Complotimbécile ? Non, c’est plutôt le contraire…
Démolition de propagande abrutissante
par Atonn Air, sous traitement anti-schizophrène
06-11/10/2020

Aperçu donnant envie (2 écrans)
Lecture critique (14 écrans)
Ma conclusion (1 demi-écran)
(dernier ajout)

1/ Aperçu donnant envie
  J’ai aperçu en zappant (sur chaine LCI, ce 06/10/2020 après 15h30) la fin d’interview par Serge July de Rudy Reichstadt, Responsable de l’Observatoire du Conspirationnisme. Il était dit qu’un sondage (sur le complotisme) vient d’indiquer que 22% des Français (contre 16% par le passé, il y a 2 ans ?) croient à un complot sioniste à l’échelle mondiale (46% seulement n’y croyant pas, les autres ne se prononçant pas – ce 22/46/32 étant jugé affreux, pour 0/100/0 attendu « normalement » de gens sains d’esprit). Je ne suis pas d’accord : je n’aurais pas répondu Non mais « ne me prononce pas », en effet ce n’est pas que j’ai aucun avis sur le sujet (je juge aveugles ceux qui ont répondu Non et excessifs ceux qui ont répondu Oui). Mais je ne suis pas d’accord avec l’intitulé exact de la question, passant à côté du sujet, grave :
- La domination sioniste est (ici en France) ouverte, évidente (pas secrète cachée, dissimulée) : avec projet de loi criminalisant l’antisionisme (affirmé antisémite forcément), avec action publique de tous les politiciens et juges criminalisant Dieudonné (le comique antisioniste) en prétendant œuvrer pour la liberté de se moquer dite « Je suis Charlie », avec emploi systématique de l’expression raciste pro-juive « racisme et antisémitisme », avec loi Gayssot raciste pro-juive anti-amérindienne antibouddhiste anti-sceptique antiphilosophe recevant l’approbation de tous les partis et interdite de contestation par référendum d’initiative populaire, etc.
- Aux USA, la domination sioniste est aussi évidente (à gauche comme à droite, comme en France, avec veto systématique contre les sanctions ONU envers Israël refusant le retour des « expulsés pour ʺnettoyageʺ ethnique »), idem en Belgique Allemagne Grande-Bretagne semble-t-il d’après le peu que j’ai entendu (notamment : comme « la France », boycott de la conférence internationale Durban 2 consacrée à l’apartheid israélien anti-palestinien approuvé par les leaders occidentaux). Mais je n’affirmerai pas cela pour l’Iran, la Chine, etc. je n’en sais rien donc il s’agirait des dominants des « pays dominant aristocratiquement le monde » (Occident ?) et pas du monde entier, est-ce que ça s’appelle « échelle mondiale », je ne dirais pas « oui » mais « je ne sais pas »/« c’est pas clair ». La domination de l’infime minorité sioniste (antihumaniste) sur le monde est un colossal et scandaleux problème, mais que ce soit un complot mondial ne me semble pas du tout sûr.
  L’interviewé est dit l’auteur de « L’opium des imbéciles. La critique du complotisme est un sport de combat » chez Grasset. A la question « est-ce que ça veut dire qu’être complotiste c’est être un imbécile ? », il a répondu quelque chose comme « Non, il faut lire le livre pour comprendre. »
  Autre détail mentionné : cet auteur parle entre autres choses du faux scepticisme qui cache parfois le complotisme, il n’y a pas que les croyants aveugles, ça peut donc me concerner. A lire. J’ai donc acheté le livre ce soir.
  Simplement, avant d’entamer la lecture, je peux déjà contester des bases de l’anti-complotisme, je crois. Comme je l’ai écrit dans un livre à moi (sur un ton comique), le complotisme me parait (au moins parfois) sain et juste :
– A propos de l’explosion du Rainbow Warrior, ceux qui ont osé dire que c’était commis par les services secrets français ont été traités de complotistes aberrants, jusqu’à ce que le mensonge d’état devienne trop gros, et le crime secret : avoué, sanctionnant un petit ministre pris comme fusible.
– De même, l’avion de ligne civil sud-coréen (KAL-007, 1983) abattu par les Soviétiques a été dénoncé par les prétendus complotistes comme effectuant une mission d’espionnage électronique militaire coordonné par les USA, et cela a été dénié avec cris vociférés de stupidité insondable, mais… le congrès étasunien a discrètement voté une loi pour que les familles de victimes ne soient pas indemnisées par les USA s’il s’avérait un jour que la mission d’espionnage était confirmée (source : magazine Air et Cosmos, pour professionnels de l’aérien et quelques amateurs passionnés). Douteux, pour le moins, non ? Et le doute me parait intelligent, tout le contraire de la crédulité imbécile envers le dire officiel tonitruant, nous prenant pour des imbéciles manipulables à l’envi.
– Troisième exemple : le pas humain sur la Lune en 1969, dont la mise en doute par les dits « complotistes » relève parait-il de l’idiotie profonde, mais quelle preuve y-a-t-il ? Les images ? Hollywood savait faire ça en studio (terrestre). Les pierres lunaires ? Quelle est la preuve que telle composition isotopique garantit le caractère lunaire ? On vous l’affirme donc vous le croyez ? c’est bien ça le problème, oui. « Je crois que »/« on m’affirme que » est pris pour « il est prouvé que », et c’est une faute de raisonnement. Quand les imbéciles insultent les logiciens, je dis : pas d’accord. Certes, en matière de cosmo-minéralogie, la parole est réservée aux prétendus compétents, mais comment ont-ils été diplômés ? par récitation de ce qu’on leur disait ? c’est archinul, tout le contraire de supérieur. Autre facteur majeur pour le pas humain sur la Lune : quand le président George W. Bush, en 2004, s’est écrié patriotiquement « retournons sur la Lune ! », la NASA lui a répondu qu’on n’avait pas la technologie pour cela, pas avant 2025 grand minimum, hum, impossible d’aller sur la Lune « pour de vrai » ? Qui semble vraiment stupide dans cette affaire, ceux qui croient servilement ou bien ceux qui osent douter arguments à l’appui ?
– Idem pour l’arme de destruction massive de Saddam Hussein dénoncée avec preuve catégorique par les USA à l’ONU pour engager la guerre du Golfe numéro 2 (arme dite imaginaire par les « complotistes » maudits, qui se sont avérés avoir raison, mais chut, personne ne le dit, pour ne pas se fâcher avec les USA maîtres du monde).
– Pareil pour le reportage exclusif des tortures irakiennes de bébés koweitiens ayant entrainé la guerre du Golfe numéro 1, soupçonné par les « complotistes » d’être un faux, et s’étant avéré un montage avec des acteurs dont la fille de l’ambassadeur de Koweit aux USA, actrice de théâtre à New York, déguisée en infirmière éplorée, avec brio certes...
– Pareil pour la décision d’entrée dans la guerre du Viêt-Nam qui est parait-il connue pour venir d’un montage de fausse attaque de bateau militaire étasunien simulé par l’US Navy elle-même.
– En 2020 encore, le gouvernement français a claironné que pour lutter contre le coronavirus, la science certifiait que les masques ne servaient absolument à rien pour la population (super-absurdes voire criminels dangereux étant les « complotistes » osant dire que c’était un mensonge évident), avant de – quelques mois plus tard – rendre le masque obligatoire officiellement sous peine d’amende sévère. Le mensonge d’état est une grande habitude. Soupçonner les gouvernants de mensonge semble donc tout le contraire d’une imbécilité : c’est une grande sagesse, une évidence documentée. Certes, qu’il y ait des mensonges ne prouve pas qu’absolument tout est mensonger (et que toute pseudo-explication délirée vaut Vérité indubitable), donc la logique est du côté du doute, sceptique.
– En 2019, j’ai employé ma compétence professionnelle de chimiste pour démonter le mensonge officiel concernant « la science garantit que le nuage industriel de l’incendie Lubrizol est sans aucun danger (ce dont doute très bêtement la populace ignare stupide complotiste) ». Eh bien, en l’occurrence, les incompétents avaient deviné la vérité et les savants officiels mentaient, tous. J’ai prouvé que le scientisme officiel était erroné, non-scientifique, la vraie conclusion logique étant « la science actuelle ne reconnait pas (dans ce qu’elle analyse) de poison qu’elle connait, mais en ce qui concerne un éventuel poison inconnu (très possible avec cette combustion complexe jamais testée), la science actuelle ne sait rien de rien ». Cela vaut preuve que les accusations de complotisme sont (au moins parfois, peut-être souvent) de la propagande stupide pratiquant l’abus de pouvoir.

2/ Lecture critique (format kindle moins cher)
  Pages 11-13 (avant-propos ?) figure un grand cri de haine insultante, (glorifiant l’anti-complotisme comme Connaissance, du côté de la Réalité, et) : le complotisme se voit dit être de la crédulité bêlante, entreprise charlatanesque de subversion de la Liberté, obscurantiste, tirant prestige de se prétendre à tort sceptique ou scientifique, se montrant une lâcheté morale et un renoncement intellectuel. --> Je dirai l’exact contraire : la crédulité envers les officiels (anti-complotisme) est une imbécilité bêlante et fière à tort, insultant l’intelligence critique, ce qui est intellectuellement et moralement fautif. Certes, j’oppose à l’anti-complotisme le doute et la grande suspicion, argumentée, pas la prétendue preuve de complot avéré fondée sur une autre croyance simplement inverse.
  Page 11 aussi (ou 12, car seuls les nombres impairs semblent marqués, pour les double-pages), un mot a été dit aussi pour affirmer que certains complotismes sont clairement absurdes horribles car « trop ouvertement antisémites » mais les autres ne valent pas mieux en fait, selon l’auteur. --> C’est le niveau zéro-zéro de la pensée : l’accusation abusive d’antisémitisme est monnaie courante, prise comme alibi pour invalider à tort des pensées justes mais gênantes. Ainsi est appelé racisme antisémite la résistance antiraciste contre la raciste domination d’Israélites et Juifs athées communautaristes. L’auteur Blanrue a signalé un article qu’il a trouvé dans un magazine interne à la communauté judaïque de France, exhortant chaque Juif à s’engager en politique, pour faire semblant de servir l’intérêt général (français) pour en fait servir leur communauté judaïque et Israël. Mais non, ce livre du journaliste français Blanrue est impubliable en France, verrouillée, mais a été édité en Belgique… La domination raciste judaïque se prétendant championne de l’antiracisme est totale, et « complotistes » sont déclarés les rares esprits lucides, c’est affligeant. Je précise que ce propos mien n’est aucunement raciste antisémite : totalement innocents sont les « juifas non juifos » (bébés et juifs renégats comme moi qui ne sont pas communautaristes dominateurs), le drame est que derrière eux se cachent les « juifos » (communautaristes dominateurs, Israélites ou athées sionistes ou/et athées judaïques endogames) prétendant que toute résistance à eux-mêmes vaut haine génocidaire raciste envers « les Juifs innocents » (le mot « Juif » étant un amalgame stupide mais ayant force de loi), leur allié chéri étant l’épouvantail Hitler dont ils se servent tous les jours partout, avec immense « succès » (malhonnête mais ça gagne – avec force publique interdisant le débat, condamné comme atrocement/odieusement « antisémite »). Par ailleurs, le site https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Rudy_Reichstadt indique que Rudy Reichstag est connu pour être un militant sioniste. Je ne sais pas si c’est vrai, mais ça expliquerait entièrement son expression « trop ouvertement antisémites » pour les pires complotismes (selon lui), cette expression sous-entendant clairement que les autres complotismes sont tous (ou presque tous) antisémites, moyennement ou franchement (mais certes pas abominablement, eux). Cela me semble aller dans le sens, raciste juifo : « tous les goys, sales races, sont des antisémites, jaloux de notre peuple supérieur » (religion judaïque ou communautarisme athée). Je trouve ça horrible, honteusement raciste, non la « vérité » prétendue par Reichstadt mais son point de vue raciste inavoué, et non condamné bien sûr, faisant condamner autrui par abus de pouvoir…
  Page 16, la citation amalgame négationnisme, complotisme et antisémitisme. --> C’est odieux, mais certes bétonné grâce à la complicité des législateurs, criminalisant la contestation historique dite négationniste, validant les fausses accusations de racisme antisémite pour la résistance au racisme juifo, et c’est cela qui fait le complotisme que combat l’auteur ? Il se classe donc en pourri intégral, armé de la force légale (contre la liberté d’opinion).
  Page 18, l’auteur insulte plein tube : les mensonges envisagés étant traités d’hypothèses obscènes de bêtise et ineptie. --> Eh, imbécile profond, la même chose pouvait être clamée pour « l’accident » du Rainbow Warrior… et les autres mensonges organisés à grande échelle. Face à une accusation, il convient d’instruire le dossier, pas de rejeter l’accusation avec bordée d’insultes. C’est un impératif intellectuel et moral, mais ça ne vient pas à l’esprit de l’auteur, déficient ou menteur éhonté.
  Page 18 encore (double page 18 ou page 19), il est dit que le complotisme vient du narcissisme. --> Ça me fait penser à la condamnation maintenant usuelle des « pervers narcissiques », pire condamnation d’individus par les psychologues (escrocs se prétendant scientifiques, avec pouvoir de prédiction nul). Narcissique sous-entend aussi égoïste, c’est une condamnation morale, ici parachutée sans argument, cet auteur est immensément horrible. En URSS, les dissidents anticommunistes étaient ainsi classés égoïstes maladifs, atroces, inhumains, c’est simplement une accusation malhonnête, un abus de pouvoir se réservant la parole.
  Page 20, le mot « égocentrisme » est lâché pour condamner les complotistes, comme « Réalité » avait été brandi pour valoriser les anti-complotistes. --> A l’opposé de ces stupidités irréfléchies (pissant dans le sens du vent, bien soumis à la propagande abrutissante), j’ai inventé le scepticisme égocentrique, supérieurement sage lucide, et invalidé le réalisme (l’hypothèse du rêve n’ayant été invalidée par Descartes que par illogismes totaux). L’auteur ne semble même pas l’imaginer, tout immergé dans ses fausses certitudes.
  Page 20 encore (ou 21) figure clamé en citation un texte de Clément Rosset claironnant une version fanatique intolérante du réalisme, simplement stupide mais prise comme évidence magnifiquement exprimée. A tort totalement. (Pareil pages 21-22 avec une citation de Philip K. Dick).
   Page 22, très lourde erreur de l’auteur, qui dit que la disponibilité au complotisme croit avec la crédulité. --> Ce qui est oublié dans l’affaire, c’est qu’une autre crédulité (vis-à-vis des autorités menteuses) conduit à l’anti-complotisme benêt, comme celui de l’auteur.
   Page 23, nouvelle erreur totale de l’auteur, il juge que le complotisme est toxique pour la démocratie. --> C’est faux : le complotisme démolit spécifiquement la république (à commandeurs doublant le peuple, avant d’être virés) pour exprimer un point de vue populaire qui lui est vraiment démocratique. Mais le mensonge usuel est de dire que la démocratie parfaite est incarnée par la république, ce qui est un mensonge outrancier mais gobé par l’auteur, déficient en recul (ou en honnêteté s’il n’est pas dupe). C’est cohérent avec le complot judaïque (documenté par Blanrue) de minorité prenant le pouvoir pour écraser les gens à son profit à elle, cohérent dans la malhonnêteté pourrie et couverte d’honneurs friqués.
