Je pense que les Terroristes ont (au moins) à moitié tort
et (peut-être) à moitié raison, hélas

Par CM, en danger, peut-être déjà mort
écrit les 16-17/09/2007
Correction lourde
Ça y est ? hélas
Dernier ajout

1- L'indignation équitable
2- Occident = Mal (complexe, caché)
3- Islamisme terroriste = Mal (évident)
4- Des Occidentaux et des Juifs sont innocents

    Notre président de la république, nouvellement élu, vient de menacer l'Iran de bombardements français si cet Etat islamiste persiste à menacer Israël militairement. Ceci place automatiquement la population française comme cible de futurs kamikazes. Je voudrais leur dire "Non, attendez, n'attaquez pas, il y a un très grave malentendu". Hélas, un débat public préventif (les options pacifistes étant : reconnaissance d'Israël subordonnée au retour des millions de Palestiniens expulsés, retour façon Pieds Noirs des colons Israéliens) est ici interdit au nom "du racisme et de l'antisémitisme", affirmés déboucher automatiquement sur un génocide hitlérien. Avec Internet, accueillant tout même les terroristes, une petite porte reste temporairement ouverte...
    Ayant un tempérament plutôt humaniste suicidaire (non violent envers autrui, comme Jésus-Christ), je cherche simplement une opinion équilibrée, et mon avis personnel pourrait intéresser les camps en guerre (Occident, Islamisme) si le but était une justice honnête, plutôt qu'un écrasement aveugle, d'un côté comme de l'autre.
    [Pour me situer : un de mes 8 arrière grands-parents était Israélite et général, un de mes 4 grands-parents a été franc-maçon, j'ai des beaux-frères Musulmans et Catholiques, Asiatiques et Etats-uniens ; je suis sceptique, simplement intéressé par Jésus, Bouddha, Marx.]

1- L'indignation équitable
* Les médias, politiciens et intellectuels occidentaux, unanimes, affirment – le doigt accusateur pointé sur les islamikazes – que tuer des bébés innocents (ou des enfants, ou des civils adultes) sans défense constitue le crime absolu, diabolique, totalement injustifiable pour quelque raison que ce soit.
* Effectivement, cela paraît convainquant. Songeons donc aux bébés massacrés à Dresde ou Tokyo en 1944-45, et traduisons en tribunal pour crime contre l'Humanité les aviateurs (alliés et autres) de l'époque, les généraux les commandant, les présidents les dirigeant, les électeurs les ayant élus puis réélus. Privons les pays responsables de l'arme atomique et de leurs sièges au conseil de sécurité de l'ONU.
* Là, non, ce n'est pas envisageable, pas une seule seconde. Pourquoi ?
– Certes, ces bombardements incendiaires de quartiers civils ne visaient pas un génocide, mais je ne comprends pas : tuer vingt individus innocents "quelconques" ne me paraît pas moins grave que de tuer six innocents d'une même famille en éteignant une lignée (des parents sans enfants s'éteignent simplement sans descendance, ça n'a rien de spécialement odieux), un meurtre d'innocents est un meurtre d'innocents c'est tout, et c'est grave.
– "La guerre c'est la guerre, justifiant hélas d'oublier les bases morales du temps de paix". Dans ce cas, la guerre anti-occidentale décidée par Arafat/Nasser/Khomeini/Khadafi/BenLaden "autoriserait" pleinement le meurtre d'innocents simplement nés en Occident. L'argument s'auto-détruit.
– Ce sont les vainqueurs, les dominants, qui sont en position de définir le Mal, la réciprocité étant interdite par la force, la violence. Dans ce cas, la sympathie des avis lucides (menacés) irait vers les brimés, les terroristes apparaissant comme des justiciers (certes méchants dans leur combat au nom de l'efficacité) bravant les forces du Mal caché. J'espère que ce n'est pas cela.
– Seule explication que je vois : les bébés de Dresde ou Tokyo ont été, équitablement, par choix réfléchi, condamnés à mort pour "le crime d'être nés Allemands ou Japonais, salis par leurs parents criminels (actifs ou complices), qui portent l'entière responsabilité de l'execution capitale". Ah bon ? Mais alors… les bébés occidentaux ou juifs seraient pareillement tuables de plein droit selon les tribunaux islamistes ou nazis, voyant comme nous le Mal absolu dans l'autre camp.
* Evidemment chaque camp se donne entière raison, mais cela s'appelle de la propagande, non de la Justice. Un débat contradictoire serait juste. Si ce n'est pas possible avec les fanatiques islamistes, discutons au moins entre nous.

2- Occident = Mal (complexe, caché)
* N'ayant pas lu le Coran, je pense rester imperméable à une critique islamique de l'Occident (non-respect de ceci, insulte à cela), mais je suis capable d'auto-critique du point de vue occidental, qui semble incohérent et mensonger. La fête Nationale Française constitue mon point de départ : on m'a raconté que, en 1789-90, le peuple tout entier s'est légitimement soulevé contre les "nobles" (de naissance) qui dominaient le pays et protégeaient leur fortune (héritée, personnellement imméritée, prétendue "justifiée par l'Histoire") au moyen de la force armée, avec soutien des autorités religieuses. Il s'en est suivi (dans le sang, hélas) l'avènement de la Démocratie humaniste, respectant également chaque nouveau-né – et lui donnant (à l'âge majeur) un même poids dans les décisions politiques ou militaires, la majorité des électeurs ayant le pouvoir. J'imagine qu'effectivement, le Bien pour la majorité vaut mieux que le Bien pour des privilégiés – d'accord : là est pour moi le Bien. MAIS cela n'a rien à voir avec l'Occident actuel, qui s'avère résolument anti-humaniste : anti-populiste, anti-mondialiste, religieusement fanatique, raciste.
* ANTI-POPULISME : Se prétendre démocrate ne prouve pas qu'on le soit : la stalinienne RDA disait mieux incarner la Démocratie que la Fédérale RFA et ses élections libres, en 1946-56 les Noirs ne votaient pas aux USA et les voix arabo-kabyles étaient minorées en Algérie Française... En Occident, le pouvoir dit démocratique (indirect) est réservé aux politiciens, soutenus par les "intellectuels" contrôlant la parole autorisée (hors d'Internet). La loi (sauf en Suisse ?) interdit au peuple d'imposer sa volonté aux prétendus "représentants" la trahissant (en imposant autoritairement des mesures impopulaires). Ceux-ci se soumettent seulement à alternance possible (gauche/droite) : choix entre le mal et le pire. Ils tolèrent, à titre d'alibi, un candidat populiste effrayant, présenté comme nazi déguisé, voulant secrètement abroger la démocratie. Les humbles, dont beaucoup sont morts "pour la république", semblent avoir été doublés par les élitistes bourgeois, qui ont créé une "démocratie" à leur profit : il ne s'agit pas de partager entre tous (façon marxiste utopique), ou de rétribuer la pénibilité et l'invention (façon individualiste), mais apparemment de protéger l'enrichissement de quelques familles, aux dépens des producteurs jugés stupides. L'école est ouverte à tous, mais récompense les moutons adorateurs des traditions (orthographe inutilement complexe, auteurs glorifiés) et "vérités" convenues (Science, Histoire), non la logique et l'inventivité, qui constituent l'intelligence selon moi. L'éclosion de la rose 1981 a semblé mettre enfin au pouvoir les travailleurs majoritaires (sous la menace des ogives américaines dirigées contre le communisme), mais les socialo-communistes en ont profité pour imposer l'impopulaire abrogation de la peine de mort, favoriser la minorité fonctionnaire et la minorité syndiquée, accroître les impôts, amnistier la corruption des partis politiques, indemniser le refus de travail pénible ; le Sénat minimisant les voix citadines n'a aucunement été dissous, continuant à assurer un train de vie luxueux aux élus des élus – élus décidant bien sûr généreusement (à l'unanimité) de leur propre salaire, payé par l'impôt réquisitionné sous menace policière… Pour être candidat à élection présidentielle, il est légalement obligatoire d'être soutenu par un grand nombre d'élus ; pour être candidat à élection locale, il est financièrement nécessaire d'appartenir à un parti comptant déjà des élus. C'est verrouillé, plié, par la loi. Bref, ce n'est pas du tout la majorité de la population qui décide, mais le cercle des décideurs. Aux Etats-Unis (dont la France se rapproche de plus en plus), les enfants ne sont officiellement pas égaux (seuls les gosses de riches ayant accès à l'Université, très chère), et il paraît que le plus gros budget publicitaire, le soutien des médias à succès, décident quasiment l'issue des votes, tandis que les lobbies de puissants minoritaires (ayant contribué au financement politique du côté vainqueur) sont ouvertement favorisés une fois l'élection obtenue. Aucun rapport avec le gouvernement du plus grand nombre. Le Bien démocratique semble avoir été détourné, et n'être brandi qu'à titre de mensonge. Certes, peut-être que la majorité des gens serait mauvaise et/ou incohérente, inefficace, gagnant à être guidée par des lucidités supérieures (formant les partis politiques ou le parti unique ou l'intelligentsia ou les lobbies autorisés), mais il ne faudrait pas prétendre à la démocratie alors. C'est une OLIGARCHIE, qu'elle soit ou non soumise à une petite dose de contrôle populaire.
* ANTI-MONDIALISME : (René Dumont suggérait que l'Occident s'est embourgeoisé, et cela recrée à l'échelle du Monde la situation passée de la France). Si tous les êtres humains sont a priori égaux selon la logique démocratique, on aurait pu (ou dû) abolir les frontières délimitant les territoires sous contrôle de dominants différents. Une démocratie mondiale serait née, dominée par la sensibilité majoritaire (vraisemblablement asiatique). Cela n'a rien à voir avec ce monde, qui ressemble plus à un cauchemar : en 1789-90 aurait été instituée en France une Organisation des Régions Unies, chaque région française étant une démocratie, quelques petites régions peu peuplées (mais très riches et surarmées) imposant leurs desiderata à la majorité, tout en combattant les migrations. Ce tableau suit à l'évidence le principe de l'ARISTOCRATIE, domination des "bien-nés" minoritaires sur les "mal-nés" majoritaires. Sous menace policière au nom de l'ordre, sous menace militaire au nom de la paix. Bilan : l'Occident n'incarne nullement le Bien humaniste et démocratique, mais une dictature aristocratique et oligarchique. Qu'on m'explique le contraire : seul, je ne vois pas un seul argument, pas un.
* FANATISME RELIGIEUX : Après la Shoah, en 1947, la colonisation de la Palestine par des Israélites fanatiques a été autorisée, et même soutenue par l'ONU, jugement pleinement confirmé depuis. Avec dépossession des Palestiniens, expulsion vers des camps de misère étrangers, meurtre en cas de refus – d'où la haine qui a généré le terrorisme arabo-musulman. Cette décision d'une ONU dominée par l'Occident n'a aucunement été soumise à référendum mondial, 1 humain = 1 voix. Cherchons donc la logique des guides en ayant décidé ainsi. 1/ Les Juifs ayant été pourchassés depuis 2000 ans, ayant connu une épreuve atroce en 1941-45, leurs survivants se voyaient offrir un refuge – mais cela ne cadre pas avec ce monde, où plus d'un demi-siècle après, les chiffres officiels disent qu'il y a davantage d'Israélites aux Etats-Unis qu'en Israël : la diaspora pouvait se réfugier aux Etats-Unis, sans brimer des populations en paix. 2/ Les Juifs, autrefois chassés d'Israël, se voyaient simplement rendre leur propriété – mais il aurait fallu pareillement rendre les Etats-Unis (et les Antilles, etc) aux survivants Amérindiens, ce qui n'a nullement été envisagé. 3/ La seule et unique explication plausible que je vois est le fanatisme judéo-chrétien qui, selon l'Ancien Testament biblique (et en disant discrètement merde à l'humanisme de Jésus-Christ), accorde aux Israéliens une propriété éternelle, qui est formellement refusée aux Amérindiens (non moins victimes d'extermination). Que l'on me donne une autre explication, je suis ouvert, mais si elle existait, elle aurait déjà été donnée aux Islamistes et Musulmans modérés risquant l'islamisation… Ce parti pris religieux forcené est confirmé par la Loi Gayssot, dans une France théoriquement laïque : même si l'on est dit "libre" de croire ce que l'on veut en matière religieuse ou philosophique, l'idée bouddhiste indienne "tout est illusion" comme l'idée cartésienne/sceptique "ce monde pourrait être un rêve" sont officiellement punies de prison et ruine (sauf internement psychiatrique ou assassinat – acquittable pour légitime colère), puisque n'obéissant pas au dogme réaliste des judéo-chrétiens dominants : la Shoah.
* RACISME : L'horreur de la Shoah (même imaginaire, peu importe) pouvait légitimement faire interdire le racisme, l'anti-humanisme, en requérant d'admettre que les nouveau-nés sont innocents, seuls leurs actes ultérieurs étant punissables ou récompensables (peu importe qu'ils expriment en partie des tares/talents innés : on n'est pas 100% déterminé à la naissance). Les décorations des patriotes bombardiers alliés (écraseurs de cités) auraient été retirées, avec excuses officielles pour un grand Mal hélas commis pour éviter pire – non par des héros célébrés mais par de tristes bourreaux, plus contestables encore (à cause des victimes innocentes, seulement "mal nées") que ceux ayant fait fonctionner en 1970-80 la guillotine tout en récitant à l'église "tu ne tueras point". Humanistement : les familles royales, se prétendant élues du Dieu universel (de fait ou via la descendance hypothétique de Jésus-Christ), auraient dû admettre qu'il n'y a pas de sang noble a priori, seulement des réussites au mérite personnel en concurrence loyale (sans favoritisme des "bien nés"), ces familles n'ayant plus le droit d'éduquer leurs enfants à mépriser autrui au seul nom de l'ascendance, générant la violence révolutionnaire. Les familles israélites de même, la religion judaïque devant se réformer ou se voir classée en secte dangereuse, comme son symétrique opposé : le nazisme religieux (Dieu aurait élu la race aryenne et Hitler serait le prophète – non, la "liberté religieuse" n'excuse pas l'aveuglement raciste). Au nom de la Justice, de l'honnêteté, de l'intelligence, le mot Juif doit été clarifié: dissocier le groupe des Juifas d'ascendance, le sous-groupe des Juifos de religion – le fait d'être Juifa n'ayant absolument aucune culpabilité (sauf pour des racistes, se trompant de colère) tandis que le fait d'être Juifo est un contestable choix politique, voulant accomplir les prétendues volontés d'un universel Dieu raciste (proJuifa) et anti-humaniste (proJuifo). Puisque les représentants Juifos hurlent à la persécution raciste pour moins que cela, il serait expliqué qu'innocenter totalement les Juifas non Juifos est au contraire une prévention des injustices racistes. Mais la disparition des bases Juifos ne dissuaderait plus des mariages mixtes, conduisant certes comme le nazisme à la disparition du "peuple juif" (Juifa pur sang), cet ethnocide pacifique valant (selon des Juifos) génocide raciste. Le mot racisme serait alors clarifié lui aussi, dissociant : raçusme humaniste souhaitant une humanité unie sans races distinctes (dégradé du Noir au Blanc, du 100% Juifa au 0% Juifa), raçosme orthodoxe souhaitant la persistance de races séparées, hiérarchisées (avec tout en haut : les Juifs selon les Israélites, les Aryens selon les Nazis, les Blancs selon l'apartheid, les Français selon nos sportifs patriotes, les Corses selon nos indépendantistes). Le raçosme serait classé criminel ou criminogène, l'hymne de la Marseillaise verrait au moins une de ses phrases censurée (celle qui appelle à faire couler le sang "impur" des étrangers, et de leurs bébés, donc). L'alliance judéo-chrétienne éclaterait peut-être alors : pour les humanistes chrétiens, il est je pense inadmissible que les naïfs juifas antiraçostes (raçustes), comme Jésus-Christ et moi, soient victimes de l'amalgame avec les très contestables juifos raçostes (antiraçustes). Au lieu de cela, l'intelligentsia occidentale, stupide ou/et malhonnête, cautionne que l'on ne peut être classé qu'en raciste antisémite (avec Hitler et Ben Laden) ou antiraciste proJuif (avec l'ONU, et les USA prétendant servir Jésus-Christ). Ce tour de passe-passe, abritant les Juifos derrière les innocents Juifas non Juifos (bébés, métis, convertis), est cautionné par la loi, en France, "contre le racisme et l'antisémitisme", c'est à dire contre tout raçosme autre que le Juifo raçosme proJuifa (+ le raçosme nationaliste/patriote – sous réserve qu'il ne soit pas antiJuifo – principe qui sert Israël et la domination occidentale), et contre l'antiraçosme raçuste (de Jésus-Christ) qui est classable antisémite. Avoir obtenu ce résultat tordu est peut-être un succès rhétorique impressionnant, mais c'est une tromperie basée sur l'amalgame diabolisateur, en interdisant de parole les objections. Hitler ne doit évidemment jamais être oublié, c'est en son nom, explicitement grâce à son "œuvre", que tout cela est possible.
    Les dominants d'Occident ne brillent pas par leur lucidité, leur intelligence, leur honnêteté, non, c'est une simple loi du plus fort, comme dans la royauté prétendûment chrétienne de 1788, comme dans une restauration royale qui affirmerait (et interdirait de mettre en doute) que la démocratie conduit automatiquement à la Terreur d'un Robespierre, à l'assassinat de nobles bébés innocents. Propagande.

