Eléments complémentaires à mon testament professionnel
23-24/04/2022 + 02-03/08/2022, par Lance Eurdalèrt

(dernier ajout)

   Début 2019, j’ai mis en ligne mon ouvrage « Société Buo-Mepuy : règne secret de la fausse qualité. Comme partout parait-il, hélas » [13 pages intenses, contre 9 écrans ou 11 pages A4 pour le présent site]. Cela me semblait une bombe, mais en 3 ans je n’ai reçu presque aucun commentaire à mes dénonciations. De plus, les gens (autres que retraités) me répondant de manière discutante ne voulaient pas voir leur nom cité (ni même leur parole) et, effectivement, cela impacte directement leur travail, leurs responsabilités, leurs salaires et leurs vies familiales donc, je peux le comprendre. Je vais reprendre ces idées comme une auto-critique de moi-même (j’aurais pu le dire tout seul si j’avais eu ce talent d’analyse polycentrée), en joignant la contre-réponse qui traite ces attaques non-probantes (selon moi, mais libre à chacun de juger).
   Le contexte est une mise en doute sincère de mes propos initiaux, envisageant un mea culpa de moi-même sans refus buté tenant de la mauvaise foi, non. Ce serait même positif, en un sens, que je sois rassuré et reconnaisse m’être affolé à tort.

Point 1 : outils de mesure faux
• [Objection] A : 6% d’erreur dans une échelle log-2, ce n’est pas bien grave
[Je réponds :] --> Je le disais, ce n’est pas un cri médical de danger, c’est un cri mathématico-scientifique de faute. La hiérarchie nous appelait régulièrement à faire davantage de science, publier du contenu à valeur scientifique indéniable. C’est le cas ici, avec tous les experts mondiaux ayant employé le truc très faux très illogique sans rien remarquer. Nos chercheurs se sont avérés mauvais, nos clients-chefs se sont avérés mauvais, il est important de rétablir la propreté dans ce domaine. La faute n’a pas été commise par nous (mes supérieurs, mes collègues et moi) mais par des étrangers de société nordique rachetée par notre grand patron, et il aurait pu grandement faire baisser le prix s’il avait détecté la bourde en question, ridicule pitoyable, ce n’est pas rien. Mais puisque ça venait d’être détecté, par moi, il fallait le dire maintenant, au risque de perdre en image de marque sans tâche, mais cacher la faute commise pour faire un maximum de fric, c’est de l’escroquerie en bande organisée, en prétendant à la qualité, ça c’est grave. Il fallait 12 ans d’âge mental pour résoudre l’équation en question, pas comprise autrefois, et en pays étudiant la racine carrée dès 8 ans (c’est possible), ça demanderait 8 ans d’âge mental, que nos Prix Nobel n’y aient rien compris c’est grave. Ce n’est pas médical, c’est une gigantesque bourde qui est mise à jour, déjugeant bien des glorioles imméritées. Eliminer comme « fou » celui qui a détecté et prouvé le truc, c’est une honte atroce, peut-être passible des tribunaux, et (si ça se savait) ruine de la compagnie lourdement et sciemment mensongère, méprisant ses clients et rembourseurs officiels. C’est grave, ou très très grave.
B : Les points intermédiaires n’ont qu’une valeur indicative.
--> Ce n’est pas parce qu’ils sont indicatifs (sans le dire sur la notice du produit) qu’il faut en donner une valeur fausse. Si leur valeur exacte n’est pas bien importante, sans que personne y fasse vraiment attention, on peut corriger le faux en juste sans problème. Ça éviterait que, si ce que j’ai découvert est redécouvert par un auditeur officiel (faisant trembler jusque tout en haut de notre hiérarchie), la compagnie soit dénoncée comme nullarde incompétente grave, avec banqueroute à la clé, ce ne sera plu’ un détail indicatif de presque rien du tout. « Heureusement » que ces grands auditeurs sont des littéraires nuls en Maths (scandaleusement), hyper focalisés sur les détails de la paperasse administrative (en dates, habilitations, documents liés, etc.). Certes, la bourde commise n’apparait pas très en clair comme le nez au milieu de la figure, mais très simplement quand même : les valeurs 1,5 puis 3 puis 6 puis 12 comme points intermédiaires sont clairement des milieux additifs (entre 1 ; 2 ; 4 ; 8 ; 16), alors que les dilutions sont multiplicatives (1 ; 2 ; 4 ; 8 ; 16 et pas 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5). Entre 1 et 2, c’est donc racine de 2 (racine de 2 fois racine de 2 fait 2, par définition), qui fait environ 1,4 en s’en souvenant ou en demandant à la première calculette venue.
C : Les valeurs chiffrées sont là pour des études comparatives.
--> Est-ce à dire que, dans ce domaine : si on s’est trompé, il faut éternellement continuer à se tromper ? C’est possible, oui, c’était une des solutions que j’envisageais (à cause du prix en matériel et logiciel), mais la façon propre (dans cette voie éventuelle) est de laisser le produit inchangé tout en publiant la clarification avec les vraies valeurs mathématiquement justes, expliquées très simplement, pour dissiper tout scandale découvrant l’erreur. Ce qui a été refusé pour enterrer le truc, et éliminer le détecteur de la faute (moi) car choqué et pas soumis à l’autorité type militaire ayant décidé de cacher la faute commise… (il faudrait alors embaucher aux labos des parachutistes-commandos obéissant aveuglement, pas des techniciens lucides scientifiquement). Je trouve ça monstrueux, grave. Abus d’autorité, abus de pouvoir, ruinant la crédibilité de cette compagnie, voire de la branche en général, voire de l’industrie en général, voire de la société humaine en général – l’entité précisément fauteuse de scandale n’était pas clairement désignée dans mon livre, je le reconnais entièrement, et le doute à ce sujet demeure.
D : La précision quantitative n’est pas nécessitée, pas utile, il ne s’agit que d’échelle relative de concentrations in vitro corrélée à une référence sanguine très indirectement.
--> Cet argument peut s’entendre pour un produit concurrent plus simple, n’ayant pas les points intermédiaires additionnels (et du coup : pas de faute de faux-centres/faux-milieux), mais ce produit-ci se présentait avec parmi ses arguments de vente une précision supérieure, au-delà du besoin médical actuel (comme « une génération en avance »). Or si on promet davantage, il ne faut pas faire d’erreur dans ce surplus d’information. En ce moment, puisque mon invalidation demeure totalement méconnue, le produit est vendu comme très précis, au-delà de la méthode manuelle, et ce n’est pas une pertinente objection à ma démonstration de faute commise que de dire que les points intermédiaires ajoutés n’ont pas d’importance. Il faut de la cohérence, quelque part, soit simplifier au juste nécessaire (et aucune faute n’aurait été commise) soit ajouter davantage d’information d’accord mais alors : sans faute de raisonnement. Un argument de précision accrue est mis en avant (vis-à-vis des clients surpris par cette discordance avec la méthode ultra-manuelle traditionnelle), et puisqu’il est faux (maintenant prouvé faux) c’est de l’escroquerie, abusant les clients naïfs, selon une logique commerciale « tout pour le fric », anti-technico-scientifique (viser la justesse des mesures fournies, quel que soit leur arrondi, très approximatif ou assez fin). Et je rappelle que ce n’est en rien une question d’arrondi où j’exigerais une précision aberrante : entre 512 et 1024, le mauvais calcul donne 768 (qui s’arrondirait à 800 très arrondi) et le bon donne 724 (qui s’arrondirait à 700 avec le même arrondi exactement), la question n’étant pas du tout celle du degré d’arrondi mais le calcul qui est très différent, entre la faute et la raison.
E : S’il n’y a pas impact thérapeutique, ni erreur significative par rapport aux éléments d’incertitude technique en reproductibilité, il ne faut pas s’alarmer.
--> Je le disais en clair : il ne s’agit nullement d’une alarme thérapeutique, une alerte « santé publique », non, cela est totalement hors sujet. Simplement : de gros nuls ont commis une énorme bourde mathématique (pas très impactante, certes) et refuser de la corriger, refuser de la signaler, relève de l’escroquerie en bande organisée. Des gens très mauvais très menteurs se font payer très chers comme admirables (et « hyper-qualité »), en faisant éliminer les petits techniciens décelant l’erreur, c’est une honte absolue, en soi, pas en impact (de santé publique pour un produit lié au monde médical). Cette fausse science menteuse est un cas d’école en épistémologie (version sociologique avec Paul Feyerabend et sa « théorie anarchiste de la Connaissance »), pas un sujet grave de bio-médecine. Les conséquences sont graves en matière de formation et de récompenses officielles : faut-il être lucide ou obéissant ? faut-il applaudir les nullards déguisés en lumières de la pensée (sous les hourras de politiciens et journalistes) ? Certes, avec le bla-bla gouvernant depuis des années les entreprises, on peut affirmer tout et son contraire : il est très important et excellent d’être vigilant pour déceler les erreurs avant qu’elles aient un impact, mais… si ça égratigne un chef glorieux, fermez votre gueule ! C’est vertigineux, en matière de malhonnêteté intellectuelle, discréditant la prétention scientifique et logique de la biologie toute entière (et autres domaines éventuellement pareils). J’ai entendu parler d’une entreprise indienne, rachetée par une entreprise occidentale voulant y appliquer ses standards Qualité améliorés, mais ça n’a pas été possible : en Inde, il ne faut pas signaler une faute si on est de caste inférieure et que la faute a été commise par un membre de caste supérieure, car ce Très-Supérieur a raison par définition ! Cela nous était présenté comme anecdote cocasse très ridicule par un occidental très fier, mais – après examen – ça semble un peu pareil ici, même si les castes ne sont pas officielles ni religieuses. Le percevoir me parait d’un intérêt révélateur immense. Non, ce n’est pas rien, ce n’est pas « à oublier, fermons les yeux, peu importe », non c’est très grave, ruinant la respectabilité intellectuelle et morale de tout le monde scientifico-commercial (en biologie dit Big-Pharma ?).