  Page 27, fin de l’introduction avec une première conclusion déjà erronée : « le complotisme (…) est un discours politique ». --> C’est une généralisation abusive, fautive. Envisager que les autorités mentent, sans en être certain, n’est nullement la revendication d’une prétendue vérité politique, c’est un appel à examen critique, c’est une sagesse intelligente, dont est simplement incapable l’auteur. Enfin, puisqu’il critique avec tant d’acharnement les complotistes, ce n’est pas totalement une absence d’esprit critique, c’est un parti pris forcené, en faveur d’un camp, contre les opposants et contre les neutres sceptiques au milieu. C’est davantage méchamment idiot que débile profond. L’anti-complotisme serait action de propagande forcenée, simplement.
  Dans le chapitre 1 (pages 28-42), l’auteur reconnait enfin qu’il y a eu des complots et des mensonges organisés, dans l’Histoire. --> Mais il ne semble pas une seconde lui venir à l’esprit qu’il est donc légitime d’envisager un tel phénomène dans toute annonce officielle. J’ajouterai que mon expérience professionnelle m’a fait découvrir que le mensonge commercial est la routine du monde privé industriel (et – après 34 ans de travail choqué voyant étouffées toutes mes objections argumentées – j’ai été mis en invalidité car souffrant trop de la complicité, acheté par mon salaire pour taire les horreurs pratiquées en secret). L’auteur imbécile incompétent clamera que c’est faux, bien sûr, complice (actif) qu’il est des menteurs pourris dominants.
  Page 44, l’auteur dit une nouvelle imbécilité philosophique : le vrai est produit par scientifiques, journalistes, enquêteurs, magistrats. --> Faux : il s’agit des personnes prétendant dire le vrai, gobé exclusivement par le public crédule dénué d’intelligence critique. Les magistrats et scientifiques mentent en grande routine, j’en ai l’expérience documentée, mais avec le faux argument d’autorité, cela s’impose aux benêts croyants. Cet auteur est vraiment imbécile, ou méprise à tort son lectorat, c’est très moche dans tous les cas.
  Page 45, l’auteur se gausse avec mépris des gens croyant que la Terre est plate alors qu’elle est ronde, dit-il. --> C’est simplement idiot, encore une fois ; s’il avait un peu de Culture, il aurait lu la Bande Dessinée Iznogoud, où le grand vizir clame que « c’est bien connu, la Terre est ronde : c’est un cercle plat dont Bagdad [la ville où il règne] est le centre ! »… Il ne fallait pas dire ronde ici dans l’argumentation anti-complotiste mais sphérique. Mais pour ça il faut être lucide et pertinent, c’est le contraire de la démarche de cet auteur, insultant n’importe comment en prétendant détenir le vrai parfait.
  Le chapitre 2 commence mal, l’auteur affirmant que les complotistes adorent les superstitions et sont peu diplômés (il n’est pas écrit « pas intelligents » mais ça semble le sens sous-entendu). --> Faux : l’intelligence critique conduit à douter à la fois des prétendues vérités officielles, des blablas superstitieux, des cours magistraux appelés à être récités benoîtement, bref l’intelligence critique qui favorise l’hypothèse complotiste ne favorise pas la croyance superstitieuse ni la croyance dans les professeurs diplômants (ou soumission servile à eux). Personnellement j’ai été diplômé scientifique en mentant : récitant/jonglant comme cela était demandé mais sans croire ce qu’on m’affirmait être La Vérité (dont une partie a d’ailleurs été démentie les décennies suivantes avec les nouvelles « découvertes » prétendues, ou nouveaux consensus entre leaders d’opinion scientifique – le doute était sage, quoiqu’il aurait été sévèrement puni de mauvaises notes ou exclusion, si avoué aux dominants endoctrineurs…).
  Page 49, l’auteur semble mal analyser : il dit que les complotistes n’aiment pas la démocratie et se situent surtout aux extrêmes politiques. --> Connaissant la propagande du pouvoir contre les extrêmes, cela me semble un moyen de dire « politiquement, les complotistes incarnent le mal ». Mais c’est faux : en France tout au moins, le centre (droite modérée, centre, gauche modérée) est partisan fanatique de la république ôtant le pouvoir au peuple, avec interdiction du référendum d’initiative populaire. Ce R.I.P figure au contraire au programme d’extrême-gauche et extrême-droite (du moins c’était le cas à l’élection présidentielle française de 2017), injuriés comme « populistes » – puisque redonner le pouvoir au peuple est le contraire de la délégation exigée par le principe républicain, les élus faisant à leur guise avec alternance chronique votée par les électeurs cocus rejetant les menteurs en place.
  Page 49-50, l’auteur oppose les imbéciles aux détenteurs de la Connaissance qui forment les élites. --> C’est de la propagande et je peux le dénoncer de l’intérieur : les diplômes de connaissance sont de la récitation stupide, rejetant l’intelligence critique, et la croyance s’auto-désigne connaissance dès lors qu’elle domine, c’est nullissime, tout le contraire du « meilleur » (Elite au sens propre).
  Page 51, il clame que la compétence des experts officiels s’oppose à l’ignorance des complotistes. --> C’est partiellement et gravement faux : dans l’affaire Lubrizol, les experts officiels mentaient et le peuple criait maladroitement au mensonge sans savoir pourquoi, mais moi j’ai prouvé qu’il y a mensonge, caché par les experts menteurs et deviné intuitivement par le peuple qui avait là raison (peut-être que dans d’autres cas, c’est différent, mais l’auteur prétendant à l’universel a en tout cas tout faux dans cette affaire-là).
  Page 52, le mensonge de l’auteur apparait en clair : il dit que le complotiste affirme alors que le (vrai) sceptique doute. --> Mais… il se trouve que le scepticisme est classé complotiste, voire criminel avec la loi Gayssot et jurisprudence Gollnisch. Bref, il n’a rien compris à la critique des autorités, pertinente au moins souvent et classée complotiste/populiste/terroriste avec les injures habituelles, parachutées au nom de l’autorité (abus de pouvoir, plus exactement).
  Page 53, l’auteur prétend que les complotistes sont nombrilistes et immodestes, inaptes, avec petitesse d’âme. --> Ces accusations floues sont certes imparables mais elles peuvent s’adresser à rigoureusement tout le monde : cet auteur, les politiciens et technocrates faisant la parole officielle, etc. Mais non, cet auteur n’a aucune lucidité alors il se place en supérieur, le fait d’être publié (pistonné) l’autorisant à insulter qui il veut, spécifiquement, malhonnêtement. A propos de pistonnés, je viens d’entendre que le prix Nobel de Littérature vient d’être donné à une poétesse étasunienne, l’article présentant plusieurs de ses poèmes prétendus admirables et que je trouve nuls à chier (et ce n’est pas que je suis insensible à la poésie, j’ai adoré plusieurs poèmes de Paul Eluard dont certains sont pleinement traduisibles en Anglais sans rien perdre du miracle, « la Terre est bleue comme une orange »/ « The Earth planet is blue like an orange fruit »), mais Wikipedia (sans un mot de cela à la télé qui applaudit sans expliquer) m’apprend que l’élue de cette année est d’origine juive hongroise (comme Sarkozy, Balkany, etc.), ça explique entièrement/malhonnêtement l’incompréhensible apparent.
  Page 53, l’auteur se moque du fait que les complotistes (que lui et les autorités combattent) se classent eux-mêmes en dissidents et résistants, il les dit ridicules. --> Brejnev disait probablement pareil des anticommunistes, c’est simplement nul en pouvoir de conviction, c’est de l’écrasement par abus de pouvoir.
  Page 56 tombent les mots « stupidité », « idiot », « imbécile », pour les complotistes. --> J’adresse les mêmes aux anti-complotistes puisqu’il s’agit d’insulter sans argument aucun, en cachant les mensonges avérés des autorités.
  Page 56 ou 57, comme complotiste idiot cité en exemple figure Etienne Chouard, auteur que j’apprécie, déniant que la République soit une démocratie, et il est considéré ici stupide de dire que les vrais terroristes sont nos gouvernants. --> Faux : c’est argumentable soigneusement (célébration du terror bombing antiallemand 1944, approbation du terrorisme israélien ayant gagné en 1948, etc.) et j’ai tous les outils argumentaires pour (ayant écrit le livre « la guerre du mal contre le mal »), mais cet auteur stupidissime balaie ça d’un éclat de rire refusant d’entendre et réfléchir avec intelligence critique. Affligeant.
  Page 58, l’auteur fait le parallèle entre conspirationnisme/complotisme et négationnisme. --> Comme le négationnisme a été interdit par la loi française Gayssot avec accord de tous les partis politiques (interdisant de fait le scepticisme, les doutes cartésien et bouddhiste, la philosophie – c’est le dogme stupidissime bannissant l’intelligence), il veut semble-t-il que soit pareillement banni le complotisme, puni de prison et ruine Ce serait son triomphe à lui, triomphe de l’imbécilité dominante sur l’imbécilité prétendue (clairvoyance condamnée).
  Page 60, l’auteur se moque que les complotistes prétendent « au nom de la liberté d’expression » avoir le droit de répandre leurs foutaises, même réfutées par la science. --> Ce n’est pas là un argument rationnel mais un hurlement de croyance scientiste, n’ayant rien compris à la logique scientifique (théories en instance de réfutation). L’auteur est politologue, apparemment sans formation scientifique (autre qu’en sciences humaines qui sont des fausses sciences de bla-bla a posteriori sans valeur prédictive), il ne comprend rien donc claironne et sermonne, c’est archinul.
  Page 61, l’auteur dénonce la célébrité (indue) de quelqu’un hostile à la pénalisation des discours de haine. --> C’est simplement un discours malhonnête approuvant une loi malhonnête : la haine est hélas entièrement légale, approuvée par les stupides Droits de l’Homme, quand elle figure noir sur blanc dans les appels au meurtre religieux pour désaccord d’opinion (Torah anti-Cananéens, Evangiles anti-incroyants, Coran anti-mécréants). En prétendant condamner la haine, il ne s’agit pour le législateur et l’auteur que de condamner ce qu’ils n’aiment pas et qualifient pour cela du terme méchant injustifiable de haine (la détestation armée anti-négationniste ou antinazie ou anti-palestinienne par exemple ne valant pas officiellement haine mais « justice admirable »…). C’est insupportable de malhonnêteté, et j’hésite à continuer. Convient-il vraiment de lire jusqu’au bout ce torchon puant ?
  Page 61, les complotistes sont dits tyranophiles. --> C’est oublier que nos gouvernants occidentaux ont fait renverser le socialisme chilien pour imposer la dictature militaire, se sont très longtemps acoquinés avec les pétrodollars des tyrans Saddam Hussein et Khadafi, etc. Qu’untel ou untel aient cherché des alliances moches semble une fatalité chez les réalistes empiriques voulant succès en acceptant des moyens très contestables (parmi les complotistes comme parmi les anti-complotistes, et cela n’autorise en rien à généraliser aux personnes refusant ces travers).
  Page 61, il est encore dit que les complotistes n’ont aucun scrupule. --> Eh ! imbécile, tu dis quoi des mensonges éhontés des gouvernants ? ne sont-ils pas pareillement dénués de scrupules (ce que dénonce précisément les soi-disant « complotistes ») ?
  Page 63, l’auteur se moque du style apocalyptique paranoïaque des complotistes. --> Eh ! Classe-t-il les scientifiques du GIEC, et les jeunesses occidentales qui suivent, en paranoïaques ? La psychiatrisation des objections argumentées est une horreur soviétique reprise avec enthousiasme par les imbéciles tribuns occidentaux, dont cet auteur. (Personnellement, je ne crois pas aux prédictions du GIEC, non en les insultant au nom de vérités psy prétendues mais car j’ai documenté que les scientifiques mentent pour le fric plus souvent qu’ils ne disent le vrai, ou le doute honnête).
  Page 67 en début de chapitre 3, la citation fièrement reprise est odieuse, traitant d’imbécile crasse et négation de l’intellect ceux qui doutent. --> Erreur absolue : le néant intellectuel absolu consiste à gober sans examen les dires officiels.
  Page 68, l’auteur est fier de claironner que la version conventionnelle parvient bien à expliquer. --> C’est là une nullissime déformation liée à sa stupide formation en « sciences » humaines, imaginant que dire n’importe quoi a posteriori, en forme d’explication, vaut vérité prouvée. C’est épistémologiquement nul, fautif. Il y a des milliers d’explications a posteriori discordantes qui peuvent être candidates à tout couvrir, ça n’a aucune valeur de vérité pour autant. J’ai lu dans un ouvrage d’économie une célèbre histoire humoristique, rapportant la conversation entre deux économistes : – Tu comprends ce qui se passe toi ? – Pas de problème : je vais t’expliquer ! – Non, expliquer c’est facile mais je parlais de comprendre en vrai…
  Page 68 encore, l’auteur se moque que les complotistes usent du mode interrogatif pour cacher leurs immenses lacunes et contradictions. --> Cet auteur n’a décidément rien compris à rien, c’est horripilant : envisager un mensonge des autorités se fait par interrogation, ça n’exige en rien de rien que l’on connaisse la vérité, toute la vérité, jusque dans les détails. Les gens peuvent avoir raison d’envisager en mensonge sans avoir les éléments décrivant la vérité dissimulée. Dans ces cas, la lucidité est du côté modeste ignorant, suspect étant le côté bavard ayant tout organisé de manière suspecte. Mais l’auteur se prétendant expert n’y a rien compris. Les « complotistes » ayant envisagé que le Rainbow Warrior avait été dynamité par les gouvernants français… n’avaient évidemment pas connaissance du modèle de bombe, du nom et de l’adresse des agents secrets, ils ne pouvaient que questionner dans le doute, et ils avaient entièrement raison, contre les menteurs jurant des milliards de détails mensongers… Cet auteur est décidément un escroc, je dois vraiment me forcer à ne pas refermer ce torchon là, avec colère pour l’argent volé, enrichissant ce voleur/menteur (ou « imbécile », comme il dit des gens insoumis à lui-même).
  Page 70, avec un violent point d’exclamation, l’auteur dénonce que les complotistes Internet osent aller jusqu’à attribuer au complot américain l’attaque japonaise de Pearl Harbour en 1941 (!). --> Eh bien non, ce n’est pas un délire post-moderne d’illuminés informatiques disant n’importe quoi : les historiens ont depuis des décennies (davantage qu’un demi-siècle ?) des doutes très sérieux à ce sujet. J’ai lu dans les années 1980 plein de livres sur la guerre du Pacifique et (au moins) un sur Pearl Harbour. Le Président Roosevelt en 1939-41 était très fâché que son opinion publique soit isolationniste alors que lui voulait se lancer dans la guerre européenne avec la Grande Bretagne. Les services de renseignements étasuniens (« espions » normaux, comme partout) au Japon n’étaient pas nuls aveugles incompétents, et ils ont signalé l’opération agressive en préparation, mais le Président avait besoin d’un prétexte pour entrer en guerre, donc il semble avoir préféré laisser faire l’attaque (sans aucunement prévenir les militaires ciblés) que la prévenir en montrant les dents et criant diplomatiquement. Ce n’est pas certain, cela ressemble immensément à ce qui s’est passé, c’est tout, et les deux versions sont incertaines. Mais l’auteur Reichstadt trouve immensément aberrant d’oser imaginer qu’un mensonge d’état ait pu exister aussi loin en arrière que 1941. Pourquoi ? Parce qu’il emploie un point d’exclamation pour « prouver » combien il dit la vérité incontestable. Nullard prétentieux…
  Page 70 encore, l’auteur compare les complotistes à la « secte négationniste ». --> En France, cela vaut condamnation, les sectes étant illégales pourchassées par le pouvoir comme intoxiquant les adeptes, mais… dans plein de pays, les sectes protestantes sont des religions officielles, et il est reconnu que les « grandes religions » comme chrétienté et islam ont commencé par être des sectes avant de gagner en popularité. Mais pour l’insulteur chronique qui a écrit ce livre, ce petit mot glissé discrètement contribue à discréditer l’ennemi qu’il combat.
