeunes d’aujourd’hui, je n’en sais rien. /Longtemps après le Bac (et après mon second suicide à 34 ans, même), j’ai eu la curiosité de vérifier le premier théorème de statistiques (discipline qui me parait scandaleuse illogique, affirmative à tort) : le fait de calculer la variance en divisant par N si c’est la population entière et par « N-1 » si c’est un échantillon, pour qu’il n’y ait pas de biais. Or j’ai prouvé un biais, systématique et d’ampleur précise constante quelles que soient les valeurs collectées. De proche en proche, j’ai prouvé faux le théorème*, et imbécile sa prétendue « démonstration » présentée sur Wikipédia, et j’ai voulu publier là une correction, mais on m’a censuré, clamant que j’insultais là des grands-hommes et la totalité du corps enseignant, que j’étais un « fou littéraire » (en rien autorisé à parler). Bref, peu importait la vérité mathématique, il fallait se coucher sous l’autorité professorale, par principe scolaire… Et, de même, les autorités politiques appellent à se coucher sous leur autorité, il est très logique qu’elles fassent passer ce principe via l’école. Endoctrinement à la servilité, de moutons dociles, gobant ce qu’on leur dit, même très faux. Endoctrinement oui. Et avec mon intelligence critique, je suis passible de deux ans de prison, pour délit d’opinion affirmé « délit de droit commun » avec l’approbation de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, toute pourrie illogique très mauvaise (mais respectée au garde-à-vous par les « bons élèves » puisque l’école le leur a « appris »). J’ai résisté à l’endoctrinement, et ça c’est interdit, puni.
* : Ce n’est pas n’importe quoi, erreur par inadvertance sans guère d’importance, c’est une double faute menteuse permettant de calculer (faussement) là où ce n’est pas autorisé mathématiquement (et ça rend fausses les modélisations gaussiennes « normales », c’est une bombe !). Je l’ai prouvé : la formule du cours n’est valide que dans le cas de population infinie ; avec population finie, il faut prendre en compte (donc connaître) l’effectif de cette population sans quoi on ne peut pas calculer la variance (sauf faute donnant résultat erroné, biaisé), et il y a deux formules très distinctes selon que l’échantillonnage est « sans remise » ou « avec remise » (ce qu’on sait toujours, on n’a pas à « ne pas se poser la question pour calculer »). Mais scolairement, et à l’université et dans les logiciels de calcul, on fait gober l’erreur, tout a été préparé en ce sens, puisque la scolarité est un endoctrinement à réciter/jongler avec les prétendues informations fournies, même fausses, sans se poser de questions (punies « normalement » de mauvaises notes, en récitation/jonglage).

(18/11/2020) Confirmation d’école endoctrinante anti-intelligence anti-liberté (suite de l'ajout du 06/11/2020)
• (11/11/2020)
   Le premier des deux livres commandés que j’ai reçu est « Savoirs, opinions, croyances. Une réponse laïque et didactique aux contestations de la science en classe » par Guillaume Lecointre (Belin Education 2018). En introduction page 9, je suis déjà choqué : « Même si notre démocratie garantit la liberté d’opinion et de conscience, cette même démocratie, parce que républicaine, ne peut tenir que si chacun ne croit pas n’importe quoi. » C’est tout à la fois une confusion et une contradiction, invalidant presque déjà tout le livre…
– Confusion :
1/ La démocratie est le gouvernement par le peuple, donc la France (au moins depuis 1870, peut-être 1789) n’est pas une démocratie, puisque les gouvernants imposent ce qu’ils veulent, même impopulaire, avec interdiction du référendum d’initiative populaire qui les mettrait au pas. Le fait qu’il y ait élection périodique (de prétendus représentants, principe de la république dite démocratie indirecte) n’y change guère le principe : les électeurs en colère virent systématiquement les gens au pouvoir, quand l’échéance électorale arrive, mais les suivants font pareillement ce qu’ils veulent, eux et non le peuple, et ça s’appelle « l’alternance », autrement dit « le peuple est toujours cocufié par les faux représentants menteurs ». Cette situation organisationnelle ne signifie pas du tout la liberté, au contraire : il n’y a pas liberté du peuple de virer instantanément les gouvernants trahissant la volonté populaire.
2/ La plupart des prétendues démocraties se disent libérales mais ce n’est en rien une obligation de principe démocratique (sauf amalgame routinier dans les discours, erronés) : j’ai lu que durant la renaissance italienne, les premières démocraties modernes étaient antilibérales, les vainqueurs d’élections faisant assassiner les perdants/opposants (sauf exil terrorisé) par la police publique au nom de la volonté majoritaire. C’est tout le contraire de la liberté de pensée. Même sans abus des gouvernants trahissant le peuple, une majorité des électeurs pourrait être intolérante broyant les minorités, ce n’est en rien exclu par le principe « pouvoir à la majorité des gens du peuple ».
– Contradiction : le fait d’opposer ici démocratie (directe, très libre) et république (indirecte, dirigée) semble signifier que le peuple doit obéir aux croyances commandées par le groupe détenant le pouvoir, mais ce n’est en rien de la liberté ! C’est un jeu de mots de s’être prétendu démocratie (libérale) pour finalement fonctionner comme une dictature (antilibérale). Mensonge. Je le refuse, et n’adhère pas à ce bla-bla menteur, incorrect. Ça se prétend didactique dans le sous-titre du livre (didactique : « qui vise à instruire » selon Google), mais je ne suis pas d’accord : l’enseignant est ici menteur, immensément contestable, ça ruine intégralement le projet de son livre, prétendant que l’enseignant détient le savoir incontestable, si j’ai bien compris la 4e page de couverture.
• (18/11/2020)
   La suite du livre n’est pas du tout convaincante, quoique intéressante, je réagis surtout à un sous-chapitre pour moi insultant l’honnêteté intellectuelle, en prétendant abusivement au savoir logique : « Les six attendus cognitifs du savoir scientifique /Deuxième attendu : le réalisme » (pages 28-32) : « Il n’y a aucun sens à l’activité scientifique, en tant que poursuite d’un projet de connaissance universelle, si ce réalisme n’est pas de mise. »
--> C’est invraisemblable de mauvaise foi, d’illogisme. En effet : oui, peut-être qu’est insensée la démarche scientifique, puisque n’est pas invalidable l’hypothèse du rêve (mien, présent, hypothèse antiréaliste), présupposer que la démarche scientifique est sensée « donc » que cela invalide l’hypothèse du rêve, c’est une faute logique de pseudo-démonstration circulaire. Pourquoi ai-je raison ? j’ai raison puisque j’ai raison, donc ça prouve bien que j’ai raison… non, ce n’est pas « bien » prouvé, c’est invalide en logique, faux raisonnement conduisant à n’importe quoi (démontrer La Vérité du Coran, ou de la Bible, ou de la Torah, ou des écrits Maya, ou des aventures de Superman, ou de Mickey Mouse, etc.).
   Enfin, l’auteur est tellement nul et fier qu’il n’envisage même pas l’enfantine hypothèse du rêve (base du doute cartésien pour essayer de fonder la Science), il se contente de roucouler d’érudition pour exclure les verbeux constructivisme, nominalisme, idéalisme, essentialisme.
   Bref, c’est au nom d’un faux savoir, illogique stupide et pourtant prétentieux, qu’est bâtie l’école de la république. Que les petits officiers endoctrineurs (de la population obligée) soient mal reçus, ça me semble très normal, évident, juste, lucide.
• Autre aberration grave, plus grave encore car avec punition de prison en cas de désaccord (loi Gayssot) : « La preuve historique vaut autant que la preuve expérimentale /La preuve historique » (pages 52-56) : « consiste à observer des faits, à les mettre en cohérence, puis à déduire (plus exactement à inférer) les conditions du passé à l’origine de ces faits. (…) C’est bien le rôle qu’on attend d’une théorie : qu’elle rende compte d’un grand nombre de faits sans avoir à ajouter d’hypothèses non documentées. »
--> C’est encore faux, illogique : tant que l’hypothèse du rêve n’a pas été invalidée, et elle ne l’a pas été, les prétendus « faits » ne sont que des « faits apparents », détails quelconques peut-être décidés n’importe comment (avec incohérence très possible) par le rêveur si je rêve, et l’hypothèse que je ne rêve pas n’est pas documentable, ne reposant sur rien, qu’un choix arbitraire, partisan, illogique sans relativisme prudent.
   Autre aspect de l’erreur commise : affirmer que le présent découle automatiquement du passé. Ce n’est pas du tout une évidence logique mais un choix de matérialisme, d’autres possibilités étant la création instantanée par le Moi qui rêve, ou par Dieu en version religieuse croyante. Oui, un jeune chrétien ou musulman peut répondre au professeur : « vos os de dinosaures, que vous prétendez incontestablement vieux de 370 millions d’années, peut-être qu’Allah les a créés il y a mille ans comme apparemment vieux, vous n’en savez rien, vous ne faites que choisir de ne pas l’envisager, de condamner cette hypothèse qui est peut-être la vérité, vous n’en savez rien, vous n’avez pas de savoir mais une simple croyance, différente de la mienne, éh ouais m’sieu, ‘sauf vot’ respect ! ». Et le jeune (puni de mauvaise note ou exclusion) aurait raison, le fier prof (ou prof de prof) aurait simplement oublié de réfléchir, de douter avec intelligence critique, pour imposer sa chapelle matérialiste sans preuve aucune (si l’axiome matérialiste est logiquement admis comme récusable, vu d’un cran en amont).
• La suite continue dans la confusion incomprise, crue très solide. Notamment « La preuve historique vaut autant que la preuve expérimentale /La preuve expérimentale ou ʺhypothético-déductiveʺ » (pages 56-58) : « les biologistes peuvent observer l’évolution dans leur laboratoire (…) certaines adaptations apparaître (…) on s’est aperçu que les moustiques du métro de Londres ne sont pas interféconds avec les moustiques de la surface, alors qu’ils sont issus de la même souche de Culex pipiens (…) documenter expérimentalement ce qu’on appelle ʺl’apparition de nouvelles espècesʺ. »
--> Ça confirme que le très fier auteur, jouissant d’étaler ses « connaissances » en noms latins (gage de « valeur » diplômée), est handicapé en intelligence critique, autocritique (ou se montre tel, si c’est mensonger en propagande).
1/ Le fait que des évolutions soient possibles maintenant ou depuis le siècle dernier ne prouve en rien que la Nature terrestre a été gouvernée par l’évolution depuis 3 milliards d’années. Si Yahvé/Dieu/Allah a créé l’humain il y a six mille ans à partir de poussière genre sable, ce n’est pas parce qu’on peut sélectionner actuellement des moustiques mutants que cela prouverait que singes et humains avaient un ancêtre commun il y a 15 millions d’années, suivi des premiers humains avérés il y a 3 millions d’années. Faire la confusion est se tromper de sujet, pour se donner raison, à tort.
2/ Comment a-t-il été prouvé que les moustiques de métro et de surface sont issus d’un même ancêtre ? Vraisemblablement par analyse ADN montrant des identités partielles (comme la technique Blast 16S que je pratiquais professionnellement pour les bactéries), mais ces identités/similarités ne prouvent rien par elles-mêmes, ce n’est qu’en aval du dogme évolutionniste que cela est interprété comme parenté issue d’un ancêtre commun. Or utiliser ce résultat (obtenu en aval de l’hypothèse Evolution) pour dire qu’il prouve l’Evolution, c’est circulaire, donc invalide. Comme « j’ai raison puisque j’ai raison ». Or moi rêveur, ou Dieu, nous aurions parfaitement pu générer ces résultats ADN sans qu’ait existé d’ADN autrefois, ou de filiation matérielle entre moustiques comme prétendue.
3/ Dans le domaine taxonomique bactérien (dans lequel je travaillais), la création de nouvelles espèces est de la très grande routine, mais ça n’a rien à voir avec l’interfécondité, c’est simplement « une façon de parler », une nouvelle convention de regroupements parmi des résultats divers. Oui ça évolue aujourd’hui, ça évoluera vraisemblablement demain, au gré des fantaisies de classement et des apports de nouveaux outils descriptifs (de caractères peu évidents), mais ça n’a aucun rapport avec l’origine dite prouvée simiesque de l’être humain. Bref, en combattant le fanatique clamant « toute Evolution des espèces est absolument impossible », le prof prétend avoir prouvé « c’est l’Evolution qui a gouverné le monde entier, c’est absolument prouvé », alors que la sagesse logique est au contraire dubitative : « l’Evolution est possible, ne serait-ce qu’actuellement, mais : que ce soit ce qui s’est passé depuis des milliards d’années (ou pas) pour aboutir mécaniquement au monde actuel, on n’en sait rien de rien. Les évolutionnistes le croient, ils peuvent se tromper. »
   Ça confirme le cadre de ce livre : mal consolider un faux savoir, opinion se prétendant à tort indéniable pour écraser les autres opinions, méprisées. Enfin, comme détail personnel propre à un quidam un peu buté, ce ne serait pas grave (très tolérable au titre de la liberté d’opinion butée), mais ça devient grave quand ça sert de justificatif à manœuvre officielle d’endoctrinement sévère, avec punition des « mauvais élèves » et violence en retour, plus ou moins en « légitime défense », jusqu’à l’excès horrible qu’est la décapitation de professeur ne faisant que son travail – comme tuer un petit soldat qui ne faisait qu’obéir aux ordres commandés sévèrement. Il vaut mieux mettre en accusation le général (ou président commandant aux généraux), le prof de profs (ou ministre) décidant la direction très contestable (ou horrible).
• Autre idiotie profonde plus loin : « La preuve historique vaut autant que la preuve expérimentale /Des preuves scientifiques complémentaires » (pages 58-60) : « Les sciences des structures ont pour rôle (…) et de nommer ce qui est (…) rationnellement (…) permet (…) d’expliquer (…) ».
--> Ce qui « est » ? Tout au contraire, le sage indien Sri Maharaj dans le livre « je suis » explique sa conclusion que, peut-être rien n’est, sauf le moi (selon lui, il ne descendrait peut-être pas de ses prétendus parents, etc.). C’est en partie la position de mon scepticisme égocentrique, aussi (« peut-être que rien n’existe, peut-être que toutes les apparences passent par moi, personnage peut-être rêvé »). Mais le professeur scientophile, puisqu’il n’a pas réfléchi, récite là son dogme réaliste, pas démontré mais cru, et affirmé à tort « savoir », c’est pire que nul, c’est de la crasse intellectuelle. Et se clamant seule détentrice de la raison, « bien sûr » (c’est cohérent dans la pourriture totale).
   « Expliquer » relève du bla-bla, avec des millions de variantes envisageables, en concurrence (théoriquement loyale), ça n’a rien à voir avec « détenir la preuve (de seule explication possible) ».
• Le thème grave des négationnismes (certains étant en France punis de 2 ans de prison, l’école doit en informer les élèves, non autorisés à douter, mêmes arguments imparables à l’appui) est abordé page 60, disant qu’il faut croire les historiens décrivant actuellement l’ancienne bataille de Waterloo même s’ils n’ont pas de machine à remonter le temps pour aller voir ça, et que les négationnismes de l’histoire sont des postures idéologiques.
--> Je ne suis absolument pas d’accord. Encore une fois, puisque l’hypothèse du rêve n’a pas été honnêtement parée, peut-être que la bataille de Waterloo n’a pas existé (ailleurs que dans son récit présent, ou dans les boulets de canon apparemment vieux que je peux aller déterrer là-bas, sans prouver que ce soit autre chose que les modalités n’importe comment du rêve).
   Enfin, je comprends la manœuvre : il s’agit de dire que les objections sont de la pure « idéologie », ce qui (avec les valeurs dominantes actuelles en France) vaut insulte comme « partisan non crédible », par opposition à la science se basant sur les faits indéniables, objectifs. « Paf, c’est solide, imparable » croit cet idiot. Mais il se trompe : c’est réciter son parti-pris réaliste qui n’est qu’un choix, erroné si je rêve. Et puisqu’il ne me convint en rien, il n’y a pas du tout unanimité de constat et ses prétentions à l’objectivité sont donc fausses, il s’agit de subjectivité (s’opposant à d’autres subjectivités, avec la spécificité de vouloir les écraser par pure intolérance dominatrice dénuée d’arguments)…
• Page 82, je note une faute logique montrant l’abus de pouvoir de l’auteur et ses pairs : « Le registre des faits nourrit le registre moral. S’il est un fait avéré que fumer augmente le risque de mourir d’un cancer, tu ne devrais pas fumer dans cet espace public, car alors tu ferais subir à autrui, sans lui demander son avis, un risque que tu consens à prendre pour toi-même. »
--> La notion de risque est une proportion, une fréquence, et cela n’a aucun rapport avéré avec une causalité, sauf pour les ânes simplificateurs (comme cet auteur). Il constate qu’il y a davantage de fumeurs avec cancer que de non-fumeurs avec cancer, et il en « déduit » que fumer cause le cancer (« donc » ceci et cela), or c’est invalide : peut-être que les prémisses du cancer augmentent l’envie de fumer (qui serait conséquence et non cause), et fumer n’entrainerait pas le cancer, ne pas fumer n’éviterait pas le cancer d’apparaître. Avoir parlé de « fait établi » est un abus total, certes courant en (fausse) science, oubliant de réfléchir et condamnant les objections au nom de l’autorité (professorale ou célèbre). Note : la causalité inverse n’est pas la seule alternative à la causalité, il y a plein d’explications envisageables pour une corrélation (tiers-facteur commun, etc.), mais pour les prendre en considération il faut accepter de ne rien pouvoir conclure, ce qui fait perdre budgets et aura médiatique, la science moderne est tout le contraire, sans crédibilité.
• Pages 84-85, un autre mot me choque : « universalisme parce que les attendus cognitifs qui sont à l’œuvre (…) sont considérés comme mobilisables par tout être humain souhaitant jouer le jeu (…) En science, le ʺjeuʺ consiste à expliquer collectivement et rationnellement le monde réel, et les ʺrèglesʺ sont les six attendus cognitifs (…) »
--> Ce mot « souhaitant jouer le jeu » est presque un aveu d’autocontradiction : un jeu, on choisit ou non d’y jouer, la participation au jeu en question n’est en rien une exigence de la raison, même si une fois accepté d’entrer dans le jeu une des modalités consiste à y prétendre que la raison est là, toute la raison, ce qui est faux si on n’est pas entré dans le jeu. Non, ce jeu n’est pas universel puisque c’est un choix.
   Quant à l’expression « mobilisables par tout être humain », elle n’est absolument pas probante non plu’. Les religions prosélytes (non racistes) comme le christianisme et l’islam sont ouvertes à tous, avec des dogmes parachutés « mobilisables par tout être humain », et pourtant choisir d’y adhérer n’est qu’un choix subjectif, une opinion voulant y croire, pas du tout un savoir objectif. (Euh, à une page précédente, 76, l’auteur disait que le caractère collectif des vérificateurs garantit l’objectivité, « produiront une qualité collectivement acquise qu’on appelle l’objectivité », mais c’est faux : puisque ce collectif est limité aux participants en ce jeu, il s’agit de leur subjectivité commune, convaincante en rien pour ceux refusant d’entrer dans ce jeu.)
• Page 87, nouvelle absurdité : « Si l’interface entre science et religion est parfois conflictuelle (…), c’est que les franges les plus conservatrices de certaines religions sont hégémoniques et ne supportent pas l’autonomie des sciences dans la validation des savoirs. »
--> Je dirais l’équivalent contre la chapelle de cet auteur, n’ayant rien compris : si l’interface entre philosophie et science est très souvent conflictuelle, c’est que la très grande majorité des scientifiques sont hégémoniques et ne supportent pas l’autonomie du scepticisme dans l’invalidation des prétendus savoirs. Paf : zéro pointé à l’auteur, fier à tort, donneur de fausses leçons. Et immoral en s’autorisant ce qu’il condamne chez les autres. (« Faites ce que je dis, pas ce que je fais ! »)
• Pages 90-91, nouvelle erreur lourde, énormissime : l’auteur prétend que la science s’appuie sur du connu incontestable, en essayant de l’étendre pour diminuer l’étendue de l’inconnu.
--> C’est faux : ce qui est prétendu connu un jour peut être contredit par une théorie admise plus tard, cassant ce qui était cru connu, démenti. Et c’est très capital, car cela ruine le projet du livre, prétendant à savoir scientifique incontestable, par opposition aux croyances religieuses, fantaisies personnelles. Eh bien non, le contenu actuel des sciences est lui-même une croyance temporaire et subjective (ou intersubjective entre partisans alliés), risquant effondrement si sont démenties par l’expérience ultérieure certaines des prétendues lois (page 60 : « une loi [scientifique] est un énoncé universel de portée illimitée dans l’espace et dans le temps »). Ainsi, plein de prétendues lois que j’ai apprises à l’université dans les années 1980, et prétendues « prouvées, indubitables » sont passées aux oubliettes, car prouvées fausses dans les décennies suivantes. L’épistémologie l’envisageait déjà à l’époque, avec pertinence, mais l’auteur est nul en philosophie, étant militant activiste et pas penseur sage. Que cela fonde la légitimité de l’enseignement signifie que c’est une entreprise imbécile d’abrutissement, pour que les formés rejoignent les formateurs, à lucidité nulle.
   Cette entreprise d’intoxication ne justifie pas en retour mise à mort par décapitation, certes, pas du tout, mais le projet est abominable, et génère presque automatiquement résistance, inimitié, conflit (si les élèves ne sont pas totalement des moutons sans cerveau).
• Plus loin, dans sa critique des idéologies, l’auteur dit qu’elles sont opposées aux sciences qu’elles détournent, et il écrit page 112: « une idéologie (…) n’est pas sceptique sur les faits ».
--> Cela fait référence aux pages 23-27 « le scepticisme initial », disant qu’il faut écouter les réponses que donne l’expérience sans les déclarer certaines à l’avance (ici, il veut dire que les idéologues présupposent les réponses confortant leur thèse et refuseront tous les résultats en désaccord). Sauf que ce n’est pas ça, le scepticisme total sur les faits (prétendus) : c’est mettre en doute leur caractère autonome et spontané, via l’hypothèse du rêve, déniant qu’il y ait perception objective de ces faits puisqu’autrui apparent serait une marionnette inventée. En ce sens, les scientifiques (convaincus, pas professionnels faisant ça à titre alimentaire) sont des idéologues réalistes, pas du tout sceptiques.
• Page 115, en conclusion, l’auteur signale que l’école de la république s’est construite dès 1792 comme enseignant « des savoirs, et non des opinions ou des croyances religieuses. »
--> Il oublie simplement d’envisager que la science n’est pas un savoir objectif mais une croyance, une opinion bâtie après avoir interdit le scepticisme, l’hypothèse du rêve, ce qui n’est pas une exigence de la raison mais un parti-pris contestable (envisageable mais facultatif, sauf intolérance antilogique).
• Page 116, en référence à son titre de chapitre « l’espace scolaire est un espace politique », l’auteur écrit : « Faire société commune, c’est d’abord avoir des connaissances communes (…) les savoirs acquis à l’école. »
--> C’est faux, cela est spécifique de société uniforme, dictatoriale interdisant les choix différents. Certes, il parle ici de « connaissances » pas d’opinions, mais je doute qu’il y ait des connaissances objectives, ce que m’interdit l’auteur, sans argument aucun puisque je suis socialement intégré à cette société (en ayant fait semblant de croire pour être diplômé en récitant ce qui était exigé). La lucidité sceptique, percevant l’abus de pouvoir des enseignants prétendant au savoir, à la connaissance, ne détruit pas la société, cette lucidité est simplement une prise de recul dubitative, une intelligence critique (dont l’auteur est dépourvu, presqu’entièrement).
• Pages 116-117, l’auteur condamne la plupart des pays, parce que leur école ne base pas la biologie sur l’Evolution darwinienne mais laisse la porte ouverte au créationnisme ou « Intelligent Design » (d’évolution programmée par Dieu). Pour lui, la voie française est la seule bonne au monde, « Il s’agit d’outiller les personnes d’un bon usage de l’esprit critique ».
--> C’est faux : c’est par dictatoriale interdiction d’esprit critique que s’impose la science obligatoire sans avoir invalidé l’hypothèse du rêve. Les pays qui autorisent l’explication religieuse ont au contraire compris que, si Dieu tout puissant existe (ce qu’on ne sait pas mais qu’on peut envisager, rationnellement), la démarche scientifique hégémonique est erronée, affirmant des lois jusque des milliards d’année en arrière alors que l’Univers a pu être créé il y a six mille ans en arrière (ou la nuit passée pour la variante onirique de Dieu = Moi qui rêve).
• Page 117, « Un esprit ʺde critiqueʺ qui n’est pas méthodologiquement structuré peut mener, à terme, à un scepticisme généralisé, au mieux au nihilisme, au pire à l’atomisation des représentations du monde, à l’archipel infini des croyances socialement locales, à la paranoïa entre îlots de croyances contradictoires, et au complotisme. »
--> C’est une avalanche de crachats sans argument aucun, présupposant que le scepticisme c’est mal, que les divergences de convictions sont absurdes, ou maladives (« paranoïa » est un terme prétendu médical, et « complotisme » à l’heure actuelle est synonyme de « délire » psychotique ou pervers). Au contraire, il me semble que le scepticisme est une rare lucidité, très supérieure en légitimité intellectuelle et morale à l’embrigadement scientifique interdisant objection de principe. Et le fait que je dénonce la domination malhonnête des puissants et leurs innombrables lieutenants sera qualifié de complotisme alors que ce n’est pas ça du tout : la domination écraseuse est évidente au grand jour, ne faisant l’objet d’aucun complot secret en cachette.
   Par ailleurs, l'emploi du mot "peut" est déloyal, car effectivement "à peu près tout est possible" même si non survenu. La science "peut" exterminer l'humanité avec les bombes atomiques, etc. Si elle ne le fait pas, ce "peut" n'est pas un argument honnête dans les débats, mais un rhétorique outil de diabolisation partisan.
• Page 118 : « Celui qui reçoit un enseignement se pose momentanément comme crédule consentant. »
--> C’est faux : dès l’âge de 8 ans et demi, j’ai prouvé mon instituteur en faute logique, et ainsi jusqu’à l’enseignement universitaire dont j’ai prouvé la fausseté au moins partielle. Certes, pour ne pas être exclu, il faut « rentrer dans le rang » et se soumettre à l’autorité, abusive, mais c’est de la dictature, par plus stupide que soit. Être soumis, c’est être victime hélas (sans défense face à l’abus de pouvoir et la menace), pas être « consentant » approbateur.
• Page 118 encore, avant-dernière page : « l’esprit critique (…) nous permettant (…) d’exercer plus rationnellement nos devoirs et jouir de nos droits, y compris de nos droits politiques, il fonde par là même notre qualité de citoyen. »
--> C’est du bla-bla mensonger endoctrineur : la scolaire Education Civique m’a transmis les interdictions commandées par les dominants, même aberrantes ou clairement menteuses contradictoires, et le droit politique interdit le vœu rationnel (démocratique vrai) de renverser ces atroces dominants aussitôt. Tout est organisé pour faire des élèves de futurs moutons obéissants, très abrutis, ou hurleurs en « manifestations » défouloir avant de se coucher sous l’autorité, pleine et entière (même si c’est temporaire en république élective, avant de virer les menteurs au pouvoir pour choisir d’autres menteurs hélas, approuvés par le système depuis la règle des « 500 signatures d’élus »).
• Page 119, mots finaux du livre : « le projet républicain français (…) prévoit que, pour que nous soyons égaux en droits et en devoirs, nos ayons besoin d’un esprit critique structuré et de savoirs communs. Y compris de savoir que l’évolution existe (et non seulement de le croire) : c’est un résultat scientifique. C’est en cela que l’espace scolaire (…) est avant tout un espace politique, et le plus noble qui soit. »
--> Effectivement, ça me semble « noble » mais pas au sens de « vertueux » plutôt au sens de « domination aristocratique horrible ». Ces résultats scientifiques là ne sont en rien La Vérité mais des théories/croyances en instance de réfutation, et secondaires au choix partisan (pas spécialement intelligent) de renoncer au recul sceptique.
   Bilan : ce livre me confirme entièrement que l’éducation (publique française) est une entreprise d’endoctrinement à la stupidité approbatrice, des scientifiques dominants (sans arguments face au scepticisme). Cet écrasement injuste mérite résistance, mais celle-ci est punie, et certains effectivement pètent les plombs jusqu’à massacrer tel enseignant, c’est moche mais hélas compréhensible. Condamnable, avec circonstances atténuantes (ce livre a tort, et les médias, et les politiciens, et les prétendus « intellectuels », et la majorité des embrigadés après lavage de cerveau scolairement asséné). La guerre entre l’école française (darwinienne) et l’islamisme (créationniste) est comme d’habitude une guerre du mal contre le mal, tous deux illogiques intolérants, jusqu’à tuer (socialement dans le premier cas, physiquement dans le second)…
   Commentaire pour Avis des lecteurs Amazon : (note 5/5, titre : illogisme révélateur) Ouvrage très prétentieux, très illogique, mais c’est complexe à expliquer (il m’a fallu 9 pages A4 pour le réfuter de A à Z). C’est grave pourtant, ça a indirectement tué un professeur, des citoyens intoxiqués (en voyage), des petits soldats obéissants. Mais, en osant une lecture critique très attentive, c'est excellent pour comprendre l'abus de pouvoir pratiqué par l'école française.