2 : fausse absence d’impact pour températures
F : Il y a toujours compromis risque/efficacité
--> Non, si on n’a pas respecté les instructions de conservation (d’un produit commercial utilisé), on doit l’éliminer sans l’employer. C’est le principe de la Qualité (type ISO 9000 etc.) : ne pas faire ce qu’il est écrit de ne pas faire. Sinon, si on dit « oui-oui, c’est ce qu’on fait » en face et par derrière on fait le contraire, on pourrait aussi bien libérer les aliments avec un peu de germe poison en disant que c’est un compromis entre risque modéré d’intoxication et puis efficacité financière… non, ce n’est pas de la qualité mais de l’escroquerie, en bande organisée, et il faudrait avoir au moins l’honnêteté de l’avouer, de l’écrire dans les procédures, signées approuvées (avec bannissement possible par les autorités vérifiantes, ruine banqueroute…). Est-ce « toujours » ainsi ? Je ne crois pas du tout, non.
G : Le risque est purement pour l’entreprise, d’employer un produit dégradé, pas pour le client final.
--> Ce n’est absolument pas la question. A l’énoncé du non-respect des consignes, il aurait fallu jeter plein de consommables et les racheter, ce qui a été refusé en donnant tort au technicien disant qu’il n’y a pas du tout que les essais de conservation à être concernés mais aussi le matériel (de labo) de routine. Aucun rapport avec la validation de produits qui auraient été périmés : dans ce cas précis, on était comme un client (client des fournisseurs de ces consommables), pas comme producteurs/valideurs. Si la qualité consiste à dire « rien à foutre » en cas de sortie des plages imposées, la qualité ne mérite pas ce nom mais la poubelle directement. Non, le problème (de cette température sortant des consignes) n’a pas été compris, et le technicien anormal comprenant le problème a été injustement rabroué, en lui donnant tous les torts alors qu’il avait anormalement raison. C’est grave, c’est à faire disjoncter les gens (sauf cupides vendant leur âme au diable, pour le fric ou la carrière). Enfin, je reconnais avoir dû en partie mal m’exprimer, pour aborder le détail complexe sans en rester au superficiel criant ; un détail majeur était en effet que l’étude de conservation du fournisseur de consommable fait souvent partie de la réponse à la question : si par exemple on a utilisé une gélose ne devant pas dépasser 25°C valable 1 an, et qu’on a atteint 32¨C pendant une heure, on doit demander à ce fournisseur s’il a documenté qu’un dépassement aussi léger aussi court n’a pas d’impact rédhibitoire (ainsi, pour nos produits à nous développés sur d’autres sites autrefois et dont nous sommes maintenant utilisateurs, on obtiendrait vraisemblablement l’information : OK si 1 fois moins de 37°C 24 heures). Nous ne sommes pas du tout là en train de le valider mais d’en profiter pour départager cas bénins sans jeter et cas interdits à jeter, une enquête est obligatoire sinon il faut tout jeter ce qui a dépassé. Autre chose sur le « risque pour l’entreprise, pas pour le client final » : cet argument est officiellement interdit pour l’emploi de géloses périmées par exemple, on n’a pas le droit de dire « si ça marche, tant mieux ça nous aura fait faire des économies et si ça rate ça ne pénalise que nous-mêmes », non il faut obligatoirement tracer qu’on a respecté ce qui était commandé (obligation recommandée oralement autrefois, mais injonction absolue écrite noir sur blanc depuis que nous sommes certifiés Qualité ISO 9000, ou 9000 et des poussières).
H : il se trouve que l’exemple que je donnais concernait un laboratoire de Recherche et Développement, or si celui-ci commet une erreur, le client ne recevra pas de truc mauvais mais ce sera détecté ailleurs, au Contrôle Qualité sur lots à vendre par exemple.
--> Cela rappelle le point A : je ne clamais pas ici « attention, puisque nous n’avons pas jeté ce qui devait l’être, le client va recevoir des produits mauvais », ce n’est pas ça le problème. Il y a quand même un problème, c’est l’enfreinte très majeure aux Bonnes Pratiques de Laboratoire, destinées à fiabiliser les choses. A supposer que la R&D ait déclaré bon ce que le CQ n’arrive jamais à libérer, il y a un problème colossal, et comment trouver d’où ça vient ?... si l’habitude du laboratoire R&D est discrètement de fausser ses résultats en n’importe quel sens en employant du consommable abimé ou périmé (sans le dire, ou en disant l’avoir vérifié mais ce n’est pas vrai, ce qui ne choquait que moi…). Ce n’est pas un problème pour le client risquant de recevoir du mauvais, c’est un gros très gros problème interne, trahissant les promesses de rigueur impeccable nées des Bonnes Pratiques de Laboratoire (officialisant ce qui était précédemment classé Conscience Professionnelle). Par ailleurs, je voudrais signaler un malentendu : ce que vérifie le CQ est immensément partiel, ponctuel, à la recherche d’énorme problème abimant tout, alors que la R&D est impliquée dans de lourdes études de validation établissant sur l’intégralité du spectre d’emploi (autant que possible) les performances revendiquées avec ce produit (immensément au-delà d’avoir un micro-test QC conforme) ; bref, la R&D peut affirmer bon ce que ni le QC ni le client ne détecteront comme mauvais, alors que c’est mauvais comme le révélerait une nouvelle étude R&D sans les conditions faussées de la première fois, biaisées (sans aucun justificatif que de gagner du fric, ne pas recommander ce qui aurait dû l’être après sortie des températures de consigne).
I : On ne peut pas tout prévoir et il arrive souvent qu’on sorte des conditions prédéfinies, mais sans tout jeter on peut analyser et argumenter, pour une acceptation imprévue.
--> Cet argument est juste mais hors-sujet : avec les produits n’ayant pas respecté les conditions de température prédéfinies, dans le cas que je signale : pas la moindre vérification n’a été effectuée pour valider une sortie de spécifications, il était prévu d’affirmer une absence d’impact « car il n’y avait pas d’études de stabilité impliquée », ce qui ne répond aucunement à la question d’emploi fautif de produits abimés dans nos manipulations. Je n’appelais nullement à tout jeter instantanément dans tous les cas de dépassement des consignes, je disais qu’il fallait enquêter, documenter (par des études fournisseur éventuelles notamment), c’était dit en clair mais il faut être un lecteur vigilant pour ne pas se tromper de cible. Concernant ce qui a été fait, je confirme que c’est un pur scandale, assimilable à de la fraude, de bandit de grand chemin (déguisé avec une blouse blanche, c’est pitoyable).