  Page 71, l’auteur affirme que sous les apparences de la critique, les complotistes (concernant l’attentat newyorkais du 9/11, 11 septembre 2001) en réalité pratiquent la négation de l’esprit critique. --> C’est simplement faux : les aberrations en jeu, mises au secret-défense, suscitent question qui est simplement œuvre d’esprit critique, quand gober la diabolisation officielle des seuls Islamistes sans oser réfléchir est la négation de l’esprit critique. L’auteur clame l’exact contraire, sans argument aucun. Des arguments, moi j’en donne : pourquoi les images civiles de caméras-surveillance proches du Pentagone (montrant le prétendu attentat par 3e avion, sans laisser de trace) ont-elles été confisquées et sont-elles interdites de divulgation au public ? Pourquoi sur le site des Twin-Towers est tombé un 3e immeuble (non touché par avion), celui où étaient archivées tous les documents concernant les affaires de corruption politique en cours ? Est-il faux ou « simple coïncidence » (suspecte) que les employés israélites des Twin-Towers étaient ce jour-là absents pour fête religieuse ? (Le Mossad et Israël tirant grand bénéfice diplomatique et militaire du renouveau de haine étasunienne anti-islamiste, l’islamisme – dit terroriste atroce – restant la seule force antisioniste depuis l’effondrement de l’URSS). Tout ça est bien sûr caché, pas divulgué, par l’auteur sioniste actif.
  Page 72, un paragraphe « à qui profite le crime ? » aurait pu être intéressant, puisque les attentats dressent le monde contre leurs auteurs prétendus pour s’allier à Israël (et approuver son refus d’obéir aux résolutions ONU sans sanction d’aucune sorte). Mais l’auteur dit que c’est une manœuvre grossière de tromperie. --> Il n’empêche, ça remplace l’aberration contre-productive inexpliquée incroyable par une vraie logique plausible, ça ne s’écarte pas (honnêtement) d’un revers de main, avec moult crachats de propagande.
  Page 74, l’auteur « prouve » idiot le principe du profit-explicatif en « ridiculisant » (comme pervers) Etienne Chouard disant que les banquiers juifs français tirent profit de l’antisémitisme (!) --> C’est faux : ce que je vois, sans avoir lu ce texte-là de Chouard m’avait conduit à exactement la même conclusion – les Juifos jouissent de la rancœur que leur domination raciste suscite et qui leur apporte toujours davantage de privilèges en prétendue réparation (contre la prétendue « haine raciste antisémite » totalement injustifiée).
  Page 76, l’auteur se gausse que les complotistes aillent jusqu’à délirer que les décapiteurs islamistes soient des agents du Mossad (!). --> C’est un simple manque de culture livresque de l’auteur. L’histoire de l’espionnage regorge d’agents doubles, faisant semblant d’être les plus zélés d’un camp alors qu’ils font tout pour discréditer ce camp, travaillant secrètement pour « en face ». Inimaginable pour l’auteur, abruti (ou innocent à 8 ans d’âge mental).
  Page 76 encore, l’auteur classe ridicule et obscène tel propos complotiste. --> En matière d’insulte, on pourrait lui retourner la même chose au moins, quand il aurait interdit le doute sur la version officielle de l’explosion Rainbow Warrior. Insulter dispense de réfléchir, apparemment, pour l’auteur, alors je le traiterai de gros couillon puant d’autosatisfaction erronée, na.
  Page 79, l’auteur prend pour preuve de fausseté du complotisme le fait qu’il y ait des versions contradictoires pour démentir la version officielle ! --> C’est une faute de raisonnement. Oui, les différentes théories imaginatives prétendant remplacer le dire officiel ne peuvent pas être toutes vraies à la fois quand elles sont contradictoires, mais ça n’empêche en rien que la parole officielle soit mensongère (que la vérité soit une des thèses complotistes en compétition ou encore autre, non imaginée). Mais non, puisque certains complotistes affirmatifs ont tort, l’auteur en extrapole (vertigineusement) que tous les complotistes ont forcément tort, y compris les sceptiques n’affirmant rien. C’est logiquement idiot ? absolument mais l’auteur s’en fout : il monologue sans donner droit au lecteur d’objecter, c’est facile ! (autant qu’intellectuellement malhonnête).
  Page 79, l’auteur clame que les complotistes comme l’antisioniste Dieudonné et « compagnons de doute » exonèrent des criminels. --> Bien sûr, lui auteur sioniste n’envisage pas une seule seconde exonérer des criminels comme les massacreurs terroristes de Palestiniens en 1948 avec plein succès (et plein appui occidental depuis lors). Il s’agit de diaboliser l’ennemi, aucunement d’envisager procès honnête de tous les coupables, c’est ça un livre « engagé » ! (simplement malhonnête sciemment aveugle).
  Page 82, l’auteur clame que la mauvaise foi est un trait propre aux complotistes. --> Bien sûr, il ne lui viendrait pas à l’idée que la mauvaise foi existe dans le fait d’ « oublier » que le terror bombing allié 1944 était terroriste, que la victoire sioniste 1948 faisant s’enfuir des millions de Palestiniens terrorisés par les massacres était terroriste… Non, par principe, la mauvaise foi c’est autrui, l’auteur étant à la fois le plus honnête du monde et le plus intelligent de l’Univers. Stupéfiant (de malhonnêteté intellectuelle)…
  Page 83, l’auteur parle de ce que méprisent les complotistes : les preuves scientifiques et infalsifiables. --> C’est un grand cri de foi scientiste, simplement idiot philosophiquement : la science (expérimentale) ne dit en rien la vérité infalsifiable, mais exprime un consensus temporaire entre leaders manœuvriers, souvent sans lien honnête avec les expériences (cf. « Contre la méthode. Théorie anarchiste de la connaissance » de Paul Feyerabend). Mais l’auteur incompétent s’allie à tous les pouvoirs abusifs, « la fin justifie les moyens » sans doute, hélas.
  Page 86, l’auteur « prouve » sa beauté morale en expliquant que les complotistes ont tenté de cacher la vérité objective du bombardement chimique en Syrie 2018. --> Bien sûr, il ne lui vient pas à l’idée qu’il fait bien pire lui en étant allié des mensonges occidentaux sur le Traité de Non-Prolifération Nucléaire, exigeant noir sur blanc le désarmement nucléaire total et de bonne foi. Non, les méchants ce sont les complotistes, lui et ses alliés nucléairement armés (illégalement) c’est le bien pur… Continuer à lire cette merde est vraiment pénible… (Au passage, j’ai découvert vers 2018 dans un livre d’historien britannique ce que les archives secrètes avaient caché durant des décennies : les seules bombes chimiques ayant tué en 1939-45 étaient alliées, étasuniennes, mais chut, il faut pas le dire, ce qui compte c’est la parole officielle grandiose et admirable… et il ne faut bien sûr pas écouter les témoignages et rapports longtemps secrets, interprétés n’importe comment par les complotistes, les lisant au premier degré en oubliant La Vérité officielle !)…
  Page 87, l’auteur dénonce comme absurde la thèse d’un complot américano-sioniste. --> Bien sûr, selon l’auteur, il est absurde d’oser imaginer que les USA posent systématiquement leur veto à toutes les motions ONU punissant le non-respect israélien des exigences officiellement votées par le monde (autoriser le retour des millions d’expulsés palestiniens notamment), et si le livre étasunien « le nouvel antisémitisme » disait que les attentats 9/11 contre les USA avaient pour principal justificatif leur alliance étroite à Israël, ça n’en fait en rien une évidence. Enfin, certes, ce n’est pas un « complot » au sens de secret en cachette, c’est affiché publiquement, fanatiquement, racistement : haine des Arabes et des Amérindiens, préférence fanatique envers les Juifs élus de Dieu dans l’Ancien Testament (tellement sacré pour les fanatiques chrétiens protestants étasuniens se disant nouvelles tribus d’Israël appelées par Dieu à massacrer les Amérindiens comme les Hébreux l’ont fait avec les Cananéens), et leur micro-minorité israélite est très puissante, le lobbyisme étant là-bas entièrement légal, finançant les élections avant retour sur investissement par favorisation explicite [il y a aussi des athées et agnostiques aux USA, mais pas organisés en groupe d’influence, et la devise nationale reste « En Dieu nous croyons » tandis que le Président de la République prête serment sur La Bible]. Ce sionisme étasunien a le plein soutien des leaders occidentaux unanimes, français notamment (gauche-centre-droite), déguisés en laïcs pour les naïfs… Cette vaste entreprise politico-religieuse est presque officielle et ne serait-ce que hausser un sourcil est sévèrement puni (et interdit d’expression, hors d’Internet) comme injustifiable haine antisémite… Juste une précision : la « supériorité » des Juifos n’est absolument pas une très grande intelligence mais une pourriture dominatrice sans vergogne (mais les juifas non juifos sont innocents – les nazis se sont trompés de colère, gravement, au plus grand bénéfice des sionistes obtenant Israël en réparation prétendue).
  Page 89, l’auteur dit que la version officielle est toujours la Réalité factuelle, les faits objectifs, stupidement rabaissée au rang d’autre version par les complotistes. --> Et pour le Rainbow Warrior, le bla-bla gouvernemental valait-il Réalité factuelle et faits objectifs ??? Ce n’est pas de la pensée argumentée, c’est de la propagande pur jus. Le principe de l’objectivité est que quiconque partage le jugement en question, il n’y a pas objectivité dès lors qu’il y a désaccord – mais pour l’auteur, les « complotistes » ne semblent pas compter comme humains à part entière, ce ne seraient que des chiens (comme disait Jésus-Christ des goys !) ou des singes (comme disait l’Apartheid des Noirs), ce livre ne mérite vraiment que la poubelle, direct – que j’ai payé pour lui, participant à son prétendu « succès », est du vol pur et simple, de la tromperie mensongère. En termes de réflexion argumentée, c’est du « faux et usage de faux ».
  Page 89 encore, l’auteur ajoute qu’est suspectée la parole officielle même quand elle est conforme à la réalité des faits. --> C’est un cri de foi réaliste absolument nul en pouvoir de conviction. Cela se base sur la fraude illogique de la pensée cartésienne, prétendant prouver la Réalité par une suite de confusions aberrantes et d’actes de foi partisans interdisant le doute arbitrairement. C’est nullissime, donc publié, puisque servant Israël comme d’habitude (contre l’honnêteté intellectuelle).
  Page 91, l’auteur dit que pour les complotistes, les petites imperfections normales de la parole officielle vraie sont aussi fortes que des preuves d’Ecriture sainte. --> Eh, imbécile, tes prétendues écritures saintes sont esclavagistes génocidaires abominables, exemptées incroyablement des exigences légales de par la pourriture active des législateurs (et rédacteurs des Droits de l’Homme prétendus universels). Si tu adores ça comme fabuleux, n’impose pas cette pourriture aux gens pensant différemment (dont moi-même).
  Page 92, l’auteur parle de « cette vieille passion française qu’est l’antiaméricanisme paranoïaque ». --> Apparemment, il n’a pas entendu parler des Wikileaks, un renégat étasunien révélant les rapports d’espionnage étasunien organisé à l’encontre des prétendus alliés. Non, les USA sont le Bien pur pour lui, surtout New York première ville juive du monde, j’attends le passage où il dira que cet antiaméricanisme est antisémite… [en relecture, j'ajoute qu'effectivement ce sera écrit plus loin dans cet ouvrage...]
  Page 94, l’auteur classe comme incontestables les attentats islamistes du 9/11, la rotondité de la Terre, le réchauffement climatique, la réalité des chambres à gaz nazies, le premier pas de l’homme sur la Lune. --> Ce mélange semble stratégique : la loi Gayssot rendant en France illégal (et puni de prison) d’oser douter du dogme sacré sur les chambres à gaz, il escompte obtenir le même traitement pour ses autres prétendues vérités, leur contestation n’étant selon lui pas seulement aberrante stupidissime mais criminelle ! C’est là œuvre de dictature contre la liberté d’opinion, l’auteur l’assume puisqu’il prétend détenir la seule et unique Vérité. La Nouvelle Inquisition est lancée, dans la lignée du stalinien sieur Gayssot… Au passage, je signale que des chambres à gaz ont pu être employées pour décontaminer des corps décédés du typhus, avec verrous de non-ouverture accidentelle comme tout autoclave pour bactéries immobiles, ce n’est pas tant l’existence de chambres à gaz qui est douteuse que l’extermination génocidaire de vivants. Pareil pour le réchauffement climatique : ce n’est pas tant la variation de climat qui devrait être l’objet de débat que son caractère totalement exceptionnel et imputée avec totale certitude au CO2 d’origine humaine – ce qui est massivement contesté par des scientifiques interdits de parole comme « sales complotistes » osant nier la véracité incontestable de la parole dominante (vraie puisque dominante donc s’affirmant vraie indubitable)...
  Page 94 encore, les propos de la variante officielle valent rappel selon l’auteur, rappel de la Vérité vraie indiscutable bien connue indubitable. --> C’est aussi nul qu’un maoïste « rappelant » les « évidences » du petit livre rouge de Mao, ou qu’un ayatollah « rappelant » les « évidences » du Coran chiite. J’appelle plutôt ça « répétition servile » de thèse contestable. Mais l’auteur est un militant activiste intolérant, pas un penseur autorisant le doute, pas du tout.
  Page 95, l’auteur se classe parmi ceux qui travaillent sérieusement sur le réel quand les complotistes sont des marchands de doute dans l’imaginaire. --> C’est une accusation de cupidité financière pour les gens ne pensant pas comme lui, alors que c’est lui qui fait du fric avec ce bouquin, il n’a pas peur de la contrafactualité ! Et bien sûr, il s’accorde (avec ses partisans) le monopole du sérieux et de son sacro-saint Réel (en oubliant de réfléchir à l’idiotie de ceci, un choix arbitraire étant pris à tort pour évidence universelle chez les gens doués de raison).
  Page 97 est abordé le mensonge sur les armes de destruction massive irakiennes. --> Incroyablement, l’auteur n’en tire aucune conclusion comme quoi les complotistes avaient là raison de douter, il retourne ça en sens inverse pour dire que les gens croient vraiment n’importe quoi et c’est ce qui fait l’incroyable succès des complotistes. Pirouette verbale, passant à côté du sujet, je ne suis pas dupe.
  Pages 97-99, l’auteur aborde le négationnisme qu’il classe en haine des Juifs et thèse du complot mondial propre à la race juive. --> Encore une fois, il a oublié de réfléchir avec discernement pour balancer sa haine des sceptiques résistant au dogme qu’il veut imposer (avec ses copains sionistes). Pourquoi les prétendus camps d’extermination avaient-ils des bâtiments pour protéger du froid mortel les « à exterminer » ? Non, interdit de questionner, il faut gober servilement le dire officiel servant Israël. Et cette domination sioniste n’est pas directement liée à la prétendue race juive (dont les innocents juifas non juifos), ce n’est qu’un choix politique des excités juifos, dominateurs écraseurs, qu’ils suivent à la lettre les injonctions religieuses en ce sens ou ne retiennent que cela de la religion sans croire en Yahvé.