(19-25/11/2020) Ecole alliée des religions massacreuses ? (suite de l'ajout du 02/11/2020)
    J’ai reçu aussi l’autre livre commandé : « Parler de religion en classe. Ecole, collège, lycée » par S.Clerc et Y.Michaud (un enseignant, 1e partie, et un philosophe, 2e partie), Belin Education (collection « Guide de l’enseignement » aussi), 2018, 102 pages + grand index des religions expliquées.
• Page 9 dès l’introduction, comme dans le précédent livre, je suis déjà choqué, et ça met en péril l’intégralité du livre : « nous devons (…) aider nos élèves (…) à se garder d’attitudes irrespectueuses et intolérantes vis-à-vis des croyants ».
--> Cela signifie qu’il ne faut rien dire qui fâche les religieux, c’est effectivement la « laïcité à la française », alliée à toutes les religions (sauf sectes, sauf sectes protestantes, sauf Témoins de Jéhovah…). Or, ces religions étant basées sur des textes dits sacrés qui sont esclavagistes, génocidaires, meurtriers pour délit d’opinion, cela signifie que l’école va s’allier à cela sans dire le moindre mot de condamnation. Bien sûr que c’est explosif ! C’est aberrant, idiot comme la Déclaration dite Universelle des Droits de l’Homme, alliée aux pires horreurs, dont la réédition en Palestine britannique du massacre sacré des Cananéens – ce qui conduit à la guerre larvée mondiale qui est encore pleinement actuelle, avec mensonge des politiciens et médias pour nous prétendre le camp du Bien (« nous » étant les sionistes racistes dominants, parlant en notre nom à tort, rendant Israël aux Juifs mais surtout pas les USA aux Amérindiens par équitable réparation historique partout, non pas du tout). Comment les enseignants peuvent-ils justifier pareille horreur ? C’est intenable. Et ce n’est pas leur faute à eux, petits soldats envoyés (sans arme argumentaire aucune) au front de la colère des familles musulmanes, solidaires du martyre palestinien. Alors oui, les professeurs ne parleront que très très superficiellement des religions, cachant tout ce qui fâche (encore aujourd’hui, j’imagine). C’est « cacher sous le tapis » un énorme problème, et l’école ne formera que des abrutis déconnectés des questions graves qui se posent.
• Page 10 : « comment échanger avec les élèves à propos des religions dans l’esprit de neutralité et de respect que permet et demande la laïcité ? »
--> Je vais lire plus loin les réponses mais cet intitulé me choque en lui-même : si une religion « naziote » avait pour texte sacré « Mein Kampf » (en disant par exemple que le vrai Adolf Hitler, « prophète », a été assassiné par un opposant en 1941, remplacé par un sosie mensonger), faudrait-il l’aborder avec entier respect ? Pourquoi exiger le respect sans examiner en rien le contenu, les appels au meurtre de masse ? (occupants goy de la Terre Promise, parents éloignant leurs enfants de Dieu Yahvé, mécréants non musulmans, « sang impur » cher à notre république, etc.).
   Par ailleurs, je ne crois nullement en la neutralité des lois françaises, ouvertement pro-juives (génocide juif classé indéniable mais génocides amérindien et aborigène et palestinien niables, antisémitisme explicitement caractère aggravant d’un crime sans équivalent pour l’hostilité aux arabes ou musulmans, persécution judiciaire du comique antisioniste Dieudonné et bénédiction judiciaire de Charlie-Hebdo surtout antimusulman, projet majoritaire de loi 2019 pour criminaliser officiellement l’antisionisme en France, etc.).
• Page 10 encore, nouvelle question (les réponses seront les chapitres à venir) : « Comment construire une éthique républicaine et laïque et par quels moyens la transmettre ? »ʺ
--> Je trouve la question totalement auto-contradictoire (donc à réponse honnêtement impossible) :
- Ethique et république me semblent antinomiques puisque les faux représentants doublent le peuple en prétendant parler en son nom et en lui interdisant le pouvoir de dire non (interdiction du référendum d’initiative populaire, interdiction de candidature pour les non-complices non adoubés par les élus). C’est une temporaire dictature de type « faites ce que je dis, pas ce que je fais ». Cette oligocratie n’est pas éthique (au sens de pas altruiste).
- La laïcité (à la française, jusqu’ici) étant l’alliance à des religions célébrant le massacre des gens pensant différemment, elle est anti-éthique par principe. L’éthique est contre cette laïcité-là, au contraire absolu. (Ça ne signifie pas que seul l’athéisme est éthique, mais il faudrait des religions entièrement réécrites pour devenir éthiques, et il y a chez les leaders athées des massacreurs atroces aussi, comme Staline, Mao, Pol Pot, etc.). A mon avis : d’accord pour que l’éthique commande les alliances mais en pouvant condamner aussi bien certains politiques athées que certains prophètes sacrés, sans approbation de principe envers les religions (sans parler des détails horribles, pour l’école, chut, cacher ça ?).
• Page 12, dans le chapitre 1, « Janvier 2015 : Charlie (...) il va s’agir, avec la coopération de l’élève actif, de compléter et rectifier. (…) nous nous trouvons missionnés de faire réfléchir les élèves sur ces grands principes de la nation, de respecter une minute de silence pour une cause » :
--> C’est une mission d’intoxication malhonnête, horrible. Le jour-même du grand défilé « pour la liberté d’expression », immense cause prétendue, le comique Dieudonné a vu ses condamnations judiciaires confirmées, en toute discrétion. C’est totalement incompréhensible sans racisme pro-juif inavouable aux élèves et au public. Alors on cache, horriblement, il ne s’agit pas de réfléchir mais de diriger faussement, embrigader pour soumission aux dominants, c’est atroce. Ce n’est pas la faute de tel prof envoyé en première ligne, mais ce combat est très moche. Je me souviens un livre de Steinbeck (sur les agitateurs rouges aux USA) intitulé « en un combat douteux ». Oui, endoctriner peut être une mission donnée, mais c’est indéfendable, vis-à-vis d’esprits lucides, qui ne coopéreront pas (sauf manœuvre trompeuse ou menace de sanction).
• Page 14 : « le but d’un caricaturiste n’est pas d’être ʺméchantʺ »
--> Ce propos professoral me semble faux, trompeur : le journal Charlie-Hebdo (ou son voisin Hara-Kiri) s’autodésignait comme « le journal bête et méchant », la méchanceté outrancière faisant rire les non-victimes, non proches des victimes. Faire mal, choquer, est le but explicite, avec force ricanements de mépris envers les choqués, traités comme ridicules nullards, inférieurs méprisés outrancièrement. C’est un mode de domination écraseuse rigolarde. Moi qui étais victime toute mon enfance de pareille méchanceté rigolarde (de mon frère ainé), je connais ça de l’intérieur. Mon frère hyper-sportif disait que le but du sport, c’est d’humilier l’adversaire, il disait ça pour se moquer un peu de lui-même, mais ce n’est pas le contraire de sa pensée. Son plus grand plaisir était de me faire pleurer, me faire souffrir, il adorait les caricaturistes Reiser/Wolinski et autres, de Charlie ou Hara-Kiri, méchants jusqu’à paraître un peu bêtes. Oui, il peut y avoir un « second degré » souriant gentiment, mais affirmer qu’il est systématique certain, ce n’est en rien convainquant, et c’est peut-être souvent faux. D’ailleurs, contrépreuve : Dieudonné est condamné pour haine antisémite, les juges (et législateurs) estimant que se moquer d’Israël est forcément de la haine méchante, aucunement justifiable en prétendant au comique de second degré. Deux poids deux mesures, malhonnêteté totale, pro-juive (pro-juifo plus exactement, le mot juif étant un amalgame pourri, confondant ascendance innocente et communautarisme raciste).
• Page 15, « pour éviter que la religion prenne trop de pouvoir, des journalistes la critiquent souvent, des dessinateurs se moquent de ses abus (…) c’est une vraie ʺtraditionʺ en France. »
--> Ce n’était pas recevable, comme message, tel quel : mon grand frère se moquait parfois de moi avec des insultes comme « sale petit nain, ridicule binoclard, ouh la honte ! », et hors cour de récré ou cercle familial, l’insulte est interdite (et Dieudonné, accusé d’insulter les juifs, est condamné par les tribunaux pour crime d’antisémitisme), pourquoi en est-il différemment des médias avec les religions musulmane et chrétienne ? Cette tradition est abusive, et une tradition peut être atroce, à abroger, comme l’ont été l’esclavage, le privilège aristocrate, etc. Oh non, moi élève je n’aurais pas gobé cette affirmation, qui n’est pas du tout un argument ! Le professeur jusqu’ici n’a rien apporté d’honnête, je continue mais je doute qu’il s’en sorte honnêtement.
• Page 15 encore : « Normalement, une mairie est un espace ʺneutreʺ, qui respecte les croyances ou les non-croyances de tout le monde. »
--> C’est faux, monsieur le professeur je sollicite votre mise à pied pour incompétence ou mensonge éhonté. En France publique, la non-croyance en la Shoah, le scepticisme philosophique, le bouddhisme avec sa maxime « tout est illusion », tout cela est puni de 2 ans de prison et 45.000€ d’amende. La république française n’est nullement neutre mais activement raciste pro-juifo, légalement (avec interdiction de référendum d’initiative populaire, la vile populace étant très suspecte d’antisémitisme, puisqu’incomplètement soumise à l’élite juifo, ou juifophile alliée) ! Msieu, si vous racontez des mensonges, taisez-vous et changez de métier. Non, ce mensonge est votre mission ??? La lucidité est punie de mauvaise note ou exclusion, redoublement jusqu’à soumission à l’écrasement ? Quelle horreur ! Ne faites pas le savant supérieur : vous êtes abominable !
• Page 16 : « Je sens poindre (…) les théories du complot, les protestations à propos de Dieudonné, je n’ai pas le temps, hélas, de traiter toutes ces questions durant cette heure… et les élèves finiraient par décrocher de toute façon. »
--> Erreur lourde : puisque les objections invalidant la totalité du discours professoral n’ont en rien été examinées, ce cours est nul, totalement irrecevable, c’est une perte de temps, ne faisant qu’offenser (l’intelligence critique) sans absolument rien apporter.
   La question du « complot » est mal pensée : la domination sioniste (anti-islamiste via le Hamas palestinien) est ouverte, éclatante, nullement un complot secret, mais c’est effectivement propre à une caste au pouvoir en écrasant la population, en se désignant (totalement à tort) comme « l’Elite ». Dénoncer cette fausse-élite dominant outrageusement, malhonnêtement, est une critique politique de faible contre les forts, ce n’est pas une révélation complotiste du tout.
   Et l’exemple Dieudonné prouve que ce n’est nullement la liberté de se moquer, de blesser, qui est en question mais spécifiquement une attaque des religions judaïque-exceptée... On nous dit que Charlie Hebdo parfois caricature un rabbin, mais ce n’est pas choquer durement, ça, il en irait différemment en présentant les sionistes comme Nazis massacreurs d’enfants (à Der Yassin et autres Oradour israéliens, impunis, avec Prix Nobel de la Paix en « récompense » à Begin chef des tueurs), ça ce serait condamné par la justice comme antisioniste donc antisémite – justice pourrie raciste en clamant le contraire. Et Dieudonné a donné une conférence de presse (visible sur Internet), boycottée par tous les médias français, avec ses amis les quelques rabbins antisionistes étasuniens trouvant monstrueux/hérétique d’avoir repris Israël sans attendre le Messie promis ; non, chut, cette anecdote dément totalement les accusations d’antisémitisme envers Dieudonné, alors c’est interdit des débats, diabolisateurs. Oui-oui, prof pourri, « pas le temps », mon œil ! Tu risquerais d’être cassé par débat approfondi, alors tactiquement, hop, tu le clos avant cette fin, ça ne compte pas comme « triche » puisque c’est toi qui fixe les règles, du haut de ta supériorité, volée.
    Et si les élèves ont « décroché », c’est que le discours était du bla-bla superficiel ne répondant aucunement aux questions graves, aux objections rendant actif et passionnant le débat, s’opposant à l’autorité instituée. Alors : non, chut, il ne faut pas les fatiguer, ces pauvres petits chéris, il ne faut surtout pas creuser au-delà du dogme officiel. (C’est affligeant de malhonnêteté).
• Page 16 encore : « On n’a pas le droit de menacer ou de manquer de respect aux PERSONNES mais on peut critiquer les pensées et les croyances. »
--> Faux : il est entièrement permis de critiquer les pensées nazies ET les personnes Hitler, Goering, Himmler, etc. Ce message est outrancièrement mensonger, sauf que les personnes en question sont dites antisémites, ce qui conduit à justice d’exception en France. Et quand la caricature de Mahomet chez Charlie se lamente qu’il est dur d’être aimé par des cons (avec approbation par la justice voyant là une moquerie de plein droit), ce sont bien des personnes qui sont insultées, pas des idées. Le mensonge officiel est éclatant, intenable. Il faut faire taire ce prof stupide, sauf qu’il détient l’autorité, donc abusive, et ça conduit à révolte violente… En 2018 avec ce livre, ça aurait dû être évident, 2 ans avant la décapitation de professeur… Il suffisait de réfléchir honnêtement, pour percevoir l’énorme énorme problème, explosif (et aucunement résolu par le « Je suis Samuel » ultérieur, étouffant tous les torts des enseignants, classés au contraire héros fabuleux, de la juste cause contre l’obscurantisme abruti… avec interdiction légale d’objecter, ce qui est puni comme « apologie du terrorisme »).
• Page 16 à nouveau « M’sieu moi ch’suis pas Charlie ! – Ecoutez, ça c’est juste un slogan, il n’est en rien obligatoire. »
--> Faux : cela a été signalé par des journalistes : quand des enfants ne respectaient pas la minute de silence « Charlie » commandée par les autorités, les professeurs devaient le signaler à leur hiérarchie, qui le signalait à la police, qui investiguait dans les familles pour fichage éventuel comme dangereux, voire famille à expulser de France ! C’est comme avoir dit en URSS que l’adoration du leader n’était « en rien obligatoire », la dissidence étant permise et simplement mise en rééducation au goulag ! Pas « obligatoire » ? C’est de la répression, du gouvernement par la peur de sanction. Et ça a recommencé en 2020 avec la minute de silence « Samuel », avec instruction de signaler les désobéissances troublant l’ordre exigé…
• Page 16 enfin : « je trouve scandaleux qu’on tue pour des dessins ».
--> Ce mot professoral me parait très discutable, pas du tout à balancer comme vérité indiscutable. Tuer (un être humain) est toujours scandaleux en un sens. Enfin, autrefois on disait « sauf un monstre massacreur lui-même » mais la peine de mort a été abolie en France, sans référendum mais c’est un autre sujet, hum. Donc, en première approche, il est scandaleux de tuer, pour des dessins ou toute autre chose, mais pourquoi nos présidents de gauche-centre-droite célèbrent-ils chaque 8 Mai les aviateurs français ayant brûlé vifs les bébés allemands de Dresde, Berlin, etc. ? S’autoriser ce qu’on autorise à autrui est scandaleux, pas moins. Et pourquoi notre hymne national clame-t-il « qu’un sang impur abreuve nos sillons ! », appel à égorger ou éventrer, au nom de la nature du sang, donc pareil pour les civils et bébés étrangers (comme à Dresde quoique par le feu) ? Et pourquoi la France est-elle très fière de ses racines chrétiennes, vénérant Jésus-Christ qui a appelé à tuer (humainement) les parents éloignant leurs enfants de Dieu/Yahvé ? Et pourquoi les Droits de l’Homme prétendus universels sont-ils alliés aux religions appelant au meurtre sur ordre divin, dans leurs textes dits sacrés ? Avant de se scandaliser, il faut être honnête soi-même, pas en train de scandaliser autrui honnête. Quant à la guerre en cours, Occident-Islamisme (avec Israël-Hamas comme détail ou comme cause cachée), pourquoi les gouvernants français approuvent-ils d’avoir tué en 1948 les Palestiniens refusant d’être chassés de chez eux ? et si la propriété antique prévaut, pourquoi ne traite-t-on pas pareil les Etasuniens ? Parce qu’ils nous ont acheté avec les milliards du Plan Marshall faisant de nous des riches privilégiés ? Avant de nous prétendre le camp du Bien affrontant le Mal scandaleux, il faudrait écouter les reproches argumentés venus d’en face… Sinon, c’est partir en guerre le nez dans le guidon, avec bêtise totale, petits soldats obéissants, interdits de réfléchir (seuls les généraux et présidents ayant ce droit), moi c’est ça que je trouve scandaleux d’abord. Charlie est un scandale secondaire, en un sens, réponse affreuse au mal premier, ici, caché par l’école, abrutissante.
• Page 17, intéressant parallèle entre « je suis Charlie » et l’ancien "je suis Berlinois" du président Kennedy mais l’auteur prétend que ce dernier incarnait "le monde libre" ».
--> On nage en pleine propagande : le capitalisme se disant libre était la liberté de s’enrichir oisivement en sous-payant le travail de peine, menacé par la police en cas de désaccord voulant plus juste distribution (un ami me disait « c’est la liberté du renard dans le poulailler »)… Et en France se clamant championne de la liberté, la loi Gayssot punit depuis 1990 de prison la liberté de douter. Là, moi j’aurais dit au prof « stop, msieu, vous dites n’importe quoi, inaudible, pourquoi nous prenez-vous pour des imbéciles soumis à vos mensonges ? ».
• Page 17 encore, le prof répondant à une question autorise ses élèves à faire la minute de silence Charlie pour les Palestiniens.
--> C’est bien, en interne à la classe, mais pas un mot n’en sortira de la classe, et tous les médias claironneront que cette minute a été un plein succès de l’esprit Charlie contre les monstres islamistes, Palestiniens et autres. Il y a donc eu trahison de sens, pas comprise par le prof, fautif (ou menteur). C’est comme si, en URSS, les dizaines de minutes quotidiennes d’applaudissements en l’honneur du leader avaient été, discrètement, favorisées en disant : « oui, au fond de votre âme, vous pouvez à l’occasion de ces applaudissements honorer votre chanteur préféré à la place du leader, mais chut, il faut pas le dire. » Le plein succès des applaudissements n’en serait que plus atroce, et ses promoteurs (professeurs) : malhonnêtes complices de la dictature imposée aux gens en désaccord.
• Page 19, dans le chapitre « 2, Novembre 2015 : les attentats de Daesh » (…) « ce qui vient de se passer est terrible, monstrueux, inadmissible »
--> J’aurais répondu « Non msieur ! L’an passé le président Hollande a déclaré la guerre à l’Islamisme, vous vous souvenez ? et c’est quoi la guerre ? comme quand les aviateurs français de la RAF, décorés héros, faisaient brûler vifs les bébés de Dresde et Berlin, et nos alliés chéris vitrifiaient les bébés d’Hiroshima ? sous les applaudissements de nos leaders chaque 8 Mai jusqu’à cette année ? c’est ça la guerre, alors pourquoi deux poids deux mesures ? horrible atroce si et seulement si c’est nous les victimes ? Ça s’appelle de l’égoïsme fanatique, non ? Réfléchissez un peu honnêtement, pour changer ! Moi je dis que c’est horrible, toujours, qu’il fallait pas déclarer la guerre, et pas soutenir la guerre des terroristes racistes sionistes, jusqu’à aujourd’hui… » (pages 17-18, l’auteur reconnaissait que la question palestinienne est une obsession pour les jeunes arabes de banlieue, symbolisant pour eux indirectement l’injustice sociale qu’ils ressentent en France).
• Page 20, le prof écrit au tableau que le tabac tue chaque année 78.000 personnes et que les récents attentats en ont tué 147.
--> Euh… « Oui, tout est relatif, mais pourquoi l’Etat vendeur de tabac n’est-il en rien poursuivi ? Et pourquoi avoir sciemment et activement paralysé le pays ʺà causeʺ des 30.000 morts avec covid19 ? D’énormes questions se posent, mais quelles sont les réponses ? On semble nous manipuler, nous prendre pour des imbéciles, alors puisqu’on devient grands, expliquez-nous la logique cachée s’il y en a une, msieur. » Mais non, ce prof conforte dans l’imbécilité, au contraire, le mépris de la raison individuelle.
• Page 21 : « l’un des rôles du professeur : rassurer, ramener un peu de raison là où l’hystérie des médias (…) leur fait parfois perdre tout sens (…) de la réalité. »
--> Ce professeur se confirme un imbécile, exigeant « sens de la réalité » sans comprendre qu’absolument rien ne dément l’hypothèse du rêve, le discours cartésien étant une escroquerie à ce sujet. Quant au principe de relativiser pour rassurer, c’est interdit cette année, puisque les écoles pratiquaient le catastrophisme officiel (envers le nouveau virus) bien avant qu’on atteigne le cinquantième d’une grippe anodine normale. Non, les profs ne sont pas là pour rassurer mais pour répandre les mensonges des dirigeants, qui les paient (avec notre argent, et l’argent des élèves futurs adultes via surendettement démentiel). Oh non, la raison ne ramène pas le calme tranquille suiviste mais montrerait l’horreur totale du système. Enfin, en 2018 quand a été écrit le livre, l’auteur n’était pas forcé de savoir ce qui allait advenir avec le catastrophisme climatique puis coronaviral puis robinet à centaines de milliards à crédit… Moi je décelais déjà des signes graves mais effectivement, c’était moins avéré qu’aujourd’hui, ce fier prof un peu idiot pouvait ne pas comprendre le problème général. Sauf que lui était publié pour ces blablas pissant dans le sens du vent, et pas moi à pensée révolutionnaire… « Ne pas choquer » est une des règles du verrou éditorial, mais alors il s’avère que « je suis Charlie, pour le droit à choquer » est totalement mensonger, réservé à certains agresseurs, privilégiés par les dominants, et relais.
• Page 21 encore : « Laisser la parole à une élève (…) le prophète a donné de nombreuses fois l’exemple d’une absence totale de haine (…) s’attaquer à des personnes qui n’ont rien fait est condamnable par Allah. »
--> On verra plus loin ce que dira le professeur [en relecture je peux le dire : il félicitera ces mots, page 22], mais cette élève n’est pas lucide : les textes sacrés de chaque religion du Livre contiennent tout et son contraire, tel exemple ne prouve rien quand un autre lecteur préférera se centrer sur un exemple complètement contraire. Par ailleurs, la notion de « rien fait » est peu claire : quand on maudit les mécréants, ce n’est pas un « fait » actif qui est condamné mais une croyance, prise comme « fait » d’insulte envers Dieu/Yahvé/Allah par les intolérants exigeant soumission à leurs dogmes. Autre point : le président français a déclaré la guerre en notre nom, donc ceux dont des parents ont été victimes de cette guerre peuvent en représailles attaquer les électeurs de ce président, prétendu représentatif (ce qui est faux, mais c’est ce mensonge qui est le scandale, appelant hurlements de révolte – que veut éviter totalement le prof, petit officier de ce pouvoir républicain doublant le peuple méprisé, donné à tuer…).
• Page 24 : « Daesh (…) a rétabli l’esclavage ».
--> Le prof n’explique en rien que les textes sacrés (légaux !) des religions du Livre sont ouvertement esclavagistes ! Il est totalement insensé que la Déclaration des Droits de l’Homme et la laïcité française s’allient à ces textes esclavagistes, avant de s’offusquer qu’il y ait rétablissement de l’esclavage. Hé, il fallait réfléchir avant de faire alliance ! C’est ce que je signalais au début de mon analyse de ce livre : l’école oubliant de regarder le contenu de ces religions passe totalement à côté du sujet, quant à leur respectabilité (en l’état, avant réécriture totale éventuelle des textes de référence). D’accord pour rêver à une vie post mortem et à des miracles possibles, mais ça n’a rien à voir avec approuver des massacres et esclavages ! Le prof prétendant expliquer longuement, là, passe à côté totalement du sujet essentiel, éthique.
• Page 25 : « l’idée de ʺRépubliqueʺ en tant que grande ʺfamilleʺ solidaire. »
--> Alors que le prof se réjouit de cela, je suis totalement opposé, résistant à pareil « enseignement ». Cette république, en tant que démocratie « indirecte » méprise les petites gens pour couronner d’honneurs et richesses les élus, je ne connais pas de « famille » (actuelle) aussi moche pourrie. Par ailleurs le principe nationaliste est xénophobe, se rassemblant pour haïr l’étranger, anti-humanistement, ça me parait immensément contestable, immoral, anti-altruiste, belliciste.
• Page 26 : « Les élèves, massivement contre Daesh ».
--> Oui, mais dans Dresde ou Berlin bombardés, les élèves (survivants) étaient massivement contre les Alliés, puisque massacreurs. Ça ne veut en rien dire qu’eux étaient dans un camp du Bien, les dirigeants locaux pouvant être des monstres donnant leur population à tuer. La diabolisation fonctionne aisément, souvent, mais la lucidité nécessite aussi l’autocritique, et on retombe (en France 2000-2020) sur la question palestinienne, avec l’Occident sioniste sans consulter pour cela les populations occidentales, en noyautant simplement les cercles dirigeants. Non, ce prof n’a nullement fait réfléchir ses élèves, il les a intoxiqués à détester l’ennemi désigné, en interdisant de comprendre leurs accusations à « notre » encontre (ce qui pourrait sceller le divorce entre la population, dite antisémite, et la prétendue Elite, activement sioniste).
• Page 32 : « Ne pas intervenir sur l’interprétation des textes religieux, sauf quand un point est en contradiction avec la loi (…) sur la polygamie, en France, la loi a tranché : c’est interdit. Point. »
--> Ce prof ne fait pas du tout réfléchir, pourquoi ? Le massacre des Cananéens par les Hébreux, en tuant même les enfants et bébés, est adoré/vénéré par les Israélites, n’est-ce pas incompatible avec la loi, ces massacres d’enfants ? (et même : incompatible avec la loi divine « Tu ne tueras point », sauf si elle signifiait « tu ne tueras point ton prochain juif, c’est OK pour tuer les sales goys », mais c’est odieusement raciste, est-ce légal d’adorer cela, et d’avoir pratiquement recommencé en 1948 aux dépens des Palestiniens ???) Et puis… pourquoi les législateurs majoritaires ont imposé la loi contre la polygamie en condamnant les minorités trouvant ça bien ? N’est-ce pas ici une démocratie libérale mais une dictature anti-minorités ? Non, chut, silence, ne surtout pas réfléchir avec esprit contradictoire. Ecole de suivisme abruti !
• Pages 41-45 : « connaissance historique des religions (…) les rendre plus tolérantes entre elles (…) plus réfléchis et plus ouverts (…) L’histoire permet de prendre de la hauteur par rapport au fait religieux, ce qui s’avère crucial pour mieux comprendre les autres et pour penser ses propres positionnements (…) tout en ménageant que la démarche religieuse est tout à fait respectable. ».
--> Je connais cette présentation, qui est celle que j’ai reçue, et elle est simplement incompétente, dispensée par des diplômés en histoire ou pédagogie n’ayant jamais lu les textes sacrés, ignorant tout de leurs horreurs, et se trompant donc avec bienveillance pour dire un vague mot de ce qu’il y a de bien en chacune. Ignorant que les croyants lisant l’intégralité du texte sacré y trouvent le commandement de vengeance massacreuse, qui ruine le discours professoral incompétent. C’est un énorme malentendu, injuste et faux, de prétendre au savoir professoral, dans ces cas.
   Moi, de formation athée et de pensée agnostique puis sceptique, c’est très longtemps après mes études que j’ai lu les textes sacrés des 3 religions majeures ici (judaïsme, christianisme, islam), et j’ai été effaré, choqué, je dis que l’école m’a menti, m’a caché ces horreurs changeant tout au jugement approprié.
• Pages 46-48, l’auteur s’enthousiasme sur l’art religieux, moyen d’aborder en classe les religions via la notion de patrimoine mondial de l’humanité.
--> Je ne suis absolument pas d’accord : la plupart des trucs dits artistiques sont à mon avis déplaisants, ne méritant nullement le nom d’art, et j’entends des prétentieux verbeux se gargariser de bla-bla en commentaire, je trouve ça immensément nul. Participer à ces commentaires d’autosatisfaits en adoration, c’est passer à côté du sujet majeur concernant les religions (telles qu’elles sont jusqu’à présent) : les horreurs incluses dans leurs textes sacrés, incitant à faire pareil. Ce prof est très content de faire roucouler les beaux parleurs dénués d’intelligence critique, il est content de lui, il n’y a pas de quoi.
• Page 51, le protestantisme est abordé par le biais d’un monument architectural, décrit dans tous les sens avec jubilation.
--> C’est passer totalement à côté du sujet : « le protestantisme présente-t-il des horreurs pires encore que le catholicisme ? ». C’est la critique mutuelle des deux qui me parait majeure, pas du tout les détails de blablateurs associés. Le catholicisme s’enrichissait en monnayant le prétendu accès au Paradis post mortem, ce qui ressemble à de l’escroquerie avec abus de faiblesse ; en face, le protestantisme incluait le Paradis sans lien avec le besoin de bonnes actions, d’où la dureté extrême de l’enrichissement capitaliste, semi-esclavagiste envers les prétendus « méprisés de Dieu (car pauvres) » au profit des « élus de Dieu (car riches) »… Le fait que la révolte communiste anticléricale se soit effondrée toute seule car mal pensée (fondée sur le fonctionnariat, donc le je-m’en-foutisme aboutissant à la misère) remet d’actualité l’horreur de cette exploitation capitaliste des pauvres par les riches, maintenant étendue à l’Occident riche exploitant l’Asie pauvre. Mais avec son bâtiment prétendu artistique, le prof est passé totalement à côté du sujet protestant.
• Page 52, début du chapitre « 6, Développer la culture religieuse ». L’auteur est très étonné qu’une de ses élèves, se disant chrétienne, ne sait pas du tout qui sont Adam et Eve.
--> Il est triste que plein de croyants comme de profs athées n’aient pas du tout lu les textes sacrés, ne connaissant des religions que quelques petits trucs entendus ici ou là. C’est bien après mes études que j’ai lu l’histoire d’Adam et Eve, et loin d’être impressionné (ou content d’avoir progressé en Culture), j’ai trouvé ce texte choquant et nul (misogyne, incompréhensible sur la question de savoir si la nudité c’est mal ou non, contraire aux droits de l’homme stipulant qu’on nait innocent et pas punie « accouchant dans la douleur » parce qu’on est féminine comme telle ancêtre prétendue fautive, etc.). Non, pour le prof, il ne s’agit nullement de critiquer l’imbécilité ou immoralité des textes sacrés, il ne veut qu’étaler sa culture prétendue « connaissance », c’est très lamentable, à mon avis. Mais, certes, critiquer la Torah judaïque est classable antisémite donc criminel selon la loi française, toute pourrie raciste en prétendant le contraire.
• Page 53 : « en mémoire de Jésus qui s’est offert par amour pour les hommes »
--> Il est confirmé que ce prof se prétendant expert des religions n’a pas lu les textes sacrés. Sinon il aurait été effaré de lire que Jésus clame que les non-Juifs sont des chiens, et qu’il faudrait tuer humainement les parents éloignant les enfants de son Dieu à lui. Amour « vache », massacreur par crime passionnel ? Non, ça me parait totalement incohérent, le prof s’est laissé tromper par un ouï-dire (professoral ?) sans avoir lu l’intégralité du texte avec ses horreurs (actuellement non répétées… mais ayant fait massacrer les Mahométans aux temps des Croisés, les hérétiques, les Amérindiens, etc.).
• Page 54, sous le sous-titre « pour mieux déchiffrer le sens de l’existence », l’auteur s’enthousiasme des symboles religieux représentant tout de manière codée.
--> Moi je trouve ça totalement nul : aucun besoin de codage pour parler clair. C’est la pourriture de dominance par des initiés qui fait le succès du codage symbolique, inconnu des dits ignares. Par ailleurs, cette notion de « sens de l’existence » me parait vide et nulle, bla-bla-esque. J’ai lu un livre entier de psychothérapie par un nommé Frankl, affirmant soigner en poussant les malades à chercher le sens de leur vie, or il s’avère que ce n’est qu’une montagne de bla-bla flattant l’ego narcissique des individus, ce qui est certes plus « valorisant » que le mépris de prétendus malades mentaux, mais tout ça est artificiel mal interprété, et il manque en contrépreuve placebo une autre flatterie sans « sens de la vie », ce qui invaliderait les prétendues preuves à mon avis.
• Page 55 « bien d’autres enseignements peuvent être tirés du mythe d’Icare ».
--> Je n’appelle pas « enseignements » le délire verbal prétendant tirer des leçons grandioses à partir de n’importe quoi : mythe dit religieux ou telle aventure de Mickey Mouse écrite pour le fric et vendue pas chère. Ce prof avec sa prétendue Culture se complait dans la vanité de « lettré », ayant la « connaissance » de trucs célèbres classiques, qu’ignorent les enfants et les prétendus incultes – qui peuvent néanmoins penser plus juste que toi, prof ! La supériorité conventionnelle en salons mondains conduit à l’Elite qui… abominablement pratique le racisme sioniste auquel résistent les méprisés arabes des banlieues, infiniment plus lucides, pertinents et justes (même ignorant tout du mythe d’Icare et autres vieilles légendes, célèbres dans certain milieu, classique, huppé). Erreur totale de valeurs. Les littéraires dominants me semblent une calamité. Cet enseignement me semble moche et idiot.
• Page 55-56, « le calendrier et la culture chrétienne », l’auteur est fier d’expliquer aux élèves que la semaine de sept jours a pour origine les religions du Livre, avec la Création du Monde en 7 jours dont le 7e est repos.
--> Au lieu de se vanter de « savoir », il ferait mieux de pratiquer l’auto-critique : les Romains classaient le judéo-christianisme en « religion des fainéants » refusant de travailler un jour sur sept au lieu de travailler tout le temps (quand ils étaient esclaves par exemple), et ça se retrouve dans le dit-scandale nazi selon le film oscarisé « la liste de Schindler », les Juifs dit totalement innocents étant atrocement punis pour seulement vouloir célébrer le shabbat, sans dire qu’ils avaient été fait esclaves, et que les maîtres d’esclaves trouvent évidemment insupportable le refus de travail. Et ça a pu tuer, voire tuer en masse (comme la « rééducation par le travail » en camp communiste notamment khmer rouge), c’est grave. Pareil, j’ai entendu dire que durant la révolution française en 1789 ou juste après, les anticléricaux ont voulu remplacer la semaine religieuse de 7 jours par une semaine simple de 10 jours comme on a 10 doigts (et comme un décimètre fait 10 centimètres au lieu qu’un pied fasse douze pouces façon impériale anglaise), mais ça a été annulé face aux risques de contre-révolution, la population travailleuse de peine étant outrée de ne se reposer qu’un jour sur 10 au lieu de un sur 7. Avec aujourd’hui le week-end légal de 2 jours et la semaine de 35 heures en France (5 jours fois sept heures), le « progrès » à la socialiste pourrait nous amener à une semaine de 5 jours, dont 2 de week-end, vous élèves le refuseriez-vous au nom de la religion clamant que la période de référence est 7 jours, donc 2/5=40% de travail en plus à faire ? C’est ça un prof qui fait réfléchir, ce n’est pas roucouler son érudition avec autosatisfaction et sentiment de supériorité sur les jeunes…
   Le paragraphe sur le calendrier est fini sans avoir abordé ce qui me semble essentiel à dire aux élèves :
- La république française est peut-être injuste de dire que nous sommes en l’an 2020 après Jésus-Christ alors qu’elle est sensée être laïque pas chrétienne. Les pays Musulmans ont (ou avaient) un autre chiffrage, les Japonais aussi et différemment, etc. Le fait que l’ONU se soit rangé sur la convention chrétienne tient à la domination sur le monde exercée par les colonialistes européens méprisant les peuples autochtones, c’est très horrible moralement et aucunement grandiose. Si l’ONU était honnête, elle ne validerait pas cette domination indue mais remettrait les pendules à zéro, et nous serions par exemple en l’an 75 après création de l’ONU, sans préférer/approuver une religion, ayant causé des centaines de millions de morts innocents (conquête de l’Amérique notamment, avec extermination totale des Caraïbes, des Mohicans, etc.).
- Si Jésus est né le 25 Décembre, pourquoi l’année commence-t-elle le 1er janvier, Jésus étant né 5 jours avant l’an zéro après lui-même ??? Ce n’est pas totalement incohérent mais traduit la domination judaïque inavouée : Jésus a été circoncis judaïquement 5 jours après sa naissance, ce qui vaut alliance à Dieu donc vrai début de vie selon les valeurs israélites. Mais… puisque le christianisme a abandonné la circoncision, et prétend que Jésus était Dieu le fils sans besoin que les humains l’allient à Dieu, pourquoi cet archaïsme ? La domination judaïque implicite serait l’explication. Clamer que cette hypothèse est antisémite complotiste ne répond pas à la question « alors msieu pourquoi sinon ? ». Ce prof ne fait pas du tout réfléchir, non, il ne s’agit que de noyer les élèves sous son savoir délivré en couches épaisses et à réciter par cœur, au lieu d’analyser avec intelligence critique.
• Page 57, à propos du Diable, l’auteur parle de la « drogue, qui permet de s’enrichir en promouvant la mort ».
--> Là, un prof honnête devrait dire des choses déplaisantes pour son employeur, l’Etat : la drogue illégale est diabolisée et légalement punie, mais l’Etat se fait un max de fric avec les drogues dont il se réserve le commerce, alcool et tabac, en pourchassant policièrement la concurrence d’autres substances ou d’autres sources… Ce prof intelligent et pertinent serait révoqué pour manquement au devoir de réserve, CQFD (l’école publique est pourrie intrinsèquement – et l’école privée : vraisemblablement pas mieux, disant n’importe quoi pour faire du fric).
• Page 57-58, l’auteur se plait à présenter la métaphore du mandarin, tué immensément loin pour satisfaire un égoïsme ici, et il en tire des leçons sur la conscience morale.
--> Un vrai prof éveilleur d’intelligence critique ferait remarquer que la conscience morale est par principe humaniste pas nationaliste, car tuer un étranger n’est pas bien quand tuer un compatriote est scandaleux. Ça invalide l’hymne « La Marseillaise » appelant à tuer les étrangers car ils ont le sang impur (et donc tuer leurs bébés, de même sang), ce qu’ont fait avec force décorations les aviateurs français bombardant les villes allemandes en 1944, pourquoi nos gouvernants célèbrent-ils cela comme la victoire du Bien contre le Mal, avec respect au garde-à-vous de l’hymne tueur ? Non, il ne faut pas le dire, pas même l’envisager : un prof honnête serait révoqué pour faute lourde, mettant dans l’esprit des élèves des idées dangereuses (justes et morales mais mettant en danger les dominations en place, les haines organisées, les privilèges dits acquis).
• Page 58 « de nombreux très beaux textes sont à la fois l’occasion d’études littéraires et d’apports en références religieuses. »
--> Ce petit bout de phrase, apparemment « de rien du tout », me semble receler presqu’en entier le drame que je vois dans « la religion et l’école » : au nom du prétendu beau (punissant les élèves de goût différent), les professeurs roucoulent des relations complexes avec des détails minuscules propres aux religions, sans avoir lu les textes sacrés qui contiennent des choses atroces les invalidant complètement, si l’on était honnête. Je me contrefous que dans tel poème, Verlaine ait fait indirectement référence à l’archange MachinTruc, quand on oublie de dire que Jésus-Christ a dit que les non-Juifs sont des chiens ! Il n’y a pas lieu de vénérer et pérorer, en adoration de détails, quand on cache (ou ignore) l’essentiel, grave, tueur d’innocents.
• Page 59 « mieux connaître les autres, leurs croyances, leur culture, nous aide, par effet de comparaison, à mieux nous connaître ».
--> Ce bla-bla est intrinsèquement malhonnête, « oubliant » de noter qu’on ne cherche pas à connaître et respecter les croyances des nazis et apartheidiens : quand des croyances sont horribles, elles méritent condamnation, pas étude approbatrice bienveillante. Les religions esclavagistes échappent à ce jugement car… règne la loi du plus fort, et il est impossible de condamner un truc que vénèrent des milliards de gens (christianisme, Islam) ou des millions de très puissants (judaïsme).
• Page 61, dans le chapitre « 7, Enseigner la laïcité » : « neutralité religieuse de l’Etat ET totale liberté religieuse dans la sphère privée ».
--> C’est certes officiel, mais c’est incohérent et faux : la liberté religieuse n’est pas totale puisque la maxime bouddhiste (datant d’avant Jésus-Christ) « tout est illusion » est punie de prison en France, déclarée « négationniste insultant les victimes de la Shoah donc antisémite et complotiste » (!!!) en n’ayant aucune peur du contresens absolu, injuste. On pourrait dire « on a le droit de le penser mais pas de le dire », mais c’est le principe de la pire dictature soviétique : « en votre fort intérieur, vous avez le droit de ne pas adorer le leader, mais si vous osez le dire à haute voix : on vous tue ! », ça s’appelle « liberté » ??? Et puis : les croyants aux religions esclavagistes ne sont en rien autorisés à avoir, chez eux loin de la rue publique, des esclaves, non bien sûr que l’esclavage est interdit partout, l’excuse prétendument religieuse est balayée. Mais pourquoi ces religions esclavagistes sont-elles autorisées alors ? Mystère, le prof n’explique rien, pas plus que la loi, alliée à ces religions, tant qu’elles n’enfreignent pas en actes la loi locale. « Exception : la loi nazie n’aurait pas le droit de dire que les Juifs sont des chiens, Jésus-Christ dit que les non-Juifs sont des chiens, mais c’est pas du tout pareil : ce n’est pas antisémite ! – Pourquoi c’est pas pareil dans les deux sens, msieu ? – Ding-dong, l’heure est finie, apprenez-bien vos leçons ! – Mais msieu… – J’ai dit Ding-dong, ça va sonner d’une seconde à l’autre, vous m’énervez à la fin ! Attention, je vais sévir ! » Affreuse école, oui, raciste active comme cette république qu’elle incarne.
• Page 63, l’auteur explique que la laïcité favorise l’esprit collectif sans « frontières entre les citoyens ».
--> C’est faux : la laïcité, en s’alliant à la religion judaïque dominatrice (faiseuse de rois pour les descendants d’Abraham, selon les textes sacrés), approuve et encourage la domination judaïque actuelle, condamne toute résistance (c’est le fameux « antisémitisme » prétendu avec généralisation frénétique pour les opposants politiques à la domination). C’est peut-être un peu pareil avec la domination des riches (capitalisme) dans le protestantisme. C’est tout le contraire d’un être ensemble en se respectant mutuellement mais un écrasement asymétrique. Si le projet était de favoriser le collectif en condamnant l’écraseur, il fallait envisager de condamner les religions ainsi bâties, sans du tout les valider. Les religions nazies et apartheidiennes (si elles ont existé, mais peu importe sur le principe) ne méritaient pas d’être approuvées avec bienveillance laïque, au nom du « tous vivre ensemble en paix ».
   Et puis… les appels au meurtre dans la Torah, les Evangiles, le Coran, ne sont absolument pas faits pour « vivre ensemble » mais pour écrabouiller la concurrence, la différence. Mais certes, si on n’a pas lu les textes sacrés, on peut l’ignorer (et croire les religieux communicants, qui mentent en cachant l’immontrable), c’est simplement de l’incompétence intellectuelle. Professorat ça s’appelle, c’est à pleurer de honte, à mon avis.
    Enfin, il faut dissocier complètement le judaïsme, qui est non-prosélyte, et christianisme-islam qui sont prosélytes. Les religions prosélytes visent à un ensemble idyllique, effectivement universel, mais après que tous se soient convertis à leur religion précisément (les autres étant éteints ou massacrés), ce qui me semble atroce dictatorial. Quant à la religion judaïque, elle ne cherche nullement à être adoptée par les mal-nés (non-descendants d’Abraham) mais elle entend écrabouiller tout mal-né (d’ascendance dite incorrecte) qui oserait occuper leur Terre Promise, ce qui est du racisme explicite. Enfin, en version orthodoxe antisioniste (ultra minoritaire), ce racisme est repoussé à plus tard, quand arrivera le Messie annoncé. Oh non, tout ça n’est pas harmonieux respectueux, accepter tout ça est dégoupiller plein de grenades en les gardant sous le coude et attendant de voir ce qui se passe. (La réponse est boum !)
    Certes, la parole officielle (« républicaine » ?) clame qu’il y a un Islam modéré (etc.) : « quand le texte sacré dit de tuer les mécréants, c’est imagé et pratique seulement à l’époque de l’énoncé, pas du tout maintenant ». Mais ce ne serait alors pas vrai qu’il s’agisse du Dernier Testament de Dieu pour l’Eternité, donc éternellement valable. Et si ce qui est dit n’était valide que pour la génération de l’époque, il n’y aurait plu’ garantie (prétendue) de paradis post mortem pour les générations actuelles, le succès de cette religion (et christianisme et judaïsme pareillement) s’effondrerait. Alors des blablateurs godillent à dire tout et n’importe quoi pour clamer une version présentable « interprétant » les textes sacrés là uniquement où ils sont inadmissibles actuellement et affirmant indubitables le reste, ce qui a une crédibilité nulle, puisque lire le texte source est monstrueux, inadmissible, et pourtant légal protégé. Si ces textes sacrés étaient effectivement fabuleux grandioses, ils seraient bien écrits et clairs, convaincants en l’état, sans besoin de professionnels de l’interprétation détournant le texte horrible pour le rendre presque admissible puisque périmé (sans le dire ainsi, sacré oblige).
    Enfin, il y a le cas spécifique du christianisme, avec Jésus choisissant de parler en paraboles mystérieuses non compréhensibles par tous, mais en prétendant que les méritants comprendront, eux, et qu’il faudrait tuer ceux par qui le scandale arrive. Erreur stratégique, colossale : les interpréteurs divergents se prétendent « les seuls bons » et massacrent (sur ordre « divin ») les interpréteurs différents qui sont jugés « les méchants » (avec théoriquement volonté de massacre réciproque bien sûr, puisque le principe est le même en face). Ça explose, automatiquement. Comme avec les guerres entre catholiques et protestants, cathares et catholiques, etc. Approuver ça au nom de la laïcité est possible si on aime la guerre, mais il ne faut pas dire que c’est pour la paix entre tous, mensonge (ou incompétence si on n’a pas compris car pas informé de cela, n’ayant pas lu le truc source, seulement entendu des prétendus résumés cachant tout le moche – ce qui sera peut-être la 2e partie de ce livre, résumant chaque religion en quelques mots bienveillants…).
• Page 64 : « Fonction 3 [de la laïcité]. Rendre possible l’usage de la raison et de la science. (…) la méthode scientifique consiste (…) à partir de faits avérés (…) dans le réel. (…) tout l’édifice scientifique (…) s’avère (…) ʺlaïqueʺ (…) sain et même logique (…) »
--> Là encore, c’est une faute de raisonnement, mais le prof est un peu pardonnable dans la mesure où le mensonge illogique est en Occident très dominant, et peu de gens ont lu mes livres le cassant. Je n’utilise pas personnellement le mot « avéré » mais Google en donne la définition : « reconnu vrai ». Or les sceptiques (comme moi) et les bouddhistes doutent que ces prétendus faits soient vrais. « Tout est illusion » dit une maxime bouddhiste, ne reconnaissant donc pas les faits en question, contrairement à la science, qui ne parle donc qu’à ses adeptes et pas à tous les humains. De même, il est notoire que les idéologies célèbres (maoïste, etc) sélectionnent les faits sur lesquels elles se basent, donc le prétendu vrai est propre à leurs adeptes. La science fait un peu pareil, sans le comprendre en rien. Le drame réside dans Le Discours de la Méthode pour bien guider sa raison et chercher la vérité dans les sciences, où René Descartes écarte malhonnêtement l’hypothèse du rêve par une cascade de fautes et d’arbitraires, illogiques mais prétendus œuvres de la raison incontestable. Alors oui, la laïcité à la française continue dans la liste des fautes possibles, avec grande autosatisfaction et absence totale d’intelligence critique. Les élèves victimes de cet endoctrinement (à la bêtise) sont des victimes, clairement, il est souhaitable qu’ils se rebellent, si ce n’est avec violence extérieure, du moins à titre intérieur, en répondant comme demandé mais sachant que c’est tout faux, idiot, fier à tort.
• Page 65, l’auteur dit qu’au début de dix-neuvième siècle, les aurores boréales étaient inexpliquées donc vues comme « manifestation de la puissance divine » et si les humains en étaient restés là « nous serions (…) bien incapables d’expliquer le phénomène ! »
--> C’est faux, mal pensé, ce n’est là qu’un point de vue scientiste postérieur à la proposition d’explication physique. Même au seizième siècle, des français pouvaient « expliquer » ces aurores boréales par des combats célestes entre anges et démons, des sibériens ou scandinaves pouvant eux préférer « expliquer » par l’aura des âmes d’ancêtres montés au ciel, etc. Expliquer, c’est fournir un bla-bla affirmatif remplaçant le point d’interrogation total. C’est célèbre en psychologie ou économie (« sciences » humaines), ou tout est parfaitement « expliqué » a posteriori, diversement selon les chapelles ou « écoles de pensée », mais avec totale incapacité à prévoir l’avenir, car il s’agit de bla-bla libre ajusté sur ce qu’il y a à décrire. Dans un livre d’économie j’ai lu la boutade « expliquer c’est très facile mais comprendre c’est bien difficile »… La théorie actuelle des aurores boréales prétend être le vrai, et c’est gobé tel par les scientistes, mais il est très possible que des expériences futures démentent totalement cela pour aboutir à de nouvelles explications, les premières explications dites scientifiques s’avérant alors avoir été erronées. Et pourtant présentées en classe comme le savoir/la connaissance à réciter, abus d’autorité caractérisé, mais ce fier professeur-ci n’y a rien compris. C’est aussi contestable/relatif/facultatif que de réciter les versets de la Bible ou autre référence sacrée (même si la révisabilité est un peu moins butée que le système religieux, quoiqu’avec changement d’interprétation religieuse, d’un même texte intouchable, ça revienne exactement au même…). Pire : les religions « expliquent » bien davantage que la science, sans par exemple la difficulté de concilier équations quantiques et einsteiniennes, trouver expérimentalement la matière noire qui a été déterminée par le calcul, etc. : la religion dit en trois mots « Dieu fait tout », ce qui « explique » absolument tout, même si d’autres avis divergent en disant « pas Dieu mais les 7 dieux », « non, 14 dieux », c’est n’importe quoi, mais tout « explique » à sa façon.
• Page 65 encore : « Fonction 4. Permettre la maturation de citoyens réfléchis. »
--> Je suis en total désaccord : la laïcité bénissant toutes les religions, elle valide le meurtre pour délit d’opinion, l’esclavage-héréditaire magnifique approuvé par Dieu, etc. En quoi gober ça construit-il un citoyen réfléchi ??? Au contraire, c’est inculquer aux enfants que, sous couvert de religion, ne s’applique en rien la loi ordinaire, la morale élémentaire (d’aujourd’hui), « et pourquoi m’sieu ? je réfléchis mais je comprends pas… », la réponse étant « Parce que c’est comme ça, la laïcité à la française ! ». Et en cas de réaction réfléchie « mais c’est affreux, pourquoi décider pareille horreur ? » : « Parce que c’est la fin de l’heure et j’ai pas le temps d’expliquer ! Et la prochaine fois, j’aurai pas le temps de revenir dessus, il faut qu’on avance, qu’on traite tout le programme ! ». C’est ça qui bâtit des esprits réfléchis ? « Hé msieu, t’fous d’ma gueule ? ». Oui, ça sape intégralement la respectabilité professorale, alliée à l’injustifiable, et pratiquant l’autorité sans légitimité aucune en pertinence (l’avis candide en face étant infiniment plus pertinent).
• Page 65 toujours : « Fonction 5 : Eviter les injustices véhiculées par les religions » en signalant l’infériorité féminine selon les textes bibliques et coraniques. »
--> Ça me parait totalement un contresens : puisque la laïcité dit que toutes les religions sont bien, elle fait l’exact contraire de combattre les horreurs des religions. Ce qui combat les religions, c’est l’esprit « anticlérical » (ou l’équivalent si ce terme est spécifique de l’attitude anticatholique), que celui-ci se prétende laïc protecteur de toutes les religions est mensonger ou idiot. Et cette contradiction préparait la violence actuelle, puisque les croyants dits intégristes ne font que rappeler ce que dit le texte « garanti acceptable » par la laïcité mais contredit par la loi civile… Clash, automatique.
   Mais ce n’est pas le bien contre le mal, c’est mensonge incohérent contre horreur cohérente, Mal contre Mal, le Bien est ailleurs…
• Page 68, dans le paragraphe « Retracer l’histoire de la laïcité pour mieux comprendre son sens », le troisième sous-paragraphe « la séparation de l’Etat et de la religion en 1905 » est suivi chronologiquement par « l’interdiction de signes religieux ostensibles à l’école en 2004 ».
--> Il manque gravement un chapitre sur 1948 et sa suite, en effet l’Etat français (du moins ses dirigeants sans demander en rien l’avis de la population) n’a nullement été neutre religieusement mais s’est allié à Israël et USA (anciennes et nouvelles tribus d’Israël) contre l’équité historique neutre, qui ferait rendre les USA aux Amérindiens si Israël est rendu aux Juifs. C’est un engagement religieux forcené, caché sur tous les médias et dans toutes les écoles (jusqu’à aujourd’hui). Enfin, une autre explication serait le racisme pro-Juif anti-Amérindien sans alibi religieux mais c’est tellement horrible et explicitement contraire à la Déclaration des Droits de l’Homme signée en 1948 que ça ne semble pas l’explication première. Le silence à ce sujet est en tout cas débilitant, avec plein succès hélas.
• Page 70 : « La laïcité impose au fonctionnaire d’Etat une stricte neutralité en matière de religion ».
--> C’est faux :
– L’enseignement des sciences, basé sur de prétendus faits avérés, est un engagement antibouddhiste (et hostile aussi à la religion des disciples de l’indien Sri Maharaj, disant que la seule et unique vérité est « je suis »). Ce n’est pas neutre du tout, punissant les élèves qui ne se soumettraient pas au dogme des religions du Livre (certes repris par les athées matérialistes).
– Quand l’enseignement d’histoire géographie présente USA et Israël comme états légitimes (et non « horribles atroces » comme l’Afrique du Sud sous boycott international avant abolition de l’apartheid), c’est approuver ces conquêtes massacreuses effectuées au nom de Jésus et de Yahvé, ce n’est pas neutre mais engagé. Certes, le leader sioniste Ben Gourion était athée, mais pour se justifier et gouverner il s’est allié avec les religieux, seuls aptes à justifier que le sionisme d’Etat Juif moderne soit dirigé vers Israël plutôt qu’une île artificielle en eaux internationales. Il n’y a pas (ou très peu) d’élèves Amérindiens ou Palestiniens-chrétiens dans les écoles françaises, mais les élèves magrébins musulmans, plutôt solidaires des Palestiniens-musulmans, peuvent être très choqués par cette dominance judéo-chrétienne qui marque toute la République Française, diplomatie incluse, et loi incluse très bientôt (la loi criminalisant l’antisionisme n’a été repoussée à plus tard qu’à cause de la crise virale de cette année).
• Page 70 encore, l’auteur affirme que les professeurs doivent « faire grandir les futurs citoyens que sont nos élèves : le désir d’apprendre, le goût de la science, de l’art, de la poésie, de la rationalité, du partage. »
--> Cette phrase me choque, comme partiellement fausse et partiellement mauvaise :
– Fausse :
. « le désir d’apprendre » est une appellation erronée pour dire la soumission à prétendue vérité parachutée au nom de l’autorité (et pas du tout envie de découvrir la vérité indéniable),
. le goût de la science inculqué à l’école est celui de la récitation (avec jonglage) des lois prétendues, sans comprendre leur fausseté très possible qui fait partie du principe scientifique vrai (fonctionnant par consensus temporaires entre leaders d’opinion dits experts).
. la rationalité est tout le contraire de l’enseignement (en France voire Occident voire Monde sauf Inde peut-être), puisque la rationalité montre l’abus de pouvoir de la science, de la république, du sionisme sans rendre les USA aux Amérindiens, du refus de langue mondiale unique, etc. ce qu’il est interdit de comprendre (à l’école) ou condamné (hors école).
. le partage ne peut pas être enseigné par les enseignants puisqu’ils en sont le contrexemple vivant : ils ne partagent nullement leurs privilèges (vacances énormes très supérieures aux autres salariés, très multiples avantages fonctionnaires dont sont privés les petits employés du privé et demandeurs d’emploi).
– Mauvaise :
. je suis en désaccord avec ce qui a été dénommé Art dans ma scolarité, que je trouvais moche presque toujours (inculquer qu’il faut applaudir faisait partie du programme, et c’est injuste opprimant la sensibilité individuelle, apparemment pour dresser de futurs acheteurs qui enrichiront les spéculateurs en art, et pour conforter le mépris de classe envers les prétendus incultes).
. la poésie m’a été imposée par l’école sous forme de récitation par cœur immensément rébarbative, dégoûtant presque totalement du sujet ; personnellement j’ai un peu changé d’avis à 14 ans, émerveillé par un vers de Paul Eluard me touchant sentimentalement, mais je l’ai découvert en feuilletant le livre recueil de textes divers, aucun rapport avec la poésie du programme, décortiquant les types de rimes (croisées etc.), de vers (alexandrins etc.), de strophes (tercets etc.), sans que cette usine à gaz artificielle ait le moindre intérêt, à mon avis.
• Page 71, chapitre « 8. Apprendre à douter ».
--> Ce titre me parait effarant, car l’école m’a presque interdit de douter (en sciences, en Français, en Maths), et je n’ai pu le faire qu’une fois diplômé. Par ailleurs, les religions (principales ici, non indiennes) n’ont de sens que si l’on ne doute pas pour gober le n’importe quoi sacré. Comment école + religion ensemble feraient tout l’inverse ? Certes on dit en maths élémentaires « moins fois moins égale plus », mais c’est avec attention critique redoublée que je lirai l’argumentaire expliquant cette annonce stupéfiante.
• Pages 72-73, l’auteur prend l’exemple du pas sur la Lune, vrai ou non. Pour l’auteur, il s’agit de douter de ce que disent les complotistes sans du tout douter de la version officielle, avec pour argument qu’aucun historien ne défend la thèse complotiste sur ce sujet.
--> Son analyse est biaisée, choisissant d’oublier les plus importants arguments contre la thèse officielle (ainsi, quand le président Bush Jr a voulu « retourner » là-haut, la NASA a répondu qu’on n’aurait pas inventé les technologies pour ça avant plusieurs décennies…), et choisissant de croire sur parole de prétendus experts parlant de choses auxquelles il ne connait rien de rien (comme le caractère extraterrestre de certaines compositions minérales). Ce n’est pas une école de doute, mais une croyance comme les autres, alliée aux puissants officiels. En oubliant le Rainbow Warrior, l’arme de destruction massive irakienne, etc. Zéro réflexion, zéro logique pour guider (ou universaliser) le doute.
   Par ailleurs, quand il dit qu’aucun historien ne doute à ce sujet, il ne parle que des Occidentaux, les spécialistes soviétiques (et peut-être russes ensuite) ayant conclu l’exact contraire depuis des décennies, donc il fait confiance aux « amis » et classe menteurs les « ennemis », c’est une logique de guerre suivant la propagande, c’est tout le contraire d’un esprit dubitatif. Et comment sont diplômés les historiens ? en récitant la vérité officielle ? c’est le contraire d’une compétence en doute. Et comment sont obtenus les budgets de recherche en histoire ? pour conforter ou enrichir les vérités officielles ? c’est une incitation financière au mensonge, le doute imposant de disqualifier ces professionnels « achetés »…
    Enfin, ça parle là de doute sans aucun rapport avec les religions, je dois continuer pour comprendre le plan poursuivi par ce prof.
• Page 73 : « Ainsi les Etats-Unis sont la première puissance mondiale et il arrive qu’ils abusent de cette puissance. Ils sont donc parfois dédaignés, jalousés et même détestés par certains »
--> Oh non, ce prof ne fait pas du tout réfléchir mais sert la propagande ambiante. Le problème numéro 1 des USA n’est absolument pas leurs abus de puissance, à mon avis, mais leur égoïsme (groupiste) forcené. Il s’agit d’un pays de migrants, indésirables mais ayant massacré les autochtones, et refusant maintenant que viennent chez eux les migrants Latinos. « Faites ce que je dis, pas ce que je fais », égoïsme absolu, immoral (de gauche et droite américaine, pareillement, en variante fort et très-fort). Et puis les USA sont le soutien n°1, diplomatique et militaire, d’Israël, au moins depuis 1967 (avant, Israël était armé de chasseurs-bombardiers Mirage français) or avoir rendu Israël aux Juifs signifie équitablement qu’on rétablit les propriétés antiques, donc les Etasuniens honnêtement devraient être chassés (massacrés en cas de refus) comme l’ont été les Palestiniens, mais non : aucun espèce de justice, d’équité, c’est la domination brutale par loi du plus fort, à milliers d’ogives nucléaires anti-civils (illégales comme les « nôtres », cf. chapitre Désarmement du TNP international), c’est atroce. Et ça, c’est directement lié aux religions, douter de la moralité d’Israël et USA : ont triomphé, avec approbation diplomatique française (sans demander l’avis du peuple, et en interdisant référendum d’initiative populaire), les nouvelles et anciennes tribus d’Israël, massacrant les non-membres de tribus d’Israël élu de Dieu/Yahvé. Honnêtement, il faut envisager cette piste, pas dire le contraire pour abrutir les élèves (en traitant les musulmans américanophobes de jaloux à redresser).
• Page 74 : « professionnels de l’information (…) rigoureux car c’est leur métier et ils ont intérêt à demeurer crédibles ».
--> Etant élève autrefois, j’aurais gobé ça comme la vérité (à réciter comme connaissance) mais c’est faux ! Dans le monde technique industriel, il y a ainsi plein de scientifiques professionnels, qui ont intérêt à demeurer crédibles… mais en pratique, ce sont des menteurs, des escrocs en bande organisée, et quand j’ai vraiment trouvé insupportable que mon silence soit acheté par mon salaire… j’ai été éliminé, mis en invalidité pour « raison psychiatrique », et les menteurs pourris continuent donc à assurer leur entière honnêteté « puisque c’est leur métier et qu’ils ont intérêt à demeurer crédibles », et les profs en visite le disent bien à leurs élèves : « vous voyez, c’est clair, vous avez compris ? ». Profs idiots ou crédules ou complices actifs ? Peut-être les 3, leur principe est le règne de l’autorité, la supériorité de l’autorité sur la logique et l’honnêteté… Ça ne méritait pas décapitation, mais c’est abominable.
• Pages 74-75, le professeur (courageux) explique historiquement le conflit israélo-palestinien à ses élèves musulmans palestinophiles… pour les amener à conclure que les deux pays Israël et Palestine ont le droit d’exister, même si on peut condamner l’actuel gouvernement d’Israël éventuellement.
--> Je prends ça comme une leçon d’intoxication, à la pensée dominant la diplomatie française et occidentale. Car n’est nullement abordée la question centrale (selon moi) : si l’on rétablit à 60%-80% les propriétés antiques, va-t-on pareillement chasser les Etasuniens en ne leur laissant que le Cis-Wyoming et la Bande d’Oregon, avec interdiction d’emprunter les routes traversantes réservées aux colons Amérindiens ? Non, on prendrait milles bombes atomiques/hydrogène/neutroniques sur la tronche, il est hors de question d’être honnête : les prétendus élus de Dieu sont très très favorisés c’est comme ça et il faut fermer sa gueule et l’approuver, même… Oh non, le prof ne le dit pas, et en un sens il a raison, pour ne pas se faire couper la tête, mais que c’est menteur abject… C’est tout le contraire d’enseigner le doute légitime, l’intelligence critique, la lucidité réfléchie.
• Page 75 : « Condorcet (…) Brecht (…) brigand (…) Chicago (…) conquête rendue possible notamment par l’absence de contradiction, de résistance, de mise en doute d’une population moutonnière. »
--> C’est dramatiquement idiot : le prof lettré est très fier de citer plein d’auteurs célèbres dans les salons mondains mais inconnus des jeunes de banlieue, ce qui le classe lui en supérieur. Mais ça lui a servi à quoi, la haute pensée de ces immenses auteurs ? A rendre sionistes modérés ses élèves anciennement antisionistes, en leur cachant les données du problème ! C’est du vol (faussement intellectuel)… Et ce qu’il a fait est précisément d’exploiter la soumission moutonnière des élèves à son autorité à lui, qu’il prétend là dénoncer avec un roman imaginaire. Et c’est pour la conquête d’Israël, pas d’un truc virtuel inventé. Ecrasés, les jeunes goberont ça, sans voir la totale contradiction.
• Page 75 encore : « pas en tant que ʺdoute sur soiʺ. (…) ils auront d’autant plus confiance en eux (…) avec raison et lucidité dans les dimensions riches mais complexes d’une planète mondialisée. » (fin du chapitre sur le doute).
--> Oh non, le prof n’a nullement éveillé raison et lucidité, capacité au doute : il a amené ses élèves à approuver le sionisme modéré (anti-Dieudonné) de la diplomatie française de gauche-centre-droite, en ravalant leur lucidité candide ayant entraperçu là un scandale malhonnête. Et puis avec ce mot « mondialisé », il les invite à adhérer à cette direction dominante, de gauche-centre-droite, anti-Le-Pen s’avouant nationaliste (ce que sont aussi les autres sans l’avouer, voir les refus de visas). Bref, il a dressé des moutons serviles en prétendant le contraire. Avec la tendance rebelle de l’adolescence, ce n’était pas gagné d’avance, et il est donc fier, mais ce qu’il a fait est très moche, criminel contre l’humanité (complice de Der Yassin l’Oradour israélien, etc.)…
• Page 76 : « 9. Face au fondamentalisme et au fanatisme. (…) l’école (…) lutte contre l’intolérance »
--> Ça y est déjà, dès les premiers mots, l’auteur n’est plu’ crédible sur ce sujet-là aussi. Il va cracher sur le fondamentalisme fanatique islamiste mais ne rien dire de ce qui a recréé Israël avec son entière approbation à lui : le fondamentalisme fanatique israélite (être passé de la prière virtuelle de 1800-1947 « l’an prochain à Jérusalem » à la guerre « faisons-le pour de vrai, tuons pour ça »). Et il est faux que l’objectif sincère est de lutter contre l’intolérance ; la loi française est intolérante, haïssant les négationnistes, les sceptiques, les bouddhistes, osant douter du dogme officiel sur la Shoah qui prétend légitime le sionisme en réparation. Le prof ne pourra pas conduire chacun de ses élèves à deux ans de prison, donc il pratiquera l’intolérance envers les pensées interdites. En prétendant le contraire, en diabolisant spécifiquement les islamistes, ennemis de sa république sioniste. C’est affreux de malhonnêteté, abus d’autorité. Enfin, c’est comme ça, moi je n’entre pas en révolution mais je soupire, très fort. Qu’un autre plus rebelle lui coupe la tête est excessif, mais compréhensible hélas. C’était prévisible, sauf à écraser les objections au nom de l’autorité, professorale, oui tout le problème est là. Pas résolu par ce livre mais illustré par lui, montrant la mocheté en action, risquant représailles…
• Page 76 encore : « la défense de l’esprit critique et scientifique ».
--> Erreur, même si ça a peu à voir avec les religions, quoique… Ce prof benêt ignore que l’esprit critique casse l’esprit scientifique, ou du moins le scientisme donnant raison à la science (au lieu d’y voir un jeu facultatif). Tout repose, encore une fois, sur l’esprit cartésien du Discours de la Méthode : ayant eu l’honnête audace de formuler l’hypothèse du rêve, Descartes n’échappe au scepticisme lucide que par des pirouettes mensongères, illogiques, et des arbitraires religieux classés incontestables (« Dieu n’est pas trompeur ») sous peine de mise à mort fanatique par l’Inquisition de l’époque. Et le prof, là, n’ayant rien compris à rien, classe la science en summum de l’esprit critique contre les abus religieux. C’est un mélange d’incompétence et de bêtise, très fière puisque professorale, membre de « L’Elite intellectuelle »...
• Pages 76-78, le prof discute sévèrement avec un élève chrétien ayant clamé qu’il faut brûler les homosexuels car pécheurs, après l’avoir dénoncé pour sanction par l’autorité administrative, et à propos du mariage gay, le pro auteur conclut « de fait, la majorité des représentants du peuple ayant voté pour, ce mariage est acté. »
--> Peut-être que ça cloue le bec de l’élève, mais il y avait énormément à répondre (c’est de la propagande dominant un non-informé, mais un informé peut casser ce mensonge). En effet les prétendus-représentants du peuple sont des faux-représentants, ça a été prouvé par la décision parlementaire choisissant l’Europe juste après le refus populaire par référendum. Et aussi par l’auto-amnistie des corruptions politiques, approuvée par les dits-représentants en choquant le peuple, mais « rien à foutre, le pouvoir appartient à ʺl’Eliteʺ »… Et ceux qui veulent soumettre les élus au peuple, avec référendum d’initiative populaire empêchant lois impopulaires, sont diabolisés comme « irresponsables populistes » par les politiciens dominants et journalistes, issus des mêmes écoles. Et la peine de mort a été abolie au nom de la volonté du peuple, alors que les sondages disaient le contraire : aux élections présidentielles 1981 (j’avais 17 ans encore mineur) il fallait choisir bourgeois-avec-peine-de-mort ou travailleurs-sans-peine-de-mort, et entre le mal et le pire un choix a été fait a contrecœur sans pouvoir voter travailleurs-avec-peine-de mort, puis le peuple a été cocufié comme prévu, selon le principe de république donnant plein pouvoir aux faux représentants (pour au moins 5 ans). Par ailleurs, « les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient » a avoué Pasqua ou un autre, tous faisant pareil, dont Mitterrand ayant sciemment menti avec sa promesse de service militaire réduit. Oh non, ce ne sont pas les « vrais représentant du peuple » qui expriment en clair la volonté du peuple, c’est un système d’oligocratie pourrie menteuse. Avec interdiction de le renverser, se présenter à élections présidentielles exigeant d’approuver la constitution (même pourrie) et d’être approuvé par plein d’élus profiteurs de ce système menteur… Bref, oui, telle loi a été votée donc domine, mais le fait qu’elle soit légitime ou non (démocratiquement et pas seulement moralement) n’a presque aucun rapport. Le prof a là commandé obéissance aux pourris aux commandes, c’est immensément moche. Certes, il évite la prison à ses élèves, mais il fait d’eux des moutons abrutis, soumis approbateurs, volés sans révolte (comme le clergé catholique en 1000-1788 formait les pauvres à ne pas se révolter, gagner le paradis étant à ce prix, prétendu). C’est de l’endoctrinement quasi-religieux, de l’abus de faiblesse. Ecole et religion, même combat, ce n’est pas abordé comme sujet dans ce livre (jusqu’ici) mais c’est ma conclusion. En 1789 des églises ont été brûlées, en 2020 un prof a été décapité, je vois le parallèle, oui.
• Page 79 : « ne jamais soutenir une interprétation précise d’un texte sacré (…) lui indiquer que d’autres ont des interprétations différentes mais il s’agit surtout de poser un ʺstopʺ en rappelant simplement la loi de la République. »
--> Je ne suis pas d’accord. Si les textes dits sacrés étaient si puissants, ils seraient clairs ; qu’ils doivent être « interprétés » prouve leur nullité, c’est à mon avis le jugement pertinent sur les religions, contraire de la laïcité à la française qui s’allie à elles même monstrueuses au premier degré (qui est une lecture possible voire naturelle, traduite en actes monstrueux évidemment). Je ne suis pas du tout partisan d’une interdiction des religions en général, mais d’une condamnation des religions du Livre sous leur forme originale, requérant réécriture (claire et en rien monstrueuse) pour devenir acceptables.
   Quant à imposer les lois de la République, j’estime que c’est un abus de pouvoir puisqu’elles ont été édictées par des faux-représentants menteurs doublant le peuple en jurant le contraire. Des lois peuvent être pourries, et changées parfois selon le bon-vouloir des puissants, il faudrait dire non pas « il est impératif d’obéir à la loi de la république », mais « hélas compte tenu des dominations en place, il vaut mieux faire semblant d’obéir et garder en ton fort intérieur ton désaccord, peut-être très pertinent, voire valant Vérité interdite. »
   Certes, le prof est un valet de la République, petit officier endoctrineur, mais s’il veut prétendre à la raison (intellectuellement) et à la respectabilité (moralement), il ne doit pas mentir ni écraser la lucidité (même officiellement condamnée par le système, dictatorial en jurant le contraire).
• Page 79 « fascination pour Ben Laden (…) cette jeunesse reléguée en cités ».
--> Je suis en complet désaccord encore : les immeubles avec ascenseur groupés, dits cités, n’ont rien d’horribles avec condamnation des enfants d’immigrés à y vivre horriblement. Une vie harmonieuse paisible y serait très possible (même si les riches peuvent évidemment préférer les villas individuelles avec jardin-piscine, ou les châteaux). Certes, en pratique, c’est un lieu de violence liée à la guerre des gangs de dealers de drogue, mais ce commerce de drogue n’est pas une fatalité, plutôt une perversité des riches quartiers consommateurs faisant poursuivre par la police exclusivement les vendeurs (de cités à majorité musulmane). La culpabilité me semble entièrement celle des consommateurs, protégés en France (emprisonnés eux aussi aux USA). Et la légalisation de ces drogues (comme le tabac et l’alcool, tueurs vendus par l’Etat) serait envisageable, bouleversant le tableau : il ne convient pas, avec intelligence critique, de se lamenter sur les cités sans réfléchir. Les jeunes de ces cités, dans cette atmosphère de violence, peuvent idolâtrer tel ou tel tueur religieux révolutionnaire, mais résoudre le problème mériterait débat, approfondi, et non étouffement des questions.
• Page 79 encore : « transmettre aux élèves, à nouveau, le sens généreux de la République. »
--> Je ne comprends pas le mot « à nouveau » car dans les 78 pages qui précèdent, je n’ai pas vu l’ombre d’une idée pouvant me convaincre que la République est généreuse, plutôt qu’oligocratique pillant le pays et écrasant les gens de mauvaises lois sévères.
• Page 80 : « ʺLire entre les lignesʺ. (…) contrer le risque de lectures trop littérales des textes sacrés ».
--> Je l’ai déjà contesté plus haut : des religions honorables auraient des textes clairs, par définition, là le prof mouline comme un fou pour contrer (sans l’avouer) l’aberration de la laïcité à la française. Quand Jésus-Christ dit « il faudrait tuer untel », oui oui tel « interpréteur » dira que ça veut forcément dire « tuer son image, sa respectabilité, pas tuer le bonhomme bien sûr » mais pourquoi Jésus ne l’a pas dit lui-même ? Et si ce qui est marqué n’est pas à lire au sens premier, peut-être que le Paradis post mortem (principal intérêt des religions du Livre) est une image pour en fait simplement dire qu’on ne vous oublie pas, même si vous êtes crevés poussière avec pas d’âme nulle part, juste souvenirs de vous… Ah non, ça il faut pas le dire, ça flinguerait les religions, qui massacreraient ceux qui le disent. On est en plein bla-bla n’importe comment pour empêcher de réfléchir honnêtement. La ligne du prof ne me parait en rien estimable. Je serais moi d’accord pour condamner ces textes dits sacrés et les réécrire proprement, pour faire rêver à Paradis post mortem possible, affirmé sûr pour ceux qui y croient, mais aucun rapport avec des massacres sacrés, aucun, donc sans aucun besoin de « lire entre les lignes » en prétendant que le texte tueur n’est pas tueur du tout.
• Page 82, l’auteur explique (avec référence cinématographique admirative) que tout le progrès humain vient d’un singe ayant tapé avec un os et constaté la puissance du truc. Et à l’élève répondant que Non c’est Dieu qui nous a créés, il réplique : « ma mission c’est de vous faire part des théories communément admises par les scientifiques. »
--> C’est mal pensé, de la part du prof. Si ce n’est pas en filière scientifique, pourquoi le prof aurait-il mission d’inculquer le scientisme (croyant que les scientifiques actuels ont raison) ? Si c’est en filière scientifique, il ne devrait pas employer le mot « admises » mais « préférées », et ne pas dire « les scientifiques » mais « les leaders très connus parmi les scientifiques ». En effet, moi qui suis diplômé en sciences biologiques, qui avait un métier scientifique biologique, je doute que l’être humain vienne du singe (et qu’autrui existe), il ne convient pas de généraliser infiniment en prétendant à l’unanimité. Tout est relatif : pour être diplômé en science, il faut réciter et jongler comme demandé, comme si on croyait à ce que racontent les profs, mais on est entièrement libre de ne pas y croire, ça n’entache en rien la performance professionnelle, appliquant ce qui est convenu, qu’on y croit ou pas.
• Page 82 encore, l’auteur suggère à l’élève créationniste d’aller voir les os d’hominidés préhistoriques à tel musée.
--> C’est mal pensé : ça sous-entend « ces os âgés de millions d’années sont la preuve que tu te trompes », ce qui est logiquement une erreur totale. Peut-être que l’élève naïf se laissera abuser mais je réponds à sa place, mettant le prof minable : « non, msieu, si Dieu a créé ses os comme vieux artificiellement le siècle dernier, vous avez tout compris de travers, et c’est ce qu’Il veut pour amener à se découvrir les mauvaises gens se détournant de Lui… Grillez bien en Enfer, moi je ne vous suis pas là-bas. » Enfin, cette réponse religieuse n’est pas mon truc à moi, mais le religieux créationniste aurait entièrement raison de la formuler, victorieusement (non que ce soit La Vérité indéniable, mais un autre possible déniant la prétendue preuve du prof). En ce qui me concerne, j’envisage que le monde présent est mon rêve, et donc le prétendu âge des os est une illusion, une modalité du n’importe quoi non-crédible générée par le Moi qui rêve. A titre d’hypothèse envisageable, non prouvée non plu’.
• Page 83, l’auteur présente un film à ces élèves, expliquant que tels os d’hominidés datent de tant de millions d’années.
--> C’est mal pensé, vraisemblablement par incompétence (l’auteur étant prof de français et histoire-géo d’après la 4e de couverture, pas de sciences dures). D’après les études que j’ai moi suivies, la datation scientifique en millions d’années se fait actuellement en mesurant le taux de Carbone 14 (ou équivalent) ; pour cela, il s’agit de croire vrai ce que répond l’appareil, sans envisager que Dieu (ou le rêveur) puisse donner des faux résultats pour rire ou tromper ou autre ; ensuite, la conversion entre résultats bruts (genre millivolts de l’appareil de mesure, résultats au pluriel car répétés pour diminuer l’incertitude due à la reproductibilité imparfaite) et datation, ça emploie une loi scientifique qui est une croyance aucunement prouvée (aux religieux et sceptiques), en imaginant que cette loi (par ailleurs en instance de réfutation expérimentale future possible) est valide inchangée de toute éternité (selon un modèle de constance cru sans preuve), ce qui est une généralisation inductive, une faute en logique pure. Mais le prof croyant (pas religieux ni scientifique mais scientiste) n’a rien compris aux réserves connues des spécialistes, alors il pérore avec incompétence, c’est affligeant (mais assurément bien noté par l’inspection : c’est le rôle attendu de lui par les autorités françaises, commandant et payant cet endoctrinement)…
• Page 84 : « l’histoire de l’univers (car des jeunes m’expliquent parfois que l’univers a été créé en sept jours…) »
--> Ces points de suspension me semblent signifier « quels idiots ! » ou un peu moins méchamment « et ils ont vraiment très très tort bien sûr ». Et c’est faux, ce jugement. Certes, ce n’est pas le jugement actuel de la science, mais c’est un autre jugement selon d’autres valeurs, pas « inférieures » avant discussion, a priori. Enfin, ça renvoie à l’autre livre avant sur les sciences à l’école, mais bref : si on récuse les axiomes scientifiques (l’autre livre parlait je crois de « 7 prédéfinis »), on n’est aucunement astreint par la logique à tirer la conclusion « tant de milliards d’années ». Les religieux du Livre peuvent dire 7 jours, mon oncle catholique scientifique physicien peut dire « 7 jours virtuels s’étant écoulés en tant de milliards d’années », moi avec hypothèse du rêve je peux dire « ce monde semble s’être créé ce matin à mon réveil d’ailleurs, ou faux réveil, autre rêve ou quoi ». Affirmer avoir raison au nom de l’autorité est un abus de pouvoir, professoral, et un imam ou pape pourrait faire pareil avec d’autres chiffres « prouvés » à sa façon aussi. On n’a pas avancé : les profs donnant des leçons n’ont rien compris.
• Page 85 : « il existe, de nos jours hélas, des sites musulmans affirmant, citations du Coran à l’appui, que la Terre est plate… »
--> La encore, les points de suspension, et le mot « hélas », signifie clairement « idiots » ou « dans l’erreur totale », mais… encore une fois, moi diplômé en sciences, je ne suis nullement en position de démontrer que la Terre n’est pas plate (ni même que la Terre existe, si je suis en train de rêver et suis « en fait » une sorte de prout céleste dans l’éther ou quoi). Ce que les profs de science m’ont affirmé, avant contrôle de connaissances sévère me faisant réciter, c’était totalement dénué de preuve. Ils ne faisaient que croire aux leaders de leur mouvement scientifique, en exigeant de moi pareille croyance, c’est intellectuellement nul, logiquement invalide. Que les musulmans ou certains d’entre eux mettent leur croyance en d’autres leaders, c’est comparable et pas inférieur ridicule.
   Il y a aussi des malentendus profonds, où les ricaneurs quant à l’hypothèse « Terre plate » se montrent stupides illogiques. Ainsi, la prétendue preuve photo satellitaire montrant une photo de la Terre est dite prouver que la Terre n’est pas plate, et c’est faux : la Terre pourrait être un cercle plat, ou bombé, sans être la sphère prétendue (autre interprétation possible du rond de l’image, simplement). « La Terre est ronde » est admissible par les tenants de « la Terre est plate », mais les ricaneurs n’ont rien compris. De même la preuve par voyage aérien vers l’Est toujours jusqu’à revenir au point de départ serait la preuve totale (à la Magellan et survivant successeur) mais… faute d’avion hypersonique à immense autonomie (à l’heure actuelle et pour le futur proche), ce serait une suite de voyages où on s’endort à bord, en « croyant » qu’il n’y a eu aucun trucage pendant cette « absence », et qu’on se réveille dans le même monde ; et dans l’avion la direction tout-Est-constant n’est pas évidente pour le passager en cabine, surtout la nuit… (et une boussole éventuelle est trompable par champ éléctromagnétique), non ce n’est probant que pour les crédules oubliant de douter. Et le prof n’a nullement envisagé ces objections, il récite ce qu’on lui a fait réciter, mouton stupide, appelant ses élèves à devenir aussi des moutons stupides. C’est une honte. (Ce n’est pas que je crois que la Terre est plate, c’est que je regrette que le doute soit sélectif, parfois condamné, sur commande de croyants se prétendant sachants, avec diplômes « volés » de fausse supériorité).
   Mais, sur le principe, je ne comprends pas ce « combat contre l’ignorance (prétendue) ». Même si la Terre est sphérique, quel mal font les gens qui croient qu’elle est plate ? Pourquoi batailler à les faire changer d’avis ? Pourquoi dresser leurs enfants à les mépriser ? Où est la tolérance ? Certes, la tolérance n’existe plu’ en République Française, la loi Gayssot punissant de 2 ans de prison le doute vis-à-vis du dogme imposé, mais c’est affreux, pas à décliner en fier mode d’emploi (« guide de l’enseignement »)… Et cette attitude écraseuse suscite en miroir le même endoctrinement par les religieux, combattant ce qu’eux appellent l’erreur grave inadmissible. Pourquoi pas un peu de tolérance, espérée réciproque mais en commençant soi-même ? Je rêve oui, mais c’est important, l’auteur abordera-t-il la question ?
• Page 85 à nouveau : « Freud a de son côté évoqué (…) il a fallu admettre que la Terre n’était pas au centre de l’univers (…) découverte de l’inconscient ».
--> Ouh-là-là, je souffre, tant ce prof est stupide et fier donneur de leçons… Les théories freudiennes, enseignées pendant des décennies à l’université « scientifique » de psychologie en France, étaient celles d'un blablateur délirant, obsédé sexuel, et ce qu’il a écrit n’a en rien valeur de vérité indéniable. Je le sais depuis 1982 quand j’ai lu « la logique de la découverte scientifique » de Karl Popper, pour approfondir ce que disait notre prof de philo, mais il parait que le changement de paradigme a maintenant touché les facs de psycho, enterrant plein d’années de dogme freudien aveugle, non scientifique et apparemment faux.
   Quant à l’expression « il a fallu admettre », de quoi s’agit-il ? Les élèves doivent admettre ce que dit le prof, même faux, sinon ls sont punis de mauvaise note en contrôle de (prétendues) connaissances ? c’est une honte, un abus de pouvoir selon moi. Les scientifiques judéo-chrétiens ont dû se ranger à l’avis de leurs confrères athées faute d’arguments ? je n’y crois pas, car j’ai les arguments qui leur auraient manqué, le scepticisme et l’hypothèse du rêve (comme du Tout puissant créateur) invalidant l’incontestabilité de la théorie actuelle…
   Enfin, il est faux de parler de « découverte de l’inconscient » comme si l’inconnu antérieur laissait place maintenant à un connu incontestable. Non, cette histoire d’inconscient est une « façon de parler », devenue dominante, et pouvant être abandonnée demain si d’autres dominants prennent la tête des congrès ou revues spécialisées. Enfin, qu’il y ait plusieurs « moi », personnellement je le crois puisqu’on m’a convaincu que le modèle du rêve expliquait l’expérience : il y a un moi ressenti, et parfois (ou toujours) un moi-qui-rêve, dirigeant des illusions, avant de réémerger comme ressenti sans plu’ de délire. C’est seulement une hypothèse, et si la vie est une suite de rêves infinis (ou finis mais successifs sans émerger en monde partagé), le moi-qui-rêve pourrait ne pas exister.
• Pages 85-86 : « ʺLa planète des singesʺ (…) Le choc (…) les découvertes de Darwin »
--> Nouveau manifeste d’incompétence crasse… Dé-couvrir, c’est enlever la couverture sur quelque chose. Sous le fatras des événements divers, les scientifiques prétendent découvrir la vraie loi cachée. Ce n’est absolument pas le statut des théories darwiniennes. Darwin a émis des hypothèses, qui ont été combattues par des concurrents comme Lamarck, et finalement Darwin a obtenu la préférence des leaders. Avant que, ces dernières années, les observations dites « épigénétiques » viennent montrer une « hérédité des caractères acquis » donnant davantage raison à Lamarck qu’à Darwin, mais incomplètement, et le consensus actuel est un incertain mix de tout ça. Oh non ce n’est pas du tout une découverte de loi incontestable.
• Pages 86-87 : « méthode scientifique (…) ʺthéoriesʺ (…) communément reconnue par les scientifiques (…) sérieuse probabilité (…) Cette méthode permet d’éviter les deux écueils de la naïveté crédule et du scepticisme intégral. »
--> Avant de crier, je suis allé demander à Google la définition de « permettre », dans ce sens-ci : rendre possible. Bof, oui, il est possible que ça dise vrai et il est possible que ce soit erroné, c’est un peu nul, bénin. Mais alors pourquoi l’enseigner comme sagesse supérieure ? Et… Darwin a-t-il « découvert » une « possibilité » peut-être jamais advenue ? Dire que la Terre est sphérique est-il considéré comme une « possibilité » tout comme dire que « la Terre etst plate » ? Ce n’est pas vrai que la science parle comme ça, ce n’est pas vrai que les pages précédentes suivaient cette prudence sceptique (qui est la mienne). Non, la cohérence affirmative via la science se retrouve si ce « permet de » est une figure de style pour dire avec ménagement « conduit à ». Or, là, c’est faux : la science ne conduit en rien à éviter le scepticisme intégral : elle est au contraire bâtie intégralement en aval d’un refus du scepticisme intégral (l’hypothèse du rêve, antiréaliste). C’est la supercherie de René Descartes « pour bien guider sa raison et chercher la vérité dans les sciences », texte illogique, idiot ou menteur, et fanatiquement religieux pour interdire les objections. Ça confirme bien que ce prof n’a rien compris à ma réfutation de la légitimité scientifique (en tant que supérieurement crédible, au-delà d’un simple choix conventionnel parmi une myriade de possibles).
   Ensuite, la notion de « sérieuse probabilité » ou « très forte probabilité » est un piège, car il faudrait prendre conscience qu’il s’agit de « probabilité conditionnelle » [p(A/B)=p(A et B)/p(B)], célèbre domaine qui a donné le théorème de Bayes. Ainsi, j’ai rêvé la nuit passée d’un moyen magnifique pour aller sur la Lune sans fusée : on joint les mains comme pour une prière, on ferme les yeux, on dit Abracadabra, et quand le dernier « a » est prononcé, hop on est là-bas, avec un casque sur la tête pour respirer. Testé sur 100.000 personnes avec 99,73% de succès, c’est reconnu valide par les congrès scientifiques de Washington 2018 et Yokohama 2019, à l’unanimité des experts. Que ça marche a donc une « sérieuse probabilité ». Oui ? Ben non, il manque la conditionnelle « sachant que tout ceci a lieu dans le Réel », et si c’est un rêve, la probabilité s’effondre totalement, et si on ne sait pas si c’est un rêve ou non, elle n’est pas très forte, pas sérieuse, en tout cas. « CQFD, msieu professeur, sauf vot’ respect, les maths vous y connaissez rien, visiblement, chacun son truc… »
• Page 87 : « sites (…) fondamentalistes (…) des appels à rompre avec la République, à refuser le droit de vote… »
--> A nouveau les points d’exclamation dans un sens comme « incroyable affreux débile », et je ne suis pas d’accord du tout, ici aussi. Sans être croyant, je désapprouve le principe de République (dictature de faux-représentants) et j’ai refusé de m’inscrire sur les listes électorales, jusqu’à y être forcé à l’âge de 37 ans (le maire de ma ville refusant de me recevoir sans cela, après avoir refusé de signer le papier autorisant ma fiancée étrangère à venir). Dictature des faux représentants, je confirme. Et je vote blanc depuis lors, désapprouvant tous les candidats. Et j’ai totalement raison, de mon point de vue, je suis prêt à casser les arguments du prof faussement supérieur qui me traite d’affreux ou de débile, affreux et débile lui-même…
• Page 87 encore : « Il est redoutable (…) ainsi (…) se couper de la société. »
--> Faute de raisonnement totale, encore ! Bien que je désapprouvais le principe oligocratique dictatorial de république interdisant le référendum d’initiative populaire, bien que refusant le vote ou votant blanc, je n’étais pas coupé de la société : je payais mes impôts, je travaillais en entreprise, etc. Le prof fait là un amalgame vertigineux pour diaboliser ceux qu’il n’aime pas. Il sera félicité par les gouvernants qui fonctionnent ainsi, comme les médias. L’honnêteté intellectuelle est simplement ailleurs. Qu’elle est moche atroce, cette école, ici « justifiée », « expliquée » en détails…
• Page 90 : « La clé de voute du système de valeurs républicains : l’humanisme. (…) l’humanisme des Lumières dont l’expression la plus aboutie demeure la déclaration des droits de l’homme. »
--> Faux, encore une fois : la République française n’est nullement humaniste, puisqu’elle est alliée aux USA massacreurs d’Amérindiens sans sanction aucune, et considère que les Palestiniens sont inférieurs en dignité et en droit aux Etasuniens, puisqu’avec approbation des dirigeants et opposants politiques français, on a rendu la Palestine aux Juifs mais pas l'Amérique aux Amérindiens. « Eh msieu connard, il est où, là, ton humanisme ?! Arrête tes conneries menteuses, ça devient insupportable ! »
   Et les Lumières, c’est entre autres le grand Voltaire, qu’on m’a demandé d’admirer au lycée, et qui était riche armateur de bateaux pour la traite esclavagiste négrière, parait-il, symbole d’humanisme ?
   Et la République « laïque » est l’amie de toutes les religions esclavagistes, c’est super-humaniste admirable ?
   Et la déclaration des droits de l’homme, j’ai montré sa bêtise incohérente et monstrueuse, dans ces 2 versions (française « et du citoyen », « universelle » 1948 ), comme ici l’auteur ne dit pas de laquelle il parle, je ne peux pas objecter en détail, mais ni l’une ni l’autre n’était humaniste, elles étaient alliées du nationalisme xénophobe antihumaniste.
• Page 92 : « discours très juste (…) un certain patriotisme français (…) elles nous aident à ʺfaire Franceʺ. »
--> Je suis choqué. Personnellement je me sens humain, je suis francophone parce qu’on m’a élevé avec cette langue pourrie, je suis « français de souche » (et bâtard de juif converti catholique) parait-il selon les adorateurs de généalogie, je ne me sens pas français. Les FN/RN et autres partis patriotes expriment leur amour de la France et rejet virulent des étrangers, et les autres partis font pareil (refus de visas, encouragement de la natalité locale en fermant les frontières aux migrants, etc.) en faisant semblant de cracher sur les patriotes affichés, dits suspects d’être fascistes. Tous chantent qu’il faut tuer les étrangers pour nous enrichir (La Marseillaise). Je trouve ça atroce, et ce prof (content de son patriotisme) aussi, et cette école aussi, oui, courroie de transmission/endoctrinement/intoxication des jeunes, appelés à devenir ainsi nationalistes. Avec nation française ou européenne, mais en tout cas anti-Asiatiques anti-Africains (voire Anti-Américains mais ce n’est pas sûr car ce sont les pauvres qui sont rejetés pour ne pas partager – sans le dire bien sûr). Moi je me suis marié à une Asiatique, choqué/traumatisé par une française (ou deux en comptant déception pré-adolescente), je suis en désaccord avec les gens clamant « il faut aimer son pays ! ». Je n’ai pas regardé les matches de football dits « France championne du Monde fabuleuse extraordinaire, immense motif de fierté pour nous tous ! », je n’aime ni le sport ni le nationalisme, ni la religion ni l’école. J’aime dessiner, construire des maquettes d’avions inventives, prouver faux des textes mathématiques, écrire des nouvelles romantiques (en langue française simplifiée mieux), ce n’est pas rien, c’est autre chose. J’ai eu le Bac Maths mention très bien comme 0,2% d’une classe d’âge (avant les lois Jospin effondrant le niveau requis) et j’ai choisi de m’enterrer en bas de l’échelle sociale sans gros salaire, tandis que mes camarades scolairement brillants se lançaient avec ambition vers les postes à énormes salaires, sur le dos des travailleurs de peine sous-payés. Oh non, cette école fabricante de moutons soumis et de bourgeois non partageurs ne me parait pas admirable du tout.
• Page 93 : « Quand on est français, on doit servir la France »
--> Je suis effaré par cette citation de dame dite admirable musulmane, phrase qui me parait criminelle puisque c’est la logique qui a fait massacrer les jeunes hommes ex-civils en 1914-18 (sous peine de mort, au nom du « devoir »). Je classe ça en « crime contre l’humanité » ou quelque chose d’approchant, il faudrait revérifier les définitions. On peut (comme moi) être né français et désapprouver entièrement ce que font les gouvernants en notre nom, pourquoi devrais-je être servile vis-à-vis de ces dictateurs, que je sais « faux représentants » du peuple (point discuté plus haut) ?
• Page 93 encore : « Dissocier les juifs [en France] de ce qui se passe en Israël »
--> C’est très mal pensé et c’est grave, complice d’abomination. Le mot Juif est un amalgame, avec deux sens (juifa/juifo) : une origine (totalement innocente, comme toute origine, sauf selon les racistes), un comportement communautariste (rejetant et/ou dominant les non-Juifs, notamment en Israël). Oui, un bébé juifa est totalement innocent du drame palestinien, de même qu’un juifa catholique non sioniste ni ami d’Israël. Par contre, quand une juive athée française clame « Israël, c’est mon vrai pays » (je l’ai entendu, gobé, amoureux en position de faiblesse) sans qu’elle aille y vivre, elle est entièrement complice/approbatrice du martyre raciste imposé aux Palestiniens arabes, ce qui (à la réflexion, avec recul) vaut culpabilité morale selon moi (sauf s’il y avait restauration équitable des propriétés antiques en rendant pareillement les USA aux Amérindiens, au lieu de profiter de la puissance étasunienne principal soutien d’Israël). D’accord il ne faut pas généraliser, mais tant en culpabilité qu’en innocence. Alors que la loi française considère qu’un juif même juifo (donc raciste, par exemple religieusement avec cette religion non-prosélyte réservée au sang noble) est automatiquement innocent, tout crime à son encontre recevant double-peine pour antisémitisme en circonstance aggravante. Même si sa judaïté à lui consistait à soutenir fanatiquement Israël massacreur de Palestiniens en 1948 et après (ce qui révolte les musulmans des banlieues françaises). Le prof auteur, lui, approuve l’imbécilité monstrueuse de la loi française, il n’a peut-être pas le choix (compte tenu du devoir de réserve des fonctionnaires) mais il semble un pourri acheté par son salaire. (Je connais cette situation atroce et je plaide coupable : moi aussi j’étais complice d’une entreprise malhonnête que j’essayais de faire changer de l’intérieur, mais en vain, et j’ai craqué, j’ai été mis en invalidité pour « difficultés psychiatriques » – cessant d’être complice mais perdant le salaire ; un prof anormalement honnête devrait finir comme moi au lieu d’écrire des livres pour cacher/camoufler doublement sa culpabilité – mal puisque je l’ai démasqué).
• Page 94 : « ʺLa laïcité fait partie des valeurs de ce pays, nous devons la respecter. ʺ »
--> Ce propos, d’une intervenante musulmane jugée admirable par le prof auteur, me choque. En 1750, il aurait fallu que les esclaves disent « L’esclavage fait partie des valeurs de ce pays, nous devons le respecter », je trouve ça atroce. En Israël 1948-2020, le Palestinien devrait dire « le mépris des sales goys fait partie des valeurs de ce pays, nous devons le respecter », c’est affreux ! Des valeurs prétendues peuvent être à contester moralement, intelligemment, sans s’y soumettre servilement. Et qui a défini qu’il s’agissait d’une « valeur du pays » ? Si c’est le législateur, faux-représentant du peuple, c’est invalide, injuste. Si ce sont des « intellectuels » en vue, il s’agit de pistonnés, par forcément pertinents. Si c’est une tradition bien connue, elle peut être mauvaise, à changer.
• Page 94 encore : « Noël : un repère que la République peut s’approprier »
--> Oui, ma famille athée a toujours célébré Noël comme fête des enfants, sans rapport avec la naissance (prétendue) de Jésus (s’il a existé). Mais pourquoi alors appeler ça Noël et pas « Jour des enfants » ? C’est bien qu’il y a favorisation légale de la religion chrétienne (ou plutôt : catholique car est férié le 15 Août pour la Sainte Vierge non reconnue par les Protestants). Dire que, puisque la République le reconnait, alors c’est équitable, cela me parait faux. Ce n’est pas que je veuille rendre fériés les jours d’aïd musulman, kippour israélite, etc. (possiblement 365 jours par an s’il y a au moins 365 religions en France avec cathares, shintoïstes, vaudous, etc.). C’est que je serais d’avis de n’avoir aucun jour férié religieux. Soit en travaillant davantage, soit en les remplaçant par des fériés « jour des fleurs », « jour de l’amitié », etc. (Pour les pays n’ayant pas cela, ça classerait simplement la France en « pays de fainéants » tirant prétexte de n’importe quoi pour ne pas bosser).
   J’ai entendu dire qu’historiquement, juste après la révolution qui était anticléricale, il a été maintenu le repos le dimanche (« jour du Seigneur » pour les chrétiens) afin que les employés se reposent un peu, tout en niant que ce soit pour se consacrer aux rites religieux toute la journée sans trouver temps de travailler. Si ce repos était supprimé, ç’aurait été la contre-révolution (c’est comme ça qu’a été retiré aussi le projet de simplification du calendrier avec semaine de 10 jours civils au lieu de 7 jours religieux, ce qui aurait fait travailler 5% davantage). Aujourd’hui en société française hyper-consommatrice, avec en plus samedi non-travaillé pour la plupart des employés et lundi non travaillé pour la plupart des commerçants, le caractère spécial du dimanche a encore diminué, et divers politiciens envisagent d’autoriser (ne plu’ interdire) les magasins à ouvrir le dimanche, la principale objection étant la concurrence déloyale entre grands groupes (à employés nombreux en équipes successives) et petits commerçants voulant/devant se reposer à un moment ou un autre. Ce n’est absolument plu’ une question religieuse. Dans ces conditions, les jours fériés catholiques pentecôte, ascension, etc. sont supprimables, ce qui a commencé à se faire pour l’un avec travail imposé quoique pour « la solidarité » et non pour « le patron », sauf fonctionnaires dispensés de travail ce jour-là, c’est très compliqué, et que cela corresponde à une date catholique précise est étrange, presque absurde. Donc Noël est supprimable, l’avenir le dira, en tout cas il est devenu contradictoire que la République laïque continue à l’appeler avec le nom chrétien Noël. A mon avis, en désaccord avec l’auteur.
• Pages 94-95, l’auteur explique qu’il a bataillé dans son établissement scolaire pour que soit appliquée la loi obligeant à avoir un drapeau français sur la façade, « il invite au vivre ensemble ». Ont été ajoutés les drapeaux européen et régional, finalement.
--> Je ne suis pas d’accord. Le principe du groupisme a deux volets : inclusif (qui on rassemble) mais aussi exclusif (qui on rejette). Encourager les deux, c’est encourager le second, xénophobe ou assimilé (quand à l’âge de 11 ans je suis arrivé à Toulouse venant de Paris, des camarades de classe m’ont traité de sale parigo ; remplacer le nationalisme par le continentalisme fait quand même rejeter les Africains et Asiatiques). Je donne moralement tort à l’auteur, antihumaniste. Mais certes la République Française et sa Constitution sont fondées ainsi, endoctrinent les enfants pour cela, c’est cohérent mais je trouve ça coupable moralement. Enfin, les mondialistes sont réputés des monstres, mais c’est un amalgame entre les durs semi-esclavagistes patrons/commerçants voulant opprimer les travailleurs asiatiques sans droit de douane et les doux utopistes comme moi souhaitant un smic mondial, une langue mondiale, etc.
   En ce sens, la religion musulmane (avec son oumma mondiale) semble moins rejeteuse que la République Française laïque, mais ce n’est pas si simple, et la plupart des pays à dominante musulmane semblent nationalistes xénophobes aussi. De plus, la bénédiction religieuse envers tous est limitée aux musulmans en rejetant les non-musulmans, ce qui aussi une forme de groupisme rejeteur (même s’il y a invitation à se joindre, sans frontière refoulante). L’auteur aurait dû en parler pour être équitable, à mon avis.
• Page 95, l’auteur s’ébahit (en invitant ses élèves à faire de même) devant la Tour Eiffel illuminée de bleu-blanc-rouge après les attentats de novembre 2015.
--> Je ne suis pas d’accord avec ce mode d’extase symbolique dispensant de réfléchir, pour partir en guerre tous ensemble. Tout au contraire, l’attitude correcte me semblerait de dire : « qu’est-ce qui nous est reproché ? ne sommes-nous pas en faute ? tous ou certains d’entre nous ? qui ? pourquoi ? ». Certes, les politiciens et médias condamnent totalement mon attitude (pas unique mais rare et couverte de crachats) : « ce serait donner raison aux terroristes ! hop en prison pour odieuse apologie des terroristes ! ». Mais justement : ils ont peut-être raison sur le fond, même si ça n’excuse pas leur violence. Preuve : en 1944-45, en massacrant les civils et bébés de villes allemandes (héroïquement clame la République Française…) par « terror bombing » sous commandement du général « boucher » Harris, les alliés escomptaient cette mise en question : « Civils allemands, comprenez que ce n’est qu’une très dure punition des horribles nazis qui font des horreurs en votre nom, renversez-les ! » Et pour les attentats islamistes, ça pourrait être pareil vis-à-vis des sionistes et autres islamophobes. D’immenses questions méritent ainsi d’être posées, mais rester béat devant la Tour Eiffel illuminée, c’est se faire abruti, comme se souler la gueule au lieu de penser sérieusement. Oui, l’école de la République semble bien vouloir faire des enfants de tels idiots, laissant le pouvoir aux gouvernants sans se poser de questions. Je trouve ça moche. (Même si je n’approuve en rien les tueries terroristes, de Paris 2015 ou de Dresde 1944, mais ni plus ni moins l’une que l’autre – ce qui sera malhonnêtement classé antisémite complotiste, puisque résistant aux dominants juifos ou juifophiles).
• Pages 95-96, l’auteur explique que les enfants doivent se lever quand entre le professeur et ne s’asseoir que quand il le leur dit, que l’obéissance à une autorité légitime est très importante.
--> C’est injuste, car je lui dénie cette légitimité, moi ! C’est imposer la servitude en se prétendant soi-même supérieur, légitimement, investi de ce pouvoir par des autorités encore supérieures. C’est militaire, dictatorial, tout le contraire de démocratique libéral respectant aussi les faibles, surtout s’ils sont majoritaires. Certes, je comprends que les psychologues des années 1960-70 ont fait beaucoup de dégâts en élisant « l’enfant-roi » au lieu du vieux système autoritaire discipliné. Les enfants gâtés deviennent en effet des adultes caractériels ne tolérant pas l’organisation hiérarchique (d’entreprise ou administration) ou le désagrément. Mais il faudrait en discuter, peser le pour et le contre, pas balancer comme incontestable la supériorité du prof.
    On pourrait aussi envisager, sur le mode républicain, que le chef de classe (élève élu tel par ces camarades) soit celui qui commande « debout ! asseyez-vous ! », et pas le professeur, qui ne serait qu’invité à enseigner, sans caractère commandeur écraseur. Mais je crains que ces enfants chefs de classe deviennent tyranniques à l’âge adulte. Mais tout devrait se discuter, avant de décider du système « le moins pire » (aucun ne semblant bon, cet auteur a tort)…
• Page 96 : « la République (…) autorise les doutes »
--> C’est faux, et c’est une faute professionnelle s’il raconte ça à ses élèves. Il faudrait préciser : « sauf le doute sur la Shoah, puni de 2 ans de prison (loi Gayssot et jurisprudence Gollnisch) ». « Pourquoi msieu ? », « Hum, c’est la fin de l’heure, on n’a pas le temps de discutailler, apprenez bien vos leçons ! »… Non, ce prof n’a aucun argument honorable, il ne fait que décliner les horreurs et mensonges venus des gouvernants (qui le paient). Pourri, vendu… et ce n’est pas lui spécialement mais toute la classe professorale, il y a simplement que lui l’écrit, ce qui me permet de le casser point par point (avant que je sois envoyé en prison peut-être, ou hôpital psychiatrique façon soviétique).
• Page 97, chapitre final de cet auteur, avec « la République c’est le peuple français (…) du moment qu’ils respectent la loi (…) hétéro comme homosexuel »
--> Erreur encore, je crois. La loi interdisait l’homosexualité autrefois et c’était la république quand même. Internet/Google/L’Express me dit que la dépénalisation de l’homosexualité en France date du 4 Août 1982. Et si la loi demain interdit d’être anti-macronien (puisque les Macroniens ont la majorité à l’assemblée législative donc prétendent représenter la volonté du peuple), la République Française serait une dictature, pleinement, donc le prof n’a rien de rien expliqué, c’est archinul.
• Page 97 encore, l’auteur compare la République française aux gradins d’un stade de foot, où se rassemblent des supporters de goûts musicaux différents, par exemple.
--> La comparaison n’est pas insensée, mais pas assez exploitée : dans une tribune de foot se rassemblent des ouvriers-rockeurs et des bourgeois-classiques communiant dans le soutien à leur équipe ET la haine vis-à-vis de l’équipe adverse. La République française a pour principe la xénophobie, oui, haine de l’autre, ça change tout à sa légitimité (prétendue), et c’est incohérent quand c’est prétendu humaniste comme à quelques pages plus haut. Inclusion mais aussi exclusion, je l’expliquais plus haut, mais pour le comprendre il faut être lucide autocritique, pas professeur autoritaire dispensateur de propagande.
• Page 98 comme définition du mot République, l’auteur propose « un régime non dirigé par un roi » et avec Régis Debray : « ʺassociation politique fondée sur la libre adhésion des personnes à un idéal partagéʺ ».
--> Je ne suis pas d’accord du tout : la république a pour spécificité d’être une démocratie indirecte, le peuple choisissant qui le commandera (contre sa volonté, éventuellement, le pouvoir faisant ce qu’il veut jusqu’à l’échéance électorale suivante). Quant à la première définition, elle semble fausse : il y a des régimes non républicains commandés par un empereur, un général, un religieux, un trio, une famille, une caste, etc. Pour la seconde définition, je ne comprends pas de quoi il est question : je suis membre de la République française (d’après mon passeport) depuis ma naissance sans qu’on m’ait demandé en rien mon approbation ou adhésion. A 18 ans, j’ai été décrété, que je le veuille ou non, « électeur » (possible), et après 35 ans j’ai été forcé par le maire (abusant de son pouvoir) à m’inscrire sur les listes électorales. Et quand je vote blanc (puisqu’en désaccord avec tous les candidats), les médias me condamnent comme « ne remplissant pas mon devoir électoral » et « je ne devrai pas me plaindre si l’élu fait ce qui ne me plait pas ». Laquelle de ces 4 étapes est censée constituer « ma libre adhésion » ?? Bla-bla, aucune espèce de crédibilité. Ce prof est nul.
• Page 98 encore : « les grands chantiers humanistes (…) les caisses d’allocations familiales, une éthique condamnant les discriminations raciales, sexuelles, sexistes, religieuses. »
--> C’est encore tout faux. Les allocations familiales ne sont en rien humanistes : dans un monde en surpopulation chronique, avec quantité de migrants voulant venir ici, il s’agit d’interdire l’entrée aux étrangers (police des frontières) pour que les nouveaux arrivants remplaçant les décédés soient « d’ici », en chassant les étrangers, c’est un principe xénophobe, antihumaniste. Quant aux discriminations, il en reste très officiellement : la police des frontières expulse (interdit d’entrée) au nom de la nationalité administrative, ce n’est pas du tout humaniste mais sélectif discriminatoire, indépendamment des qualités personnelles des individus. Oui, je suis utopiste en rêvant d’un monde uni, et plus de 99% des électeurs français le refuseraient peut-être mais ils sont soit égoïstes-groupistes soit menteurs s'ils se prétendent humanistes, comme ce prof, chef (vis-à-vis des élèves) ou exécutant (vis-à-vis du ministère) en propagande menteuse.
• Page 99, l’auteur désapprouve que des adultes puissent envisager critiquer la République, perturbant le message aux élèves.
--> Cela me semble une lourde faute de l’auteur, intellectuelle et morale. Bien sûr que la critique des mochetés gêne la propagande, simplement autant en République qu’en dictature avouée. En repopularisant le souhait de Référendum d’initiative populaire (ou citoyen) le mouvement contestataire « gilets jaunes » a été très salutaire, à mon avis, et ce serait possible en amélioration très majeure, pour annuler la pourriture antidémocratique du système de République. « Voter c’est choisir qui t’enculera » titrait une banderole gilets-jaune faisait judicieusement (et incroyablement) réfléchir. Condamner ces pertinentes remises en question, pour correction positive, me parait injuste ou/et idiot.
• Pages 99-100, l‘auteur envisage enfin de contester la république nationale xénophobe, mais il dit que les avis dans le monde sont trop divers pour que marche une république mondiale, ou même européenne.
--> Ça me semble mal pensé : les USA ou l’Allemagne montrent l’exemple du fédéralisme, à lois locales diverses, adaptées aux souhaits des populations, mais sans xénophobie ni police des frontières entre les constituants.
   Si j’étais son élève, je dirais quelque chose comme : « Msieu, dans mon immeuble, il y a deux familles qui se font la guerre ; dans mon quartier, il y a deux immeubles qui se font la guerre ; dans ma ville, il y a deux quartiers qui se font la guerre ; dans mon département, il y a deux villes qui se font la guerre ; dans ma région, il y a deux départements qui se font la guerre ; dans mon pays, il y a deux régions qui se font la guerre ; dans mon continent, il y a deux pays qui se font la guerre ; sur ma planète, il y a deux continents qui se font la guerre ; pourquoi c’est tout mal, sauf l’échelon pays qui est merveilleux, il est où l’argument ? Pourquoi ne pas stopper les guerres, toutes, et c’est l’humanisme simplement, la dissolution des frontières, la disparition de la France, et des villes-pays comme Monaco ou Andorre, votre argument (éventuel) me parait même pas imaginable, hein msieu, expliquez au lieu de commander l’adoration nationale (sans qu’on puisse comprendre, évidemment) ! »
   Autre aspect : la télé dit que l’Europe est difficile à vivre car la Hongrie et la Pologne n’en font qu’à leur tête, mais ça me parait faux : elles refusent d’obéir à la France mais seraient très heureuses de nous faire obéir à leurs diktats. Pareil en France : les Toulousains et Marseillais sont fâchés de devoir obéir aux diktats parisiens. La Catalogne refuse de donner sa richesse au reste de l’Espagne, en France la Savoie envisage de demander l’indépendance pour la même raison. Tout le monde raisonne en « nous d’abord, crotte aux autres », c’est moche, c’est universel à n’importe quel niveau, sauf humanisme (et encore : les antispécistes trouvent odieux de mépriser les animaux, en oubliant qu’ils écrasent les moustiques comme tout le monde, hum). Bref, votre « pays magnifique », on n’y comprend absolument rien. Vous l’imposez mais sans convaincre du tout, sans démonstration, en maths ça vaudrait zéro.
• Page 100, l’auteur prend parti contre ceux voulant expurger l’histoire française des pages sombres et dit que tout regarder en face donne « une légitime fierté nationale ».
--> Je ne comprends pas l’argument. Si « la France » s’est enrichie du commerce d’esclaves, et dit maintenant que c’est mal, tout en restant nation riche receleuse (et « la richesse va aux riches », ça peut durer…), en quoi cela rend-il fier d’être français ?? Tout au contraire, je serais d’avis de dire : la peine juste pour ce recel (de crime contre l’humanité) est la dissolution des frontières, obligeant au partage (de la richesse héritée de crime). Pareil pour les USA exterminateurs d’Amérindiens, etc. Oui, ça bouleverserait le monde, de commencer à réfléchir honnêtement, ce prof y est donc tout à fait opposé… ce n’est pas ça, le programme (d’endoctrinement à la soumission aux nationalistes/continentalistes)…
• Page 101 : « le mot ʺégalitéʺ renvoie simplement à une égalité juridique. »
--> Ce n’est pas clair voire faux. Enfin, certes, il est célèbre que la devise nationale « liberté égalité fraternité » n’a nullement commandé égalitarisme des revenus de chacun, mais même sur le plan judiciaire, ça semble très démenti. Par exemple, être juif n’est pas être goy puisqu’un crime contre un juif est doublement puni avec antisémitisme en circonstance aggravante, officiellement, légalement. De même, être un policier n’est pas être quidam puisqu’un crime contre un détenteur de l’autorité publique est doublement puni avec circonstance aggravante. « Un époux qui tue son épouse » ou « une épouse qui tue son époux », ce n’est pas égal car le féminicide est une circonstance aggravante. Donc on nous ment quand on nous parle d’égalité juridique. Le prof ment oui, son autorité est imméritée. Ou il est un peu stupide, le pauvre, je le plains avec compassion, mais sa place n’est pas enseignant, plutôt ouvrier non qualifié sur chaîne de montage, sans besoin de réfléchir, ou balayeur de crottes de chien (je ne le dis pas avec mépris, c’est le métier que je voulais faire à 17 ans si on m’interdisait d’être mort).
• Page 101 encore, l’auteur dit que la république ce n’est pas que des droits mais aussi des devoirs.
--> Je suis en désaccord au moins partiel : quand j’étais adolescent, le service militaire était ainsi un devoir obligatoire, comme la future conscription qui nous enverrait nous faire tuer contre les Soviétiques déclarés ennemis par nos dirigeants (faux-représentants du peuple, je le répète). Cette dictature tueuse me paraissait atroce, et je me donne raison a posteriori, même si le service militaire et l’URSS ont disparu, donc les jeunes d’aujourd’hui sont dans une autre situation.
• Page 101 à nouveau : « Régis Debray (…) Le citoyen (…) au lieu de se demander s’il a envie de payer ses impôts, respecter ses lois, etc. ou non, se demande si c’est juste. »
--> Erreur de raisonnement, du prof et de sa source adorée : je me suis demandé si c’est juste, ma réponse a été Non c’est injuste et alors quoi ? Paf, je dois payer et obéir quand même, c’est très exactement comme en dictature ! Zéro pointé à ces deux prétendus penseurs…
• Page 102 finale (pour cet auteur) : « la République, seule alternative possible au communautarisme, au libéralisme sauvage et au fascisme »
--> C’est le titre du paragraphe final que je vais lire, mais je suis en désaccord avec cette annonce. Qu’est-ce qui rend « impossible » la démocratie directe (avec référendum d’initiative populaire pour que les élus soient empêchés de normalement trahir le peuple) ? Certes, les dominants de la République sont tout à fait contre et peuvent l’empêcher mais ce serait possible en théorie si le Bien était le but, plutôt que la soumission aux puissants. Encore une fois, le message de ce prof semble d’empêcher de réfléchir, étouffer toute lueur d’intelligence critique, pour dresser des moutons citoyens…
• Page 102 encore, l’auteur explique pourquoi la République est la seule, dans ce qu’il venait de dire : ça signifiait que parmi les 4 possibilités, la République est la seule à ne pas être les 3 autres qu’il rejette.
--> C’est presque risible : c’est comme si Napoléon avait dit « l’empire est la seule alternative possible à la royauté, en effet si ce n’est pas l’empire c’est la royauté » (et chut, non, ne pas envisager démocratie ou quoi, c’est le prof qui établit la liste exhaustive des possibles)… Affligeant, de malhonnêteté intellectuelle. Et c’est ça qui guide les enfants, ça promet de beaux jours pour demain (enfin non, rien n’a changé, c’était déjà comme ça avant, ça ne m’a pas totalement empêché de devenir lucide, rebelle, désapprouvant l’école a posteriori).
   Bref, encore une fois, l’école semble toute pourrie, mal pensée, et il est légitime que les élèves soient en désaccord. Mais d’une part la lucidité leur nuira s’ils osent le dire à haute voix, d’autre part ce n’est pas une raison pour couper la tête des mauvais profs (dits « héros admirables » par la République).
• La seconde partie du livre n’est pas relative à l’enseignement, mais présente ce qu’un philosophe pense que la république pense que valent les différentes religions, une par une. Pages 106-107 : « Animisme (…) Le regard républicain (…) En revanche, l’animisme superstitieux qui consiste à nier toute rationalité (…) doit être considéré pour ce qu’il est : une aliénation ».
--> Je ne comprends pas : si la République condamne la forme superstitieuse de l’animisme, la laïcité n’est pas la garantie que toutes les religions sont approuvées. Ce n’est pas que je suis contre cette interdiction, au contraire je souhaiterais l’étendre aux religions du Livre sous leurs formes antiques et actuelles, mais la 1e partie du livre (et tous les politiciens à la télé) me donnaient explicitement tort. C’est incohérent, nul en crédibilité (je ne sais pas qui a raison légalement). Enfin, selon les droits de l’homme universels, ce qui est ici appliqué « regard républicain » est fautif : la liberté de religion est sensée être totale, sans condamnation de certaines.
• Page 110 : « Besoin de sens (…) Les réponses des religions : le sens de la vie humaine. Les récits de la création, les commandements divins, les promesses du paradis ou de l’enfer (…) autant d’éléments qui ʺdonnent du sens à l’existenceʺ. »
--> Je comprenais mal et je suis allé demander la définition de sens à Google/Larousse, c’est : « 5. Raison d'être, valeur, finalité de quelque chose, ce qui le justifie et l'explique : Donner un sens à son existence. ». Or j’ai lu la Genèse, base des religions du Livre, et je n’ai perçu absolument aucune réponse à cela. Ça dit vaguement que Dieu Créateur de tout aime les humains, mais Il les condamne à mort (de vieillesse) par punition qu’on ne Lui ait pas obéi servilement. Puis déçu encore, il massacre tout le monde (sauf la famille de Noé), ce n’est pas de l’amour, ce n’est pas compréhensible, ça ressemble à du n’importe quoi terrifiant, terroriste, et la vie humaine individuelle a une valeur totalement nulle dans ce récit. En quoi est-ce éclairant ? Quant au principe d’enfer, c’est aussi un outil de gouvernement par la peur, c’est du terrorisme explicitement. Mais vénérer cela est légal, ce n’est à rien y comprendre.
• Page 112 : « Le regard républicain (…) la liberté fait partie des principes fondamentaux de la communauté républicaine. »
--> C’est faux : la loi Gayssot de 1990 interdit la liberté de pensée là où elle choque les juifos, de même que la loi LaREM qui était en préparation avant la crise covid19, pour interdire l’antisionisme, de même que les projets de loi contre la haine à l’exception de la haine contre les négationnistes entièrement approuvée. Et la cour européenne des droits de l’homme a approuvé la loi Gayssot, autorisant le législateur à poser toutes les objections à la liberté d’opinion qu’il estime nécessaire. C’est très exactement comme en dictature.
• Page 113 : « Blasphème (…) En France aujourd’hui, le blasphème n’est pas interdit par la loi. »
--> Ça me semble faux, ou plutôt c’est un transfert de sacralité, depuis les religions vers la République. Ainsi, uriner sur le drapeau français ou décrocher le portrait du président affiché en mairie est puni par la loi française, n’est-ce pas un principe de blasphème aussi ? (non-religieux mais intolérant à l’irrespect pareillement).
• Page 115 : « [Blasphème] Le regard républicain (…) Un sens du respect est indispensable. Il faut donc éviter les provocations (…) relations ʺpoliesʺ ».
--> C’est incohérent ou faux : en 2020 après republication des caricatures de Mahomet (en traitant les islamistes de « cons ») et décapitation d’un prof les ayant montrées aux élèves, le président Macron a au contraire affirmé que les caricatures « impolies irrespectueuses » insultant les religions sont une liberté à laquelle tient entièrement la république française. Cela a certes attiré les hurlements scandalisés de nombreux pays musulmans dont des républiques, et désapprobation aussi de républiques occidentales comme Canada et USA – accusés de pratiquer un « Oui mais » (« Oui il ne fallait pas tuer mais c’est un peu compréhensible vis-à-vis d’insulteurs pas innocents »). Ce « oui mais » vaut « apologie du terrorisme » selon les leaders de la république française (au contraire de la majorité musulmane de France, désapprouvée et même poursuivie, après dénonciation professorale des élèves n’ayant pas obéi à la minute de silence « je suis Samuel » – ça resitue aussi le concept de « liberté » selon la République Française : liberté d’obéir et se taire, sinon sanction…). Ces éléments avaient déjà été dits lors de la 1e publication des caricatures de Mahomet par Charlie-Hebdo en 2006 puis les attentats « punitifs » de 2015. Par ailleurs, l’insulte publique est punie par la loi mais une mystérieuse exception touche les médias (incompréhensible par les élèves je pense, puisqu’incompréhensible par les adultes aussi, même athées ou/et islamophobes).
• Pages 116-117 : « [Bouddhisme] Le regard républicain (…) non à la négation des personnes (…) la conception bouddhiste de l’extinction du Moi (…) différente de la négation chrétienne de l’ego, censée faire éclore une personne. Rappelons, pour finir, que les droits de l’homme de la République tiennent également la personne humaine comme une valeur inaliénable. »
--> Comme pour l’animisme superstitieux, ce texte dit que la laïcité républicaine condamne cette religion, et ça me parait contraire à tout ce que j’avais entendu dire (et ce que dit la première partie du livre) : « la laïcité respecte toutes les religions dans la sphère privée ». Mystère. Le parti-pris pro-chrétien antibouddhiste n’est guère étonnant en ce pays de racines chrétiennes, mais il exprime une intolérance moche, injuste car les textes sacrés bouddhistes ne contiennent ni appel au meurtre de masse ni terrorisme, eux.
• Page 117 : « Christianisme. (…) Jésus, qui se proclame ʺfils de Dieuʺ, serait mort par amour des hommes, et ressuscité trois jours après, entrainant dans sa ʺvie éternelleʺ tous les hommes qui croient en lui. »
--> Je suis effaré de lire ça, qui n’est pas du tout dans les Evangiles officiels. Peut-être que c’est une interprétation très postérieure, mais qu’elle discorde du texte sacré est incroyable. Jésus se dit « le fils de l’homme » et pas davantage « le fils de Dieu » que les autres humains par rapport à Dieu-le-père, il ne dit pas « Je suis le fils unique de Dieu », sinon il aurait été massacré pour hérésie (par d’autres Israélites) bien avant sa fin tardive. Qu’il aime les hommes n’est pas crédible puisqu’il traite de chiens les non-Juifs, appelle à tuer les parents éloignant leurs enfants de Dieu, menace d’extermination divine les villes refusant de le recevoir, et approuve l’esclavage héréditaire des endettés (sauf s’ils ont eux-mêmes gracié des esclaves). Par ailleurs, comme moyen de gagner la vie éternelle il ne dit nullement qu’il suffit de croire en lui quelles que soient les horreurs qu’on a faites (meurtres, viols, égoïste refus de partage, etc.), mais qu’il faut se ruiner à aider les blessés quelle que soit sa religion (ce qui serait certes bien moins populaire et moins attracteur, expliquant le très gros mensonge stratégique de l’Eglise, facile quand la population ne savait pas lire mais choquant maintenant). Visiblement cet auteur n’a pas lu les textes sacrés et raconte d’après les petits bouts qui lui ont été racontés, c’est de l’incompétence, du vol de place en publication, par rapport à des gens compétents refusés par les éditeurs.
• Page 118 : « pour le salut des hommes déchus par la faute originelle »
--> Ce point aussi n’est pas du tout dans les Evangiles, mais c’est encore pire : la notion de condamnation d’humain pour la faute (prétendue) commise par des ancêtres, c’est contraire à la Déclaration universelle des droits de l’homme : « tous les hommes naissent égaux en dignité et en droits » (on ne nait pas coupable à punir). En s’alliant au christianisme (via la liberté de religion), la stupide déclaration enfreint son article sur la circularité (interdisant d’utiliser un article pour faire le contraire d’un autre article, ce qui invalide théoriquement les religions du Livre, mais non, chut ! mensonge, alliance aux forts…).
• Page 118 encore : « Le catholicisme se veut le plus fidèle à la tradition des origines. »
--> Dire cela est du parti-pris pro-catholique, en effet les protestants se sont détachés du catholicisme faisant n’importe quoi très loin des textes sacrés, donc les protestants se prétendent aussi les plus fidèles aux origines, ne pas le dire n’est pas équitable. Pareillement, le concile catholique Vatican 2 a donné tort à la tradition catholique pour revenir aux valeurs des origines après des siècles d’égarement. Mais les opposants à Vatican 2 veulent revenir à la « tradition catholique » en un sens aussi. Cette phrase prend parti de manière simpliste et très contestable.
• Page 119 : « principes de l’Evangile (fraternité, respect des personnes, amour d’autrui sans condition d’appartenance religieuse ou autre). »
--> C’est faux : la fraternité et l’amour indépendamment de la religion sont contraire de la scène où Jésus dit à la Cananéenne que les non-membres des tribus d’Israël sont des chiens (Evangile de Matthieu). Certes, dans l’Evangile de Luc, il dit un peu le contraire, qu’un bon Samaritain vaut mieux qu’un mauvais Israélite (lui Jésus étant à ce moment-là Israélite), mais dire tout et son contraire est nul, sans constituer un guide lumineux (pour la république ou autre).
   Ce philosophe des religions pérore donc sans connaître le sujet, sans avoir lu les textes source. Il répète bien ce qu’on lui a dit, réagencé en jonglage savant, ce que lui ont dit les professeurs « supérieurs » et les experts religieux interviewés, même si c’est faux, prouvé faux quand on investigue. Mais c’est comme ça que fonctionne l’éducation publique à la française, soucieuse de faire répéter (en jonglant astucieusement), surtout pas de chercher la vérité solide, qui est dangereuse pour les dominants-à-tort, qu’elle invaliderait (l’envisager est même classé « complotisme stupide », « haine antisémite »). C’est affligeant.
• Pages 120-122 : « Communauté, église (…) Le regard républicain (…) il importe de ne pas laisser le champ politique (…) et encore moins les lieux d’apprentissage et de formation (…) être contaminés par l’appartenance religieuse. »
--> Là encore : c’est contradictoire avec la laïcité définie comme protectrice amicale des religions, puisqu’une religion à volet politique (comme judaïsme, christianisme, islam) serait là désapprouvée, tout en clamant l’approuver, c’est totalement incohérent. Ça semble un bla-bla manœuvrier pour imposer des choses en mentant pour se dire tolérant. C’est le contraire de l’honnêteté, de la raison. Les religions (du Livre) étant inadmissibles par certains côtés (politique et endoctrineur), il faudrait avoir l’honnêteté de le dire, pour les faire corriger en mieux, acceptable. Mais non : le mensonge règne, et ça pétait (avec les catholiques, les israélites), ça pète encore (avec les musulmans, dits islamistes s’ils ne se couchent pas soumis au mensonge dominant).
   Par ailleurs, il est faux que la République française ne laisse pas l'éducation être contaminée par l'appartenance religieuse, puisqu'il y a très officiellement des écoles privées catholiques, israélites, coraniques, est-ce à réserver aux gosses de riches, l'important pour la République étant d'endoctriner la majorité des futurs électeurs ? Ce serait moche calculateur électoraliste, pas un principe éthique ou philosophique grandiose.
• Page 123 : « Confucianisme (…) 479 avant J.-C. (...) une relation de réciprocité (ne pas faire à autrui ce qu’on ne veut pas qu’il vous fasse) (…) Il faut connaître les sentiments des autres, savoir se mettre à leur place, les aimer comme on s’aime soi-même. »
--> Il est clair que cette maxime, reprise par les athées modernes, a été longtemps chrétienne, et vient d’ailleurs antérieur. Je crois l’avoir lue dans l’Ancien Testament judaïque, sauf que racistement « autrui » désignait là « autrui-juif » avec entière liberté de brimer (ou trainer en esclavage, ou massacrer) autrui non-Juif… Oui, prétendre admettre l’humanisme altruiste pour discrètement faire tout le contraire, c’est aussi la base de cette pourrie République française, indigéniste jusqu’en 1962. Et le prétendu scandale de l’invasion allemande de la France 1940-44, c’est que nos ancêtres ont été traités comme ils avaient traités leurs conquêtes. Au lieu de dire que c’est hélas normal, mérité, tous les politiciens unanimes de cette République clament actuellement que c’était une honte absolue, avec héroïsme des aviateurs allant massacrer les bébés du camp adverse. Donc en guerre, il devrait être normal de voir nos bébés massacrés, mais non ! pas du tout, nous seuls avons le droit de faire ce qu’on ne veut pas subir (selon les menteurs majoritaires, ne l’avouant même pas en clair). Oui, cette république incarne le mensonge pseudo-moral, totalement, l’iniquité active, inculquée aux enfants prétendument pour leur bien…
   Quant à aimer autrui comme on s’aime soi-même, cette république le dément très explicitement, en refoulant les migrants pauvres, alors que si nous étions pauvres nous voudrions migrer en région riche (comme l’ont fait nos ancêtres vers l’Amérique et l’Outre-Mer). Bref, quand la république laïque prétend couvrir de sa bonté les diverses religions (laïcité à la française), en fait elle est horrible menteuse comme les pires religions accédées au pouvoir, en agitant aussi un bla-bla admirable mais menteur. Ça relativise immensément la prétendue légitimité de la laïcité. Ce que je dis là n’a presque rien à voir (spécifiquement) avec le confucianisme, mais c’est ma réaction à des mots de l’auteur ici placés.
• Page 123 encore : « implique aussi le respect des hiérarchies sociales »
--> C’est contradictoire avec la réciprocité citée plus haut comme prétendu principe (le maître d’esclaves ne voudrait pas être esclave, donc respecter les hiérarchies est tout le contraire de se mettre à la place de l’autre). Mais l’auteur ne note en rien qu’il y a là contradiction. Et ça ne semble pas innocent : la République, tout en se prétendant morale altruiste, est oligocratique autoritaire (c’est éclatant en ce moment avec la « dictature sanitaire liberticide »), les dominants exigeant soumission des quidams, ce n’est pas de l’esclavage mais le principe de domination interdisant rébellion est le même.
• Page 124 : « Le regard républicain. Oui au gouvernement de soi-même, non à la soumission inconditionnelle. »
--> Une fois encore, ce non dit par la république dément la laïcité à la française, prétendue protectrice des religions. Condamner n’est pas approuver. Je suis d’accord pour condamner des religions mais j’en tire la conséquence sans mentir, moi : je ne protège pas les religions mais les combats sous leur forme actuelle, exigeant changement explicite pour devenir acceptables.
• Page 125 : « Création (…) à des époques où la connaissance scientifique est inexistante ».
--> C’est mal dit et c’est grave : le roman du Big Bang n’est qu’une théorie, plus ou moins admise par les leaders d’opinion scientifiques actuellement, ça ne vaut en rien « connaissance » indubitable. Au mieux c’est une croyance parmi d’autres, comme il y aurait une « connaissance coranique », une « connaissance maoïste », etc. Se prétendant indubitables par simple intolérance, et sans altruisme puisqu’il s’agit d’interdire aux concurrents de faire comme soi.
• Page 126 : « Moïse (…) ne peut pas être identifié avec certitude comme un personnage historique (…) Il y a tout lieu de penser que c’est un personnage reconstruit à partir de plusieurs légendes. »
--> C’est mal dit ou faux, comme d’habitude avec cet auteur. Si, un croyant fervent peut ressentir de la certitude que le texte sacré dit le vrai incontestable, et selon lui, il y a tout lieu de penser que les scientifiques historiens/archéologues se trompent. Tout n’est qu’affaire de certitude relative ou objective. Et justement, cet auteur (et la république) affirme que la Science est la seule connaissance objective. Or cela est faux, puisque cela dépend du point de vue, et les religieux (et sceptiques comme moi) sont en désaccord, donc la prétention à l’objectivité est soit fausse soit dictatoriale écraseuse faute d’argument. C’est atroce et cela dément (un peu davantage encore) les mots prétendant que la république c’est la liberté.
• Page 127 : « interviews de faux savants (…) propagandistes (…) au mépris des vérités scientifiques les mieux établies (…) Ceci ne relève plus de la discussion, mais de la désinformation et de la propagande religieuse de bas étage. »
--> Ce philosophe prétendu est un incompétent ou un escroc. S’il était compétent en philosophie des sciences, il aurait compris que la science n’a aucune vérité mais seulement des théories admises sociologiquement (par leaders d’opinion) en instance de réfutation expérimentale – et j’ajouterai : même cela n’est valide qu’en aval de l’axiome réaliste repoussant sans argument l’hypothèse du rêve (en amont, c’est encore moins sûr).
   Et la république, et son école, sont des propagandistes scientistes, interdisant la discussion sceptique, pratiquant la désinformation en prétendant à la vérité indiscutable. C’est de la propagande antireligieuse (et anti-sceptique) de bas étage, intellectuellement, même si socialement c’est actuellement triomphant, en écrasement injuste.
• Page 127 aussi: « Le regard républicain (…) non à l’interdiction de savoir scientifique »
--> C’est une caricature malhonnête : sans « interdire » les théories scientifiques, on peut pleinement contester qu’elles constituent Le Savoir, ici l’auteur amalgame tout pour dire que toute contestation vaut interdiction du point de vue différent. Peut-être que des religieux raisonnent ainsi, exactement comme lui en sens inverse, mais la sagesse me semble ailleurs : reconnaître que religions et science et scepticisme ont des points de vue différents, personne ne pouvant crédiblement prétendre au savoir.
• Page 127 encore : « la lucidité ne laisse de place que pour deux attitudes (…) agnosticisme (…) L’autre, plus stricte (…) seules les sciences (…) peuvent mener la recherche. »
--> Erreur encore : la définition de l’agnosticisme inclut « ne croire que ce que l’on voit », et le scepticisme est une troisième possibilité de lucidité : « peut-être que ce que je vois ne mérite pas d’être cru, par exemple si je suis en train de rêver, et rien de rien ne permet de savoir si je rêve (jusqu’à preuve du contraire, et les preuves cartésiennes sont toutes illogiques menteuses) ». L’auteur, pas sage et incompétent, ne l’a pas perçu, il n’a pas réfléchi, rien, il récite ses bêtises classiques diplômées et payées...
• Pages 128-129 : « Diable (…) Le regard républicain (…) non aux tabous créés pour manipuler et asservir »
--> Encore une fois, je n’y comprends rien de rien (et les élèves immatures me paraissent n’avoir aucune chance de comprendre a fortiori). Si la république dit Non ponctuellement aux religions, pourquoi ne dit-elle pas non aux appels aux meurtres, aux génocides prétendus divins, à l’esclavage prétendu approuvé par Dieu, etc. Il n’y a aucune cohérence morale ou intellectuelle qu’un vague choix incompréhensible, imposé par la force oppressive (et propagande scolaire), c’est totalement nul en pouvoir de conviction, en honnêteté intellectuelle.
• Page 129 : « différents ʺmauxʺ qui affectent les humains (…) les combattre (…) volonté de pouvoir, intolérance (…) conquête (…) manipulation (…) voire dérangements mentaux graves (…) soignés voire, dans les pires des cas, isolés. »
--> Pour l’auteur (et la république française ?), ces maux concernent exclusivement les opposants à la science, il n’imagine pas que les leaders scientistes font pareillement preuve de volonté de puissance, intolérance (« ah non, quand c’est pour le côté du bien ça n’a rien à voir », comme une religion intégriste, pareil). En ce qui concerne la conquête, ce n’est pas un mal pour la république française, alliée des USA et Israël, mais interdisant la conquête de France et USA par les pauvres Africains et Latinos), « faites ce que je dis, pas ce que je fais », immoralité, mais « chut, il faut pas le dire, et hop les élèves gobent le message, sans avoir perçu la tromperie, yeah ! »… Enfin, le fait d’enfermer les dissidents argumentés en hôpital psychiatriques (au nom de la « paranoïa, rationalité pathologique ») est un grand classique dictatorial, célèbre en régime stalinien, et pas encore dénoncé ici, cette dénonciation étant au contraire classée « preuve de maladie paranoïaque ». C’est simplement une erreur logique : « j’ai raison puisque j’ai raison » ne prouve pas que j’ai raison – sauf d’un point de vue abruti ou menteur, comme celui de cet auteur.
• Page 133 : « [Dieu] La république n’a pas à se préoccuper de Dieu ».
--> Je ne suis pas d’accord : quand les massacreurs disent agir pour exécuter les ordres de Dieu, la République ne peut pas condamner ces actes sans reconnaître qu’elle condamne les textes sacrés y incitant, donc exit la laïcité à la française, c’est un sujet énorme, car il y a possibilité/risque de révolution en face de la part des croyants. Le mensonge est possible, c’est ce qui se fait depuis longtemps ici, mais c’est explosif, et c’est en train de péter actuellement, avec la faute inéquitable d’avoir approuvé les terroristes sionistes (israélites pour la plupart, avec quelques racistes athées – interdits de contestation en France punissant le prétendu « antisémitisme »).
• Page 133 encore : « La République fait l’objet d’une adhésion raisonnable et éclairée. »
--> Et qu’est-ce qui se passe quand on n’adhère pas et emploie sa raison à montrer la pourriture menteuse du principe républicain en place ? Chut, seul l’auteur parle, professoralement, objections interdites – ou dirigées vers prison ou hôpital psychiatrique, façon soviétique, dictatoriale oui, CQFD…
• Page 134 : « [Expérience religieuse et foi] le contact du (…) bouddhiste avec le néant du réel. (…) ravissement esthétique par la beauté (…) non dans un contexte d’ivresse, de sexe ou d’art. »
--> Ces mots m’intéressent, sans que ce soit pour les critiquer, eux, en première approche. Il faudrait simplement noter que l’extase bouddhiste niant le réel est punie de deux ans de prison par la République française ! (Ou d’internement psychiatrique à perpétuité pour schizophrénie définie, malhonnêtement mais officiellement, comme perte du sens de réalité !) Prison pour antisémitisme ! Et oser le contester est classé « complotiste » et « antisémite » encore… Inouï. Par ailleurs, l’art comme émotion esthétique me parait une idée intéressante (comme « wow » d’extase), mais il y a une gradation d’échelle avec « j’aime beaucoup, j’aime bien, j’aime pas trop, j’aime pas du tout », et le terme d’art est abusivement étendu à plein de mochetés prétentieuses « justifiées » par tonnes de bla-bla prétendu « intellectuel », « pour lettrés » ou « réservé aux gens de bon goût » – je n’aime pas cette République idiote qui sacralise la prétendue « Culture » sans laisser la permission aux gens de ne pas aimer (et refuser de payer pour elle via impôts exigés, la république étasunienne me parait plus légitime quand elle appelle ça divertissement, à payer seulement par les gens que ça intéresse).
• Page 136 : « Le fanatisme est un emballement obsessionnel de la croyance qui fait perdre de vue les bases de cette croyance ».
--> Donc j’ai l’impression que les deux auteurs de ce livre sont des fanatiques de la République et fanatiques de la Science : ils sont obsessionnellement emballés dans ces voies en ayant perdu de vue leurs bases : pour la République c’est la position de faux-représentants doublant le peuple jusqu’à échéance électorale suivante ; pour la science, c’est la condamnation du scepticisme et psychiatrisation des objections fondées sur l’hypothèse du rêve. Non, ils n’ont rien compris, ils foncent, fanatiquement. C’est ça l’école de la République française ? Quelle horreur… (faute intellectuelle et morale).
• Page 136 encore : « croyance (…) Certaines sont indiscutables (je sais que j’ai deux mains) »
--> Ça confirme que l’auteur n’est en rien un sage philosophe, c’est un réaliste fanatique intolérant. En amont, avant que soit tranchée l’hypothèse du rêve, je n’ai aucune idée si est vraie l’apparence selon laquelle j’ai deux mains (ce n’est pas du tout un savoir mais une apparence peut-être fausse) : peut-être que quand je me réveillerai (si cela se produit), je serai un chien ou ver sans main. Tout est envisageable, discutable en tant que possible éventuel. Pour le percevoir, il faut intelligence critique, raison, c’est trop demander à ces auteurs, se situant (à tort ?) au-dessus des enseignants…
• Page 137 : « Le fou n’a plus le sens des autres. Le fanatique enferme tous les autres dans son monde. »
--> L’auteur n’a toujours rien compris. Moi-même, classé fou, j’ai le sens des autres mais à titre hypothétique, puisque l’hypothèse du rêve n’est en rien évacuée, demeure une possibilité (pas certaine). Et il y a des milliers ou millions de cas classés fous, je suis à peu près sûr qu’il n’y a aucune universalité les décrivant tous en 10 mots. Inversement, les deux auteurs de ce livre (et leurs commanditaires : éditeurs, inspecteurs et gouvernants) s’avèrent bien fanatiques, bataillant pour que les enfants soient tous enfermés dans leurs croyances à eux deux (République française, Science).
• Pages 137-138 : « Le regard républicain ». L’auteur affirme que l’école enseigne le doute, l’esprit critique.
--> C’est mensonger, puisque l’école est une propagande totale pour le réalisme, la République, la science, sans droit à objecter (punition, avant prison ou hôpital psychiatrique une fois adulte). C’est comme si un inquisiteur, un nazi, un stalinien, un islamiste, clamaient chacun que son enseignement favorise l’esprit critique (le vrai esprit critique) et le doute (raisonnable, pas dément). Immodeste aveugle, affligeant. Idiot ou menteur, encore une fois.
• Page 138 : « Fondamentalisme (…) exigence d’un retour (…) aux textes sacrés »
--> Je ne comprends absolument pas : puisque (d’après les médias et politiciens unanimes) le fondamentalisme c’est mal, ça signifie que les textes sacrés sont condamnés, et puisqu’ils sont sacrés, ça veut dire qu’on refuse la légitimité des religions. Pourquoi avoir prétendu que la laïcité à la française respectait toutes les religions ? Enfin, j’entrevois une hypothèse explicative, rejoignant un tout petit peu ma position : la république (et les droits de l’homme) condamne(nt) les textes sacrés, donc les religions vraies, mais si des « interpréteurs » les travestissent totalement pour devenir acceptables, c’est accepté, seul le retour aux religions vraies étant inacceptable. Mais… pourquoi ne pas le dire en clair ? Le mensonge prétendant accepter les religions fait automatiquement que quelques-uns retournent au texte et massacrent en son nom comme il le commande, pourquoi ne pas avoir demandé de réviser cet horrible texte source (inacceptable) pour le remplacer explicitement pas une version acceptable ? Le malentendu semble un calcul cru efficace, mais maintenant qu’il fait des milliers de mort, je trouve que c’est une faute ultra lourde. Et rien n’en a été expliqué honnêtement aux élèves, qui feront donc n’importe quoi sans avoir compris le problème, c’est contre-productif et méprisant envers la capacité des enfants à élaborer une pensée saine, sans mensonge ni meurtre.
• Page 139 : « Le regard républicain. (…) [Fondamentalisme] comment rend-il compte des progrès de la connaissance et des techniques »
--> Incroyable : le reproche que fait l’auteur au fondamentalisme n’est nullement de massacrer les avis différents mais de ne pas être soumis au scientisme actuel ! En sens inverse, un ayatollah en « république islamique » pourrait dire : « attention, la science n’est pas formellement interdite mais doit être soumise à la connaissance coranique ». Effarant ! Et l’auteur ne semble pas dire ça pour rigoler de lui-même, c’est un livre sérieux, simplement aveugle aberrant, et immoral (« faites ce que je dis, pas ce que je fais »)…
• Page 141 : « [L’Hindouisme] Le regard républicain. (…) L’introduction de perspectives autres permet de pacifier en partie la relation entre République et religion (…) renforcent la tolérance ».
--> C’est faux comme d’habitude, l’auteur ne comprenant rien, n’ayant rien lu, pas réfléchi, rien, néant intellectuel. L’indien Sri Maharaj, concluant que « Je suis » (le « sum » de Descartes) est la seule certitude de l’univers, serait (s’il venait en France et n’était pas mort en 1981) condamné par la République française à deux ans de prison pour offense au dogme Shoah, sacré pour cette République. Tolérance ? pacifiée ? C’est une plaisanterie ? même pas, c’est de la bêtise profonde, apparemment (de l’auteur, de l’école, de cette République).
• Page 141 encore : « Images, caricatures. (…) Une caricature (…) amplifie (…) pour en montrer les particularités étranges ou risibles. »
--> Je ne sais pas si ces mots viennent d’un dictionnaire mais ils sont inappropriés à ce que je connais et adore : les caricatures aéronautiques. Le rire n’est pas nécessaire mais seulement possible chez certains amateurs (ou dessinateurs, avec des mots clairement voulus absurdes comiques), l’étrangeté : de même (rare, pas obligatoire du tout). L’essentiel dans ce domaine est de rendre « davantage mignon » une forme que la version dite réaliste. Et il peut y avoir personnification en ajoutant des yeux et une bouche aux avions (et voitures etc.). Certes, ce n’est pas relatif aux caricatures religieuses mais l’auteur ne précisait pas de quoi il parlait.
• Page 142 : « Dieu (…) sa représentation ne peut être que fausse et trompeuse ».
--> Erreur : dans la Genèse biblique, il est dit que Dieu a fait l’homme à son image, donc en retour l’image humaine ressemble à celle de Dieu, du moins c’est une interprétation très possible, pas assurément fautive.
• Page 144, l’auteur affirme que le droit de caricature religieuse « au nom de la (...) liberté d’opinion ».
--> Ce n’est pas cohérent avec les lois interdisant l’insulte publique, liberté d’opinion ou pas. Mais certes, les juges décident en ce sens, bénissant les médias qui insultent les religions, sans aucun argumentaire à la clé – puisqu’il est interdit de pisser sur le drapeau de la République, de décrocher le portrait officiel du Président de la République, etc. Non, les juges intouchables décident n’importe quoi, et cet auteur l’approuve n’importe comment, sans l’ombre d’un argument résistant à objections.
• Page 144 : « Islam (…) le respect du jeûne lors du mois de ramadan ».
--> Non : c’est un simulacre de jeûne, se goinfrant chaque soir après le coucher du soleil. C’est un rite comme un autre, mais pourquoi mentir en le décrivant ?
• Page 145 : « Allah (…) Rien ne se passe dans le monde visible et invisible sans que ce soit par sa volonté. »
--> J’avais entendu ça à propos du christianisme, pas dit par Jésus-Christ mais par le premier pape je crois, pour s’allier au pouvoir : « s’il y a dictature, c’est que Dieu le veut, donc il ne faut pas se révolter, ce qui serait se révolter contre Dieu, donc être puni d’enfer. » (et il est célèbre que la monarchie dite de droit divin était alliée du clergé catholique pour empêcher la révolte, jusqu’à ce que ça explose quand même, en version anticléricale, en 1789, brûlant des églises, et je crois que le concile Vatican 2 s’est excusé pour les abus autrefois commis par cette Eglise). Je ne l’ai pas lu dans le Coran, mais je ne certifie pas avoir noté chaque phrase (en lecture rapide, peut-être inachevée j’ai oublié). En tout cas, ça me parait absurde : si les Croisés catholiques ont massacré les Musulmans, c’est qu’Allah l’a voulu ? Si les colons israéliens ont massacré les Palestiniens musulmans, c’est qu’Allah l’a voulu ? Les Islamistes se révoltant contre l’injuste domination judéo-occidentale se révolteraient contre Allah ? Ça me semble un contresens total, et il faudrait qu’on me cite les sourates précises (et que j’aille les lire, vérifier) pour croire ce que dit là cet auteur.
• Page 145 aussi, l’auteur rappelle que le Coran entérine la Torah, l’Evangile.
--> C’est contradictoire : les mots de la Genèse (dans la Torah) disent que Dieu a fait l’homme à son image, alors que l'auteur venait de dire que, selon l’Islam, Allah « ne ressemble à aucun existant et aucun existant ne lui ressemble ». Est-ce que l’auteur fait exprès de pointer les contradictions de l’Islam après les avoir cachées pour le christianisme (amour de tous et racisme et massacre). Ce serait possible mais déloyal.
   En ce qui concerne « l’Evangile », ce n’est pas clair : le Coran dit que Jésus était un grand prophète, mais sans dire si 1 seul des 4 Evangiles (reconnus par les Chrétiens) est accepté, peut-être 3 sur 4 en excluant celui de l’Israélite Matthieu affirmant que selon Jésus, les non-Juifs sont des chiens (donc insultant Mahomet/Mohamed ??). Ce n’est pas clair. Cela dit, puisque l’Islam clame que Allah est Un, unique et pas deux ou trois comme le disent les Chrétiens, le fait de reconnaître l’Evangile confirme le souvenir que j’en avais : Jésus n’y dit nullement qu’il est Dieu-le-fils, Dieu-fait-homme, non (et même s’il a été tué par les Romains à la demande des leaders et foules israélites, ce qui lui était reproché n’était pas de se prétendre Dieu mais de se poser comme le Messie, venu déjà, ce qui ne convainquait pas du tout la plupart des Israélites). Le chapitre christianisme de ce livre serait confirmé faux.
• Page 147, « Le regard républicain », l’auteur dit que catholicisme, judaïsme et protestantisme ont évolué pour accepter les lois de la République et que l’Islam doit évoluer pareillement, car la République doit combattre les exigences « d’un autre âge. »
--> Ce n’est pas cohérent du tout : la République française est alliée d’Israël, rebâti en répliquant la guerre intertribale « d’un autre âge » (massacre des Cananéens, au nom prétendu de Dieu/Yahvé). Pourquoi cette alliance-là ? Je ne vois pas l’ombre d’un argument. Et il y a au contraire d’énormes arguments contre : équitablement, humanistement, si on décide de rétablir les propriétés antiques en rendant Israël aux Israélites (et athées juifos racistes), il faut forcément rendre les USA aux Amérindiens, donc prendre cent mille bombes atomiques sur la tête… Est-ce pour ça que la République française est alliée à Israël et USA contre les musulmans ? c’est s’allier au plus fort injuste incohérent (anti-altruiste raciste), quelle laideur morale… Mais pas un mot dans ce livre, non, ne surtout pas réfléchir honnêtement, seulement blablater en conformité avec les décisions (injustes) de la République, et sans envisager d’objection qui risquerait de convaincre… Ecole de bêtise profonde, oui. Endoctrinement d’escomptés moutons. Mais les musulmans palestinophiles de nos banlieues résistent, et il n’y a pas le moindre argument audible en face, c’est effarant. (Je ne suis pas pro-Islam anti-judéo-christianisme, je suis antireligions du Livre et souhaite leur réécriture toutes les trois, même si ça fait évacuer Israël comme l’Algérie française ; je ne suis pas pro-Palestine anti-Israël, je suis pour un monde uni sans xénophobie et les Palestiniens expulsés pourraient revenir chez eux sans plu’ être tués. Là me semble le bien évident, mais le message de l’école était totalement contraire, affreux moralement, à mon avis, argumenté).
• Page 148, « [Judaïsme] Dieu d’Abraham (…) juste »
--> On verra ce qui est dit plus loin, mais je conteste totalement ce qualificatif de « juste » ; c’est un Dieu raciste pro-Juif, comme chaque tribu de l’époque avait son Dieu protecteur parait-il, ne pas reconnaître les autres est de la pure intolérance dominatrice, c’est injuste par principe, le contraire de juste respectant chaque bon gentil où qu’il soit né.
• Page 148 aussi, « Adam ainsi que sa femme (…) mais ils désobéissent, sont chassés ».
--> C’est passer là bien trop vite sur le texte, comme si c’était une anecdote quelconque, claire, or pas du tout. La désobéissance en question a consisté à goûter le fruit défendu de la connaissance du Bien et du Mal, que Dieu/Yahvé voulait se réserver, mais c’est incompréhensible : Adam pouvait-il tuer sa femme (ou vice-versa) ou la manger, puisqu’ignorant que c’était mal, est-ce ça que voulait Dieu ?? Pareil, découvrant soudain ce qui est mal (qu’ils n’auraient pas dû savoir), ils ont eu honte d’être nus, mais si être nu est mal, pourquoi Dieu les avait-il placés comme ça ? Et pourquoi donner à disposition tentatrice un truc interdit inutile (supplice de Tantale, torture ?) ? Dieu serait le Mal incarné, le Diable ? Peut-être que cela a été la thèse des Cathares ou/et Marcyonistes, mais pas des Israélites, alors c’est totalement incompréhensible dans ce chapitre. Et cacher cela, c’est cacher que les religions du Livre (à commencer par le judaïsme centré sur cet ancien Testament) disent n’importe quoi, avec immense besoin d’être réécrites en clair, pour ne plu’ tuer au nom de textes aberrants, ne plu’ célébrer le génocide et l’esclavage.
• Page 149, « la diaspora (dispersion du peuple juif à la suite des conquêtes romaines ».
--> Ce n’est pas clair : est-ce que l’auteur récite là la parole religieuse ou prétend-il à la vérité historique « scientifique » (indubitable selon lui et la République française) ? Au contraire, selon l’historien israélien Shlomo Sand, la diaspora est très majoritairement constituée de descendants de Khazars et Berbères convertis (avant que le judaïsme ne devienne non-prosélyte, formant respectivement Ashkénazes et Sépharades), tandis que les Hébreux en Israël se sont convertis majoritairement au Christianisme puis à l’Islam, devenant les Palestiniens. Le dogme religieux (et politique israélo-étasunien) hurle le contraire, mais historiquement ça ne semble pas tranché, ni même génétiquement, avec l’échec des recherches sur « le gène juif » ne parvenant pas à différencier Juifs et Palestiniens (j’avais lu ça dans un magazine Science & Vie crois-je me souvenir). Certes, il y a peut-être une erreur de principe dans ce mix entre religion et science : le dogme religieux judaïque étant que la judéité se transmet par la mère, les chercheurs n'ont cherché le gène spécifique aux Juifs que dans l'ADN mitochondrial (transmis uniquement par la mère), or le père transmet aussi de l'ADN, et dans ma famille la "bosse des maths" a été transmise par le côté paternel (de mon arrière-grand-père à mon grand-père paternel puis à moi).
   Par ailleurs, les Romains avaient déjà conquis Israël au temps de Jésus-Christ, et s’ils ont détruit tel temple à Jérusalem ensuite, cela ne vaut pas en soi expulsion de population (nullement tracée historiquement). L’auteur semble là réciter le dogme sioniste, comme quoi les Juifs du XXe siècle sont les justes possesseurs d’Israël, injustement dépossédés par des envahisseurs. Ce n’est pas neutre objectif, c’est un parti-pris forcené, celui de la République française, voire de l’Occident, juifo-dominé (ce n'est pas une faute de langage pour dire judéo-dominé, non, je dis bien : dominé par des juifos, étant innocents de cela les juifas non juifos comme moi). Evidemment que les élèves musulmans vont résister, mais le prof (comme le philosophe formateur de profs) n’a pas un seul argument honnête.
• Page 149 aussi, l’auteur affirme la Shoah comme vérité.
--> Certes, il est en conformité avec la loi française qui interdit le doute à ce sujet, mais en faute côté scientifique (qui autorise par principe le doute vis-à-vis des théories précédemment admises).
• Page 149 encore, l’auteur signale que le judaïsme n’est pas prosélyte, « l’appartenance religieuse est héritée au sein du peuple élu de Dieu ».
--> Il dit ça sur un ton neutre comme parfaitement conforme aux valeurs de la République, pourtant il ‘agit de discrimination raciste entre prétendus « bien nés » et prétendus « mal nés ». Mais comme personne ne le dit (ce serait puni pour prétendu racisme antisémite alors que c’est de l’humanisme antiraciste !), l’auteur ne se mouille pas et entérine les atrocités comme la République, son employeur payeur…
• Page 149 enfin, « 1807 (…) la primauté du droit civique français sur le droit religieux juif. Il est naturel que les autres religions, quelles qu’elles soient, suivent le même chemin. »
--> Non, ce n’est pas « naturel » issu des « lois de la Nature », c’est la poursuite d’un écrasement politique intolérant. Faute d’intelligence critique, l’auteur ne l’a pas perçu (ou le cache menteusement s’il n’est pas idiot). Enfin, moi-même, en souhaitant que soient réécrites les religions du Livre, ne suis-je pas écraseur intolérant ? Pas du tout, car ce n’est qu’un rêve et pas une action écraseuse, et par ailleurs cela suit la logique de l’altruisme qui semble bien la morale universelle (confucianisme chinois compris), revendiquée par les 3 religions du Livre avant de faire tout le contraire.
• Page 152, « [Laïcité] inadmissibles (…) intolérance (…) contre les femmes qui sont habillées de manières jugées indécentes par des religieux orthodoxes (…) Ces atteintes doivent alors être impitoyablement et sévèrement réprimées car ce sont des atteintes à la tolérance et (…) au principe républicain de la liberté tout court ».
--> On est profondément dans l’autocontradiction, mais ce n’est pas complètement la faute de l’auteur, là. C’est le paradoxe célèbre « pas de liberté pour les ennemis de la liberté » (révolution 1789 ?) et « interdit d’interdire » (révolution 1968 ?). Mais non, dire que la république a pour principe premier la liberté (de pensée sans violence) n’est pas crédible, depuis 1990, la loi Gayssot punissant qui ose douter du dogme. Non n°2, la république n’est pas fondée sur la liberté d’habillement, « l’attentat à la pudeur » étant puni par la loi. Les mœurs et pratiques judiciaires ont pu évoluer avec les décennies, mais vers 1960, la police de la République française pourchassait les nudistes (voir les films parodiques « Le gendarme de Saint-Tropez »). Décréter qu’en matière de décence, tel cran est la liberté parfaite indéniable quand tel autre cran est inadmissible à punir sévèrement, c’est du fanatisme à mon avis. Le relativisme est un milliard de fois plus tolérant. Ce sont aussi les missionnaires de la République française (colonisatrice au 19e siècle) qui ont habillé les tribus africaines vivant nues paisiblement, cette République semble mal placée pour punir sévèrement les religieux désapprouvant l’indécence.
• Page 152 encore, « soumission aux calendriers en vigueur ».
--> Je ne vois absolument pas la « justice laïque » qu’il y a dans la tradition d’imposer le calendrier catholique à tous. Moi je vois ça comme tradition regrettable, écraseuse, mais l’auteur en est fanatiquement partisan, sans l’ombre d’un argument. Une mauvaise tradition mérite d’être abandonnée, comme l’esclavage autrefois, le droit de cuissage, etc.
• Page 152 enfin, « toute violence au nom de la religion doit être réprimée de manière impitoyable »
--> Mensonge : la République française (pas moi) est alliée à USA et Israël, ayant massacré en se prétendant divines tribus (nouvelles et anciennes) d’Israël. L’oubli de cela focalise la répression contre les seuls musulmans, résistants à la domination israélo-étasunienne. L’auteur n’a pas le moindre argument, il y a simplement que, comme il monologue dans ce livre, professoralement, on n’entend aucune objection.
• Page 155, « [Liberté de religion] Le regard républicain (…) une vigilance particulière vis-à-vis des sursauts toujours possibles de violence religieuse de la part de ceux qui condamnent cette liberté. »
--> En ayant validé les textes sources qui appellent à tuer au nom de Dieu, la République laïque se débat bêtement avec les conséquences très normales de ces textes mis en application. Compter sur les « interpréteurs », faisant dire aux textes le contraire de ce qu’ils disent en clair, ne me parait pas une démarche prudente et saine. Il serait plus logique et moins menteur de demander la révision des textes sources pour en ôter les atrocités.
   Par ailleurs, condamner une liberté religieuse est très exactement ce que fait la République française quand elle punit de 2 ans de prison le bouddhisme pour offense au dogme juifo (loi Gayssot).
• Page 159-160 : « [Mythe et mythologie] oppose (…) logos (…) raisonnement logiquement construit et fondé sur des faits avérés. »
--> Cet usage de la raison prétendue (et prétendue logique) est mensonger, sinon les prétendus « faits avérés » seraient mis en doute, par l’hypothèse du rêve, non évacuable par la raison, par la logique (en amont d’axiome réaliste décidant de l’ignorer arbitrairement).
• Page 160, « la puissance des mythes demande qu’on puisse aussi les critiquer ».
--> Je dirais pareil de République et Science : elles devraient être critiquables par la logique, la raison, sans s’imposer comme dogmes, armés de police, prétendue « justice », « psychiatrie » faussement prétendue médicale.
• Page 162 : « [Polythéisme] Il y a et a eu de très nombreuses religions polythéistes (…) bouddhisme »
--> Je n’ai pas lu les textes sacrés bouddhistes mais ce que j’ai lu de cette religion dans l’Encyclopaedia Universalis disait que c’était une religion sans dieu, comme d’ailleurs indiqué dans ce livre page 115 (« Le bouddhisme conteste l’idée même de divin »). Contradiction, de l’auteur.
• Page 162 encore, « Le regard républicain (…) sans oublier la réalité (…) pour ne pas vivre au premier degré et naïvement ce remplacement de la réalité par des mythes. »
--> Si cet auteur était sage philosophe (au lieu d’usuellement voleur de diplôme et titre en prétendue philosophie), il aurait conscience que la réalité est un mythe naïf, peut-être erroné (l’hypothèse du rêve n’a aucunement été invalidée, et la possibilité de passages infini du moi de rêve en rêve pourrait rendre naïf illusoire l’interprétation réaliste (empathique) du monde. Mais non, en tant que fanatique du réalisme, il pérore et condamne, dictateur, avec sa République pleinement sur cette ligne mauvaise (intellectuellement et moralement). Et bien sûr, à l’école le prof autoritaire fera taire les objections, plus tard les objections seront envoyées en « hôpital psychiatrique », dictature stupide, oui.
• Page 163 « les femmes qui doivent obéir aux hommes parce que Dieu les a créées impures et inférieures. »
--> Clairement, l’auteur ne dit pas là l’opinion républicaine mais l’atrocité reprochée aux musulmans (ou islamistes fondamentalistes), mais c’est ce qui est écrit noir sur blanc dans la Genèse, dont l’adoration (par Israélites, Chrétiens, Musulmans) est entièrement légale. Cette stratégie, je le rappelle, me parait totalement aberrante : si ces mots sont inacceptables, il convient honnêtement et efficacement de les condamner, les remplacer, et non de faire semblant de les approuver en escomptant que des « interpréteurs » aient assez de succès pour faire croire que ces mots veulent dire le contraire de ce qu’ils disent.
• Page 163 encore : « l’humilité de tout être humain devant Dieu – nous sommes tous des pêcheurs. »
--> J’ai entendu ces mots « nous sommes tous des pêcheurs » à l’église catholique, où m’emmène parfois mon épouse catholique, mais je les trouve aberrants. Jésus n’a dit ni « nous sommes tous des pêcheurs » ni « vous êtes tous des pêcheurs », c’est hors sujet. Par contre ces prêtres tous mâles, sans femme, pratiquent peut-être la masturbation ou la sodomie ou/et le viol d’enfants, pratiques condamnées par leur église, et mélangent ça aux paroissiens égoïstes enfreignant l’injonction à se ruiner (de la parabole du Bon Samaritain, dans l’Evangile de Luc), pour dire « nous sommes tous pêcheurs mais puisque nous croyons en Jésus, nous serons (tous vous et nous) pardonnés et conduits au Paradis ». Cela me parait immensément suspect de pourriture calculée, travestissant totalement la voie de Jésus (qu’il ait existé ou non) pour obtenir du succès et cacher les hontes. Je trouve ça très moche, mais cet auteur ne discute pas, il affirme.
• Page 164 : « Le regard républicain (…) les religions (…) enferment l’individu dans son identité religieuse au sein de sa communauté fermée. Les religions sont en ce sens causes de guerres, persécutions, affrontements identitaires parmi les pires de l’histoire. »
--> Vu ce qui se dit depuis des années sur les médias, ce propos est clairement anti-islamiste, voire antimusulman, et puisque la République française est alliée d’Israël, il serait totalement absurde d’en tirer une lecture anti israélite, laquelle serait condamnée comme « antisémite » par la loi de la République française. C’est de l’iniquité partisane, à même de faire hurler les élèves musulmans, adorateurs du comique antisioniste Dieudonné (condamné par la « justice » de la République française, au nom de la liberté d’expression, dirigée en sens pro-juifo mais chut il ne faut pas le dire). Cette iniquité systématique, organisée, un jour fait péter les plombs à quelqu’un, et un professeur propagandiste se fait couper la tête, n’aurait-il pas mieux valu aborder honnêtement les questions ?
• Page 168, tout un argumentaire dit que Dieu ne pouvait pas être compris des humains donc il faut interprétation obligatoirement.
--> C’est faux : la définition de Dieu comme Tout Puissant (selon les religions du Livre) Lui permet entièrement d’être clair. Il n’a pas des insuffisances, pauvre nullard, appelant les humains à transformer son message inapte à être formulé sous forme compréhensible. Peut-être que Dieu n’existe pas, mais cette argumentation semble auto-contradictoire. Toutefois, elle sert la stratégie de la République française : s’allier aux textes sources horribles en exigeant interprétation conforme aux lois de la république. Je n’aime pas cette mauvaise alliance mais on ne me demande pas mon avis (d’autant que la République est une oligocratie méprisant l’opinion de petites gens comme moi). C’est intégralement moche, cette République française.
• Page 169 « [Le regard républicain] Révélation (…) si le prophète a parlé, tu n’as plus rien à dire. Un tel argument n’est rien d’autre qu’un argument d’autorité et ne vaut donc rien comme argument. »
--> Je suis d’accord entièrement avec le sentiment logique que l’argument d’autorité ne vaut rien, mais l’auteur devrait comprendre que l’autorité du prof mérite ainsi d’être contestée, l’autorité de la loi (de la République française) mérite d’être contestée. Mais non, il ne réfléchit pas, il condamne l’ennemi islamiste en s’épargnant toute autocritique, sans imaginer les reproches qu’est en droit de lui faire l’autre camp. C’est abruti, donc professoral ?
• Page 170 : « un rite ʺpersonnelʺ relève de la psychopathologie et on le qualifie alors de TOC ‘trouble obsessionnel du comportement). »
--> En tant que scientiste fanatique, l’auteur n’a pas compris que la scientificité (et crédibilité) de la psychologie/psychiatrie n’est pas établie du tout. C’est un domaine d’affirmations prétentieuses pour croyants scientistes, on peut entendre ce qu’il dit sur tel ou tel sujet, mais ce n’est en rien probant, ça ne vaut pas Vérité logique du tout, ni même expérimentale pour Réalistes.
• Page 170 encore : « Le regard républicain (…) rites superstitieux (…) au bord de la pathologie. »
--> L’auteur n’a visiblement pas compris que la psychiatrie est le bras armé de la dictature se prétendant faussement objective et généreuse (faire le bien du déviant contre sa volonté, pauvre égaré)… J’ai vu un extrait de télévision égyptienne, où un étudiant s’avouait athée et le présentateur exigeait qu’il quitte immédiatement le plateau pour aller voir de toute urgence un psychiatre. C’est pareil ici, pour d’autres dogmes. L’auteur, aussi philosophe qu’une mouche, n’a simplement rien compris.
• Page 171 « Sacré (…) investies à nos yeux d’une valeur essentielle (…) le drapeau emblème de la patrie (…) des œuvres d’art sublimes, etc. »
--> Le drame, je ne sais pas si l’auteur va le comprendre ici, c’est que les avis divergent. L’école de la République française m’a formé à vénérer le drapeau patriote, et je n’étais pas d’accord, je ne le suis toujours pas. L’école m’a dressé à déclarer sublime le tableau de La Joconde, et je le trouve moche (certes : assez bien fait, pas facile de peindre réaliste comme une photographie, mais sans intérêt aucun, éveilleur de zéro émotion en moi). Le Sacré propre à la République française est autant contestable que le Sacré d’ordre religieux. Ceci dit, j’ai fait « wow… » devant un tableau, pour moi fabuleux, de Zao-Wou-Ki, mais si d’autres gens ne l’aiment pas, je m’en contrefiche, aimer un truc personnellement n’a aucun rapport avec un Sacré, à mon avis, sauf intolérance écraseuse.
• Page 172 « celui qui (…) transgresse le sacré et commet une offense. »
--> L’auteur ne le dit pas clairement mais, puisqu’il a approuvé les caricatures de Mahomet, il juge excellent de transgresser le sacré abusif. Ce qu’il n’a pas compris (et pas davantage au paragraphe suivant « Le regard républicain »), c’est que la République française est pareillement abusive quand elle sacralise le drapeau tricolore (interdit de pisser dessus) ou l’hymne national (il est condamné comme insupportable de le siffler dans un stade sportif, et le français champion du monde sur la plus haute marche du podium "qui brandirait un doigt d'honneur quand retentit l'hymne et tout son long" serait condamné pour outrage inadmissible). Pareil à l’école de la République, école à penser comme la caste dirigeante (et les professeurs, petits officiers d’endoctrinement) : à l’âge de 12 ans, j’ai été viré du cours de Français pour avoir commenté « Les fourberies de Scapin » de Molière en disant que je n’aimais pas : « c’est un peu ʺtarte à la crème, coups de pied au culʺ »… oh, sacrilège ! Exclusion ! Punition ! Non, la République française n’a pas de leçons à donner en matière d’abus, d’intolérance sans argument.
• Page 173 « En république laïque, toute religion doit évidemment reconnaître le respect de la vie humaine. Le sacrifice de soi ne peut donc être qu’une perversion du sacré. »
--> Eho, il ne faudrait pas oublier de réfléchir… Quand un soldat français professionnel tombe dans la guerre contre l’Islamisme au Mali, le Président de la République s’incline avec grandiloquence, et des mots comme « ce héros a fait sacrifice de sa vie pour La France. » Ça me semble une perversion toute pareille, que le camp d’en face parle de sacrifice pour Allah ne rend pas le principe totalement différent, condamnable car religieux et non laïc. C’est une guerre entre mauvaises gens, à mon avis, guerre du Mal contre le Mal. L’auteur continue à ne rien comprendre à rien, donc il est édité lui, puisque « pas dérangeant » pour les autorités, pour le professorat. Mais un jour ça pète, mauvais calcul.
• Page 176 « [Shintoïsme] Le regard républicain. Recherche d’harmonie oui, religion d’Etat non. (…) formidable fanatisme patriotique caractéristique de l’Empire japonais jusqu’à sa défaire en 1945. »
--> Je n’aime pas ces mots. Encore une fois, la laïcité à la française dit Non à une religion après avoir prétendu dire Oui à toutes, c’est suspect de mensonge calculateur manœuvrier pourri. Ensuite le mot « formidable » m’a surpris car je ne le connaissais que dans un sens approbateur, mais Google me dit que le sens 1, vieilli est « qui inspire une grande crainte ». Et puis je ne comprends pas pourquoi la même critique n’a pas été faite aux autres religions : Napoléon couronné en Eglise est allé faire la guerre comme les Japonais, pourquoi ne pas critiquer de même le christianisme ? Enfin, il manque une sérieuse réserve à ce qui semble ici une célébration de l’arrêt 1945 de cet Empire : les bombardements de Tokyo, Hiroshima, etc. étaient des assassinats en masse de civils et bébés innocents, que les historiens se félicitent fait partie de la propagande mais parait atroce moralement. Et la guerre n’excuse pas tout, sinon la guerre avec l’Islamisme excuse la décapitation de professeur, non, il faut être cohérent, honnête. Enfin il faudrait, théoriquement, mais ici c’est un faux philosophe qui écrit dans le livre, un fanatique républicain.
• Page 177 « [Symboles] le feu détruit et devient symbole de la colère divine ».
--> J’ajouterais un mot qui change tout : « pour les religions du Livre, à petit Dieu colérique caractériel, massacreur compulsif terroriste ». Oui, une réécriture (des textes sacrés des religions du Livre) semble vraiment nécessaire : d’accord pour inventer une origine du monde rassurante, un paradis post mortem si on n’a pas été trop salaud, une apparente efficacité parfois (ou non) de la prière, mais aucun besoin d’approuver de massacre, au contraire, il faut supprimer cet archaïsme atroce.
• Page 181 « [Théocratie] Le regard républicain (…) L’hypocrisie règne. (…) religion et pouvoir étaient étroitement liés. (…) mesurer notre chance de vivre en régime républicain. »
--> C’est incompréhensible puisque la République n’a pas clairement été définie : la république islamique d’Iran est officiellement théocratique, la république d’Israël est dite théocratique car n’ayant pas de mariages civils seulement religieux et la fonction publique étant réservée aux non-musulmans, la république démocratique allemande refusait les élections, le président de la république étasunienne prête serment sur la Bible, etc. Et je ne suis pas d’accord que l’oligocratie républicaine (à faux-représentants menteurs interdisant le référendum d’initiative populaire qui les mettrait au pas), ce soit une chance, mais c’est là philosopher, ce prétendu « philosophe » en semble incapable.
• Page 183 : « Tolérance (…) liberté des personnes : les personnes sont libres et autonomes. C’est donc à elles et elles seules de choisir leurs croyances et d’accepter ou non certaines valeurs. »
--> On se demande ce que ça a comme relation avec la religion. Les guerres de religion illustrent certes l’intolérance mais la loi Gayssot républicaine laïque : pareillement, punissant de prison les avis non soumis au dogme (prétendu historique, prétendu scientifique, en interdisant les objections et choix différents sous peine de prison…).
• Page 183 encore : « l’intolérance provoque des conflits, des persécutions et donc de la barbarie qui fait régresser la société (…) la diversité des croyances (…) favorise le progrès humain. »
--> C’est mal pensé : le discours républicain laïc a prétendu que l’intolérante loi Gayssot faisait progresser la société contre l’obscurantisme (de même que la loi en préparation pour criminaliser l’opinion antisioniste). Avec des tonnes de bla-bla, n’importe quoi peut être prétendu. Et puis… l’intolérante dictature stalinienne (à dissidents tués ou emprisonnés ou internés « psychiatriquement ») prétendait incarner le marxisme, « vrai progrès » vers le paradis prolétaire futur quand le prétendu libéralisme était dit faire régresser la société vers l’exploitation du faible par le riche héritier oisif à l’ancienne façon royale, ce n’était pas idiot, mais ici l’autorité clame n’importe quoi en position de force. C’est nullissime en force persuasive. D'ailleurs, les Islamistes peuvent répondre sur le même ton, pas plus convainquant à mon avis : soumettre tout le monde à la charia est un progrès de la société vers l'unité harmonieuse, au lieu des lois n'importe comment du passé, vers lequel il ne faut pas régresser. Tout est relatif... A mon avis, il aurait fallu invoquer moralement l’altruisme humaniste, qui conduit à la tolérance pour bonne entente, sans invoquer de progrès ni régression, sentiments très relatifs aux buts politiques suivis. Mais c'est impossible en République française : l'altruisme est classable "antisémite" puisque condamnant les juifos escomptant dominer sans être dominés.
• Page 184 : « [Tolérance] une relation qui doit être symétrique ».
--> Euh, il ne faut pas oublier que la République, démocratie indirecte, est fondée sur une asymétrie ; les élus commandent, leurs électeurs doivent obéir, même s’ils sont en désaccord, n’ayant pas le pouvoir de renverser les faux-représentants avant l’échéance électorale suivante. De même, la symétrie et l’universalité sont accusables (en démocratie française) d’être antisémites, l’humanisme ne respectant pas le choix de Dieu d’élire le peuple juif. Donner des leçons de symétrie, dans ce contexte, parait menteur.
• Page 184 encore : « Il n’est donc pas question qu’il y ait tolérance des intolérants car ceux-ci nient le concept même de tolérance et s’excluent donc automatiquement de ses bénéfices. »
--> C’est faux : avec des tonnes de bla-bla, l’intolérance se prétend tolérante « avec droit à formuler des exceptions », comme a dit la cour européenne des droits de l’homme pour approuver la loi Gayssot française anti-liberté d’opinion. Toute liberté est laissée au législateur d’en décider, donc d’opprimer la « vile » populace. La dictature intolérante est ainsi entièrement autorisée à se clamer tolérante, si elle est républicaine. C’est simplement malhonnête, intellectuellement et moralement. Le prétendu philosophe ne l’a pas vu, ou fait semblant de ne pas le voir, c’est moche dans les deux cas. C’est presque risible : « la loi républicaine définit la vraie liberté et interdit d’appliquer la loi islamique anti-liberté », en oubliant simplement ce qui se dit en face ; « la loi islamique définit la vraie liberté et interdit d’appliquer la loi républicaine anti-liberté »…
• Bilan : le professeur expert en religion, comme le « philosophe » formateur de professeurs, s’avèrent de bons relais fanatiques de la République et de la science, du réalisme (contre la raison, l’intelligence critique, la tolérance), faisant semblant de s’allier à la religion pour la désapprouver, ce qui entraine évidemment violence scandalisée. Tout était en place pour produire le drame du professeur décapité au nom de l’Islam. Il aurait mieux valu réfléchir honnêtement.
• Commentaire pour Amazon (Note 4/5, titre : formidable de malhonnêteté intellectuelle) : Ouvrage effarant (très instructif) de propagande, totalement dénué d’esprit critique à l’égard de science et République anti-peuple. Faisant semblant classiquement de s’allier aux religions pour les désapprouver sans le dire, d’où révolte presque automatique. Je l’ai démonté en 59 pages d’analyse pointilleuse, c’est trop long pour ici, mais ce livre lu au second degré est excellent pour comprendre les mécanismes aberrants ayant conduit deux ans après à décapiter un professeur, hélas.