3- Islamisme terroriste = Mal (évident)
* Le fait de persécuter ou tuer les libres penseurs, contestant La Vérité indiscutable enseignée aux enfants, a été pratiqué, aux siècles passés paraît-il, par l'Eglise Catholique, par le Communisme, etc. En n'aboutissant qu'à la guerre et l'injustice, pas du tout à l'harmonie. Ce fut je crois une erreur grave, ça ne me paraît pas du tout l'exemple à suivre pour l'Islam. Que les opposants aient fait pareil ne serait pas accepté comme excuse – les Japonais ont été férocement punis par les Occidentaux leur interdisant de coloniser à leur tour les territoires colonisés par les Français (et Espagnols, Néerlandais, Britanniques, etc). La seule voie vraiment respectable me semble d'expliquer, faire comprendre, non d'imposer par la force. Jésus-Christ, le Bouddha, Karl Marx, ont dit des choses très intéressantes, éclairantes même pour un incroyant extérieur, qu'a dit Mahomet ?
* Si le Coran devenait l'ouvrage de référence mondial à la place de la Bible, il n'y aurait sans doute pas moins d'interprétations divergentes et de guerres entre sectes. Comme les familles Catholiques et Protestantes se sont entre massacrées, les familles Chiites et Sunnites se massacrent. Cela paraît monstrueux, et il faudrait faire taire les fanatismes pour devenir convainquant, ou plaisant, ou admirable.
* Les valeurs islamistes ne sont pas nécessaires pour faire percevoir l'horreur raciste que constitue la re-colonisation judaïque d'Israël sans re-colonisation amérindienne des USA, aussi choquante pour des humanistes athées, agnostiques, sceptiques, bouddhistes, certains chrétiens même. Un appel à la lucidité, l'honnêteté, l'équité, pourrait suffire, et se lancer dans une guerre de religion étouffe cela, l'esprit de libre examen étant écrasé par les autorités religieuses, requerrant une foi aveugle ou une obéissance quasi militaire sans doute permis.
* Comme je doute que le Dieu des Chrétiens approuve le soldat ayant tué sciemment un bébé de Nazi, que le Yahvé des Israélites approuve le soldat ayant tué sciemment un bébé de terroriste, je doute que le Allah des Musulmans approuve le kamikaze ayant tué sciemment un bébé d'Israélien ou Etats-Unien ou Français. La guerre défensive contre une force envahissante peut se comprendre, la guerre offensive contre des faibles paraît atroce.

4- Des Occidentaux et des Juifs sont innocents
* La décision de rendre Israël aux nombreux Juif(o)s qui le souhaitent (sans rendre les USA aux Amérindiens) est imputable à l'Occident dominant le Monde aristocratiquement, d'accord, mais les électeurs occidentaux n'en sont pas responsables : le pouvoir prétendument démocratique en Occident appartient en pratique à une oligarchie sioniste (droite comme gauche), bannissant tout référendum sur la question israélienne même si cela nous conduit à la guerre, et les électeurs ne protestent pas puisque leur cerveau est lavé par la propagande médiatique, les objections sur ce sujet étant interdites de parole, diabolisées. Que le camp brimé tue des enfants, des pompiers, facilite cette propagande des puissants, fait taire les avis lucides, auto-critiques, accusés d'être complices de l'horreur. C'est je crois une grave erreur stratégique. Discutons. Aux "sionistes modérés" qui veulent la coexistence pacifique de 2 états, Israël et Palestine, demandons de faire pareil aux USA : expulsons la plupart des Etats-Uniens, dépouillés de tout, pour donner la moitié territoriale de leur choix aux descendants d'Amérindiens (venus de leur exil mexicain ou autre, pour prendre 90% des côtes avec monopole de la continuité territoriale) – si c'est inadmissible, ayons l'honnêteté de trouver autre chose pour la Palestine.
* Les décisions occidentales en faveur d'Israël sont peut-être guidées, anti-démocratiquement, par un très puissant lobby israélite resté hors d'Israël (même si de nombreux Chrétiens vénèrent l'Ancien Testament judaïque, ce qui pourrait suffire), mais cela ne traduit en rien une culpabilité intrinsèque des individus d'ascendance juive (Juifas). Au lieu de s'en prendre aux Juifs injustement, il conviendrait de dénoncer l'amalgame criminel qui permet aux Israélites racistes (Juifos) de "se cacher derrière des innocents pour devenir en matière de racisme les victimes". Cette remarque ne vaut peut-être même que pour les leaders Juifos, car les anonymes Juifos sont peut-être victimes d'endoctrinement, de religieux lavage de cerveau depuis le berceau – il serait généreux de leur offrir la chance d'une désintoxication : une invitation à simplement ouvrir les yeux (sans ingurgiter un endoctrinement différent, type coranique). Allah, s'Il existe, ne souhaite vraisemblablement pas le meurtre d'égarés récupérables.
* Bref, au lieu de tuer coupablement des innocents, dans un esprit de vengeance aveugle, il conviendrait de faire réfléchir, pour faire apparaître et condamner les coupables du crime source. Hélas, ce n'est peut-être pas possible, il y a eu des assassinats politiques (crucifixion et autres) pour moins que ça, mais cela mérite d'être tenté je crois. Si, en ayant tous les éléments en main, les électeurs occidentaux confirment une volonté d'injustice, ils seront alors effectivement coupables (en majorité, salissant – façon allemande ou japonaise – leurs contradicteurs et leurs enfants, complices de laisser faire) – ce n'est pas encore le cas.

CORRECTION LOURDE, 09-11/01/2011
    J’ai maintenant lu le Coran (que j’ignorais totalement) et les quatre Evangiles officiels [dont je ne connaissais que deux points admirables : l’instruction « tendre l’autre joue si vous avez été giflé » et la Parabole du Bon Samaritain qui se résume à « quelle que soit votre origine et religion (ou absence de religion), ce qui compte est d’aider autrui »]. Mon angélisme s’est effondré avec cette lecture et cela m’amène à rejeter certains mots que j’ai employés ci-dessus :

* « Ayant un tempérament plutôt humaniste suicidaire (non violent envers autrui, comme Jésus-Christ), je »
--> Non, Jésus-Christ appelle au meurtre des parents éloignant les enfants de (son) Dieu (Matthieu 18.6-9, Marc 9.41-42 – et Luc 17.1-2 moins clairement), ce qu’ont effectivement accompli les Croisés et Conquistadores (que je juge abominables) – n’en déplaise au menteur auteur du « Christ philosophe » disant que l’intolérance était un détournement de la parole du Christ. Qui plus est, Jésus traite les non-juifs de chiens et ne récompense que ceux se limitant à manger les miettes sous la table des Juifs (Matthieu 15.21-31) – ce qui n’a nullement choqué son auditoire judaïque (jusqu’à ce qu’il veuille se faire adorer comme Dieu). Quelle horreur ! Comment ai-je pu me comparer à ce monstre raciste tueur ? Mea culpa – ou plutôt, je me considère avoir été victime d’endoctrinement mensonger. Mère Thérésa et l’Abbé Pierre, effectivement admirables, semblent ne pas avoir lu l’intégralité de l’Evangile (ou avoir préféré « oublier ce qui gêne »).

* « Les médias, politiciens et intellectuels occidentaux, unanimes, affirment – le doigt accusateur pointé sur les islamikazes – que tuer des bébés innocents (ou des enfants, ou des civils adultes) sans défense constitue le crime absolu, diabolique, totalement injustifiable pour quelque raison que ce soit. »
--> Non, pas du tout : les religions bibliques (judaïsme, christianisme, Islam), qui dominent le monde depuis l effondrement communiste, vénèrent l’Auteur du Déluge qui a parait-il exterminé l’Humanité (entière sauf une famille, celle de Noé l'inventeur de l'esclavage), donc assassiné des milliers ou centaines de milliers d’enfants (et embryons, très facilement corrigeables par le Tout-Puissant qu'Il est prétendu être). Le contexte est donc la vénération religieuse du Terrorisme absolu, totalement légal et conforme aux Droits de l’Homme (prétendus Universels) puisque ceux-ci clament la liberté de religion (au moins pour ces 3 anciennes religions, les autres étant éventuellement condamnables comme "sectes"). L’immoralité et la malhonnêteté règnent. Certes, en face, les athées Staline et Mao ont été monstrueux d’une autre façon (de même que les déistes Francs-Maçons, en s’enrichissant sur le dos des masses méprisées), le contexte n’est absolument pas la recherche de justice honorable, seulement la domination bestiale.