  Page 100, l’auteur emploie le mot de « théoricien du complot » à la place de complotiste. --> Ça me rappelle plus haut des mots peu clair parlant de « théorie du complot », qui m’ont paru embrouilleurs sans intérêt, cachant le problème de mensonge gouvernemental éventuel. Enfin, à la réflexion, ça explique peut-être ce qu’il disait des fausses preuves concernant les armes de destruction massive irakiennes : ce n’était pas un complot, ça, puisque les officiels y croyaient. A mon avis ce n’est en rien le problème, c’était un cas où on donnait tous les torts aux prétendus complotistes alors qu’ils avaient raison de douter, l’avenir allait le prouver rapidement. Mais non, l’auteur embrouille tout avec ses classifications complexes et mots artificiels, pour cacher que le pouvoir ment souvent et que le doute à son encontre est souvent judicieux (c’est le contraire absolu de sa thèse, alors il faut vraiment embrouiller pour ne pas que ça se voie…).
  Page 100 encore, l’auteur clame « c’est faux » à propos de la croyance complotiste selon laquelle les vaccins causent de l’autisme. --> Encore une fois, il n’a rien de rien compris à la science (la vraie, pas son bla-bla psy à la con). Ce qu’il y a c’est que, à l’heure actuelle, ce lien de causalité n’a pas été établi, peut-être parce que l’échantillon considéré était trop restreint. Rien, absolument rien, ne garantit que cette causalité ne sera pas prouvée dans 100 ans, valant pour notre temps présent sans qu’on l’aie vu. Il ne fallait pas dire « c’est faux » mais « ce n’est pas démontré ». Et la science mal comprise produit des horreurs illogiques au grand profit des industriels (et de leurs financiers surpayés, mais il ne faut pas le dire, l’auteur classerait ça en antisémite) : le « pas démontré mauvais » est à tort affirmé « prouvé bon ». Je l’ai vu cent fois à mon travail (en m’interdisant de le prouver faux par écrit) et jusque dans les « normes qualité » internationales. La bêtise et le mensonge règnent. L’auteur baigne dans ce contexte malhonnête comme un poisson dans l’eau (il n’est même pas sûr qu’il l’ait compris, s’il est nul en maths, lui, seulement blablateur superficiel)…
  Pages 100-102, l’auteur embrouille encore par une analyse biaisée. Il veut démontrer que les électeurs de Trump victorieux sont surtout des complotistes, et il cite les croyances des deux camps sur les secrètes interférences russes dans la campagne américaine, ce que la Maison Blanche a elle-même reconnu, ajoute-t-il. --> Au passage, hop, il a escamoté la saine lecture inverse : la Maison-Blanche a juré que ces accusations d’interférences russes étaient du délirant complotisme, avant que finalement (devant l’avalanche de preuves trouvées par les enquêteurs non autorisés) il soit reconnu que c’était vrai donc que les dénégations outragées constituaient un vaste mensonge d’état, organisé. Ben non, il ne le dit surtout pas ainsi puisqu’il veut affirmer le contraire, au mépris de la plus élémentaire honnêteté intellectuelle.
  Page 103, nouveau tour de passe-passe : l’auteur explique que si les mensonges du président Trump sont évidents, c’est que les complotistes ont pris le pouvoir ! --> Bien sûr, il ne lui viendrait pas à l’idée de noter que les mensonges de la présidence Trump ne sont qu’un cas comme les autres des mensonges d’état dénoncés par les complotistes. Non, il blablate avec virtuosité pour se donner raison contre l’évidence. Comme, dans un livre, il a le monopole de la parole, c’est facile, mais un contradicteur en face le mettrait minable, dans un débat (sans journaliste servile ne visant que la promotion du livre).
  Pages 104-107, l’auteur explique sa contradiction, disant que des complotistes comme Trump pratiquent une version fausse perverse de l’anti-complotisme, mensongère. --> L’auteur n’a simplement rien compris au problème : quand un gouvernement affirme la prétendue vérité et crie au complotisme contre ceux qui doutent, comment savoir si c’est une vérité et un vrai complotisme absurde, ou bien une fausse vérité et une opposition pertinente ? Tout le problème était là, que je signalais depuis la première ligne de ce site, mais l’auteur a pendant 100 pages déversé sa haine contre ceux osant douter de la parole officielle, sans qu’il comprenne le problème. Et puisqu’il fait du cas Trump une sorte d’ « exception qui confirme la règle », il n’est même pas sûr qu’il a compris à ce stade et va procéder à un revirement à 180 degrés (s’il l’avait fait : en relecture, il aurait intégralement réécrit ses 100 premières pages, en sens inverse, et changé titre + sous-titre).
  Page 108, un tournant semble pris toutefois. D’abord la phrase célèbre citée est à double-sens : « la répétition ne transforme pas un mensonge en vérité ». --> Les gouvernants peuvent l’envoyer comme une grande baffe à la face des complotistes répétant que les gouvernants mentent, mais les prétendus complotistes peuvent l’envoyer comme une grande baffe à la face des gouvernants répétant que les complotistes mentent… C’est aussi nul que « j’ai raison puisque j’ai raison », la question restant inchangée « est-ce que j’ai raison ? ». Mais le très fier auteur ne critique pas ses sources, il prétend incarner la raison contre la bêtise, le pauvre, bêtement…
  Page 108 encore, il explique que les méchants gouvernants chinois appellent complot leurs opposants démocrates révoltés, complot prétendument financé par l’étranger. --> Ce n’est pas une bêtise de régime haïssable mais pourrait être une lucidité pertinente. Il est notoire que les USA ont financé et armé les rebelles islamistes en Afghanistan contre l’intervention russe en faveur du régime en place. Il est tout aussi notoire que le parti d’opposition Front National en France avait la plus grande amitié envers la Russie qui l’aidait financièrement. Les manœuvres internationales peu avouables semblent monnaie courante et les suspecter n’est pas une faute lourde, au contraire des leçons de ce mauvais livre.
  Page 110, le mot de populisme est lâché : les gouvernants méchants accusant malhonnêtement leurs opposants de complot sont non seulement les dictatures mais aussi les gouvernements populistes. --> Evidemment, donner le pouvoir au peuple (anti-Elite donc classé antisémite par les Juifos) est insupportable au camp républicain de l’auteur et ses confrères, entendant bien doubler le peuple en prétendant le servir, par mensonge organisé et interdiction de l’expliquer (interdiction sévère du soi-disant antisémitisme)… Heureusement pour l’auteur (je pense), le prétendu populiste Donal Trump s’est avéré plus sioniste encore que ses prédécesseurs, pour favoriser l’annexion totale en Israël de Jérusalem entier et la Cisjordanie… Ça n’a rien de rien à voir avec une volonté des humbles étasuniens donc dément totalement le label populiste concernant Trump, mais il ne faut surtout pas l’analyser pour l’auteur, ce serait mettre en danger le triomphe sioniste disant merde au monde (monde classé antisémite, bien sûr, ça fait partie du plan organisé – mais ouvertement, pas secrètement).
  Pages 110-113, nouveau tour de passe-passe périlleux pour l’auteur : il explique que les USA soutiennent activement les mouvements de protestation (sur place) contre les dictatures, puis il déclare aberrants les dictateurs clamant que les révoltes viennent de complots organisés par les USA. --> Il n’y a aucune logique dans cette approche : ce n’est pas que par principe le gouvernement dit vrai et les méchants anti-gouvernants sont des idiots complotistes, c’est que par principe les méchants sont les complotistes (qu’ils soient ennemis des gouvernants en pays occidentaux, ou qu’ils soient au gouvernement dans les pays pas encore occidentaux – pas encore alliés à Israël Etat Juif)… C’est un ouvrage de mauvaise foi totale, militant engagé, n’importe comment (sur le plan logique), pour faire politiquement triompher sa cause, raciste anti-goy (sauf « justes » bien soumis à Israël et la diaspora Juifo).
  Page 115 (enfin, « environ » car ça commençait le haut de page 115 alors que débuté page précédente, mais quand je retourne en arrière pour voir si la précédente s’appelait 114 ou 113, le texte se retrouve en bas de page 115, ce format Kindle n’est pas au point, à ce jour), il est affirmé que les révolutions colorées encouragées par les USA ou Occidentaux ne visaient que la démocratie. --> C’est faux, malhonnête : le but n’est pas le pouvoir au peuple (jugé antisémite) mais la république, avec pouvoir aux élus, minorité majoritairement juifo ou juifophile. Après les très multiples révolutions récentes, dites démocratiques, la Suisse reste le seul pays au monde à posséder le référendum d’initiative populaire, mettant au pas les élus trahissant la population… Enfin, dans le cas des révolutions arabes, les Juifos n’ont pas pris le pouvoir à la place des tyrans antérieurs mais là où les Islamistes palestinophiles sont parvenus au pouvoir, c’est exclu de la sphère démocratique pour être qualifié d’Islamo-fascisme (antisémite)… L’auteur semble n’avoir aucune lucidité sur le sujet, volontairement car la lucidité et l’honnêteté sont parmi ce qui est classé antisémite.
  Page 118, l’auteur se gausse des anti-américains prétendant que les USA, quels que soient leurs gouvernants après élection libres, sont les otages de la finance internationale (judéo-dominée ?) ou du sionisme international ! --> C’est pourtant un constat documenté : gauche et droite américaines sont farouchement sionistes, alliées indéfectibles d’Israël contre le reste du Monde (hors Occident, à dirigeants tous juifos ou juifophiles). Outre l’importance cruciale des finances du lobby sioniste aux USA, il y a la tradition historique selon laquelle les Etasuniens protestants se veulent les nouveaux Juifs du monde, ayant conquis/massacré avec approbation divine leur Terre Promise à eux. Bien sûr, une minorité d’Etasuniens est antisioniste, mais elle est classée haïssable comme dans le film « La main droite du diable » faisant (discrètement) l’amalgame avec le Ku-Klux-Klan raciste massacreur (les tueurs antinoirs y maudissant au début les dits sionistes, sans précision).
  Page 119, l’auteur se gausse des Russes ayant osé appeler « provocation » le « prétendu » emploi de bombe chimique en Syrie. --> C’est une lecture partisane convaincante en rien de rien. Il y a deux thèses a priori équiprobables : soit le gouvernement syrien a bombardé chimiquement telle ville, soit les opposants au gouvernement ont dispersé des armes chimiques pour que les maîtres du monde s’offusquent et interviennent contre le gouvernement prétendu coupable de cela. Trancher entre les deux n’est nullement affaire d’idiotie mais évacuation arbitraire d’hypothèse plausible (les traces de poison chimique ne les départageant pas). L’auteur ne comprend rien à rien, il prétend détenir la vérité sur tout, sans envisager que cela relève de sa croyance personnelle seulement (ou celle de son groupe, dominant certes).
  Page 123, l’auteur se plante, mais discrètement et le lecteur inattentif n’y verra que du feu : il « prouve » impossible que tel opposant russe à Poutine (haï par l’auteur) ait été tué (par d’autres que les agents de Poutine) pour son soutien à Charlie Hebdo. car les tueurs musulmans le suivaient depuis avant-même les attentats de Charlie Hebdo en 2015 ! --> Faux. La télé l’a répété l’autre jour au sujet du procès 2020 des complices de l’attentat 2015 : les caricatures insultant l’Islam ont été publiées par Charlie-Hebdo une dizaine d’années avant l’attentat, donc avoir soutenu cette publication peut être jugé comme offensant bien avant 2015. Mais si je n’avais pas entendu rappelée cette chronologie l’autre jour, j’aurais gobé le mensonge de l’auteur, sa fausse preuve (enfin non : d’après ses dires à lui, le concept « fausse preuve » est exclusivement quelque chose de propre aux complotistes…).
  Page 124 figure le mot « militants des droits de l’homme » comme magnifiques ennemis des maudits complotistes. --> C’est simplement mal pensé. J’ai démontré nullissime criminelle la Déclaration dite Universelle de 1948 (alliée aux xénophobes et aux esclavagistes religieux etc. sans l’avouer bien sûr). Mais l’auteur agite les prétendues « grandes valeurs » chères à la propagande occidentale prenant le peuple pour amas de stupides (racistement jugés « goys donc stupides » ?)… Je désapprouve, je résiste, j’ose résister à ce déchainement de haine insultante, mal pensée.
  Page 126 l’auteur explique que l’horreur d’employer des armes chimiques s’est faite en prétendant lutter contre Israël, par un gouvernement ouvertement antisémite. --> C’est très logique pour l’auteur puisque selon lui Israël c’est le Bien absolu et anti-Israël c’est le Mal absolu. Sans songer aux israéliennes horreurs racistes anti-arabes de Der Yassin, Haïfa et autres, le terrorisme israélien ayant gagné, il ne doit selon l’auteur pas davantage être contesté que le terrorisme étasunien massacreur d’Amérindiens. On n’accuse de génocide et crime de guerre que les perdants, pas les triomphateurs écrivant l’histoire. L’honnêteté intellectuelle et morale est simplement ailleurs… Je souffre, à lire ce recueil d’imbécilités immorales, mais sur un total annoncé de 187 pages, je pense pouvoir finir quand même.
  Page 128, l’auteur fustige le complotisme de diversion, détournant les accusations prouvées par des contre-accusations farfelues. --> Certes, l’auteur est un grand spécialiste en la matière : quiconque le prouvera nul sera accusé d’être antisémite atroce… (ou pour moi peut-être : malade mental « juif antisémite », ou « pervers mauvais-juif » ni endogame ni adepte de synagogue ni soutenant Israël)…
  Page 128 encore, un paragraphe s’annonce contre le négationnisme et la loi Gayssot est mentionnée pour la première fois. --> Bien sûr, je ne doute pas une seconde que le caractère raciste de cette loi ne sera en rien envisagé : elle criminalise le doute envers le génocide juif mais autorise entièrement le doute envers les génocides amérindiens, aborigènes, cananéens, etc. (Et ce n’est pas une question de perfection judiciaire liée au procès de Nuremberg, celui-ci étant un non-sens juridique punissant pour des chefs d’accusation non-définis au moment des prétendus faits – et innocentant totalement le terror bombing allié massacreur de civils et enfants en masse aussi). Au nom de la force de loi venant du « peuple », appuyée par prétendue « justice », forces de « l’ordre », tout un système organisé est en place pour mutiler la liberté d’expression, avec plein et entière complicité de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (ayant approuvé que le législateur mette toutes les exceptions qu’il juge nécessaires à la liberté d’opinion, quelles qu’elles soient – sans envisager que cela légitime toutes les dictatures, sans intelligence critique donc, ou sans honnêteté). Au fait, je me souviens du sous-titre en couverture du livre, disant que la lutte contre le complotisme était un sport de combat : ah, il est beau, ce match, avec l’auteur armé de mitrailleuse lourde et l’adversaire pieds et poings liés ensemble – l’auteur va sans doute gagner, mais est-ce cela un combat loyal ?? A propos du génocide amérindien, il me revient en tête une réflexion : afin de pourchasser les gardiens de camps nazis encore en vie, nonagénaires grabataires, il est souvent rappelé que les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, et… on nous dirait que le génocide des Amérindiens est prescrit ? C’est nous prendre pour des idiots en imposant un truc clairement menteur. La question de date n’a rien à voir dans l’affaire : les massacres de civils et bébés en masse à Tokyo Hiroshima Nagazaki ne font l’objet de rigoureusement aucune poursuite pour crime de guerre ou crimes contre l’humanité [en relecture : oui, l’auteur qualifie de « crime contre l’humanité » les attentats du 9/11 ayant fait six mille morts, pas besoin de millions de victimes], bien que contemporains d’Auschwitz, pourquoi ? La réponse inavouée semble claire, avec la loi en préparation en France (avant l’interruption covid en mars 2020) pour rendre criminel antisémite l’antisionisme : s’en prendre aux USA, soutien principal (diplomatique et militaire) du sionisme, serait clamé antisioniste donc antisémite, là est l’horreur criminelle contre l’humanité, pas ailleurs ! Avec totale approbation des leaders d’Occident, prétendant parler au nom de leurs peuples, que les « en colère » font alors exploser par bombes kamikazes, oui cette affaire de domination sioniste est un gigantesque problème, tueur sans le dire. C’est le contexte de la loi Gayssot au-delà de son écriture par manœuvre politicienne (le parti communiste français voulant stopper l’hémorragie de ses électeurs populaires vers le Front National dit, à l’époque, antisémite négationniste comme presque tout le « vil » peuple goy)…
  Page 131, après avoir affirmé que la Shoah est totalement indubitable, l’auteur affirme qu’elle est prouvée scientifiquement. --> C’est un nouveau cri de foi scientiste n’ayant rien compris au fait que la science honnête ne prétend pas détenir la vérité mais constitue une opinion de puissants leaders. Par ailleurs, la science historique est une science humaine, c’est-à-dire du bla-bla prétendument explicatif à valeur prédictive nulle, ce dont la scientificité est éminemment contestable.