(27/11/2020) Nouveau sondage « jeunes »
   Aujourd’hui sur chaine LCI était commenté un sondage d’opinion disant que 33% des jeunes de 18-30 ans jugent que le professeur Samuel Paty a eu tort de montrer en classe les caricatures de Mahomet pour illustrer la liberté d’expression. Les commentateurs, moins choqués que la présentatrice, disaient que c’était simplement de la réaction automatique, comme en 1968-70 les enfants de bourgeois étaient tous maoïstes ou trotskistes, avant de se “ranger” plus tard, devenir bourgeois à leur tour.
   A mon avis, l’explication est partiellement différente : les jeunes ont pour première source : Internet (avec beaucoup de culture anglo-saxonne en faveur des communautarismes), et non les télévisions unanimes à approuver Samuel Paty comme héros du bien-faire, bien-penser, franco-français, injustement incompris par le reste du monde.
   Il était dit aussi « les jeunes n’adhèrent plu’ à la laïcité », d’où énorme besoin de pédagogie, en aidant les enseignants. Je ne suis pas d’accord : je désapprouve la loi française et la déclaration des droits de l’homme, concernant la « liberté de religion » même esclavagiste et massacreuse – moi je suis contre, à mon avis il faudrait condamner les textes périmés et non garantir légale leur adoration. Croire en Dieu, Paradis, prières, miracles, serait très autorisé, mais pas avec des textes disant n’importe quoi non examiné.