* « N'ayant pas lu le Coran, je pense rester imperméable à une critique islamique de l'Occident (non-respect de ceci, insulte à cela), mais je suis capable d'auto-critique du point de vue occidental »
--> J’ai maintenant lu le Coran, et je suis toujours imperméable à une critique islamiste. Cette religion semble, comme le Christianisme, et le judaïsme (d’après la Genèse que j’ai lue), fondée sur le principe de ne pas oser douter de la parole religieuse (la fable du péché originel a puni de mort la recherche personnelle de cohérence morale), pour éviter l’enfer et gagner le Paradis. Bref, il s’agit de devenir décérébré dirigé par bâton et carotte. 4 ans d’âge mental, me semble-t-il, et beaucoup d'enfants sont très méchants, cruels, dangereux, oui, sans autorité au-dessus (et le Dieu/Allah biblique, s’Il existait, pourrait si facilement expliquer à chacun, sans se limiter à un vieux texte prêtant à interprétations divergentes…). Finalement, la foi sans autocritique se situerait plutôt à 3 ans d’âge mental. Ou 5 ans, je ne suis pas du tout spécialiste, à quel âge ose-t-on douter du Père Noël ? Les gens me diront que je suis insultant, mais ne m'ont-ils pas insulté les premiers en me traitant de "malade mental" car ma logique dérange ? (la confusion "rêve-réalité" est classée schizophrène, la cosmologie égocentrique est classée paranoïaque - autrefois on disait "démoniaque", le principe reste le même : la rebellion argumentée est interdite).

* « La seule et unique explication plausible que je vois est le fanatisme judéo-chrétien qui, selon l'Ancien Testament biblique (et en disant discrètement merde à l'humanisme de Jésus-Christ), accorde aux Israéliens une propriété éternelle, qui est formellement refusée aux Amérindiens (non moins victimes d'extermination). »
--> La paranthèse sur l'humanisme de Jésus est une erreur totale, pardon : la Parabole du Bon Samaritain est totalement contredite dans d'autres passages. Jésus-Christ n’était nullement un humaniste mais un rabbin normalement méprisant envers les non-Juifs, qu’il a explicitement traités de chiens. Des pasteurs Protestants ont récupéré ceci en disant que les Protestants ou les Etasuniens constituaient « les nouvelles tribus d’Israël ». Le principe biblique est résolument anti-humaniste, ce que n’a contesté de l’intérieur, semble-t-il, que Mohammed, disant que Dieu/Allah avait changé d’avis et que tous les convertis à l’Islam étaient égaux à Ses yeux, sans plus de logique tribale. Toutefois, Mohammed était un esclavagiste, comme nous le répètent les médias, donc pas un humaniste moral (évitant de faire à autrui ce qu’il n’aimerait pas subir). Mais... Jésus était aussi un esclavagiste, même si c’est totalement occulté par les médias et intellectuels occidentaux : Jésus admirait les esclavagistes croyants (Matthieu 8.5-13), Jésus approuvait l’esclavage héréditaire pour les familles à parents endettés insolvables (Matthieu 18.25)… Donc oui : la monstruosité domine, la morale altruiste est ailleurs. Certes, Jésus incarne la pensée d’extrême-droite [il veut prendre toujours davantage aux pauvres pour donner encore plus aux riches (Luc 16.20-26, Marc 4.24-25 – il dit le contraire ailleurs, selon son habitude pour ratisser large…)], mais la voie socialiste n’est guère plus plaisante, en élisant la paresse fonctionnaire grassement payée par réquisition armée sur les pauvres petits employés du privé, sans qui la misère communiste régnerait…

* « Jésus-Christ, le Bouddha, Karl Marx, ont dit des choses très intéressantes, éclairantes même pour un incroyant extérieur, qu'a dit Mahomet ? »
--> Oui, les trois penseurs cités au début ont dit quelques choses intéressantes, mais l’autocritique devrait être la règle pour les contester : Jésus avec son esclavagisme, racisme, intolérance tueuse, Bouddha avec sa mendicité, Marx avec sa favorisation de la paresse fonctionnaire. Dans le Coran, Mohammed n’a rien dit qui m’ait intéressé, il ne fait que décliner les menaces judaïques et chrétiennes, commander de manière indubitable, sans la perle des deux points chrétiens qui m’avaient séduits. Avec bâton et carotte, énormes, ça marche tout pareil, très très fort. L’intelligence critique est bien sûr (là aussi) classée criminelle… Je ne suis pas musulman, je constate seulement que les Musulmans sont injustement condamnés par des très-semblables.

* « La décision de rendre Israël aux nombreux Juif(o)s qui le souhaitent (sans rendre les USA aux Amérindiens) est imputable à l'Occident dominant le Monde aristocratiquement, d'accord »
--> On pourrait ajouter que c’est la position judéo-chrétienne logique, conforme à la Bible, et que la légalité de (la vénération de) celle-ci est une honte morale (au sens humaniste, certes pas au sens raciste/judaïque/patriote).

* « mais les électeurs occidentaux n'en sont pas responsables »
--> >Finalement, je dirais plutôt « pas complètement responsables », car il est clair que la voix vraiment humaniste, voulant partager la misère du monde (ou progresser avec tous), est ultra-minoritaire, négligeable. Certes, celle-ci est peut-être surhumaine, ne séduisant que des ermites semi-suicidaires. La normalité humaine consiste à s’enrichir sur le dos d’autrui, en épousant un riche pour les femmes ou en étant un riche séduisant pour les hommes, pour choyer ses gamins aux dépens des autres, le système fonctionne ainsi. Hélas. Sous l'action de traitement psychotrope à haute dose, je suis moi même devenu complice, ayant épousé une pauvre asiatique me voyant comme prince charmant car occidental, son but à elle étant d’élever un enfant très riche. L’Humanité me paraît coupable, me paraît condamnée. Sauf deux personnages imaginaires, dans ma tête, Gérard et Patricia, effectivement très beaux moralement (à mes yeux) – mais Patricia n’existe pas et Gérard en serait mort, normalement (si les docteurs ne m’avaient pas rattrapé, contre mon gré).

--> --> Positivement, idéalistement, comment pourrait être « vaincu honorablement » (dissous) le terrorisme ? A mon avis (hérétique) :
– En officialisant sur tous les médias, et dans toutes les écoles, que la Justice (non raciste) consiste à rendre les USA (et Antilles) aux Amérindiens autant (ou aussi peu) que Israël aux Israélites.
– En envisageant explicitement de répudier le Droit de l’Homme sur la liberté religieuse : comme la religion nazie (adorant l’exterminateur Hitler) est interdite, les religions bibliques (adorant l’exterminateur auteur du Déluge) seraient toutes interdites, équitablement.
– En expliquant dans les écoles que les propagandistes considèrent leurs cibles comme des crétins : les faisant marcher avec bâton et carotte invérifiables, les yeux fermés, avec interdiction d’autocritique. (Ceci valant autant pour les religieux que pour les communistes antireligieux).
    Il est clair que cette triple solution sera condamnée : il est tellement facile d’attirer la haine des suivistes dirigés par bâton et carotte, et la frugalité déplaît presque universellement. C’est simplement le point de vue surhumain qui serait moral je crois. Mère Thérésa et l’Abbé Pierre auraient pu l’écrire, je pense, s’ils avaient osé critiquer vertement leur Jésus (ou les rédacteurs d’Evangiles officiels).

Ça y est ? hélas (24/03/2012)
     L’affaire Toulouse-Mautauban (puis Mohamed Merah), avec 7 personnes assassinées dont 3 enfants juifs, me met (en un sens) en accusation, puisque je disais comprendre à moitié les terroristes alors que la télé dit « TOUTE la France terriblement et unanimement choquée, sauf les atroces terroristes islamistes qui applaudissent de joie secrète ». Non : dans cette guerre, il y a des neutres au milieu, sur lesquels tape chaque camp (selon le vieil adage rhétorique malhonnête « qui n’est pas avec nous est contre nous »).
     La télé explique qu’une enseignante malsaine (ayant voulu faire une minute de silence en mémoire du terroriste abattu et non de ses victimes) sera révoquée de la fonction publique, ça rappelle l’Inquisition, et elle a pareillement présenté ses regrets et excuses médicales de grande fatigue nerveuse. Ma position, différente, n’est pas secrète, pas monstrueuse je crois : comme je trouvais horrible le récit des tueries d’enfants limousins (Oradour) ou japonais et allemands (Hiroshima et Dresde), ou Juifs (Auschwitz) ou Arabes (Der Yassin), je trouve pareillement horrible la tuerie de ces trois nouveaux enfants, dix mille fois moins nombreux que les victimes de nos prétendus « héros » 1940-45 récompensés de Droits de veto ONU. La guerre est horrible, oui. Mais avant de dire, avec chaque camp, qu’il y a un camp du Mal total contre un camp du Bien total, je pense qu’il faut juger les fautes de chacun. La faute de tuer des enfants (et des adultes au hasard, peut-être opposants aux gouvernants) est une horreur, c’est clair, mais que l’on écoute le point de vue en face, sans cela on baigne dans la propagande et le lavage de cerveau, au nom du respect des victimes (technique classique de la propagande, comme en Allemagne nazie 1944 ou Russie stalinienne 1946).
     La décolonisation rétablissant les droits autochtones (classés indigènes) contre les racistes colons envahisseurs n’est pas achevée, le racisme continue à triompher : les Israéliens et les Etats-Uniens ne sont pas du tout rapatriés à la manière Pieds-Noirs. Au nom d’un fanatisme religieux déclarant le Dieu universel raciste, privilégiant la lignée issue d’Abraham, endogame (puis « les nouvelles tribus d’Israël »), habilitée « de droit divin » à chasser ou tuer les Cananéens, les Amérindiens, les Palestiniens. Là est le fanatisme religieux source, que combat le fanatisme inverse. Moi je serais tenté de dire stop (et je ne comprends pas que ce ne soit pas la position de tous les athées, bouddhistes, etc.) : que les lois antiracistes et antigénocidaires soient appliquées équitablement, alors Yahvéh/Dieu/Allah passe au tribunal, avec pour le moins vénération interdite même si Lui est aussi insaisissable qu’une chimère (je ne dis pas qu’Il n’existe assurément pas, mais que ces textes antiques L’insultaient, c’est Lui faire honneur de L’en laver). Et alors, même si l’on admet le résultat des regrettables guerres passées lointaines, rien n’interdit aux Palestiniens expulsés de revenir en Israël, aux Mexicano-Indiens chassés de revenir en Californie et Texas. Si ce serait alors la guerre, ce serait la guerre des racistes occidentaux contre les humanistes peut-être majoritaires sur Terre. Et dans un siècle, peut-être que tout le monde se demandera comment parmi nous personne ne pouvait avoir la moindre once d’esprit autocritique – je réponds par avance : pas personne, non, seuls quelques anormaux résistant à la propagande.
     Je perçois une objection évidente : « tu fais des théories fumeuses sur la planète entière et les siècles, mais là, en ce jour très grave, c’est le drame immédiat de familles anéanties sans faute aucune, qui impose le respect de TOUTE notre nation, de TOUTE l’humanité digne de ce nom !!! ». Je ne suis pas d’accord, quant à ces familles ayant voulu élever leurs enfants complètement dans la religion rabbinique. Après 14 ans d’instruction israélite, mon camarade J.A. disait avec un total sérieux que les non-Juifs sont des êtres inférieurs (le rabbin Jésus disait : « des chiens »), oubliant que le piston intra-communautaire justifiait sans mérite ses statistiques secrètes de richesses et publications, expliquait que lui ne soit pas numéro 1 en concurrence scolaire loyale. Alors, pour ces parents ayant voulu que leurs enfants apprennent ainsi que les non-Juifs sont des chiens, et les ayant vus se faire mordre de colère, à mort, je répondrais que ce sont eux parents les coupables, d’anti-humanisme raciste créateur de violence (une défense est possible, en expliquant qu’il s’agissait d’intoxication subie et reproduite sans réfléchir, avec transfert d’accusation effectivement). Condamner ce mécanisme à la source semble la seule solution, mais non pas pourchasser la moindre ébauche de résistance aux insultes judaïques, mais interdire ces insultes proprement dites, écrites en textes dits sacrés. [Officiellement, pas l’ombre d’une insulte proclamée, simplement il s’avère que, par hasard, les pauvres chéris seront enterrés en Israël, pas dans l’impure terre pourrie de France, sur laquelle ils ne restaient au milieu des sales inférieurs que pour faire du fric et faire pression sur les dirigeants nationaux (quand ce n'est pas eux-mêmes) en faveur d’Israël, chut, il faut pas le dire : « de petits français innocents comme les autres »]. Le judaïsme devrait selon moi se réformer pour devenir une religion ouverte à tous, bénissant les mariages mixtes et le partage du sang d’Abraham, sinon c’est une secte raciste méritant d’être classée avec la religion néo-nazie des trop fiers Aryens ou Apartheidiens. La loi française, totalement pourrie je crois, interdit de le dire, exemptant les Israélites de toute accusation de racisme (au nom du crime antisémite, comme si l’antinazisme était un racisme anti-aryen), avec défilé servile de toute « l’Elite » au dîner annuel du CRIJF. En république (démocratie "indirecte") court-circuitant le peuple, ça paraît sans espoir, alors ça pète, ça tue, évidemment, hélas. Il suffirait d’ouvrir les yeux honnêtement pour annihiler ce terrorisme qui couve. Pour parer ces horreurs, il n’y a nul besoin d’imam et de tuerie, au contraire, ça avilit tout, horriblement. Certes, la voie du débat équitable semble utopique, hélas, le discours abêtissant a bien plus de succès (Bien occidental d’un côté, Paradis des tueurs martyres de l’autre côté).
     Signé : un « Juif de sang mêlé », arrière-petit fils d’une soubrette violée (par un notable général israélite), circoncis comme toute la famille mâle pour raison médicale. Ecrit sous nouvel anti-psychotique Abilify – mais si je dis n’importe quoi, pourquoi ne pas m’expliquer simplement où je me trompe ?
---PS. (27/03/2012) Personne ne me répond, alors j’imagine des condamnations muettes, comme « ces mots sont atrocement antisémites ! ». Je réponds que c’est une calomnie grave, un contresens total :
- le racisme, c’est se tromper de colère
- susciter le racisme peut se faire en cachant les coupables derrière des innocents quitte à les faire tuer.
Mon opinion est que les nés juifas (comme moi et tous les bébés de cette ascendance) sont a priori innocents, totalement, mais ceux d’entre eux qui sont devenus des racistes juifos (cachés ou non derrière l’alibi religieux, pour Israël contre le retour des Palestiniens expulsés et/ou contre les mariages mixtes) sont coupables de racisme. L’hostilité au racisme juifo est de l’antiracisme, comme l’appel au discernement de ne pas condamner les juifas. Mais… que les juifos hurlent au racisme antijuifa quand on les dénonce eux, c’est une tromperie par amalgame. Le discernement est le contraire du racisme. Si les juifas étaient supérieurement intelligents comme le prétendent les juifos, ils discerneraient l’erreur logique, donc les juifos seraient des menteurs. Leur simpliste manœuvre manichéenne marche hélas à la perfection, m’accuser d’antisémitisme le prouverait encore. La justice est ailleurs, la vraie puisqu’ils gouvernent lois, tribunaux et presse (eux et leurs alliés, dominant France, Occident, Monde). Oui, je suis paranoïaque aussi, sans doute. Oups, et je tiens l'explication, là : je me demandais pourquoi les athées étaient sionistes (sans rendre l'Amérique aux Amérindiens), pourquoi l'Islamisme a le monopole de la condamnation du sionisme, ça va ensemble ! En réservant à un Islam extrémiste tueur l'évidence antiraciste de l'antisionisme, il est fait croire aux athées que la pire religion est l'Islam, d'où alliance avec les judéo-chrétiens, perçus comme moins pire. La manoeuvre, malhonnête, réussit entièrement là encore. Ils vont me faire assassiner par un Islamiste, ça évitera d'ouvrir les yeux, tout semble prévu. Enfin, j'espère que c'est du pur délire, mais ça paraît plausible, hélas.
     Illustration (29/03/2012):