  Page 131 encore, la Shoah est clamée incontestable, le doute insultant les survivants. --> Au contraire, la multitude de ces survivants (dont plein ont été pendant des années entières en camps dits d’extermination) montre immensément douteuse la version officielle. Cela ressemble plutôt à la mort en masse d’Amérindiens se laissant majoritairement mourir en camps d’esclaves. Oui, l’esclavage est une horreur criminelle (mais il ne faut pas trop le dire, car ça condamne la Torah sacrée donc c’est classé antisémite de le dire), mais le roman d’extermination serait faux, calculé pour réparation pour recréation d’Israël en réparation (même si les expulsés palestiniens n’y sont pour rien…). Des atrocités racistes pro-juives semblent marquer puissamment le sujet, interdites de dénonciation, par la loi, imposée au peuple suspect d’antisémitisme par la prétendue élite… (en interdisant évidemment le référendum contestataire d’initiative populaire, contraire à l’esprit républicain, esprit dominateur tout pourri secrètement antidémocratique). Par ailleurs, il est effarant que l’insulte envers certains ultra-spécifiquement soit criminalisée : Dieudonné insultant le judaïsme est condamné pour haine antisémite, mais Charlie-Hebdo insultant l’Islam est soutenu par tous les politiciens et médias français comme géniale incarnation du droit à se moquer vivement en choquant les coincés ; quant à l’insulte envers le Christianisme et ses martyrs elle est vue avec indifférence, permise mais pas glorifiée car ne s’en prenant pas aux ennemis d’Israël (donc sans intérêt pour la propagande juifo aux commandes ?).
  Page 131 toujours a lieu une grande entreprise d’intoxication, pour affirmer que les antisémites affirment tous les juifs menteurs. --> C’est de la confusion mentale, certes organisée. Le mot juif est un amalgame aberrant (idem en Anglais et peut-être dans toutes les langues) : entre une origine hébraïque totalement innocente et un racisme anti-goy coupable. Certes les anti-juifas (racistes) se trompent de colère en insultant quelques innocents au milieu d’une masse coupable, mais la lucidité consisterait à discerner les coupables des innocents, ce dont dissuade le dictionnaire (et les systématiques hurlements criant à l’antisémitisme anti-juifas innocents si l’on critique les juifos).
  Page 133, l’auteur dénonce l’aplomb inouï des négationnistes de la Shoah. --> Certes, c’est comme l’aplomb inouï des résistants sous l’Inquisition, refusant de se soumettre à la dictature même sous la menace violente des dominants organisés (pour martyriser la liberté d’opinion – et a fortiori la liberté de prouver en tort ces dominants). Moi je suis estomaqué par la loi Gayssot : ainsi il est entièrement légal de vénérer avec acclamations l’extermination des Cananéens bébés compris pour former Israël, mais douter (sans rien approuver) au sujet de l’extermination volontaire systématique des Juifs est puni de prison ! Ah oui, les législateurs ont eu un aplomb inouï de voter ces imbécilités, et les gouvernants successifs ont eu un aplomb inouï d’approuver ça entièrement. Il me semble là l’aplomb inouï. Certes, chacun son ressenti, son opinion, mais mon opinion est punie de prison quand l’opinion de l’auteur fait emprisonner, c’est légèrement différent… Et signaler la manœuvre (juifo dominatrice) est en lui-même condamné, c’est très horrible, mais hélas vainqueur (sauf résistance palestinienne/islamiste, dite terroriste atroce).
  Page 133, l’auteur classe par principe le révisionnisme en imbécile. --> Eh, avec cette « logique », toutes les évolutions scientifiques (révisant les anciennes théories dominantes) auraient été bannies, ce qui aurait cloué au pilori Darwin, Pasteur, Mendel, Einstein… Non, Einstein (et d’autres ?) étant juif, lui était supérieur aux maudits goys dominant avant (pour l’auteur, combattant-armé de « l’antisémitisme »). Je soupire, je pleure, que faire ? Abandonner cette lecture atroce ?
  Pages 133-135, l’auteur s’attaque au complotisme autour de l’attentat contre le musée juif de Belgique en 2014, ayant tué 4 quinquagénaires juifs, et il s’offusque que ces complotistes aient osé dire que cet événement n’avait rien à voir avec l’antisémitisme. --> Je ne suis pas d’accord : l’antisémitisme est une haine raciale anti-juifa (s’attaquant aux bébés, aux convertis antisionistes d’ascendance juive, etc.), tuer des juifos est au contraire un meurtre politique, ce qui est excessif aussi mais il ne faut pas se tromper de diagnostic, c’est trop grave. C’est comme à Paris 2015 l’attentat de l’hyper-casher : ceci n’est pas antisémite car la pratique casher est un sous-élément des choix juifo, racistes anti-goy ; peut-être que le tueur se trompait de colère en voulant tuer des juifas et disant racistement sale race, mais peut-être aussi bien qu’il était palestinophile voulant tuer du sioniste (et autre communautariste dominateur). Mais peu importe pour l’auteur : il ne cherche pas la lucidité, au contraire, il veut tirer à boulets rouges sur les ennemis de la domination juifo. Et si cette injustice outrancière attise la haine anti-juifo, c’est tout bénéfice : cela permettra d’obtenir doublement encore des lois pourries favorisant les juifos, combattant le prétendu antisémitisme (anti-juifa donc injuste). Ce n’est pas un brillant tour de passe-passe, c’est une malhonnêteté absolue interdisant de parole les esprits lucides (ceux qui ne sont pas encore emprisonnés, du moins)…
  Page 136, l’auteur se gausse de la contradiction d’affirmer « payé par l’Occident » un tueur djihadiste. --> Il a juste oublié qu’en Afghanistan, les USA ont armé autant que possible les djihadistes puisqu’ils s’opposaient aux communistes. Qu’il y ait eu retour de bâton partiel ou total est envisageable, mais l’idée de collusion ou agent-double n’est en rien absurde.
  Page 138, l’auteur clame que le complotisme (au sujet des crimes terroristes) est lui-même un crime terroriste, comme le négationnisme (au sujet de la Shoah) est lui-même un acte génocidaire. --> Bien sûr, il ne lui vient absolument pas à l’idée que le sionisme et la reconnaissance d’Israël Etat Juif est un massacre raciste de Palestiniens puisqu’approuvant les massacres 1948, non, ça n’a rien à voir. L’auteur et lui seul (et ses copains juifos, ayant le monopole de la parole publiée) ont le droit de généraliser vertigineusement par amalgame. C’est « logique » : c’est pour une « bonne » cause, pour Israël contre les sales goys… Moi j’appelle ça de la mauvaise foi totale, de l’imbécilité profonde si c’est cru sans se rendre compte que c’est un mensonge colossal.
  Page 138 aussi, il est affirmé que les Juifs étaient tués dans les deux à trois heures suivant leur arrivée en camps d’extermination. --> Mais pourquoi y avait-il des bâtiments pour que dorment au chaud les prisonniers ? Pourquoi y a-t-il eu des dizaines de milliers de survivants, ayant vécu là des années ? La réponse est heureusement très simple : il est interdit de poser la question, classée criminelle génocidaire. L’honnêteté intellectuelle ? pas besoin ! Ce qui compte est de dominer, écraser, imposer.
  Page 140, la citation en début de chapitre 5 clame que le complotisme est pathologique, dévoyé. --> Le mot pathologique est parfait ici, expliquant que la plupart des médecins passant à la télé s’appellent Cohen, Lévy, Ben Machin : le concours de médecine en France est une récitation de par-cœur stupide dans une montagne immense d’informations quasi impossible à retenir entièrement, alors ceux qui connaissent les sujets à l’avance (par favorisation intra-communautaire) sont reçus à la place des autres (les sales goys), hop, ça génère puissance et richesse, imparablement. Et il ne faut pas préciser « malhonnêtement », ce serait atrocement antisémite !
  Page 140 encore, l’auteur accuse les jugements pro-complotistes (ou pro-conspirationnistes) d’être flatteurs, aveugles, complaisants, relativistes. --> Oui, le relativisme parait sain, c’est ce qu’on appelle la sagesse et la compréhension, inimaginables pour cet auteur excité forcené.
  Page 141, l’auteur affirme que le conspirationnisme est un dévoiement mortel du doute critique. --> A balancer des grands mots, on peut certes dire n’importe quoi. Par exemple je dirais que le sionisme est un dévoiement mortel de l’innocence juive. Ah mais non, l’auteur me ferait emprisonner pour ça, seul lui et ses copains ont droit d’insulter et condamner !
  Page 141 encore, l’auteur jure qu’il n’est pas partisan de l’interdiction étatique du conspirationnisme. --> Il oublie simplement de reconnaître qu’il s’est félicité de la loi Gayssot mettant en prison les conspirationnistes au sujet de la Shoah. Et pour le reste, il calcule peut-être qu’il suffit que lui et ses confrères dominants crachent leur haine du complotisme en ayant tous les micros : mieux vaut que les complotistes soient ridiculisés sans droit de parole plutôt qu’ils s’expriment en cachette, ce qui pourrait être davantage dangereux, facteur de révolution contre les autorités juifophiles.
  Page 143, l’auteur exprime en clair le plan en place, les dominants se prétendant l’élite écrasant la population, et il dit ça pour affirmer que c’est absurde idiot. --> Il n’a rigoureusement aucun argument pour dénier que ce soit la situation, et il y a une foule de preuves (dans la loi de la république, présente, et en préparation en ce qui concerne la criminalisation de l’antisionisme) pour établir au contraire que c’est avéré.
  Page 144, l’auteur a trouvé magnifiquement la solution pour savoir qui a raison entre complotistes et anti-complotistes : les anti-complotistes expriment la vérité de fait quand les complotistes expriment des opinions (délirantes). --> Magnifique, immenses bravos : cela prouve innocents les services secrets français dans l’explosion du Rainbow Warrior, ça prouve indéniable l’arme de destruction massive de Saddam Hussein, etc. Je ne pense pas que c’est une faute de frappe en ayant oublié de se relire, pour l’auteur, c’est un plaisir orgasmique dans le mensonge et la malhonnêteté intellectuelle (au service du pouvoir sioniste).
  Page 144 encore, l’auteur une nouvelle fois avoue la situation pour dire que c’est une théorie ridicule : les anti-complotistes seraient totalitaires semant la terreur. --> Oui, c’est très exactement ce que fait la loi Gayssot, punissant de prison (et viol en prison) la liberté d’opinion sans violence, ça fait peur, sauf à un « fou » comme moi. Le noter n’est en rien ridicule mais infiniment sérieux, infiniment triste (de voir la malhonnêteté mensongère triompher, avec les grands cris pour La Liberté de croire ou ne pas croire). Et bien sûr cette loi est ultra-sélective : il est entièrement permis de négationner le génocide amérindien, éh on ne va pas rendre la ville juive de New York aux Amérindiens, ce serait odieusement antisémite ! (Mais ce n’est pas un complot secret, la malhonnêteté est criante, affichée en clair).
  Page 146, l’auteur donne des leçons (pour faire étudier le complotisme) aux chercheurs en sciences sociales. --> Bien sûr, il ne lui vient pas à l’esprit qu’il s’agit de faux scientifiques blablateurs volant leur salaire, non : ce sont ses confrères, il entend simplement être leur dominant, leur disant quoi faire, quoi dire avec autorité (abusive mais il n’en a peut-être même pas conscience).
  Page 146 encore, l’auteur qualifie de « sournois » ceux qui ne lui sont pas soumis totalement. --> Il collectionne les défauts prétendus, les insultes, sans argument en débat contradictoire, c’est affligeant. C’est à dégouter du principe livresque (si la télé et ses débats n’étaient pas pire, n’invitant que des sionistes).
  Page 148, l’auteur parle de prescrire « une bonne psychanalyse ». --> Il ne lui vient pas à l’idée que Freud ait été un escroc affirmant vérités indiscutables ses délires d’obsédé sexuel, enseignés des décennies à l’université… Cracher sur Freud, puisque Juif, serait assurément classé antisémitisme. Ce livre est vraiment insupportable, de bêtise profonde.
  Page 150, l’auteur concède que qualifier des contestataires de complotistes n’est pas une totale garantie que ceux-ci ont tort, mais il affirme que sa science sait gérer le risque d’erreur minime. --> Personnellement j’ai invalidé le risque statistique menteusement quantifié par un nombre immense de statisticiens (et de normes Qualité internationales). Prétendre maitriser le risque est généralement un mensonge énorme, caché derrière des tonnes d’équations (qui ne m’effraient en rien, anormalement, désolé, j’ai tout examiné et tout cassé).
  Page 154, parmi les gravement imbéciles théories du complot sont cités les complots juifs et francs-maçons. --> Il se trouve que mon grand-père a été haut dignitaire de la franc-maçonnerie, et il est parti en claquant la porte, totalement écœuré par les malversations enrichissant énormément les membres qui étaient au pouvoir (prétendant faussement servir le peuple, rigolade ! secrète). Il n’en parlait presque pas du tout, Papy, sinon il serait vraisemblablement mort, « éliminé »… Pure invention de complotistes débiles ? Non, c’est le contraire, participer au camouflage de ces horreurs est la culpabilité première.
  Page 154 encore, l’auteur cite que le complotisme est expliqué/innocenté/blanchi (idiotement selon lui) par les mensonges politiciens et officiels, il répond que c’est aussi absurde de dire que le terrorisme vient d’une agression inverse initiale. --> Ce nullard n’a simplement pas noté que le terrorisme arabo-musulman n’existait pas avant que triomphe le terrorisme sioniste épurant la Palestine. Il suffit de ne pas en parler pour se donner raison, quel brio montre-t-il ! (pour les lecteurs formatés par l’école à gober les livres sans oser les critiquer).