Point 3 : pression à la conclusion experte « pas d’impact »
J : En plus des souches robustes pour détecter les problèmes majeurs, il y a des souches plus pointues pour détecter des problèmes particuliers.
--> Non, ça ne répond pas au problème : si ces souches pointues sont insuffisamment robustes, génératrices de recontrôles pour rien et rejets à tort, elles ne sont pas conservées dans le kit de souches de contrôle, et il est voulu des souches robustes aussi dans la sous-catégorie « démontrant un problème particulier ». Je l’ai vécu (choqué) dans un programme vers l’an 2008, sans garantir que c’est pareil pour tous les produits de la compagnie.
K : les normes plus sévères que nécessaire ont un intérêt préventif, pour détecter les problèmes avant impact.
--> Ce serait vrai si était appliquée la loi « non-conforme donc à refaire » (même pour rien, à titre de précaution), mais le drame est que ces « à refaire » hyper-coûteux et ruinant les plannings (cas rendus très fréquents « par précaution ») sont éliminés par le jugement en pratique systématique « pas d’impact ». Sans preuve mais en affirmant experts les techniciens, même choqués par la pression pour dire cela, mais obéissant militairement… en sachant que les blablas sur la qualité sont une farce ridicule pour incompétents. Si cette atrocité est provoquée par la trop grande fréquence des alertes un peu excessives, il n’est pas du tout positif d’avoir des alertes un peu excessives, on aurait mieux fait de se limiter au vrai besoin documenté et alors de refaire honnêtement quand survenait une non-conformité. Biaiser dans un but louable est compréhensible, mais si trop biaiser conduit à une adaptation mensongère devenue obligatoire (en pratique), ce n’est absolument pas positif. Précision : je ne prétends nullement que toute alerte plus sévère qu’obligatoire est une calamité en soi, cela peut parfaitement fonctionner (et presque sans inconvénient) si c’est rare, ma critique concernait uniquement le cas vécu d’alarme excessive devenue une immense routine, et bien trop chère à gérer donc ayant conduit à tricher pour ne pas refaire. C’est cette triche qui est le scandale, pas le principe de pré-alerte.