Dernière note (31/03/2012)
     J’ai entendu à la télévision hier (ou avant-hier) un reportage disant que « les enfants français étaient traumatisés par l’affaire du tueur de Toulouse, et les parents se trouvaient totalement démunis, ne trouvant pas un seul mot pour expliquer ce geste de tuer des enfants, totalement incompréhensible pour tout le monde. Pourquoi s’est-il produit et pourquoi ne recommencerait-il pas ? mystère absolu, effrayant. »
     Evidemment, la télévision ne donnant pas un seul élément d’explication, les parents ne comprennent pas. Moi j’expliquerais ceci :
- La France s’est dotée d’armes terroristes d’extermination des civils (enfants inclus), et bataille diplomatiquement pour se réserver ce privilège, tout l'Occident est d'accord. Cela fait qu’une guerre avec la France ne peut pas être frontale, inter-armées au-dessus de la mer, elle frappe les électeurs qui choisissent les gouvernants qui commandent l’armée. Oui, la France est ainsi en guerre, actuellement, ce n’est pas le pays des Bizounours.
- Pourquoi nos enfants ? Eh bien, notre camp a, de même, sciemment exterminé les enfants de Dresde et Hiroshima (ou Berlin et Tokyo, moins célèbres) : c’est le plus atroce donc le plus efficace en guerre psychologique. Les adversaires font comme nous, simplement.
- Pourquoi une guerre entre Islamistes et Occident ? Parce que les Occidentaux refusent racistement le retour des expulsés Palestiniens de 1948 (expulsés pour cause de sale race, avec conversion au judaïsme interdite), ou de ceux ayant fui les exterminations racistes de femmes et enfants (comme Der Yassin). L’Occident est fanatiquement judéo-chrétien, voulant rendre la Palestine aux prétendus Hébreux mais surtout pas l’Amérique aux Amérindiens. Les (rares) humanistes en pleurent de honte, de plus nombreux fanatiques partent en guerre. Jeux de Munich, World Trade Center, tuerie de Toulouse, et ça peut continuer des années.
- Comment honnêtement arrêter cette horreur ? Je vois trois solutions, totalement refusées par l’Occident :
. le rapatriement des envahisseurs Israéliens, façon Pieds-Noirs (figeant le monde à 1945, avec autodétermination des peuples pour chasser éventuellement les colons)
. le rapatriement des Etats-Uniens, des Normands, etc. (restaurant les propriétés antiques), Israël serait rendu aux Cananéens…
. l’abolition des frontières (avec une zone Isralestine ou Palestaël d’accès libre à tous, comme la France et les USA – ah, il faudra travailler aux cadences chinoises pour regagner un peu de confort… l’injustice du monde aura cessé. On le refuse ? alors on ne peut pas se dire être les Gentils, les Honnêtes…).
- La télé, gauche et droite, Israélites modérés et Musulmans modérés, nous clame que la solution est la coexistence pacifique de Israël et Palestine, mais… les expulsés restent expulsés, entassés et ruinés, c’est totalement asymétrique comme point de vue, c’est raciste, en faveur de la prétendue race élue du Dieu universel. La guerre raciste/antiraciste continuera. (Même si l’extrême-droite israélienne perdait le pouvoir et cessait d’accroître la colonisation des territoires occupés de « Palestine », même si les USA cessaient d’interdire la création d’un Etat Palestinien, même si les aristocratiques droits de veto ONU étaient enfin abolis).
     Alors… pas de Bizounours, la mort guette à chaque coin de rue, à chaque entrée des classes. C’est le prix de la malhonnêteté raciste inavouée. Je pense que c’est une erreur de tuer ainsi, que nous sommes victimes de propagande éhontée, qui marche hélas à merveille. Mais on peut expliquer l’horreur qui frappe, si. Il suffit de réfléchir je crois – du moins : les lucides athées et agnostiques n’ont aucune espèce de raison de suivre le mouvement sioniste. C’est le système occidental qui est pourri, et des prétendus justiciers frappent, il serait temps de, honnêtement, tout remettre à plat. La conférence ONU Durban 2 en était l’occasion, l’Occident (diplomatie et journalistes) est parti en claquant la porte. Alors, on nous tue, oui, c’est pas juste, mais les tueurs ne sont pas les seuls coupables. La télé dit aujourd’hui qu’un critique ingénieur du CERN, écrivant contre la France, est passible de 10 ans de prison pour connivence avec les terroristes. La propagande marche plein tube, et il n’y a pas une seule voix discordante (du moins : voix autorisée, personne survivante)…

Déception (13/04/2012)
     Hier, j'ai entendu un clip de campagne présidentielle d'Eva Joly, immensément décevant, accusant tous les français (non Juifas) d'antisémitisme, ou tendance à l'antisémitisme – ce que fait le CRIJF systématiquement, classant en antisémitisme l'hostilité à Israël, le souhait de retour des Palestiniens expulsés, le fait de trouver raciste la Bible, etc. Et, c'est vrai que comme le sioniste chrétien Bush Jr, la juge Eva Joly peut être juifophile non juifa. Je ne voterai pas pour elle (malgré sa chouette position contre les droits de veto ONU et contre l'armée) mais je peux préciser une part de mon tableau du dessus :


Correction (10/08/2013)
    Quand j'ai écrit ce site, en 2007, je n'avais pas encore lu l'intégralité des Evangiles, et je dois corriger un ouïe-dire erronné au sujet de Jésus-Christ. D'après l'épisode de la Cananéenne, le rabbin Jésus n'était nullement un humaniste mais un raciste pro-juif traitant les non-Juifs de chiens. Il était candidat à être reconnu Messie judaïque et n'inventait nullement l'humanisme. Ce n'est qu'en voulant être adoré à l'égal de Dieu qu'il s'est détaché du rigorisme judaïque, a été rejeté par l'essentiel de son public cible (tribus d'Israël), et s'est reporté avec dégoût vers le reste de l'humanité qu'il avait traité de chiens. Le christianisme, en ce sens, n'est nullement un humanisme (antiraciste) mais une variante du judaïsme (raciste). De même, Jésus n'a nullement condamné la conquête exterminatrice du Pays de Canaan par les Hébreux, ce qui explique que les chrétiens aient pratiqué la conquête exterminatrice de l'Amérique - l'antiracisme est ailleurs.

Mise à jour d’actualité (09/05/2016)
    Après les tueries de Charlie Hebdo (07/01/2015) puis du vendredi 13 (/11/2015) à Paris, le terrorisme ici n’est plus une éventualité possible mais un fait avéré, il convient donc de refaire le point. Le gouvernement français, et toute la classe politique prétendue d’opposition, sont d’accord pour faire front uni contre le terrorisme, accusant de crime odieux les esprits libres qui osent refuser de les rejoindre. « Nous sommes en guerre ! », hurlent-ils, « et faire défection c’est donner la victoire aux monstres ». Au risque de la prison, je ne suis pas d’accord. Les solutions que je propose ne consistent pas du tout à renforcer les guerres externe (sur les fronts djihadistes) et interne (police militarisée en état d’urgence). Au contraire, je dirais :
1/ Les civils d’ici sont innocents. Nous allons abandonner cet hymne criminel qui prétend que tous les citoyens sont des soldats, voulant tuer les étrangers et leurs bébés prétendus impurs (comme c’était célébré pour Dresde et Hiroshima, etc. puisque massacrés non-juifs). Stop et immense mea culpa : nous étions monstrueux (du moins nos politiciens, journalistes et prétendus « penseurs », faisant la parole publique).
2/ Les politiciens de tous les bords vont aller remplacer sur les fronts extérieurs les soldats cherchant à tuer les djihadistes, et sans plu’ l’appui nucléaire illégal (le traité de non-prolifération n’ayant été signé par le monde que parce qu’il incluait le désarmement nucléaire des déjà-nucléarisés).
3/ La population sera d’urgence amenée à se prononcer par référendum sur l’abandon total, éventuel, du soutien à Israël contre le Hamas djihadiste. Sera diffusé l’ouvrage israélien déviant « Le nettoyage ethnique de la Palestine », expliquant les massacres terroristes racistes anti-arabes de 1948-50 avec lesquels nos politiciens et journalistes s’étaient alliés pour sacraliser la situation 1967.
4/ Le droit de veto ONU sera retiré aux micro-pays autrefois-agresseurs Angleterre et France, transféré aux grands pays Inde et Indonésie (actuellement musulmane), cassant la domination injuste des Occidentaux ultra-minoritaires. Ainsi, le scandale disparu pacifiquement (par autocritique), il n’y aura plu' de motif à révolution, djihadiste ou chinoise.
5/ La liberté de religion sera retirée des Droits de l’homme, pour condamner les légendes à Dieu raciste pro-tribus d’Israël (judaïsme, christianisme) esclavagiste génocidaire tortureur (judaïsme, christianisme, Islam). Les monstres seront ainsi dénoncés équitablement de part et d’autre.
6/ L’exemple-type de « crime contre l’humanité » ne sera plu’ le ponctuel et fragile esclavage de certains Juifs européens (Shoah) mais le fait d’avoir rendu racistement la Palestine aux prétendus Hébreux sans rendre l’Amérique aux Amérindiens, avec des décennies de soutien diplomatique et nucléaire à cela, au nom invraisemblable de l’humanisme.
    Bien sûr, je rêve : la diabolisation/propagande fonctionne à plein tube pour dresser les gens naïfs à la guerre. Et ça marche hélas. A la radio passe en boucle le chant renaudien « j’ai embrassé un flic », pour appeler les silencieux pacifistes à se lancer dans la guerre, côté sioniste anti-Hamas « terroriste ». Nous sommes un camp du Mal. En face n’est pas joli, mais ça n’excuse pas. Il y a une voie du milieu, condamnée à tort par amalgame. Au service des pourris (et pourris d’en face, escomptant bien avoir le monopole de la contestation).