  Page 157, l’auteur insiste que le complotisme est surtout antiaméricain et anti-israélien. --> Il ne lui vient étonnamment pas à l’idée que c’est ce qui domine l’Occident et de là : le monde. J’en déduirais que le complotisme a une base lucide, même s’il dérive parfois en délires absolus, mais c’est tout le contraire pour l’auteur : cette focalisation prouve la haine injustifiable ! Enfin, il pourrait être aveugle et sourd, le pauvre, mais il semble bien plutôt complice actif. Je n’ai pas regardé les commentaires sur Amazon avant d’acheter la version kindle, mais s’il y a ne serait-ce qu’un commentaire applaudissant des deux mains, il aura peut-être gagné (si c’est écrit par un goy gagné à ses idées, plutôt que par un confrère juifo déguisé en découvreur de ces idées)
  Page 162, l’auteur prouve enfin fausse l’approche innocentiste, en notant qu’elle ferait croire que s’il y a complotisme anti-juif ce serait attribué à une faute des Juifs eux-mêmes (!). --> Oui, au contraire, c’est la logique même. L’anti-prosélytisme embrigadant les enfants à la naissance a créé une race sciemment, rejetant les autres, c’est du racisme actif. Massacrer racistement des racistes est affreux, mais noter que les victimes étaient racistes constitue une lucidité interdite. Toutefois, je ne parle pas des juifas non-juifos, innocents et martyrisés par erreur de colère, mais la majorité judaïque adulte est clairement coupable, oui. (Je fais exception, j’ai été mis en invalidité psychiatrique pour incapacité à continuer à mentir à mon travail comme le faisaient mes chefs refusant mes démonstrations de fautes, et je suis en analyse philosophico-politique classé fou car ne récitant pas les mensonges dominants).
  Page 164, l’auteur affirme qu’on sait absolument tout de l’attentat du 9/11 aux USA (avec des montagnes de preuves), sauf déni de réalité. --> C’est faux, je l’ai expliqué plus haut en objection. J'ai d’ailleurs oublié de signaler un point qui me revient : il est très très magnifique prodigieux que le passeport du pilote terroriste ait été trouvé le jour même dans les décombres, quelque chose comme mille millions de tonnes de gravats (je ne garantis pas le nombre de zéros) qu’il a fallu environ 6 mois de travaux pour déblayer. Mais tout est parfaitement clair et limpide, en rien suspicieux, pour l’auteur, qui fera interner comme schizophrènes ceux moins « réalistes » que lui… Enfin, je ne suis pas réaliste, en ce sens que j’ai prouvé illogique frauduleuse la reconstruction cartésienne faisant sortir du doute, de l’hypothèse du rêve mien présent, mais… dans ce monde présent, j’écoute ce qui se dit, sans préférer les dires officiels souvent prouvés très menteurs.
  Page 165, justement l’auteur invoque Descartes pour sortir du doute ! --> Quel est donc l’argument ? Je suis prêt, ayant tout invalidé, mais… non, pas un seul argument, autre que la célébrité, l’autorité, niveau zéro-zéro de la rationalité (Descartes a échoué, sans s’en rendre compte, mais son projet était précisément de parvenir à construire plus solidement que la croyance aveugle en ce que dit le pape).
  Pages 171-172, l’auteur signale la chute inexpliquée du 3e bâtiment (non frappé) de Ground Zero le 9/11, mais il dit que tout s’explique à cause du feu (venu des immeubles voisins ?). --> Je n’ai jamais entendu dire que les bâtiments disjoints se transmettaient le feu ni que ceux ayant brûlé s’effondraient, l’auteur a-t-il enquêté pour documenter la plausibilité de cela ? Pas besoin puisqu’il croit ! Suis-je bête, moi ! Hum… Mais en lecture gobant tout, il a répondu, l’affaire est close. (Et oser le contester serait taxé d’antisémitisme, attention !)…
  Page 173, l’auteur mentionne que les complotistes ont inventé aussi le complot « libéral ». --> Ça ne me convint pas. Quand un référendum a refusé l’Europe libérale, le parlement français a trahi le peuple en le doublant afin de voter pour. Cela illustre totalement que le mensonge (titre « représentants des électeurs ») est la base active du monde libéral. Certes, ce vote n’est pas secret, ça ne s’appelle pas « complot » tout à fait, mais la situation est un mensonge unanime des politiciens faisant semblant de s’opposer pour amuser la galerie, comme à propos du sionisme, approuvé par tous, en diabolisant les rares antisionistes (d’où la fuite de français arabes au Moyen-Orient pour faire la guerre à l’Occident, qui a lieu là-bas). Non, l’auteur n’a rien vu de tout ça, ou il cache tout ce qui gêne sa communauté dominante (juifo ou juifophile).
  Page 173 encore, parmi les conspirationnistes très « ridicules », l’auteur cite Donald Trump qui affirme que le réchauffement climatique est un faux inventé par les Chinois. --> Je n’ai pas d’idée sur l’origine chinoise de cette thèse, mais j’ai lu un ouvrage de scientifique contestant le dogme du CO2 humain coupable, et douter des dogmes n’est en rien ridicule. Ce sont les dogmes qui sont une offense à la raison et à l’intelligence critique (interdite !)…
  Page 178, l’auteur se moque des complotistes prétendant qu’en démocratie française « les dominants » trahissent « le peuple », en appelant « complotistes » ceux qui le dénoncent, accusation infamante cachant que c’est la vérité dissimulée. --> Faux. Cette trahison est documentée avec la trahison du référendum sur l’Europe (nullement remise en cause à l’alternance suivante gauche/droite). Plus anciennement, la constitution de la 5e république, dite « monarchie républicaine » par les promoteurs d’une 6e république, consacre les super-pouvoirs de faire à sa guise pour le grand dominant, pleinement habilité à prendre des mesures impopulaires, donc réprouvées par le peuple (qui a théoriquement le pouvoir, d’après la définition du mot « démocratie »). Le mensonge règne, oui, pour cacher cette vaste trahison organisée, triomphante, armée. Mais c’est tellement évident que le mot « complot » s’applique mal, certes.
  Page 179, l’auteur affirme démontrer que le conspirationnisme est paranoïaque, donc malade mental. --> Bien sûr, lui crédule gobant tout ce que racontent les autorités, se place en supérieurement intelligent et sain d’esprit… Enfin, le problème source vient de la psychiatrie, forme véreuse de prétendue science pourchassant les dissidents (en Occident aussi, pas seulement dans l’URSS comme cela était affirmé à grands cris offusqués). La paranoïa est le mot pour la prétendue « rationalité maladive », bref des illogiques punissent des logiques qui ne leur plaisent pas. C’est un scandale total, mais l’auteur semble totalement incompétent en la matière, pas spécialement acteur d’écrasement de ce côté-là.
  Page 181, l’auteur amalgame gaiement reprise du pouvoir par le peuple, populisme (terme devenu insultant), antisémitisme. --> Effectivement, ces domaines ne sont pas indépendants : la communauté juifo est hyperactive en matière d’ambition dominatrice, et la vraie démocratie consisterait à la renverser. Mais là où est la faute lourde de l’auteur, c’est que ce n’est pas du moche racisme antisémite (anti-juifas) mais une belle révolte politique (anti-juifos). Sinon, c’est comme si, en 1789, de grands cris antiracistes avaient hurlé que la Révolution voulait génocider l’innocente race de sang bleu – alors que c’était un combat politique contre des injustement privilégiés, se trouvant être racistes endogames mais tel n’était pas le sujet (et les bébés et renégats ayant renoncé aux privilèges n’étaient en rien coupables à punir).
  Page 181 encore, l’auteur affirme que cette révolte contre l’élite conduirait aux méchants extrêmes au lieu de faire le bonheur du peuple. --> Certes, les médias (juifo-dominés) militent chaque jour pour diaboliser les extrêmes, mais les dominants du centre (de centre-gauche à centre-droit, peu différents) semblent tellement moches qu’ils ne sont plu’ audibles, et pourraient être virés pour laisser place à l’extrême-droite ou l’extrême-gauche, qui ont toutes deux d’énormes défauts évidents selon moi. La solution serait d’améliorer autrement, inventer mieux, ce que j’ai fait mais sans aucun espoir, vu que l’égoïsme semble toujours triompher, qu’il soit le fait de quelques dominants (centres) ou plusieurs corporatistes (pro-fonctionnaires dits gauchistes) ou xénophobes (dits ultra-patriotes). Enfin, c’est tout moche idiot, pas spécialement les extrêmes : les centres sont aussi en faveur des privilèges fonctionnaires massifs et sont xénophobes avec police des frontières et armées anti-étrangers (ne serait-ce que contre les non-Européens pauvres, avec qui le partage est violemment refusé).
  Page 181 enfin, l’auteur accuse le complotisme de tous les maux dans tous les domaines, et en dernier : il prépare les génocides. --> Il y a pire en la matière : le très volontaire amalgame pratiqué avec le mot juif, pour deux sens absolument différents, prépare un retour de bâton se trompant de colère, et qui pourrait devenir génocidaire, exterminant aussi les enfants et renégats, par erreur de cible, erreur organisée volontairement pour cacher les coupables derrière des innocents, au risque (assumé) de faire massacrer ces innocents. Il me semble là, le crime numéro 1, caché par l’auteur évidemment, complice du truc, escomptant surfer sur la vague du danger contenu par la violence légale (dite « légitime » par les dominants).
  Pages 182-183, au début du chapitre 6, l’auteur parle du Grand Complot secret imaginaire, au-delà des petits complots de détail inventés. --> Ça me fait penser au président français (juif) Sarkozy, clamant en 2008 je crois que les 60 ans d’existence d’Israël sont un vrai miracle (comme divin). Oui, que durant des décennies et avec des dizaines de présidents étasuniens et aléas géopolitiques, que la domination israélo-étasunienne sur le monde ait perduré représente un grand grand truc, en matière de domination abominable (religieuse fanatique et/ou raciste, anti-arabes anti-amérindiens). Mais ce n’est pas secret du tout, c’est éclatant de malhonnêteté (et les Israélites se prétendant diaspora/peuple sans frontière arment les frontières d’Israël contre le retour des expulsés et fuyards terrorisés par massacres ; les Etasuniens riches descendants de migrants murent leur frontière pour rejeter ou tuer les migrants Latinos venant à leur tour). Je pense aussi à l’assassinat du président Kennedy, que les complotistes ont dit commandité par les industries militaires ne voulant pas qu’il arrête la guerre du Vietnam : cinq décennies plus tard, le mystère reste entier, et même oublié, sans recherches énormes sur le sujet.
  Page 187, l’auteur parle de la part américaine (non officielle pendant des années) dans la guerre civile d’Indonésie, ayant fait quarante mille morts en 1957. --> Je n’avais jamais entendu parler de cette affaire antérieure à ma naissance, mais elle ne m’étonne pas, en matière de mensonge d’état. L’auteur lui s’en sert à l’envers, non pas pour prouver que les complotistes ayant pu le dénoncer avaient raison, mais pour « prouver » (selon lui) qu’un secret ne peut pas tenir durablement, donc ont tort ceux qui prétendent durablement à un mensonge. Cette tactique est laide : que l’auteur emploie ce qui lui donne tort pour se donner raison sur un micro-point de détail, hors-sujet (sa focalisation obsessionnelle sur le secret est inappropriée, puisque le pire scandale de domination mensongère n’est nullement secret mais affiché en réprimant toute contestation, au nom absurde de la Liberté).
  Page 187 (bis ou quoi, le total étant dit 187 pages, avec compteur bloqué et position d’avancement dite 70% étrangement, emplacement 1907/2721), l’auteur affirme prouver que le 9/11 n’est en rien mensonger car il ne peut pas avoir été entièrement organisé aux USA sans qu’absolument rien ne filtre. --> C’est mal pensé. Plein de questions se posent, concernant les incohérences de la version officielle, et il n’y a pas une seule et unique alternative à cela qui serait l’entière responsabilité des services secrets étasuniens dans cette opération. Au contraire, peut-être que des attaquants étrangers étaient des agents doubles au service des USA, avec relai des services secrets étasuniens pour préparer le dynamitage du 3e bâtiment gênant les politiciens. Quant au mystère des enregistrements vidéos cachés pour l’avion frappant le Pentagone, son explication ne semble pas accessible, et si ç’avait été un missile il aurait pu être étranger tout autant qu’étasunien. Déceler un mensonge n’exige pas qu’on connaisse tout de la vérité remplaçante : on peut démolir la version officielle, prouvée fausse, qu’on remplace par un point d’interrogation, pas besoin d’affirmer un autre « prêt à gober ».
  Page 187 ter, emplacement 1923, l’auteur dit que la méfiance ne doit pas être invoquée au nom du principe de précaution, car si cette méfiance avait un sens au temps des hommes préhistoriques entourés de fauves, cela n’a plu’ de sens dans notre monde moderne bien organisé et sûr. --> C’est faux : la domination et les mensonge de nos dominants ont provoqué sciemment la guerre Occident-Islamisme (leaders sionistes contre antisionistes religieux), et la méfiance consisterait à démontrer le hold-up pratiqué en Occident, pour abolir le sionisme, ce qui nous éviterait d’exploser sur les bombes de haine terroriste se trompant de colère (puisque nos élus pourris ne nous représentent en rien, ils ne font que mentir à ce sujet, pour nous faire tuer et approuver leur guerre en faveur d’Israël). Le danger n’est plu’ les fauves naturels mais la guerre larvée qui couve, seul un mensonge nous prétend au Paradis tranquille et sûr. Ça ne veut pas dire « tous les Juifs mentent ! », erreur de colère, mais « tous les sionistes mentent », sous-catégorie de l’évidence « tous les Juifos mentent », sans culpabilité aucune des Juifas non Juifos, il ne faut pas se tromper de colère – même si tout est organisé pour cela, pour cacher les coupables derrière des innocents, au risque de les faire massacrer, quelle horreur…
  Page 187 (Nième), emplacement 1945, l’auteur recense des mensonges d’état pour dire qu’ils n’ont pas été révélé par des complotistes mais par des gens sérieux. --> C’est une erreur de logique : puisque les mensonges d’état sont si courants, suspecter qu’il y a mensonge d’état devrait être jugé l’attitude qui convient, au quotidien, sans se voir insulté comme « complotiste » (= délirant) jusqu’à ce que ça s’avère éventuellement un mensonge. C’est tout le projet de ce livre, combattant à la fois le scepticisme et l’explication délirante affirmative, qui est mal conçu : il crache à la fois sur la sagesse et sur le délire, alors qu’il s’agit de contraires absolus, simplement liés par le fait de résister similairement aux autorités (sionistes), ce qui est insupportable à l’auteur, malhonnête propagandiste.
  Emplacements 1945-1963, l’auteur se réfère une nouvelle fois au film Matrix, pour dire que la théorie du Grand Complot n’a de sens qu’au sein de l’hypothèse métaphysique délirante selon laquelle tout est illusion. --> Non, le film Matrix n’a rien compris à la question (soulevée par Descartes avant fausse réponse enterrant à tort la question) : l’hypothèse du rêve illusoire n’a de sens qu’égocentrique, autrui étant alors une marionnette dénuée de pensée vraie, ce n’est pas qu’autrui vit dans l’illusion et pas moi, c’est n’avoir rien compris au sujet et agiter les concepts n’importe comment. Ici, ça ne semble pas anodin : il s’agit de dissuader la réflexion méthodique cassant tout aux certitudes, pour prétendre que les complotistes prennent à tort au sérieux un délire de science-fiction ou un nuage métaphysique relevant du Grand N’importe Quoi. Erreur (insultante) de l’auteur, encore une fois. Mieux vaut une tête bien faite, pensant correctement, qu’une tête bien pleine (de prétendue « Culture », gobée servilement).