Point 4 : fausses validations par non-significativité
L : Le service biomathématiques s’est amélioré.
--> Ce n’était pas une petite imperfection qu’il est bénéfique de corriger mais une énorme faute lourde discréditant totalement ce service, menteur et faisant autorité car la plupart des biologistes ont peur des mathématiques et n’envisagent nullement de les mettre en doute. Les instances officielles d’agrément des produits sont autant concernées que notre compagnie, et les rédacteurs de norme qualité. Le problème est colossal. Que localement, on fasse un peu moins mal ne répond pas au problème énorme soulevé. Faute professionnelle multi-réitérée, et estampillée « science » de manière fallacieuse. Quand bien même il y aurait eu reconnaissance de faute passée (et je n’en suis pas du tout sûr), je peux témoigner que les techniciens détecteurs de cette faute, lourdement insultés par la hiérarchie (grand chef de R&D, grand chef de production), n’ont reçu aucune excuse (et encore moins de félicitations ou remerciements) – au contraire : j’ai été déclaré fou et éliminé.
M : Tout n’est que compromis risque/apport. Même s’il subsiste un risque le produit reste utile.
--> Oui et non : le risque mathématiquement chiffré en routine est mensonger, car le risque de 1e espèce (rejet à tort) est présenté comme risque de seconde espèce (acceptation à tort, le contexte étant une acceptation de nouveau produit ou nouveau lot, avec risque d’acceptation à tort qu’il conviendrait de chiffrer, lui). Les décideurs croyant être lucides en ayant accès au risque de leur acceptation sont trompés, par des escrocs s’adressant à des incompétents (tous chers payés), c’est dramatique. Et là encore : en enterrant la dénonciation par l’anormal biologiste matheux subalterne (sous-payé donc à l’américaine jugé nul ?), au risque de le pousser à bout (démission ou suicide), surtout après insulte mettant en question sa santé mentale (alors qu’il peut prouver ce qu’il dit, mais ses chefs sont hostiles à ce sujet mathématique qu’ils détestent ou craignent, et super-fiers de leur supériorité es-science… oui, c’est à hurler, à péter les plombs).

Point 5 : clore vite les non-conformités
N : On peut clore en premier niveau et programmer une analyse complexe pour plus tard.
--> Ce n’est pas clore que de dire « on ne sait pas du tout l’impact, il faudra l’étudier un jour », ce n’est pas du tout ce que veut le département qualité exigeant des conclusions positives ou négatives mais tranchées. L’investigation qualité consiste précisément à mesurer l’impact, or on n’a pas le temps, le plus souvent, d’où injonctions contradictoires. En pratique, il s’avère que ce qui prime n’est pas le rejet, le refus, cher intrinsèquement et ruinant les plannings, tout est accepté « au bénéfice du doute », et « on verra, quand on aura le temps » (et en pratique, on sait qu’on n’aura pas le temps, devant être rentables, nous ne sommes pas fonctionnaires).

Point 6 : l’aubaine des normes internationales mensongères
O : On part évidemment du principe que le lot est conforme, puisque produit selon un procédé optimisé pour cela.
--> Cela veut dire qu’en cas de doute, on prend le parti de l’industriel pour ne pas jeter, et pas du client pour ne pas recevoir du mauvais. C’est le contraire absolu de ce qui nous est enseigné comme démarche qualité (« priorité client »). Contradiction. Même sur un plan logique et commercial ça ne tient pas : dire qu’est prouvé bon tout ce qui n’est pas prouvé très-très-mauvais, ça n’exclut en rien qu’on prouve à tort comme « bon » le très-mauvais (certes pas très-très mauvais). Comme acheteur de salades, on s’en offusquerait mais en acheteur de produit dit-scientifique, les « experts » l’acceptent ? Officiellement par écrit ? Non, pas par écrit, surtout pas (avant mon livre) : hum, il y a un problème, comme d’habitude caché, c’est une honte.
P : On ne teste pas le produit mais on vérifie l’absence d’écart par rapport aux lots validés.
--> Le • mot « validé » me parait abusif, on effectue une vérification sans prouver que ça marche toujours sur tout. En pratique même, les tolérances de contrôle sont adaptées pour ne pas tout refuser ni même une portion significative de la production (on produisait et testait trois lots d’essai puis on définissait les tolérances pour n’en rejeter aucun, sauf aberration totale inadmissible). Cela ne crée pas un « gold standard » admirable. Par ailleurs on retombe sur le problème des souches choisies en béton : si on a finalisé les souches pour ne pas avoir trop de recontrôles pour rien ni rejet abusif, on a pu éliminer les souches qui auraient démontré des écarts entre lots, écarts qui ne seront donc pas vus même si présents. Je me souviens pour la mise sous H du test S du produit E, où le problème était apparu par miracle car dans le kit contrôle on avait une souche d’espèce P (1 espèce sur 20 dans le kit, parmi 100 espèces possibles), des problèmes similaires touchant une autre espèce peuvent passer inaperçus quand bien même on prétendrait prouver l’absence d’écart par rapport au « validé ». Oui, c’est obligatoirement imparfait, mais le mot « prouvé », comme « validé », est dévoyé, abusif. La télé avec la crise covid19 a montré que le label « prouvé scientifiquement » est employé pour faire taire les contestataires, même s’ils ont raison, l’argument d’autorité s’imposant. De l’intérieur, on sait que c’est abusif, et on pourrait le documenter si on nous le demandait. C’est une faute logique de juger que « pas prouvé-mauvais » vaut « prouvé-bon », la situation industrielle la plus courante étant « rien prouvé », non significatif. Ça rejoint l’erreur lourde du point 5. Philosophiquement, les sceptiques sont souvent logiques quand sont illogiques les scientistes affirmant que la science dit assurément le vrai dans ses conclusions (même abusives, en empêchant de le dire/démontrer, pour « vaincre » l’avis écrasé). Certes, politiquement, la sagesse sceptique est passible de prison en France depuis l’an 1990 mais c’est une honte totale, une contradiction supplémentaire de la fausse élite dominante, pourrie honteuse (et menaçante, même si j’ai été déclaré fou sans être jeté en prison).