Mise à jour nouvelle (04/03/2018)
    Un ami courageux, comme moi choqué par l’emploi systématique du mot « terroristes » pour les ennemis des gouvernants français (ou occidentaux), me dit que le mot terrorisme n’a aucun sens, puisque la guerre est toujours terroriste.
    Je ne suis pas tout à fait convaincu par cet argumentaire. Sans guerre proprement dite, les Inquisiteurs gouvernaient par la Terreur, la menace de brûler vifs ceux osant résister aux commandements. Les curés gouvernaient par la terreur de l’enfer post mortem, promis aux prétendus infidèles. Les conquistadores gouvernaient par la terreur de massacrer tous les non-Chrétiens, comme demandé par Jésus en personne. Les révolutionnaires 1793 gouvernaient par la terreur de la guillotine imposée à tous les suspects. Les rabbins gouvernaient par la terreur des foudres de Yahvé, Dieu colérique massacreur.
    Le mot "terrorisme" ne désigne pas que la violence en face exclusivement. En 1944-45, la doctrine anglo-américaine (notre camp, avec De Gaulle) contre allemands et japonais était explicitement le « terror-bombing » : massacrer les civils et surtout les bébés pour que le camp en face terrifié cesse la guerre (sans condition, c'est à dire en acceptant toutes les punitions envisageables). Ce n'est qu'une dérive ultramoderne qui fait dire que nos fusils sont angéliques quand le terrorisme n'est qu'en face, exclusivement. C'est l'idiote propagande actuelle, avec 100% des politiciens et journalistes, sombres idiots.
    Dire que tuer un soldat est un acte terroriste est simplement faux, c'est un acte de guerre, face à des professionnels bétonnés contre la crainte, le terrorisme vise au contraire les plus faibles, quasi indéfendables, d'où terreur du massacre infini.
    Bref, il est totalement faux de dire que nous combattons les terroristes. 1/ « Notre » camp, ayant décrété la guerre militaire aux islamistes, est en un sens un camp terroriste, voulant massacrer (les combattants adverses et leurs familles) jusqu’à ce que le camp opposé capitule pour que cesse le massacre. 2/ Ceux qui tuent nos militaires ou nos gendarmes sont plutôt moins terroristes que « nos » soldats décorés de 1945 (encore applaudis officiellement chaque 8 Mai), pour avoir fait brûler vifs les bébés des pays haïs à l’époque.
    Précision : je ne dis pas du tout "tuez les gendarmes ! (dont mon ami d'enfance)", mais « il est très criminel d'avoir déclaré la guerre, et de la poursuivre avec ce lavage de cerveau, type propagande, appelant "terroristes" les dits ennemis et eux seuls. La France officielle, nucléairement armée anti-civils anti-bébés, alliée aux ogives israéliennes anti-arabes, est un terrorisme égal ou pire. »

Apologie ? (25/03/2018)
    Aux informations aujourd’hui, il nous était signalé qu’un ex-candidat de la France Insoumise était mis en examen pour « apologie du terrorisme ». Et Wikipedia en donne la définition suivante : « toute action de communication publique présentant sous un jour favorable des actes terroristes, ou ceux qui les ont commis. La justification de tels actes est également considérée comme une apologie. Cet acte peut être perpétré à travers tout type de média notamment depuis des réseaux sociaux sur internet . » Je suis effaré : est-ce que ce que je dis moi est considérable comme une apologie du terrorisme donc constitue un discours criminel ? Pour en avoir le cœur net, je redemande la définition de « terrorisme ». Google me répond : « 1/ Gouvernement par la terreur. 2/ Emploi systématique de la violence pour atteindre un but politique ; les actes de violence (attentats, destructions, prises d'otages). » Donc la déclaration de guerre est un acte terroriste, comme celle qu’a déclarée le président Hollande à l’islamisme, pourquoi pourchasse-t-on spécifiquement ceux qui ne sont pas alliés avec nos terroristes ? C’est de la déloyauté absolue, la loi pourchassant les avis contraires par la menace est « apologie du terrorisme » elle-même. De même, les célébrations des guerres passées massacreuses de civils (Dresde, Hiroshima) sont une très officielle apologie du terrorisme, mais exemptée de cette accusation puisque les décideurs décident, déloyalement, avec complicité absolue de la prétendue « Justice ».
    Ceci dit, je ne dis pas que le terrorisme islamique est bien contre nous qui sommes le mal, je dis que c’est une guerre du mal contre le mal, mal islamiste esclavagiste d’un côté, mal occidental menteur de l’autre (sioniste, raciste, liberticide, etc.). Mais, en un sens, dire que nous sommes le mal serait justifier ceux qui nous attaquent, ce qui serait clairement répréhensible, poursuivable. En fait, je ne dis pas ça, j’explique que la population ici est doublée par des décideurs bellicistes disant à tort parler en « notre » nom, ce qui nous fait massacrer, logiquement hélas. La faute est double : les idiots qui y croient et nous tuent, les criminels qui mentent et nous donnent à tuer. Non, je n’auréole pas de gloire les assassins (ce serait leur apologie, effectivement), mais j’explique qu’ils ne sont en rien les seuls coupables.
    (Ajout 26/03/2018)
    Faisant une recherche sur Internet, je tombe sur l’article https://www.nextinpact.com/news/92763-apologie-terrorisme-sur-internet-et-si-on-faisait-point.htm . Il inclut pour moi un point nouveau : « La définition du terrorisme est donnée à l’article 421-1 du Code pénal. Il s’agit d’une série d’infractions qui ont été menée "intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective" avec pour objectif "de troubler gravement l'ordre public par l'intimidation ou la terreur" ». Bref, François Hollande attaquant l’Etat Islamiste (ou le Général de Gaulle attaquant l’Allemagne) pour y troubler l’ordre public est bien un terroriste, avec ses soldats et les gens qu’ils prétendait représenter, ça parait idiot de supputer que les terroristes, ce sont les autres, inadmissibles. Autre point intéressant : « plusieurs organisations (…) pointaient en particulier que l’emploi du terme “apologie” implique une condamnation des opinions et non des actes, ce qui est problématique. Le régime protecteur de la loi de 1881 vise précisément à éviter la pénalisation du délit d’opinion. ». Ça me confirme bien que la France est un pays dictatorial contre la liberté d’opinion, avec complicité/relais de tous les journalistes se conformant au droit imposé.

Mot trahi (05/10/2019)
     Pour un autre site, de débat politique, j’ai cherché la définition de « terrorisme », j’ai trouvé « Emploi systématique de la violence pour atteindre un but politique ». Et ça redevient d’actualité brûlante car ainsi a été qualifié tout récemment l’assassinat au couteau de 4 policiers par un collègue converti à l’Islam radical à l’intérieur-même du personnel de la Préfecture de Police de Paris (service du renseignement, habilité secret défense). Ce n’est pas fondamentalement exceptionnel sur le principe mais en débat sur chaine LCI, j’ai appris qu’en 2015, ce futur tueur aurait dû être poursuivi car, en public à la préfecture, il avait dit « bien fait pour eux » au sujet des victimes de l’attentat Charlie-Hebdo en 2015. Les journalistes s’offusquaient que cela ait été permis sans poursuites très sévères et bannissement, car – disaient-ils – c’est une « apologie du terrorisme » qui est un crime pénal ! Alors… sur ce site-ci où, sans donner raison aux tueurs islamistes, je donne tort aux forces occidentales attaquées, suis-je moi-même poursuivable pour « apologie du terrorisme » (bien que non-violent) ?
     Je ne suis pas d’accord et je contrattaque en matière d’argumentation :
1- Puisque la violence politique est ce qui s’appelle terrorisme, se féliciter de la victoire militaire contre la politique nazie était du terrorisme ! (sans même invoquer le Terror Bombing des Français bombardant avec la RAF les villes allemandes pour tuer un maximum de civils et bébés), et… le maire de ma ville, comme les présidents nationaux successifs, se félicitant chaque 8 Mai de cette grande victoire, font donc l’apologie du terrorisme ! (On me dira peut-être que c’était de la légitime-défense mais c’est faux : c’est la France qui a déclaré la guerre en 1939, avant d’être envahie en 1940, et ce n’était pas une violence brute sans condition mais la réponse violente au refus politique armé d’unir l’Europe sous domination allemande, comme l’Afrique avait été unie sous domination française, ni plus ni moins, et sans politique la morale serait "traite autrui comme tu veux être traité").
2- L’alliance de nos dirigeants avec Israël (en envisageant qui plus est de poursuivre les objections antisionistes, par exemple humanistes, au titre de racisme antisémite) est une approbation de sa conquête militaire pour créer politiquement l’Etat Juif (ethniquement purifié, d’après le livre israélien « Le nettoyage ethnique de la Palestine »), c’est de l’apologie du terrorisme encore (raciste anti-arabe puisque les Palestiniens ne sont pas conviés à devenir Juifs tandis que les bébés Juifs sont classés estimables, eux).
3- Tous les dirigeants occidentaux alliés aux USA nés de massacre des Amérindiens pour créer la Terre Promise aux Protestants Européens, sont des complices actifs du recel de cette fortune immensément contestable. L’approuver est apologie du terrorisme (raciste anti-amérindien). La possession française actuelle de Martinique, Guyane, etc. est pareillement une approbation des conquérants tueurs nationalistes, c’est de l’apologie du terrorisme.
4- L’hymne La Marseillaise appelant à verser le « sang impur » de ceux qui sont politiquement classés étrangers (et de leurs bébés ayant le même sang prétendu coupable ???) est terroriste, chanter cet hymne est apologie du terrorisme. Ça ne concerne pas que l’extrême-droite accusée de néo-nazisme mais concerne jusqu’à la gauche de Mélenchon en passant par le centre, les sportifs bleus prétendus neutres, etc.
5- Quoi qu’en disent les Musulmans dits modérés, le Coran appelle à massacrer Juifs et Chrétiens, terroristement. Choisir l’Islam est de l’apologie du terrorisme MAIS à la différence totale de nos gouvernants, je juge pareillement que la Torah, la Bible, les Evangiles sont aussi terroristes et les adorer est de l’apologie du terrorisme. On me répondra peut-être (même si le marcionisme a été classé hérétique) que l’Ancien Testament est effectivement terroriste, donnant à craindre Dieu/Yahvé/Jehova/Allah (Déluge, bombardement de Sodome, Massacre des Cananéens, bébés compris), mais il en est différemment de Jésus qui n’était que bonté et amour ; c’est faux : certes dans la Parabole du Bon Samaritain on est dans le monde des Bizounours, mais ailleurs il menace que les villes refusant de le recevoir seront rasées comme Sodome et surtout il appelle à tuer les parents éloignant leurs enfants de Dieu (son Dieu à lui, sous le protocole qu’il a choisi – ce au nom de quoi ont été exterminés les Mohicans Dakotas etc.), c’est du terrorisme et les pays se revendiquant chrétiens ou « de respectable culture chrétienne » font donc l’apologie du terrorisme.
6- La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme clamant l’entière liberté de religion (peut-être pas des sectes, selon l’interprétation française, mais en tout cas des très célèbres Judaïsme, Christianisme, Islam) fait donc l’apologie du terrorisme.
7- Les armées nationales sont des outils de violence (menace et action) pour servir des politiciens nationalistes. C’est un terrorisme. Le militarisme est une apologie du terrorisme.
8- Est-ce que le terrorisme est partout alors ? Non, justement pas : certes, les (leaders) Occidentaux combattant le terrorisme islamiste s'avèrent être secrètement des terroristes judéo-chrétiens-proUSA-proIsraël (et nucléairement armés, horribles très dangereux), mais un anti-terrorisme sincère est envisageable et justement : c’est ma position, bien moins terroriste que celle de mes accusateurs. Je suis en effet partisan de la condamnation de Torah, Bible, Evangiles, Coran, qui sont esclavagistes en plus de terroristes, donc illégaux naturellement. Sans les brûler, il convient de les déconseiller, avertir qu’il s’agit d’horreurs repoussantes. Oui, libre aux gens de croire au Paradis post-mortem pour les gentils, les partageurs, les aidants, etc. mais il convient de condamner le terrorisme donc ces livres prétendus sacrés autrefois par nos ancêtres monstrueux (ou intoxiqués, pauvres victimes).
9- Hélas, ce choix du pacifisme n’est pas possible car il serait exterminé de milliers d’ogives nucléaires (par les méchants terroristes principaux, étasuniens-(français si j’étais exilé)-britanniques et peut-être russes maintenant ayant abandonné l’athéisme communiste). Je ne suis donc pas anti-terroriste actif puisque c’est suicidaire (et je ne suis plu’ suicidaire je crois, même si je l’ai été longtemps, 1979-2000). En tout cas, la justice anti-terroriste serait possible en théorie, mais le monde est dominé par des terroristes se prétendant anti-terroristes en insultant comme « terroristes, mot atroce » les terroristes d’autre camp, simplement. C’est totalement injuste mais c’est ainsi que je lis le monde. M’accuser moi d’apologie du terrorisme ne serait qu’un mensonge de plus, une injustice supplémentaire, très légale ici, hélas. Avec approbation des idiots ou menteurs se prétendant « l’élite ».