(01/12/2020) Discussion serrée
   De manière très intéressante, « pointue », j’ai reçu une argumentation familiale critique répondant à ma lecture désapprouvant le livre « Parler de religion en classe » :
1/ (…) « je regrette que ta colère t’amène à te révolter contre tout et à traiter tes profs (et tes parents) de pourris… »
--> Euh, je ne pensais pas exactement à mes parents (dont je n’ai jamais été élève en classe) ni aux profs que j’ai eus, quand je protestais. Peut-être que le programme scolaire a changé, je réagissais essentiellement à ce que je lisais dans ce livre d’un prof actuel parlant à des profs actuels, ceci étant éclairé par ce que j’ai entendu dire à la télévision du programme mis en application par Samuel Paty considéré héros en France par les médias et politiciens unanimes.
   Ceci dit, pour en revenir à la scolarité que j’ai suivie, si je me pose maintenant la question : je confirme que ni mes professeurs ni mes parents eux-mêmes professeurs ne m’ont donné les éléments (du volet religieux de la pensée) pour comprendre le monde. Personne jamais ne m’a dit que les conquistadores massacreurs (impunis à ce jour) appliquaient à la lettre des mots de Jésus, que les sionistes massacreurs (impunis à ce jour) rééditaient ce qui est marqué noir sur blanc dans leur texte sacré, que les djihadistes massacreurs (dits ennemis actuellement) obéissent aux injonctions de leur texte sacré, et j’ai découvert avec effarement ces textes sacrés (de judaïsme, christianisme, Islam) à l’âge adulte. Dans ma scolarité, j’avais été trompé, avec assiduité et prétendus « contrôles de connaissances » sévères. Enfin, c’était vraisemblablement davantage un « mensonge par omission » qu’un mensonge sciemment trompeur, et je pense sincèrement que ces professeurs n’avaient fait qu’entendre parler de ces religions sans en lire les textes sources, ce qui est davantage de l’incompétence que de la pourriture. Ça signifie aussi que l’université ayant diplômé ces professeurs s’est totalement trompée de méthode (ou méthodologie ?), récitant du bla-bla professoral, génération après génération, au lieu d’examiner précisément les dessous de la question. Oui, j’y vois une faute lourde, mais pas assurément une pourriture volontairement trompeuse. Et cela fait des dégâts, ayant dressé des générations à ne rien comprendre à rien, jusqu’à ce que ça explose, faute d’avoir géré les problèmes à la source.
2/ « (…) L’ensemble repose sur des erreurs graves de définitions. (…) LA LAÏCITÉ n’est pas un principe de protection des religions ! C’est le contraire ! »
--> Peut-être, mais c’est pour le moins ambigu : tous nos journalistes et politiciens actuels certifient à la télévision que la laïcité garantit l’entière liberté de religion (et que dire « la laïcité combat l’Islam, et la religion en général » est un total contresens, seuls quelques laïcards fanatiques, ultra-minoritaires et non-crédibles, étant sur une posture « antireligion »). Entendant ça partout depuis des années, j’en faisais ma source de pensée, n’entendant nulle part le point de vue antireligion de gens définissant ainsi la laïcité (comme mes parents et grands-parents peut-être, dans les années 1950 à 1970 ?). Ou bien est-ce que tous les journalistes et politiciens actuels mentent ? Peut-être, mais ça semble pour le moins louche, cette affaire (sans lourd contresens de ma part ne voyant pas la vérité évidente).
3/ « (…) L’idée : les religions appartiennent à la sphère privée. La liberté de conscience et de culte existe, le pluralisme religieux aussi. MAIS CHACUN CHEZ SOI ! »
--> Je ne comprends pas : dire cela n’est pas du tout antireligion, mais autorise effectivement chacun à vénérer (chez lui/elle) l’esclavage et le meurtre pour divergence d’opinion. Evidemment que cela va exploser à terme, je confirme que c’est mal pensé, c’est une alliance bancale incompréhensible. Et ce n’est pas spécifique à l’école française mais se retrouve dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948. C’est objectivement horrible puisque cela aurait fait pareillement alliance partielle avec religions nazie et apartheidienne/kukluxklanne si elles avaient été formalisées, avec pour prophètes Adolf Hitler et peut-être Charles Lynch l’inventeur du lynchage.
4/ « (…) Si le principe est remis en question au XXIe siècle, c’est que l’équilibre est rompu : des religions minoritaires mais conquérantes ont envahi l’actualité (…) l’ordre public est touché. »
--> C’est une interprétation possible mais comme aléa « injustifié », ce qui me parait suspect. Je préfère mon interprétation : le grand problème religieux du XXe siècle a été la recréation d’Israël en 1948 (sans rendre les USA aux Amérindiens donc sans aucune équité historique invocable), avec soutien occidental (raciste pro-juif anti-arabe ? ou plutôt : fanatique religieux pro-Israélite anti-Musulman ou pro-judéo-chrétien anti-mahométan), mais cela a longtemps été contenu comme modalité mineure de la guerre froide : les Israéliens avec armes occidentales écrasaient les Arabes avec armes soviétiques. Puis, dans les années 1990, l’auto-écroulement soviétique a conduit les martyrs palestiniens à trouver une autre force puissante en recours, et cela a été l’Islamisme. D’où les attentats des Twin-Towers punissant les USA de leurs vétos ONU systématiques contre les sanctions envers Israël interdisant de retour les Palestiniens expulsés, puis guerre larvée Occident/Islam par alliances, sans expliquer aux peuples (ayant théoriquement le pouvoir) qu’il s’agissait de se battre pour imposer la domination judaïque (ou la renverser, en face).
5/ « (…) Si protection il y a, ce n’est pas protection de la religion mais protection des croyants (Juifs par exemple) »
--> Je n’aime pas ce terme de Juifs pour désigner les croyants israélites, il y a des athées juifs (comme celle que j’aimais), des chrétiens juifs (comme mon arrière-grand-père officieux), etc. (Le sens 2 du mot Juif a trait à l’ascendance pas à la religion). Et cette confusion est très grave : un bébé juif ou un catholique juif antisioniste n’a rien de rien à voir avec une quelconque culpabilité judaïque (éventuelle), par contre les Israélites croient valoir davantage aux yeux de Dieu universel que les sales goys, et c’est du racisme car ce n’est pas une religion prosélyte invitant tout le monde mais une logique familiale de sang noble/pur… mais c’est permis, cette croyance raciste, c’est énorme comme problème, mais caché, camouflé. Au contraire, être choqué par cela est accusé de racisme antisémite, contresens absolu mais légalement vainqueur ! (Et ce n’est pas purement religieux, ce scandale, les sionistes non-israélites Ben Gourion et Sylvie M. ne retenaient/approuvaient que le communautarisme raciste sans alibi divin).
6/ « (…) A aucun moment l’école française n’enseigne la religion et n’oblige qui que ce soit à admirer des faits, des croyances, des personnages religieux. »
--> Bien sûr, et je ne prétendais pas le contraire. Il ne s’agit pas pour l’école publique française d’enseigner chaque religion (ou l’une d’elle) comme La Vérité, mais un silence assourdissant se fait quant au contenu des livres sacrés, dont l’adoration est entièrement permise par la République, employeur de ces enseignants, cachant le sujet « comme la poussière sous le tapis ». C’est comme « aucun problème », or il y a d’énormes problèmes, au contraire. Expliquant bien des guerres anciennes et guerres actuelles, dont celle qui peut nous faire exploser ou décapiter à chaque coin de rue. C’est un énorme énorme sujet, mais caché, je trouve ça moche, débilitant, peut-être pour que les électeurs approuvent les va-t’en guerre dominants sans imaginer de culpabilité dans notre camp, ce qui est une erreur je crois. Non que j’estime que les décapiteurs sont le Bien mais, arguments à l’appui, je juge que c’est une guerre du Mal contre le Mal. Et oui, les profs sont petits officiers endoctrineurs dans un de ces camps « Mal »… Sans s’en rendre compte peut-être. Je le pense, en tout cas, solidement.
7/ « (…) forcément parler de l’Eglise Chrétienne commanditaire des cathédrales et des fresques de la Renaissance »
--> Je ne suis pas du tout d’accord avec cette situation, que j’ai effectivement connue dans mes études. Je trouve ça mensonger (par omission), c’est comme « parler du nazisme » en traitant des autoroutes… Non, là n’est pas l’essentiel, le polémique, l’horrible possible, et cacher tout ce qui fâche, effectivement immontrable, crée des générations d’idiots superficiels. Enfin, peut-être que la plupart des profs ne sont pas des cacheurs stratèges mais des ignares incompétents, ignorant que Jésus-Christ a dit que les non-Juifs sont des chiens et qu’il faudrait tuer les parents éloignant leurs enfants de Yahvé… (et puis qu'il approuve l'esclavage et l'extermination de villes bébés compris). Oui, la cathédrale Untel représente la croix dans tel et tel sens, mais ce n’est pas du tout le problème, l’énorme problème, qu’il y a, oui.
8/ « (…) L’école n’est pas le lieu où analyser et critiquer les religions. Ce sont deux mondes différents. Jusqu’à présent cette dualité était claire. Il semble que dans le monde actuel les jeunes discutent beaucoup religion »
--> Hier comme aujourd’hui, il y a un clash là où l’école enseigne comme vrai des lois contraires aux textes sacrés (notamment Darwin et Bing Bang, voire « théorie du genre », etc.). Clamer « la science dit le vrai », c’est clamer « la religion dit faux », non ce n’est pas neutre du tout, pas indépendant disjoint. Ceci dit, je trouve que l’école commet un abus de pouvoir en enseignant le scientisme, ce qui est une faute épistémologique, et une faute logique. L’école s’honorerait en se situant en amont, notant les problèmes du scientisme comme ceux des religions.
9/ « (…) La laïcité (neutralité) dont nous étions fiers a eu au moins l’avantage de préserver le calme. »
--> Je ne suis pas d’accord : « heureux les imbéciles » est certes envisageable, mais quand ceux-ci explosent sur des bombes terroristes, ils auraient peut-être préféré comprendre les problèmes en question, tranchés en leur nom par des dominants affreux, n’informant pas du pour et du contre, et l’école l’a caché aussi, je le regrette. (Mais je ne le dirai pas à mon fils scolarisé, un lucide isolé serait broyé, cassé, je lui souhaite plutôt insertion paisible comme les autres – on discutera éventuellement avec sincérité quand il sera adulte, casé – il serait en un sens injuste que je l’éveille à la rébellion, d’où sanctions subies en contrecoups, alors que moi à son âge je n’étais pas rebelle).
10/ « (…) la date de naissance de Jésus (…) personne ne sait quand Jésus est né. (…) solstice d’hiver (…) fêtes populaires »
--> Je n’y crois pas : il aurait été très possible de dire que Jésus est né le jour du solstice (21 ou 22 Décembre, ou 25 estimé OK), et l’année légale aurait commencé ce 1er jour (renommé 1er janvier ou 1er christier), pourquoi faire débuter le calendrier de l’an zéro 7 jours (ou 11 jours) après ? (donc Jésus est dit né l’an moins-un avant lui-même !) Je trouve bien plus convaincante l’explication que j’ai lue, comme quoi le 1er Janvier valant début de la vie religieuse de Jésus est sa circoncision, alliant le bébé à Dieu selon la religion d’alors à cet endroit.
11/ « (…) Les méthodes dictatoriales de l’enseignement des SCIENCES. Pas d’accord. (…) un travail expérimental où l’on demande aux enfants d’émettre des hypothèses AVEC LE DROIT DE SE TROMPER, puis vérifier, discuter, affiner. »
--> Même si l’enseignement des sciences a pu changer depuis ce que j’ai connu (c’est très possible), je crois qu’il y a un malentendu de fond : le principe scientifique inhérent au terme « hypothèses » est qu’il y a des « lois », d’abord abordées comme « lois hypothétiques », or ça n’est nullement sûr, nullement une exigence logique. Et quand, en Travaux Pratiques, mon camarade Philippe ratait les expériences prévues, la prof lui mettait une mauvaise note comme « travail incorrect », sans aucunement envisager « il a prouvé fausse la très célèbre loi du cours, ça vaut Prix Nobel », je serais immensément étonné que cela ait changé. Par ailleurs, en sciences, les contrôles de connaissances restent fondés sur le dogme qu’il y a des connaissances, et que le vécu n’est pas n’importe quoi (ce qui peut être une faute logique d’induction, généralisation abusive).
12/ « (…) je voudrais quand même que tu disciplines ta colère ʺadolescenteʺ… »
--> Euh, libre à chacun de vouloir ceci ou ça, mais concernant le bien-fondé de l'expression "colère adolescente", je dirais : oui et non.
   Oui : il est effectivement plausible que je sois en train de faire, très à retardement, ma crise d’adolescence (rendue longue par l’âge moins bouillonnant), après deux décennies éteint cassé (romantiquement) me désintéressant totalement du monde.
   Non : ce n’est pas une colère abusive n’importe comment valant crise au sens psychologique ou psychiatrique, mais il s’agit d’éléments fracassants révolutionnant le monde entier, tout en étant cachés ou pas vus par la caste se prétendant intellectuelle, menteuse ? d’où mon irritation, pouvant effectivement aller jusqu’à la colère, désolé.
   Non 2 : ce n’est pas une colère agressive infondée, c’est de la légitime défense car je suis sous la menace d’une loi horrible annonçant sanctionner ma liberté de pensée par prison et ruine (en classant menteusement ça en crime de droit commun et trouble à l’ordre public), oui il y a de quoi hurler, mais objectivement, pas en « n’importe quoi de cerveau pas bien fini ».
   Non 3 : j’ai le souvenir de feu Claude O. le meilleur ami de mon père dans les années 1970, qui était aussi en rébellion durable contre les dominants de l’époque, mais très simplement et de manière posée il s’était allié au mouvement politique incarnant ses idées, or je n’ai pas cette voie tranquillisante disponible car absolument personne (d’autre que moi) ne soutient mes idées, pourtant très majeures.
   Non 4 : je ne crois pas que mon évolution suive le classique schéma humain « enfance tranquille » puis « adolescence perturbée/colérique désordonnée » puis « âge adulte apaisé responsable » ; toute ma vie me semble avoir été marquée par ma colère contre le mensonge, hors période d’extinction (de 15 à 36 ans) : enfant, j’étais révolté que mon grand frère brimeur me fasse punir à tort avant de ricaner de mes pleurs ; quand je suis devenu aussi grand et fort que lui j’étais cassé inapte sans plu’ de pensée ni sentiment (j’ai eu des notes canon au Bac simplement parce que c’était facile les Maths démonstratives, pour moi) ; quand je me suis éveillé, et marié (à une étrangère pauvre) j’ai été choqué par le monde autour, et renait en moi la colère contre le mensonge, qui n’a aucune raison de s’apaiser vues les dominations en place, aux échelles sociologiques, politiques, géopolitiques.
   Non 5 : un des reproches très majeurs que j’ai à faire à ma scolarité, c’est qu’on m’a fait croire que les individus peu communs ayant des choses très majeures à dire deviennent écrivains, évidemment publiés, discutés, mais… j’ai découvert avec stupéfaction le verrou éditorial, réservant la publication aux célébrités pissant dans le sens du vent. Je n’ai donc pas pu me libérer de mes analyses critiques en les posant comme pierre majeure, analysée sereinement par tous, en trouvant (éventuellement) les réponses qui me manquaient.
   Non 6 : il est faux de me dépeindre comme quelqu’un de colérique. Auprès de mes proches, je suis un « doux » laissant faire, beaucoup, mon épouse ayant choisi le rôle de la sévérité pour bien guider (à l’exemple de sa propre mère). Ce n’est que dans le cadre des pensées générales, loisir de réflexion, que je suis amené à me révolter, contre les atrocités cachées.