Point 7 : la comédie des risques psycho-sociaux
Q : Il est évident que la question des risques psycho-sociaux est plus complexe que seulement les deux causes retenues par la compagnie.
--> Le problème n’est pas tant là que quand il est donné tort aux personnes en désaccord, dites insulter la compétence du service Ressources Humaines ayant mandaté des experts diplômés habilités certifiés. En clair c’est « fermez votre gueule, sales incompétents, nous compétents on a tout compris ! ». Or c’est faux. Ce que je dénonçais était infiniment plus grave que le petit désagrément des gens arrivant en retard en réunion (même si, certes, des gens surmenés ou drogués aux médocs ou autres peuvent faire un caca nerveux en cas de petit désagrément sans grande importance). Si, poussé à bout par mon involontaire (et très terrible) complicité d’escroquerie, je m’étais immolé par le feu sur mon lieu de travail, en laissant aux journaux locaux et scientifiques l’argumentaire explicatif, la compagnie allait couler, avec milliers de familles en détresse (avec adulte au chômage ne trouvant plu’ de travail car sali par l’historique d’années d’expérience en société malhonnête hyper-honteuse), le créateur allait voir le nom de sa famille sali à jamais, est-ce très mineur devant les petits désagréments ? Sans avoir interviewé les personnes percevant le problème grave ? Au nom de l’autorité compétente ? Alors que la scientificité des sciences humaines (dont la psychologie) n’est même pas établie, mais très discutée, en instance d’invalidation ? Il ne suffirait pas de doubler ou décupler le budget d’investigation, des problèmes de crédibilité se posent. Et s’il n’est pas possible d’acquérir une connaissance du sujet (c’est effectivement envisageable, à cause de l’immense complexité), il ne faut pas prétendre l’avoir obtenue, en faisant taire les arguments opposés.

Point 8 : la loi du silence

Point 9 : outil cassé donc correct

Point 10 : fausse robustesse
R : Certains biais qui ont toujours existé sont corrigés progressivement.
--> Cela ne répond en rien à la faute de circularité que je signalais spécifiquement, concernant les souches robustes choisies pour démontrer la robustesse du produit. Je l’ai vu à l’œuvre, je ne l’ai pas vu « corrigé » (et sans même envisager correction, donnant au contraire tort à l’esprit logique notant l’anomalie de principe). Si c’est corrigé maintenant, tant mieux, mais il est affreusement moche d’avoir cassé les gens ayant eu raison avant l’heure (surtout en se couvrant fièrement de fric et sous-payant les lucides, méprisés, chassés).

Point 11 : strict respect des plages annoncées
S : Tout tester est impossible donc c’est fait par échantillonnage.
--> Non, car l’échantillonnage n’a de sens que si on prend un échantillon représentatif, et prendre « n’importe quoi » (au hasard) observé comme échantillon, en affirmant que ça explore tous les cas envisageables, c’est simplement faux. Certes, des mauvais statisticiens affirment que prendre au hasard garantit que l’échantillon est représentatif mais c’est faux. Il peut y avoir des biais non voulus mais intervenant sans être perçus. (Ainsi, prétendre que 12 mois à 25°C n’entrave pas la qualité du produit, sans l’avoir testé du tout – parce qu’on batifolait entre les limites 18 et 25°C –, tient de l’escroquerie). Même chose si la population n’est pas normale mais avec très petite part de valeurs très anormales, pouvant se trouver ou non dans l’échantillon en changeant tout à ses propriétés (aucun échantillon n’est alors représentatif, ce que les cours de statistiques stupides, pléonasme ?, n’envisagent même pas). Un échantillon fournit un minuscule aperçu, pouvant donner l’alerte c’est bien (en test de conformité), mais ne valant rien en prétendue validation (exploratoire, ignorant au départ ce qu’il faut explorer pour bien couvrir la plage revendiquée).
T : Tester un peu un produit bénéfique pour le patient vaut mieux que tout rejeter au détriment du patient.
--> Attention, dire cela, c’est ouvrir la voie à de colossales économies adorées des gestionnaires nous dirigeant (« nous » avant que je sois « éliminé ») : on pourrait faire dix fois moins de tests (pour le prochain produit) en arguant que les tests risquent de faire rejeter le produit en fait bénéfique. Pour augmenter (sans le dire) le fric gagné, au détriment de la rigueur (clamée par ailleurs, de plus en plus menteusement). Les scientistes veulent retirer (ou amoindrir) la part de doute inhérente à la science bien comprise, à mon avis argumenté il ne faut surtout pas les écouter mais bien pratiquer des tests suspicieux, au risque de rejeter le produit.