Je ne suis pas Samuel (22/10/2020)
     Hier soir avait lieu le grand discours du Président Macron aux obsèques du professeur Samuel Paty décapité par un islamiste. Il ne disait rien de nouveau par rapport aux politiciens interviewés, agitant lui aussi les valeurs grandiloquentes liberté et intelligence. Simplement, il se trouve que lui, réputé très intelligent très bon élève, marié à une prof, se présentait comme l’incarnation admirable de l’intelligence et de la liberté, contre l'intolérance obscurantiste, que laissait transparaitre dès 2015 les refus d’élèves (musulmans), ici ou là, refusant d’obéir à la minute de silence « Je suis Charlie » imposée par le corps professoral. Et d’ailleurs, en tant que parents d’élèves, nous avons été joints par la principale du collège (public) où est scolarisé mon fils, disant qu’à la rentrée de la Toussaint serait commémoré ce drame (sans dire explicitement que « ce sera à nouveau une minute de silence, ʺJe suis Samuelʺ, maintenant exigée, les refuseurs étant des monstres en puissance, dont il conviendra une nouvelle fois de signaler les familles à la police pour enquête et sanction préventive ou/et fichage S du père »…).
     Je ne veux pas faire du tort à mon fils, et (je ne suis pas Islamiste ni musulman ni croyant ni arabe ni binational mais) je lui cache que je ne suis pas d’accord (il célébrera « Je suis Samuel » comme exigé dictatorialement par les autorités, sans que je lui ai dit que moi « je ne suis pas Samuel », on pourra en discuter un jour mais quand il aura un métier stable, je ne veux pas le faire persécuter comme j’ai été persécuté, classé « fou » pour honnêteté inadmissible dans le monde industriel menteur). Macron est un escroc ou un fanatique idiot (anti-intelligence), un dictateur en tout cas (anti-liberté). Ce qu’il aurait convenu qu’il dise, si la base était « pour de vrai » l’intelligence et la liberté, c’est que la république envoie ses profs au coupe-gorge, en les utilisant comme endoctrineurs pour le sionisme anti-arabe anti-musulman.
     Le parti de Macron préparait, avant la crise covid19, un projet de loi criminalisant l’antisionisme, le classant antisémite. Donc avoir l’honnêteté et intelligence de classer Der Yassin (le plus célèbre Oradour Israélien 1948) en crime contre l’humanité serait une pensée/opinion interdite. Au nom de l’intelligence et de la liberté ? Oh non, c’est l’exact contraire : la bêtise sur ordre, la soumission servile à l’autorité (« supérieure », juifo ou juifophile). Et la position professorale qui sera employée pour écrabouiller l’éventuelle rébellion enfantine (contre l’endoctrinement) va automatiquement se heurter à de grandes difficultés. Je ne parle pas des enfants de familles Islamistes ou même des enfants de famille musulmanes, mais des enfants intelligents épris de justice, de juste liberté d’opinion et de jugement. Je laisserai mon fils se faire écraser, il a des ambitions professionnelles et je ne veux pas lui nuire, mais si j’avais comme lui 11 ans maintenant, je serais viré du cours avec signalement de la famille à la police. Pour crime d’intelligence (QI 169) et d’honnêteté (logique, intellectuelle et morale), exerçant ma liberté de pensée (en fait interdite, en affirmant le contraire bien sûr, le mensonge blablateur rhétorique gouverne).
     Je n’aurais pas voulu que mes parents enseignants soient décapités, je ne veux pas que mon frère enseignant soit décapité, mais ils sont les petits officiers militairement astreints (avec devoir de réserve) à embrigader salement les jeunes pour une cause atroce, raciste (rendant Israël aux Juifs et surtout pas les USA aux Amérindiens). Pauvre Monsieur Samuel, victime des politiciens abominables, mais « je ne suis pas Samuel » : si j’avais été enseignant, moi aussi, j’aurais refusé de dispenser ce cours prétendant que cracher sur l’Islam c’est bien mais cracher sur le sionisme c’est abominable. (J’aurais été viré, ou/et classé « fou », ou/et muté en Enseignement à Distance loin des élèves). Enfin, mes parents retraités étaient effectivement comme Samuel Paty profs d’Histoire-Géo mais mon frère est enseignant d’éducation physique et sportive, il n’est vraisemblablement pas en première ligne pour cet endoctrinement (plutôt : quels gestes faire pour sauter en hauteur le plus possible, etc.). Bref, j’aurais été viré comme « mauvais prof », contraire de « héros de la cause », mais ce n’est pas la cause liberté-intelligence, au contraire cette cause est sionisme (fanatiquement religieux ou/et raciste) contre l’intelligence et la liberté. C’est le triomphe judéochrétien, Jésus-Christ ayant enseigné que les non-Juifs sont des chiens, et les athées sionistes Ben Gourion et Sylvie M n’en retenant que le racisme communautariste « non-prosélyte » (n’invitant pas du tout les Palestiniens même chrétiens).
     Je ne prétends en rien de rien que le héros dans cette affaire est le décapiteur, appelé pour ça au Paradis d’Allah, pas du tout. Simplement, je constate une vaste entreprise pour amalgamer l’intelligence critique avec des monstres. Dans la guerre actuelle, du mal (islamiste) contre le mal (sioniste), l’intelligence et la liberté sont ailleurs, prenant les coups des deux bords fanatisés. Euh, un agent double (Islamiste secrètement sioniste) va peut-être me faire assassiner islamistement, les deux camps s’en féliciteraient (secrètement pour le côté sioniste). Monsieur et Madame Macron vous êtes des nuls ou/et des menteurs.
     Autre éventualité : je serais mis en prison pour « apologie du terrorisme » (antisioniste), et bien sûr interdit de porter plainte contre les politiciens français pour « apologie du terrorisme » (sioniste). Enfin, ça ne me serait pas interdit mais eux accusés seraient déclarés pleinement innocents par la « Justice », et je serais condamné en plus pour dénonciation calomnieuse. C’est ça qui est pratique/« génial » quand on a le pouvoir (de la République antipopuliste, anti-peuple) : on écrase les honnêtes gens impunément, les ex-libres intelligents surtout. (Hélas).
     Enfin, théoriquement les juges sont indépendants du pouvoir, mais ils appliquent la loi et la loi est ouvertement sioniste pro-juive. La loi Gayssot, qui punit de deux ans de prison le scepticisme philosophique ou bouddhiste (« tout est illusion ») oblige à vénérer le drame du génocide juif (réparé entre autre par la recréation d’Israël) mais encourage à oublier/approuver le génocide amérindien, grâce auquel les USA maîtres du monde ont refait notre fortune (plan Marshal) et assuré la pureté d’Israël (veto contre les résolutions ONUsiennes exigeant le retour des expulsés et fuyards terrorisés). Et la loi contre le racisme et l’antisémitisme (pas « contre le racisme » quel qu’il soit) élit racistement la communauté juive et/ou israélite au-dessus des autres, conformément à la Torah et la Bible certes, racistes aussi mais interdit de le dire, ce serait classé antisémite... J’ai par ailleurs l’expérience et la preuve que des juges mentent ouvertement, impunément (d’après mon expérience du tribunal, pour adoption, 1 cas sur 1 soit « 100% » des cas…). La Justice est ailleurs, vraisemblablement pas en Etat Islamique ni en Chine mais sur la planète Mars peut-être.

Stratégique passage sous silence (03/11/2020)
    Il est dit ces jours que les 3 morts de l’attentat à Nice la semaine passée dans une basilique sont morts « parce qu’ils étaient chrétiens/catholiques » (!!!), comme s’il s’agissait là d’une injustice atroce, persécutant la liberté de conscience (!!!).
    Sauf que… j’ai lu les Evangiles, et l’Ancien Testament, et… ce n’est pas honnête, de dire ça en cachant ce que c’est qu’être chrétien : vénérer un appeleur au meurtre pour désaccord d’opinion (Jésus-Christ) et son père (Yahvé) génocidaire massacreur, enfants et futurs bébés inclus. Alors oui, la morale altruiste étant ce qu’elle est : traite autrui comme tu voudrais être traité, ces gens se font massacrer par semblables à eux. C’est hélas logique, pas spécialement monstrueux, pas unilatéralement Mal injustifiable contre Bien innocent.
    Certes, depuis quelques temps, les chrétiens catholiques ne massacrent plu’ tellement, mais le Pape Benoit XVI il y a moins de 20 ans se félicitait encore de l’évangélisation des Amériques, et ses dizaines de millions d’autochtones assassinés au nom du Christ. Oh non, ce n’est pas innocent.
    Ça n’excuse pas les tueurs en face, à mon avis, mais c’est une guerre du mal contre le mal, le bien étant ailleurs, pas chez l’athée Staline non plu’ mais encore ailleurs, pas dominant écraseur.

Sondage orienté (06/11/2020)
    J’ai entendu aujourd’hui à la télévision le résultat d’un sondage d’opinion : 96% des Français jugent qu’actuellement en France « la menace terroriste est élevée ». (C’est expliqué selon les journalistes par la série d’attentats terroristes l’autre jour, fête de Mahomet, à la basilique de Nice notamment, et par la décapitation du professeur public une semaine auparavant, avec manifestations anti-France dans de nombreux pays musulmans suite à l’approbation présidentielle des caricatures de Mahomet dans la presse ici encore). Qu’est-ce que j’en pense ?
     Si on m’avait posé la question « jugez-vous que la menace terroriste actuellement est élevée », j’aurais répondu : « je ne suis pas d’accord avec ces mots : en 1940-45, les résistants français étaient classés ʺmenace terroristeʺ par les collabos, tout est relatif ; avant de donner un avis sur l’occurrence éventuelle des choses, je refuse que vous m’imposiez d’être dans un camp, pour savoir s’il s’agit de terroristes ou de héros, à mon avis ce sont des combattants dans une guerre du mal contre le mal. Le président Hollande a déclaré une guerre, abusivement en notre nom à tous, alors nous sommes en guerre, oui, à cause de lui, et des politiciens complices, ne me représentant en rien, unanimes à ne pas refuser cette guerre ce qui serait enfin juste en pointant les horreurs occidentales, dont le racisme (tueur) de rendre Israël aux Juifos et pas l’Amérique aux Améridiens. »
    Donc je serais classé « sans opinion », pas dans les 96% Oui, donc implicitement jugé parmi les « 4% Non = 4% d’Islamistes horribles ici présents », c’est pas juste, mais c’est organisé ainsi, par les médias et gouvernants alliés, dans le mensonge partisan, guerrier.