  Emplacement 1963 encore : l’auteur prouve que le grand complot n’existe pas sinon nous ne serions pas en démocratie et Internet n’existerait pas. --> Erreur, encore une fois. Nous ne sommes pas en démocratie mais en république, le peuple étant doublé par sa prétendue élite juifo/sioniste. Par ailleurs, de vastes manœuvres légales sont régulièrement entreprises pour gendarmer Internet, accusé d’être haineux et antisémite, et une interdiction partielle a déjà été entreprise, via menace légale sur les hébergeurs de contenu.
  Emplacement 1981 : la citation (du juif Léon Blum) démarrant la conclusion dit qu’il faut tarir la calomnie à sa source, l’interdire d’expression car criminelle. --> C’est simplement malhonnête, puisque cela aurait fait interdire d’envisager que le Rainbow Warrior avait été coulé par les services secrets français. Bien sûr que tous les menteurs hurlent à la calomnie quand on ne croit pas ce qu’ils disent (donc qu’on ose les traiter en menteurs possibles), mais la question n’est pas là : puisque quiconque peut être un vrai menteur, le doute parait judicieux, et interdire le doute est une aberration intellectuelle et morale (enfin, immorale en matière de morale).
  Emplacement 1998, l’auteur se moque des noms de complotistes, restés totalement inconnus car n’ayant rien apporté à la pensée humaine, seulement excité les masses ignorantes et superstitieuses. --> C’est un faux raisonnement. Quand la plupart des immenses célébrités, même archinulles comme la récente Prix Nobel de Littérature, s’avèrent juives, il semble que la notoriété s’avère une question de piston communautariste par les dominants, et aucunement une question de valeur. Durant mes études, j’ai été effaré que l’adoration des prétendus grands-auteurs soit décrétée obligatoire, sans autorisation de les critiquer, mêmes arguments imparables à l’appui. Après mes études, j’ai été effaré de découvrir que le monde de l’édition était totalement fermé aux thèses logiques bouleversant le monde mais trop logiques et n’allant pas dans le sens dominant. Non, la célébrité n’a rigoureusement aucun rapport avec la valeur. (Et l’auteur, nul, pourra donc devenir célèbre, ça a déjà commencé avec sa mise en vedette à la télé comme immense penseur rappelant à l’ordre la masse d’imbéciles que forme le peuple…)
  Emplacement 1998 encore, l’auteur affirme qu’il ne faut pas douter du système politique occidental qui a fait la prospérité et la liberté depuis la fin de la seconde guerre mondiale. --> Erreur : dans cet Occident sioniste Juifo-dominé, la loi Gayssot exprime la dictature discrète opprimant la liberté d’opinion, et depuis 1975 l’Occident est en crise économique chronique, avec dette faramineuse – ce n’est pas de la prospérité mais du surf équilibriste sur la vague de banqueroute (dans un contexte de mensonge dominant : dire aux prêteurs qu’on les remboursera alors que ce n’est pas envisageable en vrai sans ruine et révolution).
  Emplacement 2016, l’auteur oppose les complotistes disant n’importe quoi très facilement et les anti-complotistes, à investissement intellectuel souvent lourd et ingrat. --> Mon expérience professionnelle, documentée, est l’exact contraire : les riches chefs ne comprennent rien à rien et dominent par le statut, quand sont déclarés fous les techniciens matheux démontant les fausses statistiques menteuses, prouvant malhonnêtes les grands textes Qualité officiels internationaux (sous dominance occidentale). Bref, l’effort intellectuel démolisseur de mensonges haut-placés est puni, quand triomphent les benêts réciteurs crédules, diplômés comme tels (en appelant ça « grandeur intellectuelle, accès à l’Elite » à dominante Juifo par pur hasard sans doute…).
  Emplacement 2016 encore, l’auteur cite François Mitterrand : « il ne faut jamais dire du mal des imbéciles » --> Je suis choqué, Mitterrand était un menteur chronique et sans scrupule, un abominable bonhomme. Ici sa phrase prétendue grandiose est auto-contradictoire stupide (ou un peu comique si elle venait d’un cynique faussement sérieux comme Desproges), c’est comme dire, ce qu’interdirait l’auteur : « les sales youpins sont tous des braves gens ». C’est une célébration (ou ridiculisation) du mensonge tout au contraire d’un accès à la sagesse honnête.
  Emplacement 2034, l’auteur dénonce des médias ayant osé relayer des thèses antiscientifiques. --> Encore une fois, c’est un cri de fanatisme scientiste virulent, intellectuellement nul. Personnellement, j’ai invalidé la science, et il n’y avait pas le moindre argument en face, que de me dire « dangereux », « déplaisant », etc. Oui, la science est un choix, partiellement stupide, de croyance se prenant à tort pour vérité et grandeur intellectuelle. Et j’ai fait des études scientifiques, je dis ça de l’intérieur, il s’agissait d’une entreprise d’imbécilisation avec carotte et bâton. Mais l’auteur incompétent n’y a rien compris et s’offusque qu’on puisse douter de ses idoles.
  Emplacement 2034 encore, l’auteur condamne la soupçonnite comme maladie (mentale). --> Je ne suis pas d’accord, ça s’appelle l’intelligence critique, la sagesse, au contraire de gober tous les mensonges. D’ailleurs l’auteur est contradictoire : il pratique assidument la soupçonnite envers les non-officiels osant proposer des thèses différentes des autorités, ce n’est que la soupçonnite envers les autorités qu’il condamne. Et encore : il n’adore que les autorités occidentales (sionistes, coïncidence sans doute…), il hait Vladimir Poutine et les gouvernants chinois, il l’a écrit plus haut en les classant complotistes d’état (c’était l’objet d’un des chapitres). Il médit aussi un petit peu de Donald Trump complotiste parvenu au pouvoir, mais sans insister en hurlant que c’est la puissance dominant le monde, non, chut : Trump est ultra-sioniste alors l’auteur lui pardonne grandement, c’est comme ça que j’interprète les choses.
  Emplacement 2034 toujours, l’auteur se désigne comme un intellectuel et affirme que la réalité est indépendante de notre perception. --> Au contraire, c’est là de l’ignorance crasse, de la part d’un pistonné n’ayant jamais réfléchi ni entendu parler de philosophie. Le réalisme matérialiste n’est qu’un courant de pensée, auquel s’oppose avec des tonnes d’arguments l’idéalisme (au sens philosophique). Même parmi les scientifiques, il y a d’immenses débats sur le sujet : un corps est-il magnétique s’il n’y a pas de limaille de fer autour pour le montrer ? (ce que Bernard d’Espagnat appelait la contrafactualité). Non, l’auteur affirme et clame, stupidement, ça remplace la pensée, et oser le mettre en doute serait puni pour antisémitisme ! C’est comme ça que ça marche en Occident…
  Emplacement 2034 enfin, l’auteur se lamente que notre surmoi cartésien perde du terrain. --> Il oublie simplement que le surmoi est une invention délirante de Freud, obsédé sexuel ayant faussement prétendu à l’incontestabilité (avec millions de complices aberrants et fiers), et que Descartes était un escroc prenant sa foi personnelle pour preuve objective.
  Emplacement 2053 figure un torrent de haine déversé par l’auteur envers les intellectuels ne condamnant pas les complotistes. Lui s’attribue une notion exigeante de la vérité et affirme que les non-lettrés sont stupides. --> Bien sûr, en tant que juifo ou juifophile, l’auteur est protégé des accusations de haine, pas de problème de ce côté, mais ce qu’il dit est idiot. En matière de nettoyage ethnique de la Palestine, il ne veut surtout pas de la vérité exigeante mais préfère l’oubli mensonger (accusant de complotisme idiot l’antisionisme), et dans l’affaire Lubrizol il s’est avéré que le brouillon sentiment populaire avait deviné juste là où tous les experts officiels mentaient. Mais certes, dans un ouvrage de propagande, ce n’est pas à prendre en considération.
  Emplacement 2069, l’auteur répète que le complotisme au sujet du 9/11 est odieux, venant de l’antiaméricanisme ambiant. --> Tout au contraire, je dirais que les zones d’ombre dans l’affaire 9/11 suggèrent d’évidents doutes, et la légitimité morale des USA est immensément douteuse, ayant tiré une immense fortune (et toute puissance) d’une invasion génocidaire – totalement impunie avec entier accord de cet auteur, s’offusquant que l’on puisse être choqué. (Je ne dis pas « maudits les Etasuniens gloire aux Français », non, les Français de l’époque ont massacré pareillement en Louisiane et au Québec, notamment, mais pour qu’il n’y ait pas recel de fortune criminelle, il faudrait un Nuremberg bis ou Nuremberg Zero punissant sévèrement les USA pour les atrocités commises, la sanction pouvant être l’abolition des frontières, là comme ailleurs, pour partager et ne pas prospérer sur héritages immensément coupables. Oui la France serait aussi ruinée, cesser de mentir ne plairait pas à la majorité des gens ici, donc favorables hélas à la perpétuation du mensonge organisé, spécifiquement juifo-préférentiel, raciste anti-amérindien anti-arabe, moi c’est ça que je trouve odieux).
  Emplacement 2069 encore, l’auteur condamne un « platiste » (affirmant que la Terre est plate) débitant sans contradicteur sottises sur sottises. --> C’est exactement l’impression que me fait ce livre (et sa totale absence de critique dans l’interview télévisée que j’ai vue) : suite ininterrompue de sottises en ayant organisé le truc pour qu’il n’y ait pas de contradicteur (qui serait de toute façon disqualifié comme « antisémite », prétendu).
  Emplacements 2069-2088, l’auteur condamne de laisser son prochain être platiste donc perdre pied avec le réel sans l’en empêcher. --> On est là en plein dans la dictature psychiatrique anti-schizophrène. Alors qu’il n’y a pas le moindre critère de Réalité (j’ai écrit un livre entier sur le sujet), l’auteur veut empêcher/forcer/contraindre au nom du Réel obligatoire, c’est monstrueux, mais certes dominant, en bande organisée.
  Emplacement 2088, l’auteur clame que les imbéciles aiment le complotisme. --> C’est faux, il ne fallait pas dire « les imbéciles » (donc « tous les imbéciles ») mais « des imbéciles » (donc « certains parmi les imbéciles »). En effet, je connais un super-imbécile farouchement anti-complotiste : l’auteur de ce livre. Enfin, je n’aime pas le mot imbécile, ayant une amie (imaginaire, adorable) qui a été classée handicapée mentale, ce qui n’est pas du tout une faute horrible. Non, la faute horrible de cet auteur est le mensonge et la mauvaise foi, le racisme caché, la complicité de génocide amérindien et massacre palestinien (et allemand, japonais, aborigène, …), etc.
  Emplacement 2088, l’auteur dit qu’on ne peut pas combattre un mensonge par un autre mensonge. --> C’est faux, c’est au contraire l’entreprise menée par ce livre, combattant ceux qui disent n’importe quoi (dans un sens dit antisémite) en disant n’importe quoi différemment (dans le sens sioniste).
  Emplacements 2088-2104, l’auteur se dit tout à la fois doué de raison et capable de bonne foi. --> Il devrait ajouter « et ma plus grande qualité est la modestie ». Non, son livre condamne la raison n’allant pas dans son sens sioniste, et il insulte avec mauvaise foi comme antisémites racistes les antiracistes condamnant le racisme anti-goy. A propos de grand complot caché, j’ai été effaré en lisant les Evangiles (vers l’âge de 45 ans) : l’Israélite Jésus-Christ a déclaré il y a 2000 ans (à la Cananéenne) que les non-Juifs sont des chiens ! et cela est légalement vénérable en Occident jusqu’à aujourd’hui inclus ! Ce n’est bien sûr pas raciste puisque l’expression « racisme et antisémitisme » signifie (implicitement, chut il faut pas le dire) qu’est condamné le racisme à l’exception absolue du racisme anti-goy, inavoué mais sacré…
  Emplacement 2104, page finale avant les notes, l’auteur dit que la bêtise est un danger. --> Je suis d’accord mais en sens totalement opposé : ce ne sont pas les complotistes antisionistes qui sont bêtes dangereux, le problème-source est la bêtise dangereuse des sionistes, attirant les foudres sur les innocents juifas non-juifos, pour cacher derrière eux leur culpabilité raciste.
  Emplacement 2104 encore, l’auteur se plaint d’être victime d’insultes et procès d’intention. --> Son livre entier est un ramassis d’insultes et procès d’intention (à l’égard d’autrui, davantage honnête que lui). Son cri final semble donc « faites ce que je dis, pas ce que je fais », principe de l’immoralité. CQFD, en un sens. Point final, oui.

3/ Ma conclusion         (concernant le livre anti-complotiste « L’opium des imbéciles » »)
• (note zéro sur cinq) Ouvrage écrit par un très prétentieux imbécile (comme handicapé mental dénué d’intelligence critique, le pauvre, mais il insulte très fort autrui alors je lui retourne le compliment, en légitime défense) dont l’opium est la parole officielle et les compliments qui vont avec le fait de la gober crédulement.
• Ou bien : (note cinq sur cinq) Livre très instructif mais à lire au second degré comme caricature aberrante des anti-complotistes : ouvrage malhonnête, écrit par un imbécile incompétent, scientiste fanatique, insultant des gens davantage pertinents que lui, dont il trouve insupportable la simple parole, en dissimulant toutes les objections à ses bêtises profondes à lui, complice actif des autorités menteuses chroniques (du moins, complice des autorités occidentales sionistes seulement, en condamnant les autres).
• Ou pour Amazon peut-être, un peu moins polémiquement : (note un sur cinq) Ouvrage invraisemblable de malhonnêteté intellectuelle, de l’auteur oui, pas seulement de certains délirants qu’il conspue avant généralisation abusive pour garantir durable la raciste domination en place.
• Ou, de manière plus vaste, pas hyper-centrée sur le livre précisément : ces affaires de complotismes semblent un écran de fumée, le problème énorme est qu’il y a, au vu et au su de tous, un énorme mensonge d’état en Occident (discrètement dictatorial punisseur injuste). Ce mensonge (tueur d’innocents via la réaction terroriste), c’est « tout antisioniste est un raciste antisémite », autrement dit (sans l’avouer bien sûr) : sera condamné et interdit de parole tout résistant à la raciste domination anti-goy.
• Ajout inversé, un peu comme une preuve par l’absurde : si j’utilisais le titre de ce livre « l’opium des imbéciles » pour désigner la raciste écriture sainte judaïque, je serais condamné pour « haine raciste antisémite », alors je ne le dis pas, je laisse le droit d’injure à ceux qui se le réservent… oui, ça vaut preuve, à mon avis.

----- (ajout 16/10/2020)
• Mot que j’ai écrit en commentaire Amazon finalement : à lire à l’envers, note 5/5, ouvrage de mauvaise foi (bien sûr publié, lui) qui illustre à merveille le plan d’abrutissement à l’œuvre de la part des autorités menteuses chroniques, au total contraire de ce qu’il affirme. Mais ce n’est pas simple à expliquer : il m’a fallu plus de 20 pages de contre-argumentation pour démolir ce livre de propagande.
• Lecture des autres commentaires Amazon : aucune critique sur le fond, seulement applaudissements ou regrets que ce soit brouillon ou déjà bien connu…

----- (ajout 21/10/2020)
  Sans surprise (hélas), la récente décapitation islamiste d’enseignant français est prise en France républicaine (juifo-dominée ?) pour prétexte à une répression sioniste (anti-antisioniste) : cf. nouvelle MSN https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/le-collectif-pro-palestinien-cheikh-yassine-sera-dissous-mercredi/ar-BB1adFrs?ocid=msedgdhp
  A qui profite le crime ? à Israël… (mais chut, il ne faut pas le dire, c’est classé complotiste, même si les débats ont reconnu qu’il fallait continuer et améliorer l’infiltration dans les milieux islamistes…).