(04/12/2020) Bilan chiffré révélé
   La chaîne de télévision C-News signalait aujourd’hui des statistiques restées secrètes jusqu’ici : il y a eu en France 793 signalements scolaires de désobéissance à la minute de silence Samuel Paty, dont 20% de « provocations ». Les commentateurs disaient que cela prouve l’islamisation grave de notre société, appelant une action ferme pour rétablir nos valeurs.
   Je ne suis pas d’accord : cette minute de silence obligatoire était un déni aberrant de liberté d’expression (puisqu’interdiction stricte de refuser et le dire), et la glorification prétendue de Charlie-Hebdo est une autre contradiction avec la persécution officielle des prétendues « provocations » (principe-même de Charlie-Hebdo).
   Bref, sans que les officiels ni les débatteurs n’en aient pris conscience, apparemment, ce qui se fait n’a rien à voir avec la vertu incontestable de la liberté d’expression et l’acceptation de la provocation, c’est tout le contraire. Donc tout ça me semble du bla-bla idiot contradictoire cachant une guerre aveugle contre l’islamisme, cachant apparemment une guerre pour Israël contre le Hamas et les « sales » arabes, les « sales » goys, tous dits antisémites sauf valets d’Israël. Atroce, de racisme triomphant… décuplant la haine en face, évidemment. Prévenir la violence serait mille fois plus efficace en commençant à devenir honnête, même si ça ferait virer tous les gouvernants occidentaux et puis évacuer Israël comme l’Algérie Française (c’est douloureux mais il fallait réfléchir avant de commettre d’atrocité raciste).