Point 12 : tout au service du client !
U : C’est davantage un problème de toute la société que de cette entreprise.
--> Oui, ce mensonge est partout, ça n’en est que plus choquant. Cela prouve nos dirigeants menteurs comme les autres dirigeants, alors que des dirigeants honnêtes seraient très envisageables, et bénéfiques. Peut-être qu’en école de manager on apprend la pourriture (dite excellence), ça n’en est pas moins de la pourriture, me choquant, et pouvant choquer les clients si informés (ne serait-ce que les clients fonctionnaires, si chez eux c’est différent, avec d’autres problèmes, peut-être pas mieux mais que je connais moins).
V : La société qui était la mienne n’était pas la pluss vampire du monde ni la pluss capitaliste exploiteuse, participant notamment à des œuvres charitables.
--> C’est le principe je crois de l’aumône : le très riche s’autorise à être très riche en donnant un petit peu au mendiant, sans pour autant cesser d’obtenir des masses de fric en rackettant les clients, employés, fournisseurs, pour son profit maximal – rendu « correct » moralement par l’aumône, prétendument. Je ne suis pas d’accord avec cette politique, certes dominante en Occident, et davantage même (voir l’importance de l’aumône dans Le Coran). Un client en difficulté, mauvais payeur, poursuivi par huissiers, ne serait pas d’avis que son persécuteur est noble de cœur car l’argent excessivement extorqué est, en partie, pour « les œuvres charitables »… Je crois que c’est la politique dite de droite, qui n’est pas celle que je préfère, même si je n’aime pas la gauche française en ayant inventé mieux à mon idée : un monde frugal et efficace, privé sans fainéantise fonctionnaire ni assistanat ni xénophobie, partageant mondialement le réconfort en fonction de l’effort, sans aumône et sans exploitation pour bénéfice maximal (avec ou sans aumône). Mais bon, c’est de la politique/géopolitique, très loin du sujet de ce livre qui traitait de qualité méthodologiquement dans le monde technique.

Point 13 : le prix déconnecté du coût
W : La France fait plutôt mieux que d’autres avec un remboursement fonction de l’intérêt médical.
--> Pourquoi apprendre aux enfants à ne pas mentir si le mensonge (commercial) est la règle ? Et pourquoi y a-t-il des poursuites pénales pour publicité mensongère si le mensonge est une coutume de cette société ? Je ne suis nullement convaincu, et ma formation tant scolaire qu’universitaire ne m’a nullement préparé à avaler de telles horreurs prétendues normales habituelles (en mentant sur la qualité de service, affirmée excellente, ça frôle l’insupportable).

Point 14 : spécificité en forme bla-bla
X : Il est illusoire de vouloir tout contrôler.
--> Si c’est illusoire, il ne fallait pas l’exiger dans les textes officiels, forçant tout le monde au mensonge, c’est incroyable, je me confirme très choqué par ce qui se fait, de manière organisée, bien au-delà de cette compagnie. Mensonge partout (pour les gens concernés).
Y : Il y a un compromis entre le coût d’analyse fouillée et le coût de non-qualité en cas de produit à impureté gênante.
--> C’est une erreur de sujet : je ne parlais pas, en production, des ratés produisant un lot mauvais mais, en analyse de contrôle, des quantifications séparatives finalement biaisées par mélange de composés comptés ensemble. Là, on ne voit pas automatiquement (par « produit mauvais, refusé ») l’erreur éventuellement commise. On affirme faussement, en validation de méthode, qu’il n’y a pas pareille erreur, alors qu’on n’en sait presque rien.
Z : Dans nos analyses à la fois biologiques et chimiques, une imperfection chimique avec analyse non exhaustive pouvait être décelée de manière biologique.
--> Le problème est dans le mot « pouvait » qui a plusieurs sens, contradictoires. Il y a « pouvait en cas de problème éventuel, et cela assurément », mais il y a aussi « pouvait parfois, si on avait une chance immense, absolument pas certaine ». Oui, en théorie, un problème pas vu dans l’analyse chimique pouvait, si on avait de la chance, coincer en biologie, sans acceptation à tort. Mais cela ne garantit en rien que tout problème sera détecté par la biologie, notamment parce que ces analyses sont beaucoup pluss grossières que les très fines analyses chimiques, choisies précisément pour leur fiabilité prétendue supérieure – et si l’analyse chimique passe à côté du sujet escompté, il sera à tort cru avoir tiré d’elle l’immense assurance habituelle. Le problème demeure, en grande partie, donc. Une erreur totale de produit sera bien détectée, mais une analyse chimique notablement faussée n’est pas automatiquement décelée par la biologie assez approximative (et la précision revendiquée aura été trahie, sans le percevoir, sans informer les décideurs – ni les auditeurs, mais il y a peu de lucidité apparemment à attendre de ce côté).

Point 15 : bénéfice du doute dans le mauvais sens

Point 16 : psychiatrisation des objections prouvées
AA : Des lanceurs d’alerte peuvent se tromper.
--> Pour une partie des choses qui me choquent, je comprends que c’est partiellement discutable, notamment si on est d’avis politique que, pour le fric, tous les mensonges sont permis (en jurant le contraire). Mais une partie de mes contestations est mathématique, logique, indiscutable, et on m’a donné tort hiérarchiquement sans aucunement prouver ma démonstration erronée, ce qu’elle n’est pas. Mais c’est enterré. Pour se pavaner comme super-qualité super-compétence (super-payée évidemment), c’est à hurler… J’ai entendu la « blague » d’une réunion de nouvel an chez Boeing, le grand directeur clamant au micro « Cette année, tout a bien marché, grâce à vous, grâce à nous ! Pour moi : prime d’un million de dollars ! (applaudissements)… et pour tous les autres… (applaudissements) : un hamburger gratuit ! (silence). », c’est sensé faire rire comme absurdité, pas dépeindre le monde du travail en vrai…
AB : Lancer une alerte peut être très stressant, justifiant un accompagnement psycho-social.
--> Je comprendrais cela si l’alerte était prise en compte, tout en généreusement aidant la personne ayant osé la formuler. Mais c’est immensément différent si on la fait taire, en lui donnant totalement tort, rudement, et en l’envoyant en « soins psychiatriques » à la mode soviétique pour les dissidents prétendus fous, à enterrer vivants (ou morts, si suicidés)…

Point 17 : comédie des instances éthiques
AC : Un argument venant d’une autorité n’est pas pour autant invalide.
--> Certes, si un professeur prouve qu’il a raison et que l’élève le contestant a tort, la preuve est faite et l’autorité a raison, je suis entièrement d’accord, mais quand le rebelle prouve mathématiquement ce qu’il dit et qu’on le fait taire avec zéro justification, exclusivement mise en pratique d’autorité sévère, c’est un scandale, ne serait-ce que méthodologique. Si l’autorité avait les preuves que son avis est le bon, pourquoi ne les exposerait-elle pas ? C’est s’il y a escroquerie cachée que s’explique ce silence n’ayant rien à expliquer pour convaincre mais choisissant d’être sévère pour faire rentrer dans le rang militairement, cachant qu’il y a faute de l’autorité (donc illégitime), ou faute lourde ou pire (pénalement poursuivable, avec renvoi du chef ou/et banqueroute de l’entreprise).