  [Enfin, cette dissolution d’association propalestinienne en France ne changera pas grand-chose pour Israël directement, mais c’est simplement qu’elle aide à inculquer aux électeurs français la fausse assimilation antisioniste = monstre massacreur d’innocents, au lieu du rappel historique : sioniste = monstre massacreur d’innocents, victorieusement impuni étouffé, d’où révolte opposée massacrant des innocents aussi....]

----- (ajout 12-14/01/2021) Réflexions a posteriori
   Je pense que l’accusation de complotisme est généralement infondée ou malhonnête. Le principe du pouvoir inclut en effet automatiquement l’abus de pouvoir, et cela est pratiqué en grande routine. Déjuger ceux qui suspectent un abus de pouvoir en les traitant de complotistes délirants, ce n’est pas juste, pas honnête. Certes, parfois, la suspicion est infondée, excessive, cela s’examine au coup par coup, posément, il n’y a nullement à diaboliser automatiquement tous les sceptiques et prudents dubitatifs.
   Exemple : la gestion des « masques » (de protection sanitaire) dans la crise covid19 de début 2020 par le gouvernement Macron. Il n’y avait pas assez de masques en stock, alors le gouvernement pour cacher sa mauvaise gestion a dit que les masques ne servaient à rien, avec l’appui de quelques « experts » dont l’opinion allait plutôt dans ce sens (de relative inutilité des masques, imperfection des masques). Et en cachant que le grand responsable de la santé a fait corriger à son avantage le rapport d’inspection pointant sa responsabilité personnelle avec une mauvaise décision prenant un grand risque de santé pour quelques économies budgétaires (ce que ses supérieurs ont étouffé, pour ne pas qu’on leur fasse reproche à eux d’avoir donné toute confiance à un très mauvais gestionnaire et escroc camouflant ses fautes). Il s’agit de petits arrangements inconfortables entre amis, ayant le pouvoir (républicain, pouvant dire merde au peuple pendant 5 ans, librement). Envisager quelque chose comme cela aura simplement été de la lucidité, ayant eu raison avant que ce soit révélé exact, ça n’a rien à voir avec imaginer un complot extraterrestre se réunissant en secret avec rites satanistes, etc. Tout un éventail de gens ne croient pas le discours du pouvoir, et déjuger les prudents en les traitant de délirants est une manœuvre abjecte, intellectuellement malhonnête.
  Pour confirmer, je suis allé demander à Google la définition de complotisme, et ça m’a répondu « thèse des complotistes », sans intérêt, mais renvoyant à « théorie du complot » (Wikipédia) : « Théorie du complot (de même que les néologismes complotisme et conspirationnisme) est une expression d'origine anglaise, définie pour la première fois en 1945 par Karl Popper, qui dénonce comme abusive une hypothèse (en anglais theory) selon laquelle un événement politique a été causé par l'action concertée et secrète d'un groupe de personnes qui avaient intérêt à ce qu'il se produise, plutôt que par le déterminisme historique ou le hasard. Pour Peter Knight, de l'université de Manchester, cette théorie met en scène "un petit groupe de gens puissants [qui] se coordonne en secret pour planifier et entreprendre une action illégale et néfaste affectant le cours des événements", afin d'obtenir ou de conserver une forme de pouvoir (politique, économique ou religieux). /La théorie du complot attribue une cause unique à des faits avérés. Elle se différencie en cela de la démarche historique, qui induit une multi-causalité. »
  Il y a bien la notion de secret, qui me parait à sens multiple très peu clair :
– Actuellement, depuis presque un an avec la crise sanitaire covid19, la France est gouvernée par « conseils de défense », ce qui met « au secret » les délibérations. Est-ce donc un complot ? Pas du tout, il est très officiel que c’est choisi comme secret.
– Il est célèbre que de nombreux hommes politiques influents sont francs-maçons (comme Xavier Bertrand l’avait reconnu, et une multitude est citée à http://www.eveil-delaconscience.com/liste-francs-macons-gouvernent/), et la franc-maçonnerie est une organisation dite secrète, qu’est-ce que cela signifie ? (Il semble contradictoire que ce soit secret et affiché). L’explication me parait simple : le contenu de leurs délibérations n’est pas public, leur emploi de contacts privilégiés (réseau) n’est pas claironné sur les toits, mais la simple appartenance à cela peut être publiquement admise (à titre de loisir personnel ou équivalent religieux). Cela signifie-il que la franc-maçonnerie dirige la France et lui impose ses propres choix ? Je ne pense pas, en ce sens que ces adhésions multiples me semblent un simple calcul (pourri, efficace hélas) dans la course d’individus vers le pouvoir et le fric, sans qu’ils deviennent pour autant des marionnettes au service d’une cause cachée (ce qui serait un complot proprement dit, selon moi). Mon grand-père a été franc-maçon et il en est parti claquant la porte, dégoûté, ses confrères manœuvrant (sans idéaux aucuns) pour voter des lois aberrantes, avec des petits défauts les enrichissant eux très fort (informés des failles volontaires). C’est une variante républicaine (faussement démocratique) du grand banditisme, il n’y a même pas de « noble cause » ou projet-pour-tous en arrière-plan.

----- (ajout 13/04/2021) Piste pour consolider ma protestation
  J’ai envisagé d’acheter le livre presque inverse des délires voyant du complotisme aberrant dans chaque incrédulité méfiante : « Gouverner c'est mentir : Douze mensonges publics » par Rémy Prud’homme.
  Une fois acheté (en version électronique sans pouvoir citer ne numéro de page), je le lis et commente :
– L’introduction est intéressante, dissociant différents types de mensonges. Mais plus loin intervient une (première ?) faute de raisonnement : « Bien entendu, et n’importe quel statisticien vous le confirmera, l’opinion de l’ensemble des citoyens est plus fidèlement représentée par un sondage auprès de 1000 personnes représentatives que par une enquête auprès d’un million de personnes autosélectionnées. » C’est faux, ce n’est pas du tout une évidence, même si les étudiants statisticiens sont endoctrinés à la répéter, et diplômés à condition de le réciter. En fait, la représentativité doit être relative à la question abordée, ce qui est presque toujours inconnu à l’avance au moment de la mesure. La coutume est de choisir une représentativité de critère état-civil (sexe, âge) et économique (catégorie de métier) voire politiciens (proximité vis-à-vis de tel parti), même si les groupes « vrais » pour le caractère étudié n’ont rien à voir avec ces critères-là (ce peut être gauchers/droitiers, blonds/bruns, hypertendus/hypotendus, optimiste/pessimiste, célibataires/mariés, extravertis/introvertis, tristes/joyeux, gros/maigres, etc.). Les statisticiens affirment des conclusions comme certaines à tel risque près, alors qu’ils n’ont rien compris au problème et sont dans l’erreur totale, y compris quantitative (avec des risques et intervalles de confiance chiffrés de manière erronée, présupposant représentativité sans l’avoir en rien établie). Pour les sondages d’élections politiciennes, d’immenses répétitions ont abouti à peaufiner les critères de sélection (des individus de l’échantillon) et c’est un peu consolidé (avec abandon des critères s’étant avérés inopportuns), mais pour une nouvelle question inconnue (genre « gravité de la menace climatique à votre avis »), appliquer ces critères politiques n’a rigoureusement aucune légitimité, et n’est pas validé par comparaison à des résultats sur population entière (pas encore examinée, jamais sur ce sujet). Je n’en conclus pas que l’auteur est lui-même un menteur, mais qu’il est incompétent en logique et mathématiques, espérons qu’il est un peu lucide par ailleurs, quoique handicapé intellectuellement, crédule à tort, croyant déficient en intelligence critique (c’est mal parti pour traiter du mensonge faussement affirmé vrai, mais on verra).
– Une anecdote me paraissant très « utile » est rapportée : le site officiel du parti macronien LaREM annonce un taux de déforestation dans le monde effrayant, mais après vérification : aberrant, environ mille fois pire que les statistiques mondiales, et – informé de l’erreur – les responsables refusent de corriger le propos. C’est une illustration comme une autre, certes, mais ça me permet de mieux situer le catastrophisme acharné du gouvernement Macron au sujet de la pandémie covid19, faire très très peur étant dit (ici par l’auteur) être le but, à la façon de l’enfer au moyen-âge pour pousser les gens à l’Eglise. Il dit qu’en communication post-moderne, ça s’appelle la « post-vérité » : l’important est l’effet que produit une nouvelle, qu’elle soit vraie ou non n’ayant aucune importance…
– J’ai presque éclaté de rire plus loin, avec une erreur de journaliste incompétente répétant des mots entendus des autorités locales, texte désopilant de bêtise (comme jeu de mot absurde feignant l’idiotie profonde) publié comme information ultra-sérieuse vérifiée, mais je ne le citerai pas ici, pour ne pas piller l’intérêt du livre, en vente légitime.
– Le rappel de la manifestante bousculée blessée par la police contrairement à ce qu’avait dit le président Macron, couvert par mensonge avéré, n’est pas pour moi un détail inconnu, mais je remercie ce livre de me le rappeler. Ceux qui disaient que c’est faux étaient accusables (ou accusés) d’être complotistes, ce qui invalide totalement cette accusation insultante stupide (là où il n’y a aucun complot secret en jeu, ce n’est en rien le sujet). Et ça illustre à merveille le titre du livre « gouverner c’est mentir », tout au contraire de la thèse anti-complotiste : « suspecter que les gouvernements mentent, c’est l’idiotie complotiste délirante ». Merci à ce nouveau livre, oui, qui me conforte, exemples à l’appui.
– Plus loin, il est rappelé que corrélation n’est pas causalité, je le dis souvent (pour covid19 notamment) mais la fausse affirmation de causalité est ici carrément classée mensonge, et je suis d’accord, oui.
– Autre point intéressant, appeler « confusion entre multicausal et monocausal » le fait d’attribuer à une seule cause ce qui en a plusieurs. C’est très clair pour l’affaire covid19 où un mort d’infarctus avec positivité au test covid19 (en plus) est compté « tué par le virus covid19 », pour gonfler le décompte catastrophiste voulu. Merci d’enrichir ce vieux constat que je faisais par des mots de principe : multicausal menteusement interprété comme monocausal (« mensonge par analyse »).
– Seconde erreur toutefois plus loin, à mon avis : l’auteur regrette que les politiciens, hauts fonctionnaires et journalistes soient souvent dénués de formation scientifique, ayant un Bac Littéraire puis fait Sciences Po puis éventuellement l’ENA, sans rien connaître en chimie, biologie, etc. (quand lui se disait compétent spécialement en énergie et environnement). A mon avis c’est une approche scientiste anti-lucide d’être formé en sciences exclusivement, il y a un besoin qu’il n’a absolument pas perçu : l’épistémologie, relativisant la crédibilité des sciences, abattant la crédulité naïve dans ce domaine (qu’on voit effectivement s’étaler de la part des politiciens, mais l’auteur n’a pas compris que c’est un problème, les chefs incompétents s’entourant de prétendus experts sans avoir le moindre recul critique vis-à-vis des fausses certitudes qu’eux assènent).
– Troisième erreur sur le même thème ensuite : l’auteur se plaint du relativisme affaiblissant la science (qu’il voudrait puissant contre-pouvoir affirmant faux les mensonges politiciens). A mon avis au contraire, le prestige des scientifiques est immensément usurpé, la simple notion de vérité scientifique étant un contresens.
– Quatrième erreur plus loin : l’auteur déclare l’Insee solide et faisant autorité, or j’ai lu un livre montrant le mensonge organisé par cet organisme (au profit des chefs politiciens) pour minimiser artificiellement la mesure de l’inflation. Ce n’est ni solide ni méritant de faire autorité, c’est un autre royaume du mensonge, pas vu par l’auteur.
– Magnifique citation d’un proverbe africain après : « le mensonge donne des fleurs mais pas de fruits ». Excellent, merci.
– Intéressante idée plus loin : le politicien menteur, en disant que le gris est noir, se pose en sauveur à réélire ; en disant que le gris est blanc, il se pose en bienfaiteur, pareillement pour être réélu. Ça explique effectivement bien des choses, cette grille de lecture, merci.
– Avant de détailler les sondages disant que les Français n’ont plu’ confiance dans les politiciens et journalistes, l’auteur détaille ce en quoi ils ont confiance, et parmi ceci un point me stupéfie : l’armée. Ça veut dire quoi, faire confiance à l’armée ? entreprise de décérébrés instruits à obéir aveuglement, dans un contexte tout pourri avec armes xénophobes terroristes anti-civils enfreignant le TNP dont se clament champions nos dirigeants. Je ne comprends pas, mais bon, c’était peut-être une confiance en la capacité protectrice, comme avant les défaites de 1914 et 1940, ce n’est guère lucide. A ce sujet, je fais partis des sceptiques minoritaires. Idem pour les PME, que je vois comme des voleurs légaux cherchant à faire du fric aux dépens des employés, fournisseurs, clients. Pareil pour la police, chargée d’appliquer les lois imbéciles votées par les faux représentant que sont les législateurs (ayant trahi le référendum de 2005, auto-amnistié leurs corruptions, voté une loi raciste en faisant interdire de le dire, etc.). Idem pour l’école qui m’a intoxiqué par un bourrage de crâne atroce, générateur de stupidité moutonnière approbatrice des dominants. Mais bon, ce n’est pas le sujet principal de l’auteur, qui va se centrer sur le désaveu des menteurs politiciens et journalistes.
– L’auteur me choque quand il affirme que le personnel politique est injustement sujet de défiance (voir ce que je dis juste au-dessus).
– L’auteur signale aussi que politiciens et journalistes partagent la même formation le plus souvent : littéraire. Mais il ne questionne aucunement la légitimité de celle-ci, qui n’est pas compétence mais moche usine à bla-bla autosatisfait.
– Autre conclusion très contestable : l’auteur se lamente que les mensonges aient généré la fin de l’autorité, alors que je juge que l’autorité est très majoritairement abusive, scandaleuse, autosatisfaite aux dépens des gens.
– Catastrophe dans les conclusions : l’auteur y fait l’éloge de la pensée cartésienne, qu’il ignore être l’illogisme prétentieux se disant Raison par abus total en affirmant n’importe quoi pourvu qu’il y ait certitude ressentie (au 17e siècle : existence de Dieu, moteur thermique de la circulation sanguine, etc.). C’est incompétent et mal pensé, idiot profondément. Je ne dirais pas que c’est un mensonge dans la mesure où c’est une opinion, mais prétendre à la Raison pour ces âneries est un abus, une malhonnêteté intellectuelle aussi.
– Autre catastrophe : l’auteur est un fan de Voltaire qu’il dit « modèle de tolérance ». Apparemment cet auteur n’a pas lu davantage Voltaire que Descartes n’ayant entendu que de la propagande à leur sujet, les disant géniaux magnifiques, mensonge… J’ai lu le traité sur la tolérance de Voltaire, et j’ai été choqué par son antisémitisme virulent, son mépris total envers les Amérindiens exterminés, et on apprenait à l’école qu’il tenait sa fortune du commerce maritime d’esclaves noirs, sale type, horrible.
– Bilan : ce livre "gouverner c'est mentir", très imparfait, a le bon côté de contenir quelques perles démentant totalement que suspecter les gouvernants de mensonge constitue du complotisme aberrant, mais il s’agirait plutôt de sagesse lucide, oui merci.