(15/12/2020) Mensonges évidents
   Je lis ce jour une nouvelle MSN (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/darmanin-trait%C3%A9-de-violeur-en-pleine-c%C3%A9r%C3%A9monie-un-homme-condamn%C3%A9-pour-outrage/ar-BB1bUXAF?ocid=msedgdhp ) qui explique qu’un syndicaliste CGT ayant traité le ministre de l’intérieur de violeur a été condamné (à 100 jours d’amende), au titre de l’outrage, étant discuté si c’est plutôt de la diffamation que de l’outrage (la plainte pour viol contre ce ministre n’étant pas encore parvenue au stade procès).
   Or… c’est exactement ce que les Musulmans voudraient comme jugement dans l’affaire des caricatures Charlie-Hebdo : condamnation/interdiction pour outrage, et le président de la république n’est aucunement crédible quand il est allé affirmer l’autre jour en pays musulman qu’en France on a le droit de tout dire, que c’est la volonté du peuple français. Mensonge total. Il y a ici des condamnations pour injure, pour outrage, pour diffamation, mais dans un système ultra-compliqué avec apparemment plein d’exemptions et de sévérités ciblées, évidemment incompréhensibles de l’étranger et d’ici aussi. Les législateurs ont bâti une usine à gaz totalement dénuée d’évidence et sans aucun rapport avec la volonté populaire.
   Comme d’habitude on nous ment, et ça tue, donc (ça a tué à Charlie Hebdo en 2015 et Samuel Paty en 2020). Alors on nous ment encore davantage, c’est affreux. Ces puissants horribles impunis, donneurs de leçons, sont vraiment atroces.