Sans haine classer les dits terroristes en héros ? (14/09/2021)
     Un ami qui m’est cher, originaire d’un pays anciennement colonisé/massacré par la France, me soumet une réflexion immensément inusuelle ici, que je trouve très intéressante. (Peut-être qu’il plaisante mais je ne crois pas, et le premier degré me paraitrait de toute façon intéressant).
     Il remet en question l’emploi systématique du mot terroriste par les médias français. « Un homme qui fait péter un train pour chasser l'envahisseur est un héros de la résistance, mais un terroriste pour Vichy. Alors pour moi, un afghan, un vietnamien, un malgache, un indien d'Amérique, un palestinien, n'importe qui voulant chasser celui qui envahit son territoire doit être considéré comme un héros. Et il n'a pas à suivre la fameuse convention de Genève, qui a été établie par les mêmes envahisseurs. »
     Effectivement, c’est un point de vue immensément sensé, fondé sur le « non pas du tout terroristes » concernant les résistants français anti-allemands-nazis. Toutefois je ferais deux objections, principalement :
1/ Théoriquement (ou au moins : dans certains cas), les terroristes ne sont pas des tueurs de soldats occupants, mais s’en prennent à des civils innocents ; la moralité de ceci (et le droit à revendiquer alors un label de héros) me parait douteuse. Enfin, la propagande mensongère des républiques affirme que les gouvernants sont représentants du peuple, ce qui est faux (leur cote de popularité est généralement très inférieure à 50% et ils ne sont protégés du renvoi que par des lois pourries privant les peuples du pouvoir, fausses démocraties). Bref, il est logique de tuer les électeurs commandant aux élus commandant aux généraux commandant aux soldats, ce n’est pas horrible sur le principe, mais c’est un malentendu car les élus sont des faux-représentants, c’est organisé ainsi, bétonné par lois ad hoc. Compte tenu de ce malentendu, je n’appelle pas héros les tueurs de civils et bébés (pas même les prétendus « héros français » de 1943-45 ayant massacré par bombardement incendiaire les villes de Hambourg, Dresde, etc.).
2/ En tant que non-nationaliste, mondialiste d’une certaine façon (pas capitaliste néo-esclavagiste), je suis gêné que mon ami se centre sur « le droit à tuer pour notre pays ». A mon avis, si les envahisseurs d’Amérique massacreurs ont été horribles (méritant un passage en tribunal Nuremberg bis), c’est parce qu’ils étaient massacreurs et pas parce qu’ils étaient étrangers au pays Amérindien. Je trouve plaisant l’accueil de gens venus d’ailleurs, ayant pleinement le droit de tenter leur chance ici (pacifiquement, de manière travailleuse), et les qualifier automatiquement d’envahisseurs me gêne. Enfin, surtout en France, ayant envahi le Monde (dont l’Amérique) avant de hurler maintenant contre son propre envahissement, en oubliant que la simple morale altruiste élémentaire est « ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’il te fasse ». Est héroïque le combat contre les oppresseurs (venus d’ailleurs ou pas) non contre les étrangers par principe. A mon avis (discutable oui).
     Autre point, il me parait effectivement aberrant que nos soldats français envoyés à l’étranger, tuer, soient dits héros, plutôt qu’agresseurs justement punis. Je pense que le djihadiste algérien venant tuer à Paris, n’est de même pas un héros combattant pour défendre les brimés autour de lui. Mais un tueur algérien tuant en Algérie un bébé de touristes européens ne me parait pas du tout héros non plu’ (de même pour un tueur français en France de bébé algérien). Ce n’est pas une question de « chez soi, on a le droit », à mon avis. Idéalement (utopie plaisante) la Terre devrait être un monde uni paisible et métissé, pas un explosif groupe de tribus endogames se haïssant.
     Finalement, la lutte que je trouve juste est celle contre les oppresseurs venus écraser, ça n’a rien à voir avec la nationalité mais peut être une affaire de région (Occitanie, etc.) ou de continent (Afrique, etc.), là n’est pas la question me semble-t-il. D’accord pour punir un comportement horrible, pas pour punir une étiquette (de nationalité).
     Par ailleurs, par sensibilité personnelle, je n’aime pas le mot de « héros » pour un tueur. A mon avis, c’est comme le bourreau pour la guillotine autrefois : cet homme accomplissait un geste affreux mais se justifiant contre un monstre, je n’applaudis pas avec des hourras, je regarde ailleurs en approuvant à contre-cœur (« sale besogne » ?). Je vois les choses ainsi, et ça change infiniment le tableau. Il n’y aurait aucun héros tueur (d’humains) au monde.
     Enfin, je signalerai l’absurdité selon moi de la propagande française actuelle : quand un soldat français est tué au Mali ou autre, il est dit que ce héros français a été tué par les horribles terroristes. Mais ces prétendus terroristes n’étaient en rien des tueurs de civils et enfants, simplement des combattants en guerre (initialement civile avant qu’une puissance étrangère [presque néocoloniale] vienne s’en mêler) ; en sens inverse, les militaires français ne sont en rien des défenseurs de leurs compatriotes attaqués mais des attaquants, de combattants en premier lieu mais avec victimes civiles collatérales, souvent. Et qu’est-ce qui justifie ce combat ? des buts politiques, ce qui est précisément la définition du terrorisme (pour le différencier du banditisme je crois). Ça parait absurde, ce vocable mais il est commun à toutes les chaines de télévision semble-t-il, sans faire preuve aucunement d’intelligence critique, ou de simple honnêteté.
     Bref, j’ai de notables différences de vue avec mon ami mais il me semble que je suis d’accord avec lui que la propagande ambiante ici est atroce de mauvaise foi, de fanatisme, immoral.
    Post Scriptum : mon examen serait incomplet si je n’allais pas lire la convention de Genève, à légitimité ici étonnamment contestée. Ce que j’en avais entendu dire était que son principe consistait à dire « ne tuez pas les prisonniers de guerre, traitez-les dignement pour échange en fin de guerre. ». Ce n'est pas indiscutable à mon avis : un militaire massacreur de bébés innocents doit-il être traité avec de grands égards respectueux (comme innocent appliquant simplement des ordres d'un commandement ennemi) ? Mais je vais voir l’intitulé exact, Google me dirigeant vers : https://fr.wikipedia.org/wiki/Conventions_de_Gen%C3%A8ve . Je cite et commente ce qui me parait discutable :
• « (…) les conventions de Genève s’appliquent seulement lors d’un conflit armé international. (…) »
--> Effectivement, cela restreint les précautions pas trop massacreuses aux guerres entre pays à armées constituées, en privant les conflits asymétriques où des « officiellement non militaires » combattent un oppresseur militaire. Ça parait injuste, ne ménageant que les puissants, même oppresseurs. [Mais plus loin dans l’article sont abordés les conflits de résistance à une oppression, ce n’est qu’historiquement au départ que c’était très injuste].
• « La Deuxième convention de Genève contient 63 articles. Outre la protection des blessés, des malades et des naufragés des forces armées sur mer, ses dispositions prévoient une protection spéciale pour (…) le personnel religieux, médical et hospitalier exerçant ses fonctions dans un contexte maritime. (…) »
--> Je ne comprends pas ce que vient faire l’élément religieux ici. Certes, un prêtre (ou équivalent) n’est pas intrinsèquement un combattant armé, mais si son message est « vas tuer l’ennemi, Dieu est de ton côté ! », ça ressemble à un officier ou général, pas neutre mais indirectement tueur.
    Ceci dit : 63 articles pour une des 4 conventions, c’est peu lisible en intégralité (pour aperçu, nullement mise en application militariste).
    Autre remarque : le personnel médical qui rétablit un soldat blessé pour le renvoyer au front n’est pas neutre mais militariste. La convention me semble mal pensée si elle n’impose pas que tout blessé devient neutre donc a interdiction de reprendre la guerre après soin (neutre dans ce cas, effectivement).
    Dernier point : la partie médicale me rappelle personnellement la bande dessinée Tanguy et Laverdure « Baroud sur le désert » (que j’ai lue par épisodes dans le magazine Pilote en 1971 je crois), où « les méchants » bombardent au napalm un hôpital de campagne à grands marquages l’identifiant tel, tuant l’héroïne infirmière, effectivement c’est logiquement classé dans « les horreurs de la guerre » à éviter autant que possible, anti-méchamment.
• « La quatrième convention de Genève [de 1949] comporte 159 articles et 3 annexes et précise parmi toutes ses dispositions, la violation de certaines, qui constitue une ʺinfraction graveʺ, correspondant à un crime de guerre. Ces violations sont : ʺl'homicide intentionnel, la torture (…), le fait de causer intentionnellement de grandes souffrances ou de porter des atteintes graves à l'intégrité physique ou à la santé, la déportation ou le transfert illégaux (…) la destruction et l'appropriation de biens non justifiées par des nécessités militaires et exécutées sur une grande échelle de façon illicite et arbitraireʺ (…) ».
--> Il me parait aberrant de clamer (avec les politiciens et médias français) « la torture enfreint les conventions de Genève » tout en célébrant la victoire 1945 exterminatrice de civils et bébés (à Dresde, Hiroshima etc.) ou approuvant la victoire sioniste 1948 (expulseuse et spoliatrice). Visiblement, ce n’est absolument pas du droit magnifique appliqué partout, mais un vaste tissu de mensonges, principes théoriques discrètement trahis en routine en ne hurlant que quand c’est « l’ennemi » qui fait pareil. Certes, on aurait pu dire « autrefois, c’était mal fait, faisons mieux dorénavant », mais il semble tout pourri d’approuver les horribles guerres passées au lieu de les trainer en jugement (comme Nuremberg avec accusation a posteriori de crimes non définis à l’époque). Deux poids deux mesures, au profit des dominants comme d’habitude, ce n’est pas admirable mais affreux. Même si le texte (« de Genève ») lui-même n’est pas forcément atroce de malhonnêteté partisane.
    Au passage, je note étrange l’exception « sauf justifié par des nécessités militaires », puisque les épisodes du carpet bombing de l’Allemagne 1944 et de Hanoi vers 1968 ont montré que les militaires peuvent se fixer pour objectif de massacrer un maximum de civils, ce qui n’a rien d’intrinsèquement respectable « puisque militaire », oh non…
    Enfin, je trouve invraisemblable de lire que les guerres ne doivent pas avoir de morts et de blessés, faut-il remplacer les armes à feu militaires par des pistolets à eau ? Je serais d’accord, mais ça n’a aucun rapport avec le monde de la guerre vraie (0% des guerres et pas « de plus en plus proche de 100% » des guerres obéissent à cela), pourquoi alors le dire, le codifier ?
• « Le 28 janvier 1998, le Royaume-Uni (…) avec une déclaration du ministre d'État (…) selon laquelle l'interdiction de la destruction massive ne s'applique qu'aux armes conventionnelles et "n'a aucun effet" ne réglemente pas et "n'interdit pas l'utilisation des armes nucléaires". »
--> C’est effarant de mauvaise foi toute pourrie massacreuse criminelle. Et, en termes de légalité, le Traité de non-Prolifération, chapitre désarmement, demande la suppression des armes nucléaires ce que ne fait personne, violant les traités, de valeur objectivement nulle, crédible en rien. Et cette surinterprétation de la convention de Genève serait ainsi illégale s’il n’était pas empêché de le noter.
• « Le 12 novembre 2019, la Russie s'est retirée de l'article 90 (…) craint d'être pointé du doigt voire poursuivi pour d'éventuelles violations du droit humanitaire sur le champ de bataille où ses soldats sont présents [...]. C'est pour des raisons identiques que ni les États-Unis, ni la Chine, ni la France, parmi les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, n'ont rejoint la Commission internationale humanitaire d'établissement des faits. »
--> Ainsi, la France ne respecte pas, volontairement officiellement, les conventions de Genève, là où elle se sent gênée. Qu’elle invoque ces conventions ailleurs a une crédibilité (morale et légaliste) nullissime.
    Bref, il ne semble pas que « la convention de Genève » a été écrite par les puissants à leurs profits, elles semblent mieux que ça mais trahies par ces puissants honteusement, sans le dire bien sûr, ne hurlant que contre « l’ennemi » osant ne pas respecter ce « droit international ». C’est effectivement affreux, coupable à mon avis (pour des pays comme France et USA, grands donneurs de leçons).
    Plus globalement, là où la propagande ici clame que les bons états occidentaux sont le Bien luttant contre le Mal terroriste, ce que mon ami envisage de corriger en Mal occupant luttant contre le Bien résistant, je préfère considérer que c’est une guerre du Mal contre le Mal, simplement différent (sans héros de part et d’autre).