Point 18 : solidarité requise dans l’aberration
AD : Il s’agit d’un détail ponctuel de relations pas idylliques entres personnes, rien de spécial à dire, en ce sens.
--> Ce qui me choque est qu’on donne tort à quelqu’un n’ayant aucunement tort mais comprenant ce que les autres refusent de comprendre (en refusant d’entendre quelque explication que ce soit, qui plus est). En contexte de harcèlement type scolaire, la mauvaise foi créant conflit est célèbre (et atroce), mais quand ça se produit en entreprise devant travailler ensemble, ça semble un tel gâchis que je suis révolté.
AE : Plus précisément, il s’agirait d’un cas où la normalité a consisté à appliquer une procédure standard, en refusant toute modification, ce qui est une façon de faire comme une autre.
--> Le problème dans une relation acheteur-vendeur est qu’il faut accord sur une procédure commune. Si l’acheteur potentiel refuse la procédure du vendeur, l’acheteur va normalement voir ailleurs (et il n’y a pas vente ici simplement), ce n’est pas à lui d’imposer sa procédure en hurlant, surtout en condamnant ses propres employés comprenant le problème, et jugés coupables pour cela… Enfin, je suis peut-être naïf, ainsi j’achète les choses au prix demandé (ou je renonce à l’achat si trop cher), sans hurler que je veux tel prix inférieur, sans marchander avec colère (je comprendrais très bien le vendeur mettant à la porte pareil client, à comportement horrible).

Point 19 : faux écart-type estimé
AF : Les recherches en mathématiques ne relèvent pas de compagnies comme celle-ci mais de discussions entre experts après publication éventuelle.
--> Le problème n’est pas là : il ne s’agit nullement d’une invention géniale ajoutant au monde mathématique mais de la démonstration comme fausse d’une loi apprise par tous à l’université, enseignée sans démonstration aucune (contrairement au lycée). Cela prouve que l’université est une entreprise d’intoxication d’idiots crédules tirant ensuite supériorité (prétendue) de leurs diplômes (de récitation stupide). La vérification de mon invalidation requiert 10 ans d’âge mental, peut-être 7 ans avec les nouvelles générations nées avec un ordinateur au bout des doigts. La vérification de ma démonstration invalidante demande un niveau 14 ans en mathématiques, ce n’est en rien du haut vol. J’ai démontré l’erreur par simple vérification quantitative pour plein de cas, je l’ai même prouvée pour l’infinité des cas mais dans quelques groupes d’effectifs seulement (n/N = 2/3 ; 2/4 ; 3/4 ; soit 6 démonstrations avec/sans remise). J’ai semble-t-il trouvé les deux formules correctrices pour ces groupes de cas, et elles se vérifient sur tableur dans bien d’autres groupes, tous ceux que j’ai essayés (sans que j’aie procédé partout à la lourde démonstration en A+B, très longue avec effectifs importants). Sans que j’aie vérifié (et encore moins fait la démonstration) universellement quelques soient les effectifs, par exemple 314/6280. Ce n’est pas prêt à publication constructive comme pièce du savoir, mais j’ai d’ores et déjà prouvé en faute totale la formule des cours universitaires (et des logiciels comme Excel). J’ai montré cela dans plein de situations pour la vérification (à réponse « surprise »), et pour 3 combinaisons d’effectifs pour la démonstration valant preuve absolue (sans influence d’ordinateur piraté éventuel qui donnerait des chiffrages faux), c’est supersolide quoique incomplet…
AG : Si j’ai découvert une nouvelle loi mathématique, je devrais la publier à titre de conjecture, même si je n’en ai pas la démonstration dans tous les cas.
--> L’expérience que j’ai en matière de publication est totalement négative, les éditeurs refusant tout ce qui dérange, même explosif (ou surtout dans ce cas, en clamant le contraire, ce qui est logique puisque tout le monde ou presque ment en ce monde). Je ne vais pas me lancer dans ce combat (où il y a beaucoup de mépris et insultes à recevoir), je suis devenu défaitiste, par expérience, et je dis sur Internet ce que j’ai à dire, sans escompter que les dominants tolèrent de reconnaitre leurs erreurs.
AH : Avant de critiquer l’université, il faudrait que j’en ai une connaissance exhaustive et actualisée.
--> Effectivement, je ne parle que de ce que j’ai connu, mais ce tableau est entièrement cohérent avec les incompétences que je vois en usage de la part de diplômés antérieurs et postérieurs. Notamment, il me semble clair, confirmé et pas corrigé, que les bases statistiques sont enseignées par affirmation parachutée sans la moindre démonstration. Il m’a suffi de prendre un exemple pour montrer l’erreur : tous les exemples montrent l’erreur, encore faut-il se donner la « peine » de vérifier, oser douter de la parole professorale, ce qui n’est nullement prévu par le principe universitaire, de cours magistraux dispensant le savoir prétendu objectif, surtout en mathématiques (sans flou interprétatif à écoles de pensée multiples, type sociologie). Ce n’est en rien une formation à l’intelligence critique, c’est une usine à générer des crétins répéteurs prétentieux, méprisant à tort les travailleurs de peine (davantage méritants qu’eux).