(01/01/2021) Vœux (aveux ?) présidentiels
   Hier soir, j’ai entendu par intermittences le discours des vœux du président Macron, pour le 31 Décembre. Essentiellement, il faisait l’hommage de héros anonymes de la nation. Il a peut-être dit aussi « il s’appelait Samuel… » (je n’ai pas entendu, occupé à autre chose), mais la fin de cette phase était « c’est la mission de nos enseignants : faire des républicains ! ».
  Cela me choque. Non que j’entende ça au sens politicien « faire que les enfants deviennent tous des adhérents au parti Les Républicains ! », contresens évident (voulu par le parti de droite en question, ex-UMP, ex-RPR, etc.), mais clairement au sens : « faire que les enfants innocents deviennent tous des partisans de la république, de la démocratie indirecte ! ». Et (même si c’est ce que j’ai vécu en « instruction civique ») je trouve ça honteux, c’est de l'endoctrinement, de la propagande (de prétendre ça "bien évident") ! Comme Hitler pouvait dire « c’est la mission de nos enseignants : faire des nazis ! » (et un peu pareil pour Franco, Mussolini, divers généraux ayant pris militairement le pouvoir), comme Staline pouvait dire « c’est la mission de nos enseignants : faire des communistes ! » (et un peu pareil pour Mao, Castro, Pol-Pot, etc.). Je ne suis pas d’accord du tout, à mon avis la seule formulation honnête recevable est « la mission de nos enseignants : faire des libres penseurs, armés intellectuellement et moralement pour approuver ou contester le pouvoir en place ».
  Ce n’est pas du tout un détail anodin mais un très grave aveu du contexte : Samuel Paty ne serait nullement un innocent neutre qui a horriblement été tué sans raison, mais un petit soldat endoctrineur, tué en ayant été envoyé sur le front sur ordre (de "mission"), évidemment, c’est ça la guerre (idéologique). Ça change tout, dans le sens de salir la mémoire de cette personne, à mon sens.

(28/01/2021) Nom de collège
  Sur chaine télévisée C-News, il était question d’un collège français (du département Var) refusant aujourd’hui d’être baptisé Samuel Paty comme voulu par la mairie, ce refus choquant tous les commentateurs (sur le plateau), unanimes. Il était précisé que 100% des enseignants avaient refusé, et quelque chose comme 89% des parents d’élèves, 69% des élèves. L’argument entendu était la « peur » (de choisir ce nom), la « provocation » (que constituerait ce nom) vis-à-vis d’extrémistes (pouvant un jour mettre là des bombes plutôt qu’ailleurs ?). Parmi les regrets, il était affirmé que cela fait reculer hélas l’école de la république, comme l’auto-censure des professeurs craignant que leurs propos du programme officiel entrainent des remous dans leurs classes.
   Je ne suis pas d’accord, avec ces argumentaires pour « l’(admirable) école de la république » : je la rebaptiserai d’après mon expérience : « école d’endoctrinement républicain ». Exactement comme l’instruction civique en pays stalinien devait « expliquer de manière neutre » que le peuple des travailleurs est « représenté » par le parti unique et le leader glorieux. C’est du bourrage de crâne intellectuellement malhonnête, ennemi farouche de l’intelligence critique. Je trouve bénéfique que des professeurs fassent profil plus bas que le dogme officiel, à ce sujet. Ces journalistes et politiciens n’ont rien compris au sujet, n’en montrent qu’un volet, partisan, faisant taire les objections comme les miennes. C’est de la parole unique, parole de guerre, stupidité d’obéissance militaire.

(02/02/2021) Propos de ministre en débat
   Aujourd’hui dans le débat télévisé « L’heure des Pros », le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin invité a dit à peu près ceci (je cite de mémoire une phrase majeure notée en abrégé, extrait d’une heure environ de parole, à propos de la loi anti-islamiste dite « respect des principes républicains ») : « Jusqu’à 18 ans (ou davantage avec enseignement supérieur) on apprend à l’école à être un libre penseur, pas un membre de sa communauté ».
   Je trouve ça totalement faux, honteux ! (très-menteur coupable ou hyper-stupide méritant révocation et remboursement des salaires ministériels indument touchés).
1/ De mon temps (scolarité 1966-1984), il nous était commandé de réciter les dogmes scientistes affirmés vérités (ne pas y croire étant puni de note minable), avec en littérature : culte obligatoire des prétendus « grands auteurs » (critiquer une « œuvre » étant puni d’exclusion temporaire). En fac, j’ai expliqué/prouvé à un prof de maths qu’il se trompait et il a crié « Mais vous n’êtes pas là pour réfléchir ! Vous êtes là pour réciter ! ». Bref, c’était tout le contraire de devenir un esprit libre, c’était une sévère sélection d’abrutis répéteurs admirateurs des dominants, un endoctrinement de type militaire à se coucher devant l’autorité, les autorités (et les enseignants complices actifs de celles-ci). [Mais l’Evolution Darwinienne n’était pas encore au programme de Sciences Naturelles, la Shoah n’était pas encore au programme d’Histoire]
2/ Depuis 1990, la française loi Gayssot interdit la liberté de pensée (la jurisprudence punissant le doute de 2 ans de prison), avec complicité de la Cour Européenne des Droits de l’Homme autorisant les législateurs à définir n’importe quelle exception au nom de l’ordre escompté. Pour les enfants et les jeunes, l’école et l’université apprennent donc à obéir, nullement à penser par soi-même, attitude punie de prison (dès 18 ans ?) si insoumise au dogme parachuté sans preuve (et démenti par des témoignages, je viens de le découvrir, en plus).
   Bref, la pensée libre est assassinée dans les cerveaux en formation scolaire/universitaire, devenir un libre penseur n’est pas du tout le but visé, au contraire ! Personnellement, je n’ai décapité aucun professeur, mais résister à ces oppresseurs relève à mon avis de la légitime défense. Les autorités (et les enseignants) sont illogiques et immoraux (selon moi mais c’est eux qui tiennent la parole, la loi, toutes pourries oppressives).

(09/02/2021) Phrase pas du tout anodine
  Hier dans un débat télévisé, un commentateur a lâché une phrase péremptoire qu’absolument personne n’a mis en doute : « La République, ça ne se conteste pas ! ».
  L’interdiction de la contestation, moi j’appelle ça simplement de la dictature, donc la république ne serait en rien une démocratie libérale, c’est effectivement ce que je pense, confirmé là avec éclat, hélas (par la pensée unique).
  C’est cohérent avec le scandale prétendu par tous les médias, disant quelque chose comme « tel sondage prouve que 75% des jeunes musulmans placent leurs valeurs au-dessus des lois de la République ! ». Moi je ne suis en rien musulman ni jeune, mais il y a des lois de la République que je trouve à la fois idiotes et monstrueuses (d’après mes valeurs, en rien religieuses), lois civiles qui ont été édictées par des faux-représentants se contrefichant de l’avis du peuple (c’est prouvé par la trahison du référendum de 2005). Bref, il s’agit d’une dictature oligarchique anti-peuple (donc antidémocratique en clamant menteusement le contraire), c’est sévère et c’est injuste atroce, tout le contraire d’un Bien moral indéniable, ou même un peu convaincant (non, pas du tout convaincant, imposé de force, immoralement). L’endoctrinement à cette république serait donc un asservissement, et en face : la résistance serait de la légitime défense. Je regrette que cette défense aille jusqu’au meurtre avec décapitation, mais il y a un énorme problème, caché par les médias et politiciens (malhonnêtes), par la fausse Elite (écraseuse stupide).

(26/02/2021) Retour en arrière
  Je reçois ce jour un Spam du journal « La voix du Nord », présentant les titres de leur édition du « mardi 20 Octobre 2020 », il y a quatre mois (pourquoi maintenant envoyer ça ?), et je ne cliquerai pas sur les liens au cas où ce soit un virus piège. Mais un titre me frappe, sur un sujet peut-être évident à l’époque mais que j’avais oublié : « Attentat de Conflans : les élèves qui ne respecteront pas la minute de silence seront sanctionnés » . Je trouve ça effarant, cette annonce de sanctions, punitions, à ceux qui n’obéiront pas aux ordres, c’est l’exact contraire de la liberté prétendue incarnée par Samuel Paty, le professeur décapité à Conflans-Sainte-Honorine, pour son cours sur la liberté d’expression et de caricature, prophète compris.
   Cela me semble très grave, car cela tend à prouver que le système scolaire de la république ne vise nullement à former des esprits libres, éventuellement rebelles à l’autorité (religieuse ou autre), mais à dresser des moutons soumis à l’autorité professorale, ministérielle, présidentielle (républicaine). Le prof décapité ne serait nullement un innocent au grand cœur mais un sous-officier d’embrigadement à la stupidité obéissante, crachant sur les chapelles concurrentes.
   Je n’affirme pas qu’il vivait la situation ainsi (je ne sais rien de sa lucidité éventuelle), mais ça semble le contexte révélé par cette célébration menaçante à l’égard des déviants. Comme une dictature sanctionnant de goulag les dissidents. En se prétendant professoralement « Le Pays de la Liberté », mensonge total, escroquerie intellectuelle. Et personne ne le dit (hors de prison…). Evidemment, hélas.
  Ça ne donne pas raison au vengeur décapiteur (dit « terroriste »), mais ça confirme le titre de mon livre « la guerre du Mal contre le Mal ».

(01/03/2021) Parents condamnés ?
   Aujourd’hui sur chaine C-News avait lieu un débat concernant les adolescents tués la semaine passée par d’autres adolescents. Un médecin a dit qu’il faudrait former les parents à « comment exercer l’autorité », et il disait que quand un parent d’élève vient engueuler un professeur en présence de l’élève, il casse le principe d’autorité. Il faudrait condamner ces parents fautifs, les former préalablement peut-être.
   Je ne suis pas d’accord du tout. A mon avis, l’école de la république est un camp paramilitaire d’endoctrinement, et les enseignants sont en position de sous-officiers endoctrineurs (au scientisme, au sionisme, à la vénération de l’autorité parachutée, etc.). L’école étant obligatoire, il me parait très normal que les parents protestent vis-à-vis des abus d’autorité, sans laisser leurs enfants broyés arbitrairement par de faux sachants dogmatiques, philosophiquement idiots mais super-fiers.
   La protestation vaut bien mieux que d’en venir à couper la tête de la personne abusive.

(11/03/2021) Condamnation de la résistance à l’endoctrinement
   La télévision détaillait aujourd’hui (et hier déjà) un récent rapport oral (au Sénat ?) d’un monsieur Jean-Pierre Obin, de gauche pas extrême-droite du tout, ancien inspecteur de l’Education Nationale, resignalant officiellement (comme en 2004 par écrit, enterré par 3 ministres successifs) le mal fait par la prise de pouvoir islamiste à l’école. Sur ce sujet-là aujourd’hui, le journaliste Pascal Praud (avec ses invités « débatteurs » approbateurs) disait avec horreur que la jeunesse musulmane (ou une partie d’elle) refuse maintenant les cours d’histoire, de science, conteste le savoir de l’école républicaine laïque et obligatoire, c’est affreux, aberrant, grave (appelant reprise en main sévère ?). Qu’est-ce que j’en pense ?
   Je ne suis absolument pas d’accord (avec cette reprise en main, je suis d’accord avec la contestation des professeurs), même si je n’adhère en rien aux dogmes musulmans qui sont heurtés par les cours laïcs d’Histoire et de Science. Simplement, il se trouve que je suis sceptique, et je suis une autre victime des dogmes parachutés par la propagande scolaire, affirmant dire Le Vrai (sans preuve, avec seul argument d’autorité, logiquement invalide, aussi invalide que le moyenâgeux « puisque le pape l’a dit », tout à fait équivalent à l'islamiste "puisque le prophète l'a dit"). C’est faux, épistémologiquement erroné : ce n’est en rien du Vrai établi indéniable, il s’agit de théories en instance de réfutation expérimentale. Ecraser militairement au nom de l’autorité me parait un acte de violence unilatérale très condamnable, et – tandis que je m’écrasais autrefois et faisais semblant de croire comme exigé – certains rebelles contre-attaquent maintenant. A mon avis, ce n’est pas tant la contre-attaque qui est scandaleuse que l’acte de force initial.
   Positivement, la solution me parait ultrasimple : que l’école cesse de prétendre affirmer Le Vrai (à réciter/approuver sous menace de mauvaise note), qu’elle dise simplement informer de théories disant ceci ou cela, qu’on y croie ou pas (libre aux élèves de montrer qu'ils sont bien informés sans y croire du tout). Ce serait une école relativiste tolérante, n’écrasant plu’ les insoumis au dogme. Il faudrait pour cela changer les lois (de la pourrie république française, et je suis d’accord, quitte à abolir cette 5e république après avoir réfléchi sur la 1e démocratie qui la remplacerait).

(15/06/2021) Sujet soulevé par un ancien livre
  (Entendu à la télévision dans l’émission Morandini Live.) Il y a un livre américain qui était intitulé « quand dire c’est faire » (Internet me précise, auteur : John Langshaw Austin, date : 1962, l’explication étant annoncée comme : le mot du maire « je vous marie » marie effectivement), ceci étant invoqué pour affirmer que les mots sans action peuvent tuer, indirectement, comme action formant conséquence. Et le cas d’actualité invoqué est le meurtre de Samuel Paty : au début c’était une dénonciation verbale sur réseau social Internet, mais ça a excité des extrémistes qui en ont tiré une haine meurtrière, mise en action effectivement. Qu’est-ce que j’en pense ?
   Certes, ce n’est pas complètement faux : si Hitler écrivait « il faut tuer les Juifs », oui les Histoiriens affirment que cela a débouché sur l’action en question, la culpabilité des mots initiaux étant déjà entière. Mais… quand il n’y a pas appel au meurtre, simple dénonciation de coupable (que des justiciers éventuels traduiraient en incitation au meurtre), condamner les mots me parait une condamnation abusive. Quand un journaliste accuse tel politicien de corruption, et ce politicien est assassiné par un contribuable en colère, est-ce que le journaliste est jugé coupable de meurtre ? De même, le juge qui a mis en examen tel assassin éventuel du petit Gregory pourrait être déclaré coupable du meurtre de ce suspect (innocent) par le père de la victime, cette condamnation n’est pas faite du tout donc ce principe condamneur-là n’est pas honnête.
   Cela se situe par ailleurs dans une propagande (de la caste politiciens + journalistes) diabolisant les propos écrits sur Internet, et cette condamnation généralisante (avec explicitement « principe de précaution » ?) serait infinie : l’écriture de lettre manuscrite (sans Internet ni journal ni livre) peut tuer, si un extrémiste la lisant est excité et va massacrer. Donc interdit d’écrire avec un stylo ? Mais une parole orale peut parfaitement être mal interprétée par une personne qui va tuer, alors interdit de parler ? A mon avis, cela vaut auto-réfutation de la généralisation abusive, concernant cette condamnation de mots sans actes, au vu d’actes commis par des mauvais interpréteurs très abusifs (méritant seuls condamnation, à mon avis).
   Cela pourrait certes devenir, plutôt qu’une accusation de meurtre pour lé dénonceur, une accusation de « mise en danger de la vie d’autrui ». Mais c’est pareil : si les journalistes et juges ne sont pas condamnés, c’est mensonger. Et s’ils étaient condamnés, cela deviendrait un monde de bisounours interdisant totalement le moindre mot négatif, ne restant que « tout le monde il est beau tout le monde il est gentil ». Avant d’exploser sur les bombes, sans comprendre pourquoi puisque tous les problèmes scandaleux ont été cachés. Certes, nous ne sommes pas très loin de cette dernière situation, en ce qui concerne le sionisme.
   Je rappelle par ailleurs que, dans la Torah, les Evangiles, le Coran, les mots appellent au meurtre pour désaccord d’opinion religieuse, et cela explicitement (c’est la lecture non-tueuse qui serait ici immensément tordue, suspecte de mauvaise interprétation). Bref la condamnation des mots d’un quidam est une honte quand sont officiellement approuvés les mots tueurs « sacrés » mis en application par les endoctrinés (et la déclaration universelle des Droits de l’Homme est alliée complice de ces religions à mots tueurs, ses rédacteurs imbéciles n’y ayant pas songé, ou bien il s’agissait de monstres calculateurs à dénonciation dogmatiquement interdite).
  Je rappelle aussi que les actes tueurs habituellement ne sont pas condamnés, comme l’invasion de l’Amérique par les Européens, l’invasion du Pays de Canaan par les Hébreux, ne sont condamnés que certains cas au bon vouloir des autorités pourries, complices de certains massacres et punissant des dominés non autorisés à faire pareil.

(15/06/2021 bis) Collègues à leur tour
   Comme souvent, un débat sur les faits d’actualité (à la télévision sur chaine d’info en continu) a abordé la laïcité dans la scolarité française, la nouvelle du jour étant que des formations des enseignants sur le sujet « laïcité » vont être organisées prochainement (après l’assassinat du professeur Samuel Paty et la terreur de nombreux enseignants à l’idée de devoir aborder le sujet laïc face à des classes majoritairement musulmanes). Un des débatteurs s’est insurgé que, maintenant, des parents viennent interférer avec le programme pédagogique, notamment (ou exclusivement) des parents musulmans contestant les savoirs sur la théorie du genre ou l’évolution darwinienne etc. Qu’est-ce que j’en pense ?
   Je suis choqué par cette réaction, non tant des parents que des enseignants et journalistes amis. La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (qui nous est affirmée la base incontestable de tout, pour « la France et le monde ») dit en clair « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. » (article 26/3). Au contraire absolu, l’éducation nationale à la française semble programmer un endoctrinement aux valeurs de la République en refusant toute désapprobation des familles. C’est simplement de la dictature enfreignant les droits de l’Homme, pire que la Chine, l’Iran et la Corée du Nord réunis, bravos à nos politiciens/énseignants aveugles/stupides, nageant dans l’autocontradiction en prétendant donner des leçons...