Commentaires utiles (16/09/2021)
    Mon ami cité juste au-dessus m’adresse des commentaires intéressants concernant ce que je disais, et je lui réponds encore (merci) :
• « Je déteste autant que toi les tueurs de civils, mais avec une nuance que moi je suis pour la loi du talion. Quel est l'intérêt de faire un procès (qui coûte des millions aux contribuables), et qui ne va jamais faire revenir les morts, ni guérir les blessés. Les fameux "droits de l'homme" sont brandis quand ça arrange. »
--> Euh, c’est intéressant mais peut-être la source de trois autres débats.
a) Contrairement à toi, je ne parlais pas de « civils » mais de « civils innocents », car j’ai les idées beaucoup moins claires concernant les civils combattants, en guérilla et autres. Les pilotes ayant percuté les Twin Towers n’étaient pas des militaires, donc ils étaient civils mais ultra-combattants, pas « innocents » (s’ils avaient été abattus avant de tuer, je n’aurais pas hurlé qu’eux civils ont là été tués).
b) La loi du Talion ne me semble pas claire, quand des victimes innocentes sont impliquées : si un type viole ta fille, vas-tu au nom des justes représailles violer sa fille ? la pauvre petite, je ne suis pas d’accord du tout. Et ce n’est pas un truc théorique imaginaire : les aviateurs anglais en 1944 ont massacré les bébés allemands (pauvres petits) parce que les aviateurs allemands en 1940 avaient massacré les bébés britanniques. Je ne suis pas d’accord avec « puisque vous avez tué mes innocents, je vais tuer vos innocents », je préfère que les innocents ne soient pas tués, même pas en représailles prétendues, en punissant d’autres que les coupables.
c) Contrairement à la pensée unique, je juge immensément mauvais et contestables les droits de l’homme prétendus universels (j’ai écrit un gros site sur le sujet). Qu’ils soient trahis (sans le dire) est de l’immense routine, par exemple la loi contre le voile à l’école française est une enfreinte caractérisée au texte des Droits de l’Homme de l’ONU.
• [fausses démocraties] « Le problème c'est que les règles sont comme ça. Je ne dis pas que c'est idéal, mais c'est mieux que les ʺrépubliquesʺ qui élisent leurs dirigeants à 90-99%. »
--> Des règles gouvernementales pourries pourraient être changées, si le système était honnête, ce qu’il n’est pas, et c’est ce que je dis, simplement. Je trouve bien mieux l’exemple suisse avec référendum d’initiative populaire empêchant les élus de trahir leurs électeurs (en étant virés aussitôt s’ils s’y risquent).
• « Je ne parle absolument pas de ces "envahisseurs" de l'immigration. Ou alors, tu peux considérer que j'en suis un aussi. La France et beaucoup de Français m'ont accueilli pour que je fasse mes études, et j'ai eu l'opportunité d'avoir un travail et installer ma famille. J'ai aussi fait des efforts de mon côté pour ça. Mais je n'ai jamais agressé personne pour imposer ma présence ici. »
--> Je comprends que tu es très concerné, davantage que moi (quoique mon épouse asiatique est immigrée, ma nièce infirmière asiatique 3 fois interdite de visa était candidate à l’immigration). En tout cas, je n’ai pas les idées claires sur ce sujet, surtout de la façon dont tu le présentes. Si papa Le Pen avait été au pouvoir à l’époque où tu es venu en France, tu aurais été refoulé, interdit, sauf à imposer ta présence illégalement, et… moi je juge que tu méritais de venir ici, peu m’important les lois locales à un moment donné. Je préfère l’acceptation de l’autre au rejet de l’autre (je suis minoritaire peut-être en cela, en France voire dans le monde entier). Enfin, ce que je veux dire, c’est que c’est le refus d’accueillir qui génère la présence plus ou moins agressive (plutôt qu’anodine). Si les migrants européens avaient été bienvenus en Amérinde, il n’y aurait pas eu guerres et exterminations, je ne vais pas jusqu’à dire que c’est la faute des Amérindiens, mais ce rejet de type xénophobe ne me semble pas juste et admirable, non.
• [djihadiste algérien venant tuer à Paris : pas un héros] « Entièrement d'accord. Et les combats pour une religion (musulmans ET chrétiens) sont d'une absurdité sans nom. »
--> Je suis immensément étonné par ce que tu dis : as-tu lu l’Ancien Testament (judaïque) le Nouveau Testament (chrétien) le Dernier Testament (musulman) ? Leur contenu est massacreur dans un esprit de guerre de religion, que ça ressorte ne me semble nullement absurde mais très logique. A mon avis, ces religions devraient être condamnées sauf à réécrire intégralement leurs textes de base. Je suis ultra-minoritaire à penser ça.
• « Ce n'est pas "chez soi, on a le droit, c'est ʺagressé chez soi, on a le droit de se défendreʺ. Dans ma version la plus extrême, tu viens me faire chier dans ma maison, j'ai tous les droits. Mais bien sûr, dans la vraie vie ceux qui blessent/tuent un agresseur dans leur maison vont en prison !!! »
--> J’ai l’impression que la situation est moins simple que ce que tu dis : selon un fanatisé nationaliste, la présence d’un étranger dans son pays « l’agresse » et il se sent le doit de le renvoyer violemment à titre de « légitime défense ». Ça me semble très abusif, mais c’est une question d’opinion et de valeurs personnelles, je pense. Il n’y a pas apparemment d’évidence universelle en la matière. Quant au fait que les tueurs de cambrioleurs venus chez eux vont en prison, je pense que c’est lié au fait que ce n’est pas le peuple qui décide mais les magistrats jugeant (politiquement et/ou sociologiquement) les agresseurs comme pauvres victimes de la société, n’ayant guère d’autre choix que le vol.
• « La présence de la France dans un pays étranger (bizarrement souvent en Afrique, ancienne colonie) est justifié auprès du ʺpeupleʺ par des grands principes humanitaires. Pour moi, c'est juste du néo-colonialisme avec des intérêts économiques derrière. »
--> J’entends ce que tu dis, mais je ne suis pas certain que ce soit la vérité systématique. Un autre argument très souvent cité (depuis 2001, les Twin-Towers), c’est qu’il s’agit de se protéger nous occidentaux en allant briser à l’étranger les bases arrières des gens nous attaquant chez nous (principe : la meilleure défense pour chez nous, c’est l’attaque chez eux). Enfin, c’est peut-être encore plus compliqué : quand les USA ont lancé la guerre du Vietnam, leur ingérence visait à écraser le droit des vietnamiens à choisir le communisme (au lieu d’acheter américain), au nom de la lutte entre blocs (ou « civilisations » disent certains ?). Aller faire ça à l’étranger en massacrant les civils locaux, je trouve ça atroce, immoral, alors que la propagande occidentale claironne que c’est très moral c’est le Bien incontestable contre le Mal ennemi. Oui, il est aussi mentionné les « valeurs » (en méprisant le droit des autres peuples à avoir d’autres valeurs), mais ça ne me semble pas la crédible raison essentielle.
• « Un autre point qui m'horripile, c'est l'inefficacité des résolutions de l'ONU .... quelles foutaises... Personne n'ose quoi que ce soit contre Israel par rapport aux Palestiniens. Mais donner des leçons aux Iraniens, Nord-Coréens, etc... est facile. J'ai visité l'ONU à New-York, et il y a plein d'autres choses de très bien comme ce que fait l'Unicef. Mais les résolutions, je suis désolé, mais les "grands pays" se torchent dessus. Pourquoi les autres devraient les appliquer ? »
--> Je crois que le problème des résolutions ONU inappliquées est lié au droit de véto, des USA principalement, soutiens systématiques d’Israël. Et France et Royaume-Uni, pareillement noyautés par les sionistes, prendraient la relève si les USA changeaient d’avis. Personnellement je trouve absolument scandaleux les droits de veto des pays privilégiés, écrasant la majorité du Monde. Les 2 et 3e populations du monde (Inde et Indonésie musulmane) n’ont pas de veto, car gardant implicitement leur statut d’indigènes colonisés, quand ont droit de veto les colonisateurs France et Royaume-Uni, 17e et 19e populations du monde je crois. Ce serait compréhensible en régime aristocratique, les privilégiés méprisant la majorité, mais quand ça se fait au nom de la démocratie, c’est un mensonge atroce, dont j’ai l’impression d’être le seul à parler (en Occident). Quant à l’Unicef, je ne lui porte aucune admiration, considérant scandaleuse débilitante l’éducation scolaire que j’ai reçue, et ne la souhaitant à personne. Et je crois que j’avais cassé leurs Droits de l’enfant (Unicef) après les Droits de l’homme (ONU).

Mauvais procès 2021 du 13 Novembre 2015 (16/09/2021 bis)
     Je lis une nouvelle MSN/Libération marquante, au sujet du procès des attentats Bataclan et autres simultanés : « Procès du 13 Novembre : les accusés prennent la parole, Abdeslam assume avoir ʺcombattu la Franceʺ » (https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/proc%C3%A8s-du-13-novembre-les-accus%C3%A9s-prennent-la-parole-abdeslam-assume-avoir-combattu-la-france/ar-AAOt5uJ?ocid=msedgdhp&pc=U531 ). Je cite et commente :
• « (…) Salah Abdeslam, principal accusé (…) ʺAlors moi je vous dis : on a combattu la France, on a attaqué la France, on a visé la population des civils, mais en réalité, on n’a rien de personnel à leur égard. On a visé la France et rien d’autre. ʺ, déclare-t-il toujours aussi calmement. (…) ʺLes avions français qui bombardent l’Etat islamique ne font pas la distinction entre les hommes, les femmes et les enfants. On a voulu que la France subisse la même douleur que nous subissonsʺ, a-t-il poursuivi, inaudible tentative pour justifier ce qui a pu conduire dix hommes à tuer 130 personnes et à en blesser près de 400 autres en huit lieux différents et trente-sept minutes. »
--> Cela me semble à la fois affreux et très logique, alors que la télévision en parlant hier ne présentait que le côté affreux, dit « indigne inhumain » (plus explicite que le mot « inaudible » ici). Je ne suis pas d’accord, il s’agit très simplement des horreurs de la guerre, comme quand les aviateurs alliés massacraient les civils (et bébés) allemands et japonais en 1944-45, avec classement en héros par nos politiciens jusqu’à aujourd’hui. Moi je n’aime pas la guerre du tout, et je ne considère pas héros ces tueurs, mais pas héros nos tueurs, pareillement, ce qui fait toute la différence. Quand le Président Hollande avait « déclaré la guerre à l’islamisme » (avec approbation de tous les politiciens français), je n’étais pas d’accord, disant que la guerre c’est massacrer les innocents du camp en face. Les médias me méprisaient, ils agissaient par pure propagande et ça continue. Déclarer une guerre est immensément grave, c’est donner sa propre population à exterminer. La télévision montrait un survivant du Bataclan disant atroce qu’il y ait eu tuerie sans aucun reproche personnel aux personnes tuées, et le journaliste présentant cela n’a aucunement commenté, comme si c’était totalement incontestable, indéniablement atroce ; c’est simplement oublier que les survivants des bombardements incendiaires de Hambourg ou Dresde pouvaient dire exactement la même chose des aviateurs alliés ici classés héros, c’est la guerre qui est par principe atroce, pas spécialement la guerre quand c’est notre camp qui se trouve victime ; le journaliste est un idiot profond, ou malhonnête homme. Les accusés qui vont ici être lourdement condamnés devraient être classés en prisonniers de guerre, et traités conformément aux conventions de Genève. Notre prétendu état de droit est une pourriture auto-contradictoire.
• « Il dénigre ʺles mensonges manifestesʺ de François Hollande, président de la République à l’époque, ʺqui dit que nous combattons la France pour vos valeurs et pour vous diviserʺ. (…) Sur les bancs des parties civiles, plus un bruit. Quelques larmes, des mains qui s’enserrent. On s’était habitués à son mutisme, il faudra désormais composer avec son insolente prolixité. (…) Le temps des explications viendra. »
--> Ce n’est absolument pas de l’insolence insoutenable, c’est de la logique (de type militaire), de l’explication simple déjà, et ce procès vise de faux coupables. A mon avis le coupable numéro 1 est le président Hollande ayant déclenché cette guerre au lieu de la refuser (avec milliers de complices gouvernants, pseudo-opposants et mauvais journalistes). En allant tuer à l’étranger, l’armée française s’est comportée en terroristes, premiers dans l’affaire, et le (moche) cerveau de cela est le président de la République d’alors (François Hollande), approuvé par le président Emmanuel Macron prenant la suite. Je ne dis pas du tout que les tueurs islamistes sont des héros justiciers mais que c’est une guerre du Mal contre le Mal, titre d’un des livres que j’ai écrit, évidemment publiable nulle part (tous les puissants du monde affirmant être le Bien contre le Mal).

Le ministre de la police n’est pas une star (16/03/2022)
     Aujourd’hui, la télévision dit que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, vient d’affirmer que l’agression d’Yvan Colonna en prison (par un autre prisonnier, non nationaliste corse mais islamiste) « manifestement est un acte terroriste ». Je ne comprends pas ce que ça veut dire, apparemment c’est que « violence islamiste » est affirmée automatiquement « violence terroriste », qu’elle s’exerce à l’encontre de militaires comme au Mali ou à l’encontre de prisonniers (condamnés comme tueurs) ici. Il ne s’agit pourtant en rien de terroriser la population générale pour qu’elle agisse sur les gouvernants.
     Je reprends la définition. Selon larousse.fr : « Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système. » Il me parait douteux que le tueur islamiste ayant agressé Colonna ait voulu créer un climat d’insécurité dans toutes les prisons (selon les journalistes, il a dit avoir voulu punir de mort un blasphème professé par la victime). Par ailleurs, dans le cas d’une attaque d’un individu sur un individu, la généralisation à une terreur générale serait imputable aux journalistes alarmistes généralisateurs (donc étant eux les vrais terroristes ?), pas à l’agresseur ponctuel.
     Dans le cas des militaires au Mali, c’est encore pire : ces militaires ont pour tâche de terroriser le camp ennemi par leurs actes tueurs, ils sont donc terroristes aussi, pas moins. Et ceux qui les tuent seraient au moins autant contre-terroristes que terroristes (prétendument).
     Finalement, cette notion de terrorisme n’est pas claire du tout, elle semble essentiellement servir de prétexte à répression généralisée et à mesures d’exception (injustifiables sans diabolisation maximale). Le mot terrorisme serait une insulte adressée à certains combats, signifiant qu'ils sont jugés des formes de violence très illégitime, par opposition à la violence dite légitime par le camp ayant la parole. Bof, ce n'est pas convaincant du tout, pas objectif, mais hyper-partisan.

Procès français (24/06/2022)
     Aujourd’hui, (au sujet du procès des accusés pour les attentats du vendredi-13 novembre 2015) la télévision a expliqué qu’a été requis contre Salah Abdeslam la peine maximale de prison à perpétuité (avec minimum de 30 ans, au lieu de 22 ans habituellement quand il y a meurtres simples). Cet accusé ou coupable n’a tué personne mais faisait partie des commandos islamistes ayant tué pluss de 100 personnes. Qu’est-ce que j’en pense ?
     D’accord mais exclusivement à condition que, par équité, tous les militaires ayant tué des civils allemands et japonais en 1940-45 (par milliers, sous les hourrahs occidentaux jusqu’à aujourd’hui) soient condamnés à la même peine, de même que ceux les ayant décorés pour bravoure ou ayant fait des discours à leur gloire. Giscard-Mitterrand-Chirac sont morts de vieillesse mais je pense que Sarkozy, F. Hollande et Macron méritent ainsi 30 ans de prison minimum, dit perpétuité. D’accord ? Non ? Alors qu’on ne parle pas de justice, c’est un acharnement unilatéral persécutant les combattants d’en face. Je ne connais pas le détail des accords de Genève prétendus régenter la guerre, mais je perçois ici une faute morale lourde. Comme la déclaration de guerre est une faute morale lourde, tant de la part des présidents occidentaux que des leaders islamistes, moins célèbres ici. Le point de vue neutre, équilibré, n’approuve absolument pas la persécution unilatérale, non.