Point 20 : normalité idiote
AI : L’imperfection d’un système ne vaut pas pourriture intégrale.
--> Certes, ce n’est pas « absolument tout de tout » qui est pourri (et je disais en ce sens deux lignes plus bas que les Chinois sont peut-être moins pourris, à confirmer). En tout cas, dans le monde industriel à prétention scientifique (qui est mon sujet, certes pas tout absolument), la pourriture est partout, ne serait-ce que dans le calcul d’écart-type pratiqué partout et jamais vérifié par personne, même sur cas simple. De plus, loin de rencontrer une volonté de corriger les erreurs, j’ai fait face à une oppression méprisant mon intelligence critique, avec insulte psychiatrisante me classant fou, avec assentiment général envers cette condamnation (au mieux : me plaignant pour ce cerveau anormal). J’ai lu que si Albert Einstein était fœtus maintenant, il serait avorté (tué) pour anormalité cérébrale… Alors : presque tout va bien puisque les oiseaux chantent ? Hum non, je ne trouve pas. Note : les scandales pseudo-scientifiques ne sont pas qu’un petit truc interne à quelques micro-entreprises occupant une niche spéciale de l’économie, en effet on a vu avec la crise covid19 que c’est au nom de la Science que les prétendues petites gens sont commandées, méprisées, punies même. Quand bien même elles auraient raison, ce qui en fait un problème gigantesque (pas vu autant au moment de la rédaction de ce petit livre, achevé début 2019, il y a trois ans).

• Conclusion finale
   Je n’ai trouvé, dans les réponses ici analysées, aucun argument qui me montrerait en faute dans mon texte dénonciateur, aucun qui innocenterait les points que je dénonçais. Si ce n’est que, plusieurs fois, il se confirme apparemment que la pourriture n’est pas tant propre à cette compagnie qu’à la société française (ou occidentale ou humaine) en général, ce qui était un peu le sens du sous-titre et de l’introduction du livre : tous pourris apparemment, comme révélé par cette compagnie et par l’élément de réponse « mais c’est pareil dans les autres compagnies »…
   Avec le recul, je ne conclus toujours pas politiquement que c’est la faute au méchant capitalisme, ça me semble encore plus profond, pas forcément daté du protestantisme du 17e siècle à immenses usines à semi-esclaves surmenés (mourant vers 30 ans) enrichissant des égoïstes s’estimant prédestinés au Paradis indépendamment des actes, non. Ça semble le très vieux mensonge commercial antique, faisant que le vendeur répond « pourquoi est-ce si cher ? parce que je l’achète moi-même très cher ! » cachant « parce que je pense que vous serez assez stupides pour l’acheter aussi cher, du moins une part suffisante d’entre vous, pour que je m’en mette plein les poches ! ». L’invention moderne des sociétés avec « Qualité » pour préoccupation première n’y a rien changé : aucune honnêteté déclarative n’est pratiquée, les fautes sont cachées, les découvreurs de fautes (comme moi) sont éliminés…
   Après examen minutieux de ces remarques en forme d’objections, je ne change en rien d’avis et je ne vois même rien à corriger dans mon texte initial. Ces éléments-ci, explicatifs supplémentaires me semblent d’intérêt général, clarifiants, utiles en ce sens. Merci aux gens m’ayant indirectement conduit à les formuler.

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(Ajout 07/09/2022) Inconvénient de l’oral
   Revoyant hier « de visu » un contradicteur, j’ai été amené à comprendre partiellement son point de vue : si le problème principal que je pointais n’a pas d’incidence pour les clients labos, ni pour les patients malades, il est en un sens négligeable, ou plutôt : il n’est pas incompréhensible qu’il ait été choisi de le négliger, au niveau des responsables.
   Cependant, sans m’être cramponné à mon point de vue mordicus lors de la conversation orale, ici à tête reposée, je réitère mon opposition absolue : la façon correcte de faire, scientifiquement et moralement, aurait consisté à « publier une correction de principe, pour nettoyer le sujet même si ça n’a pas d’importance pratique, reconnaitre qu’une bourde énorme a été commise et non détectée pendant des décennies (aveugles et démentant la prétendue vigilance scientifique), bien que nécessitant seulement 12 ans d’âge mental pour la percevoir, et voici les vraies valeurs et l’explication de cette erreur par confusion intuitive : (…) ». Tout au contraire, cacher le problème pour s’enrichir comme experts, la faute de raisonnement n’étant ni vue ni connue, est de l’escroquerie. Qui plus est, ce n’est pas anodin sans importance aucune (donc à oublier), mais au contraire violent injuste (donc à dénoncer) puisqu’éliminant comme « fou » (invalide, inapte, incapable) le découvreur de l’erreur, lui étant déclaré fautif, sans avouer que la « faute » en question a consisté à oser avoir raison (depuis des décennies) contre les dominants menteurs cacheurs de faute commise depuis longtemps et perdurant à ce jour…
   Un autre aspect majeur est que cela donne tort aux littéraires blablateurs maugréant que "les maths ça sert à rien !". Tout au contraire, les maths font la différence entre l'affirmation pertinente, solide, et le boniment commercial, trompeur. C'est "un cas d'école", en ce sens, immensément révélateur, impactant des décisions gigantesques comme l'arrêt ou poursuite des maths (et de la logique pure) au lycée, comme le relativisme quant au caractère supérieur de l'apprentissage par cœur puissance mille (façon pharmacien-médecin), etc.
   De manière plus anecdotique « pour le monde entier », mais en pratique bien plus impactant « pour le quotidien de mes ex-collègues », du service dont je suis parti en 1993 choqué, serait le remplacement de la tolérance 70%-155% inexpliquée (et non justifiée) par 71%-141% [ou davantage proprement, faisant apparaitre le double : 70,7%-141,4%] argumentée (entre 1/racine de 2 et racine de 2, points milieux vrais en suite multiplicative entre 50%-100%-200%), avec peut-être nombre de lots jetés devenant rédhibitoire, entraînant abandon de gamme et mise au chômage de ses contrôleurs/producteurs/chercheurs... Avec peut-être fermeture du site et lynchage de ma personne ayant ainsi tout cassé. Oh non, ce n’est pas rien, cacher le problème sous le tapis, comme de la poussière balayée, est très suspect d’escroquerie financièrement intéressée, pire horreur selon l'éducation que j'ai reçue (familiale agnostique, scolaire communiste, universitaire rationaliste ?).