(12/09/2021) Discipline militaire à l'école
  Je citais une nouvelle effarante dans mon site au sujet de la dictature presque explicite concernant covid19 et son vaccin, mais cela a aussi sa place ici au sujet du statut d’enseignant décapitable ou non.
• [10/09/2021] je lis une nouvelle MSN/Capital : « Toulouse : un enseignant suspendu après avoir diffusé une vidéo complotiste » (https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/toulouse-un-enseignant-suspendu-apr%C3%A8s-avoir-diffus%C3%A9-une-vid%C3%A9o-complotiste/ar-AAOgOU4?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). « Un professeur d'espagnol toulousain a diffusé une vidéo complotiste devant ses élèves de seconde, le 7 septembre. L'objectif pour l'enseignant était de mettre en avant les prétendus dangers de la vaccination contre le Covid. (…) Il a été convoqué par le Rectorat deux jours plus tard et va être suspendu (…) l’enseignant s’est appuyé sur l’extrait pour évoquer les dangers inhérents aux vaccins contre le Covid-19. (…) l’Éducation nationale a également réagi, déclarant qu’il n’était "pas acceptable qu’un professeur exprime ainsi ses opinions personnelles auprès de ses élèves". En conséquence, ce professeur d’espagnol a été suspendu "par mesure conservatoire". »
--> Ainsi, le message que doit impérativement transmettre le professeur (message dénommé savoir ou connaissances), c’est qu’il faut penser comme le gouvernement. Le professeur est serviteur de l’Etat, servile, aveugle, dévoué, forcément. Pour parodier le célèbre trait d’humour « le règlement du chef », je dirais : « Lois d’enseignement public : article 1 l’Etat a raison, article 2 l’Etat a toujours raison, article 3 même quand l’Etat a tort ce sont les articles 1 et 2 qui s’appliquent. » C’est à hurler de rire, tant c’est bête, contradictoire, mais l’Etat trouve ça très bien. (Qu’on ne parle pas de l’Elite, pour ces imbéciles heureux, pitié…).
  Les professeurs sont donc les petits soldats combattant au service intégral de l’Etat. Exemple : « rire de l’Islam c’est bien c’est la tolérance, rire du sionisme c’est mal c’est de l’antisémitisme, pourquoi ? c’est l’article 1 qui s’applique ! C’est stupide ? éh c’est la loi ! imposant soumission et obéissance ! » (règne de l’autorité, interdit de parler d’abus de pouvoir !). Que ces paramilitaires endoctrineurs se fassent décapiter par certains des opposants n’est en rien choquant incompréhensible atroce : c’est la pure logique de leur travail (travail inadmissible pour un esprit honnête).
  Quant à dire que l’école éveille l’intelligence critique pour penser par soi-même, c’est un mensonge publicitaire absolu. Les profs sont les endoctrineurs devant faire réciter le dogme gouvernemental. En expliquant bien (« pédagogie ») que sera punie toute opinion différente (condamnée par définition). Au nom de la liberté et de la tolérance, « bien sûr », si les élèves bien rendus moutons ont « compris » ils acquiesceront (sinon ils seront punis, saqués, traités de débiles, etc.). Staline et Hitler ne sont nullement morts : leurs principes dictatoriaux « pour le Bien » dominent actuellement, règnent, écrasent, en France tout au moins…

(15/10/2021) Anniversaire
   Aujourd’hui la télévision avait comme gros-titre l’anniversaire de la décapitation du professeur Samuel Paty, avec minute de silence imposée dans tous les établissements scolaires à nouveau. Un sondage d’opinion ce jour était dit confirmer que 63% des Français jugent que la laïcité est en danger. Qu’est-ce que j’en pense ? Qu’aurais-je répondu au sondage ? (Par ailleurs, l’autre jour, à la mort de vieillesse du dernier Compagnon de la Libération à 101 ans, les débats étaient « quel héros avons-nous, en ce moment ? », et le nom de Samuel Paty a été cité).
   Ce sondage est biaisé (pour conclure "il faut renforcer durement la laïcité, les Français sont d'accord"), car on ne demande jamais « est-ce que l’esclavage est en danger ? », « est-ce que le nazisme est en danger ? », etc. Est-ce que Z est en danger signifie « Z est le bien, or ce bien semble menacé, percevez-vous vous-même cette dangereuse menace ? (appelant renforcement très solide urgent) ». Or je ne suis pas du tout persuadé que la laïcité soit le bien. Peut-être que le « laïcardisme » antireligieux serait un bien, à présenter et à débattre, mais l’alliance « laïque douce » (prétendue « tolérante ») aux religions du Livre esclavagistes massacreuses (tout en les cantonnant à la sphère privée), cela me parait très horrible (moralement), très stupide incohérent (intellectuellement) puisque ceux vénérant les textes massacreurs ont évidemment tendance à basculer un jour en massacreurs eux-mêmes (génocide amérindien jamais réparé, massacre palestinien non condamné, djihad-moderne honni comme seul horrible – l’honnêteté est ailleurs).
   Organiser une minute de silence en public, pour démasquer (et punir) les avis discordants, c’est un acte de haine intolérante, envers les esprits logiques et moraux, c’est atroce (même si cela décèle aussi les combattants islamistes, mais pas seulement, pas du tout). Heureusement, en invalidité à la maison, je ne suis pas soumis à ce cirque en entreprise (s’il a lieu en solidarité avec les établissements scolaires ou victimes, comme souvent).
   Je ne classe pas le professeur Paty en héros mais en petit soldat hélas tué dans un guerre du Mal contre le Mal. Ce n’est en rien héroïque mais très regrettable. Son cours consistait à répandre l’endoctrinement gouvernemental selon lequel cracher sur l’Islam c’est la liberté, mais cracher sur le judaïsme (avec Dieudonné) c’est évidemment condamné lourdement, comme haine inadmissible. C’est du racisme actif, pro-juifo, en accord avec Jésus-Chriist certes, classant en chiens les non-juifs (avec approbation totale des lois de cette république française dite laïque). Oh non, ce n’est pas le bien, ce n’est pas un camp de héros mais peut-être de monstres. Enfin, j’ignore le détail des pensées de ce professeur, ayant pu faire ça à regret avec immenses objections intérieures, par simple obéissance pour ne pas être renvoyé de son emploi (« devoir de réserve »). Comme certains soldats du IIIe Reich, et non on ne les classe pas du tout « héros », certes peut-être pas tous des monstres actifs très volontaires, mais pas pour autant des héros.

(16/10/2021) Vrai anniversaire
   Apparemment, c’est aujourd’hui samedi l’anniversaire du meurtre de Samuel Paty, avancé à hier pour les établissements scolaires fermés le samedi de nos jours (pas quand j’étais petit). J’aperçois un titre écrit sur LCI.fr : « Jean Castex : "Rendre hommage à Samuel Paty, c’est rendre hommage à la République" », et dans les propos montrés à l’antenne, on l’entend parler de « un professeur : un serviteur de l’état ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   Et si on n’aime pas la République (dictature des faux-représentants), pourquoi devrait-on se renier par compassion avec l’assassiné ? Il y a là semble-t-il un amalgame malhonnête pour diriger les gens émus. Enfin, ce n’est peut-être pas complètement un amalgame trompeur mais une révélation éventuelle : les professeurs n’auraient nulle liberté de conscience mais seraient astreints à servir les faux-élus dictateurs, au risque de leur vie, ça ferait que ce meurtre ne serait en rien un scandale aberrant injustifiable mais un geste politique antidictatorial. Enfin, ça ne me semble pas avoir été le cas, les islamistes (ici tueurs) voulant une autre dictature : celle de la loi islamique. Mal contre Mal, personne ne méritant hommage dans cette affaire affreuse, à mon avis.
(16/10/2021 suite)
   Dans les débats, j’entends dire que « Samuel Paty a été tué car il était un transmetteur de savoir, or le savoir c’est ce qui nous permet de vivre ensemble ». Qu’est-ce que j’en pense ?
--> Je suis effaré par ces mots de propagande débile. Les professeurs très souvent se trompent (abus d’autorité), affirment vrai ce qui est faux, ou le sera reconnu prochainement, ce n’est pas du savoir mais de la croyance, « à imposer » avec l’endoctrinement prévu au programme gouvernemental (dictatorial, pas démocratique puisque disant merde aux référendums n’allant pas dans le sens voulu comme 2005). Et en quoi un sceptique, estimant qu’il n’y a aucun savoir, ne peut-il ne vivre avec personne ? Tout au contraire, ce drame n’a en rien été causé par des sceptiques réservés dubitatifs mais par des croyants endoctrinés contre un endoctrineur en face de dogme opposé.
   J’entends aussi certains dire que cet hommage à Samuel Paty aurait dû être obligatoire. Qu’est-ce que j’en pense ?
--> C’est de la dictature explicite, interdisant la liberté d’opinion aux gens n'approuvant pas ce que sacralise le gouvernement : c’est l’exact contraire de la prétendue leçon de liberté pour laquelle ce professeur a été tué. Le mensonge de propagande est total, salissant le pauvre type massacré, au nom duquel est assénée cette intolérance.

(18/10/2021) Objection sérieuse
   Un proche me répond : « (…) je me dis qu'il n'y a pas grand crime qui mérite qu'on te coupe la tête. Et en plus à mon avis Paty n'a commis aucun crime. »
   Effectivement, si on est contre la peine de mort, aucun crime ne mérite la guillotine ou autre décapitation (« donc » Hitler – s’il ne s’était pas suicidé – aurait dû être condamné à la perpétuité théorique puis normalement libéré trente ans plus tard, avec des bisous et prime de réinsertion), c’est un avis. Je ne suis pas aussi sûr, quoique je n’ai pas à l’opposé un avis pro-peine de mort, je voterais blanc à un éventuel référendum sur le sujet, pas simple.
   Quant à l’innocence totale de Paty, j’objecte :
– Le programme scolaire est (à mon avis à moi) monstrueux, criminel (crime : racisme actif), en bénissant l’islamophobie tout en pourchassant la judéophobie (au nom de l’antiracisme car cette religion est un racisme autorisé, non prosélyte se réservant aux enfants de « bonne » ascendance – les autres ayant été traités de chiens par l’Israélite Jésus-Christ chez l’ex-Israélite Saint-Mathieu).
– Samuel Paty n’était pas que professeur d’instruction civique et morale, il était professeur d’Histoire, devant faire gober comme naturelle l’imbécilité monstrueuse qu’il a été entièrement légitime de rendre Israël aux Juifs et pas du tout les USA (et Martinique etc.) aux Amérindiens. Et que la liberté de contester le sacré est totale (et libre à chacun de croire ou ne pas croire) mais quiconque conteste (ou ose douter de) la véracité de la Shoah est ici condamné à 2 ans de prison. Et que la rafle du Vel d’Hiv est une horreur à commémorer chaque année, mais le massacre des civils et enfants palestiniens à Der Yassin par les colons israéliens, c’est négligeable, oublié, « récitez ce qu’on vous dit ou vous serez saqué, exclu ». C’était de la méchante propagande 100% pro-juifo anti-amérindienne anti-arabe, de la part d’une prétendue Elite en fait très stupide ou très menteuse.
– A mon avis ça ne mérite pas la peine de mort, et surtout pas pour un petit soldat exécutant, pas décideur des programmes et des lois. Mais non, il n’y avait absolument pas innocence. Le « vengeur » (et les élèves) aurait dû lui cracher au visage (sans tuer), ç’aurait été bien mieux : mérité et justement proportionné.
   Par ailleurs, ce meurtre est une conséquence très logique de la laïcité stupide (pléonasme peut-être) : le dogme de la laïcité consiste à dire que les religions sont entièrement légitimes mais doivent se cantonner à la sphère privée. Donc quand le Coran dit de décapiter les infidèles, ces mots sont entièrement légaux, vénérables de plein droit ! et il ne faut pas le faire en vrai en France. Bien sûr qu’un esprit faible est totalement égaré par la contradiction, et il peut péter les plombs et décapiter ici, ce n’est même pas un acte de « déséquilibré » (psychiatriquement) puisque l’équilibre prétendu était absurde, auto-contradictoire. Et ce n’est pas spécifique à l’Islam, quoi qu’en disent les ennemis de l’Islam comme l’Israélite actuellement vedette Eric Zemmour (qui n’a pas tort de dire que le Coran contient des horreurs) : le judaïsme fanatique a massacré en Israël (avec bénédiction des autorités françaises et approbation des professeurs), le christianisme fanatique a massacré en Amérique auparavant (avec pareilles bénédiction et approbation, l’Evangile appelant à tuer les parents éloignant leurs enfants du Dieu d’Israël). Ce n’est pas du crime individuel, c’est de la groupiste complicité active de crimes contre l’humanité, contre leur condamnation et réparation (approche racistement réservée aux actes anti-Juifs).
   Enfin, je rappelle qu’en 2014, le Président de la République (confirmé par son successeur ex-ministre) a déclaré la guerre à l’islamisme, or c’est quoi la guerre ? Dresde, Hiroshima (célébrés comme grandioses par nos politiciens de tous bords) : massacrer les innocents du camp d’en face, donner ses innocents ici à être massacrés. Alors ça arrive, où est le scandale immensément surprenant inadmissible ? Pourquoi ne pas pointer la faute horrible sur les vrais responsables ? Réponse : Propagande 100% plein tube ! Et là, ce n’est même pas un nouveau-né totalement innocent qui a été tué (comme des milliers à Dresde ou Hiroshima) mais un propagandiste actif. Moi, je ne l’aurais pas du tout tué ce mauvais type, ni tué son tueur, je vois seulement les horreurs de part et d’autre, s’affirmant innocents héroïques ou justiciers héroïques en diabolisant le camp en face, spécifiquement, en négationnant ses propres horreurs.
(Ajout 18/10/2021 pm)
   J’ai aperçu à la télévision le premier ministre découvrir une plaque commémoratrice en hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire, de géographie, « d’enseignement moral et civique » : cette nouvelle appellation semble avoir officiellement remplacé « instruction civique (et morale) ». Quoi qu’il en soit (ou surtout avec la nouvelle dénomination), cette discipline me semble intrinsèquement idiote, en république française. En effet, le fait d’interdire le référendum d’initiative populaire crée une dictature temporaire des élus, c’est immoral, affirmé moral, menteusement, affreusement, mutilant l’intelligence critique des enfants, avec carotte et bâton pour approuver la bêtise dominante. Une aristocratie se prétend démocratie, par pur mensonge, et les enfants sont endoctrinés à réciter que c’est normal, bien (bonnes notes aux réciteurs serviles). Et il s’agit de cracher sur le populisme, donc le peuple, pour vanter l’élitisme, donc les fausses élites menteuses s’auto-déclarant admirables, à tort. Lavage de cerveau, criminel à mon avis. Banditisme pseudo-intellectuel en bande organisée.

(19/10/2021) Mise en application
   (A propos d’un élève ayant hurlé Allah Akhbar pendant la minute de silence vendredi passé, et son père convoqué ayant confirmé que oui, selon eux, Samuel Paty n’avait eu que ce qu’il méritait, d’où appel de la police pour mise en examen.) J’entends un propos affligeant à la télévision dans un débat (« Midi-News »), nullement contesté par les 4 autres débatteurs, tous d’accord là-dessus : quelque chose comme « Quand on aime la France, on aime la République, donc on aime les valeurs de la République, donc on aime les professeurs qui les transmettent ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   Moi (avec 8 arrière-grands-parents français) je n’aime pas la France, concept discriminatoire xénophobe antihumaniste, j’ai résisté à 16 ans d’endocrinement scolaire/universitaire. Et je n’aime pas la république antipopuliste, dictature en pointillés des faux représentants méprisant le peuple (interdiction du référendum d’initiative populaire, qui soumettrait systématiquement toujours les élus au peuple, sans délai). Et je n’aime pas les valeurs de la république française, dont la laïcité approuvant les religions massacreuses esclavagistes et les lois exprimant explicitement une favorisation raciste pro-juive (anti-amérindienne anti-arabe). Et je n’aime pas les professeurs propagandistes appelant savoir leurs croyances orientées objet d’endoctrinement actif, abrutissant mutilant l’intelligence critique. Ces débatteurs très fiers et unanimes me chient à la gueule en me croyant musulman (ce que je ne suis pas du tout), c’est immensément moche, ils ont zéro argument et je les mettrais minables en débat contradictoire honnête, ce qui semble impossible à la télévision, militante orientée, nullement neutre/logique/morale/intelligente.
   Quant au professeur ayant dénoncé la famille approuvant le meurtre de Samuel Paty, il est simplement oublié de dire qu’il approuve les programmes scolaires français, approuvant les meurtres de bébés à Wounded Knee (USA 1890), Dresde & Hiroshima (1945), Der Yassin (1948). Non, ce n’est pas le Bien contre le Mal mais le Mal contre le Mal. En cachant qu’il y a des gens bien, condamnant tout autant les meurtres de Paty, de Wounded Knee, Dresde, Hiroshima, Der Yassin. La malhonnêteté triomphe à la télévision, pour un camp autour de tueurs atroces contre un autre semblable, c’est très moche.

(20/10/2021) Père à la police, suite
   Une des nouvelles du jour est que le père de l’enfant ayant crié Allah Akbar pendant la minute de silence Paty (à tel endroit médiatisé) est sorti presque aussitôt de prison sous contrôle judiciaire pour procès dans plusieurs mois seulement. Les débatteurs hurlaient tous contre cela, voulant immensément davantage de sévérité punitive pour l’exemple. L’un a dit quelque chose comme « il a approuvé l’acte terroriste, c’est totalement inadmissible en ce pays ». Il a été dit aussi que « il y a des gens en France qui osent penser, encore maintenant, que Samuel Paty était raciste ! ». Qu’est-ce que j’en pense ?
   Cette clameur de journaliste (sur l’approbation inadmissible du terrorisme) me parait scandaleuse, et les complices unanimes me dégoûtent. En effet, ce prof d’Histoire-Géo approuvait le terrorisme de Wounded Knee , Dresde, Hiroshima, Der Yassin (ayant créé les USA et Israël amis de nos dirigeants et journalistes, et apporté la victoire alliée en 1945 célébrée chaque année par nos dirigeants et journalistes), tel est le programme ici officiel « public », désignant qui est le Bien, même terroriste. Donc s’offusquer d’une horreur réciproque est totalement inéquittable, mensonger ou débile, immoral.
   Quant au racisme de Samuel Paty « et du » (ou « via le ») programme scolaire français, je le confirme (et sans être en rien arabo-musulman moi-même) : les bébés massacrés à Wounded Knee , Dresde, Hiroshima, Der Yassin n’étaient en rien coupables d’actes très condamnables, ils étaient décrétés coupables de naissance, pour les familles où ils sont nés, c’est le principe du racisme tueur/exterminateur, très exactement. Implicitement ; « mais comme les victimes ne sont pas juives, ce n’est pas grave », oui c’est du racisme explicite, actif, insultant en douce les « sales goys », races inférieures aux yeux de Dieu universel (prétendu judaïquement). Ça ne mérite pas la peine de mort mais des hurlements de révolte, tout au contraire de l’endoctrinement à obéir, culpabilisé/suspecté au moindre sourcil levé de doute moral.
   Mais il suffit de ne pas inviter de contradicteur et l’unanimité (des idiots, sincères ou acteurs) lave activement les cerveaux de téléspectateurs non directement impliqués. C’est affreux.

(22/10/2021) « Référents laïcité »
   Parmi les débats hier autour de l’affaire Samuel Tapy, il n’y avait pas que des condamnations absolues des seuls islamistes, il y avait aussi la mise en accusation de l’administration scolaire, qui n’a pas soutenu ce professeur les quelques jours avant sa mise à mort. Il est ainsi dit que, menacé par le père d’une élève, il a fait part de cette situation à sa hiérarchie, expliquant ce qui avait généré cela : qu’il montre les caricatures de Mahomet après avoir dit aux élèves qu’ils pouvaient sortir s’ils risquaient de se sentir offensés. Et, parait-il, le « référent laïcité » du collège lui a donné tort, considérant que cela avait été une faute professionnelle, discriminant les enfants selon leur religion. Tous les journalistes s’offusquaient qu’ait ainsi été condamné « le héros » ayant tout fait à la perfection en matière de respect, d’explication de la liberté. Qu’est-ce que j’en pense ? Est-ce que je donne, sur ce sujet précis, raison à Monsieur Paty (et journalistes approbateurs) ou à l’administration l’ayant désapprouvé ?
   Je ne peux pas dire que je donne raison à l’administration cautionnant le programme (bénissant islamophobie et pourchassant judéophobie, bénissant racisme judaïque, bénissant Israël anti-arabe et USA anti-Amérindiens). Ceci dit, oui, je pense que Samuel Paty a commis là une faute. Je l’explique par un dialogue imaginaire, le soir après ce cours, entre un élève musulman et son père :
– éh, Papa, le prof d’histoire, il nous a montré les caricatures du prophète, on a bien rigolé !
– Sacrilège ! Pourquoi avoir regardé pareilles horreurs ?
– ben, avant, le prof il nous a dit qu’on pouvait sortir si on risquait d’être choqué…
– Il fallait sortir !
– non, je connaissais pas le sujet, je voulais voir…
– Tu as commis un crime mortel ! Et sali toute la famille, qui ira en Enfer ! Horreur !
– euh, non, je vais rattraper le truc, comment me faire pardonner ?
– Impossible ! C’est trop grave !
– et si je me faisais exploser à l’ambassade d’Israël ?
– Peut-être, oui, rachetant ta faute horrible…
   Bref, ce n’était pas du tout un geste anodin (de proposer de sortir), mais grave. Cela aurait été différent si tous les élèves avaient pu se plaindre que ces images leur avaient été imposées contre leur volonté, restant « pure » du point de vue islamiste. Peut-être que la mise à mort serait intervenue aussi, mais sans drame dans les familles d’élèves ni incitation au terrorisme explosif ailleurs.

(17/12/2021) Point de vue étonnant
   Ce jour, dans l’émission débat télévisé « L’heure des Pros », un quart d’heure non politique était l’interview d’Hughes Aufray, le chanteur maintenant âgé de 92 ans. Il a parlé de chansons, de son enfance, mais aussi un peu de politique, et avec un argument que je n’avais nulle part entendu à la télévision : contrairement à la pensée commune, il ne considère pas Samuel Paty comme un héros d’innocence horriblement massacrée, il donne tort à Samuel Paty d’avoir fait de la politique à l’école. Qu’est-ce que j’en pense ?
   Je suis en grande partie d’accord avec cet avis. Enfin, ça ne méritait en rien peine de mort, mais je juge aussi que cet enseignement était immensément contestable. Toutefois, j’ignore si c’était l’application du programme officiellement prévu ou une initiative ultra-personnelle de ce professeur-là uniquement. Quoi qu’il en soit, je juge cet enseignement malhonnête, le discours étant que se moquer de l’Islam est bien c’est la liberté, se moquer du judaïsme (comme Dieudonné) est mal c’est du racisme. Sans avouer que s’il y a racisme dès qu’on touche à la religion judaïque c’est que cette religion est autorisée incroyablement à être raciste, non-prosélyte se réservant à la race élue (et endogame, cf. Woody Hallen se plaignant que sa communauté juive l’avait condamné pour avoir épousé une non-juive). Oui, un enseignement atrocement malhonnête a été puni d’horreur excessive, mais je n’y vois nulle innocence du professeur en question. Je donne raison (très anormalement) au point de vue immensément inusuel du chanteur s’étant là exprimé, même s’il se référait peut-être à autre chose dans sa condamnation de la politique à l’école (il a parlé d'éducateurs en uniforme qu'il voulait distincts des éducateurs scolaires, et je suis en désaccord avec des éducateurs endocrineurs au suivisme vis-à-vis des autorités, peu importe pour moi que ce rôle soit ou non dévolu aux enseignants d'école).

(01-02/09/2022) Pistes de discussion inexploitées
   Aujourd’hui (01/09) dans des débats télévisés sur chaine C-News, j’ai entendu des thèmes sur lesquels j’ai des choses à dire, mais qui n’ont pas été dites, dommage :
1/ Scandale rapporté d’élève français (musulman) objectant pour la condamnation du meurtre du professeur Paty, disant « Oui, c’est mal, mais… » sous-entendu très probable : le blasphème aussi est mal. Cela est dit scandaleux par les 5 journalistes-et-invités du débat Midi-News, disant qu’un « Oui mais » est totalement exclu dans ce cas, le oui franc et massif étant obligatoire.
2/ Par ailleurs, il est répété que l’école a pour fonction de transmettre les savoirs, sans droit à ce que la religion y intervienne. On devrait dire Instruction Nationale, tandis que l’éducation est l’affaire des parents.
3/ Il est aussi dit impossible d’enseigner la Shoah, affirmé (par certains enfants) constituer « le business des Juifs », ces élèves semblant dressés par leurs parents musulmans.
4/ Il est dit scandaleux que les élèves osent contester l’enseignement du maître, et la hiérarchie devrait appuyer le professeur au lieu de relativiser et étouffer qu’il y a conflit.
5/ Faudrait-il sanctionner les familles ayant des valeurs différentes de l’arc républicain (dont la laïcité et le droit de blasphème) ? Vraisemblablement oui selon tous les invités, unanimes en cela.
6/ Le budget de l’Education Nationale est le premier budget de l’état, vouloir le privatiser est favorisé par la nouvelle tendance à employer comme profs des contractuels pas du tout experts mais formés en 4 jours (ce qui suffit pour un travail de garderie, certes).

   Qu’est-ce que j’en pense ?
1/ Il n’est pas scandaleux mais simplement lucide (selon moi) de dire « oui mais » à propos du meurtre de Samuel Paty. Et pas seulement d’une position musulmane (je n’en suis pas) ni religieuse intégriste (je ne suis pas croyant). Le Professeur Paty était la cheville ouvrière d’une propagande raciste pro-juive (félicitant la critique de l’Islam arabe, interdisant la critique du judaïsme juif au nom du bannissement du racisme antisémite), ça ne valait pas la peine de mort, « oui mais » c’était un embrigadement honteux moralement, humanistement, méritant réprobation voire sanction (sanctionner le ministère s'il y avait commande d'en haut à ce sujet-là).
2/ Cette affaire des « savoirs » est de la propagande, principalement scientiste (anti-scientifique, ou adorant la science de manière dépravée et illogique). Ce que j’ai connu dans ma scolarité 1966-1984, ou 1969-84 hors maternelle (avant l’effondrement de niveau suite à la décision « 90% de classe d’âge diplômé Bac »), c’est un endoctrinement assidu au scientisme, au nationalisme, au star-system, au système républicain. A l’âge adulte j’ai renié ces 4 abus comme honteux, immensément contestables, mais il fallait durant la scolarité se soumettre à l’autorité sans droit à objecter intelligemment. La honte était là. Ceux qui veulent en revenir à « l’autorité » me semblent tous coupables, même s’ils n’affrontent pas des libres penseurs mais des fanatiques religieux. Dans plein de domaines, les religions auraient pu objecter valablement mais cela était interdit. Le pape et le dalaï-lama font profil bas pour s’allier à ces mauvaises autorités puissantes, mais logiquement ils auraient de quoi les contester, philosophiquement, moralement, etc. Le système musulman a peut-être moins de leader personnifié, mais c’est pareil potentiellement. En matière religieuse, j’ai reçu une éducation familiale de type agnostique « certains croient que… au contraire d’autres croient que… », et c’était excellent, c’est ce qui devrait inspirer l’école, sans qu’elle prétende énoncer Le Vrai, ce qui est une faute logique en matière d’épistémologie. La science se contente de retenir des théories douteuses, en instance de réfutation expérientale, très possible demain. En sciences humaines, c'est encore moins que cela, sans valeur prédictive avérée, simple source de blablas prétendus explicatifs selon diversess écoles.
3/ Enseigner la Shoah comme La Vérité constitue un endoctrinement dogmatique, prévu hélas par la Loi Gayssot, ouvertement raciste en interdisant de nier le génocide juif tout en autorisant à nier le génocide amérindien. Cela est géopolitiquement excellent pour l'alliance à Israël et USA, c'est juste moralement atroce et intellectuellement nul. Qui plus est, des livres de témoignages démentent le moderne roman de la Shoah, comme le témoignage de Viktor Frankl publié en 1946, mais tant pis : en diabolisant à fond toute objection, l’éducation abrutissante inculque aux (sales) goys la culpabilité éternelle, à payer en servant Israël… Ce n’est pas tant un business commercial qu’une manœuvre déloyale de géopolitique raciste anti-arabe (puisque anti-palestinienne) et antihumaniste (déniant que tous naissent égaux en dignité et en droits ; non, les juifs naissent victimes et les goys naissent coupables). La Shoah est devenue le dogme français, interdisant de ne pas y croire, au nom de la prétendue « liberté de croire ou ne pas croire », ceci faisant exception, sans l’avouer, et sans avouer que certains en tirent bénéfice en domination et intouchabilité.
4/ Durant ma scolarité, où j’étais classé surdoué, j’adorais détecter et prouver les fautes des professeurs (autoconradiction mathématique), ce n’était certes pas charitable et je m’en excuse aujourd’hui, mais que ces mauvais professeurs aient fait preuve d’autoritarisme me parait scandaleux, ne méritant pas mes excuses. Quand un prof prétend dire Le Vrai ce qui est abusif, bien sûr qu’il y a potentiellement conflit avec les élèves lucides ayant entendu parler d’un autre Vrai prétendu. Non, l’administration n’a pas à prendre parti pour le dogme scolaire, au contraire c’est avoir instauré ce dogme qui me semble abusif. Le petit prof exécutant n’en est pas coupable (comme un petit soldat obéissant en guerre), mais les décideurs sont des monstres (comme en guerre : les généraux, ou politiciens commandant aux généraux, ou élécteurs commandant aux politiciens si on n'était pas en république fausse démocratie à élus libres non-vrais-représentants).
5/ C’est un scandale total d’interdire les objections au principe de république (la délégation de pouvoir en aveugle, X années avant réélection). Je n’approuve pas les dictatures non plu’, mais une vraie démocratie deviendrait possible avec les nouvelles techniques comme l’ordinateur domestique grand public. Dire qu’il y a droit de blasphème en France est faux puisqu’il n’y a pas le droit de contester la Shoah, vrai dogme principal de nos politiciens (et faux intellectuels) au pouvoir.
6/ Le budget de l’Education Nationale est un gaspillage démentiel, au service d’un programme débile. Notamment pour l’éducation primaire, au lieu de se lamenter qu’en matière d’intelligence infantile les Finlandais gagnent de manière déloyale car leur langue est simple (pas d’orthographe ni grammaire), on devrait s’en inspirer pour faire pareil en langue française améliorée. De même pour l’éducation ensuite, à avaler des tonnes de choses à réciter par cœur, c’est périmé par l’ordinateur de poche, bien plus performant en la matière. Des traditionalistes idiots se battent pour des enjeux périmés, pour ne surtout rien changer. Ils dominent les plateaux télé, oui (sur le mode de l’unanimité absolue), mais ils n’ont pas raison pour autant.
Bilan/ Ma solution : le relativisme, sans plu’ affirmer la prétendue vérité, mettre à la poubelle le scientisme. Prendre en compte que le point de vue religieux [ou solipsiste] n’est pas idiot {ou maladif] mais exprime un autre possible. Ceci dit, cela ne devrait pas entrainer le triomphe des religions mais une mise en accusation des textes sacrés (esclavagistes, génocidaires, racistes pro-juifs, etc. en ce qui concerne les religions du Livre dominant le monde actuellement), sans les déclarer intouchables. La situation actuelle est totalement aberrante, endoctrinant au scientisme antireligieux tout en déclarant s’allier aux religions (sans lire leurs passages atroces) et en bataillant avec les conséquences automatiques (dits « fanatismes religieux » alors que c’est la simple lecture des textes prétendus sacrés). C’est mal pensé, jusqu'aux pourris Droits de l'Homme 1948 prétendus à tort "universels". Il faudrait peut-être une religion v2.0 promettant aussi un bonheur post mortem invérifiable (et peut-être erroné) mais sans violence aucune, sans racisme, etc. Si les textes sacrés de la religion aztèque préconisent, à chaque pleine lune, que chaque église égorge deux enfants esclaves, il n'y a pas à dire "c'est religieux donc libre à chacun d'adorer cela" (sauf intégrisme coupable), il faudrait dire d'emblée que c'est inacceptable et que l'alibi prétendument religieux a valeur nulle, autrement dit : la laïcité à la française, alliée aux religions, est totalement scandaleuse, idiote et immorale tout à la fois. A 58 ans, je parviens à ce constat lumineux, malgré l’abrutissement scolaire subi dans mon enfance et adolescence, malgré l’endoctrinement religieux (catholique) entendu depuis que je suis marié à une Philippine croyante. La lucidité est possible, elle est simplement ailleurs.
Ajout (03/09/2022) : 6’/ Certes, l’école publique remplit son rôle de former les futurs citoyens de la république, mais j’y vois un endoctrinement abrutissant comme l’école stalinienne formait les futurs citoyens staliniens. Cela ne va pas du tout dans le sens d’augmenter l’intelligence, le recul, l’autonomie intellectuelle, mais constitue un appel à la grégarité crédule, suiviste, antiphilosophique. Notamment l’enseignement de la Shoah comme La Vérité indiscutable, assortie d’obéissance à la Loi Gayssot, constitue un abandon du droit au doute intelligent, percevant (ou analysant) que l’hypothèse du rêve a été trahie par Descartes et les cartésiens sans honnête réfutation (impossible jusqu’à preuve du contraire). J’entendais hier la bande annonce du volet numéro X de la série de films Matrix, où un personnage sévère dit semble-t-il au héros quelque chose comme « à cette époque, vous aviez perdu votre capacité à dissocier rêve et réalité »… ces mots, compatibles avec l’endoctrinement scolaire en Occident, sont simplement malhonnêtes : il n’y a pas de « capacité » en la matière, mais éducation malhonnête à oublier le doute innocent, enfantin, sans le moindre argument, pour foncer dans une attitude crédule qui s’avère souvent fausse après coup, en cauchemar cru réalité. L’école française, se faisant payer très cher (« un pognon de dingues » comme dirait le président Macron pour autre chose), me semble donc une formation à la fière stupidité, qui est affligeante si on prend du recul. 100% des commentateurs télé ne l’ont pas compris, et cela compte bon nombre de prétendus philosophes, simplement escrocs.

(14/11/2022) Extension nationale insoupçonnée
   J’ai entendu hier des propos révélateurs dans l’émission Face à Rioufol sur chaîne-télé C-News. Y était interviewée Sophie Audugé, déléguée générale de l’association SOS Education (persécutée fiscalement par l’administration Macron, une dénonciation calomnieuse ayant donné classement sans suite après audit, mais l’administration s’acharnant arbitrairement). Elle a dit des choses importantes que j’ignorais, au sujet de l’affaire Samuel Paty, et pour bien prendre en note le détail, je viens d’aller en voir le Replay, stylo en main : « assassiner un professeur pour son enseignement, c’est assassiner la France. Et d’ailleurs les menaces qu’ont été proférées à Samuel Paty avant cet assassinat atroce étaient des menaces qui étaient adressées à Samuel Paty et au président de la République Française. C’est bien la France qu’on a assassiné à ce moment-là. » Qu’est-ce que j’en pense ?
  Effectivement, relativement à mon analyse antérieure, ça me conforte dans l’idée que ce n’est nullement un innocent qui a été assassiné sans raison, mais un petit officier endoctrineur, envoyé au casse-pipe par ces autorités commandantes, qui a été exécuté (par facilité, ne pouvant atteindre le sommet, hyperprotégé). Pas un mot de cela à la télévision bien sûr. Je rappelle que la leçon à donner via caricatures de Mahomet était « se moquer de l’Islam (façon Charlie), c’est bien, c’est la liberté d’expression ; se moquer du judaïsme (façon Dieudonné), c’est mal, c’est la haine raciste antisémite punie par la loi française. » Atroce de racisme pro-juif, entraînant très évidemment la colère furieuse des pratiquants de l’Islam. Oui, le pauvre Monsieur Paty n’était qu’un pion dans cette manœuvre atroce, il a hélas payé pour les vrais coupables, non seulement Macron mais tous les présidents récents, et les majorités parlementaires ayant voté puis conservé la loi Gayssot (pareillement pro-juive, sacralisant le génocide des Juifs en négationnant le génocide bien pire des Amérindiens Caraïbes, etc. par nos atroces ancêtres, générant la surpuissance US de destruction massive des civils). Atroce, oui. A mon avis, il ne fallait pas punir isolément Mr Paty mais de très graves crimes sont commis en prétendant au Bien, et il est très lamentable que l’école publique française endoctrine à ne rien y voir, et au contraire à l’approuver.
  Secondairement, pour les propos exacts ici rapportés, je ne me reconnais en rien de rien dans cette « France »-là. Macron prétend me représenter mais je n’ai jamais voté pour lui, j’ai toujours désapprouvé ce sale bonhomme, menteur ou idiot et insultant (si je l’insulte moi aussi, c’est différent : c’est en légitime défense). Comme je ne suis en rien nationaliste, je n’ai par ailleurs en rien le sentiment qu’il incarne « la France (sauf moi) », il n’est qu’un chef tribal dans une meute d’excités nationalistes, dressés par l’Ecole et son Instruction Civique débilitante, à mon avis.